Et je montre du nez dans la rue
Le cri des corps qui s’offrent sans honte.
Les filles s’effeuillent, la seve monte,
Et les chairs mordent l’attente vaincue.
Ecrit le
Sam 02 Avril 2005, 15:33
par PetitPrince,
0 commentaire
Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres