Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur allume - Page 2 sur 2
Toi, l'inconnu, ses 12 travaux
Tu as éclairé mes heures
Toi qui as banni le chagrin
Montré le chemin du bonheur
Tes yeux gris ont fait trembler ma main
Embrasé 42 hivers
Entouré ma vie de cristal
Fait de ma vie un attachant mystère
Rendu si doux le froid glacial
Fait jaillir le blanc du futur
Allumé un feu dans le brouillard
Tes cheveux gris dans mes peintures
Et ton ’’oui’’ sera une victoire.
Ces 12 travaux achevés,
Tu peux cueillir, enfin,
La petite rose qui a poussé, la petite rose de tes pensées,
Et lui offrir un tendre baiser, et lui offrir un tendre câlin...
Satine, muse de tes printemps
Toi qui as banni le chagrin
Montré le chemin du bonheur
Tes yeux gris ont fait trembler ma main
Embrasé 42 hivers
Entouré ma vie de cristal
Fait de ma vie un attachant mystère
Rendu si doux le froid glacial
Fait jaillir le blanc du futur
Allumé un feu dans le brouillard
Tes cheveux gris dans mes peintures
Et ton ’’oui’’ sera une victoire.
Ces 12 travaux achevés,
Tu peux cueillir, enfin,
La petite rose qui a poussé, la petite rose de tes pensées,
Et lui offrir un tendre baiser, et lui offrir un tendre câlin...
Satine, muse de tes printemps
Ven 10 Fév 2006, 16:40 par
Satine sur L'amour en vrac
Lui
Lui
Écrire sur lui… Le coucher sur le papier
Comme si Comme si… Il est le pied
Sur lequel s’érige les strophes et les versets
Indélébiles de notre poème.. IL est
Lui
Tout simplement
Un sentiment Une vague Un sourire Un regard
Qui doucement divague et envole le hasard
Quand tout s’écroule Ivre de bruits et d’odeurs
La violence repue de coups et de sueurs
Mais lui
Tout doucement
Endort les plaies et ravale les larmes amères
Des souvenirs laids pareils à des galets vulgaires
Jetés sur la grève du passé si loin, si loin, si là
Il caresse les épines traversées par le doute, si las
Lui
Oui
Me protège dans la vallée de l’ombre
Abat les falaises emballées qui font la nuit sombre
Etend un manteau de velours noir dans les catacombes
Pour y coucher nos peurs jumelles pétries d’absence
Sème des oasis luxuriantes dans les déserts de l’indifférence
Fait jaillir des cascades verdoyantes où gît l’ignorance
Allume des feux de joie sur les neiges éternelles
Réécrit les textes de la loi en un seul et même poème fraternel
Qui chante sur des mélodies universelles
Lui
Le connaître c’est me connaître
Le voir dans tout ce que l’univers crée
Jour après jour au fond de chaque être
Et appréhender l’Infini qui est sacré
Le savoir c’est me savoir
Quand tout s’obscurcit…
Que les enfants n’ont qu’un bavoir
Désespérément vide et aux lèvres un cri
Aussi muet que la mort
Triste agonie d’un bonheur à peine éclos
Qui garde jalousement ses trésors
Pour d’autres… car le sort choisit ses maux
À l’aveuglette… Clown du destin grotesque et torve
Mais lui
Certainement
Il survole les sept océans indomptables
Il foule l’écume des jours Il est capable
De tout ça et de tant d’autres choses
Quand son cœur bat à l’unisson des roses
Et qu’il arrache le mien de sa cage doré
Pour en faire un Eden de douceur sucrée
Lui
L’encre qui parle de lui coule de mes veines
Les mots qui le décrivent me font sienne
à travers les lignes lactées des antiennes
Que l’écriture murmure comme un divin amen…
Lui…
Écrire sur lui… Le coucher sur le papier
Comme si Comme si… Il est le pied
Sur lequel s’érige les strophes et les versets
Indélébiles de notre poème.. IL est
Lui
Tout simplement
Un sentiment Une vague Un sourire Un regard
Qui doucement divague et envole le hasard
Quand tout s’écroule Ivre de bruits et d’odeurs
La violence repue de coups et de sueurs
Mais lui
Tout doucement
Endort les plaies et ravale les larmes amères
Des souvenirs laids pareils à des galets vulgaires
Jetés sur la grève du passé si loin, si loin, si là
Il caresse les épines traversées par le doute, si las
Lui
Oui
Me protège dans la vallée de l’ombre
Abat les falaises emballées qui font la nuit sombre
Etend un manteau de velours noir dans les catacombes
Pour y coucher nos peurs jumelles pétries d’absence
Sème des oasis luxuriantes dans les déserts de l’indifférence
Fait jaillir des cascades verdoyantes où gît l’ignorance
Allume des feux de joie sur les neiges éternelles
Réécrit les textes de la loi en un seul et même poème fraternel
Qui chante sur des mélodies universelles
Lui
Le connaître c’est me connaître
Le voir dans tout ce que l’univers crée
Jour après jour au fond de chaque être
Et appréhender l’Infini qui est sacré
Le savoir c’est me savoir
Quand tout s’obscurcit…
Que les enfants n’ont qu’un bavoir
Désespérément vide et aux lèvres un cri
Aussi muet que la mort
Triste agonie d’un bonheur à peine éclos
Qui garde jalousement ses trésors
Pour d’autres… car le sort choisit ses maux
À l’aveuglette… Clown du destin grotesque et torve
Mais lui
Certainement
Il survole les sept océans indomptables
Il foule l’écume des jours Il est capable
De tout ça et de tant d’autres choses
Quand son cœur bat à l’unisson des roses
Et qu’il arrache le mien de sa cage doré
Pour en faire un Eden de douceur sucrée
Lui
L’encre qui parle de lui coule de mes veines
Les mots qui le décrivent me font sienne
à travers les lignes lactées des antiennes
Que l’écriture murmure comme un divin amen…
Lui…
Jeu 25 Nov 2004, 19:05 par
doody sur Parler d'amour
Un aurevoir
Deux ans de confidences pour dans un dernier sursaut
Porter le coup de grâce, tirer ta révérence.
Je te laisse t’envoler, va, va voir plus haut
Glisse vers d’autres âmes, vers d’autres peaux.
Je te laisse t’échapper, cherche, cherche la délivrance
Trouve ce qui te manque, fouille dans ton enfance.
Je te laisse m’oublier, fuis, fuis loin de mes eaux
Nage jusqu’au rivage, embarque sur un autre vaisseau.
J’ai voulu te garder,
Tu connais ma possessivité
J’ai voulu être le centre de ton monde
Avec cet egocentrisme immonde
J’ai allumé le feu telle une pyromane
Tu sais qu’on me dit nymphomane
Tu reconnaitras ces mots qu’on m’accolle
Je les arbore fièrement comme une corolle
Par fierté, tu ne me quittes pas, je te chasse
Pour ne pas souffrir, je ne pleure pas, je t’efface
Pour ne pas me perdre, avant de m’éteindre, comme un anathème
Dans un dernier soupir, un dernier frisson, je t’...
Isa ...
... Fin de l’inaccessible e_toile
Porter le coup de grâce, tirer ta révérence.
Je te laisse t’envoler, va, va voir plus haut
Glisse vers d’autres âmes, vers d’autres peaux.
Je te laisse t’échapper, cherche, cherche la délivrance
Trouve ce qui te manque, fouille dans ton enfance.
Je te laisse m’oublier, fuis, fuis loin de mes eaux
Nage jusqu’au rivage, embarque sur un autre vaisseau.
J’ai voulu te garder,
Tu connais ma possessivité
J’ai voulu être le centre de ton monde
Avec cet egocentrisme immonde
J’ai allumé le feu telle une pyromane
Tu sais qu’on me dit nymphomane
Tu reconnaitras ces mots qu’on m’accolle
Je les arbore fièrement comme une corolle
Par fierté, tu ne me quittes pas, je te chasse
Pour ne pas souffrir, je ne pleure pas, je t’efface
Pour ne pas me perdre, avant de m’éteindre, comme un anathème
Dans un dernier soupir, un dernier frisson, je t’...
Isa ...
... Fin de l’inaccessible e_toile
Mar 01 Juin 2004, 10:02 par
la marquise de sade sur Amour internet
Lundi soir, quelque part sur terre...
L’appartement est froid, la pièce est sombre. Un vaisseau de lumière provenant de la rue ouvre un couloir sur le carrelage. Le sapin a perdu ses milles reflets dorés, les lumières se sont tues, la neige plastifiée a gelé la magie de ses rêves de petite fille.
Luna, la petite chatte espiègle, est assise sur le sol chaud. Elle la regarde. Un curieux scintillement glisse le long de sa joue pour mourir dans son cou.
Quel étrange phénomène que ses reflets humides qui jaillissent de ses yeux.
Sa respiration est courte, sa poitrine se soulève bizarrement, secouée de spasmes. Elle s’est recroquevillée sur elle-même, ses mains serrent un petit morceau de papier cotonné...
Ses yeux fixent la fumée frivole d’une cigarette qui se consumme seule dans le cendrier...
Une cigarette qui part en fumée...
Un rêve qui se consumme ...
Son visage est de cire, ses traits sont figés. Où est-elle?
Luna bondit sur le divan, glisse son museau entre ses doigts. Elle ne réagit pas... Elle s’installe sur sa hanche, attendant un mouvement, une caresse, un regard, ...
Sa peau est froide, ses mains inertes, elle est absente ... lui aussi.
Il n’est plus là.
Sa chaise est restée vide au diner. Elle n’a pas allumé la bougie sur la table ce soir. Son assiette est toujours là aussi, vide. Le plat est intact. Un verre de vin blanc porte la trace rosée de ses lèvres.
Il n’est pas là.
Ses joues ressemblent aux fenêtres lorsqu’il pleut ; de petites rivières les parcourent...
Il ne viendra plus.
La marquise... (janvier 2004)
Luna, la petite chatte espiègle, est assise sur le sol chaud. Elle la regarde. Un curieux scintillement glisse le long de sa joue pour mourir dans son cou.
Quel étrange phénomène que ses reflets humides qui jaillissent de ses yeux.
Sa respiration est courte, sa poitrine se soulève bizarrement, secouée de spasmes. Elle s’est recroquevillée sur elle-même, ses mains serrent un petit morceau de papier cotonné...
Ses yeux fixent la fumée frivole d’une cigarette qui se consumme seule dans le cendrier...
Une cigarette qui part en fumée...
Un rêve qui se consumme ...
Son visage est de cire, ses traits sont figés. Où est-elle?
Luna bondit sur le divan, glisse son museau entre ses doigts. Elle ne réagit pas... Elle s’installe sur sa hanche, attendant un mouvement, une caresse, un regard, ...
Sa peau est froide, ses mains inertes, elle est absente ... lui aussi.
Il n’est plus là.
Sa chaise est restée vide au diner. Elle n’a pas allumé la bougie sur la table ce soir. Son assiette est toujours là aussi, vide. Le plat est intact. Un verre de vin blanc porte la trace rosée de ses lèvres.
Il n’est pas là.
Ses joues ressemblent aux fenêtres lorsqu’il pleut ; de petites rivières les parcourent...
Il ne viendra plus.
La marquise... (janvier 2004)
Jeu 06 Mai 2004, 12:05 par
la marquise de sade sur La vie à deux
Re: Paris, la nuit
Paris qui se drape de ses plus beaux apparats,
Qui joue la séductrice, la maîtresse de toutes les tentations.
Paris cette garce qui vous allume sans vraiment vous éteindre,
Qui se joue de ses attraits pour vous faire succomber.
Paris sur ces trottoirs qui n’a de cesse de vous allumer,
Telles une prostituée elle s’offre à vos yeux pour mieux vous attirer.
Paris cette tentatrice, chaude femme volage qui vous tente,
Vous agace, vous allume, et échauffe vos sens.
Paris qui vous donnera tous les plaisirs, et qui au matin venu
Repue, d’avoir pris tous vos plaisirs, s’endormira en vous tournant le dos.
Qui joue la séductrice, la maîtresse de toutes les tentations.
Paris cette garce qui vous allume sans vraiment vous éteindre,
Qui se joue de ses attraits pour vous faire succomber.
Paris sur ces trottoirs qui n’a de cesse de vous allumer,
Telles une prostituée elle s’offre à vos yeux pour mieux vous attirer.
Paris cette tentatrice, chaude femme volage qui vous tente,
Vous agace, vous allume, et échauffe vos sens.
Paris qui vous donnera tous les plaisirs, et qui au matin venu
Repue, d’avoir pris tous vos plaisirs, s’endormira en vous tournant le dos.
Mar 03 Fév 2004, 19:43 par
Ri1kedesBêtises sur Citations
Ecrire sur allume
Toi, l'inconnu, ses 12 travaux, Lui, Un aurevoir, Lundi soir, quelque part sur terre..., Re: Paris, la nuit,Il y a 20 textes utilisant le mot allume. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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