Aventure de vacances...

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Bonjour

Chaque samedi, je viendrais relater les anecdotes de mes dernières vacances en Ecosse avec mon mari écossais.
Les superbes vacances avec mon mari, en cet été 2015.
Chaque texte sera posté à la suite du précédent.
Ainsi il sera très simple au lecteur d’avoir le repaire facilitant sa recherche.
Ce premier récit est donc le début d’une série qui, je l’espère, saura vous séduire et vous entraîner dans mes troublants excès.
Bonne découverte et bonne lecture.

Juillet à St Andrew

Cette soirée de juillet, après la visite des ruines magnifiques de la cathédrale de Saint-Andrew, nous sommes dans un petit restaurant.
Assis à la terrasse arrière d’un établissement plein de ce charme désuet et intemporel, la vue sur le château était de toute beauté.
Mon compagnon et moi profitions de ce climat extraordinaire et de cette lumière diaphane particulière à l’ Ecosse.
Il était vingt et une heure. Parmi les clients, il y avait trois couples, deux jeunes femmes et un monsieur seul.

Tout en mangeant, mon mari et moi bavardions. Nous avions réussi à ne pas passer la soirée dans sa famille qui le sollicite beaucoup.
Lors de nos échanges, machinalement, je regardais dans la direction du mangeur solitaire. Il portait la belle chevelure grise du quadragénaire,
Nos regards se croisèrent à quelques reprises. J’en fis pars à mon compagnon qui me fit remarquer qu’il y avait peut-être là une opportunité.
Regardant autour de moi, certaine de n’être vue que par l’inconnu, sous la table, j’écartais doucement les cuisses. Mon cœur battait fort.

J’aime être vêtue d’une jupe. Surtout en été. Je peux ainsi me sentir libre de toutes entraves vestimentaires. Ce soir-là, c’était le cas.
Une jupe courte et plissée. Sous mon T-shirt, mes tous petits seins évoluent dans une totale liberté, n’ayant pas besoin d’être soutenus.
Chaussée de baskets, je propose la silhouette de la dilettante en vacances. Mes cheveux noués en une longue natte participent encore de tout cela.
Le monsieur, lors d’un de ces mouvements de tête, se rendit rapidement compte du spectacle qui lui était offert. Cessant sa lecture.

Je croisais et décroisais mes jambes avec une exagération qui attira son attention. A présent, il louchait sous ma table tout en mangeant.
Je faisais évidemment comme si je ne me rendais compte de rien. Au bout d’une dizaine de minutes, je me levais pour aller aux toilettes.
Je voulais retirer ma culotte afin de pouvoir apprécier la satisfaction de cette situation. Opportunité qui m’excitait de plus en plus.
J’en profitais pour faire mon pissou. Quelle ne fut pas ma surprise, en sortant de la cabine, de voir l’inconnu debout devant un des deux lavabos.

En lavant mes mains, je découvris que le monsieur avait son sexe posé sur la faïence du lavabo. Avec un air des plus naturels. J’étais amusée.
Il prononça quelques mots dans un mauvais Anglais. Je fis semblant de ne rien comprendre en haussant les épaules. Sans répondre.
Je me dépêchais de me laver les mains avant de sortir des toilettes. Je revins m’asseoir pour raconter mon aventure à mon mari.
J’avais ma petite culotte coincée dans la ceinture de ma jupe, je la rangeais dans notre petit sac à dos. L’inconnu revint s’asseoir.
Les cuisses bien écartées, le monsieur pouvait admirer ma toison pubienne de brune, épaisse et fournie. Un autre couple était arrivé.

Il me fallait ruser pour n’être vue que du monsieur. Ce dernier, faisant semblant d’être absorbé dans la lecture d’un magazine, observait avec attention.
Discrètement, je passe une main sous la table. Je commence à me toucher. L’inconnu, dont le trouble devient apparent, regarde mon manège.
Du doigt, il me montre la porte des toilettes. Je comprends l’invitation. J’en fais part à mon mari qui m’encourage à créer une nouvelle situation.
Je vous propose donc de découvrir la suite de cette étonnante aventure, dans mon récit du week-end prochain, pour ma nouvelle visite sur le forum.

A bientôt et bonne semaine.
Bises.

Isa
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Dim 07 Fév 2016, 13:18 par Isa-Belle sur Les liaisons sulfureuses

Décembre

Tombe, balai incessant de gouttelettes glacées, tombe… Tu n’en peux plus de trop chuter.

La nuit, le jour s’en sont .
Les couleurs peu à peu s’effacent avec grâce, sans un soupir, sans une plainte.
La sève engourdit sa chaleur sous la toile tissée de fils d’aube entrelacés. Las.
Les danses et les chants se sont tus pour faire place à l’espace. Blanc. Blanc crépuscule d’une lune de carton glace.
La froideur a étouffé la vie.
Le froid a blessé tous les cœurs. Se sont-ils assoupis ou sont-ils morts ?
Les cieux sont lourds et ploient sous la peine.
Le lait de leur haleine fétide macule la chaussée et habille les toits.
Ils éternuent à la face des aveugles leurs crachas qui s’emmêlent engourdissant nos doigts.
Des larmes givrées ont décoré les rues, sont montées jusqu’aux nues dans les bras de leurs mères, la montagne n’est plus qu’ensevelissement suprême et qu’il faudra damer.
Le froid décor a amidonné nos âmes, elles se perdent un peu, raides, dans ces tenues de fête trop apprêtées.
Las, les couleurs ne sont plus.
Et les bougies naîtront au cœur de cette nuit ou, de ce jour, absents de l’astre incandescent pour réveiller les yeux des façades au teint blême d’un espoir de lueur, l’été, dont elles rêvent…

Tombe, balai incessant de gouttelettes glacées, tombe dans le coeur de l’enfant… Tu n’en peux plus de le noyer.
Jeu 03 Déc 2009, 14:21 par dolce vita sur Mille choses

Les yeux de mes phantasmes.. (1)

Quand les yeux de ma tête sont à la rencontre des tiens, quelques fois auparavant, avec un petit poli sourire sur mes lèvres, ta seule réaction fut ce sourire typique de toutes les femmes de ce métropole..un sourire que j’ai de la difficulté à décrire (imaginez quelqu’un qui vous fait un demi-sourire froid, tout en prenant un grand soin de sceller les lèvres et de cacher les dents...), un sourire qui se veut plutôt un avertissement, sous-entendant: "je n’accepte pas ton sourire, mais je ne veux pas te laisser sans que j’y réponde. La prochaine fois, ne me souris plus!"

Alors, vu ta réaction choquante, ce sont maintenant les yeux de ma pensée qui se posent sur ta frêle silhouette de jeune étudiante, avec toute liberté, chaque fois que tu passes près de moi, et chaque fois que tu traverses les couloirs de ma mémoire..
Mar 29 Mai 2007, 22:04 par Marvinus sur Parler d'amour

Chicco ti amo

Qui est cette fille? Est-ce la femme de ta vie? Elle est belle... Tu as de la chance. Tu vas plutôt bien avec. Tes yeux verts s’accordent bien avec ses yeux bleus. Tes cheveux noirs s’entendent à merveille avec son blond soyeux. Elle est marrante, tu es sympa. Elle est belle, tu es mignon. Vous êtes fait l’un pour l’autre. Mais ce n’est pas aussi simple que ça. Par quoi êtes-vous passés? Quelle est votre histoire? Tu sais, le coup de foudre, on ne le rencontre qu’une seule fois.
Elle t’a déclaré sa flamme pour la première fois sur le mur de ta maison à Florence. Lorsque tu es passé à côté de son inscription, tu as tout de suite reconnu son écriture. Vous êtes à l’école ensemble, depuis la maternelle. Tu l’as croisée et elle t’a pris dans ses bras. Tu lui as dit: “ Ti amo Elsa”, et tu lui as posé un doux baiser sur ses jeunes lèvres, pour la première fois.

Tu te souviens de ces années où tu parcourais ces ruelles avec elle, main dans la main. Enfant inconscient de l’avenir. Insouciant de L’amour. Tu l’aimais pourtant.
L’autre jour, tu as fait l’amour pour la première fois avec elle. Vous avez savouré ce moment avec une intensité telle que vous saviez qu’il ne pourrait se reproduire. Ensuite, elle s’est blottie tout contre toi et s’est endormie, sa tête contre ta tête, ta main sur son sein. C’est tellement beau une femme qui dort. Vous ne connaîtrez plus jamais pareil moment dans votre vie, celui où vous vous êtes donnés l’un à l’autre pour la première fois.
Tu l’aimes car elle te parle, te comprend. Tu l’aimes parce qu’elle ne se soucie pas du petit tracas quotidien. Elle t’aime car tu est le seul qui parvient à la faire vibrer. Elle t’aime car tu n’es pas un autre. C’est tellement beau l’amour!
Le lendemain quand tu te réveilleras, elle dormira encore. Sa tête sera toujours sur ton épaule, et elle aura remis ta main sur son sein. Tu lui glisseras un baiser dans le cou et tu te lèveras doucement pour ne pas la réveiller. Puis tu viendras t’asseoir sur le rebord du lit, à quelques centimètres d’elle et tu contempleras le miracle de sa beauté. Tu admireras sa grâce, son corps jeune et nu, la splendeur de ses formes et la pureté de son visage. C’est tellement beau un ange qui dort!
Elle s’apercevra de ton absence auprès d’elle et ouvrira les yeux. Tu te pencheras vers elle, culpabilisant son réveil, et tu l’embrasseras, de toute la tendresse dont tu es capable. Elle te rendra ton désir et vos corps s’entremêleront de nouveau. Vous voilà drogués pour l’éternité, vous voilà dépendants l’un de l’autre. Vous avez refoulé votre duplicité dans l’unité.

Elle t’a toujours aimé et tu l’as toujours su. Elle a vu dans tes yeux, dès le premier regard qu’elle a porté sur toi, que le destin vous réunirait. La première fois que tu l’as vue, tu as fondu en larmes. Tu ne savais pas que l’amour existait. Tu étais retranché dans ta solitude, ton désarroi. Plus pervers que ta colère contre ce monde que tu haïssais. Tu avais perdu tout espoir de rencontrer un jour ce qui te permettrais de sortir de ta déprime.
Elle t’as transformé. Tout comme tu l’as transformée. Elle t’aime. Cela suffit. Il n’y a rien d’autre de plus important. Vous êtes identiques. Son visage est ton visage. Sa force est ta force. Tant que vous serez en harmonie l’un avec l’autre, dans la fidélité de votre amour, dans les liens de vos cœurs. Aime-là. C’est ton souhait, ton avenir.
Lorsqu’elle te prend dans ses bras, lorsque sa tête se pose sur ton épaule pour se reposer d’être immortelle, tu tombes dans les méandres divinement étourdissants de l’amour. Mais tout cela n’est rien comparé au baiser qu’elle te donne, si tendre, si beau... Des lèvres si douces, un parfum si envoûtant. A ce moment où son visage est collé au tien, sans un frein, sans un soupir, dans une mélopée de désir si intense qu’enlever tes lèvres serait synonyme de blasphème.
Et quand vient le jour où elle t’arrive toute triste, toute fatiguée. Lorsqu’elle te prend dans ses bras, et que des larmes coulent le long de ses joues si innocentes, c’est comme si d’un coup brusquement le soleil cessait d’exister, comme une fleur qui fanerait, comme une guerre briserait la paix. Alors, sous ses sanglots, le ciel se couvre, la terre se fâche et la vie se meurt.

Alors, te dis-tu, pourquoi prendre un tel chemin? Pourquoi chercher ailleurs ce que l’on a déjà? La complexité est inutile et ridicule. La simplicité est là et ton amour fera le reste.
Regarde le monde et dis-toi que tu aurais pu en faire parti. Tu est face à lui. Tes amis passent à tes côtés pour basculer dans la conformité de l’adulte, cet univers où la routine a remplacé l’amour. Et zou… entrez dans la danse! Tu ne veux pas de cette vie. Elsa et toi êtes en parfaite harmonie. Ta gloire s’allume en elle. Votre amour est-il commun? Sans doute, car vous vous aimez à en mourir. Tu tiens à elle plus que tout, par ta main qui se pose sur son sein, par sa tête qui se trouve sur ton épaule. Tu te plais dans la chaleur de ses yeux bleus. Embrassez-vous! Votre amour, lui, embrasse votre humilité.
Jeu 15 Juin 2006, 10:34 par Neus sur La première fois

L'Amour tarifé...

Au docteur qui me disait que l’abstinence sexuelle était préjudiciable à la santé, quel que soit notre âge, j’ai répondu vertement et sans réfléchir :
-Vous ne voulez pas que j’aille aux ‘putes’…
Terme si péjoratif qu’avec un peu de réflexion, j’aurais employé : « avoir recours à la prostitution ! »

En remontant le temps, péripatéticiennes, hétaïres, ribaudes, prostituées et…’putains’ s’est appliqué aux professionnelles de l’amour tarifié…et courtisanes, demi-mondaines, femmes entretenues à celles qui gravitent dans des zones moins franches et plus troubles. Celles qui font ‘semblant’ d’aimer mais utilisent en fait, un ou plusieurs hommes, en fonction de ce que cela leur rapporte, à elles !

Moi, cela n’a jamais été ma tasse de thé, cet amour tarifié chez les pros du sexe. J’ai entendu mille et une histoires à leur sujet, mais : « qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son… »
Elles, je ne les ai jamais entendu réellement plaider leur cause où expliquer ce qui les a amené à faire ce métier. Car pour elles, c’est un métier, contrairement aux autres qui vendent leur ‘cul’ au plus offrant en se la jouant à la grande dame !

Mais « d’aventure, en aventure… » comme l’a chanté S. Lama, j’ai utilisé les services (sic) de trois de ces Dames que je ne sais trop où classer !

La première fois : Renée, pour sauver sa famille…

Ouargla en 19... : une ville de garnison du Sahara Français de l’époque. Nous étions plusieurs radiotélégraphistes civils envoyés en renfort pour cause de rupture des contrats de radios militaires. D’entrée j’ai été remplacer le chef de station émission pour le remplacer provisoirement avant l’arrivée d’un titulaire. Un caporal chef, chef de quart régleur avec qui j’ai sympathisé m’a dit que l’épouse d’un adjudant chef du génie militaire, un ivrogne invétéré, en était réduite à recevoir des messieurs, contre 150 fr l’heure passée chez elle, sur rendez-vous. Uniquement sur recommandation d’un habitué…

Elle avait deux enfants scolarisés à Batna dans le nord. Et une belle-mère à sa charge, pauvre vieille complice de sa belle fille. Elle avait commencé par se faire ‘dépanner’ par des copains de son mari, sous officiers comme lui. Puis le bouche à oreille avait élargi le cercle de ce qu’il fallait bien nommer ses ‘clients’ ! J’avais dix huit ans et en état d’abstinence provisoire, je l’espérais ! J’étais curieux aussi et un peu sceptique…Il m’a procuré un rendez-vous !
En début d’après midi, il m’a donc accompagné à cette maison sise à l’orée de la ville.
Une dame est venue nous ouvrir la porte de derrière qui donnait dans une ruelle déserte. Une grande femme mince, on peut dire ‘maigre’ . Son visage régulier aurait pu être beau sans les plis amers de la bouche et son air sombre. Les yeux par contre, noirs, brillants étaient la partie vivante de ce visage, sous des cheveux noirs avec une demi frange sur le front.
Le copain m’a présenté et est reparti illico. Sans un mot, elle m’a fait signe de la suivre, et derrière elle je suis arrivé dans la grande chambre du bas où elle officiait. Elle s’est retournée vers moi, main ouverte, j’y ai mis les billets que j’avais préparés. Dans un coin de la pièce, il y avait une tringle et un rideau qu’elle a tiré, révélant ce qui était censé représenter une salle de bains. Un robinet et un évier… à côté une table basse de sous laquelle elle a tiré un bidet amovible en plastique qu’elle a rempli d’eau. En même temps, elle a enfin parlé :
-Déshabilles-toi et poses tes affaires là… tu peux te faire une ‘petite toilette’ directement à l’évier…
[ Donc elle tutoyait… mais sa voix était monocorde et aussi triste que tout ce qui se dégageait d’elle ]
Elle a enlevé sa jupe sous laquelle… elle n’avait pas de culotte ! Et elle s’est accroupie sur son bidet. Plus que gêné, j’ai enlevé le short et le slip, puis au robinet je me suis savonné et rincé le sexe…me disant que d’après tout ce qu’on m’avait raconté sur les ‘bordels’ européens, c’était la dame qui procédait à la toilette du monsieur ?
Séché, toujours mal à l’aise, je me suis retourné et avancé vers le lit où elle était déjà installée ! Elle avait conservé son chemisier. Allongée à plat dos, les yeux fermés, visage crispé. Elle avait les genoux élevés, mais écartés… Face à moi, j’ai vu son pubis orné de poils noirs frisés, et au dessous la fente du sexe, grandes lèvres un peu apparentes !
Quelque chose s’est passé en moi, et je n’ai même pas réfléchi pour dire :
-Madame, j’ai honte. Je sais que vous êtes obligée par la vie d’en arriver
là, mais moi comme ça, je ne peux pas ! Gardez les billets et
excusez-moi… je m’en vais !
Elle a rouvert les yeux et je me souviens de sa voix froide, furieuse :
-Il te faut quoi ? mes ‘figues sèches’ ( seins ) à caresser ? où te ‘sucer’ …
( fellation ) d’abord comme les vieux ‘cons’ ? alors c’est cinquante francs de plus…
Sans répondre, j’ai commencé à me rhabiller, mais soudain, pétrifié, je l’ai entendu pleurer… et bredouiller :
-Toi, au moins tu m’as parlé comme à une dame, pas comme à une ‘pute’… viens !
allez viens prés de moi, on va s’arranger…
Elle a enlevé son chemisier, et moi, allongé à ses côtés, nous avons d’abord parlé… Elle m’a raconté ce que je savais déjà. Les enfants en pension qui coûtaient cher. L’annexe du génie qui ne faisait rien pour obliger son mari à lui donner plus que le minimum imposé chaque mois. Et pourquoi on ne les avait pas virés du territoire ni cherché d’histoires malgré que … leur histoire soit connue ! Ses rencontres extra conjugales qui avaient commencé avec des collègues de son mari, mais le cercle s’était élargi ( si je puis dire ! ) avec des militaires seulement. Elle m’a précisé :
-Ces vieux ‘cochons’ d’officiers, même de très haut gradés viennent ici pour faire ce qu’ils ne font pas avec leur ‘bobonne’… cinquante francs de plus pour se faire ‘sucer’, et trois cent francs au lieu de cent cinquante pour tu devines quoi…
Naïvement, j’ai demandé :
-Oui, pourquoi ?
-Pour… l’autre ‘trou’ pardi ! Ils aiment la merde ces ‘fumiers’ qui ensuite se la jouent au grand seigneur dans leur société fermée !
Pendant ce temps, comme j’étais jeune, et mes mains pas inactives pendant tous ces monologues, qu’elle était ‘réceptive’ et détendue, les yeux ouverts cette fois : il y a eu… deux assauts !
Ce qui lui a fait dire :
-Eh ! ben, pour quelqu’un qui disait ne pas pouvoir… Mais tu as des égards, toi. Et tu as les mains douces, tiens, ça n’a pas été une corvée avec toi !
Quelques jours après, un remplaçant militaire étant arrivé à la station d’émission, j’ai rejoint le Centre. J’ai raconté à mes ‘potes’ : Dédé et Guy…
Il y avait un numéro à appeler, à certaines heures, un code pour prendre rendez-vous…
L’excuse de la curiosité pour eux aussi, ils y sont tour à tour ! A ma connaissance, d’autres encore on fini par utiliser la… filière : Les ‘gonades’ ça nous travaille tous !
Moi, je n’y suis retourné qu’une fois avant de faire ami-ami avec Lydia, puis plus encore car affinités !
Exit Renée, ‘pute’ de par la vie…
Et de par son ‘homme’ !!
Sam 04 Mars 2006, 14:34 par jan goure sur Les liaisons sulfureuses

Le voyageur routinier

J’étais dans le métro, aux heures de pointes et comme d’habitude il était bondé à craquer, je me suis donc retrouvée debout comme un très grand nombre de voyageurs, les uns serrés contre les autres.
A la station suivante de celle où je suis montée, peu sont descendus en compensation de ceux qui sont montés, nous étions alors très serrés les uns contre les autres. Chacun essayait de garder ses distances des personnes proches de soi, comme c’est souvent le cas dans un métro bondé.
J’étais alors plongée dans mes pensées, à juger la gêne apparente des uns et des autres dans cette proximité. J’ai senti mon sac à main glisser de mon épaule, en tentant de le rattraper j’ai effleuré la personne se trouvant au plus près de moi.
J’étais tellement occupée à jauger les réactions des occupants de ce wagon, que je n’avais pas remarqué cet homme, si proche de moi et si mignon. J’aurais presque pu entendre sa respiration tant il était proche, mais gardant malgré tout une certaine distance comme tous les voyageurs.
Mon sac ayant tant et si bien glissé, je ne pouvais plus faire autrement qu’attendre, peut être la station suivante pour le glisser à nouveau sur mon épaule, mais la situation d’un coup m’apparut cocasse et plaisante.
Le poids de mon sac avait aidé à ce que ma main se retrouve en position osée, le long de la braguette de mon voisin voyageur, et progressivement, je me suis rendue compte que cet attouchement ne le laissait pas indifférent.
Avec un tout petit peu d’hésitation j’ai donné un léger coup de balancier à mon sac, immanquablement ma main suivi ce mouvement, il était question là de doser l’effet réel sur l’intimité de mon voisin et surtout sa réaction.
J’ai tourné légèrement ma tête afin de me rendre compte si des signes apparaissaient sur son visage. Nos regards se sont croisés, il m’a sourit et m’a prise par la taille pour se coller à moi.
Ma main restée entre nous deux, je sentais qu’il bandait vraiment très fort, je pouvais même le sentir tressauter sous l’excitation. Cette même excitation que je commençais à sentir au bas de mon ventre m’envahit alors de bouffées de chaleur.
Je me suis demandée qui des deux allait descendre du wagon le premier?
La main sous ma veste il me serrait la taille, je sentais cette pression comme des mots me disant "nous ne pouvons en rester là".
Deux stations plus loin, il m’a alors attrapée par la main et nous sommes sortis de la rame de métro.
Sans un mot prononcé, nous sommes sortis vers l’extérieur, il s’est dirigé vers un hôtel, il a réglé une chambre, l’hôtelier nous regardait avec un sourire en coin.
Il a repris ma main, et m’a emmenée vers l’ascenseur. Une fois à l’intérieur, il m’a plaquée contre la paroi et s’est mis à me caresser partout, s’attardant un peu plus sur ma poitrine.
Arrivés à l’étage, a peine rentrés dans la chambre, sans prendre le temps de quoi que ce soit, il m’a à nouveau plaquée contre le mur, tout en m’embrassant il a relevé ma jupe, et a fait glissé mon string. Une de ses mains caressait avidement mes seins, l’autre commençait à caresser mon sexe.
J’aimais cette précipitation, je commençais à y prendre beaucoup de plaisir, sans savoir ce qui allait suivre j’avais hâte de découvrir tout ce qu’il semblait vouloir donner et prendre de plaisir.
Il s’est laissé glisser contre moi, a relevé une de mes jambes et est venu avec sa bouche sur mon sexe. Je ne maîtrisais plus du tout la situation, j’étais devenue sa chose, ouverte à ses envies.
Il léchait merveilleusement bien, je sentais sa langue sur mon clitoris, sur ma vulve, ses doigts me fouillaient.
Il s’est relevé, a enlevé son pantalon, maintenant ma jambe soulevée, d’un coup brusque, comme s’il ne pouvait plus attendre, il m’a pénétrée.
J’ai cru que j’allais explosée, la jouissance est venue d’un coup tellement mon excitation était à son comble.
Je sentais qu’il en était tout autant pour lui, il allait et venait en moi par grands à-coups, puis plus doucement, juste son gland sur ma vulve. Il s’est alors retiré m’a demandé de me retourner il voulait me prendre par derrière.
Je voulais le voir, lui, mais aussi son excitation et son plaisir. Je l’ai emmené dans la salle de bain j’ai pris appui sur le lavabo, les yeux droits dans la glace je l’ai regardé tout excité me caresser les fesses, ma vulve avec son sexe.
Il a posé son sexe sur mes fesses et tout doucement, par petites pressions il est entré en moi, il était doux dans ses gestes, précautionneux, j’aimais aussi cette attitude à ne pas vouloir rendre la situation trop brutale. Entièrement en moi il s’est collé à moi a pris mes seins dans ses mains et s’est mis à aller et venir doucement me regardant dans la glace.
J’aime les regards lorsque je fais l’amour le sien me plaisait, il me donnait tout le plaisir qu’il ressentait.
Il est resté un temps à aller et venir entre mes fesses, lentement puis un peu plus rapidement, puis s’est retiré pour venir de nouveau pénétrer mon sexe, j’ai serré mes muscles de toutes mes forces pour qu’il sente cette pression sur sa verge, il n’a pas pu entrer en moi d’un coup, ses gémissements, ses mains sur mes hanches me signifiaient qu’il aimait cette résistance volontaire. Lorsqu’il a été tout en moi, il a accentué sa présence par de grands coups de reins, je le sentais au fond de mon ventre je ne voulais plus qu’il bouge, juste mon ventre et mes muscles l’enserrant, le libérant un peu et l’emprisonnant de nouveau. Il a crié d’un coup, il ne pouvait plus se retenir, son envie de jouir était devenue trop forte. Je l’ai senti se vider en moi, tout en s’agrippant de ses mains sur mes hanches et en mordant mon épaule légèrement dénudée.
Nous sommes nous allonger, nous avons fumé une cigarette. Il a pris mon menton dans sa main, a fondu son regard dans le mien et m’a dit :
"MERCI", m’a embrassée, et nous avons recommencé.
Ce jour là, jour heureux de ma jeunesse, j’ai dévergondé un homme qui n’avait pas imaginé que la routine pouvait être déviée.
Ven 16 Jan 2004, 00:59 par Nébuleuse sur Les liaisons sulfureuses
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