Passion

Longtemps je me suis demandée ce qu’était la passion,
je cherchais dans tous les dictionnaires une ,
je regardais partout et je n’en voyais que l’illusion,
la duperie de ceux qui croient que ce mot leur appartient,
de ceux qui croient savoir et connaître ce qu’est ce lien,
de celles qui posent le mot amour au premier venu,
de ceux qui en bon parti se mettent très vite à nu.

Longtemps je t’ai attendu.
Priant seule mais jamais perdue.
Comme un naufragé cherchant sa moitié,
prêt à tout pour enfin pouvoir la retrouver.
Sans condition, et outre passant le temps.
Outre la distance, outre marées et vents,
outre toute circonstance et tous faits.
Seule pour mieux savoir qui me manquait.
Seule pour laisser une place à qui le méritait.

Alors cette place t’appartient et te revient,
dans l’instant et pour l’éternité,
cette place pour hier et pour demain,
elle est à toi, qui sait m’aimer.

J’habite là où je te vois,
dans chaque recoin de tes parois,
dans tous les coins de ta voie,
Je t’aime c’est ma seule voix,
lorsque je parle passion:
le seul langage qui soit.

L’hypocrisie nous montre le bien,
le chemin à ne pas prendre,
l’ignorance qui ne mène à rien,
la mauvaise foi à méprendre.
Le mensonge, de ces couples sans passion,
qui n’ont qu’un seul horizon:
le vite bâti, le vite détruit,
rien de tout ce qui longtemps se construit.

Ces femmes qui ne cherchent qu’un intérêt,
ces hommes qui ne pensent que sexualité,
ces relations toutes faites,
un soir où ils avaient trop bu,
pour s’unir lors d’une fête,
où l’alcool leur dicte leur vue;
bien plus qu’aveugles ou aveuglés
ils s’inventent une histoire sensée,
une passion qui n’existera jamais.

Tandis que je t’aime de plus en plus,
que ton corps m’appelle en surplus,
que l’envie grandit à titre gratuit,
notre désir demeure intact à vie.

Du jour au lendemain
certains s’inventeraient
un coup de foudre à retardement,
tandis que moi au premier instant
où je t’ai lu je t’ai aimé
depuis ce jour et pour tout lendemain.

Je haie ces femmes intéressées
qui remplacent plus que vite fait
leur amour pour être privilégiées:
pour l’argent, soyons éclairés.
Puis elles jouent et prônent jusqu’à leur innocence,
imitant la passion, dont elles ignorent jusqu’au sens.
Si ces hommes les testaient ce serait vite prouvé.

Je haie ces hommes intéressés
qui remplacent une femme comme un objet,
cette même femme qui se voilant la face,
oubliant que seul le sexe puisse compter,
se déshabille la première nuit qui se passe.
Puis ils jouent les hommes innocents,
imitant la passion et la fidélité,
le dévouement et l’équité.

Je suis rassurée, car je nous en sens bien éloignés.
Car même si j’essayais de t’oublier,
même si j’essayais de contrôler,
et de toi me priver: tu resterais,
dans mon cœur, à tout jamais;
ne laissant aucune place pour un autre,
je demeurerais de toi passionnée,
préférant la solitude à quelqu’un d’autre,
qui ne puisse t’égaler,
préférant l’abstinence plutôt qu’imiter:
cette passion de toi qui m’envahit,
cette passion de toi pour la vie.

Alors qu’est-ce que la passion?
c’est ce que j’éprouve pour toi:
c’est alors bien cette ;
chaque finition de toi et moi,
chaque perdition avant toi.


La passion c’est de me dire que je ne vis que pour ton bonheur,
c’est de me dire que je pourrais t’attendre heure par heure,
patientant, sans jamais aimer comme je t’aime, mon cœur.
C’est t’aimer comme nul ne peut imaginer,
comme on ne peut le concevoir, juste aimer,
autant et tellement que moi-même je n’aurais pensé.
C’est tomber amoureuse de toi et me dire
que tu es ma vie, que je suis ton seul sourire.
Mar 02 Sep 2014, 13:09 par inlove sur La déclaration d'amour

L'amour c'est...

Qu’est-ce que l’amour?

Aimer est un mélange de l’ego et du don. Donner de l’amour mais pourquoi? Pour le recevoir? Pour assouvir nos besoins propres? Il est dit, dans la de l’amour dans Wikipedia, qu’il existe l’amour égoïste qui est de prendre ainsi que l’amour de Dieu, celui inconditionnel qui lui a pour but de donner. Aimer peut être aussi d’aimer des friandises ainsi que des choses.

Alors nous aimons nos enfants, notre conjoint, notre famille, nos ami(e)s et aussi nous aimons les choses. Les êtres humains ont une grande tendance à l’amour pour s’approprier en retour une compensation. On aime les friandises parce qu’elles nous rapportent une sensation de plaisir... c’est donc un acte d’ego.

L’amour de Dieu lui est altruiste. Il est grand et transforme les gens. D’aimer avec un amour détaché, pourvu d’écoute, d’empathie, de compassion qui s’en résume à l’altruisme est une source de chaleur infinie.

Aussi, il y a une différence entre aimer quelqu’un et aimer ce qu’il fait de sa vie ou ce qu’il fait aux autres. Il est possible d’aimer même ceux et celles qui nous blessent, car dans les faits, nous avons le droit de ne pas aimer ce qu’ils font mais nous avons aussi le droit de les aimer indépendamment de leurs actions. Et aimer inconditionnellement ne veut pas nécessairement dire d’aimer à proximité; il est possible d’aimer de loin...

Ce genre d’amour engendre la possibilité du pardon, ce pardon qui nous libère nous-même. Tous avons nos forces et faiblesses. Souvent, nos actions sont maladroites mais nos intentions elles, sont bonnes. Nous pouvons donc aimer sans aimer les actes des autres... Ce qui s’appelle l’amour inconditionnel.

L’amour, celui du don, s’apprend... Ce n’est pas inné sauf pour ceux et celles qui l’ont reçu étant jeune. Il se doit d’être compris, assimilé pour mieux le donner. Il y a de multiples approches pour aimer sans condition. Il est possible de s’éduquer.

C’est souvent aussi dans la souffrance que l’on apprend à vraiment aimer... Car ceux qui souffrent et qui continuent d’avoir la foi comprennent que seul l’amour importe à la toute fin. Aimer les choses donne du plaisir momentané mais aimer les gens, les proches, les démunis comme les nantis donnent au bout du compte un sentiment qui croisse avec le temps. L’amour est une grande source de bonheur...

Si l’ego aime, c’est pour en retirer quelque chose. Si le cœur par la foi aime, c’est un don de propagande qui allège la vie, qui la rend plus belle. Rien de plus beau et d’apaisant de recevoir un amour inconditionnel... Rien n’est plus beau que l’amour altruiste, rien.

La différence entre la passion et l’amour

La passion est d’ordre de l’ego aussi. Car lorsque nous sommes en amour avec une autre personne et que l’on vit la passion, c’est dans les fait, tomber en amour avec notre état d’être, d’aimer la sensation qui nous habite; car comment vraiment aimer l’autre personne si dans les faits, nous ignorons qui elle est? Nous tombons en amour avec l’illusion que l’on se fait de l’autre lorsque la passion existe dans une relation, rien de plus.

La passion, ceux et celles qui la recherche, fait preuve dans les faits, d’un manque d’amour de soi. Celui qui s’aime vraiment est beaucoup moins propice à tomber dans l’illusion de la passion. Généralement, ceux et celles qui s’aiment vraiment sont ceux et celles qui ont reçu un amour inconditionnel dès les premiers moments de leur vie. Il est possible de vivre l’amour propre même si l’enfance fut dépourvu de l’amour du don. Pour ça, il suffit d’y travailler et de comprendre que de s’aimer soi-même permet de le redonner... Pour ceux qui ont la foi en Dieu, ça l’aide aussi pour l’amour-propre; car Dieu nous aime inconditionnellement et nous pardonne. Pourquoi donc ne pas s’aimer soi-même et se pardonner si lui le fait pour nous?

La passion, nous la recherchons, nous les gens en manque d’amour, surtout en manque d’amour-propre. Mais la passion de dure pas... Car au fil du temps, l’illusion que l’on se fait de l’autre personne et surtout de ce qu’elle peut nous rapporter, se dissipe. On fini par voir chez l’autre les failles et l’illusion tombe; c’est pourquoi, après un certain temps, la passion s’effrite. La passion n’est donc pas de l’amour...

Les couples qui perdurent dans une relation développent souvent l’amour du don aussi. C’est en recherchant le bonheur des deux parties que se développe la complicité, la confiance, le désir de faire plaisir. La flamme de l’amour peut perdurer, à condition d’aimer sans condition aussi.

Voici donc un bref résumé de ce que je pense de l’amour. Je pense l’avoir reçu cet amour inconditionnel dans ma vie; je suis entourée d’amour présentement et il me fortifie. Sans cet amour, ma vie n’aurait pas de sens. Merci à ceux qui m’aiment inconditionnellement; vous êtes ma force et ma joie.
Lun 16 Sep 2013, 00:37 par Peacefulminding sur Articles

Je suis partie, tu ne m'as pas retenu...

    ...Personne ne me retient.
    Jamais.
    Mais toi tu aurais pu.
    Tu aurais dut.
    Tu aurais dut me dire de rester avec toi, car je t’ai accepté. Tu étais, parfait, respectueux, charmant, intimidant, je t’aies cru. Tu m’as trahi. Mais j’ai pardonné. Je regrette de t’avoir rencontré. Tu m’as fait du mal, au point qu’en l’écrivant, je ressente toujours cette intense souffrance. Je n’ai plus confiance en moi, ni en personne. Tu ne vois pas ma souffrance car tu n’es plus là...

    Je n’ose plus te parler, je ne veux plus te parler, tout ce que tu fais c’est me raconter ta vie, tes passions, montrer que tu es plus heureuse que moi. Maintenant que tu as une vie, que tu as un fiancé, je n’existe plus, alors que je t’ai tant aimé. Et toi, tu n’as fait que me briser.

    J’ai parlé, puis pleuré, puis hurlé jusqu’à ce que mon coeur se casse, que ce vide et ce froid l’emplisse. Je n’ai plus jamais aimé après toi. Après 3 ans. Je n’ai plus aimé. Depuis 3 ans, je n’aime plus. La blessure se rouvre, je n’en peux plus... Je suis faible, tu m’as rendu faible. Je n’y arrive plus. Depuis ton mensonge, je ne peux plus y croire. Idéalisation > remise en question.

    Malgré tout, je n’arrive pas à te détester, au contraire. Je te pardonne. Mais je souffre encore. Je souffre car tu m’ignores. J’aimerais pouvoir tout effacer, mais mon passé est toujours là, je m’attarde sur ces choses car elles ont de la valeur, car à cette époque je pensais que tu étais celui que j’attendais. L’ange qui veillait sur moi.

    Mais j’avais tort. Les anges existent-ils ? Suis-je encore capable d’y croire ? Je n’en sais rien, je sais par contre, que tu n’en es pas un. Que sur terre, les anges n’existent pas, car nous sommes humains. Je voudrais un ange, je le voudrais tellement...
    J’en avais un autre, mais lui aussi s’en est allé.
    Et tu ne m’as même pas aidé.
    Quand mon père est parti, tu n’as fait que m’enfoncer. J’avais besoin de toi, j’avais besoin de vous. Mais il n’y avait personne. J’ai lutté. Seule...

    Alors je ne fais plus confiance, pas seulement avec toi.
    Tu n’es pas la seule.
    Les autres aussi.

    Les autres ne me retiennent pas.
    Je m’en vais.
    Je suis triste.
    Pourquoi c’est toujours moi qui pleure ?
    Pourquoi c’est toujours moi qui souffre ?
    Je sais que la vie est injuste.
    Mais le restera t-elle pour moi jusqu’à la fin de mes jours ?
    Pourquoi était-elle juste pour toi ?
    Et pas pour moi ?
    Qu’ais-je fait ?
    Je n’ai rien fait.
    Pour les gens qui ne font rien, la vie est injuste...
    Ou bien c’est ma perception de la vie qui l’est.
    Toi tu dois trouver ça juste. Si tu trouves ça juste, c’est que la justice est propre à chaque personne, je ma de la justice n’est pas la même que la tienne.
    Ce n’est pas la vie qui est injuste.
    Ce n’est pas moi qui suis injuste.
    Ce n’est pas toi qui est injuste.

    C’est ma vision de la justice qui est injuste.

    Mais qu’est-ce que la justice ?

    La bonne fortune ?
    Le destin ?
    Je voudrais être la justice.
    Si j’étais la justice, tu serais seule.
    Si j’étais la justice, je te ferais endurer la même souffrance.
    Car tu savais que je souffrirais en apprennant la vérité.
    Tu avais fini de joué, tu as pris ton pieds et tu m’as enterré.

    Je devrais VRAIMENT te détester.
    Mais je ne ressens plus rien.
    Depuis que mon père est parti, je ne ressens plus rien.
    Je me suis protégé. Je n’ai plus voulu souffrir.
    Je ne ressens ni haine, ni joie, ni une réelle tristesse...
    Je ne sais plus ce qu’est être joyeuse, ni être malheureuse...
    Parce que ma de la justice veut que les autres souffrent autant que je souffre. Parce qu’elle veut que je puisse avoir ce qu’ils ont... Parce qu’elle veut que je sois heureuse plus que tu ne l’aies.

    Mais la roue tourne.

    Un jour, je serais heureuse.
    Et je te cracherais mon bonheur à la figure, te faisant comprendre que tu n’es plus rien pour moi, que tu n’es que le passé et que mon présent est plus important que mon passé.

    Je vis dans le passé.
    Il faut aller de l’avant.
    Mais je ne peux pas.
    Comment faire ?
    Je l’ignore.
Dim 04 Juil 2010, 20:41 par Nothing sur Amour internet

Un sourire ...

En effet, la de chacun de nos sourires dépend du contexte.
Mais comment aimer ? Nos sourires sont toujours interprétés. Dans la détresse, il devient un soutien, une lueur de vie. Dans la joie, il est la symphonie de deux coeurs qui s’estiment, qui vivent l’instant présent. Pourquoi l’Amour doit-il être si exclusif ? Ne peut-on aimer tout simplement ? Sa complexité lui donne sa richesse et crée le malheur des hommes. L’homme simple voit sa vie se transformer en enfer dans l’incertitude de l’opinion de l’autre qu’il ne peut contrôler. C’est notre représentation de l’autre qui "tue" notre amour sincère. L’adulte qui garde un amour simple passe pour un naïf.
Une fois passé dans le monde des êtres pensants, notre amour simple d’enfant se mue en des amours perverties de fins stratèges. Nous créons des sourires pour rattraper d’autres animaux. Pourquoi ne pas sourire pour sourire, pour manisfester notre Amour pour la Vie ? Si nous finissons par partager une même couche, ne serait-ce pas un prolongement de notre Amour pour la Vie ? Cet Amour pour la Vie, nous la trouvons dans les sourires d’enfants. Ils sourient car ils aiment vivre.
Pourquoi ne savons-nous plus sourire et rire entre nous ? L’adulte qui oublie qu’il a été enfant est un être bien triste.
Pourquoi être candide n’est pas une qualité humaine dans un monde où le faux est monnaie courant dans les relations ? Nous savons parler à nos enfants de sincérité mais nous nous conduisons souvent bien plus mal dans notre vie.
Mais qui devrait faire la leçon à qui ?
Jeu 04 Fév 2010, 01:42 par Solina sur Un monde parfait

Quand les mots se perdent...

Il se savait plus comment s’exprimer tant sa douleur était grande. Des mots lui venaient en tête. Pourquoi tous ces mots l’agressaient ? Ils n’arrivaient à les saisir et à les comprendre.

Tendresse
Son corps l’avait expérimenté. La douceur de silhouettes féminines qu’il avait étreint, il s’en souvenait. Mais l’amour ? A travers ses doigts, il n’a jamais senti cette profonde affection filiale. Il avait caressait de multiples corps à la recherche de ce sentiment. Pourquoi ce mot lui semblait froid, distant ?

Solitude
Son âme le comprenait. Mais combien de mots peuvent-ils définir ce sentiment lié à la souffrance, à l’incompréhension et au désarroi ? L’échec d’une le rendait d’autant plus seul.
Qui est seul ? Ce sentiment pouvait-il le partager avec ce mot ? Le partager avec d’autres mots, ne serait-ce pas briser son sens ?

Croire
"Être persuadé qu’une chose est vraie, réelle", du Littré. Qu’impliquent les croyances ? Cette question, il se l’était posée. Lui-même, il croyait. Mais croire en quelle réalité ? Où est la réalité ? Ce mot n’est-il pas vide ? Cette action nécessitait qu’il s’impliquait auprès d’autrui. Il ne voulait pas donner ses mots, sa parole. Qui saurait les apprécier ?
Lun 23 Nov 2009, 03:32 par Solina sur Mille choses

Amour une drogue ou amour passionnel ?!

Bonjour ou bonsoir Loyd,

Si tu le permets je vais répondre paragraphe par paragraphe...

"Je présente ce passage qui exprime toute la dureté que peut être un amour passionnel qui se dérobe à vous, vous plongeant le plus grand chaos et comparant cette situation à juste à titre à celle d’un junkie en manque de sa came ! "

Bon, pour toi, l’amour passionnel c’est ça ? Soit. Pour moi cette c’est celle de l’amour fusionnel ; ce type d’amour qui fait qu’on a vis-à-vis de l’autre une relation de dépendance au même titre que le junky si tu veux ou que l’enfant vis-à-vis du parent. Il conviendrait de savoir ce que tu mets exactement comme signification derrière ce concept.

"Tu me dis que la souffrance c’est
- une situation de déséquilibre
- une uni latéralité dans les attentes
- une frustration
Ce sont là tout des symptômes d’un manque donc en adéquation avec la comparaison de la drogue. Mais plus important, c’est le côté chute désespérante de l’être meurtri dans un tourbillon négatif empirant sa propre situation malgré lui. "

Bon. Une relation humaine, amicale ou amoureuse se fait dans l’échange et l’équilibre. Si l’un tend vers l’autre mais que l’autre ne tend pas vers l’un et bien, fatalement, le premier se casse la figure... Il se retrouve à tendre vers... du vide. C’est sûr que c’est frustrant. Après, si l’individu a des attentes vis-à-vis de l’autre malgré tout il va forcément y avoir souffrance. Si il a besoin de l’autre comme tu le dis contre toute logique, envers et contre tout on tombe dans le fantasme et le fantasme nuisible : puisque jamais la réalité ne lui permettra de réaliser ce fantasme. La névrose n’est pas loin... Si tu as le désir de l’autre c’est autre chose et si ce désir est réciproque alors l’amour est vécu avec plus ou moins d’intensité en fonction du sentiment mais cela génére du bien-être. La souffrance n’est pas - attention - l’apanage de l’amour c’est celle de l’unilatéralité dans les attentes ou dans le sentiment.

"Tu n’apprécies pas ce texte où ton interprétation personnelle n’y voit pas la force et la décadence que j’y perçois. Pas de problème, chacun ses goûts! "

Je vois bien la décadence et c’est bien pour cela que je n’apprécie pas... L’amour peut aussi élever... J’aime davantage...

"Pour le danger, là je ne vois pas du tout... "

"Par contre, tu parles de "Attention à ces théories qui présentent l’amour humain comme un amour inférieur à celui qui unie l’humain à une quelconque divinité... C’est facile, là on est à fond dans le virtuel, le fantasme, la sublimation du désir, mais pour l’amour incarné, à deux, la Vie, on repassera... "...
J’avoue que j’ai pas suivi et serait intéressé par quelques explications sur ces idées... "

Ce type de texte me fait penser à toute la littérature émanant d’un courant de pensée catholique. Où l’on montre l’amour humain comme une relation de dépendance et non comme quelque chose qui peut faire du bien un sentiment qui au contraire libère... Et oui !! Voilà pourquoi j’ai écrit que je trouve cela dangereux pour faire bref...

Bonne soirée, journée.

Dolce
Sam 17 Oct 2009, 16:36 par dolce vita sur La vie à deux

Souffrance...

La vengeance est une bassesse par
et vise à salir l’autre,
même si c’est l’être le plus cher au monde.

Alice Parizeau
Extrait de " Fuir "


Vengeance...
Souffrance pour celle
Qui la subit...


Marie
Jeu 12 Juil 2007, 12:50 par Satine sur Mille choses

J'aurais voulu que tu sois comme un " frère "...

On s’est rencontrés, on avait tout juste dix huit ans
On était jeunes, trop jeunes sans doute.
On a grandi ensemble comme un frère et une soeur.
Il y avait tellement de ressemblances dans notre histoire...
Nos parents n’ont pas su nous aimer
Tous deux, nous étions des " écorchés vifs ".
Ensemble, on a passé des soirées et des nuits
A vouloir refaire le monde.
Mais on a vite compris
Que le monde tournerait sans nous
Et que nos idéaux resteraient vains.
On s’est aimé comme des fous...
Tu as été mon mentor
Mon " Dieu " en qui j’ai eu la foi,
Tu as été mon tout, mon toit
Je me suis tant réfugiée contre toi
Pour trouver de l’apaisement à mes détresses
Je ne pouvais vivre sans toi
Ma propre existence ne m’ayant jamais intéressé.
On a continué à " grandir ".
Tu es devenu homme et moi femme, certes
Mais mon âme d’enfant est resté si présente en moi
Que je suis, par une femme-enfant.
On a apppris à se découvrir.
La vie a passé...
On a fait un bébé, puis un deuxième et un troisième.
C’est de toi que j’ai voulu nos trois enfants.
Au cours de notre vie
Peines et joies se sont entremêlées
On a continué à " mûrir " dans notre vie d’adulte
Toi toujours plus vite que moi.
On a évolué...
Le temps des incompréhensions est venu
J’ai fini par souffrir de tes colères
Qui devenaient parfois violentes
Et qui ont fini par me faire peur.
Mes " silences " que tu as pris pour des mensonges
Tu ne les a pas supportés.
La mélancolie qui m’habite
a fini par t’être " pesante ".
On a fini par ne plus " se comprendre "
Alors un matin j’ai voulu que cela cesse.
J’ai pris une décison qui t’a " blessé.
Je porte " sur mes épaules " la responsabilité de notre séparation
Puisque cela a été mon choix.
Sur le chemin de ma vie
J’ai rencontré un homme
Auquel je me suis attachée.
J’ai " tu " cette relation.
Non pas que je voulais te mentir
Mais te connaissant d’un tempérament jaloux
J’ai voulu la vivre et lui donner une existence...
Un jour tu m’as dit avoir rencontré une femme
Avec laquelle tu as vécu quelques mois
Tu m’as dit l’avoir fait
Pensant me " rendre " jalouse "
En vain...
La vie a continué...
En octobre, ma vie a basculé.
Tu t’es mêlé de ma vie sentimentale.
Tu pensais que cela allait mettre fin à cette relation...
Et que tu allais me " retrouver ".
En vain...
Je pensais être forte et
Ma fragilité est revenue.
Depuis j’ai sombré dans le désespoir.
Pourquoi , je ne sais pas...
Tu sais que je suis de
Ces femmes que l’on n’oublie pas.
J’ai tant à donner... et sans doute
pour cela que je " peux venir à manquer ".

T’aurais pu être comme un frère
A qui on dit tout
Puisque à un frère
On n’a pas de raison de mentir
Alors j’aurai parlé...
Avec honnêteté
Mais je ne veux pas
Qu’elle se " retourne " contre moi.
Je suis si mal...
La vie est un combat
Pour tout à chacun
Mais chaque jour, je perds un peu de ces forces...
Qui font que l’on " reprend le dessus ".

T’aurais pu être comme un frère
Dont les liens sont inneffaçables
Puisque que tu aurais été un " frère de sang "...


Marie
Mer 06 Juin 2007, 13:28 par Satine sur Histoires d'amour

Et si on parlait d'amour...

On dit souvent de l’Amour, que c’est merveilleux, fabuleux, extraordinaire...
On se trouve alors dans un état de plénitude, d’épanouissement de son Etre.
Que nenni..
Dit-on tout de l’Amour ?
Parle t-on de la contradiction du sentiment amoureux ?
Non.
Amour, haine
On oublie d’en parler
De cette duallité
Et pourtant cela fait partie
De la composante du sentiment amoureux.
L’Amour a ce quelque chose d’énigmatique
Car le mot partage y prend toute sa valeur.
Soi, l’Autre
Deux Etres qui ne font plus qu’Un...
Et si on était tout simplement dans l’erreur dans cette .
Deux personnes, en fin de compte,
Au risque de vous choquer
Ce sont trois individus
Qui se conjugeraient de cette façon.
Je, Tu, Nous...
A cette lecture, vous allez vous poser la question
Mais où veut-elle en venir ?
La rencontre amoureuse est sublime,
Elle est accompagnée d’émotions
Qui embellit notre vie.
Mais quand on aime, je parle d’un amour pur
On prête attention au regard de l’Autre,
Miroir dans lequel se reflète notre image.
Alors on veut plaire à tout prix
Prêt à tout pour ne pas perdre
L’amour de l’Autre
Au risque de se perdre Soi.
C’est l’erreur que font beaucoup d’entre nous.
Il y aurait donc, dès la rencontre
Malentendu.
On oublie le Je, le Tu
A laquelle on ne donne pas existence
On fusionne avec le Nous
Mais pour combien de temps...
Dès que l’on déplaît, la souffrance apparaît
Blessé par l’Autre.
On n’évoque jamais le mot " souffrance "
Quand on parle d’Amour,
Comme si cette douleur n’existait pas.
Chagrins, peines, tristesses
Ne font donc partie du vocabulaire amoureux.
Il faut cesser d’avoir la naîveté de croire
Que l’Amour, ce n’est que du bonheur...


Marie
Jeu 17 Mai 2007, 15:46 par Satine sur Parler d'amour

Muse...

D’après la du dictionnaire de l’académie française,
muse signifie , je cite " se dit de la Personne ou du sentiment qui inspire un poète ".
Je soulignerais humblement que sur le chemin de ma vie, je n’ai rencontré point de poète...
J’avais envie d’employer le mot " muse " comme une métaphore.
Oui, j’aurais aimé être une muse.
J’aurais voulu être celle auprès de laquelle
un poète, un peintre, un musicien, un sculpteur trouve son inspiration...
Vous allez penser à la lecture de ce texte,
Quelle prétention de vouloir être la muse de quelqu’un ?
Je vous comprends...

Dans la du mot " muse " apparaît le mot " sentiment ".
L’amour fait partie de ce que l’on appelle " les sentiments ".
Il ya différentes façons d’aimer ou d’être aimée.
Alors, oui, j’avoue...
J’aurais voulu être une source d’inspiration
pour vivre cette complicité particulière
qui existe entre sa muse et celui qui exprime son art,
afin qu’à travers les mots, les tableaux, les notes, les sculptures
il reste une trace de Moi pour l’éternité.

J’aurais tant voulu être aimée comme une muse, une petite muse, une toute petite muse...

Ce n’est pas par vanité que j’écris cela.
C’est pour me persuader que
Oui, j’ai existé...


Marie
Lun 14 Mai 2007, 11:38 par Satine sur Parler d'amour

Si les transats pouvaient parler...

Ils se sont assoupis,
Ces deux corps émerveillés
Ces deux âmes sans pensées,
Dans une muette harmonie
Tacite symphonie
Qui savourent le silence
De l’univers immense

Une douce brise caresse leur visage
Effleure leur peau veloutée
Bercés par le doux ramage
Des oisillons de juillet

Une main moite sur un accoudoir
Sensations gravées dans la mémoire
Les yeux posés dans leur orbite
ou observant les étoiles au zénith

Un moment pour deux âmes soeurs
Une simple du bonheur.
Lun 19 Fév 2007, 13:21 par Cidroline sur Histoires d'amour

Perdre son âme

Qu’est ce que l’âme ?

Selon , la du dictionnaire :
"Principe spirituel qui, joint au corps, constitue l’homme vivant tel qu’il est conçu dans divers systèmes philosophiques et religieux. "

Définition et existence de l’âme :

Le mot "âme" avait chez les philosophes de l’Antiquité un sens très général : il désignait tout principe de vie et de mouvement, si bien qu’on pouvait distinguer dans l’être une pluralité d’âmes ; Platon en comptait trois, Aristote cinq : les âmes nutritive, sensitive, motrice, appétitive et rationnelle. Chez les modernes, le mot âme a une signification beaucoup plus précise, désignant ce qui dans l’homme est «un» et le principe de son être, le moi permanent. L’existence d’une âme transcendante au corps est affirmée par les doctrines spiritualistes. Dans la doctrine catholique par exemple: «L’âme est immédiatement unie au corps et principe de toute vie et de tout mouvement dans le corps» (XVe concile de Vienne, 1312). Les doctrines matérialistes considèrent au contraire que les phénomènes psychologiques sont étroitement liés à leur substrat physiologique, d’une part, aux réalités sociales, d’autre part, et qu’ils dépendent largement de ceux-ci. Les unes acceptent, les autres nient la dualité de substance.

Quelques soient les doctrines philosophiques, une âme ne se perd pas... Car elle est principe de toute vie... Donc de tout Etre...
Lun 05 Juin 2006, 11:44 par Satine sur Mille choses

Savoir aimer

A chacun sa ...
Mer 24 Mai 2006, 16:57 par Satine sur Citations

La délicatesse en amour.

Ce don, car c’est un don et que nul, par même, ne peut acquérir, on l’a reçu du ciel, c’est-à-dire de la nature, et on s’en sert, soit comme d’un talisman pour se faire aimer, soit comme d’une herbe maudite, pour se faire souffrir. Laissons ceux qui exploitent pour leur égoïsme cette divine vertu : le profit qu’ils en tirent annule leur mérite. Ils donnent beaucoup, c’est vrai, mais pour recevoir; ils ne sont pas des usuriers, ils sont d’honnêtes banquiers qui, prêtant à un intérêt loyal, s’assurent ainsi de solides affaires.

L’amour est soumis aux lois communes. Donner sans recevoir, c’est s’appauvrir, c’est se vouer à la ruine. A mesure que l’on fait d’une main l’aumône de soi-même, il faut, de l’autre, recevoir en aumône la monnaie d’un cœur. Pourtant, il y a un art suprême : c’est quand on donne volontairement plus qu’on ne reçoit; ou, du moins, quand on a la volonté de donner davantage; c’est quand on s’oublie soi-même pour veiller au plaisir de l’être que l’on adore; c’est aussi, et surtout, quand cet effort est commun aux deux parties : mais alors, quelle récompense! Le dévouement à l’amour se trouve payé à un si haut prix que la vie entière, pendant quelques instants divins, semble peu de chose auprès de ces instants mêmes.

Tout cela n’est pas encore la vraie délicatesse en amour. Pour qu’elle soit vraie, il faut qu’elle se dissimule, qu’elle s’avance, voilée et discrète, presque timide, inquiète, s’offrant, non comme une maîtresse, mais comme une esclave qui sait sa valeur et celle de son cœur.

L’amour est physique; cependant, que vaut, tout seul, l’amour physique? Beaucoup. Mais l’autre amour, la tendresse, lui donne une valeur de rayonnement cent et mille fois plus grande. L’amour de délicatesse, celui qui est prêt même au sacrifice, devient, s’il peut se satisfaire, une source de volupté telle que la tête en tourne. Ces amants disaient : Nous sommes ivres! Ivresse réelle, mais différente de l’autre; car l’une incline à l’inconscience, et l’autre, au contraire, exalte jusqu’à l’enchantement la joie de vivre, la joie d’avoir sacrifié ses forces pour l’affirmation de la vie et la conquête de la volupté.

La délicatesse jouit de l’amour et se chauffe au plaisir; elle veut le plaisir, mais elle ne le veut pas séparé du plaisir de l’être qu’elle regarde et qu’elle aime. Recevoir est délicieux pour elle; donner est divin. Il lui faut un miroir : elle contemple des yeux qui deviennent doux comme des yeux de petit enfant, tout ce corps qui fuit comme celui de cette petite fille endormie que sa mère porte au berceau; elle sent à ses mains les frissons de ce corps chantant dont chaque nerf est la corde d’un violon; elle se fond dans l’amollissement final où il semble que la chair n’est plus qu’un fruit doux et mûr que des abeilles visitent et caressent.

La délicatesse veut tout cela, parce que tout cela est bon pour l’être qu’elle aime; elle n’en voudrait pas, si elle était seule à recevoir. Mais peut-être serait-elle fâchée, si elle était seule à donner. Elle veut communier. Il est des moments, pourtant, où elle se résigne à accepter un plaisir plus grand que celui qu’elle dispense : et c’est la plus belle de ses attitudes. Cela arrive quand l’amour de chacun lutte de délicatesse. Alors il faut savoir se laisser vaincre, il faut savoir se faire esclave d’un esclave et accepter d’un cœur humble la volupté qui n’est partagée que par le plaisir de pouvoir la donner. Cette attitude dispose à rendre la pareille, sans honte, et l’être aimé la recevra de même. Ainsi la délicatesse imagine la communion alternative et trouve encore un moyen de s’y déployer tout entière. Ces vues sont transportables selon toutes les variétés de l’amour et le mysticisme, qui y trouverait une explication, aurait pu les dicter.[...]

Remy de Gourmont
Lun 13 Fév 2006, 13:13 par PetitPrince sur Citations

Deux ans après...

Petit bout,

Demain tu souffleras ta deuxième bougie, deux ans déjà que tu enchantes ma vie, tous les jours, un peu plus. Moi, j’ai trente et un an, un âge clé à mes yeux! Plus vraiment une "petite jeune", pas non plus une "has been", mais c’est là, où tu commences à bien te connaître. Tu ne sais pas encore forcément tout ce que tu veux, mais tu ne sais que trop bien ce que tu ne veux plus!

je ressens aujourd’hui le besoin de me "présenter" à toi. Quand tu seras en âge de me lire, tu seras sans doute étonnée du terme choisi et pourtant, je n’en trouve pas d’autre plus adéquat. En effet, bien que je sois ta maman et que le lien qui nous unit soit immuable, il n’est pas un gage de connaissance. Combien de mères restent un mystère pour leur enfant? J’ai eu la chance d’en avoir eu une exceptionnelle. Je constate, tous les jours, à quel point son éducation me sert. Maman m’a vraiment armée pour tout! Je peux affirmer aujourd’hui, que, quoiqu’il arrive de difficile ou douloureux, je resterai debout. Parce qu’elle m’a construite avec le ciment de l’amour, de la confiance et de la communication. Parce qu’elle m’a acceptée différente d’elle. Parce qu’elle a aussi voulu apprendre de moi. Je lui dois tout ce que je suis.

Je voudrais te transmettre ce merveilleux cadeau qu’est l’accomplissement de la personnalité. Bien que je m’appliquerai toujours à te respecter, je tiens à m’excuser d’avance pour toutes les erreurs que je ne manquerai pas de commettre...par trop d’amour.

Je te raconterai des moments de ma vie, ce qu’on appelle pompeusement "l’expérience". Tu en feras ce que tu voudras mais secrètement, j’espère qu’ils te donneront un début de réponse quand tu te poseras des questions. J’ai envie que tu saches ce qui m’a rendue heureuse ou blessée, ce qu’est ma du bonheur, ce que je pense de l’amour (Bien que je puisse déjà t’affirmer qu’il fait tourner le monde).
Bref, te livrer ma vérité pour que tu puisses créer la tienne.

Je suis ton commencement et une partie de ton histoire...
Comme je voudrais que ce soit une certitude de ton bonheur futur.


Syolann
Mer 18 Août 2004, 00:48 par syolann sur L'amour en vrac
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Ecrire sur définition

Ecrire sur définition Passion, L'amour c'est..., Je suis partie, tu ne m'as pas retenu..., Un sourire ..., Quand les mots se perdent..., Amour une drogue ou amour passionnel ?!, Souffrance..., J'aurais voulu que tu sois comme un " frère "..., Et si on parlait d'amour..., Muse..., Si les transats pouvaient parler..., Perdre son âme, Savoir aimer, La délicatesse en amour., Deux ans après...,
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La citation d'amour

L'amour est un ennemi que l'on ne peut vaincre corps à corps, mais par la fuite.

Cervantès.

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