Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur âme - Page 3 sur 24
A pandore
Première parmi les femmes,
Aimée de mon coeur,
N’ayez crainte mais sachez :
J’approche empli de passion et de désir...
Je rêve éveillé d’entendre le plaisir
Sourdre de nos corps par l’amour mélangés.
Pour chasser votre peur
J’irai jusqu’à donner ma toute dernière âme.
Aimée de mon coeur,
N’ayez crainte mais sachez :
J’approche empli de passion et de désir...
Je rêve éveillé d’entendre le plaisir
Sourdre de nos corps par l’amour mélangés.
Pour chasser votre peur
J’irai jusqu’à donner ma toute dernière âme.
Ven 24 Fév 2012, 09:15 par
Epiméthée sur La séduction
Scène
Le cœur froid tel la glace, je ressent ce vide en ton absence , je sais que je n’en ai pas le droit et je te hais pour ça et pour les mille larmes que j’ai versé dans le silence d’une nuit. Mais toi, tu ne vois pas ma douleur, tu n’entends pas mes cris et mon âme se fissure. Je m’éloigne des rives sur une embarcation qui coule déjà si loin de toi et les paroles de nos chanson sont susurré par le vent:
"On sait qu’on ne peut avoir confiance
Je défis le vide,
Et tente l’absence
De m"emporté...."
Mais tu as changer... Tu m’as oublié.... Et tu me déteste, mais je t’en pris souviens toi de l’amour, même si il vient avec la douleur. J’ai besoin de toi , écoute s’il te plais... Ce soir sans toi sur scène, je ne chanterais pas, je ne chanterais plus, oubliez moi car toi tu n’es plus la.
"On sait qu’on ne peut avoir confiance
Je défis le vide,
Et tente l’absence
De m"emporté...."
Mais tu as changer... Tu m’as oublié.... Et tu me déteste, mais je t’en pris souviens toi de l’amour, même si il vient avec la douleur. J’ai besoin de toi , écoute s’il te plais... Ce soir sans toi sur scène, je ne chanterais pas, je ne chanterais plus, oubliez moi car toi tu n’es plus la.
Mer 15 Fév 2012, 14:27 par
murmuran sur L'amour en vrac
Mecano à l'usage des amantes
je n’avais pas d’amour
alors j’en ais fabriqué un de toutes pièces
ce n’est pas bien dur
a faire
un amour
ce n’est pas bien dur
lorsque dans sa tête
naissent des mondes à l’infini
l’arbre bleu
le perroquet vert
le chat mauve
dansent sous deux lunes
pleines
les seins célestes de l’univers
tu le savais
que je courais le monde
a cheval
sur un étalon rouge
toi tu pensais
ordonner le monde
comme un jardin à la française
clôturer les roses
dans une réserve indienne
de terres consenties
mais c’était pas du jeu
ce n’était pas mon jeu
le fou prend la dame
dans le creux de son lit
c’est l’échiquier maboule
de trappes et d’oublis
sans logique
pas de queue
pas de tête
pas d’arrêtes
tu vois
je joue encore
a fabriquer des délires
pratique
il me fallait un amour
aussi
je l’ai bricolé:
des images de toi
et quelques paroles
un peu de sang
non, beaucoup !
rouge comme le suc des grenages trop mûre
des nerfs
je te veux nerveux comme
un enfant
ceux des grandes familles
prodige et maudit
indomptable
comme le vent sur la dune
oui
je te l’avais bien dit
ce n’est pas bien dur
d’être amoureuse
suffit
d’être débrouillarde
et
très méthodique
et puis
surtout
un tout petit peu
têtu
non je ne t’entends pas
non je ne t’entends plus
mon âme en ballon libre
vol sur la plaine
l’amour est ivresse
dansent les lunes rondes
la migration des flamands
pas forcement roses
le chant des baleines
le cri du loup
c’est l’amour qu’on bricole
mon amour.
alors j’en ais fabriqué un de toutes pièces
ce n’est pas bien dur
a faire
un amour
ce n’est pas bien dur
lorsque dans sa tête
naissent des mondes à l’infini
l’arbre bleu
le perroquet vert
le chat mauve
dansent sous deux lunes
pleines
les seins célestes de l’univers
tu le savais
que je courais le monde
a cheval
sur un étalon rouge
toi tu pensais
ordonner le monde
comme un jardin à la française
clôturer les roses
dans une réserve indienne
de terres consenties
mais c’était pas du jeu
ce n’était pas mon jeu
le fou prend la dame
dans le creux de son lit
c’est l’échiquier maboule
de trappes et d’oublis
sans logique
pas de queue
pas de tête
pas d’arrêtes
tu vois
je joue encore
a fabriquer des délires
pratique
il me fallait un amour
aussi
je l’ai bricolé:
des images de toi
et quelques paroles
un peu de sang
non, beaucoup !
rouge comme le suc des grenages trop mûre
des nerfs
je te veux nerveux comme
un enfant
ceux des grandes familles
prodige et maudit
indomptable
comme le vent sur la dune
oui
je te l’avais bien dit
ce n’est pas bien dur
d’être amoureuse
suffit
d’être débrouillarde
et
très méthodique
et puis
surtout
un tout petit peu
têtu
non je ne t’entends pas
non je ne t’entends plus
mon âme en ballon libre
vol sur la plaine
l’amour est ivresse
dansent les lunes rondes
la migration des flamands
pas forcement roses
le chant des baleines
le cri du loup
c’est l’amour qu’on bricole
mon amour.
Mer 15 Fév 2012, 08:59 par
adeleH sur L'amour en vrac
Etre l'élément
Etre l’air
qui te fait vivre
qui remplit tes poumons de sa fraicheur de vie
Etre le vent
qui tantôt te caresse d’une brise délicate
tantôt te décoiffe de ses bourrasques
Etre l’eau
cette petite goutte qui embelli dans ton univers
etre cette goutte qui peut ruisseler tout le long de ton corp
qui se transforme en fleuve d’amour...
Etre le feu
la flamme
qui anime ton âme
qui fait naitre en toi les fantasmes
Cette chaleur qui peu te réchauffer le coeur
qui fait vibrer ta corde intérieur..
Etre ta terre
ton repère
la source de ta vie
celle qui fait naitre ton envie
et accueille ton ame au calme...
Je voudrais être pour toi tout ces éléments
je voudrais que tu les prennes en moi entièrement
Laisse moi devenir ton feu, ta terre, ton air, ton eau
laisse moi être ton élément...
qui te fait vivre
qui remplit tes poumons de sa fraicheur de vie
Etre le vent
qui tantôt te caresse d’une brise délicate
tantôt te décoiffe de ses bourrasques
Etre l’eau
cette petite goutte qui embelli dans ton univers
etre cette goutte qui peut ruisseler tout le long de ton corp
qui se transforme en fleuve d’amour...
Etre le feu
la flamme
qui anime ton âme
qui fait naitre en toi les fantasmes
Cette chaleur qui peu te réchauffer le coeur
qui fait vibrer ta corde intérieur..
Etre ta terre
ton repère
la source de ta vie
celle qui fait naitre ton envie
et accueille ton ame au calme...
Je voudrais être pour toi tout ces éléments
je voudrais que tu les prennes en moi entièrement
Laisse moi devenir ton feu, ta terre, ton air, ton eau
laisse moi être ton élément...
Jeu 29 Déc 2011, 20:10 par
Djinn sur La séduction
La mémoire des yeux
[size=18]La mémoire des yeux
Il suffit que je ferme les yeux,
Que mon esprit vagabonde
Et aussitôt, dans la seconde,
Je me retrouve à mille lieues
Étendue à l’ombre d’un grand pin
Je te revois me dévisager longuement
Détailler mon corps minutieusement
D’un air malicieux et très coquin
Pour attraper ce bel iris
À la couleur des terres sombres
Où je caresserais ton ombre.
J’y plongerais bien ma main.
Le vent nous asperge de senteurs marines
Souffle, ébouriffant tes tempes blanches,
Je me souviens de ta caresse sur mes hanches
Et du mélange, épicé de tes belles origines,
Qui, en ce mois de Juillet, a su me charmer .
Me rendant irrésistiblement belle et désirable à tes yeux,
Dans ce magnifique cadre naturel, calme et silencieux
Que seuls troublent des moineaux qui s’égosillent à chuchoter
Le soleil, la mer, moi, tu n’as su résister
Lentement, comme pour demander la permission
Tu t’es penché déposer un baiser plein d’émotion
Ce contact délicieux a fait, mon âme s’envoler
Les cieux se sont ouverts d’une grâce festive
Cette fougue entre nous est devenue explosive
En un furieux corps-à-corps à s’aimer
Amoureuse, je contrôle difficilement mon corps
Et maintenant mon cœur est atteint à tout jamais
Mémoire qui me rappelle tous les jours, désormais
Que tu fais toujours partie de mon décor
Il suffit que je ferme les yeux,
Que mon esprit vagabonde
Et aussitôt, dans la seconde,
Je me retrouve à mille lieues
Étendue à l’ombre d’un grand pin
Je te revois me dévisager longuement
Détailler mon corps minutieusement
D’un air malicieux et très coquin
Pour attraper ce bel iris
À la couleur des terres sombres
Où je caresserais ton ombre.
J’y plongerais bien ma main.
Le vent nous asperge de senteurs marines
Souffle, ébouriffant tes tempes blanches,
Je me souviens de ta caresse sur mes hanches
Et du mélange, épicé de tes belles origines,
Qui, en ce mois de Juillet, a su me charmer .
Me rendant irrésistiblement belle et désirable à tes yeux,
Dans ce magnifique cadre naturel, calme et silencieux
Que seuls troublent des moineaux qui s’égosillent à chuchoter
Le soleil, la mer, moi, tu n’as su résister
Lentement, comme pour demander la permission
Tu t’es penché déposer un baiser plein d’émotion
Ce contact délicieux a fait, mon âme s’envoler
Les cieux se sont ouverts d’une grâce festive
Cette fougue entre nous est devenue explosive
En un furieux corps-à-corps à s’aimer
Amoureuse, je contrôle difficilement mon corps
Et maintenant mon cœur est atteint à tout jamais
Mémoire qui me rappelle tous les jours, désormais
Que tu fais toujours partie de mon décor
Lun 19 Déc 2011, 12:25 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Un amour infini
Bonjour petite fée,
Je t’amène ce présent.
Et puisse-t-il te prouver,
Ces choses que je ressens.
Ta lumière est un graal,
Un trésor bien secret.
Tu ne sais faire le mal,
Ton amour est parfait.
Tu peux voir le passé,
Accepter tes faiblesses.
Laissons ces jours hantés,
Oublions ces bassesses.
Car désormais cher ange,
Tu commence à briller.
Tu te plonge dans un Gange,
En ressors purifiée.
Je suis fier car hier,
Tu as jeté mes peines.
Je te sens grande et fière,
Je te sais enfin saine.
Peut être doute-tu aussi ,
D’être celle que je louange.
Je le répète ici:
Tu as tout d’un bel ange !
C’est désormais chose faite,
Oublions nos bêtises.
Acceptons nos défaites,
Ressens tu cette brise?
Un vent nouveau nous porte,
On voudrait l’enlacer.
Écoute le, il exorte,
Il est la Vérité .
Au fond de moi je sais,
Que tu as le pouvoir.
Et je te vois tout prêts,
D’accepter un espoir.
Je veux te voir radieuse,
Il suffit de cette peine !
Enfin te voir heureuse,
Et délaisser la haine.
En cet instant je t’aime !
Et glorifie les cieux,
D’avoir voulu qu’on sème,
Quelques graines pour le mieux.
En cet élan je t’aime !
Car tu es magnifique...
Je te vois qui parsème,
Un amour authentique.
À cette heure je t’adore !
Mon coeur pleure de t’avoir !
Tu es un être en or,
Telle une œuvre d’ivoire.
Je te serre contre moi,
Pour t’offrir cette chaleur.
Je te prends dans mes bras,
Et t’enlace pour des heures.
Mon amie tu le sais,
Je suis là sans réserve.
Et quel que soit ton souhait,
Je veux que je le serve.
Mon cœur est plein d’envies,
Mais surtout celle de voir,
Ton retour à la vie,
Et la paix dans tes soirs.
Pour moi tu es une muse,
Et tu guide ma bonté.
Je me nourris, jabuse !
De ta divine clarté.
Tu mérite le bonheur,
Tu as assez souffert.
C’en est assez pour l’heure,
Le passage est ouvert!
Ce modeste présent,
N’est pas juste un écrit.
Ce n’est pas moi, parlant,
Mais la vérité qui crie!
Je ne suis que le scribe,
Du plus pur des élans.
C’est ici que j’exhibe,
Tout l’amour
qu’Il ressent.
L’Univers est en toi,
Tu ressens sa puissance!
Les étoiles brillent sur toi,
Elles te guident vers la chance!
Puisse donc le ciel t’offrir,
Une lumineuse journée.
Moi même je fais partir,
Toutes mes preuves d’amitié.
Encore une fois merci!
Et pour toujours je t’aime!
De cet amour infini,
Où ton âme me ramène.
Je te fais mille baisers!
Je te souhaite mille merveilles!
Tu peux aller en paix,
Car ton coeur se réveille :)
Je t’amène ce présent.
Et puisse-t-il te prouver,
Ces choses que je ressens.
Ta lumière est un graal,
Un trésor bien secret.
Tu ne sais faire le mal,
Ton amour est parfait.
Tu peux voir le passé,
Accepter tes faiblesses.
Laissons ces jours hantés,
Oublions ces bassesses.
Car désormais cher ange,
Tu commence à briller.
Tu te plonge dans un Gange,
En ressors purifiée.
Je suis fier car hier,
Tu as jeté mes peines.
Je te sens grande et fière,
Je te sais enfin saine.
Peut être doute-tu aussi ,
D’être celle que je louange.
Je le répète ici:
Tu as tout d’un bel ange !
C’est désormais chose faite,
Oublions nos bêtises.
Acceptons nos défaites,
Ressens tu cette brise?
Un vent nouveau nous porte,
On voudrait l’enlacer.
Écoute le, il exorte,
Il est la Vérité .
Au fond de moi je sais,
Que tu as le pouvoir.
Et je te vois tout prêts,
D’accepter un espoir.
Je veux te voir radieuse,
Il suffit de cette peine !
Enfin te voir heureuse,
Et délaisser la haine.
En cet instant je t’aime !
Et glorifie les cieux,
D’avoir voulu qu’on sème,
Quelques graines pour le mieux.
En cet élan je t’aime !
Car tu es magnifique...
Je te vois qui parsème,
Un amour authentique.
À cette heure je t’adore !
Mon coeur pleure de t’avoir !
Tu es un être en or,
Telle une œuvre d’ivoire.
Je te serre contre moi,
Pour t’offrir cette chaleur.
Je te prends dans mes bras,
Et t’enlace pour des heures.
Mon amie tu le sais,
Je suis là sans réserve.
Et quel que soit ton souhait,
Je veux que je le serve.
Mon cœur est plein d’envies,
Mais surtout celle de voir,
Ton retour à la vie,
Et la paix dans tes soirs.
Pour moi tu es une muse,
Et tu guide ma bonté.
Je me nourris, jabuse !
De ta divine clarté.
Tu mérite le bonheur,
Tu as assez souffert.
C’en est assez pour l’heure,
Le passage est ouvert!
Ce modeste présent,
N’est pas juste un écrit.
Ce n’est pas moi, parlant,
Mais la vérité qui crie!
Je ne suis que le scribe,
Du plus pur des élans.
C’est ici que j’exhibe,
Tout l’amour
qu’Il ressent.
L’Univers est en toi,
Tu ressens sa puissance!
Les étoiles brillent sur toi,
Elles te guident vers la chance!
Puisse donc le ciel t’offrir,
Une lumineuse journée.
Moi même je fais partir,
Toutes mes preuves d’amitié.
Encore une fois merci!
Et pour toujours je t’aime!
De cet amour infini,
Où ton âme me ramène.
Je te fais mille baisers!
Je te souhaite mille merveilles!
Tu peux aller en paix,
Car ton coeur se réveille :)
Jeu 17 Nov 2011, 08:07 par
ChanG sur La déclaration d'amour
Effluves de confidences
Effluves de confidences
Une myriade de lettres, des milliers de sons
Des centaines de paroles, une cascade de mots
Un torrent de sensations déversant avec douceur
Les élans et les sentiments de mon cœur
Et voyageant jusqu’au contact de ton tympan
Venant acheminer tout au creux de ton oreille
Tout un monde d’intenses émotions
Que mon âme te chuchote avec ferveur
Voyage astral intemporel que je fais avec ma voix
à travers cet appel qui transporte ma passion jusqu’à toi
Caressant doucement le contour du lobe de tes oreilles
Te contant affectueusement monts et merveilles
Laissant dériver le sillage d’une agréable saveur groseille
Dans ce berceau qui accueille mes effusions confidentielles
Et se libère de tous ces tourments bien pesants
D’un cœur qui, tel un saule pleureur se confiera
Tel un petit oiseau perdu, elle écoute en silence
Ce flots de mots ininterrompu qui lui conte romance
Elle s’enivre voluptueusement de toute cette fragrance
Qui se déverse de ses paroles douces et denses
Et qui badigeonnent d’une douceur de miel
Ses épaules lourdes de trop d’absence
Elle sentira son doux parfum,et ses embruns
L’envelopper dans un doux cocon de tendres mots
Elle en oubliera ses ennuis et ses maux
Dans l’odeur douce d’un tendre bonbon pourpre
Une myriade de lettres, des milliers de sons
Des centaines de paroles, une cascade de mots
Un torrent de sensations déversant avec douceur
Les élans et les sentiments de mon cœur
Et voyageant jusqu’au contact de ton tympan
Venant acheminer tout au creux de ton oreille
Tout un monde d’intenses émotions
Que mon âme te chuchote avec ferveur
Voyage astral intemporel que je fais avec ma voix
à travers cet appel qui transporte ma passion jusqu’à toi
Caressant doucement le contour du lobe de tes oreilles
Te contant affectueusement monts et merveilles
Laissant dériver le sillage d’une agréable saveur groseille
Dans ce berceau qui accueille mes effusions confidentielles
Et se libère de tous ces tourments bien pesants
D’un cœur qui, tel un saule pleureur se confiera
Tel un petit oiseau perdu, elle écoute en silence
Ce flots de mots ininterrompu qui lui conte romance
Elle s’enivre voluptueusement de toute cette fragrance
Qui se déverse de ses paroles douces et denses
Et qui badigeonnent d’une douceur de miel
Ses épaules lourdes de trop d’absence
Elle sentira son doux parfum,et ses embruns
L’envelopper dans un doux cocon de tendres mots
Elle en oubliera ses ennuis et ses maux
Dans l’odeur douce d’un tendre bonbon pourpre
Jeu 03 Nov 2011, 20:37 par
caressedesyeux sur Mille choses
Je m'incline!
Mon âme est étreinte, car mon corps manque de ce rythme qui me comblerait. Cet acte: celui où tu me prends. Tu poses tes mains sur mes hanches, et me surprends, comme je succombe à cet instant. Je m’incline, au bord du précipice dans lequel je tombe d’amour. Je me penche.
Je me baisse, tu te dresses. Tu m’apprivoises et j’agonise du désir où mon rêve meurt mais tend à se réaliser. Je me soumets à toi, et toi tu enjambes ce qu’il reste de moi. Ce qu’il reste de moi? Un instinct comme animal, une envie de ton sang dans le mien. Il ne reste plus qu’une pulsion: celle où je me sens vivre pleinement, celle où tu donnes vie à l’orgasme. Celle où l’on culmine de plaisir, au cœur de la réalité. Une envie sans artificiel, une envie naturelle, une envie de toi qui me rend folle. Je m’incline car je t’aime et ça me rend folle de sexe avec toi. Faudrait-il une raison? La raison, la Passion. Je revis quand je vois ton sourire, même lorsque ton sourire ne me suffit plus. Je revis, quand je lis entre les lignes, et que je vois ton visage se dessiner sur le sable où tu écris mon nom. Je revis, quand mon téléphone indique un sms venant de toi, et ce avant de le lire. Je revis comme une enfant, qui t’éprouve. J’apprends, à te connaître, il faut du temps, mais au limite du besoin, mon fantasme se fait pressant. Ma patience a atteint ses limites, et je me languis, malgré les précautions. Doucement mais sûrement, je visualise la scène: comme si nous l’avions fait! Bande sans discontinu, film interdit au moins de 16 ans, ma vision est génitale! Et toi, tu es génial, tu es fantasque, tu es distingué et élégant. Tu m’apaises, et me soutiens. Tu m’écoutes et tu me fais rire. Tu es si intelligent, et très intéressant intellectuellement. Moi ça stimule mon cerveau de sucer des neurones de qualité! Tu me portes bienveillant, et je m’envole au septième ciel. Au 69ième étage, tu me conduis, dans les nuages. Mon regard est brûlant comme le soleil, pétillant, comme ton cœur qui pétille, effervescent, lorsque je te vois. Tu es l’air où je respire, des souffles de renouveau, tel un espoir qui vous caresse, une main qui vous frôle et vous tente. Une envie qui vous démange, une pensée qui vous ronge délicatement. Un jour noir de pluie et de froid, dans l’absence. Une nuit blanche, un présent, qui illumine, ensoleillant. Un rêve diurne, une lueur dans mon cœur qui allume les flammes de l’ardeur. Un élan, voilà tout ce que je suis lorsque tu me pénètres profondément. Lorsque tu touches au plus profond de moi, lorsque tu rentres à l’intérieur et que tu pénètres mon intimité. Lorsque tes mains m’entourent et font le tour de ma taille, lorsqu’elles se promènent comme dans un jardin, et que je me fais fleur. Lorsqu’à ma peau, tes doigts glissent, et dérapent au bon endroit, au bon moment. Lorsque je me fais victime volontaire de tes assauts répétés, et de tout ce "va et vient". Tu bouges comme je vibre, tu me chamboules, tu me secoues, sauvage mais avenant. Mon corps accuse réception, il te reçoit cinq sur cinq, il s’ouvre. Mon corps s’écarte, puis c’est le trou noir: mes yeux se ferment. Je m’évanouis de plénitude, et quand j’ouvre les yeux, tu me donnes un baiser. Ma langue goûte à toi, mes mots coulent, je prends le risque: je me mouille. Je me jette à l’eau, je me noie dans tes yeux, je m’endors dans ton lit. Voilà, tout ce que je suis, lorsque nos deux corps se confondent en un seul, en fusion. Je ne suis plus qu’un être qui ne contrôle plus rien si ce n’est le cheminement de notre voyage en suivant ta voie lactée. Je ne suis plus qu’un être d’émotions que mon corps verbalise et interprète. Je n’ai plus qu’un langage: le corporel. Je n’ai plus qu’une lubie: faire l’amour avec toi.
Je me baisse, tu te dresses. Tu m’apprivoises et j’agonise du désir où mon rêve meurt mais tend à se réaliser. Je me soumets à toi, et toi tu enjambes ce qu’il reste de moi. Ce qu’il reste de moi? Un instinct comme animal, une envie de ton sang dans le mien. Il ne reste plus qu’une pulsion: celle où je me sens vivre pleinement, celle où tu donnes vie à l’orgasme. Celle où l’on culmine de plaisir, au cœur de la réalité. Une envie sans artificiel, une envie naturelle, une envie de toi qui me rend folle. Je m’incline car je t’aime et ça me rend folle de sexe avec toi. Faudrait-il une raison? La raison, la Passion. Je revis quand je vois ton sourire, même lorsque ton sourire ne me suffit plus. Je revis, quand je lis entre les lignes, et que je vois ton visage se dessiner sur le sable où tu écris mon nom. Je revis, quand mon téléphone indique un sms venant de toi, et ce avant de le lire. Je revis comme une enfant, qui t’éprouve. J’apprends, à te connaître, il faut du temps, mais au limite du besoin, mon fantasme se fait pressant. Ma patience a atteint ses limites, et je me languis, malgré les précautions. Doucement mais sûrement, je visualise la scène: comme si nous l’avions fait! Bande sans discontinu, film interdit au moins de 16 ans, ma vision est génitale! Et toi, tu es génial, tu es fantasque, tu es distingué et élégant. Tu m’apaises, et me soutiens. Tu m’écoutes et tu me fais rire. Tu es si intelligent, et très intéressant intellectuellement. Moi ça stimule mon cerveau de sucer des neurones de qualité! Tu me portes bienveillant, et je m’envole au septième ciel. Au 69ième étage, tu me conduis, dans les nuages. Mon regard est brûlant comme le soleil, pétillant, comme ton cœur qui pétille, effervescent, lorsque je te vois. Tu es l’air où je respire, des souffles de renouveau, tel un espoir qui vous caresse, une main qui vous frôle et vous tente. Une envie qui vous démange, une pensée qui vous ronge délicatement. Un jour noir de pluie et de froid, dans l’absence. Une nuit blanche, un présent, qui illumine, ensoleillant. Un rêve diurne, une lueur dans mon cœur qui allume les flammes de l’ardeur. Un élan, voilà tout ce que je suis lorsque tu me pénètres profondément. Lorsque tu touches au plus profond de moi, lorsque tu rentres à l’intérieur et que tu pénètres mon intimité. Lorsque tes mains m’entourent et font le tour de ma taille, lorsqu’elles se promènent comme dans un jardin, et que je me fais fleur. Lorsqu’à ma peau, tes doigts glissent, et dérapent au bon endroit, au bon moment. Lorsque je me fais victime volontaire de tes assauts répétés, et de tout ce "va et vient". Tu bouges comme je vibre, tu me chamboules, tu me secoues, sauvage mais avenant. Mon corps accuse réception, il te reçoit cinq sur cinq, il s’ouvre. Mon corps s’écarte, puis c’est le trou noir: mes yeux se ferment. Je m’évanouis de plénitude, et quand j’ouvre les yeux, tu me donnes un baiser. Ma langue goûte à toi, mes mots coulent, je prends le risque: je me mouille. Je me jette à l’eau, je me noie dans tes yeux, je m’endors dans ton lit. Voilà, tout ce que je suis, lorsque nos deux corps se confondent en un seul, en fusion. Je ne suis plus qu’un être qui ne contrôle plus rien si ce n’est le cheminement de notre voyage en suivant ta voie lactée. Je ne suis plus qu’un être d’émotions que mon corps verbalise et interprète. Je n’ai plus qu’un langage: le corporel. Je n’ai plus qu’une lubie: faire l’amour avec toi.
Mer 26 Oct 2011, 00:07 par
inlove sur Les liaisons sulfureuses
Le baume cicatrisant
Venez près de moi, mon tendre ami,
Déposez votre tête au creux de mon épaule
Mon bras vous servant de douce étole
Entourant votre taille de sa vigueur
Vous entendrez les battements de mon cœur,
Vous chuchoter ces tendres réconforts...
Qui cicatriseront ces "plaies"
Enfermées dans votre âme
Apaisant ces angoisses
Qui parfois ressurgissent..
Ces démons,envahissants,et tourmenteurs
Que je chasserai, juste en posant mes mains
Sur ces blessures ouvertes
Qui te causent tant de chagrin
Elles te feront tant de bien...
Car je serai caresse,sur ces cicatrices
Qui sont invisibles ,
Qui sont indélébiles,
Comme d’autres sont volubiles ...
Je serai le baume réparateur
De ces maux qui causent pleurs
Telle une amie,...
Je les aromatiserai de douces saveurs miellés
Tel un pansement régénérant
Mar 27 Sep 2011, 20:21 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Mourir
Se Tuer Et Ne Rien Espérer,
Se Tuer Et Ne Rien Regretter.
Mourir Pour Ne Plus Revenir,
Mourir Pour Enfin Partir.
Devenir Un Ange Avec Des Armes,
Devenir Un Démon Sans Âme.
Ne Rien Oublier,
Ne Rien Laisser.
Mourir N’est Rien, Comparé Au Blessure De Chacun
Se Tuer Et Ne Rien Regretter.
Mourir Pour Ne Plus Revenir,
Mourir Pour Enfin Partir.
Devenir Un Ange Avec Des Armes,
Devenir Un Démon Sans Âme.
Ne Rien Oublier,
Ne Rien Laisser.
Mourir N’est Rien, Comparé Au Blessure De Chacun
Sam 27 Août 2011, 22:27 par
Coeur_Noir sur Mille choses
Compte à rebours
Poucinella est le membre 999 : bienvenue aux Ames tendres et merci de te joindre à nous !!!
Qui sera la 1000ème âme tendre inscrite ???
La tension est à son comble.
Cependant, une question demeure : qui sera-t-elle et de quel texte nous régalera-t-elle ?!
Dolce
Qui sera la 1000ème âme tendre inscrite ???
La tension est à son comble.
Cependant, une question demeure : qui sera-t-elle et de quel texte nous régalera-t-elle ?!
Dolce
Lun 08 Août 2011, 07:46 par
dolce vita sur Annonces
Le plus secret de tes reves
[size=18]
Parfois, quand un soupçon de mélancolie
Vient envahir le cours de ma vie,
Je voudrais pouvoir m’envoler
Comme ces grands oiseaux migrateurs,
Qui parcourent la planète entière
Et me poser là où il fait bon vivre
Respirer Ton parfum à m’en rendre ivre
Et me reposer à l’ombre de ces palmiers,
Qui entendent les vagues déferler jusqu’au petit matin...
Me laissant bercer par le chant des sirènes
De ces immenses océans azurés
Me poser, comme un léger vent des tropiques
Délicatement sur le pistil d’une fleur exotique
Et m’abreuver de son nectar si doux
Plus doux que le miel,
Plus enivrant, que l’arôme..
Qui s’en dégage...
M’endormir paisiblement ,
Sur une feuille dont la rosée perle
De fines gouttelettes fraiches,
Qui étancheront pour toujours ma soif...
Parfois, quand un vent de nostalgie
Vient faire frissonner ma peau, la nuit
Ton image vient hanter ma rêverie
Et mon âme s’envole vers le paradis
J’entends alors comme une musique divine
Un chant au doux rythme soyeux
J’entends ta belle voix cristalline
Chanter des accords mélodieux
Je vois dés lors dans l’ombre voisine
La silhouette de ton corps merveilleux
Et sous mes yeux la scène s’anime
Je nous vois ensemble et heureux
Puis soudain la chambre s’illumine
D’un rayon de lune malicieux
Et le rêve ainsi se termine
Et tout redevient triste et silencieux
Alors, à nouveau, je m’imagine
Que je m’envole vers les cieux
Allant rejoindre ma divine
Auprès de qui je suis heureux[/size]
Parfois, quand un soupçon de mélancolie
Vient envahir le cours de ma vie,
Je voudrais pouvoir m’envoler
Comme ces grands oiseaux migrateurs,
Qui parcourent la planète entière
Et me poser là où il fait bon vivre
Respirer Ton parfum à m’en rendre ivre
Et me reposer à l’ombre de ces palmiers,
Qui entendent les vagues déferler jusqu’au petit matin...
Me laissant bercer par le chant des sirènes
De ces immenses océans azurés
Me poser, comme un léger vent des tropiques
Délicatement sur le pistil d’une fleur exotique
Et m’abreuver de son nectar si doux
Plus doux que le miel,
Plus enivrant, que l’arôme..
Qui s’en dégage...
M’endormir paisiblement ,
Sur une feuille dont la rosée perle
De fines gouttelettes fraiches,
Qui étancheront pour toujours ma soif...
Parfois, quand un vent de nostalgie
Vient faire frissonner ma peau, la nuit
Ton image vient hanter ma rêverie
Et mon âme s’envole vers le paradis
J’entends alors comme une musique divine
Un chant au doux rythme soyeux
J’entends ta belle voix cristalline
Chanter des accords mélodieux
Je vois dés lors dans l’ombre voisine
La silhouette de ton corps merveilleux
Et sous mes yeux la scène s’anime
Je nous vois ensemble et heureux
Puis soudain la chambre s’illumine
D’un rayon de lune malicieux
Et le rêve ainsi se termine
Et tout redevient triste et silencieux
Alors, à nouveau, je m’imagine
Que je m’envole vers les cieux
Allant rejoindre ma divine
Auprès de qui je suis heureux[/size]
Lun 25 Juil 2011, 15:17 par
caressedesyeux sur Mille choses
Petit traité de vulgairisation scientifesse 2 ( fessebook)
1. La politique mon cul !
Ben oui! Qu’on le veuille ou non, ce n’est jamais qu’une histoire de fesses. Intéressons-nous d’abord à notre Président de la république. Pour que sa majorité de droite décolle, il faut bien qu’il joue un peu de la fesse. Aussi il caresse doucement la partie de gauche (dans le sens du poil) puis la soulève et " allume un pet "(à l’UMP), les idées n’étant pas que du vent, on sait comment polluer l’entendement de ses adversaires! En politique il est bon de protéger ses arrières. Un cul n’est jamais posé lourdement sur deux fesses quand il trône sur son siège. Un coup tu reposes sur la fesse de droite et demain prout!...le vent tourne à gauche. De ce fait, Il en va des idées qui fusent sur les deux bords de droite comme de gauche et il faut composer pour garder sa place bien au chaud. La démocratie en politique est un exutoire: c’est la chasse d’eau dans les toilettes pour montrer que l’on est propret sur soi. On fait mine de chasser les mauvaises odeurs mais " des mots crasses y " s’en balancent dans l’hémicycle de la cuvette. Les faux-culs sont nombreux, on en voit serrer les fesses, bien " centrés " assis sur leur banc. Pourtant ils ne sont jamais que des trous du cul qui viennent foutre la merde, pour parler poliment. D’autres faux-culs n’ont pas le courage de leur politique et ils font dans leur froc car pour aller de droite à gauche, tu passes irrémédiablement par le centre...
Mais regardons plus loin jusqu’en Europe maintenant. On constatera que l’air n’est guère mieux respirable: les " tire au cul " sont nombreux parmi les députés européens. Comme ils siègent à Bruxelles ils font choux gras et chacun apporte alors... sa petite commission!!!
Et le président du FMI, encore une histoire de fesse puisqu’il a fourré sa main au panier!
Mais alors me direz-vous une idée saine en politique c’est quoi? Ben, de fesse sûre c’est beau comme un clair de pleine lune. Une vérité qui luit et ne " nuit " à personne en faisant tache à l’obscurantisme!
2. Septembre c’est la saison des vendages. En " nœud-ô-lofesse " (on parle aussi de nœud-au-logis) ]on sait qu’il faut des grappes bien mûres et un cep bien ferme pour tirer le bon jus. Pour cela il doit bien entendu pousser sur de jolis coteaux inclinés. L’excellence de " chattes’ eaux "qui plus est dans le " mille s’y met " requiert un savoir-faire et pour tester le produit, tout l’art est de rouler dans son palais le breuvage pour en apprécier au mieux ses saveurs. Il faut alors le garder un certain temps en bouche, jouer des papilles avec sa langue et inspirer par le nez pour évaluer son bouquet avant de le recracher ou l’avaler....
Ah! Que vivement novembre quand coulera à flot le " Beau jeune lait " nouveau. Je me demande bien quel petit goût il aura: sera-ce la framboise, la fraise ou la banane?
3. Et la lumière déchue!
Aujourd’hui je suis nostalgique. J’ai le nez au plafond où pendouille une ampoule basse consommation. Si j’en juge par son éclat, elle porte bien son nom!...ça ressemble à rien, pas même à une bite. Nos vieilles ampoules avaient l’avantage d’être profilées comme un cul et montraient fière allure. Tout y préfigurait, passant du gaz inerte jusqu’au petit filament qui dessinait l’entre cuisse en son delta fuyant. Quand le flux électrique le portait à incandescence, il chauffait le cul de l’ampoule. Alors comme une sainte divinité, on la voyait s’auréoler dans un halo de lumière. C’était de l’amour en poésie et en réminiscence à ce " Beau derrière en l’air " je clame haut ses " verres "....
" Mon ange, mon cœur! Songe de douceur,
Nous vibrerons plus ensemble.
Là! Tout n’est plus qu’ordre sans beauté,
Lux?...certes! Mais sans âme ni volupté! "
C’est ce qu’on appelle la versification ampoulée.
4. En entomolofesse (et non en entr’mollofesse qui en vertu de la fesse concède vous le conviendrez à la vulgarité et non à la vulgairistion) donc en entomolofesse dis-je, il est un spécimen remarquable et ô combien intéressant: la coccyxfesse appelée encore " la fesse à bon Dieu "; car plaise à Dieu, nulle fesse pareille est si joliment rosée et potelée. Et ce qui la caractérise en dehors de sa pigmentation surprenante c’est ses grains de beauté épars en gros points noirs. La coccyxfesse n’est pas nuisible à l’homme, bien au contraire, elle s’accommode à tous les biotypes, jouant même le rôle d’insecticide naturel. Capable à elle seule d’avaler tous les vilains morpions indésirables qui " la bite " en son séant. L’heureux chanceux qui approcherait la coccyxfesse, naturaliste mordu dans le bon sens du terme, ne pourra que s’émerveiller au froissement de ses rondes parties. Et, si peu qu’elle daigne s’ouvrir, alors il vivra le vol nuptial car foi de coccyxfesse on sait de source sûre que: le " col obtempère " si aux fesses tu portes " bon heurt "!....
5. En scientifesse, il est un phénomène remarquable l’acoufesse. Rien à voir avec l’acouphène qui est cette sensation désagréable quand ça vous siffle dans les oreilles. Ici, ce serait plutôt lorsque l’on vous siffle dans le cul que ça vous cogne dans les fesses!
6. En spéléofesse, dans les substructions intra-utérine, la concrétion clitoridienne est excitée par l’inoculation du corps caverneux qui n’est autre que la " staillabite ": nom scientifesse pour bien le différencier de la stalactite et de la stalagmite car un coup il monte et un coup il descend!
7. En soufflerie aérodynamique, la fesse réagit comme une voile en vent arrière. Elle est d’autant mieux rebondie si on y va " gréement " sur la mâture! Dans le cas contraire, la fesse est plate. Elle fasèye le long du mat. Résultat, la propulsion est poussive. Il faut alors jouer de la godille avec souplesse dans le poignet pour activer le train arrière!
8. En électricité, la fesse produit deux sortes de courant:
- Le courant électrostatique: créer par frottement à l’aide d’un bâton sur le tissu plastico-fessier. Un frissonnement électro sensoriel se propage alors sur tout le corps.
- le courant électrochimique: créé par électrolyse, le bâton joue ici le rôle de cathode. Trempé dans le récipient fessier, en milieu " à-queue ", il fait naître par électrochoc un plaisir jouissif. Comme toujours quand lui fait le moins (il en n’a que foutre) la fesse fait le plus avec l’anode. Pas si anodine pour autant quand on pense que son côté pile lui permettra de recharger son « à-cul ».Quand la fesse est rebondie, on parle de pile « dure-à-selle » (l’effet de charge dure plus longtemps.
9. Parlons du programme scientifesse de " rase-muse ". C’est en quelque sorte l’idylle des jeunes pour vivre l’amour à " l’heure hop! ". Le jouvenceau ou jouvencelle en quête de cet amour sans frontière devra d’abord faire table rase de ses peurs sur le " pue-bien "; viendra ensuite l’enseignement de l’art au plaisir qui est de caresser sa " muse " sans avoir un poil dans la main!
10. Intéressons-nous un peu à l’airbag comme dispositif de sécurifesse. Au-delà de son incontestable effet pare-chocs, il serait prétentieux de croire que chez la femme il est plus développé seulement pour absorber les secousses du mâle en rut. Le malheureux, s’il savait, est bien souvent en-deçà de nos espérances et c’est à peine si la culbute nous ébranle! Plus sérieusement, il y a deux raisons essentielles à ce gonflement de l’airbag fessier. La première, c’est qu’il joue un rôle réparateur pour la future femme enceinte. Il rétablit son centre de gravité vers l’arrière pour une marche plus sûre et l’aide à compenser son balancement vers l’avant suite à son gros ventre. De plus, il sert d’amortisseur à d’éventuelles chutes. Mais la deuxième raison que l’on ignore c’est que toute femme, susceptible d’être un jour plaquée par son mec, si elle se relève non sans mal psychologiquement, sera toujours bien prémunie physiquement quand bien même la malheureuse en tomberait sur son cul. Comme quoi la nature est bien faîte !
11. le trou du cul se refermera-t-il un jour ?
Ici les gaz CFC (chlorofluorocarbone) ne sont pas les responsables du trou dont il est question qui, s’il doit se refermer un jour, se fera plutôt par absence de gaz. Oh ! Comme la vie sera moins « gay » pour certains. Triste aussi pour les autres, la vie de « fessoyeur »étant à proscrire par la perte du trou, ils devront se rabattre sur une vie plus « con-sensuelle ».Bien sûr, il y a du bon quand on pense que tous les « trou-balourds »ne seront plus à la fête. Reste un chant d’amour à réinventer pour autres poètes « trou-vers ». Une chose est certaine cependant, les petits trous du cul ne pulluleront plus à la surface de la terre et, par là même, ne pollueront plus notre existence. Il fera alors bon vivre le renouveau de la musique dans l’Art de faire du vent. Réentendre les violons des amours sous la main caressante de l’homme qui fait vibrer son âme. Car comme l’écrit Simon Leys en citant un personnage de Mario Vargas Llosa : « la vie n’est jamais qu’une tornade de merde dans laquelle l’Art demeure notre seul parapluie ! »
12. Du cerveau à la fesse et vice versa.
La fesse et le cerveau présentent des similitudes physiques. Deux lobes et un sillon qui les séparent. La tête contient le cerveau et le cul le muscle fessier, cependant les deux parties sont interchangeables. On connaît par exemple l’expression « avoir la tête dans le cul » ou « un cul à la place du cerveau ». Sans compter que l’on peut tomber sur le cul comme sur la tête et aussi se renverser le cul par-dessus tête. On voit alors comment ils sont complémentaires. De même quand il arrive à l’un de péter plus haut que son cul, il peut arriver à l’autre de péter un plomb. La complémentarité s’explique par le fait que si le premier ne manque pas d’air, le deuxième joint son « cervo-lant » pour tirer les ficelles.
Une chose établie, c’est que le cerveau reste en haut mais il est moins bien irrigué que les fesses situées en bas ; si tant que parfois se produit des fuites qui ne sont pas assimilables aux fuites de cerveaux. Toutefois une mauvaise irrigation du cerveau et c’est le trou noir qui se différencie de la fesse ; car si l’un induit l’AVC l’autre conduit aux WC… ce qui n’est pas tout à fait pareil !
Il existe aussi des zones du langage du cerveau, itou chez la fesse. Enfin, le cerveau est l’organe central de l’endocrinologie. Pour la fesse, c’est quand l’organe est centré dans le dos que l’on crie et l’on jouit.
Outre ces rapprochements, le cerveau et la fesse divergent aussi dans leur fonctionnalité.
Exemple : 1. Quand le cerveau se fait siège de la pensée. On dit parfois que l’on est dans la lune. C’est tout différent si aux fesses tu ressens un mal de « panse, et » hop ! Tu files au siège mais sur la lunette ! On comprend que l’approche métaphysique n’est pas la même.
2. On parle aussi du cerveau pour son effet placébo. Rien de tel pour la fesse qui, quand elle est plate, n’est jamais belle.
13. Vous avez tous entendu parler du pendule de « faux-cul ». Un brillant physicien a prouvé que le cul n’était pas une masse inerte mais bien un organe animé. Il vérifia ses dires en promenant un petit pendule au-dessus d’un faux-cul qui reproduisait un mouvement de vague en ondoyant sur deux belles fesses en gélatine. Il remarqua aussitôt l’oscillation du pendule. Conformément au principe d’inertie stipulant que le mouvement des objets est figé si aucune force s’exerce sur eux, l’expérimentation du pendule vérifia que la rotondité des fesses et ses fluctuations épidermiques exerçaient un réel pouvoir d’attraction, susceptibles de réveiller la flexion périodique d’un pendule. Attention ! Le pendule de « faux-cul » dont je vous parle ne se trouve pas au Panthéon mais bien dans le pantalon !
14. Un autre génie en physique, c’est Einstein avec sa célèbre équation sur la relativité E=mc2. Mais en vérité, cette formule lui fut inspirée par une belle paire de fesses. Eh oui !c’est dans un état de relativité somme toute foudroyante surgit par réaction de « fession »(le passage d’une beauté sculpturale et inattendue de fesses entraîne la réaction en chaîne atonique) que c’est manifesté sa torpeur soudaine, accompagnée d’une chaleur intense fusionnelle sur tout son corps et l’extinction soudaine de sa voix suivie d’une formidable envie de niquer : c’est l’action atonique ! Dans cette subite exaltation, le physicien balbutia alors son fameux E=mc2, qui décrypté dans sa formulation mathématique n’est autre qu’une élucubration astronomique signifiant. Einstein(E) aime(m) c’est deux(C2), en rapport bien sûr avec les voluptueuses fesses !...
15. Révélations symptomatiques inavouées sur la propagation du virus de la grippe A (grippe porcine) :
Les messages de prévention pour se prémunir contre le virus de la grippe A sont légions en ce moment. Il ne faut pas éternuer, se moucher de préférence dans un mouchoir en papier et veiller à bien le jeter à la poubelle en se lavant les mains après pour ne pas contracter le virus. Mais ce que l’on ne vous a pas dit, c’est que le virus est transmissible surtout par le pet ! Sans qu’il soit mentionné de rapports plus approfondis en scatolofesse, on a vérifié tout de même que, si un malade vous mitraille de la fesse, il lâche du « H1N1 ». C’est-à-dire en clair qu’il lâche une à une sa caisse. Sachant que le virus est très volatil, le port du masque à gaz homologué (voir mes phots pour plus de détails) est plus qu’indispensable : le porteur du virus étant malgré lui un vieux porc, le malheureux pète plus que de raison ! Alors un bon conseil, pour échapper à la pandémie porter le masque et tenez-vous à l’écart de toute pétarade intempestive. Défiez-vous aussi du partenaire un peu trop discret qui étoufferait son dégazage. Il y a un vieux truc pour le démasquer : le goret a forcément les fesses bien roses et comble de ridicule… il a la queue en tire-bouchon !
16. En historiofesse, on se doit de «comm’amore » la chute du « gland mûr » (prendre l’accent de Salvador Dali). Quand, de part et d’autre de la porte de « Branle-bourre », seul passage ouvert mais bien gardé, il s’érige toujours et encore sans jamais réussir à percer le « raie-dos »de deux fesses hystériques qui, « guère froides », n’en demeurent pas moins symboles d’ouverture et de pets !...
17. En économico-scientifesse, il faut se référer à l’illustre " Montes-coït " qui dans son livre " l’esprit de bon aloi " insistait sur les pratiques aux mœurs douces pour faciliter les échanges; insistant sur la valeur du billet doux ainsi que le côté " monnaie taire " pour jouer de la fesse et boursicoter malin.
18. En glaciolofesse, on note un phénomène qui est contraire à la glaciologie. En effet, si on prélève une carotte glaciaire, la plus vieille qui soit, un phénomène remarquable peut se produire si on ne prend pas toutes les précautions : à savoir qu’elle est susceptible de s’enflammer à l’air libre par la présence du méthane avec l’oxygène! Or, en glaciolofesse, c’est aussi une vulgaire affaire de carotte. Les femmes, on le sait, ont généralement les pieds glacés ; les fesses moins. Mais le mécanisme de glaciologie est inversé ici en ce sens que c’est seulement si on vient à lui plonger une jolie carotte, qu’elle sentira monter le feu aux fesses ! A-postériori, on peut rapprocher à cette observation, la réaction de « cri-au-logis ». Elle intervient à chaud et, n’a rien de commun avec la cryologie qui elle se produit à froid.
Ben oui! Qu’on le veuille ou non, ce n’est jamais qu’une histoire de fesses. Intéressons-nous d’abord à notre Président de la république. Pour que sa majorité de droite décolle, il faut bien qu’il joue un peu de la fesse. Aussi il caresse doucement la partie de gauche (dans le sens du poil) puis la soulève et " allume un pet "(à l’UMP), les idées n’étant pas que du vent, on sait comment polluer l’entendement de ses adversaires! En politique il est bon de protéger ses arrières. Un cul n’est jamais posé lourdement sur deux fesses quand il trône sur son siège. Un coup tu reposes sur la fesse de droite et demain prout!...le vent tourne à gauche. De ce fait, Il en va des idées qui fusent sur les deux bords de droite comme de gauche et il faut composer pour garder sa place bien au chaud. La démocratie en politique est un exutoire: c’est la chasse d’eau dans les toilettes pour montrer que l’on est propret sur soi. On fait mine de chasser les mauvaises odeurs mais " des mots crasses y " s’en balancent dans l’hémicycle de la cuvette. Les faux-culs sont nombreux, on en voit serrer les fesses, bien " centrés " assis sur leur banc. Pourtant ils ne sont jamais que des trous du cul qui viennent foutre la merde, pour parler poliment. D’autres faux-culs n’ont pas le courage de leur politique et ils font dans leur froc car pour aller de droite à gauche, tu passes irrémédiablement par le centre...
Mais regardons plus loin jusqu’en Europe maintenant. On constatera que l’air n’est guère mieux respirable: les " tire au cul " sont nombreux parmi les députés européens. Comme ils siègent à Bruxelles ils font choux gras et chacun apporte alors... sa petite commission!!!
Et le président du FMI, encore une histoire de fesse puisqu’il a fourré sa main au panier!
Mais alors me direz-vous une idée saine en politique c’est quoi? Ben, de fesse sûre c’est beau comme un clair de pleine lune. Une vérité qui luit et ne " nuit " à personne en faisant tache à l’obscurantisme!
2. Septembre c’est la saison des vendages. En " nœud-ô-lofesse " (on parle aussi de nœud-au-logis) ]on sait qu’il faut des grappes bien mûres et un cep bien ferme pour tirer le bon jus. Pour cela il doit bien entendu pousser sur de jolis coteaux inclinés. L’excellence de " chattes’ eaux "qui plus est dans le " mille s’y met " requiert un savoir-faire et pour tester le produit, tout l’art est de rouler dans son palais le breuvage pour en apprécier au mieux ses saveurs. Il faut alors le garder un certain temps en bouche, jouer des papilles avec sa langue et inspirer par le nez pour évaluer son bouquet avant de le recracher ou l’avaler....
Ah! Que vivement novembre quand coulera à flot le " Beau jeune lait " nouveau. Je me demande bien quel petit goût il aura: sera-ce la framboise, la fraise ou la banane?
3. Et la lumière déchue!
Aujourd’hui je suis nostalgique. J’ai le nez au plafond où pendouille une ampoule basse consommation. Si j’en juge par son éclat, elle porte bien son nom!...ça ressemble à rien, pas même à une bite. Nos vieilles ampoules avaient l’avantage d’être profilées comme un cul et montraient fière allure. Tout y préfigurait, passant du gaz inerte jusqu’au petit filament qui dessinait l’entre cuisse en son delta fuyant. Quand le flux électrique le portait à incandescence, il chauffait le cul de l’ampoule. Alors comme une sainte divinité, on la voyait s’auréoler dans un halo de lumière. C’était de l’amour en poésie et en réminiscence à ce " Beau derrière en l’air " je clame haut ses " verres "....
" Mon ange, mon cœur! Songe de douceur,
Nous vibrerons plus ensemble.
Là! Tout n’est plus qu’ordre sans beauté,
Lux?...certes! Mais sans âme ni volupté! "
C’est ce qu’on appelle la versification ampoulée.
4. En entomolofesse (et non en entr’mollofesse qui en vertu de la fesse concède vous le conviendrez à la vulgarité et non à la vulgairistion) donc en entomolofesse dis-je, il est un spécimen remarquable et ô combien intéressant: la coccyxfesse appelée encore " la fesse à bon Dieu "; car plaise à Dieu, nulle fesse pareille est si joliment rosée et potelée. Et ce qui la caractérise en dehors de sa pigmentation surprenante c’est ses grains de beauté épars en gros points noirs. La coccyxfesse n’est pas nuisible à l’homme, bien au contraire, elle s’accommode à tous les biotypes, jouant même le rôle d’insecticide naturel. Capable à elle seule d’avaler tous les vilains morpions indésirables qui " la bite " en son séant. L’heureux chanceux qui approcherait la coccyxfesse, naturaliste mordu dans le bon sens du terme, ne pourra que s’émerveiller au froissement de ses rondes parties. Et, si peu qu’elle daigne s’ouvrir, alors il vivra le vol nuptial car foi de coccyxfesse on sait de source sûre que: le " col obtempère " si aux fesses tu portes " bon heurt "!....
5. En scientifesse, il est un phénomène remarquable l’acoufesse. Rien à voir avec l’acouphène qui est cette sensation désagréable quand ça vous siffle dans les oreilles. Ici, ce serait plutôt lorsque l’on vous siffle dans le cul que ça vous cogne dans les fesses!
6. En spéléofesse, dans les substructions intra-utérine, la concrétion clitoridienne est excitée par l’inoculation du corps caverneux qui n’est autre que la " staillabite ": nom scientifesse pour bien le différencier de la stalactite et de la stalagmite car un coup il monte et un coup il descend!
7. En soufflerie aérodynamique, la fesse réagit comme une voile en vent arrière. Elle est d’autant mieux rebondie si on y va " gréement " sur la mâture! Dans le cas contraire, la fesse est plate. Elle fasèye le long du mat. Résultat, la propulsion est poussive. Il faut alors jouer de la godille avec souplesse dans le poignet pour activer le train arrière!
8. En électricité, la fesse produit deux sortes de courant:
- Le courant électrostatique: créer par frottement à l’aide d’un bâton sur le tissu plastico-fessier. Un frissonnement électro sensoriel se propage alors sur tout le corps.
- le courant électrochimique: créé par électrolyse, le bâton joue ici le rôle de cathode. Trempé dans le récipient fessier, en milieu " à-queue ", il fait naître par électrochoc un plaisir jouissif. Comme toujours quand lui fait le moins (il en n’a que foutre) la fesse fait le plus avec l’anode. Pas si anodine pour autant quand on pense que son côté pile lui permettra de recharger son « à-cul ».Quand la fesse est rebondie, on parle de pile « dure-à-selle » (l’effet de charge dure plus longtemps.
9. Parlons du programme scientifesse de " rase-muse ". C’est en quelque sorte l’idylle des jeunes pour vivre l’amour à " l’heure hop! ". Le jouvenceau ou jouvencelle en quête de cet amour sans frontière devra d’abord faire table rase de ses peurs sur le " pue-bien "; viendra ensuite l’enseignement de l’art au plaisir qui est de caresser sa " muse " sans avoir un poil dans la main!
10. Intéressons-nous un peu à l’airbag comme dispositif de sécurifesse. Au-delà de son incontestable effet pare-chocs, il serait prétentieux de croire que chez la femme il est plus développé seulement pour absorber les secousses du mâle en rut. Le malheureux, s’il savait, est bien souvent en-deçà de nos espérances et c’est à peine si la culbute nous ébranle! Plus sérieusement, il y a deux raisons essentielles à ce gonflement de l’airbag fessier. La première, c’est qu’il joue un rôle réparateur pour la future femme enceinte. Il rétablit son centre de gravité vers l’arrière pour une marche plus sûre et l’aide à compenser son balancement vers l’avant suite à son gros ventre. De plus, il sert d’amortisseur à d’éventuelles chutes. Mais la deuxième raison que l’on ignore c’est que toute femme, susceptible d’être un jour plaquée par son mec, si elle se relève non sans mal psychologiquement, sera toujours bien prémunie physiquement quand bien même la malheureuse en tomberait sur son cul. Comme quoi la nature est bien faîte !
11. le trou du cul se refermera-t-il un jour ?
Ici les gaz CFC (chlorofluorocarbone) ne sont pas les responsables du trou dont il est question qui, s’il doit se refermer un jour, se fera plutôt par absence de gaz. Oh ! Comme la vie sera moins « gay » pour certains. Triste aussi pour les autres, la vie de « fessoyeur »étant à proscrire par la perte du trou, ils devront se rabattre sur une vie plus « con-sensuelle ».Bien sûr, il y a du bon quand on pense que tous les « trou-balourds »ne seront plus à la fête. Reste un chant d’amour à réinventer pour autres poètes « trou-vers ». Une chose est certaine cependant, les petits trous du cul ne pulluleront plus à la surface de la terre et, par là même, ne pollueront plus notre existence. Il fera alors bon vivre le renouveau de la musique dans l’Art de faire du vent. Réentendre les violons des amours sous la main caressante de l’homme qui fait vibrer son âme. Car comme l’écrit Simon Leys en citant un personnage de Mario Vargas Llosa : « la vie n’est jamais qu’une tornade de merde dans laquelle l’Art demeure notre seul parapluie ! »
12. Du cerveau à la fesse et vice versa.
La fesse et le cerveau présentent des similitudes physiques. Deux lobes et un sillon qui les séparent. La tête contient le cerveau et le cul le muscle fessier, cependant les deux parties sont interchangeables. On connaît par exemple l’expression « avoir la tête dans le cul » ou « un cul à la place du cerveau ». Sans compter que l’on peut tomber sur le cul comme sur la tête et aussi se renverser le cul par-dessus tête. On voit alors comment ils sont complémentaires. De même quand il arrive à l’un de péter plus haut que son cul, il peut arriver à l’autre de péter un plomb. La complémentarité s’explique par le fait que si le premier ne manque pas d’air, le deuxième joint son « cervo-lant » pour tirer les ficelles.
Une chose établie, c’est que le cerveau reste en haut mais il est moins bien irrigué que les fesses situées en bas ; si tant que parfois se produit des fuites qui ne sont pas assimilables aux fuites de cerveaux. Toutefois une mauvaise irrigation du cerveau et c’est le trou noir qui se différencie de la fesse ; car si l’un induit l’AVC l’autre conduit aux WC… ce qui n’est pas tout à fait pareil !
Il existe aussi des zones du langage du cerveau, itou chez la fesse. Enfin, le cerveau est l’organe central de l’endocrinologie. Pour la fesse, c’est quand l’organe est centré dans le dos que l’on crie et l’on jouit.
Outre ces rapprochements, le cerveau et la fesse divergent aussi dans leur fonctionnalité.
Exemple : 1. Quand le cerveau se fait siège de la pensée. On dit parfois que l’on est dans la lune. C’est tout différent si aux fesses tu ressens un mal de « panse, et » hop ! Tu files au siège mais sur la lunette ! On comprend que l’approche métaphysique n’est pas la même.
2. On parle aussi du cerveau pour son effet placébo. Rien de tel pour la fesse qui, quand elle est plate, n’est jamais belle.
13. Vous avez tous entendu parler du pendule de « faux-cul ». Un brillant physicien a prouvé que le cul n’était pas une masse inerte mais bien un organe animé. Il vérifia ses dires en promenant un petit pendule au-dessus d’un faux-cul qui reproduisait un mouvement de vague en ondoyant sur deux belles fesses en gélatine. Il remarqua aussitôt l’oscillation du pendule. Conformément au principe d’inertie stipulant que le mouvement des objets est figé si aucune force s’exerce sur eux, l’expérimentation du pendule vérifia que la rotondité des fesses et ses fluctuations épidermiques exerçaient un réel pouvoir d’attraction, susceptibles de réveiller la flexion périodique d’un pendule. Attention ! Le pendule de « faux-cul » dont je vous parle ne se trouve pas au Panthéon mais bien dans le pantalon !
14. Un autre génie en physique, c’est Einstein avec sa célèbre équation sur la relativité E=mc2. Mais en vérité, cette formule lui fut inspirée par une belle paire de fesses. Eh oui !c’est dans un état de relativité somme toute foudroyante surgit par réaction de « fession »(le passage d’une beauté sculpturale et inattendue de fesses entraîne la réaction en chaîne atonique) que c’est manifesté sa torpeur soudaine, accompagnée d’une chaleur intense fusionnelle sur tout son corps et l’extinction soudaine de sa voix suivie d’une formidable envie de niquer : c’est l’action atonique ! Dans cette subite exaltation, le physicien balbutia alors son fameux E=mc2, qui décrypté dans sa formulation mathématique n’est autre qu’une élucubration astronomique signifiant. Einstein(E) aime(m) c’est deux(C2), en rapport bien sûr avec les voluptueuses fesses !...
15. Révélations symptomatiques inavouées sur la propagation du virus de la grippe A (grippe porcine) :
Les messages de prévention pour se prémunir contre le virus de la grippe A sont légions en ce moment. Il ne faut pas éternuer, se moucher de préférence dans un mouchoir en papier et veiller à bien le jeter à la poubelle en se lavant les mains après pour ne pas contracter le virus. Mais ce que l’on ne vous a pas dit, c’est que le virus est transmissible surtout par le pet ! Sans qu’il soit mentionné de rapports plus approfondis en scatolofesse, on a vérifié tout de même que, si un malade vous mitraille de la fesse, il lâche du « H1N1 ». C’est-à-dire en clair qu’il lâche une à une sa caisse. Sachant que le virus est très volatil, le port du masque à gaz homologué (voir mes phots pour plus de détails) est plus qu’indispensable : le porteur du virus étant malgré lui un vieux porc, le malheureux pète plus que de raison ! Alors un bon conseil, pour échapper à la pandémie porter le masque et tenez-vous à l’écart de toute pétarade intempestive. Défiez-vous aussi du partenaire un peu trop discret qui étoufferait son dégazage. Il y a un vieux truc pour le démasquer : le goret a forcément les fesses bien roses et comble de ridicule… il a la queue en tire-bouchon !
16. En historiofesse, on se doit de «comm’amore » la chute du « gland mûr » (prendre l’accent de Salvador Dali). Quand, de part et d’autre de la porte de « Branle-bourre », seul passage ouvert mais bien gardé, il s’érige toujours et encore sans jamais réussir à percer le « raie-dos »de deux fesses hystériques qui, « guère froides », n’en demeurent pas moins symboles d’ouverture et de pets !...
17. En économico-scientifesse, il faut se référer à l’illustre " Montes-coït " qui dans son livre " l’esprit de bon aloi " insistait sur les pratiques aux mœurs douces pour faciliter les échanges; insistant sur la valeur du billet doux ainsi que le côté " monnaie taire " pour jouer de la fesse et boursicoter malin.
18. En glaciolofesse, on note un phénomène qui est contraire à la glaciologie. En effet, si on prélève une carotte glaciaire, la plus vieille qui soit, un phénomène remarquable peut se produire si on ne prend pas toutes les précautions : à savoir qu’elle est susceptible de s’enflammer à l’air libre par la présence du méthane avec l’oxygène! Or, en glaciolofesse, c’est aussi une vulgaire affaire de carotte. Les femmes, on le sait, ont généralement les pieds glacés ; les fesses moins. Mais le mécanisme de glaciologie est inversé ici en ce sens que c’est seulement si on vient à lui plonger une jolie carotte, qu’elle sentira monter le feu aux fesses ! A-postériori, on peut rapprocher à cette observation, la réaction de « cri-au-logis ». Elle intervient à chaud et, n’a rien de commun avec la cryologie qui elle se produit à froid.
Lun 04 Juil 2011, 19:25 par
Fessue de Naz'arête sur Articles
Sentiment d'un coup de foudre
J’ai comme une envie de poser ma vie sur le confort de ses douces lèvres. Ces lèvres, qui, un peu humide, rafraîchiraient mon existence si sèche et sans saveur. Si seulement, elle pouvait savoir ce que je ressens à son égard. Une certitude, une confiance inouïe. Ce genre d’Amour que rien ne corrompt. En un seul regard, elle m’a transpercé le cœur. Elle a su mettre toute ma vision sinistre de l’Amour en un avis contraire. En un seul mouvement de cette femme, j’ai eu le cœur étoilé. Tel une nuit magnifique. Je ne l’ai ni touchée, ni sentie. Je ne l’ai pas approchée pourtant je me sens si proche d’elle. Elle est belle, faites de courbes sensuelles et d’une classe inébranlable. Cette inconnue, me fait vivre dans mes battements de cœur. Ce que je n’ai pas pu faire depuis des années déjà. Ce coup de foudre m’a fait comprendre que : " L’amour, existe vraiment". Tous ces coups de tonnerre au creux de mon Âme viennent de me mettre au courant. Je crois que je l’aime déjà trop, pour prétendre pouvoir l’aimer plus encore. Pas besoin de connaître pour aimer. L’amour n’est pas du Savoir. L’amour est un ressenti. On le perçoit. Face à elle qui s’éloigne dans la rue d’à côté, je l’ai compris ! Je la retrouverai, Elle seule m’a permis en 2 secondes de ne pas me perdre pour l’Éternité. "Je la veux, elle m’aura", se disait-il.
Ven 24 Juin 2011, 10:43 par
Authentik sur L'amour en vrac
Elle brillait de mille feux, mais...
Elle brillait de mille feux. Chaque pas qu’elle faisait mettais mes yeux en éclat. Sa démarche cadencée et classe, laissait apparaître au fond de mon Âme, un feu d’artifice.
Elle était jeune mais faisait Femme, bien à mon goût. Naturelle, elle me laissait croire au ralliement du Ciel et de la Terre, car elle avait tout d’un Ange, avec l’apparence Humaine.
Mon corps frissonnait à l’idée de m’approcher d’elle.
Je la suivis à petits pas. J’avais faim de son Amour. Mon cœur et son appétit parlaient. Fallait-il que je consacre ma vie à cette parfaite inconnue ?
Je languissais l’un de ses baisers. Que les tourments qui enneigent ma Vie fondent sous la chaleur de ses bras !
Elle se retourna, me remarqua et me sourit. Ca y est, c’est peut-être le moment pour l’aborder..
Je l’accostai et lui dis : " Bonjour , je vous suis discrètement depuis un petit moment déjà. Je n’ai pu résister à votre charme. Vous êtes si belle, si élégante. En tous cas, je ne veux pas vous importuner plus longtemps.. Si je vous laisse mon numéro, vous m’appelleriez pour qu’on sorte ensemble un de ces soirs" ? Je pensais, que j’avais été juste et charmant. Mon sourire laissait apparaître sérénité et Joie.
Elle me fixa, de manière désinvolte, et me dit , en riant : "Non mais, vous rigolez ?! C’est une blague ? Non je ne sortirais pas avec vous. Vous êtes mignon, mais cela ne se fait pas d’aborder les gens dans la rue de cette manière ! Et puis je suis déjà prise".
A ce moment-là, j’ai eu l’impression que tout s’écroulait ! Mon idéal féminin (ce qu’elle incarnait au vu du coup de foudre ressenti) s’est transformé en quelques mots en une personne antipathique et cassante.
Elle brillait de mille feux, mais c’est ma flamme qu’elle a su éteindre sans aucune subtilité.
Elle s’en alla. Et moi, surpris et confus, je la laissais partir me sentant ridicule. Ah ! les apparences et la beauté ne sont que superflues. Au moins je m’en souviendrais.
Elle était jeune mais faisait Femme, bien à mon goût. Naturelle, elle me laissait croire au ralliement du Ciel et de la Terre, car elle avait tout d’un Ange, avec l’apparence Humaine.
Mon corps frissonnait à l’idée de m’approcher d’elle.
Je la suivis à petits pas. J’avais faim de son Amour. Mon cœur et son appétit parlaient. Fallait-il que je consacre ma vie à cette parfaite inconnue ?
Je languissais l’un de ses baisers. Que les tourments qui enneigent ma Vie fondent sous la chaleur de ses bras !
Elle se retourna, me remarqua et me sourit. Ca y est, c’est peut-être le moment pour l’aborder..
Je l’accostai et lui dis : " Bonjour , je vous suis discrètement depuis un petit moment déjà. Je n’ai pu résister à votre charme. Vous êtes si belle, si élégante. En tous cas, je ne veux pas vous importuner plus longtemps.. Si je vous laisse mon numéro, vous m’appelleriez pour qu’on sorte ensemble un de ces soirs" ? Je pensais, que j’avais été juste et charmant. Mon sourire laissait apparaître sérénité et Joie.
Elle me fixa, de manière désinvolte, et me dit , en riant : "Non mais, vous rigolez ?! C’est une blague ? Non je ne sortirais pas avec vous. Vous êtes mignon, mais cela ne se fait pas d’aborder les gens dans la rue de cette manière ! Et puis je suis déjà prise".
A ce moment-là, j’ai eu l’impression que tout s’écroulait ! Mon idéal féminin (ce qu’elle incarnait au vu du coup de foudre ressenti) s’est transformé en quelques mots en une personne antipathique et cassante.
Elle brillait de mille feux, mais c’est ma flamme qu’elle a su éteindre sans aucune subtilité.
Elle s’en alla. Et moi, surpris et confus, je la laissais partir me sentant ridicule. Ah ! les apparences et la beauté ne sont que superflues. Au moins je m’en souviendrais.
Ven 24 Juin 2011, 08:37 par
Authentik sur L'amour en vrac
Ecrire sur âme
A pandore, Scène, Mecano à l'usage des amantes, Etre l'élément, La mémoire des yeux, Un amour infini, Effluves de confidences, Je m'incline!, Le baume cicatrisant, Mourir, Compte à rebours, Le plus secret de tes reves, Petit traité de vulgairisation scientifesse 2 ( fessebook), Sentiment d'un coup de foudre, Elle brillait de mille feux, mais...,Il y a 358 textes utilisant le mot âme. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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