Est ce que ce monde est sérieux ?

On est le 5 Juin. C’est Dur. Tout a un air de dernière fois. J’attends la trêve qui me laissera regarder le ciel sans amertume. Mais je ne rencontre sans cesse qu’un puits de souvenirs et de mélancolie où remonter est impossible, où se relever est impensable.
Mais comment pourrais-je, bon sang ?! Comment pourrais-je sortir de ce foutu trou si chaque instant à un gout de fin ?! Je ne peux pas. Le soleil est une illusion trop lointaine, sans doute s’éloigne-t-il des sources de dépression. Je ne peux pas. Le brouillard se fait plus intense, j’ai salué la Solitude maintenant elle ne me quitte plus. Elle s’est faite trop de place dans ma vie, mon le Réconfort à essayer de la repousser, mais le Désespoir s’y est mêlait. Je ne peux pas. Ils rient, ils chantent, ils sourient, moi je pleure, je bois, je meurs. Je meurs d’espoir, je meurs de vivre, je meurs de croire. Je ne peux pas. La lumière peu à peu s’éteint me laissant seule moi et mon destin. Mon corps entier est léthargique, et les gens me rappellent trop mon pathétique. Je ne peux pas.
Je ne peux plus, essayer de me convaincre que demain fera soleil, qu’après la pluie règne toujours le beau temps. Ca fait trop longtemps que je l’attends. Et se mentir sur la désillusion d’une clarté future n’a jamais eu de fin heureuse. Alors j’écris. J’écris pour exister dans un monde désillusionné, j’écris pour des sourds, j’écris pour oublier le temps et mon passé et j’écris pour qu’on se souvienne qu’un 5 Juin 2010, une personne a été oublié et s’est envolé en criant Liberté.
Ven 11 Juin 2010, 16:40 par Withoutdream sur L'amour en vrac

Lyon destination paris (premier chapitre)

Elle avait préparé son baluchon pour le temps d’un week-end. Il avait trouvé une excuse bidon, pour la retrouver à la gare, avait pris toutes ces dispositions afin qu’elle passe un merveilleux séjour avec lui. Un petit hôtel qui ne payait pas de mine, mais dont les proprio étaient très sympathiques.Il y régnait une chaleureuse ambiance, des couleurs chatoyantes, des revêtements muraux jusqu’aux meubles, à l’habillement des chambres. Douillet, comme il aimait, douce comme elle l’était aussi...
Il l’attendait sur le quai, malgré le froid, malgré la pluie rien ne l’empêcherait d’aller la retrouver, car il attendait cela depuis trop longtemps et c’était l’occasion ou jamais.
Elle, assise, ses pensées bien lointaines, se remémorait, ce qu’elle connaissait de lui, un visage, une voix, ces paroles. Cette douce complicité qui s’était installée avec parcimonie, et dont ils en appréciaient chaque instant passé ensemble. Il regardait sa montre, le train était en retard, il s’impatientait, l’adrénaline montait.
Elle arrive enfin! Elle descend, le cherche du regard, lui décoche son plus beau sourire, il s’en extase, va à sa rencontre, lui prend sa main, dépose un doux baiser dont elle en sera bouleversée...
La voiture les attend un peu plus loin. Ils ont tellement de choses à se raconter...
Il l’emmènera à l’hôtel, poser ses affaires et l’a laissera se rafraichir.
Surprise, en l’amenant au bord de l’eau, elle sortira une bouteille de Cerdon bien fraiche. Pas de verre, ce qui ne leur posera pas de problème...Boire au goulot, voir couler un peu, dans le cou. Ils en rigoleront comme des adolescents.
Elle a froid, il s’en aperçoit, il quittera son pull, car n’osant pas encore trop se rapprocher d’elle, un brin timide, qu’elle décèlera chez lui, et qui la fera "craquer". Elle en reniflera discrètement ces effluves.
La faim commencera à les" tenailler "
Surprise encore...
Embarquement, chez un restaurateur, qui lui laissera sa cuisine pour la journée. Le voila enfilant un tablier par dessus sa chemise noire. Elle sourit, il jettera quelques tortellini dans une casserole, improvisera une sauce à sa façon
Une bouteille d’un bon cru sera débouchée, ils trinqueront ce petit moment particulier; Puis ils iront se balader, il lui fera visiter , avec enjouement ,main dans la main, osant s’aventurer un peu plus loin, en lui caressant l’intérieur de sa paume, et elle ne dira rien.
Ils se serreront un peu plus, auront de petite attention, qui feront que tout cela sera "magique"
Leurs regards pétillants, des paillettes pleins leurs yeux.
Elle s’approchera furtivement, et posera un baiser sur ses lèvres, il en profitera pour lui rendre mais fougueusement.
Il l’a raccompagnera jusqu’à la porte, mais elle l’entrainera, en le poussant doucement sur le lit...
elle prendra tout son temps pour un "effeuillage" en oubliant aucune parcelle de son corps, en le "baisant" de ces petits baisers doux, et dont il frissonnera déjà. Il la comblera aussi de ses caresses, et y prendra goût, en lui faisant comprendre de continuer ce qu’il fera, car de voir le plaisir dans ses yeux, le rendra le plus heureux. Il aime donner, tellement donner, et elle aussi. Comme si leurs corps se connaissaient depuis toujours, parfaite osmose, de deux corps, brulant de passion.
Mer 02 Juin 2010, 15:24 par caressedesyeux sur Parler d'amour

Une lettre d'amour particulière à un ami particulier

Cher ******,

Voilà que je t’écris cette confidence au cœur de cette nuit bien humide. Non loin de moi, mon compagnon, plongé dans un sommeil profond, pleure dans ses rêves. Ses larmes de douleur coulent à cause de moi. Mon cœur est de pierre, dit-il. Pourquoi ne me laisses-tu pas pénétrer dans ton univers ? Pourquoi m’écartes-tu de ton cœur ? Je t’aime et je souffre de ce manque de sentiment de ta part. Tu es bien cruelle. Voilà ce que dit mon compagnon. Hélas, mon cœur maintient cette distance de peur de connaître cette folie qu’est l’amour. J’aime sans aimer. L’homme avec je partage ma couche. Je l’aime pour son affection pour ma part. J’ai cédé sous le poids de son amour sans m’être jamais demandé si je l’aimais du fond de mon cœur. J’aime lui faire des caresses. J’aime sa présence. J’aime avoir des rapports sexuels avec lui. Malgré tous ses signes, il sent une distance entre nous. Je lui parle de compagnes de jeu potentielles. Cela ne l’amuse pas car il ne peut faire partie de ses jeux interdits. Il me traite d’égoïste. Tu ne cherches que ton propre plaisir ! Et moi, que suis-je à tes yeux ? Qu’un simple objet sexuel ! Mon compagnon a bien raison. A mes yeux, c’est un bel objet sexuel. Mais tous les flots de cyprine que je déverse actuellement viennent de divers fantasmes. J’imagine bien d’autres choses. Il le sent qu’il existe une distance entre lui et moi mais il ne sait pas quoi. Maintenant, je vais t’expliquer, mon cher ******, pourquoi je crée cette distance.

As-tu, mon tendre , été amoureux ? Moi, je l’ai été une fois au point de vouloir mourir pour cette personne. J’ai été folle amoureuse. Trop prolixe, ma maladresse m’a tuée. Cet amour m’a beaucoup blessée. Mon compagnon actuellement s’est toujours moqué de cet amour de jeunesse. Toutefois, il n’a jamais essayé de comprendre les conséquences de cet amour déçu. Depuis cet amour solitaire, je me suis jurée de ne plus jamais vendre mon cœur à un homme. Si je ressentais quelque affection pour l’un entre eux, mon amour ne serait que partiel. Ce serait un amour raisonné raisonnable. Mon amour actuel est un amour raisonné raisonnable. Il ressent toute la folle passion que peut souhaiter une femme au point de laisser passer tous mes écarts de conduite. C’est pour beaucoup l’home idéal. Justement, c’est ce genre d’homme qui me plaît de faire souffrir. On dit toujours qu’on ne se rend pas compte des merveilles qui nous sous ses yeux. Je veux qu’il trouve quelqu’un qui le mérite. Alors, je le fais souffrir autant que j’ai souffert d’un rêve de six ans. Je veux qu’il me quitte. Je veux le voir heureux avec une femme qui saura lui rester fidèle de corps et de cœur. Le mien est trop déçu car il n’éprouve plus de passion mais seulement que de la tendresse à son égard.

Pourquoi mets-je des barrières entre toi et moi ? Crois-tu pouvoir me rendre heureuse ? J’ai repoussé tes avances, tes tendres caresses car je ne veux pas que tu vives avec la même douleur que mon compagnon actuel vit. Ton cœur est si fragile qu’il ne supporterait pas le choc. Crois-moi, je suis quelqu’un de trop instable pour toi. Ne confonds pas « amour » et « désir sexuel ». Mon tendre , ton pucelage m’excite, je te désire. Depuis que je t’ai vu entreprendre des caresses poussées, je te vois comme un homme plein de désirs. Cela m’amuse mais me fait peur car je ne veux pas que tu tombes dans les pièges de ton cœur. Ces derniers temps, je fantasme beaucoup sur toi. Je rêve que tu me prennes, que tu me susurres de mots doux, que tu me caresses longuement. Toutefois, tout cela demeure du fantasme sexuel plus que de l’amour. Mon homme se doute que tu es présent dans mon esprit. Il sait que tu occupes une place particulière dans mon cœur. Cette place privilégiée, il en est jaloux. D’où vient ce privilège que tu occupes dans mon cœur ? Tendre , cette place vient de l’innocence de ton cœur simple.

Mon , garde cette innocence pour la plus belle des femmes et non pour une souillon comme moi.
Mar 11 Mai 2010, 03:27 par Solina sur La déclaration d'amour

Dans un monde parfait, je t'écrirai ceci ...

A cet être simple et innoncent,

Quand nous nous regardons chaque matin devant notre miroir, nous croyons nous connaître, nous croyons en nos illusions de gloire, de réussite et de beauté. Mais qui sommes-nous donc ?

Dans nos cœurs, nous croyons dans des illusions. Dans ses illusions, nous sommes les empereurs de la luxure, de la gourmandise et de divers autres péchés. Pourquoi ? Notre être, au fil du temps, crée ses propres monstres, excès de nos personnalités déséquilibrées. Nos tentatives d’équilibres se soldent par des échecs. Pourquoi ? Ces équilibres sont factices, artificiels. Ce trompe-cœur ne leurre pas notre être fondamental. Voilà pourquoi le docteur Jeckyll ne parvient jamais à détruire Mr. Hyde sans se tuer lui-même. Il fait partie de sa personnalité. La religion qui nous fait croire en un être divin essaye de nous équilibrer par la passion destructrice qui nous anime. Il utilise cette passion destructrice en passion salvatrice. Mais quel combat vain ! Combien de pécheurs ont continué leur excès dans la folie des guerres religieuses ! Une fois que nos cœurs sont souillés, les pleurs ne peuvent effacer les crimes que nous commettons ! Les plaies peuvent se cicatriser mais marquent à jamais la peau. Ainsi, devons-nous vivre sous des masques de théâtre pour jouer notre vie en société !

Toi, mon bel ange, crois-tu me connaître ? Tu es ébloui par la blancheur de mes ailes, par mon sourire angélique, mes mains bienfaisantes. Mais sais-tu que cela n’est qu’un habit de carnaval ? Cet habit me démange, il ne me correspond pas. Serais-tu capable de me voir en monstre ? Non. Personne ne montre son vrai visage pour ne pas connaître le haro. Personne n’aime vivre au ban de la société car l’homme ne survit qu’en société. Mes ailes cachent mes épines ensanglantés de crimes qui j’ai commis pour le plaisir du corps. J’aime les corps. J’aime les sentir près de moi. J’ai bafoué un amour sincère qui me louait comme une sainte immaculée. Il continue à m’aimer malgré les nombreuses flagellations que je lui inflige. Je livre mon corps aisément à l’ivresse de l’instant. Je me cache de tout le monde. Je fais vivre mes apparences pour survivre en société. Je vis dans la crainte de la destruction de ses apparences. Je prends soin de ne pas les fissurer. Combien ai-je fait des faux pas qui me coûtent aujourd’hui une peur vivace ? Chaque fois que je laisse entrer quelqu’un dans mon univers intime, le hasard fait qu’il se trouve aussi dans un environnement que je crois protégé, réservé à une image de société. Est-ce ainsi que Dieu cherche à me punir des crimes que j’ai commis au nom de la Passion des corps déchus ? Est-ce ma malédiction ? Jusqu’à présent, aucun de mes fantômes ne s’est réveillé pour détruire mes mondes. Toutefois, je dois demeurer toujours sur mes gardes. Un volcan qui dort est un volcan actif…

Mon ange, demeure dans ton bel âge où l’innocence te maintient dans la pureté ! Garde-toi de t’approcher de moi ! Je ne veux pas te souiller, mon bel .
Ven 16 Avril 2010, 02:04 par Solina sur Un monde parfait

Le rendez-vous


Elle a cette classe que les autres n’ont pas,
De part son charme, et son élégance.
Un brin sensuel
Un chic naturel.
Laissant entrevoir ses jambes longues et sublimes à la vue des passants.
Une touche de rouge colore ses lèvres,
Elle se sent si belle,si femme
Que les hommes donneraient leurs cœurs.
Elle attise tous les regards,
Une convoitise de tendre bêtise.
Le souffle du vent caresse son doux visage,
Et la voila plongée dans ses pensées,
Son "bien aimé"
Son
Son amant.
Il traverse le pont pour lui donner un baiser avec volupté.
Elle se sent beaucoup mieux
Ils se regardent dans les yeux,
Et une étincelle surgit soudainement;
Ils s’en vont main dans la main
En se promettant de meilleurs lendemains.


caressedesyeux


Mer 17 Mars 2010, 14:57 par caressedesyeux sur Mille choses

Le rendez-vous



Elle a cette classe que les autres n’ont pas,
De par son charme et son élégance.
Un brin sensuel,
Un chic naturel.
Laissant entrevoir ses jambes longues et sublimes à la vue des passants.
Une touche de rouge colore ses lèvres,
Elle se sent si belle, si femme
Que les hommes donneraient leurs cœurs.
Elle attise tous les regards,
Une convoitise de tendre bêtise.
Le souffle du vent caresse son doux visage,
Et la voilà plongée dans ses pensées,
Son "bien-aimé"
Son
Son amant.
Il traverse le pont pour lui donner un baiser avec volupté.
Elle se sent beaucoup mieux
Ils se regardent dans les yeux,
Et une étincelle surgit soudainement ;
Ils s’en vont main dans la main
En se promettant de meilleurs lendemains.


caressedesyeux




Dim 28 Fév 2010, 20:25 par caressedesyeux sur Mille choses

Aimer, toujours aimer ?

Si X poursuivait cette conversation avec Y :

X : "Des évidences ? Mais, mon , rien n’est évident dans l’Amour. Le temps n’attend pas l’Amour. L’Amour se conjugue au présent et non au passé. Au futur, aimer n’a point de réalité."
Y : "Certes, rien n’est évident en Amour. Mais mon coeur vivait notre amour dans ce temps que vous avez vous-même révolu."
X : "Il est devenu passé révolu car le présent de votre verbe a disparu."
Y : "Ma douce amante, il demeure toujours dans mon coeur au présent. Souffrez de cette foi en mon affection."
X : "Accordez à d’autres sujets !"
Y : "Je veux continuer à conjuguer avec vous ce verbe au présent !"
X : "Cette conjugaison au pluriel ne me sied guère !"
Y : "Mais, ma belle e, ce verbe ne se conjugue pas au singulier !"
X : "Mon bon monsieur, il se conjugue au singulier avec un complément. Trouvez-vous un complément !"
Y : "Le plus beau des compléments, c’est vous."

Cela est bien triste de finir sur un désaccord lorsque la conjugaison au pluriel ne veut plus se faire.
Le verbe "aimer" sans complément perd sa vitalité sans de divins accords.
Ven 12 Fév 2010, 02:41 par Solina sur Parler d'amour

Un sourire?

Il me semble qu’un sourire, comme un mot, peut avoir plusieurs acceptions et que le contexte permet de donner un sens.
Solina, ton sourire, tes caresses sont-ils les mêmes lorsqu’ils s’offrent à un enfant, à un(e) (e), ou à celle qui partage tes nuits?
Si c’est le cas, je saisis plus facilement tes termes,
quand tu évoques la méprise, la confusion...
En effet, tu sembles flirter avec les limites de l’ambigüité...
Mais, ton affection est-elle gratuite?
As-tu déjà connu l’Amour, pour ne pas le distinguer
de l’tié, pour ne pas le souhaiter exclusif,
ou l’Amour est-il à ce point effrayant?
A quel prix se déprendre sans s’éprendre?
Mer 03 Fév 2010, 07:00 par évènement sur Un monde parfait

Sourire

Mes cher(e)s (e)s,
Pourquoi aime-je tant les sourires ? Parce que nous aimons les attentions sincères et que nous vivons mal l’hypocrisie. Quand je parle des sourires,je parle de ceux qui sont nécessaires pour toute relation, cale ou amoureuse. J’aime voir les hommes sourire. Nous sourions pour manifester notre soutien à une idée, à une personne. Le sourire marque le début d’une complicité qu’il faut définir. Mais est-il facile de définir une tié ou un amour ? Ce n’est pas facile pour un coeur. On croit savoir aimer mais on finit confus. On accompagne nos sourires par des gestes d’affection. J’aime me laisser caresser par mes (e)s, j’aime jouer avec leurs doigts, masser leur corps pour les découvrir un peu plus leur intimité. Parfois, il m’arrive d’être si bien avec un(e) (e) que j’ai envie de caresses plus poétiques, encore plus douces sans pour autant vouloir construire une relation amoureuse unique. Combien ai-je rencontré de personnes qui se sont mépris de mes caresses ! Cette méprise en a blessé plus d’un(e).
Récemment, j’ai un bon copain à qui j’ai laissé me prendre dans ses bras car je sais qu’un contact physique lui manque. Il m’a longtemps tenu dans ses bras, cherché le contact de mes mains lorsque nous jouions ensemble à un jeu vidéo,et il a posé longtemps sa tête sur mon épaule. C’est quelqu’un de craintif. Il a tellement peur d’être rejeté, de blesser qu’il n’a aucune assurance. Quand j’ai vu qu’il voulait m’enlacer,je me suis laissée faire pour lui témoigner mon affection et confiance. J’ai accompagné mes gestes de sourires. Mais que signifiaient mes sourires et mes caresses à ses yeux ? Comme il n’a jamais fait l’amour et qu’il n’a pas beaucoup eu d’affection gratuite, j’ai bien peur qu’il tombe dans une forte méprise.
L’homme ne peut dissocier amour et sexe, amour et le contact physique. N’aimer qu’une personne n’est qu’un leurre. Nous aimons des corps, des personnes. Voir un sourire me donne envie de sourire et de tout faire pour garder ce sourire, véritable trésor du coeur. Mais jusqu’à quel prix ?
Mer 03 Fév 2010, 03:27 par Solina sur Un monde parfait

Un nounours : signe d'amitié

Envie de vous faire partager un sourire.

Chacun d’entre nous possédons un objet qui nous rappelle des souvenirs de tendresse. Le plus marquant est notre premier chiffon, un jouet ou une peluche. Quand nous étions tristes, il portait nos malheurs. Quand nous étions heureux, il partageait notre joie.Nous nous attachons à cet être car il porte religieusement nos secrets d’enfance. Quand nous grandissons, il existe dans nos coeurs mais disparaît peu à peu au profit d’autres choses.

Pour les quarante ans d’un , j’ai voulu lui communiquer ma profonde tié en lui confectionnant une peluche. Certes, à l’image de chaque homme, elle est imparfaite. Mais, sa seule perfection, c’est mon amour dans chacun de mes gestes, ma sincérité dans sa réalisation. Dans mon coeur, cette peluche demeure unique car je ne reproduirai pas deux fois la même.

Pourquoi ? Cette peluche est la première que j’ai réalisée en entier, toute à la main. Elle est marquée de toutes mes hésitations, de mes déceptions mais aussi de mes joies et victoires. A mes yeux, elle est tout ce que je suis. J’ai voulu donner le meilleur de moi-même car il a toujours donné le meilleur de lui-même. Simple et discret, il est toujours à l’écoute. J’ai voulu réaliser une peluche simple et discrète, comme à l’image de ce compagnon vivant dans mon ombre. A ce compagnon, que je n’ai jamais su prendre dans mes bras, à qui je n’ai jamais su dire en face que je l’appréciais, j’ai voulu lui manisfester tous mes sentiments d’tié dans ce simple objet.

Car, comme la peluche, je veux être pour lui le compagnon silencieux qui porte joies et peines de son maître. Comment savoir que cette tié est réciproque ? Il a placé cette petite peluche dans sa poche de chemise, au niveau de son coeur et non dans son sac, là où tous les adultes laissent leur tendresse d’enfant.

Qu’est-ce que grandir ? C’est regarder votre vie avec le regard neuf d’un enfant qui découvre à chaque instant la vie avec ses petites joies et ses petites peines et qui chuchote à son nounours : "Regarde, je vis et je te remercie de porter mon coeur" !
Ven 22 Jan 2010, 03:06 par Solina sur Mille choses

Par petits bouts

D’abord tes mots... les miens ...
D’abord tes goûts, tes passions...

Je t’apprends par petits bouts...

J’apprends ce que tu veux bien me dire...

Je me cache derrière mes mots, te montre celle que je voudrais être, sincèrement.

Puis ta voix mal assurée, ta voix douce chantant le sud...

Puis l’angoisse de te rencontrer , de te plaire, que tu me plaises...

Puis enfin, ton regard vert... et mon coeur qui bat, à nouveau.

Puis tes mains... puis ta peau... et ton souffle sur mes lèvres...

Pas facile, violent, l’amour Internet.

Pas ce premier élan, cette attirance qui rassure... Choisir un homme sur catalogue, c’est étrange ; et pourtant, je ne t’aurais jamais croisé, toi, mon , mon amant, mon jumeau. Je te découvre pas à pas et j’aime pas à pas ce que je trouve.

Alors, merci Internet ...
Lun 07 Déc 2009, 23:19 par Mélanie LE HIRESS sur Amour internet

Une dernière flamme pour le coeur

Il faut savoir rire de tout y compris de soi-même... Grandir est à ce prix, guérir aussi, parfois.

Cet été je suis allée manger avec un homme au restaurant : c’est moi qui l’ai invité. Cela me semblait bien. Il faut dire que je fais souvent fi des conventions et que j’aime à faire ce qui me plaît, ce qui me semble juste voire simplement bon pour le cœur. Je le considérais comme quelqu’un d’unique, hors norme, pour tout dire, intelligent et ouvert, j’avais plaisir à ses brefs passages dans ma vie. Je pensais que notre affection pouvait s’enraciner indépendamment de nos conditions sociales divergentes. Je le considérais un peu comme un modèle pour mon fils. Ma foi, il est venu et a semblé prendre plaisir au fait d’être avec nous. Comme quoi, on peut se laisser abuser aisément, moi, en particulier. J’ai beau le savoir, cela ne change rien.
Je mettais ses incohérences de comportement sur le compte de sa vie passablement troublée, mais je le pensais sincère, à sa façon. De plus, j’aimais son indépendance.
Il est vrai que j’avais mis mes chaussures de plage aux talons rongés par les galets et le sable, il est vrai que je n’avais pas fait d’effort de toilettes particulier, c’était un que je m’apprêtais à revoir et ce n’était en rien un rendez-vous galant. J’avais songé mettre un vieux jean troué et un tee-shirt sans manche, ma seconde peau, cependant, le lieu ne s’y prêtait pas. J’avais fait des travaux toute la journée, je m’étais contentée de prendre une douche, mes propres talons gardaient l’encre noire de vieux Kickers que j’affectionnais. Lorsqu’il fut là, je sentis le trouble grandir en moi, ma main tremblait plus que de raison, je rougissais pour un rien, mon cerveau faisait de la surchauffe et pour gourmande que je sois habituellement, je n’arrivais plus rien à avaler. Je l’aurais détesté s’il y avait eu de la place dans mon cœur pour ce sentiment. Je ne m’étais rendue compte à quel point je n’étais pas indifférente qu’en prenant conscience de mon trouble grandissant à son contact. J’ai été charmée hors de toute logique, une fois de plus, par sa simplicité affichée, ses regards - creux, il faut bien le reconnaître aujourd’hui – et par la suite, par ses promesses - vaines - envers mon enfant (pourquoi écrire des choses que l’on ne pense pas et que l’on ne vous demande pas ? Pour paraître altruiste ? Bien de s’intéresser à un petit « pauvre » ? Bon pour son image ?!) et j’excusais ses silences : régulièrement, il revenait dans ma vie avec ses yeux menteurs et son attitude ambigüe qui me déstabilisaient. Pourquoi était-il venu ? Pourquoi ? Pour se divertir un instant ?! En définitive, je préfère ne rien connaître de ses intentions, je pense que cela me décevrait encore davantage. D’y songer me donne encore la nausée. Je le croyais mon . Moi, j’étais attirée par lui comme par un aimant lui qui n’était pas aimant pour deux sous ! L’amitié, l’affection, le respect, l’amour entre deux êtres humains sont choses rares et précieuses... Les contrefaçons nombreuses. Mais l’œil ne voit que ce qu’il contient et je voyais un homme droit, intègre, indépendant, franc, profond, gourmand, aimant, drôle et sensuel... J’avais envie de lui et ne m’en étais pas cachée. Au vrai, il n’avait que faire d’une petite marchande d’allumettes dans mon genre, même pas allumeuse. La fin abrupte de l’histoire est là pour me le rappeler.
Bah, je ne me leurre plus, l’égalité entre les êtres est une utopie. Je sais que je ne pèse pas lourd dans la balance des intérêts qu’il a à notre amitié. Je ne parle même pas de respect. Ainsi, faisant partie des expéditeurs indésirables, ma pauvre bafouille et tous ses "pourquoi" sous-jacents resteront sans réponse pour partir trop vite comme il l’a fait pour moi... au panier, sans même un au revoir.
Je ne sais pas ce qui me rend le plus triste, ou en colère, de voir le monde tel qu’il est ou de perdre plus qu’un , une illusion.

La dernière allumette vient de se consumer.
Jeu 03 Déc 2009, 09:26 par dolce vita sur Parler d'amour

Pas de retour. chapitre 4 (premiere partie)

Chapitre 4

Aéroport de Changi, Singapour – Au grand étonnement de Patrick, les formalités de contrôle des passeports furent très rapides et plutôt agréables. « Ca nous change de l’Europe », se dit-il. Cependant que lui et ses quatre élèves marchaient vers les tapis roulants pour récupérer leurs bagages, le petit Victor s’exclama :
- « Regardez ! Mon sac est déjà là !
- Le mien aussi ! », applaudit Ali.
« Efficace, avec ça ! », pensa Patrick, tout en regardant Victor courir partout, tel un furet. Tendrement, il se remémora sa première rencontre avec ce garçon âgé maintenant de 12 ans. Il y avait cinq ans. Déjà.

Ce jour là, Victor et ses parents pénétrèrent timidement dans l’établissement, juste avant que l’entraînement général ne débute. Patrick, déjà vêtu de son dobok, les accueillit. Il remarqua tout de suite le manque d’assurance des deux adultes qui se reflétait également chez le petit blondinet, agrippé à la main de sa mère, l’air déterminé à ne pas vouloir la lâcher, même en échange de tous les bonbons du monde ! Patrick s’évertua à les mettre à l’aise et chercha à comprendre quelles étaient les motivations des parents. Ceux-ci expliquèrent, hésitants, que leur petit garçon était d’une timidité maladive, qu’il n’osait jamais s’exprimer librement, que ce soit à la maison ou à l’école. De fait, il avait peu ou pas d’s et il passait le plus clair de son temps, seul, lisant des tonnes de livres de son âge. Un leur avait conseillé de l’inscrire à un club d’arts martiaux, quel qu’il soit, afin de lui permettre de développer une certaine confiance en soi qui lui faisait manifestement défaut. Patrick avait déjà eu affaire à ce genre de cas. Il avait su, à force de patience et de psychologie, faire ressortir les points forts de ces enfants et leur démontrer qu’ils ne devaient pas craindre de les mettre en valeur. Ainsi, au cours des années, Victor s’était complètement transformé. Il était devenu un préadolescent sûr de lui et de ses possibilités, n’hésitant plus à exprimer ses émotions. Malgré son jeune âge, il adorait assister les entraîneurs des tout petits et prenait plaisir à l’instruction. Patrick lui avait donné cette responsabilité, sachant pertinemment que cela permettrait à Victor de continuer à s’épanouir. « C’est en enseignant qu’on apprend le mieux. » répétait-il à ses ceintures noires pour les convaincre d’aider les entraîneurs. Et, en effet, Victor avait beaucoup appris. Sur lui-même. La participation au tournoi de jeunes pratiquants comme Victot faisait aussi partie de la stratégie de Patrick. Il s’avéra que l’enfant était naturellement doté des qualités physiques requises par le taekwondo. Le travail technique qu’il avait accumulé au cours de ces années d’entraînement lui permettait de figurer parmi les meilleurs combattants de sa catégorie d’âge. Ses résultats en tournois, accompagnés des félicitations de son mentor ainsi que de l’admiration de ses camarades, n’avaient pas manqué de le convaincre qu’il pouvait réussir dans ce qu’il entreprenait. Mais, le plus étonnant pour Patrick était de constater l’évolution simultanée des parents de Victor. Ceux-ci étaient devenus plus affirmatifs, beaucoup moins timides dans leurs échanges avec lui, moins craintifs en apparence. « Et ils ne pratiquent aucun art martial, eux… Trois transformations pour le prix d’une ! Non seulement Victor a changé mais il a aussi, et sans le savoir, influencé ses propres parents… », s’amusa-t-il intérieurement.

Quant à Ali, le problème avait été tout autre. Ses parents, issus de la troisième génération d’immigrés, avaient réussi à percer ce mur invisible dressé par la société à cause de leurs origines. Ils étaient jeunes, formaient un beau couple et respiraient le bonheur. Lui était cadre dans une compagnie d’assurances et elle dispensait des cours d’informatique pour le compte d’un organisme de formation professionnelle. A la naissance d’Ali, un an après leur mariage, ils furent fous de joie et tous les membres de leurs grandes flles, de Paris à Oran, devinrent hystériques. « Un cadeau d’Allah ! » avait proclamé un oncle d’Oran, toujours volubile. Le grand père d’Ali n’avait pas hésité, déclenchant le courroux de son épouse, à déclarer à son rejeton : « Tu as toujours été ma plus grande fierté, mon enfant. Maintenant, avec la naissance de ton propre fils, je sais que jamais je ne pourrai être plus heureux. Alors, si Dieu veut que je meure maintenant, je suis d’accord ! »

Au fil des mois, puis des années, les géniteurs comblés s’aperçurent que quelque chose clochait chez Ali. Dans son comportement, très agité, souvent impulsif ; à l’école, où il avait énormément de mal à suivre. Ses parents s’en inquiétèrent très vite et consultèrent un généraliste. Celui-ci, après examen de l’enfant, pronostiqua un TDAH (Trouble de Déficit de l’Attention Hyperactivité) et demanda aux parents de voir un spécialiste afin de confirmer la découverte et, surtout d’en définir le degré. Ce qu’ils firent. Et ils apprirent que leur enfant était, en effet, atteint du TDAH, à un degré élevé. Mais le spécialiste se montra rassurant car le problème avait été détecté assez tôt et il proposa un programme spécifique pour Ali, à base d’homéopathie (il était contre les médicaments, qu’il considérait trop invasifs pour un enfant de 6 ans) et d’approche psychosociale. « Mais le plus important pour Ali reste l’amour que vous lui portez et votre soutien sans faille. », avait prévenu le professeur. Justement, de l’amour, pour leur enfant, ils en avaient à revendre ; de même que toute leur flle ! Aussi, loin d’être abattus, soulagés, même, de pouvoir mettre un nom sur le problème, les parents d’Ali étaient plus que déterminés à aider leur fils. Lorsque la maîtresse d’Ali fut mise au courant du trouble de son élève, elle recommanda à sa mère de l’inscrire au club de taekwondo de Patrick Brun, leur assurant que cela pourrait grandement contribuer à l’amélioration de leur fils. Prudents, les parents demandèrent conseil au spécialiste qui ratifia cette suggestion : « Pratiquer un sport, qui plus est un art martial, est une excellente démarche dans le cas du petit Ali. En effet, pour lui, apprendre en étant assis derrière un pupitre est un vrai calvaire. S’il peut apprendre tout en déversant son trop plein d’énergie, il aura moins de difficultés à garder son attention. Un art martial offre, en plus, un cadre très structuré, basé sur des règles et des codes précis que personne ne peut enfreindre, y compris un enfant atteint de TDAH. Aussi, Ali apprendra plus facilement les conséquences de ses débordements éventuels et, inconsciemment, ajustera son comportement en fonction. »

C’est ainsi que Patrick reçut Ali au sein de son club et participa – non sans mal – aux progrès lents mais incontestables de l’enfant. Aujourd’hui, Ali avait 18 ans. Patrick le regardait récupérer son sac et aider Mathilde à en faire autant. Grand, musclé, souple : un corps de félin. Calme, souriant, confiant, patient, toujours à l’écoute : un grand frère à qui on veut confier toutes ses peines ; vers qui on se tourne pour partager ses joies ; quelqu’un dont on veut gagner l’tié, à jamais. « Où es-tu passé, petit Ali de 6 ans ? », s’interrogea Patrick. « Tu nous as fait souffrir, mes entraîneurs et moi. Tu nous as tournés en bourriques tant de fois. Tu étais insaisissable. Tes camarades d’entraînement te détestaient car tu étais différent. Tu étais incapable de reproduire une poomse correctement… Et, petit à petit, tu as laissé la place à quelqu’un qui est finalement devenu ce jeune homme : un instructeur occasionnel adoré par ses étudiants. Un champion de taekwondo. Et, pour couronner le tout, un brillant étudiant qui finit sa deuxième année de médecine. Alors, c’est avec plaisir que je te dis : « Adieu, petit Ali de 6 ans… Et je suis content que tu aies laissé ta place à cet Ali de 18 ans, promis à un brillant avenir. Le joyau de sa flle, si aimante… » .
Jeu 12 Nov 2009, 12:07 par Arthis sur Mille choses

Voyage...

Je découvre ton texte mon , mon frère... Ainsi te voilà orphelin à ton tour. Qu’il est difficile de dire adieu et qu’il faut de temps. Courage, toute ma tendresse t’accompagne pour mener à bien ton propre cheminement.
Bises au fils et au père, mais surtout à l’.

De tout coeur.

Dolce
Sam 05 Sep 2009, 18:20 par dolce vita sur L'amour en vrac

Marcher avec des hongres pour un enfant

Je vous laisse découvrir le message d’un journaliste, merci de votre attention :

"Bonjour ! Nous marchons avec nos deux ânes, Marius et Bandit, dans le Vercors, depuis maintenant 14 jours... Nous marchons pour recueillir des dons pour l’association "Gabriel". FR3 Rhône Alpes nous a filmé et le petit reportage est encore visible sur http://www.facebook.com/l/;rhone-alpes-auvergne.france3.fr/info/alpes/
Vous pouvez aussi nous suivre et partager l’aventure sur le blog :
http://www.facebook.com/l/;vercors09.blogspot.com/
où vous trouverez les coordonnées pour les dons... Les paysages sont magnifiques, les sentiers parfois rudes, mais nous allons de découvertes en découvertes et c’est formidable !! On serait très heureux de vous rencontrer à ROUSSET LES VIGNES le 23 août vers 18H pour notre retour, la municipalité organise un petit apéro sur la place du village!! VENEZ ET AMENEZ VOS AMIS... FAITES LE SAVOIR... A BIENTOT !!!!!!! "

JOËLLE, STEPHANE, MARIUS ET BANDIT
Dim 16 Août 2009, 09:23 par dolce vita sur Annonces
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Ecrire sur ami

Ecrire sur ami Est ce que ce monde est sérieux ?, Lyon destination paris (premier chapitre), Une lettre d'amour particulière à un ami particulier, Dans un monde parfait, je t'écrirai ceci ..., Le rendez-vous, Le rendez-vous, Aimer, toujours aimer ?, Un sourire?, Sourire, Un nounours : signe d'amitié, Par petits bouts, Une dernière flamme pour le coeur, Pas de retour. chapitre 4 (premiere partie), Voyage..., Marcher avec des hongres pour un enfant,
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