J'aime que ta langue douce...

J’aime que ta langue douce
au sortir de ta bouche
amoureusement glisse
le long de mon sexe lisse

Et que tes lèvres humides
sur ma tête dressée
S’entrouvre comme un calice
sur ma peau embuée

De mouvements lascifs
En caresses secrètes
c’est mon sexe qui durcit
et c’est moi qui fléchit

J’aime à te regarder
lentement m’envoûter
consciencieuse, t’arrêter
langoureuse et tout recommencer

Et je ne sais plus de tes lèvres
de ta langue ou tes doigts carressants
le où, le comment de ma fièvre
de mes cris, mes gémissements

Offert comme une femme
à toi comme un amant
car je sais que tu prends
le plaisir que tu me donnes

Mon amour, mon ,
Puise dans mon corps
la source de ta flamme.
Mar 24 Juil 2007, 13:57 par licorne sur Les liaisons sulfureuses

Quand Marie m'inspire...

Venise vénusienne
Ses canaux d’amour...

Marie ou Aimer
L’Aphrodite dite
Celle qui sort de l’écume de la mer
En vice et délice
Versa sa houle câline
Et ses désirs humides
Sur mon

Flux et reflux de nos baisers dissolus
Emotions juteuses
Marée d’amour
Haletants rivages
Ecume ardente
Vagues de l’extase
Orgasme en lame de fond

Ô Marie ! Oui ! Viens me boire !
De mon phare dressé jaillit ma semence
Elle coule et s’offre en cascade
Sur tes joues, ta bouche, ta langue
Tes seins, ton ventre,
Et ta vulve marine
Ô Marie sous-marine...
Mer 18 Juil 2007, 17:15 par cyrpoete sur Les liaisons sulfureuses

Histoires d'eaux...

Au lac de tes yeux

Par un jour d’été orageux,
Larguant les amarres et nos vêtements
A l’appel de l’eau claire dans tes yeux,
Nous plongeons, libres amants,
Dans un lac aussi lisse et calme
Que ton corps et ton âme.

Nos peaux nues saisies de fraîcheur
Se collent ensemble, pur bonheur.
Tes seins raidis par le froid
Glissent à mon torse, pur émoi.

Mes mains entourent ta tête,
Ton regard plonge dans le mien
M’invitant sans détour à la fête
Des sens, à se faire du bien.

Alors commençe un tendre tumulte,
Des envies de cambrures exaltées,
Des rires, des chahuts, des insultes,
Des corps à corps attirés, chavirés, repoussés...

Jeux libres, sans contraintes,
De désirs et d’ardeurs non feintes
Pour parvenir enfin à l’union de la chair,
A ce plaisir chaud qui nous est si cher...

Lèvres charnues et langues tièdes,
Ma bouche touche tes seins ronds,
Ta main saisi ma verge soudain si raide
Et l’agite abilement d’une tension féconde !

Gonflement sensible, comblant ta paume,
Envies subites et féroces en ce lieu sauvage !
Nous sommes rejoins par l’orage
Qui couvre le ciel de son dôme.

Au lac de tes yeux je m’abreuve -
Tentation tentaculaire,
Mon sexe se glisse telle une pieuvre
Au creux de tes cuisses,
Torsion spectaculaire,
Je m’invite en ta matrice...

Chemins sous-marins -
Tu ouvres tes reins.
Remoux, vagues d’extase,
Plus besoin des phrases

Tout s’achève en eaux
En spasmes doux et chauds...


Copyright Cyr
www.poesie-erotique.net

Venez lire ou contribuer aux histoires d’eaux pendant tout l’été sur poesie-erotique.net
Mar 17 Juil 2007, 13:35 par cyrpoete sur Les liaisons sulfureuses

Souvenir

je me souviens le jour où je t’ai rencontré
l’instant précis où nos regards se sont croisés
je me souviens de tout ce que tu me disais
jamais je n’oublierais tes grands yeux noirs
ni ta bouche au gout de cannelle et citron qui m’embrassa
ni ton corps de femme qui m’envoûta
ni ta grâce naturelle qui me subjugua
depuis ce jour j’ai découvert l’amour
le mien, le tien, celui qui peut-être a nous
pauvre diable que je suis
je n’ai que trois choses à t’offrir, car je n’ai pas de fortune
ces trois choses pour toi mon amour sorti de la brume
Mon , mon cœur et ma vie
mon , pour te conquérir
mon coeur, pour t’aimer sans te faire souffrir
ma vie, pour la vivre avec toi a l’infini...
Mar 10 Juil 2007, 23:28 par pierre de la carolina sur Mille choses

L'écriture ( 3 )...

L’écriture...
Exprimer par les mots
Les maux de notre âme...


Marie
Mar 03 Juil 2007, 10:49 par Satine sur Mille choses

Une aube nouvelle ou notre amour sera éternel

J’aime l’horizon de tes yeux ou se dévoilent les éclats d’étoiles qui illuminent ton regard.
J’aime le délicat sourire de ton visage quand l’amour t’habille de ses bras.
Tu es ma fleur d’émotions, au doux parfum de dépendance.
Mon soeur, ma couleur de vie, mon voeu, mon attente de toujours.
Alors, quand l’arbre des mots, où s’écrit notre avenir, m’a permis d’exaucer un souhait,
Que pouvais je lui demander de plus que de t’avoir déjà rencontré ?

Transcender les spasmes du temps, en saisons qui deviendraient l’écrin de nos pensées ?
Enfermer le ciel de l’éternité, sous la voûte de nos destins partages ?
Caresser la volupté de tes sentiments afin d’effleurer ton d’évidence simultanée ?
J’avais atteint le bord des termes du fleuve des émois a ton égard.
Dans quel alcôve se dissimulaient les phrases qui me permettraient d’exprimer l’étendue
de mes sentiments, toujours grandissant, que tu a fait éclore en moi ?

C’est alors , que le vent m’a fait une suggestion, que l’écho a rapporté.
Que chaque étoile porte un fragment de mon , qu’elle restituera chaque nuit,
à tes pieds, en brillant jusque dans tes rêves les plus éthérés
bien sûr , rien ne pourra traduire tout ce que je ressens pour toi,
mais aucune nuit ne se reproduira pour te dire combien je t’aime

Chaque jour verra se lever une aube nouvelle ou notre amour sera éternel.


hug pour toi !!! tu te reconnaitras kiss aime
Sam 23 Juin 2007, 00:12 par joullia sur La déclaration d'amour

Les Larmes (6)...

Mes larmes ont cessé de couler
Elles restent enfouies dans mon âme blessée
Pourquoi ne tombent elles plus
Alors que je n’en peux plus
J’ai tant de choses à pleurer
Que je pourrais innonder un monde entier...

Loyd
Mer 13 Juin 2007, 00:46 par Loyd sur Citations

Nouveau thème d'écriture.

Que n’y avais-je pas pensé plus tôt, il nous manquait une des thèmes les plus forts de la vie amoureuse dans notre forum d’écriture.

Oubli réparé,il est maintenant temps de déclarer sa flamme à celui ou celle qui a attisé notre désir, embrasé nos sens, réchauffé notre âme. Je vous propose "La déclaration d’amour" comme nouveau thème d’écriture.

A vos plumes.
Dim 10 Juin 2007, 11:57 par PetitPrince sur Edito

Où il est question de séduction

Rêver à fleur de cil dans un rêve bleuté
et puis se réveiller pour mieux te retrouver.
Saluer l’aube claire et ce parfum exquis
qui habille les roses et qu’on nomme la vie !
Oh ! surtout ne rien regretter du passé.
Il dort, paisible et sage, ne le tourmentons pas.
Le jour point et mon corps se pare de tes doigts,
riches de toutes choses que j’apprends pas à pas.
Tu m’éveilles à ces jeux comme une adolescente
qu’un soleil éblouit et qui trouve troublantes
les heures qui nous lient !
Oh, tu es lourd de beauté mâle et cela te sied bien.
M’envoûtent tes gestes lents, précis cristaux de quartz,
m’enivrent tes parfums et ton , Italien !
Avec toi mille volts et tout autant de watts !
Que j’aime à t’écouter et ne me prive pas
de mieux te contempler, aussi, du bout des doigts
comme un livre sacré. Tabernacle d’amour,
je veux, puiser, ce jour et encor demain
les bienfaits de l’amour et t’en ceindre les reins...
Jeu 07 Juin 2007, 12:12 par dolce vita sur La séduction

J'aurais voulu que tu sois comme un " frère "...

On s’est rencontrés, on avait tout juste dix huit ans
On était jeunes, trop jeunes sans doute.
On a grandi ensemble comme un frère et une soeur.
Il y avait tellement de ressemblances dans notre histoire...
Nos parents n’ont pas su nous aimer
Tous deux, nous étions des " écorchés vifs ".
Ensemble, on a passé des soirées et des nuits
A vouloir refaire le monde.
Mais on a vite compris
Que le monde tournerait sans nous
Et que nos idéaux resteraient vains.
On s’est aimé comme des fous...
Tu as été mon mentor
Mon " Dieu " en qui j’ai eu la foi,
Tu as été mon tout, mon toit
Je me suis tant réfugiée contre toi
Pour trouver de l’apaisement à mes détresses
Je ne pouvais vivre sans toi
Ma propre existence ne m’ayant jamais intéressé.
On a continué à " grandir ".
Tu es devenu homme et moi femme, certes
Mais mon âme d’enfant est resté si présente en moi
Que je suis, par définition une femme-enfant.
On a apppris à se découvrir.
La vie a passé...
On a fait un bébé, puis un deuxième et un troisième.
C’est de toi que j’ai voulu nos trois enfants.
Au cours de notre vie
Peines et joies se sont entremêlées
On a continué à " mûrir " dans notre vie d’adulte
Toi toujours plus vite que moi.
On a évolué...
Le temps des incompréhensions est venu
J’ai fini par souffrir de tes colères
Qui devenaient parfois violentes
Et qui ont fini par me faire peur.
Mes " silences " que tu as pris pour des mensonges
Tu ne les a pas supportés.
La mélancolie qui m’habite
a fini par t’être " pesante ".
On a fini par ne plus " se comprendre "
Alors un matin j’ai voulu que cela cesse.
J’ai pris une décison qui t’a " blessé.
Je porte " sur mes épaules " la responsabilité de notre séparation
Puisque cela a été mon choix.
Sur le chemin de ma vie
J’ai rencontré un homme
Auquel je me suis attachée.
J’ai " tu " cette relation.
Non pas que je voulais te mentir
Mais te connaissant d’un tempérament jaloux
J’ai voulu la vivre et lui donner une existence...
Un jour tu m’as dit avoir rencontré une femme
Avec laquelle tu as vécu quelques mois
Tu m’as dit l’avoir fait
Pensant me " rendre " jalouse "
En vain...
La vie a continué...
En octobre, ma vie a basculé.
Tu t’es mêlé de ma vie sentimentale.
Tu pensais que cela allait mettre fin à cette relation...
Et que tu allais me " retrouver ".
En vain...
Je pensais être forte et
Ma fragilité est revenue.
Depuis j’ai sombré dans le désespoir.
Pourquoi , je ne sais pas...
Tu sais que je suis de
Ces femmes que l’on n’oublie pas.
J’ai tant à donner... et sans doute
pour cela que je " peux venir à manquer ".

T’aurais pu être comme un frère
A qui on dit tout
Puisque à un frère
On n’a pas de raison de mentir
Alors j’aurai parlé...
Avec honnêteté
Mais je ne veux pas
Qu’elle se " retourne " contre moi.
Je suis si mal...
La vie est un combat
Pour tout à chacun
Mais chaque jour, je perds un peu de ces forces...
Qui font que l’on " reprend le dessus ".

T’aurais pu être comme un frère
Dont les liens sont inneffaçables
Puisque que tu aurais été un " frère de sang "...


Marie
Mer 06 Juin 2007, 13:28 par Satine sur Histoires d'amour

Jalousie... C'est mieux quand ça fait ça!

Ma jalousie n’est qu’un grain de folie,
Un énorme manque de toi ma jolie.
Ca me prends en traitre, par derrière,
Me rend stupide et fier.
Crie de toutes forces mon
Que sans elle je me damne

Il parait que c’est une maladie,
Mais sans elle je perds toute envie.
Alors il faut me faire interner
Car je veux continuer à l’éprouver,
Garder se sentiment de fragilité
Qui s’accorde si bien à l’être aimé...

Promis je la garderai pour moi
Car je vois pas pourquoi
Tu devrais souffrir de ma maladie
Cette douce ennemie
Qu’on appelle la jalousie...
Mar 29 Mai 2007, 13:45 par Loyd sur Histoires d'amour

Rouge...

Rouge carminé
Rouge écarlate
Rouge pourpré

Rouge cuivré
Rouge amarante
Rouge enfiévré

Rouge flambloyant
Rouge enflammé
Rouge incandescent

Rouge sang
Celui de mes veines
Quand la vie
Ne sera plus que peines

Rouge sang
Qui sera ma dernière demeure
Puisque mon âme se meurt...



Marie
Mar 22 Mai 2007, 10:50 par Satine sur Histoires d'amour

Comment te baptiser?

lumière anodine des matins levés
lueur cristalline des rosées insouciantes
matinée ensommeillée aux cheveux immergés
nuage tangible à la quiétude ondulante
courage de la beauté rêvassée
pupille du vent aux sombres douceurs
du chant de la clarté inondée
haleine bercée de combats moqueurs
astre paisible des plaintes assouvies
épée d’orées et de lisières infinies

ou simple silence
à ma désespérance
Jeu 17 Mai 2007, 17:48 par René Cendre sur Parler d'amour

(postpostmodernisme naissant)

Si je commençais l’écriture d’un livre, je débuterais ainsi :
« Repoussons les limites de la littérature post-moderne (si il y a un tant soit peu de notion relative au post-modernisme, je n’en suis pas certain…) et établissons un nouvel ordre littéraire mondialisé… Mais je n’écrirais jamais de livre. Le seul plaisir éprouvé en réalisant l’action (liée à la pensée) d’écrire est d’arriver à saisir mon et la coucher sur le papier. Intime plaisir. Soit. Et teinté du (propre) simple égoïsme de voir sa pensée (ô combien personnelle et sacrée!) couchée sur un papier. Se dire qu’il y aura une trace de soi-même. Quelle excitante et névrotique pensée! C’est un serpent vicieux et lâche…
(Trouver un nouveau mot pour désigner moins communément la pensée). »

Un nuage masque la lumière du soleil un instant. Je viens de décider de ne pas écrire un livre et il fait nuit.

Lola attend en bas. Il m’arrive encore de descendre de temps en temps, pour respirer l’air vicié, marcher au petit matin, ou en pleine nuit pour jeter un regard angoissé à l’interminable présence de la ville. S’étendre un moment sur le pavé rassure et réchauffe, comme si cette masse vivante, cette entité qu’est la ville, pouvait disparaître.
J’ai peur de mourir les poumons arrachés entre les côtes.

Lola est encore habillée de façon honteusement sadique. Le trou au coude gauche de mon pull ne veut pas voir cela. Tant pi. Je remonte. Mais qu’a-t-elle à hurler des mots que je ne comprends pas ?
L’ancien panneau vitré de la porte me protége en haut des marches. Je regarde par le trou de la serrure et je vois les mots éclabousser, voler dans toutes les directions connues en s’évanouissant contre le bois et le verre. Le ballet est affreusement désordonné. Il faudra que je pense à nettoyer. Demain.
Je n’aime pas faire de ménage après une tempête.
Dans un soupir, je me laisse tomber avec effusion dans un fauteuil. Je devrais peut-être avoir un comportement plus social. Mais la présence de mes congénères m’ennuie et m’indispose.

Et que doit faire l’écrivain ensuite ?

Intrusion dans la post-postmodernité ou sieste sous les toits ?

C’est toujours la nuit.

La fenêtre s’amuse à battre avec insistance. S’étirer, se lever, bâiller, s’étirer, s’accouder au rebord. Respirer. Encore un ciel sans étoiles. C’est la ville qui me les a volées.

Je n’aurais pas dû m’endormir. Mon activité intellectuelle me paraît moins productive quand j’habite ici. Quand dois-je partir ?
Ai-je le droit d’affronter ce que le dehors a créé pendant mon absence ?

Le bruit du fer bat à mes tempes, je veux sentir la seringue pénétrer dans mon bras et l’ennui s’épandre dans les veines…
distillation d’une horreur perdue, comment peut-on RECHERCHER l’ennui ?

Surprendre ensuite. En créant une absence totale d’ordre ou de désordre quelconques dans toute cette œuvre en devenir.
L’infinie des possibilités d’automédication est dangereusement dangereuse pour la santé psychique et corporelle. Je lui avais bien dit qu’il était temps pour Elle de mourir (je me souviens).
Elle a mangé le chat et ensuite elle est morte.
Sam 12 Mai 2007, 18:17 par mah sur L'amour en vrac

Sans oublier les seins ;-)

j’aime les parfums en rondeurs... ces rondeurs de femme : cuisses, sexe en O (eau de parfum...), fesses, bouches (exhalant leurs soupirs en volutes...), et seins dont les sens m’hypnotisent...


Les Hypnotiseurs


Ta poitrine flotte gonflée comme deux grosses larmes,
Dans la mer elle étale ses charmes
Et il n’est pas plus divine vision
De contempler ces beaux ballons.

Quand leur plasticité sphérique
Remonte le courant,
Ces lourds paquebots roses
S’enfoncent dans l’eau bleue
Et entament une danse hypnotique
Qui ravive en moi de profonds élans,
Comme une prose virtuose,
Un vin capiteux.
Alors chavirent mes sens
Vers le désir d’absorber l’essence
Des vertigineux parfums
S’exhalant d’entre ses seins.

Ah, lunes fières et vallonnées !
Vos surfaces si soyeuses
M’enveloppent du Léthé
Où mon âme coule, heureuse...


© Cyr - www.poesie-erotique.net
Mar 08 Mai 2007, 16:18 par cyrpoete sur Les liaisons sulfureuses
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Ecrire sur âme

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Il y a 358 textes utilisant le mot âme. Ces pages présentent les textes correspondant.

Bonne lecture !

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