Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur 8217
Balade des mains
Quand tes mains
Deviennent du venin
Je ne m’abrite pas de ce crachin
Tu te fais plus douce que la mie de pain
Quand tes mains
M’abandonnent je suis orphelin
Il y a toujours une suite à ses joutes des mains
Par des baisers bien plus malins
Quand tes mains
Frauduleuses traversent le périmètre divin
Je sens ce satin
Qui recouvre mon corps sans fin
Quand tes mains
Sont plus agiles qu8217;un félin
Elles sortent de leur écrin
Elles me rappellent un souvenir lointain
Quand tes mains
Coulent comme de l8217;étain
Je sens la douceur du vin
Aussi doux que ce raisin
Quand tes mains
Dans un futur prochain
M8217;ouvriront les portes de tes reins
Je dirais oui pour un câlin.
zorgx
Deviennent du venin
Je ne m’abrite pas de ce crachin
Tu te fais plus douce que la mie de pain
Quand tes mains
M’abandonnent je suis orphelin
Il y a toujours une suite à ses joutes des mains
Par des baisers bien plus malins
Quand tes mains
Frauduleuses traversent le périmètre divin
Je sens ce satin
Qui recouvre mon corps sans fin
Quand tes mains
Sont plus agiles qu8217;un félin
Elles sortent de leur écrin
Elles me rappellent un souvenir lointain
Quand tes mains
Coulent comme de l8217;étain
Je sens la douceur du vin
Aussi doux que ce raisin
Quand tes mains
Dans un futur prochain
M8217;ouvriront les portes de tes reins
Je dirais oui pour un câlin.
zorgx

Lun 31 Jan 2005, 01:09 par
zorgx sur L'amour en vrac
Le jardin de l'innocence
J8217;ai perdu tous mes sens
J8217;ai retrouvé tous les parfums
En me promenant dans le jardin de l8217;innocence
Pour de somptueux lendemains
J8217;ai même pris peur
J8217;ai vu de nombreux regards
En retrouvant toutes ces saveurs
Ce n8217;est pas le fruit du hasard
J8217;ai ressenti comme une magie
Tu es le dernier soleil que j8217;ai croisé
Quand j8217;ai dit oui à la vie
Prés de toi je me suis allongé
J8217;ai surfé sur une immense vague
Heureusement j8217;ai gardé l8217;équilibre
Parfois dans mes rêves je divague
Mais au moins je suis libre
Dans le jardin de l8217;innocence
Sous une pluie incessante
J8217;ai revu toute mon enfance
Cette découverte me hante
Des questions inondent ma tête
Dehors tout est parfumé
Que l8217;on ouvre cette fenêtre
Je prends le temps de tout apprécier
J8217;ai encore l8217;âme d8217;un enfant
Avec le soleil et le miel
Alors soyez un peu indulgent
J8217;apprécie mieux ces merveilles
J8217;ai besoin d8217;autres plaisirs
Puisque tu m8217;accompagnes
Je ne cherche pas à m8217;enfuir
Nous visiterons la campagne.
zorgx
J8217;ai retrouvé tous les parfums
En me promenant dans le jardin de l8217;innocence
Pour de somptueux lendemains
J8217;ai même pris peur
J8217;ai vu de nombreux regards
En retrouvant toutes ces saveurs
Ce n8217;est pas le fruit du hasard
J8217;ai ressenti comme une magie
Tu es le dernier soleil que j8217;ai croisé
Quand j8217;ai dit oui à la vie
Prés de toi je me suis allongé
J8217;ai surfé sur une immense vague
Heureusement j8217;ai gardé l8217;équilibre
Parfois dans mes rêves je divague
Mais au moins je suis libre
Dans le jardin de l8217;innocence
Sous une pluie incessante
J8217;ai revu toute mon enfance
Cette découverte me hante
Des questions inondent ma tête
Dehors tout est parfumé
Que l8217;on ouvre cette fenêtre
Je prends le temps de tout apprécier
J8217;ai encore l8217;âme d8217;un enfant
Avec le soleil et le miel
Alors soyez un peu indulgent
J8217;apprécie mieux ces merveilles
J8217;ai besoin d8217;autres plaisirs
Puisque tu m8217;accompagnes
Je ne cherche pas à m8217;enfuir
Nous visiterons la campagne.
zorgx

Sam 29 Jan 2005, 16:17 par
zorgx sur L'amour en vrac
Mois contre moi
Jamais je n8217;aurais pensé en arriver là
Aimer quelqu8217;un de qui j8217;éloigne mes pas.
Nier les évidences et fuir les apparences
Voilà pourquoi ma vie frôle l8217;indécence
Il faudra bien que ces sentiments je consume
Et que mes faiblesses intérieures j8217;assume
Rancune, aigreur et jalousie font mon amertume
Fut-il dur à supporter, le temps passe
Et toujours ces sentiments qui me dépassent
Vrai pourtant qu8217;il faut qu8217;ils trépassent
Remède ou poison rien ne semble efficace
Ignorer les appels de mon cœur de glace
Et toutes ces lignes de ma vie que j8217;efface
Retour retard des souffrances en pleine face
Moi qui voulait tout maîtriser par le raisonnement
Avachi là, perdu dans l8217;avalanche des sentiments
Résigné face à l8217;amour et son acharnement
Sourire à la vie serait tellement plus évident
Vide mes poches de regrets d8217;hiver et cours avec moi vers demain
Arrive une nouvelle saison, aimer d8217;une autre façon ?
Vincent saura-t-il enfin faire éclore sa raison
Refroidie par les frimas d8217;un hiver sans passion ?
Il veut retrouver l8217;émoi de chairs en fusion
Laissons le combattre ses éternelles obsessions.
Mai est là, mes sentiments je n8217;ai pu étouffé
Ainsi va ma vie , de désir en manque
Immense…à ne plus voir le fond de ma raison
J8217;attends toujours le déclic qui me ferait avancer
Un sourire te suffirait pour me désarmer
Il est loin le temps où je faisais le désintéressé
Nuit la plus courte à rêver ta chaleur mouillée
Prends ma bouche d8217;un baiser de printemps et chasse les démons qui envahissent mon esprit
Je veux du soleil au cœur et à l8217;âme
Un petit rayon pour rallumer la flamme
Illusion de chaleur dans une vie sans cœur
Laissons les étoiles rapprocher leurs lueurs
La morale pourra dire que c8217;est une erreur
Et alors ? l8217;amour n8217;accepte pas de blâmes
Toute envie n8217;a de maître que celui qui réclame
A quand les coups d8217;amour, brûleurs de peau
Ou devrais-je me contenter de me glacer les os ?
Utopie, quand j8217;aime, est le premier de mes mots
Tout bonheur je m8217;interdis, trop beau, trop chaud
Soirée de fin d8217;été à réviser mes pensées
Et si demain tout ça venait à s8217;arrêter ?
Peut-il d8217;ailleurs en être autrement
Tout ici n8217;est à la vie qu8217;un pansement
Et quand ce petit monde viendra à s8217;écrouler
Mes jours ne trouveront plus le refuge secret
Bien sur comme d8217;autres fois, je survivrai
Restera la saveur douce-amère d8217;un baiser percé
Et les moments partagés figés dans l8217;éternité
Hors de moi, hors de l8217;amour, hors saison, le temps ne me sera pas rendu
Oublier les nuages et le ciel au regard malsain
Continuer à écrire ensemble une histoire sans fin
Tels devraient les idéaux des combattants du destin
Observer les émotions sans imaginer leur déclin.
Bien mal m8217;a pris d8217;avoir attrapé le béguin,
Refoulé mes angoisses et joué au maître libertin,
En sachant que mes sentiments resteraient souverains.
Nos liens se renforcent dans ce diffus virtuel
Osmose, agrafe sentimentale et désir charnel
Virevoltent dans nos têtes les rires et les mots
Ensemble nous partageons tout, de bas en hauts
Malaise quand nos fiels amènent les sanglots
Bien être et tendresse, échanges les plus beaux
Réfugiés derrière l8217;écran, nous vivons le passionnel
Enroulé autour de mon être, ton charme est réel
Déjà la fin de l8217;année et toujours rien de changé
Exorcisme et magie noire n8217;ont pas fonctionné
Contre des ressentis en moi ancrés et cimentés
Espérer pour libération l8217;asphyxie de l8217;âme damné
Mois contre moi, mes rêves dont je ne suis plus sur
Braver les frustrations, vivre dans l8217;intense et le pur
Rentrer dans la carapace dans les moments plus durs
Et entendre ton rire qui lézarde les murs…
Les rêves sont comme les anges. Ils ont besoin d8217;ailes pour s8217;envoler. J8217;ai besoin d8217;elle pour m8217;enivrer.
Aimer quelqu8217;un de qui j8217;éloigne mes pas.
Nier les évidences et fuir les apparences
Voilà pourquoi ma vie frôle l8217;indécence
Il faudra bien que ces sentiments je consume
Et que mes faiblesses intérieures j8217;assume
Rancune, aigreur et jalousie font mon amertume
Fut-il dur à supporter, le temps passe
Et toujours ces sentiments qui me dépassent
Vrai pourtant qu8217;il faut qu8217;ils trépassent
Remède ou poison rien ne semble efficace
Ignorer les appels de mon cœur de glace
Et toutes ces lignes de ma vie que j8217;efface
Retour retard des souffrances en pleine face
Moi qui voulait tout maîtriser par le raisonnement
Avachi là, perdu dans l8217;avalanche des sentiments
Résigné face à l8217;amour et son acharnement
Sourire à la vie serait tellement plus évident
Vide mes poches de regrets d8217;hiver et cours avec moi vers demain
Arrive une nouvelle saison, aimer d8217;une autre façon ?
Vincent saura-t-il enfin faire éclore sa raison
Refroidie par les frimas d8217;un hiver sans passion ?
Il veut retrouver l8217;émoi de chairs en fusion
Laissons le combattre ses éternelles obsessions.
Mai est là, mes sentiments je n8217;ai pu étouffé
Ainsi va ma vie , de désir en manque
Immense…à ne plus voir le fond de ma raison
J8217;attends toujours le déclic qui me ferait avancer
Un sourire te suffirait pour me désarmer
Il est loin le temps où je faisais le désintéressé
Nuit la plus courte à rêver ta chaleur mouillée
Prends ma bouche d8217;un baiser de printemps et chasse les démons qui envahissent mon esprit
Je veux du soleil au cœur et à l8217;âme
Un petit rayon pour rallumer la flamme
Illusion de chaleur dans une vie sans cœur
Laissons les étoiles rapprocher leurs lueurs
La morale pourra dire que c8217;est une erreur
Et alors ? l8217;amour n8217;accepte pas de blâmes
Toute envie n8217;a de maître que celui qui réclame
A quand les coups d8217;amour, brûleurs de peau
Ou devrais-je me contenter de me glacer les os ?
Utopie, quand j8217;aime, est le premier de mes mots
Tout bonheur je m8217;interdis, trop beau, trop chaud
Soirée de fin d8217;été à réviser mes pensées
Et si demain tout ça venait à s8217;arrêter ?
Peut-il d8217;ailleurs en être autrement
Tout ici n8217;est à la vie qu8217;un pansement
Et quand ce petit monde viendra à s8217;écrouler
Mes jours ne trouveront plus le refuge secret
Bien sur comme d8217;autres fois, je survivrai
Restera la saveur douce-amère d8217;un baiser percé
Et les moments partagés figés dans l8217;éternité
Hors de moi, hors de l8217;amour, hors saison, le temps ne me sera pas rendu
Oublier les nuages et le ciel au regard malsain
Continuer à écrire ensemble une histoire sans fin
Tels devraient les idéaux des combattants du destin
Observer les émotions sans imaginer leur déclin.
Bien mal m8217;a pris d8217;avoir attrapé le béguin,
Refoulé mes angoisses et joué au maître libertin,
En sachant que mes sentiments resteraient souverains.
Nos liens se renforcent dans ce diffus virtuel
Osmose, agrafe sentimentale et désir charnel
Virevoltent dans nos têtes les rires et les mots
Ensemble nous partageons tout, de bas en hauts
Malaise quand nos fiels amènent les sanglots
Bien être et tendresse, échanges les plus beaux
Réfugiés derrière l8217;écran, nous vivons le passionnel
Enroulé autour de mon être, ton charme est réel
Déjà la fin de l8217;année et toujours rien de changé
Exorcisme et magie noire n8217;ont pas fonctionné
Contre des ressentis en moi ancrés et cimentés
Espérer pour libération l8217;asphyxie de l8217;âme damné
Mois contre moi, mes rêves dont je ne suis plus sur
Braver les frustrations, vivre dans l8217;intense et le pur
Rentrer dans la carapace dans les moments plus durs
Et entendre ton rire qui lézarde les murs…
Les rêves sont comme les anges. Ils ont besoin d8217;ailes pour s8217;envoler. J8217;ai besoin d8217;elle pour m8217;enivrer.
Mer 14 Juil 2004, 17:42 par
la_tulipe_noire sur Amour internet
un 14 juillet à Paris (3)
Passage devant le Panthéon. Court arrêt. Quelle est la dernière personne introduite en ce haut lieu ? Bof …passons.
Le jardin du Luxembourg. Un peu de temps devant nous, une chaleur qui s8217;affirme et les jambes un peu lourdes nous conseillent de profiter de la beauté de l8217;endroit et de ses recoins ombragés. Une fanfare joue sous le kiosque, devant une foule attentive. Quatre chaises libres et nous nous posons là, sous la protection de platanes bienfaiteurs. Quelques instants de répit après une matinée de marche. Douce somnolence musicale. Mes yeux se ferment, mes pensées s8217;envolent. Je nous imagine ici-même, mon rêve t8217;ayant déposé sur mes genoux. Mes bras encerclent ta taille, les tiens s8217;enroulent autour de mon cou. Tu as laissé reposé ta tête sur mon épaule. Nous profitons nonchalamment des notes mélodieuses qui se perdent dans l8217;air.
Réveil …il est temps de reprendre notre chemin. Nous flânons à travers le Jardin. Sous ce soleil lumineux, l8217;herbe apparaît plus verte que jamais. Les gens semblent plus heureux les uns que les autres. Des amoureux enlacés, des vieux couples attendrissants, des enfants qui s8217;essoufflent dans de folles chevauchés. Les silences succèdent aux éclats de rire qui s8217;envolent avec les pigeons. Contrefaçon de paradis. Nous nous sommes d8217;ailleurs arrêté de nouveau pour nous imprégner de cette atmosphère apaisante.
Accoudés à cette rambarde en pierre blanche qui surplombe les parties les plus basses du jardin, nous avalons la douceur ambiante, nous respirons la joie de vivre éparpillée dans chaque recoin. Tu joues avec tes lunettes de soleil. Tu nous dit qu8217;elle t8217;ont coûté assez cher, que ce sont les mêmes que celles portées par je ne sais qui , sans doute très célèbre. Tu les replaces sur ton nez et prends cette expression mutine qui m8217;anéantit. Une vraie star, ma star. Je t8217;aimais aussi comme ça.
Passage au milieu des terrains de boules et nous quittons les lieux, non sans avoir jeté un œil au Palais.
Nous approchons maintenant de notre but mais, Chronos, généreux en ce dimanche, nous accorde le droit de prendre un verre dans un café proche de la gare. Le soleil, toujours, inonde la terrasse. Je me suis assis en face de toi. Je profite des derniers instants, je n8217;ai pas envie de te quitter. Je voudrais tes yeux en carte postale souvenir de ces dernières heures. Tu as commandé un Perrier menthe mais des particules étrangères s8217;ébrouent au milieu des bulles. Nous en profitons pour te taquiner gentiment. Dans un sourire gêné tu demandes au serveur de te le changer. Je t8217;observe du coin de l8217;œil …ce sourire ! je t8217;aimais aussi comme ça.
Nous voici enfin à la gare Montparnasse. Calme comme un dimanche d8217;été en fin d8217;après-midi. Je ne l8217;avais jamais connu aussi peu fréquentée. Elle me semble déserte. Les voyageurs qui déambulent m8217;apparaissent comme des spectres. Usé par cette journée, magnifique et horrible à la fois, un voile blanc affaiblit ma vue. J8217;ai les yeux embués de tristesse. Montée vers les quais Grandes Lignes. Je rêve à un adieu de cinéma. Film en noir et blanc, baiser langoureux et séparation déchirante. Un « je t8217;aime » dans un soupir de départ. Je n8217;aurais que deux bises sur la joue que je recevrais comme une paire de claques, un « au-revoir-à-bientôt » comme une lame plantée dans l8217;estomac.
Je monte dans le train, départ pour l8217;amertume…
Ce 14 juillet un extrémiste de la politique a voulu tuer le président. Il l8217;a raté. Il est en prison.
Ce 14 juillet un extrémiste de l8217;amour a voulu tuer ses souffrances. Il s8217;est raté. Son cœur est en prison.
Le jardin du Luxembourg. Un peu de temps devant nous, une chaleur qui s8217;affirme et les jambes un peu lourdes nous conseillent de profiter de la beauté de l8217;endroit et de ses recoins ombragés. Une fanfare joue sous le kiosque, devant une foule attentive. Quatre chaises libres et nous nous posons là, sous la protection de platanes bienfaiteurs. Quelques instants de répit après une matinée de marche. Douce somnolence musicale. Mes yeux se ferment, mes pensées s8217;envolent. Je nous imagine ici-même, mon rêve t8217;ayant déposé sur mes genoux. Mes bras encerclent ta taille, les tiens s8217;enroulent autour de mon cou. Tu as laissé reposé ta tête sur mon épaule. Nous profitons nonchalamment des notes mélodieuses qui se perdent dans l8217;air.
Réveil …il est temps de reprendre notre chemin. Nous flânons à travers le Jardin. Sous ce soleil lumineux, l8217;herbe apparaît plus verte que jamais. Les gens semblent plus heureux les uns que les autres. Des amoureux enlacés, des vieux couples attendrissants, des enfants qui s8217;essoufflent dans de folles chevauchés. Les silences succèdent aux éclats de rire qui s8217;envolent avec les pigeons. Contrefaçon de paradis. Nous nous sommes d8217;ailleurs arrêté de nouveau pour nous imprégner de cette atmosphère apaisante.
Accoudés à cette rambarde en pierre blanche qui surplombe les parties les plus basses du jardin, nous avalons la douceur ambiante, nous respirons la joie de vivre éparpillée dans chaque recoin. Tu joues avec tes lunettes de soleil. Tu nous dit qu8217;elle t8217;ont coûté assez cher, que ce sont les mêmes que celles portées par je ne sais qui , sans doute très célèbre. Tu les replaces sur ton nez et prends cette expression mutine qui m8217;anéantit. Une vraie star, ma star. Je t8217;aimais aussi comme ça.
Passage au milieu des terrains de boules et nous quittons les lieux, non sans avoir jeté un œil au Palais.
Nous approchons maintenant de notre but mais, Chronos, généreux en ce dimanche, nous accorde le droit de prendre un verre dans un café proche de la gare. Le soleil, toujours, inonde la terrasse. Je me suis assis en face de toi. Je profite des derniers instants, je n8217;ai pas envie de te quitter. Je voudrais tes yeux en carte postale souvenir de ces dernières heures. Tu as commandé un Perrier menthe mais des particules étrangères s8217;ébrouent au milieu des bulles. Nous en profitons pour te taquiner gentiment. Dans un sourire gêné tu demandes au serveur de te le changer. Je t8217;observe du coin de l8217;œil …ce sourire ! je t8217;aimais aussi comme ça.
Nous voici enfin à la gare Montparnasse. Calme comme un dimanche d8217;été en fin d8217;après-midi. Je ne l8217;avais jamais connu aussi peu fréquentée. Elle me semble déserte. Les voyageurs qui déambulent m8217;apparaissent comme des spectres. Usé par cette journée, magnifique et horrible à la fois, un voile blanc affaiblit ma vue. J8217;ai les yeux embués de tristesse. Montée vers les quais Grandes Lignes. Je rêve à un adieu de cinéma. Film en noir et blanc, baiser langoureux et séparation déchirante. Un « je t8217;aime » dans un soupir de départ. Je n8217;aurais que deux bises sur la joue que je recevrais comme une paire de claques, un « au-revoir-à-bientôt » comme une lame plantée dans l8217;estomac.
Je monte dans le train, départ pour l8217;amertume…
Ce 14 juillet un extrémiste de la politique a voulu tuer le président. Il l8217;a raté. Il est en prison.
Ce 14 juillet un extrémiste de l8217;amour a voulu tuer ses souffrances. Il s8217;est raté. Son cœur est en prison.
Dim 21 Mars 2004, 23:08 par
la_tulipe_noire sur La vie à deux
Pizzeria La Roma, bonsoir! ... suite
Je suivis donc mon bel italien, non sans jeter un regard à la tablée de mes amis. Ceux-ci déjà blaguaient et riaient de cette situation, surtout de celle de me voir partir ainsi suivant celui qui, ils avaient déjà compris, m8217;avait charmée.
D8217;un haussement d8217;épaule, je leur envoyai alors un baiser de connivence et suivi mon hidalgo.
Où donc m8217;emmenait-il d8217;un pas si pressé ?
Nous arrivâmes dans les cuisines, tout y était bien rangé, propre et calme, les lumières étaient presque toutes éteintes. Une fois devant l8217;évier, il s8217;arrêta, de son regard enjôleur il me regarda, ce même regard qui descendit sur ma jupe, il me dit :
- Il n8217;y a pas trente six solutions ?
- C8217;est la machine assurément qui résoudra au mieux le problème.
- Enlève ta jupe, je vais la passer sous l8217;eau très chaude, sans la tremper complètement pour que tu puisses la remettre.
Sans donner l8217;impression d8217;être surprise, je descendis la fermeture éclair qui maintenait ma jupe sur mes hanches et laissais glisser le bout de tissu le long de mes jambes nues.
De ses yeux il suivit tout le cheminement de celle-ci. Je me retrouvais ainsi, presque nu au bout milieu de la cuisine, avec mon seul string dernier rempart de ma féminité.
Il se baissa, la ramassa, et soigneusement passa un jet d8217;eau qui semblait très chaud sur la tâche qui semblait partir. Il la déposa sur le bord de l8217;évier en aluminium, se retourna, me toisa de haut en bas, me pris par la main et m8217;emmena vers une porte au fond de la cuisine. Sans hésitation, sans crainte je le suivis, trop curieuse et impatiente de ce qui pourrait alors suivre.
Derrière la porte se trouvait un espèce de cagibi réserve alimentaire. Il éclaira la pièce, et me fit rentrer.
D8217;un geste doux il s8217;est alors collé à moi, et ses mains vinrent alors visiter mon corps. Je ne pouvais faire autrement que sentir son envie sur mon ventre, son sexe était dur et j8217;aimais sentir l8217;envie que je pouvais générer alors.
Il prit mes poignets dans ses mains, désireux semblait-il de vouloir garder la maîtrise de la situation, les dirigea au dessus de ma tête. Il embrassa mon cou, me lécha les oreilles, revint vers ma bouche pour me caresser de ses lèvres, de sa langue puis m8217;embrassa d8217;un baiser langoureux. M8217;étant laissée aller au plaisir de ces caresses buccales, j8217;avais fermé mes yeux que je rouvris pour constater que ses yeux ne perdaient rien du plaisir qui montait en moi. Une de ses mains descendit alors de mon poignet, sur ma poitrine au travers du tissu de ma chemise, sur mon ventre, sur ma fleur encore cachée. Entre mes jambes sa main vint se glisser, légère, effleurant à peine mon string, ce fut délicieux de recevoir ses gestes sans précipitation, de tendresse et de sensualité, je brûlais déjà au-dedans de mon ventre et je pouvais sentir mon sexe se libérer de sa sève d8217;excitation. Un doigt s8217;égara légèrement sous le tissu, ses yeux toujours dans mes yeux il avait l8217;air d8217;épier chacune de mes réactions, les sensations que je pouvais ressentir sous ses caresses. Ce doigt m8217;électrisa, doucement il l8217;appliqua sur ma vulve, la caressa, puis l8217;ôta pour le porter à sa bouche et le lécha, nos regards ne se lâchaient pas comme si en cet instant nous n8217;étions déjà plus qu8217;un, son plaisir devenait déjà mien et le mien sien. Il s8217;empara de ma bouche non sans s8217;être collé suffisamment à moi pour me faire ressentir à nouveau son excitation, s8217;écarta et amena une de mes mains sur son sexe. Tout en la tenant il me fit le caresser, toujours avec autant de douceur, je le vis se raidir de tout son corps, sentir son sexe tressauter sous cette caresse qu8217;il dirigeait pourtant. Il me lâcha et me dit :
- On y retourne ?
Bien qu8217;abasourdie de cette réaction si directe, je lui répondis «oui» .
Nous avons alors récupéré ma jupe, il ferma lui-même la fermeture dans mon dos, pour finir d8217;une caresse sur mes fesses et nous retournâmes dans la salle rejoindre la table de mes amis.
Il me laissa m8217;asseoir et repris, à mon bout de table la même place que celle de l8217;apéritif, mais cette fois ci plus directement, il vint coller sa jambe à la mienne et glisser sa main sur ma cuisse juste sous le tissu de ma jupe.
…
D8217;un haussement d8217;épaule, je leur envoyai alors un baiser de connivence et suivi mon hidalgo.
Où donc m8217;emmenait-il d8217;un pas si pressé ?
Nous arrivâmes dans les cuisines, tout y était bien rangé, propre et calme, les lumières étaient presque toutes éteintes. Une fois devant l8217;évier, il s8217;arrêta, de son regard enjôleur il me regarda, ce même regard qui descendit sur ma jupe, il me dit :
- Il n8217;y a pas trente six solutions ?
- C8217;est la machine assurément qui résoudra au mieux le problème.
- Enlève ta jupe, je vais la passer sous l8217;eau très chaude, sans la tremper complètement pour que tu puisses la remettre.
Sans donner l8217;impression d8217;être surprise, je descendis la fermeture éclair qui maintenait ma jupe sur mes hanches et laissais glisser le bout de tissu le long de mes jambes nues.
De ses yeux il suivit tout le cheminement de celle-ci. Je me retrouvais ainsi, presque nu au bout milieu de la cuisine, avec mon seul string dernier rempart de ma féminité.
Il se baissa, la ramassa, et soigneusement passa un jet d8217;eau qui semblait très chaud sur la tâche qui semblait partir. Il la déposa sur le bord de l8217;évier en aluminium, se retourna, me toisa de haut en bas, me pris par la main et m8217;emmena vers une porte au fond de la cuisine. Sans hésitation, sans crainte je le suivis, trop curieuse et impatiente de ce qui pourrait alors suivre.
Derrière la porte se trouvait un espèce de cagibi réserve alimentaire. Il éclaira la pièce, et me fit rentrer.
D8217;un geste doux il s8217;est alors collé à moi, et ses mains vinrent alors visiter mon corps. Je ne pouvais faire autrement que sentir son envie sur mon ventre, son sexe était dur et j8217;aimais sentir l8217;envie que je pouvais générer alors.
Il prit mes poignets dans ses mains, désireux semblait-il de vouloir garder la maîtrise de la situation, les dirigea au dessus de ma tête. Il embrassa mon cou, me lécha les oreilles, revint vers ma bouche pour me caresser de ses lèvres, de sa langue puis m8217;embrassa d8217;un baiser langoureux. M8217;étant laissée aller au plaisir de ces caresses buccales, j8217;avais fermé mes yeux que je rouvris pour constater que ses yeux ne perdaient rien du plaisir qui montait en moi. Une de ses mains descendit alors de mon poignet, sur ma poitrine au travers du tissu de ma chemise, sur mon ventre, sur ma fleur encore cachée. Entre mes jambes sa main vint se glisser, légère, effleurant à peine mon string, ce fut délicieux de recevoir ses gestes sans précipitation, de tendresse et de sensualité, je brûlais déjà au-dedans de mon ventre et je pouvais sentir mon sexe se libérer de sa sève d8217;excitation. Un doigt s8217;égara légèrement sous le tissu, ses yeux toujours dans mes yeux il avait l8217;air d8217;épier chacune de mes réactions, les sensations que je pouvais ressentir sous ses caresses. Ce doigt m8217;électrisa, doucement il l8217;appliqua sur ma vulve, la caressa, puis l8217;ôta pour le porter à sa bouche et le lécha, nos regards ne se lâchaient pas comme si en cet instant nous n8217;étions déjà plus qu8217;un, son plaisir devenait déjà mien et le mien sien. Il s8217;empara de ma bouche non sans s8217;être collé suffisamment à moi pour me faire ressentir à nouveau son excitation, s8217;écarta et amena une de mes mains sur son sexe. Tout en la tenant il me fit le caresser, toujours avec autant de douceur, je le vis se raidir de tout son corps, sentir son sexe tressauter sous cette caresse qu8217;il dirigeait pourtant. Il me lâcha et me dit :
- On y retourne ?
Bien qu8217;abasourdie de cette réaction si directe, je lui répondis «oui» .
Nous avons alors récupéré ma jupe, il ferma lui-même la fermeture dans mon dos, pour finir d8217;une caresse sur mes fesses et nous retournâmes dans la salle rejoindre la table de mes amis.
Il me laissa m8217;asseoir et repris, à mon bout de table la même place que celle de l8217;apéritif, mais cette fois ci plus directement, il vint coller sa jambe à la mienne et glisser sa main sur ma cuisse juste sous le tissu de ma jupe.
…
Sam 24 Jan 2004, 03:15 par
Nébuleuse sur Les liaisons sulfureuses
Se refuser pour mieux se donner...
Entrez. Prenez place… un peu de silence siouplé !!
Allons, allons messieurs, calmez-vous que le cours puisse commencer !
Puisque certains d8217;entre vous semblent intéressés par ce que nous aimons, nous les femmes, ou sur ce qui éveille en nous certains désirs ou nous donne beaucoup de plaisir, le cours d8217;aujourd8217;hui portera sur les jeux érotiques, et plus précisément sur « comment se refuser pour mieux s8217;offrir »
… ( le petit prince là bas, près du radiateur, avancez au premier banc et arrêtez de rire bêtement ! )
Avant de commencer, je vous prierai de noter que les techniques qui vont suivre n8217;engagent que moi, pour la simple et bonne raison, que je ne les ai jamais testées avec mes congénères de même sexe … (notez également mesdemoiselles, que je serais ravie d8217;avoir vos commentaires ou impressions sur mes techniques … ).
Donc, commençons…
Se refuser pour mieux s8217;offrir… chacun a en soi une part de dominant et une part de dominé qu8217;il aime, tour à tour, selon son humeur mettre plus ou moins en avant. Malgré le nom que j8217;ai choisi, je ne suis en rien pratiquante des théories de mon prédécesseur, Donatien pour le citer, mais certaines douleurs peuvent apporter tant de plaisir… Je vous démontre cela de suite.
Imaginer : un sujet femme, soit Moi ( ben, oui, pourquoi allez chercher ailleurs quand on a quelqu8217;un sous la main !
) et un sujet homme … vous là, à gauche, oui, oui, vous avec vos cheveux foncés, et votre sweat vert, approchez … Votre nom ?
Tulipe … Allongez vous sur ce lit… (tu vas voir les aventures trépiDANTES
)
1) Commencez par attacher solidement votre partenaire, avec un lien doux, tendre, qui lui fera comprendre de suite que vos intentions sont pures et tout à fait honnêtes : un bas ( non Soleye, rangez cette chaussette,
je parlais d8217;un bas « nylon » ! ) , un ruban, un foulard, un morceau de dentelle, … ( évitez mesdames le fil barbelé et les élastiques qui rendraient le jeu beaucoup moins sensuel ! ) Vous noterez le regard intrigué de la Tulipe, qui commence déjà à se faire un scénario de la mort !
2) Déshabillez-le, en n8217;oubliant pas de passer la pointe de votre langue sur sa peau au fur et à mesure de l8217;effeuillage. Plus vous serez lentes, plus l8217;excitation montera, grandira, euh… enfin..
mieux c8217;est, quoi !! Les ongles passés délicatement, quelques morsures légères, les cheveux qui chatouillent, etc, n8217;agrémenteront que plus le supplice votre partenaire !
3) Le voilà nu devant vous, vous qui êtes encore vêtue, debout devant lui, conquérante devant votre « objet »
… asseyez-vous sur lui, laisser la chaleur de votre corps se diffuser sur le sien, imbibez-vous de son odeur, de ses frémissements, de ses formes. Penchez vous vers lui… regardez-le tendre les lèvres, prêt à dévorer votre bouche… refusez-lui ! Ne lui accordez pas ce baiser, ne le laissez pas partager votre langue, mais passez-la sur sa joue, frôlez son oreille, avant de revenir près de ses lèvres pour les caresser à peine de votre langue… Regardez-le tenter de relever la tête pour se rapprocher de vous, tenter de desserrer un peu ses liens pour que son corps soit plus libre ! Reculez un peu, juste assez pour que votre bouche arrive à quelques millimètres de la sienne…
4) Déboutonnez votre chemisier, les premiers boutons seulement, juste assez pour glisser VOTRE main sur vos seins. Laisse-le deviner les caresses que vous vous prodiguez sans qu8217;il puisse y participer. Cambrez-vous, laissez glisser votre bassin, faites monter son excitation par quelques déhanchements, puis poursuivez le déboutonnage. Laissez malencontreusement tomber votre vêtement sur son visage.. cachez lui encore quelques secondes ses seins fermes et durs qu8217;il espère tant palper… laissez-les lui deviner en passant votre buste contre son torse, partez à la recherche de ses lèvres camouflées par ce morceau de tissu. Dégagez son visage peu à peu… et redressez vous.
5) Relevez-vous, glisser votre main le long de votre ventre, plus bas encore, voilà… faites les gestes qu8217;il aurait aimé faire. Dégrafez votre pantalon, laissez-le glisser le long de vos cuisses, et n8217;hésitez pas à frôler cet endroit qu8217;il n8217;aurait pas hésité à caresser s8217;il vous avait déshabillée…
6) Vous êtes en sous-vêtements, vous vous agenouillez au-dessus de lui, au-dessus de son cou, à proximité de sa bouche… pas trop près, attention, il ne doit pas pouvoir vous toucher … ( euh.. Tulipe ? ça va ? tu dis rien là …
) glissez votre main entre vos cuisses, osez vous caresser devant lui, osez lui donner ce que chaque homme aime regarder. Laissez-le s8217;imprégner de vos effluves, laisse-le espérer goûter votre sexe, laisse-le vous désirer, envier vos mains, laisse-le..
et ne lui donnez rien… pas encore… Approchez-vous suffisamment de sa bouche pour que sa langue puisse toucher la dentelle de vos dessous, laissez-le espérer avant de vous reculez, de redescendre sur son corps, de vous caresser avec sa peau, avec ses muscles, avec son sexe, de le frôler, le caresser, le lécher, le griffer, le mordre,.. Faites-le tressaillir, gémir, frissonner, agoniser de ne pas encore avoir pu goûter une seule parcelle de vous, utilisez votre bouche, votre langue, vos mains pour que son excitation devienne insupportable puis…
7) Donnez-vous.. lentement, par petits morceaux… d8217;abord un baiser tendre, puis un peu plus profond. Offrez-lui vos seins à portée de sa bouche, votre peau à découvrir, votre sexe pour qu8217;il se repaisse. Profitez du plaisir qu8217;il vous offre et de celui qu8217;il se donne, et détachez-le, laissez-le à son tour profiter de vous, laissez-le vous utiliser, laissez-le combler les frustrations que vous venez de lui imposer..
Variante : vous pouvez aussi décider de ne pas le détacher et continuer ainsi jusqu8217;à la fin…
Voilà… il est l8217;heure, rangez vos stylos, essuyez le filet de bave au coin de vos lèvres
et interro au prochain cours… !!
La marquise … pro fesseuse …


Puisque certains d8217;entre vous semblent intéressés par ce que nous aimons, nous les femmes, ou sur ce qui éveille en nous certains désirs ou nous donne beaucoup de plaisir, le cours d8217;aujourd8217;hui portera sur les jeux érotiques, et plus précisément sur « comment se refuser pour mieux s8217;offrir »


Avant de commencer, je vous prierai de noter que les techniques qui vont suivre n8217;engagent que moi, pour la simple et bonne raison, que je ne les ai jamais testées avec mes congénères de même sexe … (notez également mesdemoiselles, que je serais ravie d8217;avoir vos commentaires ou impressions sur mes techniques … ).
Donc, commençons…
Se refuser pour mieux s8217;offrir… chacun a en soi une part de dominant et une part de dominé qu8217;il aime, tour à tour, selon son humeur mettre plus ou moins en avant. Malgré le nom que j8217;ai choisi, je ne suis en rien pratiquante des théories de mon prédécesseur, Donatien pour le citer, mais certaines douleurs peuvent apporter tant de plaisir… Je vous démontre cela de suite.
Imaginer : un sujet femme, soit Moi ( ben, oui, pourquoi allez chercher ailleurs quand on a quelqu8217;un sous la main !



1) Commencez par attacher solidement votre partenaire, avec un lien doux, tendre, qui lui fera comprendre de suite que vos intentions sont pures et tout à fait honnêtes : un bas ( non Soleye, rangez cette chaussette,


2) Déshabillez-le, en n8217;oubliant pas de passer la pointe de votre langue sur sa peau au fur et à mesure de l8217;effeuillage. Plus vous serez lentes, plus l8217;excitation montera, grandira, euh… enfin..

3) Le voilà nu devant vous, vous qui êtes encore vêtue, debout devant lui, conquérante devant votre « objet »

4) Déboutonnez votre chemisier, les premiers boutons seulement, juste assez pour glisser VOTRE main sur vos seins. Laisse-le deviner les caresses que vous vous prodiguez sans qu8217;il puisse y participer. Cambrez-vous, laissez glisser votre bassin, faites monter son excitation par quelques déhanchements, puis poursuivez le déboutonnage. Laissez malencontreusement tomber votre vêtement sur son visage.. cachez lui encore quelques secondes ses seins fermes et durs qu8217;il espère tant palper… laissez-les lui deviner en passant votre buste contre son torse, partez à la recherche de ses lèvres camouflées par ce morceau de tissu. Dégagez son visage peu à peu… et redressez vous.
5) Relevez-vous, glisser votre main le long de votre ventre, plus bas encore, voilà… faites les gestes qu8217;il aurait aimé faire. Dégrafez votre pantalon, laissez-le glisser le long de vos cuisses, et n8217;hésitez pas à frôler cet endroit qu8217;il n8217;aurait pas hésité à caresser s8217;il vous avait déshabillée…
6) Vous êtes en sous-vêtements, vous vous agenouillez au-dessus de lui, au-dessus de son cou, à proximité de sa bouche… pas trop près, attention, il ne doit pas pouvoir vous toucher … ( euh.. Tulipe ? ça va ? tu dis rien là …


7) Donnez-vous.. lentement, par petits morceaux… d8217;abord un baiser tendre, puis un peu plus profond. Offrez-lui vos seins à portée de sa bouche, votre peau à découvrir, votre sexe pour qu8217;il se repaisse. Profitez du plaisir qu8217;il vous offre et de celui qu8217;il se donne, et détachez-le, laissez-le à son tour profiter de vous, laissez-le vous utiliser, laissez-le combler les frustrations que vous venez de lui imposer..

Variante : vous pouvez aussi décider de ne pas le détacher et continuer ainsi jusqu8217;à la fin…

Voilà… il est l8217;heure, rangez vos stylos, essuyez le filet de bave au coin de vos lèvres

La marquise … pro fesseuse …
Mer 21 Jan 2004, 15:21 par
la marquise de sade sur Le grimoire d'amour
du sexe? vraiment, du pur sexe ?? rhoooooooooo
Mais c8217;est qui qui a eu l8217;idée d8217;ouvrir cette rubrique ?? c8217;est qui le (ou la … )pervers profond qui va nous livrer ses fantasmes les plus salaces ?
c8217;est qui qui va transcender les interdits, braver la morale judéo chrétienne, flouer toute l8217;éducation bien pensante que m8217;a inculquée ma pôv8217; mère ??
(euh.. petit prince ? on est obligé d8217;écrire sous son nom ? je peux prendre un pseudo pour cacher le pseudo qui cache mon vrai nom ?
on peut signer Anonyme ? écrire en tant qu8217;invité ?
on est vraiment obligé de se faire une réputation de salope sur tout le net en disant qu8217;on rêve de se faire défoncer par un étalon arabe à longue crinière ondulée sous les yeux horrifiés de Sœur Marie Thérèse pendant qu8217;un dogue allemand vous lèche profondément et qu8217;un homme de petite taille aux cheveux bleus et rouges vous engouffre son gourdin dans la bouche ???
hein ?? dis ?? tu peux me répondre ??
)
La marquise.. euh.. oops … je voulais dire Shéhérazade et les quarante voleurs


(euh.. petit prince ? on est obligé d8217;écrire sous son nom ? je peux prendre un pseudo pour cacher le pseudo qui cache mon vrai nom ?




La marquise.. euh.. oops … je voulais dire Shéhérazade et les quarante voleurs

Mar 13 Jan 2004, 11:57 par
la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses
bon ben.. puisqu'il faut y aller....
Comme je suis reviendu sur le forum, et que comme d8217;habitude faut que je me fasse remarquer ( tulipe !
t8217;es pas obligé d8217;acquiescer stupidement , je disais juste ça pour que ça rime ! grrrrrrrrrrrr ) j8217;ai décidé de mettre un post dans chaque rubrique … celle-ci je m8217;en serais bien passé .. je l8217;avoue …
Pour faire un résumé des épisodes précédents, la marquise de Sade devait rencontrer dans son appartement flambant neuf (si si, ça c vrai ! tout nouveau, tout propre, me reste plus qu8217;à trouver des meubles pour mettre dedans… d8217;ailleurs si certains ont des nouveaux meubles encore emballés et une TV écran plat 88cm, … j8217;en profite pour dire à notre chef adoré, si intelligent, gentil, beau, sexy, … que s8217;il veut des idées de nouvelles rubriques, suis partante pour une rubrique « petites annonces » ) son parisien, avec qui elle mpete, Gsmete et smsete activement plusieurs heures par jour et ce, depuis presque 2ans… Et ben voilà
c8217;est fait ….
La marqui… euh… quoi ?? Ben oui, c8217;est tout, je signe, je fais mine que rien, j8217;ai tout dit là … ah bon ?? faut que je précise ! Des détails ? des infos ? et alors ? c8217;était comment ?
Pfffffffff … bon, ok, brièvement… magique, fantastique, complice, tendre, sensuel, drôle, bizarre, paradisiaque, épuisant, irréel ( le comble pour une relation qui n8217;a existé que virtuellement si longtemps ), doux, trop court, puissant
et … sans suite …
Comme le disait je sais plus qui .. le roi est mort … au suivant !
La marquise …. À présent sans son autre …

Pour faire un résumé des épisodes précédents, la marquise de Sade devait rencontrer dans son appartement flambant neuf (si si, ça c vrai ! tout nouveau, tout propre, me reste plus qu8217;à trouver des meubles pour mettre dedans… d8217;ailleurs si certains ont des nouveaux meubles encore emballés et une TV écran plat 88cm, … j8217;en profite pour dire à notre chef adoré, si intelligent, gentil, beau, sexy, … que s8217;il veut des idées de nouvelles rubriques, suis partante pour une rubrique « petites annonces » ) son parisien, avec qui elle mpete, Gsmete et smsete activement plusieurs heures par jour et ce, depuis presque 2ans… Et ben voilà

La marqui… euh… quoi ?? Ben oui, c8217;est tout, je signe, je fais mine que rien, j8217;ai tout dit là … ah bon ?? faut que je précise ! Des détails ? des infos ? et alors ? c8217;était comment ?

Pfffffffff … bon, ok, brièvement… magique, fantastique, complice, tendre, sensuel, drôle, bizarre, paradisiaque, épuisant, irréel ( le comble pour une relation qui n8217;a existé que virtuellement si longtemps ), doux, trop court, puissant



Comme le disait je sais plus qui .. le roi est mort … au suivant !
La marquise …. À présent sans son autre …

Mar 13 Jan 2004, 11:52 par
la marquise de sade sur Amour internet
comment on dit déjà??? ah oui!!! ==> kikooooooooooooooooo
Me voici de retour.. et oui, c8217;était pas la peine de se réjouir comme ça Petit prince et la Tulipe, suis revenue
(oui, je sais dans le mot réjouir, il y a ré …
) Alors pour pas faire comme tout le monde (déjà en CM mon institutrice me traitait de marginale parce que je portais de longs anneaux à mes oreilles et c8217;est pas avec l8217;âge que je me suis assagie
) je ne vous souhaiterai pas une bonne année, ne vous présenterai pas tous mes vœux de bonheur, de réussite et autres blablateries, mais j8217;attendrai le 12 avril pour le faire.. pourquoi le 12 avril ?
Parce que c8217;est un lundi pardi ! et que de plus, cette année, le 12 avril tombe juste avant le 13
!! Donc vous comprendrez aisément que j8217;ai choisi cette date, je n8217;en doute nullement J8217;aurais pu choisir la date exceptionnelle du 14 mars également… date exceptionnelle par excellence puis que Albert Einstein est né un 14 mars…
moi aussi d8217;ailleurs (n8217;y voyez aucune ressemblance entre les deux personnages, Albert a beaucoup moins de cheveux que moi !! ). Mais je me suis dit qu8217;à cette date, j8217;aurais atteint l8217;âge de 30ans, et que je ne serai plus en état d8217;avoir une quelconque pensée gentille pour personne !!
au moins pendant 5 minutes car je n8217;ai pas de doute sur le soutien que m8217;apporteront quelques gentilles personnes en me disant « mais non, t8217;es pas vieille isa !! mais non, tu as encore toute la vie devant toi ! Arrête quoi ! t8217;es toujours aussi sexy qu8217;à 18ans, on t8217;aimeuuuuuuu nous !!
» (bande de faux-cul oui !!
) avant que j8217;aille me planter au bar de l8217;Europa (club de 3X20 hyper branché de ma ville
) et noyer ma vieillesse, oublier mes rides et mes bourrelets dans une vervaine sucrée ! Arfffffffff mon dieu ! faut que j8217;arrête de lire Barbara Cartland moi, ça me vaut rien !!
Bref … suis relà
La marquise … repartie comme en 14 crévindiou !










Bref … suis relà

La marquise … repartie comme en 14 crévindiou !
Mar 13 Jan 2004, 11:46 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
Ecrire sur 8217

Il y a 9 textes utilisant le mot 8217. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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