L'île du Levant la bien nommée...

L’île du Levant


Comme disait Devos : « J’ai voulu voir la mer… » L’arrivée a eu lieu, en fin septembre au Lavandou. Occupation des lieux de location : Il faisait beau, il faisait chaud…la mer était belle, la vie serait plus belle aussi pendant ces trois semaines ! J’en oubliais ces vers de G. de Nerval qui me taraudent l’esprit trop souvent :
« L’Homme a un pied d la tombe quand l’Espoir ne le soutient plus… »
En cette fin de samedi, organisation et installation habituelles, mais le dimanche matin, dés sept heures, sortie à la marche : Après quelques centaines de mètres, j’ai atteint le boulevard front de mer. J’ai repris rituellement mon périple habituel en direction du Port du Lavandou. Ce boulevard est plat, vivant car déjà parcouru par les Touristes, et surtout il jouxte les Plages et…la mer !
*
D le ‘beau-de-l’air’, j’ai retrouvé mes réminiscences habituelles :
« Homme libre, toujours tu chériras la mer… »
Et le ‘rein-beau’ :
« Elle est retrouvée – Quoi ? – l’Eternité – C’est la mer mêlée au soleil »
Et quand ça chatouille ‘vers-l’aine’ :
« Je ne sais pourquoi – mon esprit amer – d’une aile inquiète vole sur la mer…
mouette à l’essor mélancolique- Qui suit la vague et ma pensée… »
*
Ma promenade habituelle se prolonge après le port vers les rochers de saint Clair la crique d’Aiguebelle et retour. Ma sortie de l’après midi, à l’inverse m’amène vers le Port de Bormes les mimosas, puis la grande Plage, les premiers rochers du Cap Bénat et retour. Deux fois sept kilomètres par jour. Monotone ? Jamais… « La mer toujours renouvelée » les vagues, les bateaux, les touristes, les baigneurs, les…chiens et les oiseaux marins !
Matin et soir, en fin de parcours, je prends un petit bain de 15 à 20 minutes d une eau à 24° de moyenne, avant de rentrer…
Au large, en direction du sud, il y a les Iles d’Or : l’Ile du Levant et celle de Port Cros paraissant bien prés ( Porquerolles elle, est cachée par le cap Bénat ) Cela m’a donné des idées, d’autant qu’à chacun de mes passages côté Port du Lavandou, sur la jetée, je côtoyais les vedettes qui assurent le service de ces Iles. Par curiosité, j’ai regardé le tableau d’affichage et les horaires des différentes rotations. Cela a conforté mes idées : D’abord l’Ile du Levant, avec un départ à 14h,arrivée à 14h30, et rembarquement à 18h30…4h à passer sur l’Ile que je connaissais déjà, c’était bien suffisant !

*

Et dés le mercredi, j’ai embarqué sur l’une de ces vedettes, chargée à ras bord de moutons bêlants…pardon de touristes bruyants ! Passant à l’avant, j’ai pu heureusement me retrouver assis sur un capot, sous le cockpit face à la proue. Les bancs devant moi étaient pleins et retentissaient de : « Ya, ya, ya » Allemands et peut-être en partie Hollandais ? Sur une mer calme, pailletée d’or, le ronron des gros moteurs diesels était presque une hérésie. Mais nous sommes vite arrivés au port d’Héliopolis quasiment désert à cette heure là…
A peine débarqués, j’ai pris le sentier de gauche qui amène côté nord, face à la côte. J’étais en short, tee-shirt, petit sac d le dos, chaussures de course à pied et casquette blanche, vissée sur la tête, à cause du grand soleil.
Première rencontre, une grande pancarte : « Partie de l’Ile exclusivement réservée aux Naturistes » et pour mieux illustrer cette injonction, une énorme statue de pierre.
Pas de tête, ni de membres ; un dos normal, mais plus bas, une énorme paire de fesses, plus prés de la Vénus Hottentote que de la Callipyge !
Ce sentier, bien qu’étroit et caillouteux, épousant la forme des rochers, donc montant et descendant d une garrigue fournie, ne soit pas désagréable à qui est entraîné à la marche à pied. De temps en temps, un petit embranchement donne accès vers la mer : des criques rocheuses uniquement, et allongés ou assis sur ces roches plus ou moins lisses, des grands singes nus…oh ! Pardon, des Naturistes, dont j’ai plaint les ventres et les postérieurs, reposant sur des surfaces aussi peu engageantes et brûlantes en sus !
Moi, j’attendais d’arriver à la grande crique de l’Avis pour me baigner un petit moment avant de reprendre mon périple autour de l’Ile, d sa partie Civile, les trois quarts de sa surface étant occupée par la Marine Nationale …à un moment, je suis arrivé sur une partie pentue, des pierres plates y tenaient lieu d’escaliers, et…en haut, j’ai vu une paire de fesses en gros ( !) plan, bien réelles, celles-là : Des tongs sous les pieds, les fesses précitées qui tressautaient à chaque pas, un dos brûlé de soleil, et au-dessus du tout, un grand chapeau de paille d’Italie ou d’ailleurs…
Ah ! J’oubliais, elle tenait une grande serviette à la main. Entendant mes pas précipités, elle s’est tournée, fesses côté verdure pour me laisser passer, et…j’ai vu le côté pile : Lourds seins pendants, ventre ptosé, touffe coupée ras, naturisme oblige ! J’étais déjà à sa hauteur, et elle a dit :
- Passez donc Monsieur ! Courez vers votre Destin…
Elle avait de l’humour, cette Dame visiblement sexagénaire ( Comme…moi !) mais avec des rides plus visibles, puisque blanches sur un visage tanné, éclairé par un sourire mi-moqueur, mi-pincé…J’ai dit au passage :
- Pardon ! Je vais un peu vite…je veux me baigner à l’Avis, avant de continuer le sentier jusqu’au Port…
Elle m’a coupé la parole :
- Vous savez que c’est strictement Naturiste d cette partie de l’Ile ? D’ailleurs vous auriez moins chaud…
A mon tour, déjà loin, j’ai crié :
- ‘A poils’, quand je cours ou quand je nage, çà me les coince !
D’encore plus loin, j’ai entendu nettement :
- ‘Pôvre con’ !
Arrivé à la crique de l’Avis, sur les grandes plaques de ciment lisse, il y avait déjà toute une brochette de Naturistes que j’ai contournés, ignorant de nombreux regards réprobateurs…un peu plus loin, je savais trouver une crique plus petite, et chance : il n’y avait personne. Pierres et rochers, il fallait faire avec. Je me suis ‘dépoilé’, puis j’ai souffert des pieds sur ces petits rochers pointus, avant de trouver une eau assez profonde pour nager. J’étais bien, j’avais eu si chaud…
J’ai nagé longtemps et c’est d’un peu loin que j’ai vu arriver un groupe familial : Grand-Père, Grand-Mère, Fille et Petite Fille, s doute ?
Tous ‘à poils’ bien sûr, sauf la petite qui n’en avait pas encore ! Grand-Papa, à peu prés de mon âge, mais ventripotent, l’air réjoui, m’a rejoint en nageant, vite disert et bavard :
- ‘Elle’ est bonne, hein ! Depuis vingt cinq nous venons ici en famille. Notre petite maisonnette est à peine à cinq cent mètres d’ici…
Et patati, et patata !
Quand je me suis rapproché du bord, ces Dames pas gênées, jouaient avec la Petite, lui cherchant des galets ronds et plats pour lancer en ricochets. J’arrivais en nageant jusqu’au plus prés du bord à cause des pointes de rochers sous l’eau.
Elles me tournaient le dos, se baissant et se relevant, tour à tour. Comment mes yeux ne se seraient pas appesantis sur le spectacle : Grand-Maman, ‘moule’ à l’ancienne…et ma pensée a été
- Bof !
Mais pour ce qui était de la jeune Femme, la quarantaine, peut-être ? Il n’en a pas été de même…Sa ‘fourrure’ bien taillée, laissait visible, une ‘fente’ appétissante, qui m’a fait saliver…
En bon ‘Pied-noir’, j’ai pensé :
- Bon sang ! D cette position, je lui en mettrai bien une ‘giclée’…et même deux, s sortir…depuis le temps que Popaul n’a pas été à pareille fête !
Mais ma pensée suivante a été :
- Arrêtes de fantasmer…ce n’est pas du ‘millet’ pour ton ‘canari’ !

Furtivement, j’ai vu aussi le petit ‘minou’ fendu et dénudé de la gamine. Gêné, mes yeux se sont alors fixés, volontairement, au centre…sur la Maman ! Mains en appui sur le fond, je suis arrivé presque sous son ‘poster’…en me disant :
- ‘Putain’ ! C’est beau quand même…
Elle s’est tournée vers moi : le soleil dorait ses cheveux châtains, et son visage était aussi bronzé que…le ‘reste’ ! Sa bouche pulpeuse s’ouvrait sur des dents très blanches : elle me souriait !
Comme le Papy précédemment, la Mamy m’a dit, elle aussi :
- Elle est bonne, hein !
Et j’ai répondu, faisant un lapsus involontaire :
-Oui, elle est ‘magnifique’ !

J’allais sortir de l’eau, quand j’ai réalisé que j’étais en érection … Que faire ?
Je me suis éloigné un peu, l’air faussement intéressé, par la recherche d’une rive plus accueillante…Assez vite la honte aidant, j’ai retrouvé un appendice caudal, presque normal, et je suis sorti, me rhabillant très vite sous les yeux réprobateurs de ces Dames et de Grand-Papa qui m’avait suivi…Aussi, j’ai vite filé s demander mon reste !

*

A nouveau le sentier : qui monte et serpente, jouxtant assez vite le grillage de séparation avec la partie militaire de l’Ile. Les arbousiers qui bordaient les côtés regorgeaient de baies bien mûres : Je me suis régalé de fruits, encore plus de souvenirs ( Arbousiers d’Algérie – Et Yoyo, ma tendre amie !) Je suis vite arrivé au village, peu occupé à cette période de l’année. Maisons, hôtels, commerces, tous nichés d la verdure, mais les volets fermés…

Aux terrasses des deux cafés ouverts, qui se font face, des Touristes. De belles Gretchens reconnues aux classiques : « Ya, ya, ya » le torse nu comme il se doit, et la plupart en strings !
Les serveurs étaient habillés, eux, et çà c’était nouveau ! En tout cas, le spectacle m’a fait adopter un ton égrillard pour l’envoi de mes cartes postales…

Ensuite je suis redescendu vers le Port, et j’ai croisé un ‘Spectre’ : une vieille Dame décatie, flageolante d la montée, mais bien d la lignée et l’esprit naturiste … Pitié ! Je n’en dirai pas plus !
Sur le Port, côté sud, il y a une grille ouverte une partie de l’année, et cette pancarte :
« Domaine Maritime. Plage ouverte de juin jusqu’en septembre. Non surveillée. Naturisme toléré » et côté Nord, celui du « Naturisme only »
J’ai repéré une longue jetée non occupée par les bateaux, mais par trois Grâces qui s’y étaient alignées sur leurs serviettes, nez vers la mer et fesses en l’air, côté Port…Je m’y suis bien sûr dirigé !

Il me restait moins d’une heure avant le rembarquement, j’avais chaud et je voulais me retremper…Du Port, il m’a fallu monter quelques marches. J’ai soudain émergé en perspective arrière sur ces grâces qui étaient plutôt des grasses…
Pour celle du milieu dont les fesses n’avaient rien à envier à la statue de pierre, symbole de l’entrée au Zoo, ma pensée a été :
- Oh ! ‘Calcutta’…
Ses jambes étaient très écartées, s doute à cause des plis et replis entourant une ‘bouche’ édentée, aux lèvres africaines qui ont semblé sourire à ma pensée :
- Berk !
Mais déjà mes yeux, tels ceux des caméléons, biglaient entre les fesses de gauche et celles de droite. Blonde à gauche, Brune à droite : ‘barbus’ bien taillés, ‘tire-lire’ apparentes… Ma pensée vagabondait toujours à pleine vitesse :
- Am-stram-gram, pic et pic, et colle gram…
Et comme disait Nerval : « Sois Brune ou Blonde – le Dieu du Monde –C’est le plaisir … »

Je les dépassais déjà, mais mon ‘Brigadier’, qui lui, aurait bien frappé les trois coups d’une pièce de théâtre, ancienne comme le Monde ou Adam et Eve jouaient les premiers rôles. Ouais ! Ce n’est pas avec une pomme qu’elle l’a séduit l’Adam, mais bien avec ce que je venais de voir !
Mon ‘bâton de feu’, donc, a mis du temps pour reprendre une forme décente. Heureusement que j’étais habillé, moi !

La Blonde de gauche, à mon passage, s’est soulevée sur les avant-bras, redonnant forme à ses grosses ‘doudounes’ et elle m’a jeté un regard furtif, s aménité. Une fraction de seconde nos yeux se sont croisés : Elle a fixé mon visage buriné, et s’est instantanément détournée, dédaigneusement !

J’ai avancé encore de quelques mètres. J’avais repéré des rochers lisses, propices à un plongeon s problème d la mer. J’étais côté Naturiste : Je me suis donc à nouveau dépoilé. Je sentais sur moi, les yeux furtifs et hypocrites de ces trois Gorgones qui devaient penser :
-Encore un ‘Q’…blanc de touriste !
Pour plonger, j’ai du me tourner vers elles, en partie…et comme l’a chanté Brassens :
« La Bandaison, Papa, çà ne se commande pas ! »

Mes idées folles au vu du spectacle précité avaient gonflé un certain corps caverneux, et j’ai vu nettement leurs yeux loucher sur cette flèche aux dimensions surfaites pour un. Vieil ‘Eros déplumé’ ?
L’une des trois, la Blonde je crois, a dit, je ne sais quoi, à voix haute, et elles se sont esclaffées bruyamment toutes les trois !

Vexé, furieux, j’ai plongé et nagé vigoureusement, pensant :
- Pauvres ‘conasses’…il fut un temps ou vous ne m’auriez pas fait tant d’effet !
J’ai pensé ensuite à la chon de Brel :
« Chez ces gens là, Monsieur – On ne se regarde pas Monsieur… »
Peut-être, mais en tout cas : On s’épie… les anatomies !
Ce second bain, je l’ai apprécié encore plus que le premier. En nageant, je me suis approché des rochers Nord, encore garnis de ‘singes nus’, et… j’ai levé le nez quasiment sous un couple, debout sur un rocher. L’espace blanc des maillots manquants prouvait que c’était des touristes de passage, tout comme moi.

Mes yeux se sont vrillés sur la Dame : une Blonde Walkyrie aux formes harmonieuses, du type Vénus de Milo, auxquelles je suis plus sensible qu’au genre des trois précédentes, du type Odalisques de harems, à posters plantureux, comme ces « Femmes d’Alger » peintes par Delacroix…
J’ai envié le Tristan de cette Iseut, revoyant en fulgurance la Blonde Ophélie de ma jeunesse, et plus récemment, ma ‘Poupée Barbie’ de Pampelone et autres lieux…Me disant que pour ces spectacles là, j’étais désormais bien ‘Mal armé’, en me remémorant Brise Marine :
« La chair est triste, hélas ! »

Même, si moi, je n’ai pas lu tous les livres…

« Fuir ! La bas, fuir… »

Vers ces oiseaux, ivres d’espace et de liberté…

De retour vers le môle de départ ou gisaient ma serviette et mes habits, je me suis hissé sur le quai : Les trois Bronzées, auréolées par le soleil couchant levaient le camp. Les observant à mon tour, je me suis dit à voix basse :
- Quel dommage, Mesdames, que votre ami Phoebus vous donne cette belle couleur s pour autant fondre votre cellulite, comme le beurre d une poêle à frire !
Mon regard s’est-il fait par trop insistant sur votre pubis, Madame la Blonde ? Vous avez eu un petit sourire satisfait et moqueur…J’ai deviné votre pensée :
- çà te fait saliver, hein ! Vieux Schnock, mais tu peux toujours aller te rhabiller…
Ce que j’ai d’ailleurs fait, illico !

Un peu plus tard, quand le bateau virant sur son aire a quitté le Port, mes pensées étaient plus à un Adieu qu’à un au revoir pour ce berceau du Naturisme, qui n’est bien sûr pas Cythère, mais est très frustrant pour un vieux mâle solitaire…
Je n’ai rien contre cette pratique, et cette Ile peut être un Paradis pour un Couple en parfaite harmonie !

F I N
Ven 31 Août 2007, 13:57 par jan goure sur Un monde parfait

Enfin la parité pour les hommes !

Enfin la parité…pour les hommes !

Mon ami de 30 et de 30 mon aîné, me répondit sans ambages
à ma question : qu’est-ce ce qui a le plus changé pour vous ? : "les femmes" !
Elles sont devenues impossibles !
Elles veulent le beurre, l’argent du beurre et les enfants du crémier.
Elles amassent tout, se chargent comme un baudet et ne veulent rien partager.
Elles sont en conquête de pouvoir et considèrent l’homme comme un rival nécessaire.
Le travail de la femme est devenu une assurance divorce.
Elles raisonnent en groupe, en caste et nul n’ose s’aventurer à les contredire.
Elles sont femmes et doivent donc tout savoir mieux que quiconque puisque affublées
de la fameuse "intuition féminine" et de "l’instinct maternel" qui nous font bien rigoler.
Tous les psychologues savent bien qu’il s’agit d’une pure invention sociale, mais rien n’y fait,
c’est leur credo, leur confiteor.
Essayez de les soulager en prenant en charge les courses, la cuisine, les enfants, le ménage…
Il ne se passera pas 1 mois avant quelles ne reprennent leurs prérogatives car ce sera
mieux fait par elles. Il s’agit du syndrome des avantages acquis avec celui très caractéristique :
le droit de se plaindre parce que je fais tout dans cette maison.
Apporte-moi un statut, de la sécurité et ton argent, je ferais le reste qui s’appelle : tout décider.
Essayez d’entrer dans la parité homme quant aux emplois dits féminins : secrétaire, sages-femmes,
standardiste, infirmière…et vous verrez leur courroux.

Finalement, tous les progrès technologiques du XX° siècle ne sont que peu de choses
comparé à l’hégémonie de la femme qui avait déjà beaucoup de pouvoirs mais qui les veut
tous et exclusifs et jusqu’à s’en inventer.

La femme de notre Président, qui n’a aucun statut, sinon celui, non écrit, de réception, déclare :
"A l’avenir, il y aura de plus en plus de femmes pour commander les hommes".*
Vous remarquerez qu’il n’est pas dit : des femmes aux commandes des entreprises ou de la politique.
Il s’agit bien de "commander" les hommes". Voilà la véritable conquête de la femme.
L’homme a été plus respectueux envers le cheval, la plus noble conquête de l’homme.
Aux Ayatollahs, Talibans extrémistes correspond la femme qui "commande" aux hommes.
Nous voilà dans de beaux draps, dirait la mère Denis.
Si, maintenant, c’est la femme d’un Président qui le dit, les bornes sont franchies.
Que nous reste-t-il, à nous les hommes ? Le choix de la couleur de la voiture ? Même pas.
Faudra-t-il songer à cloner la Terre pour que nous ayons un espace de liberté ?
Mesdames, vous êtes-vous rendu compte de la situation qui va bientôt vous échapper ?

La parité que vous réclamez tant vous fera abandonner le restaurant et le cinéma offerts,
la portière ouverte ainsi que toutes ces petites déférences que vous savez apprécier.
Votre vie est un combat, le notre va commencer.
Qui gagnera ? Combien de pertes ?
Réfléchissons tous ensemble, si vous le voulez bien.

*Madame Chirac, le Parisien du 21 février 06 et cité dans Marianne du 25 février 06.
Dim 22 Juil 2007, 15:26 par Xavier Huon sur Citations

Oubli

quand tu portais encore des tresses
à l’époque de nos quinze
nous ne vivions que de promesses
mais maintenant c’est différent

je t’ai connu toute ingénue
il n’y avait que toi et moi
nous vivions par dessus les nues
hélas ! tu es partie loin de moi

ton petit camarade
tu l’as oublié
adieu nos promenades
adieu notre amitié
adieu la fille sage
qui faisait mon bonheur
à te voir si volage
moi j’en ai mal au coeur

maintenant tu mets du rouge aux levres
et tes cheveux volent au vent
au vent qui emporte mes rêves
pour les semer au firmament
Ven 29 Juin 2007, 13:09 par pierre de la carolina sur L'amour en vrac

J'aurais voulu que tu sois comme un " frère "...

On s’est rencontrés, on avait tout juste dix huit
On était jeunes, trop jeunes sans doute.
On a grandi ensemble comme un frère et une soeur.
Il y avait tellement de ressemblances dans notre histoire...
Nos parents n’ont pas su nous aimer
Tous deux, nous étions des " écorchés vifs ".
Ensemble, on a passé des soirées et des nuits
A vouloir refaire le monde.
Mais on a vite compris
Que le monde tournerait sans nous
Et que nos idéaux resteraient vains.
On s’est aimé comme des fous...
Tu as été mon mentor
Mon " Dieu " en qui j’ai eu la foi,
Tu as été mon tout, mon toit
Je me suis tant réfugiée contre toi
Pour trouver de l’apaisement à mes détresses
Je ne pouvais vivre sans toi
Ma propre existence ne m’ayant jamais intéressé.
On a continué à " grandir ".
Tu es devenu homme et moi femme, certes
Mais mon âme d’enfant est resté si présente en moi
Que je suis, par définition une femme-enfant.
On a apppris à se découvrir.
La vie a passé...
On a fait un bébé, puis un deuxième et un troisième.
C’est de toi que j’ai voulu nos trois enfants.
Au cours de notre vie
Peines et joies se sont entremêlées
On a continué à " mûrir " dans notre vie d’adulte
Toi toujours plus vite que moi.
On a évolué...
Le temps des incompréhensions est venu
J’ai fini par souffrir de tes colères
Qui devenaient parfois violentes
Et qui ont fini par me faire peur.
Mes " silences " que tu as pris pour des mensonges
Tu ne les a pas supportés.
La mélancolie qui m’habite
a fini par t’être " pesante ".
On a fini par ne plus " se comprendre "
Alors un matin j’ai voulu que cela cesse.
J’ai pris une décison qui t’a " blessé.
Je porte " sur mes épaules " la responsabilité de notre séparation
Puisque cela a été mon choix.
Sur le chemin de ma vie
J’ai rencontré un homme
Auquel je me suis attachée.
J’ai " tu " cette relation.
Non pas que je voulais te mentir
Mais te connaissant d’un tempérament jaloux
J’ai voulu la vivre et lui donner une existence...
Un jour tu m’as dit avoir rencontré une femme
Avec laquelle tu as vécu quelques mois
Tu m’as dit l’avoir fait
Pensant me " rendre " jalouse "
En vain...
La vie a continué...
En octobre, ma vie a basculé.
Tu t’es mêlé de ma vie sentimentale.
Tu pensais que cela allait mettre fin à cette relation...
Et que tu allais me " retrouver ".
En vain...
Je pensais être forte et
Ma fragilité est revenue.
Depuis j’ai sombré dans le désespoir.
Pourquoi , je ne sais pas...
Tu sais que je suis de
Ces femmes que l’on n’oublie pas.
J’ai tant à donner... et sans doute
pour cela que je " peux venir à manquer ".

T’aurais pu être comme un frère
A qui on dit tout
Puisque à un frère
On n’a pas de raison de mentir
Alors j’aurai parlé...
Avec honnêteté
Mais je ne veux pas
Qu’elle se " retourne " contre moi.
Je suis si mal...
La vie est un combat
Pour tout à chacun
Mais chaque jour, je perds un peu de ces forces...
Qui font que l’on " reprend le dessus ".

T’aurais pu être comme un frère
Dont les liens sont inneffaçables
Puisque que tu aurais été un " frère de sang "...


Marie
Mer 06 Juin 2007, 13:28 par Satine sur Histoires d'amour

Le Grand Rouge

Petite histoire en passant. Un soir, d un bar.
Une fille brune accoudée au comptoir.
En quelques verres d’affiliés, c’est parti.
Pour un grand noir, juste une nuit.

Coeur blessé. Un grand rouge.
Embrasse-moi. Caresse-moi.
Aime-moi rien qu’un instant.
Et à la fin de la nuit, vas-t-en.

Censuré, tout ce que l’on a fait.
Personne n’y croyait. Pas même elle.
Juste comme ça. Pour s’amuser.
S se regarder. Les yeux d le ciel.

Interdit aux moins de 18, ce qui s’est passé.
Je n’ai tout d’un coup plus senti ses seins.
J’étais d le piège de la sorcière. Piégé.
Un grand bleu. Celui de ses yeux s fin.

Coeur blessé. Un grand rouge.
Embrasse-moi. Touche-moi.
Aime-moi plus qu’un instant.
Mais à la fin de la nuit, vas-t-en.

Yeux d les yeux. Mains d les mains.
Juste comme ça, pour s’amuser...
Je fixe ses yeux, pour me noyer.
Je ne veux pas l’aimer. Une nuit pour rien.

Je sais qu’il est trop tard pour tout casser.
Alors, je vais devoir tout annihiler.
Son sang qui coule est rouge carmin.
Grand rouge. Ainsi que le mien.

Coeur crevé. Un grand rouge.
Embrasse-moi. Détruis-moi.
Aimes-moi jusqu’à la fin des temps.
Je ne dirais plus jamais « vas-t-en ».

Grand rouge. Film interdit aux moins de 18 .
L’histoire d’un homme qui ne peut aimer.
Et de la femme qui va le faire saigner.
Suicide passionnel, crime passionnel. Comme de tout temps.

- Censuré -
Mar 15 Mai 2007, 07:12 par Ayakai sur Les liaisons sulfureuses

Pluie

L’aube inonde à peine les prairies que déjà je laissse vagabonder mes pensées. D un souffle, comme une brise légère, je pousse un soupir. Je rêve de toi, celui que je ne connais même pas. Je t’imagine au travers d’une morale, je te sculpte un visage, je t’invente un regard. Je fouille d ma mémoire pour éviter des pièges qu’un coup de foudre s réflexion peut cacher.

J’entends même ton rire malgré le chant des crapauds qui ce matin ressemblait à un glas triste et froid. Appel à la pluie

Je perçois la douceur de tes mots silencieux. Je t’invente s retenu, pareil à un poème d’une midinette de quinze que seul l’âge peut excuser cette naïveté. Indolence d’une jeunesse qui s’étire sur le verbe aimer. Je perçois le son grave de tes paroles tandis que le vent s’offusque de la tiédeur de ce matin.

Un peu comme le pas lourd des chevaux galopants sur les pages d’un cahier de l’écolier furieux d’être là plutôt que dehors pour siffler d une herbe verte et fraîche de ce printemps.

Je désaltére mes pensées d un puits de fantasmes imaginaires dont je connais la fantaisie. Imagination avide s limite que je lâche s bride. Je peux respirer le parfum de ta peau, le deviner, le saisir pour le laisser rouler sur mes pensées. Indolente, insouciante de cette léthargie charnue de tendresse je pose autour de toi une lumière pleine de clarté, de saveur, d’appétit.

Ciel violacé, ambiance jaunâtre qui annonce un orage.
L’odeur même de la pluie se fait sentir lorsque coléreuse elle tombe sur la terre battue pour agglutiner la poussière sur le sol.. Climat lourd qui colle à la peau pour trpirer un instant d l’attente d’une émotion qui va éclater
Une hirondelle rase la terre, un vol parfait avant que la pluie vienne éternuer sa mélodie sur l’étang du champ voisin.

Perdue d mes pensées je continue à t’écouter, plus présent mais si imaginaire. Je sens ta main d mes cheveux, je sens ta bouche sur la mienne. Je ferme les yeux pour ressentir cet imaginaire.

La pluie s’abat brutale sur le bitume de la rue, ricoche, rebondit pour s’affaler et ruisseler d le caniveau. Les crapauds se sont tus, ravis de ce déluge.

J’ai dessiné tes cheveux, j’ai façonné ton buste s entendre la pluie chanter sur les vitres de ma maison. Je laisse ta main courir sur mon visage, parcourir les courbes de mon corps. Chaque caresse est silencieuse, muette d’encore. Je te raconte, tu te livres s parole.

Le tonnerre gronde, pour s doute me réveiller.
Je suis sourde à son appel

. Je m’invente un monde de couleurs, de miel, de douceur où le salé se mêle au sucré. Sueur entrelace le charnel. Parfum boisé se mêle avec l’arôme de la menthe. Tout devient confus, tout monte en puissance. Accélération. Souffle. Endiguée.
Après la pluie, le calme revient. Les rayons du soleil envahissent les prairies, les crapauds redoublent d’allégresse, toi tu t’évanouies comme la vapeur de l’eau sur le bitume.

Reste….
Mer 02 Mai 2007, 22:00 par Fille du peuple sur L'amour en vrac

Fatia

Le passage

Assise sur un tabouret en bois à trois pieds, Fatia laisse coiffer ses cheveux crépus par les doigts agiles des femmes de son père . Celles-ci s’activent à diviser la chevelure de Fatia en plusieurs tresses fines Aujourd’hui, c’est un jour particulier pour Fatia. On va célébrer son mariage avec Sako, un nomade de la tribu voisine. Un long tissu bariolé aux couleurs vives, drapé et posé sur ses hanches, constitue son seul vêtement pour la cérémonie. Une ceinture de cori vient souligner sa taille fluette, tandis qu’ un mélange de beurre de carité et d’ocre, minutieusement étalée pour ce jour mémorable, accentue, illumine, le satin de sa peau noir claire. De nombreux colliers de bois et de perles aux teintes chatoyantes se balancent sur sa poitrine à fleur de peau. Des bracelets de cuivre et d’argent s’entrechoquent sur ses fins poignets d’enfant. Sur son visage on peut lire des hologrammes, écris à la lame d’un couteau .
. D des gloussements de plaisir, Les épouses de son père échangent des souvenirs lointains. Elles évoquent s pudeur leurs nuits de noce. Les femmes revivent ce moment avec une fierté s masquer la douleur, la férocité d’une nuit depuis longtemps consumée. C’est ainsi, cela doit se faire comme cela.
Fatia, passive en entendant tous ces piaillements de vieilles femmes, imagine son futur mari. Son père, ses frères l’ont promise il y a quelques années à Sako, un homme plus âgé d’une soixantaine d’années. La famille de Fatia lui a offert quatre chameaux et deux chèvres tout en buvant le thé d le désert pour le remercier d’épouser plus tard la fillette.
Fatia ne l’a jamais vu.
Elle sait que ce soir elle quittera son campement pour suivre son époux. Elle sait que ce soir il lui prendra les restes de son enfance. Elle sait que ce soir aura lieu un dépucellage de fils et de coutures entre ses jambes. Elle sait aussi que demain son époux étalera à la vue de tous le déchirement d’une nuit Elle sait que demain elle ne sera plus une enfant de onze .
Fatia a peur. Fatia est terrifiée. Fatia est terrorisée. Ses yeux n’ ont plus cette insouciance d’hier, ils hurlent l’effroi de l’inconnu.
La voilà parée de perles, et de coutume. Offrande de plaisir ruisselante, d’argent et de cuivre, Fatia est prête à quitter la tente.
Dehors, le village semble pris de folie. Il clame sa joie. Des roulements de djembé se font de plus en plus lancinants, tandis que certains hommes tapent d leurs mains frénétiquement. D une effervescence de cris, de hurlements, d les dialectes des deux peuplades réunies, Fatia devient une condamnée que l’on traîne jusqu’à son époux bavant d’envie pour ce jeune corps tout en comptant les quatre chameaux et les deux chèvres qu’on lui a promis.
La cérémonie a lieu d l’euphorie. Viande de brebis et de chèvres grillée accompagnent dattes et figues, pour célébrer l’union Fatia et de Sako. On a sorti les plus belles timbales d’argent pour boire le thé vert.
Fatia ne dit rien. On ne lui a rien demandé. Elle est mariée et partagera sa tente avec les autres femmes de son époux., Elle devra respect , fidélité, obéissance à son mari, et lui témoignera en plus de l’admiration. Pendant quelque temps, elle sera la favorite pour partager la couche de Sako. Jusqu’à ce que celui-ci trouve une nouvelle fraîcheur pour la soumettre à ses jeux.
Fatia, comme beaucoup d’autres, deviendra une parfaite épouse, pilant du tef, nourrissant les quatre chameaux et les deux chèvres que son père, un jour de bonté, a offert en buvant du thé. Elle oubliera peu à peu cette nuit de noce et portera en elle un jour de futures Fatia et de futurs Sako.
Jeu 15 Mars 2007, 10:43 par Fille du peuple sur L'amour en vrac

Révoltes des enfants

Révolte des enfants, ou au diable la Tour de Babel..

Des péres, des méres, des hommes, des femmes de dix-huit et plus derriere le volants de leurs voitures klaxonnent et klaxonnent. C’est la pagaille d les rues de Paris, deCamberra, de Dakar, de Beyrouth, de New-York, de Pékin. Un emboutaillage de voitures hurlantes s’impatientent. La vie des adultes est bousculée, désordonnée, désorganisée. C’est la révolution des gosses, de tous les gosses de la planète Terre, dépassant les frontières de l’imaginaire.
Les enfants en ont ras le bol de ne plus pouvoir se donner la main d les cours de récréation. Les mômes, ils en ont marre de ne plus pouvoir choisir leurs correspondants étrangers. Les gônes, ils saturent d’entendre leurs très chers parents commenter les actualités horrifiantes tout en engloutissant tranquillement un éclair au chocolat.
Pierre, il veut jouer au foot avec Sofiène. Adeline, elle veut jouer à la marelle avec Yasmine. Ursula et Tatsuya, elles veulent encore manger du couscous avec leurs doigts chez Fatima. Edouard, il veut encore chouraver des pommes vertes d le jardin du vieux paysan d’à côté, avec Youri. Chacun s’en foute de la couleur de son copain, de la religion de l’un ou de l’autre.
Les grands, ils font la guerre, c’est leur jeu à eux. Les enfants, ils disent : " Ce ne sont pas nos guerres, ce ne sont pas nos histoires. On ne joue pas d la même cours de récréation... "
Alors les mômes ont décidé de se donner la main à travers toutes les régions, en passant par tous les pays. Ils ont cogité pendant des mois et des mois pour enfin exprimer leur colère. Peter a écrit à Willian. . Willian a téléphoné à Fugi. Fugi a chuchoté à Janéria, sa correspondante du Brésil, son idée de révolution. De maillon en maillon, une formidable chaîne de couleurs s’est assemblée. Ils ont tous participé à la construction d’un mur plus grand que la Muraille de Chine. Ils ont même grimpé sur le mur de Berlin, en tirant la langue aux pyramides d’Égypte.
Le jour de la révolte est enfin arrivé. Les enfants, de tous âges, de toutes ethnies, ont envahi les rues, les boulevards, les chemins de par le monde. Chaque enfant a pris la main d’un autre enfant. Une petite main serrant une main de couleur encore plus menue. Un enfant Palestinien tient la main d’un enfant Israélien. Un enfant protestant Irlandais donne la main à un enfant catholique Irlandais. Un enfant bouddhiste offre sa main à un enfant athé.
Ils s’en foutent les gônes à qui appartient l’autre main, ce qu’elle pense, ce qu’elle croit l’autre main. De main en main, une ronde de silence se bâtit.
Les "grands" ont beau klaxonner, hurler, vociférer, menacer, gesticuler, les gosses ne bougent pas. Déterminés à résister aux hurlements des parents contrariés, ils serrent les dents, les enfants. Ils serrent leurs mains d celle des petits, très petits princes à côté d’eux pour puiser et trmettre une force que seuls les enfants possèdent.
De leurs sacs, les enfants ont sorti un repas qu’ils ont offert à l’enfant de droite. Ils ont partagé leurs goûts en négligeant les frontières qu’un jour les grandes personnes ont décrêtées.
Se tenant par la main, chacun a entamé sa propre chon. Chon populaire, chon enfantine, chon de rue aux paroles italiennes, allemandes, certains ont fredonné les berceuses de leurs ancêtres. Des chons à profusion, des chons en perfusion pour couvrir la haine farouche de leurs parents. D toutes les voix, d toutes les mains, ils ont tous mis tous leurs jeux enfantins, tous leurs rêves .
Contre cette muraille de petites mains sont venus des hélicoptères, et les reporters, et les psychologues, et les ministres et leurs C.R.S. Mais les gosses, ils n’ont pas desserré les dents, ils ont continué de chanter leurs airs favoris.
Puis les enfants se sont tus, d le même moment, comme cela, et chacun, s esclandres, a déposé un bisou sur la joue gauche de son voisin.
S bruit, s mots inutiles, ils sont rentrés chez eux.


Elle.
Mer 14 Mars 2007, 21:20 par Fille du peuple sur Un monde parfait

Des lieux, une époque... (Suite)

Tout là haut le fort Turc, pirates de la côte,
Implantés pour régner, indigènes à leur botte,
Et au bout, Lapérouse, un port naturel
Peu à peu trformé en un abri réel.

A deux kilomètres, un village : Cap Matifou.
Une place, une église, écoles pour petits fous,
Mairie-bibliothèque, artis et commerces,
Maisons groupées, une rue je traverse.

Nager, courir, marcher et sur un sac boxer,
Se servir de ses pieds pour se faire respecter
Des classes jusqu’au certif ; au fil des s’égrènent
Les devoirs et leçons pour ceux qui montent en graine…

Jan
Ven 26 Jan 2007, 17:13 par jan goure sur Mille choses

La deuxième main courante...

Pas des moindres, le quartier est Ebay
La vendeuse, honnête, et c’est pas un laideron...
Le client a trente , Parigot jusqu’aux dents, la menace de mort.

Car il était mal poli et la Belle n’a pas voulu qu’il se foute de sa jolie Frimousse, donc, pas de gazinière.

Est allée, retournée, au commissariat central Place du Marché.

À TEL POINT QUE :

Maintenant, comme on sait que je suis au chômedu et que je ne veux pas perçevoir les Assédic, les Mesdames et Messieurs du QG me demandent, étonnés avec le sourire :

Mais, à tout hasard, vous n’auriez pas envie de travailler pour Nous?

En pensées :

Si tu crois que j’ai refusé d’être aiguilleur du ciel à 19 , c’est pas pour me prendre une balle à trente cinq.

Sourires.

aime guitare clown2 etude ange
Dim 22 Oct 2006, 02:41 par Chogokinette sur Mille choses

Et si c' était

Seulement la nana qui un jour a écrit :

Petit chemin de Terre et d’ Altruisme...

Si elle était encore là, à le protéger depuis trois ,

À savoir Un Bail.

Baisers.
Jeu 12 Oct 2006, 21:14 par Chogokinette sur Histoires d'amour

Damien

Damien est gentil, droit, guitariste
Il me rencontre ce soir, d la rue de Draveil

Je tombe en pleurs car les faux potes de trois vécus d ce quartier ne l’ ont jamais été, et ont toujours calculé.

Est ce que c ’est ma faute d’ avoir connu des grands de la Zique quand j’ étais petite?

Damien me dit, Fannie, demain, tu viens prendre un café, je te prête mon portable, et Tu Appelle Ton Assureur!

C’est la première personne qui m’ offre cet appel, et ma porte est toujours en chantier made Home.

Fannie. snif
Jeu 12 Oct 2006, 20:24 par Chogokinette sur Un monde parfait

Avis Mondial

Pour vous protéger :

Parce que je ne mesure qu’ un mètre soixante trois virgule cinq centimètres et que l’ agresseur de cette mineure en fait un mètre quatre vingt quinze ( il ne m’a pas fait peur; j’ ai le droit de tuer en légitime défense et il le sait parfaitement )

Description :

Il ne ressemble à personne puisque sa mère est d les îles et prie de ne jamais le voir revenir ( vous imaginez le tableau???)

Pour moi, sur le plan médical, il est cuit. ( à 24 , être déjà victime d’ une pancréatite, c’ est que l’ on se suicide, ce qui est interdit, même en prison! )

Qu’ on soit un homme, ou une femme, de n’ importe quel âge :

Si quelqu’ un vous tend la main et pue l’ alcool à plein nez, méfiez vous car il est déjà d ses mauvaises vibes, même s’ il a l’ air gentil.

Pour ma part, cette nuit là, j’ étais au thé Indien, cigarettes taxées, et bossais à la maison à gagner de la tune en vendant sur Ebay.
Dim 08 Oct 2006, 13:07 par Chogokinette sur Un monde parfait

Rappel à Karim.

L’insoutenable


Le savoir incapable de me croire le pardonner
De par ce qu’il est vraiment, et que je savais.
Parce que je l’ai su dés le début,
Et ne l’en ai pas moins aimé pour autant…

J’aimerai qu’il apprenne de ma plume que nombre d’ entre nous ne sont pas
aveuglés par l’amour au point de taire des instincts qui sont encrés en nous
depuis la nuit des temps, comme la crainte non vaine.

Se plier au jeu de la séduction tout en gardant un œil discrètement ouvert est la force de l’adulte plus que de l’être humain, là est l’un des prismes de tout être intelligent et complet.

Je te regarde droit d les yeux, maintenant :

La fractale, je connais et suis capable de la faire mienne en quelques
semaines … mais, pas envie, …, je préfère l’Amour.

L’écriture, je m’y plonge s envoyer des textes écrits par d’autres tout
en faisant croire qu’ils sont miens pour me faire aimer au regard
respectueux et alerte de lecteurs potentiels. De toutes façons, je n’aimerai
piller le trésor artistique que tout autre recèle et que je n’ai pas en moi,
c’est une offense à l’Art lui-même, et saches qu’il est histoire de notre
vie à tous depuis des millénaires !

Le reste, on le connaît tous deux …

Ah là là, repose toi un peu ded ton tête, et fais vibrer ton cœur, en
toute humilité.

Fin de l’histoire : il n’y a rien à pardonner. Seulement l’aimer tel qu’il
est, et ce n’ est plus le cas.

Et, pour information, Le site mondial protecteur des textes de soufisme est déjà au courant depuis deux déjà, Ducon.
Dim 08 Oct 2006, 02:39 par Chogokinette sur Un monde parfait

Briséis le retour

J’ ai toujours la clé.

D deux mois, je pars définitivement de ce marasme qu’ est Juvisy sur Orge.

En l’ espace de soixante douze heures non chrono en main car il vient de mon coeur, j’ ai protégé une gamine de 20 d mon appartement, au 12 rue de Draveil.

Cette fille, je l’ ai trouvée en pleurs, les lunettes pas cassées, mais il y avait dommage.

A toi, connard ac un petit c puisque t’ es définitivement un invertébré du bocal :

Si, à 24 , tu es capable de jurer sur n’ importe quelle bible en cognant ta p’ tite copine, que tu l’ aime, alors que t’ es bourré, rempli de tunes à donf de ses pôches à Elle, et je ne te parle pas des deux cocards que j’ ai soigné Moi Même, tu fais retour, s case départ, à Fleury Meringis.

Eh oui.... En suisse normande, si tu connais Thury Harcourt, tu ne connais pas Fleury.

PS : la fille de son père, qui a toujours fait gaffe à ce qu’ on ne dépasse pas la limite de vitesse, parce que, sinon, on tue un enfant, comme une mère, et la plupart du temps, les plus vieux trinquent, parce qu’ ils marchent lentement.

En traversant la route, on continue chemin!
Dim 08 Oct 2006, 02:37 par Chogokinette sur Un monde parfait
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Ecrire sur ans

Ecrire sur ans L'île du Levant la bien nommée..., Enfin la parité pour les hommes !, Oubli, J'aurais voulu que tu sois comme un " frère "..., Le Grand Rouge, Pluie, Fatia, Révoltes des enfants, Des lieux, une époque... (Suite), La deuxième main courante..., Et si c' était, Damien, Avis Mondial, Rappel à Karim., Briséis le retour,
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