Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur attendant - Page 2 sur 5
Compte à rebours
Tu as deviné ? Oui ? Non, pas encore ?
Voyons si je te dis :
1. membres
2. 998
Alors, ça y est, tu comprends ?
Plus que deux pour que nous ayons atteint les
1000 membres !
Qui sera-il ?
Quelle sera-t-elle ?
Le suspens est in-sou-te-na-ble !
En attendant, bon été à tous, à toutes et bonne écriture,
Dolce
Voyons si je te dis :
1. membres
2. 998
Alors, ça y est, tu comprends ?
Plus que deux pour que nous ayons atteint les
1000 membres !
Qui sera-il ?
Quelle sera-t-elle ?
Le suspens est in-sou-te-na-ble !

En attendant, bon été à tous, à toutes et bonne écriture,

Dolce
Dim 07 Août 2011, 13:50 par
dolce vita sur Annonces
Un quai. deux personnes. un ciel bleu. quelques nuages.
Un quai. Un train rouge et jaune à l’arrêt sur la voie d’en face. Une foule tout près attendant la prochaine navette dans une chaleur étouffante. Des familles, des militaires, des vacanciers, beaucoup d’enfants. Deux personnes assises sur le béton. Jeans bleus, T-shirt blanc. Une grosse valise qui ferme à peine posée entre eux. Il est presque 15h15 d’après les grosses aiguilles de l’horloge de la SNCF, la machine de fer tractée par une vieille locomotive usée ne tardera plus et l’emmènera à la gare suivante… Attente. Un mot ou deux échangés dans le brouhaha ambiant. Le ciel est bleu. Quelques nuages blancs se transforment au gré d’un vent imperceptible. Matière en devenir, indéfinissable. Un lapin? Une tortue? Un lapin qui course une tortue? Ou plutôt un dragon? Ces formes auxquelles on ne peut s’empêcher de donner un nom, un sens, une essence plus proche de notre quotidien. Tel un artiste voulant créer à partir de rien quelque chose qui lui semble intelligent, pertinent, mais quelque chose dont il peut être fier, quelque chose qui vient de lui, ce rien qui devient sa création. Réflexions inutiles mais plaisantes sur ces amas de gouttelettes d’eau suspendus dans l’atmosphère. Discussion. Sur tout et sur rien. Les minutes passent. Lentement. Agréablement.
Ven 27 Mai 2011, 13:21 par
Tenshi sur Un monde parfait
Mes yeux dans ton reflet
Comme deux gouttes d’eau ,
Perdues dans un brouillard
Qui avaient besoin de se retrouver
D’échanger encore leurs regards
Dont elles se sont finalement émerveillées
Assoiffées, qu’elles sont, depuis des années
Une éternité pour l’une d’entre elle.
Mais qui à su se poser délicatement
En attendant que l’autre la rejoigne.
Pour se fondre, avec douceur, tendresse ,
Et ce grand, irrépressible amour
Qui était là depuis toujours.
Mais que l’une est en train de redécouvrir
Cette émotion, aussi forte que fragile.
Dans un monde fait d’argile
Où tout peut se briser,
D’un simple souffle glacé.
Elle glissera jusqu’à elle
Et se laissera emporter
Dans une danse langoureuse
Fermant les yeux, et se rapprochant de plus en plus
Sa bouche, toute proche, en face de la sienne
Et d’un effleurement, très lentement
Viendront s’y poser furtivement
Quelques petits baisers.
Qui se diffuseront, au plus profond de leurs âmes
Et dont le voyage , n’en sera qu’extase"...
D’un bonheur partagé
Ils se regarderont
Dans le silence
D’une pénombre
À laquelle leurs yeux s’habitueront
Pour être encore plus proches
Pour ne former plus qu’un ..
Perdues dans un brouillard
Qui avaient besoin de se retrouver
D’échanger encore leurs regards
Dont elles se sont finalement émerveillées
Assoiffées, qu’elles sont, depuis des années
Une éternité pour l’une d’entre elle.
Mais qui à su se poser délicatement
En attendant que l’autre la rejoigne.
Pour se fondre, avec douceur, tendresse ,
Et ce grand, irrépressible amour
Qui était là depuis toujours.
Mais que l’une est en train de redécouvrir
Cette émotion, aussi forte que fragile.
Dans un monde fait d’argile
Où tout peut se briser,
D’un simple souffle glacé.
Elle glissera jusqu’à elle
Et se laissera emporter
Dans une danse langoureuse
Fermant les yeux, et se rapprochant de plus en plus
Sa bouche, toute proche, en face de la sienne
Et d’un effleurement, très lentement
Viendront s’y poser furtivement
Quelques petits baisers.
Qui se diffuseront, au plus profond de leurs âmes
Et dont le voyage , n’en sera qu’extase"...
D’un bonheur partagé
Ils se regarderont
Dans le silence
D’une pénombre
À laquelle leurs yeux s’habitueront
Pour être encore plus proches
Pour ne former plus qu’un ..
Jeu 26 Mai 2011, 15:19 par
caressedesyeux sur Mille choses
Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire - i
Le mythe amoureux
Un jour de l’an 1992 dans une colonie, un enfant de 10 ans se fit transpercer par une flèche de Cupidon. Ce gamin ailé plongea notre héros dans un amour platonique pour une fille de sa campagne natale durant 15 ans.
Le regard de cette fille lui parlait, il lui semblait qu’il la connaissait dans une autre vie. Il aimait son sourire et souvent son regard croisait le sien tendrement lorsqu’ils avaient l’occasion d’être ensemble. Ces occasions n’étaient jamais créées par lui mais par d’autres facteurs qui faisaient qu’obligatoirement, ils devaient se retrouver au même endroit. Notre héros les a interprétés pendant longtemps comme des signes de l’univers infini. Il essaya bien quelque fois de l’aborder mais maladroitement,
Dès lors, il construisit un mythe autour de cette fille. C’était elle ou rien. Il repoussa plusieurs avances d’autres filles ne voulant pas trahir celle qu’il aimait. Il l’aima secrètement sans jamais rien lui dire, hormis quelques lettres et quelques paroles. Parfois, il l’oubliait mais dès qu’il la revoyait son cœur se mettait à accélérer, des malaises l’envahissaient, il voulait se cacher. Elle lui faisait un effet incroyable. Elle a été pendant de très longues années son seul modelé féminin, elle était présente jusque dans ses rêves même si ce n’était pas d’elle qu’il s’agissait.
Un beau jour, sous conseil d’un ami, il lui déclara son amour dans une grande lettre.
Voici un extrait de cette lettre :
Juin 2004
"Chère X,
J’ai enfin trouvé le courage de t’écrire. C’est grâce aussi à notre ami en commun avec qui j’ai fait un magnifique voyage. Durant ce voyage, lors d’une nuit à la belle étoile, nous avons eu une riche discussion sur le sens de la vie, les grandes questions et l’Amour. Sur ce troisième sujet, nous en sommes venus tout naturellement à toi et je lui ai dit ce que j’éprouvais pour toi. En entendant cela, il m’a dit comme d’autre avant lui : "Tente Ta Chance". Ces mots venant de la bouche d’une personne te connaissant bien m’ont donné la force de t’écrire ces mots.
Tu sais bien, enfin je l’espère, que tu ne m’as jamais été indifférente,
Le jour ou Cupidon m’a transpercé le cœur , je n’ai jamais cessé de penser à toi. Chaque semaine, j’attendais avec impatience nos activités communes pour te voir. Je t’aime X, ma timidité envers toi m’a toujours empêché de t’aborder face à face voilà que maintenant c’est fait par écrit. Je voudrais partager de grandes soirées en tête à tête avec toi, tout connaître de toi, tout partager avec toi. Si j’ai envoyé cette lettre manuscrite par la poste au temps de l’internet, ce que je me suis dit qu’elle serait plus personnelle qu’un e-mail.
Cela m’a fait plaisir de pouvoir enfin te dévoiler mon amour pour toi et de passer un moment avec toi.
"Loin des yeux, près du cœur"
Dans l’attente de te lire, je te souhaite un agréable séjour à l’autre bout du monde et que tout se passe le mieux pour toi." Notre héros qui t’aime !
Quelques mois, plus tard, en même temps que la lettre d’une monitrice, il recevait une réponse à sa déclaration d’amour qu’il interpréta comme une promesse de mariage. Le mythe reprit de plus belle et en plus qu’elle était à l’autre bout du monde et ne devait revenir que d’ici plusieurs mois. Il pensa tous les jours à elle. Il était dans un grand dilemme avec cet autre coup de foudre survenu suite à l’envoi de cette lettre à son amie d’enfance. Elle était sa raison de vivre, enfin de compte une copine imaginaire. Il croyait être en couple mais il était seul. Il se réjouissait de lui offrir sa virginité. Il avait déjà réfléchi au nom de leur premier enfant. Il avait fait des projets de vie mais tout seul, avec comme seule compagnie marie-jeanne et son imaginaire. Une relation à une seule personne. Elle ne savait rien de tout cela. Il ne connaissait pas la vie de couple. Il était amoureux de cette fille. Il remplira trois cahiers en attendant son retour à cause de cette fameuse lettre, parfois avec le recul, il se dira et si il l’avais jamais envoyée, est-ce qui il y aurait eu la rencontre avec la monitrice? puis tous ses signes et ces deux amours qui se sont croisés pendant six mois. Toutes ces prières, ces vœux aux étoiles filantes, ces vœux lors du jet d’une pièce dans un bassin d’eau, tout cet amour inconditionnel donné pour rien. Il était persuadé que ce jour d’octobre 92 , le dieu grec de l’amour avait choisi son destin et que rien ne pourrait y changer.
Quand elle revint au pays natal, ils se virent et il lui demanda : Alors nous sommes en couple? et elle lui répondit : ma réponse n’était pas claire? Nous sommes de véritables amis. Il lui répondit par un signe de tête et ils allèrent fumer un pétard. Ce soir là, il fut élu au conseil communal de son village natal. Le lendemain, il se prit une cuite magistrale. Il était au fond du trou...mais la lecture du Manuel du Guerrier de la Lumière l’a aidé à passer ce cap. Notre héros avait remplis trois cahier intimes de projection dans le futur avec son amour platonique.
Ovide était son Maître.
Quelques années passèrent et ils reprirent contact. Il la voyait souvent. Il avait de grandes discussions avec elle. Il a passé plusieurs soirées en sa compagnie. Tous ses actes amicaux n’ont fait que raviver cette vielle flamme qui brûlait encore secrètement en lui. Jusqu’au soir, ou il craqua en présence d’un témoin important à ses yeux dans cette histoire d’amour créée par notre héros. Il lui reprocha que c’était à cause d’elle qu’il n’avait jamais eu de copine ce dont elle n’était pas coupable. Et que tant qu’elle n’était pas mariée, il n’abandonnerait pas l’affaire. Il la blessa, la fit pleurer.
Le lendemain, il reçut une lettre d’elle. Il devait choisir entre son amitié ou plus rien du tout. Cette rencontre en tête à tête avec elle devait vraiment mettre fin à toute ambiguïté. Elle serait une amie et rien d’autre. Il choisit son amitié maintenant qu’ils avaient eu de grandes discussion ensemble, qu’il la connaissait mieux, plus intimement ,qu’il allaient voyager ensemble en terre inconnue. Il se fit une nouvelle raison qu’elle ne voulait pas de lui en tant que mari mais en tant que véritable ami. Il était trop petit.
Ces quinze années furent quand même traversées par quelques autres aventures amoureuses comme vous allez pouvoir le lire.
Première copine
A l’âge de 15 ans, il sortit pendant quatre jours avec une fille du pied de la montagne. Ils se rencontrèrent dans un bal de campagne. Ils se firent des sourires, dansèrent ensemble, se rapprochèrent, se tinrent par les mains, et puis ils s’embrassèrent. Il fit son premier baiser dans un giron de jeunesse. C’est durant cette soirée qu’il goûtât pour la première fois aux lèvres d’une autre personne. C’était bon ! Enfin son tour arrivait, en plus ce soir, il y avait beaucoup de monde que notre héros connaissait. C’était ses premières galoches, encore débutantes, bien baveuses. Ils s’embrassèrent toute la nuit. Elle devait rentrer plus tôt, alors il la raccompagna jusqu’à chez elle. Elle lui proposa d’aller dans les champs mais il pleuvait des cordes. Ils se revirent le lendemain. Elle l’avait invité chez elle. Ils allèrent dans sa chambre sur son lit et il toucha pour la première fois une poitrine, pellotta ses seins adolescent, elle avait un soutien-gorge noire, caressa un corps féminin et avec un arrière son de rap français, il l’embrassa encore, la caressa mais tout en laissant leurs habits. L’odeur de son parfum le rendait fou comme tous les futurs parfums de ses amantes. Quelques jours plus tard, ils avaient rendez-vous à la piscine. Ce jour là,elle arriva en pleurs vers lui et lui dit que c’était finis, sans aucune explication. Il était arabe.
Masturbation
Notre petit arabe ne connait aucune pratique sexuelle hormis celle de la masturbation. La première fois qu’il s’est branlé, c’était chez son meilleur pote d’enfance. Ils regardaient un film porno et son pote lui expliqua qu’il allait se branler. Il fit de même. Il éjacula pour la première fois et vis à quoi ressemblait du sperme. Il ne fit pas des jets comme son pote mais le sperme sorti en gros flots en coulant. Il avait 14 ans. Une autre fois, vers l’âge de 15 ans, il avait lu toute la soirée chez un pote des revues pornographique et il avait adoré. Son sexe avait été en érection toute la soirée. En rentrant chez lui, il s’était branlé avec comme seul outil sa main et son imaginaire. Il découvrit son premier orgasme. Ils se branlaient aussi entre potes en regardant un film de cul. Notre héros adorait la littérature érotique et pornographique plus que les films. Il se branlait parfois jusqu’à six fois par jour. Il s’eut branlé dans des lieux insolites comme dans un avion, dans le train, dans un dortoir façon ninja, et attendre près d’une demi-heure avant d’éjaculer, ou encore il a découvert d’autres zones érogènes comme ses tétons, ou l’anus, cela lui est arrivé parfois de se mettre l’index dans le cul. Il a jouit plusieurs fois comme cela. Il essaiera la branlette façon allume-feu, en tournant le sexe entre ses deux paumes. Il se blessa aussi plusieurs fois le sexe. Il se branlera aussi sous la douche, dans le bain. Tantôt avec une main, tantôt avec l’autre, parfois avec deux doigts, il suffisait d’être un peu imaginatif ! En utilisant des capotes, enfin quand vous n’avez pas de copine jusqu’à l’âge de 29 ans et que vous êtes attirés par la chose, vous pouvez toujours avoir recours à comme il l’appelait l’auto-sexe. Il n’est jamais arrivé à se faire une auto-fellation. Un plaisir solitaire mais un plaisir tout de même. C’est comme cela que chaque soir avant d’aller se coucher la branlette est chez lui un rituel. Cela lui permet de sortie l’énergie vitale de son sexe. Cet élixir de vie qui une fois sortis de son corps le plonge illico presto dans les bras de Morphée.
Lycée
La période du lycée fut pour lui la découverte de la ville, du cannabis, ainsi que des nouvelles technologies. Durant son lycée, il se lia d’amitié avec une fille de sa classe qui devint sa confidente et à qui il racontait tout. Durant ces quatre années, plusieurs filles traversèrent son esprit, mais il ne les invita jamais, ne leur proposa jamais rien à faire. Il était dans un lycée de bourgeois et fréquentait quasi que des personnes du milieux hiphop. Il y eut deux fille CE et CA. Notre héros et sa confidente avaient un langage secret afin de pouvoir parler normalement des gens les entourant sans avoir à les nommer. Elles étaient toutes les deux différentes, une noiraude et l’autre blonde. Durant cette période pleins de filles, lui avaient tendu des perches mais il avait feint de ne pas les voir. Des filles de couleurs et des filles avec des formes généreuse se sont aussi intéressées à lui plusieurs fois. Elles ne lui plaisaient pas physiquement ou bien le pire elles devenaient belles une fois qu’un autre était avec. Notre héros était encore dans son délire d’amour platonique. Il fallait vraiment un phénomène pour le faire passer à l’action.
CE était dans sa classe, mais il la remarqua qu’avec l’arrivée du printemps. Elle portait une jupe de tennis avec des baskets. La vue de ses jambes et de son corps lui avait fait découvrir une magnifique plante qui était assise juste derrière lui en classe. Elle avait de la classe. Elle sentait bon. Elle avait un regard qui lui parlait. Elle aimait un tube de rap, ce qui fit que notre b.boys puis lui prêter le skeud de ce groupe. Ils se fréquentèrent en classe.Puis lors de leur voyage d’études. notre petit arabe tenta une approche. Ils dansèrent ensemble chaudement. Ce soir là, il aurait du conclure mais au moment où ils se retrouvèrent tous les deux seuls dans la chambre. On vint les appeler pour aller aider à chercher une camarde de classe qui avait disparu. Et puis, ils échangèrent leurs numéros, ils se revirent plusieurs fois en boîte mais notre héros n’osa jamais la rapprocher comme il l’avait fait dans ce pays étranger.
Il rencontra CA sur un chat. Elle était blonde- Elle avait de magnifique yeux bleus. Elle venait de l’île de cuba et avait une touche scandinave. Une magnifique beauté sortie d’un fjord norvégien. Elle représentait son idéal féminin en chaire et en os. La première fois qu’il la vit s’était de dos, elle était en train de se servir un verre d’eau quand elle s’est retournée pour le boire. La vue de son visage l’avait marqué. Le soir même en chattant, il tomba sur elle et le plus surprenant et qu’ils étaient dans le même cours de gymnastique. Le hasard faisait bien les choses, elle lui donna plusieurs fois rendez-vous mais il n y alla pas et puis un beau jour à une pause. Il la vit embrasser un autre type...elle le remarqua, elle le regarda avec gêne en lui faisant comprendre d’être moins timide et plus rapide. La vue de ce baiser et ce regard lui firent effet d’un coup de poignard. Il était fils d’ouvrier.
La colonie
Une autre rencontre traversa ces quinze années, il s’agissait d’une jolie monitrice lors d’un camp de break-dance. Il croyait de nouveau que Cupidon l’avait touché sur le quai de la gare en récupérant les gosses. Quelques jours avant la rencontre avec la monitrice, il avait envoyé la lettre dont vous trouvez l’extrait plus haut.
Elle était jolie. Elle sentait bon. Elle était bronzée. Elle avait des yeux verts et des cheveux courts. Elle portait un pendentif en forme de cœur. Elle jouait de la musique. Elle pratiquait un sport. Elle dansait. Elle prenait soin d’elle. Elle avait un doux regard et avait le rôle d’infirmière durant le camp. La joie et la surprise quand il apprit qu’ils devraient partager la même chambre. Il devint son colocataire préféré. Il la respecta. Elle le motiva à commencer la politique. Il venait de fonder une association.
Ils partagèrent beaucoup d’affection ensemble. C’était la première fois qu’il recevait autant de câlins, de caresses, de massages, des bisous et d’attention d’une femme. Elle croisait ses jambes autour de lui. Il découvrit toutes ces douceurs. Il était aux anges. Le soir, il espérait qu’elle n’arriva pas à dormir afin qu’ils puissent parler ensemble. Ils discutérent et partagèrent beaucoup de choses personnelles et intimes concernant leurs familles respectives. Elle l avait motivé à aretter de fumer la clope, et aussi de se raser plus souvent, de prendre plus soin de lui. Il lui fit une petite déclaration d’amour un matin avant de partir pour les activités. Elle refusa sa demande. Il n’était pas le b-boy dominant du camp.
Après ce camp, en même temps que la réponse de son amour mythique, il reçut aussi une lettre de la monitrice qui lui disait qu’elle pensait qu’ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre. C’était incroyable ! Il n y avait jamais rien eu, et il recevait tout d’un coup, le même jour, deux lettres en même temps. Il commença une correspondance manuscrite avec la monitrice. Son affection lui manquait beaucoup. Ces échanges de lettres lui procuraient du plaisir. Il avait l’impression d’avoir une copine. Un échange avait lieu. Ils gardèrent contact durant une année jusqu’à ce qu’ils refassent ensemble une colonie. Cette expérience fut toute différente de celle de l’année précédente. Il voulut tomber amoureux d’une autre monitrice. Il n’eut plus de nouvelle de sa colocatrice adorée.
Rapport avec le sexe opposé.
Notre héros avait peur des femmes. Une peur qui se traduisait par un estomac noué, une incapacité de manger, des malaises, des vomissements, des angoisses, une paralysie. Il était extrêmement timide. Des souvenirs enfouis dans son enfance quand il avait reçu des claques, des refus pour sa taille, un coup de pied dans l’œil, un coup de ciseaux, des refus pour sa couleur de peaux en provenance de petites filles. Il préférait demander l’heure à un voyou avec un pit-bull qu’à une jolie demoiselle. Il était incapable de téléphoner à une fille sans avoir fait tout un rituel avant de s’y décider. Il avait une peur totale de la femme. Il avait un manque de confiance face à la gent féminine. Son inconscient criait danger. Cette peur de l’inconnu le clouait sur le port et il n’osait pas prendre le large
Il avait eu parfois des discussions avec des filles. Il les écoutait mais il ne parlait pas de lui. De ce fait, elles n’avaient aucune raison de s’intéresser à notre héros et il restait le gentil ami. Il communiquait très peu de choses sur sa personne. Il était réservé et froid. Il était un homme d’écoute.
De plus, n’ayant jamais eu de sœurs ou de copine très proche. Il n’avait pas la connaissance de l’âme féminine. Il n’avait côtoyé que sa maman mais elle devait s’occuper de trois autres hommes aussi.
Son style.
Il était un mélange de deux continents. Les chromosomes de son père africain avaient pris le dessus. Il ressemblait à un arabe. Il mesurait un mètre cinquante-neuf, pour une cinquantaine de kilos.
Il était un partisan de la culture hip-hop. Il ne s’était jamais trop préoccupé de son style. Il transpirait le hip hop. Sa tenue vestimentaire préférée était un haut de training, un jeans, des baskets et une casquette. Il avait plus le style d’un gars d’en bas que celui d’un gars d’en haut. Il était porteur de lunettes. Il avait les cheveux noirs bouclés. Il portait souvent une barbe de trois jours et mettait parfois quelques gouttes de parfums. Il ferait un effort quand il serait en couple.
Il aimait les belle femmes, plus grandes que lui, avec une préférence pour les blondes, aux yeux clairs mais il pouvait tomber passionnément amoureux pour n’importe quelle femme. Il aimait ce qu’il choisissait.
Son sourire est son plus bel atout, il en a fait craquer plus d’une !
Conclusion de la première partie
Ces femmes lui avaient donné force d’entrer dans l’arène politique. Elles avaient donné à notre héros le courage de continuer à se battre pour son association. Elles lui avaient permis d’apprendre à donner de sa personne avec passion sans s’attendre à quelque chose d’elles en retour. Il avait appris le sens du sacrifice et de l’abstinence.
Elles étaient mises sur un piédestal. Il les avait aimées. Ces femmes lui avaient permis de créer des discours et d’organiser des évènements réunissant jusqu’à trois cents personnes par amour pour tous les êtres humains et de continuer à dévoiler ses messages de Paix, d’Amour et d’Unité. Elles lui avaient donné le courage de traverser des terrains inconnus, de rencontrer des gens d’autres cultures et d’exercer son écriture dans ses innombrables cahiers. Il croyait trop à la mythologie grecque.
Ces quinze ans de vie écrites sur papier lui permettait maintenant de faire une croix sur ce passé et d’aller de l’avant, de découvrir le Sexe et de ne plus s’en priver même sans Amour.
Un jour de l’an 1992 dans une colonie, un enfant de 10 ans se fit transpercer par une flèche de Cupidon. Ce gamin ailé plongea notre héros dans un amour platonique pour une fille de sa campagne natale durant 15 ans.
Le regard de cette fille lui parlait, il lui semblait qu’il la connaissait dans une autre vie. Il aimait son sourire et souvent son regard croisait le sien tendrement lorsqu’ils avaient l’occasion d’être ensemble. Ces occasions n’étaient jamais créées par lui mais par d’autres facteurs qui faisaient qu’obligatoirement, ils devaient se retrouver au même endroit. Notre héros les a interprétés pendant longtemps comme des signes de l’univers infini. Il essaya bien quelque fois de l’aborder mais maladroitement,
Dès lors, il construisit un mythe autour de cette fille. C’était elle ou rien. Il repoussa plusieurs avances d’autres filles ne voulant pas trahir celle qu’il aimait. Il l’aima secrètement sans jamais rien lui dire, hormis quelques lettres et quelques paroles. Parfois, il l’oubliait mais dès qu’il la revoyait son cœur se mettait à accélérer, des malaises l’envahissaient, il voulait se cacher. Elle lui faisait un effet incroyable. Elle a été pendant de très longues années son seul modelé féminin, elle était présente jusque dans ses rêves même si ce n’était pas d’elle qu’il s’agissait.
Un beau jour, sous conseil d’un ami, il lui déclara son amour dans une grande lettre.
Voici un extrait de cette lettre :
Juin 2004
"Chère X,
J’ai enfin trouvé le courage de t’écrire. C’est grâce aussi à notre ami en commun avec qui j’ai fait un magnifique voyage. Durant ce voyage, lors d’une nuit à la belle étoile, nous avons eu une riche discussion sur le sens de la vie, les grandes questions et l’Amour. Sur ce troisième sujet, nous en sommes venus tout naturellement à toi et je lui ai dit ce que j’éprouvais pour toi. En entendant cela, il m’a dit comme d’autre avant lui : "Tente Ta Chance". Ces mots venant de la bouche d’une personne te connaissant bien m’ont donné la force de t’écrire ces mots.
Tu sais bien, enfin je l’espère, que tu ne m’as jamais été indifférente,
Le jour ou Cupidon m’a transpercé le cœur , je n’ai jamais cessé de penser à toi. Chaque semaine, j’attendais avec impatience nos activités communes pour te voir. Je t’aime X, ma timidité envers toi m’a toujours empêché de t’aborder face à face voilà que maintenant c’est fait par écrit. Je voudrais partager de grandes soirées en tête à tête avec toi, tout connaître de toi, tout partager avec toi. Si j’ai envoyé cette lettre manuscrite par la poste au temps de l’internet, ce que je me suis dit qu’elle serait plus personnelle qu’un e-mail.
Cela m’a fait plaisir de pouvoir enfin te dévoiler mon amour pour toi et de passer un moment avec toi.
"Loin des yeux, près du cœur"
Dans l’attente de te lire, je te souhaite un agréable séjour à l’autre bout du monde et que tout se passe le mieux pour toi." Notre héros qui t’aime !
Quelques mois, plus tard, en même temps que la lettre d’une monitrice, il recevait une réponse à sa déclaration d’amour qu’il interpréta comme une promesse de mariage. Le mythe reprit de plus belle et en plus qu’elle était à l’autre bout du monde et ne devait revenir que d’ici plusieurs mois. Il pensa tous les jours à elle. Il était dans un grand dilemme avec cet autre coup de foudre survenu suite à l’envoi de cette lettre à son amie d’enfance. Elle était sa raison de vivre, enfin de compte une copine imaginaire. Il croyait être en couple mais il était seul. Il se réjouissait de lui offrir sa virginité. Il avait déjà réfléchi au nom de leur premier enfant. Il avait fait des projets de vie mais tout seul, avec comme seule compagnie marie-jeanne et son imaginaire. Une relation à une seule personne. Elle ne savait rien de tout cela. Il ne connaissait pas la vie de couple. Il était amoureux de cette fille. Il remplira trois cahiers en attendant son retour à cause de cette fameuse lettre, parfois avec le recul, il se dira et si il l’avais jamais envoyée, est-ce qui il y aurait eu la rencontre avec la monitrice? puis tous ses signes et ces deux amours qui se sont croisés pendant six mois. Toutes ces prières, ces vœux aux étoiles filantes, ces vœux lors du jet d’une pièce dans un bassin d’eau, tout cet amour inconditionnel donné pour rien. Il était persuadé que ce jour d’octobre 92 , le dieu grec de l’amour avait choisi son destin et que rien ne pourrait y changer.
Quand elle revint au pays natal, ils se virent et il lui demanda : Alors nous sommes en couple? et elle lui répondit : ma réponse n’était pas claire? Nous sommes de véritables amis. Il lui répondit par un signe de tête et ils allèrent fumer un pétard. Ce soir là, il fut élu au conseil communal de son village natal. Le lendemain, il se prit une cuite magistrale. Il était au fond du trou...mais la lecture du Manuel du Guerrier de la Lumière l’a aidé à passer ce cap. Notre héros avait remplis trois cahier intimes de projection dans le futur avec son amour platonique.
Ovide était son Maître.
Quelques années passèrent et ils reprirent contact. Il la voyait souvent. Il avait de grandes discussions avec elle. Il a passé plusieurs soirées en sa compagnie. Tous ses actes amicaux n’ont fait que raviver cette vielle flamme qui brûlait encore secrètement en lui. Jusqu’au soir, ou il craqua en présence d’un témoin important à ses yeux dans cette histoire d’amour créée par notre héros. Il lui reprocha que c’était à cause d’elle qu’il n’avait jamais eu de copine ce dont elle n’était pas coupable. Et que tant qu’elle n’était pas mariée, il n’abandonnerait pas l’affaire. Il la blessa, la fit pleurer.
Le lendemain, il reçut une lettre d’elle. Il devait choisir entre son amitié ou plus rien du tout. Cette rencontre en tête à tête avec elle devait vraiment mettre fin à toute ambiguïté. Elle serait une amie et rien d’autre. Il choisit son amitié maintenant qu’ils avaient eu de grandes discussion ensemble, qu’il la connaissait mieux, plus intimement ,qu’il allaient voyager ensemble en terre inconnue. Il se fit une nouvelle raison qu’elle ne voulait pas de lui en tant que mari mais en tant que véritable ami. Il était trop petit.
Ces quinze années furent quand même traversées par quelques autres aventures amoureuses comme vous allez pouvoir le lire.
Première copine
A l’âge de 15 ans, il sortit pendant quatre jours avec une fille du pied de la montagne. Ils se rencontrèrent dans un bal de campagne. Ils se firent des sourires, dansèrent ensemble, se rapprochèrent, se tinrent par les mains, et puis ils s’embrassèrent. Il fit son premier baiser dans un giron de jeunesse. C’est durant cette soirée qu’il goûtât pour la première fois aux lèvres d’une autre personne. C’était bon ! Enfin son tour arrivait, en plus ce soir, il y avait beaucoup de monde que notre héros connaissait. C’était ses premières galoches, encore débutantes, bien baveuses. Ils s’embrassèrent toute la nuit. Elle devait rentrer plus tôt, alors il la raccompagna jusqu’à chez elle. Elle lui proposa d’aller dans les champs mais il pleuvait des cordes. Ils se revirent le lendemain. Elle l’avait invité chez elle. Ils allèrent dans sa chambre sur son lit et il toucha pour la première fois une poitrine, pellotta ses seins adolescent, elle avait un soutien-gorge noire, caressa un corps féminin et avec un arrière son de rap français, il l’embrassa encore, la caressa mais tout en laissant leurs habits. L’odeur de son parfum le rendait fou comme tous les futurs parfums de ses amantes. Quelques jours plus tard, ils avaient rendez-vous à la piscine. Ce jour là,elle arriva en pleurs vers lui et lui dit que c’était finis, sans aucune explication. Il était arabe.
Masturbation
Notre petit arabe ne connait aucune pratique sexuelle hormis celle de la masturbation. La première fois qu’il s’est branlé, c’était chez son meilleur pote d’enfance. Ils regardaient un film porno et son pote lui expliqua qu’il allait se branler. Il fit de même. Il éjacula pour la première fois et vis à quoi ressemblait du sperme. Il ne fit pas des jets comme son pote mais le sperme sorti en gros flots en coulant. Il avait 14 ans. Une autre fois, vers l’âge de 15 ans, il avait lu toute la soirée chez un pote des revues pornographique et il avait adoré. Son sexe avait été en érection toute la soirée. En rentrant chez lui, il s’était branlé avec comme seul outil sa main et son imaginaire. Il découvrit son premier orgasme. Ils se branlaient aussi entre potes en regardant un film de cul. Notre héros adorait la littérature érotique et pornographique plus que les films. Il se branlait parfois jusqu’à six fois par jour. Il s’eut branlé dans des lieux insolites comme dans un avion, dans le train, dans un dortoir façon ninja, et attendre près d’une demi-heure avant d’éjaculer, ou encore il a découvert d’autres zones érogènes comme ses tétons, ou l’anus, cela lui est arrivé parfois de se mettre l’index dans le cul. Il a jouit plusieurs fois comme cela. Il essaiera la branlette façon allume-feu, en tournant le sexe entre ses deux paumes. Il se blessa aussi plusieurs fois le sexe. Il se branlera aussi sous la douche, dans le bain. Tantôt avec une main, tantôt avec l’autre, parfois avec deux doigts, il suffisait d’être un peu imaginatif ! En utilisant des capotes, enfin quand vous n’avez pas de copine jusqu’à l’âge de 29 ans et que vous êtes attirés par la chose, vous pouvez toujours avoir recours à comme il l’appelait l’auto-sexe. Il n’est jamais arrivé à se faire une auto-fellation. Un plaisir solitaire mais un plaisir tout de même. C’est comme cela que chaque soir avant d’aller se coucher la branlette est chez lui un rituel. Cela lui permet de sortie l’énergie vitale de son sexe. Cet élixir de vie qui une fois sortis de son corps le plonge illico presto dans les bras de Morphée.
Lycée
La période du lycée fut pour lui la découverte de la ville, du cannabis, ainsi que des nouvelles technologies. Durant son lycée, il se lia d’amitié avec une fille de sa classe qui devint sa confidente et à qui il racontait tout. Durant ces quatre années, plusieurs filles traversèrent son esprit, mais il ne les invita jamais, ne leur proposa jamais rien à faire. Il était dans un lycée de bourgeois et fréquentait quasi que des personnes du milieux hiphop. Il y eut deux fille CE et CA. Notre héros et sa confidente avaient un langage secret afin de pouvoir parler normalement des gens les entourant sans avoir à les nommer. Elles étaient toutes les deux différentes, une noiraude et l’autre blonde. Durant cette période pleins de filles, lui avaient tendu des perches mais il avait feint de ne pas les voir. Des filles de couleurs et des filles avec des formes généreuse se sont aussi intéressées à lui plusieurs fois. Elles ne lui plaisaient pas physiquement ou bien le pire elles devenaient belles une fois qu’un autre était avec. Notre héros était encore dans son délire d’amour platonique. Il fallait vraiment un phénomène pour le faire passer à l’action.
CE était dans sa classe, mais il la remarqua qu’avec l’arrivée du printemps. Elle portait une jupe de tennis avec des baskets. La vue de ses jambes et de son corps lui avait fait découvrir une magnifique plante qui était assise juste derrière lui en classe. Elle avait de la classe. Elle sentait bon. Elle avait un regard qui lui parlait. Elle aimait un tube de rap, ce qui fit que notre b.boys puis lui prêter le skeud de ce groupe. Ils se fréquentèrent en classe.Puis lors de leur voyage d’études. notre petit arabe tenta une approche. Ils dansèrent ensemble chaudement. Ce soir là, il aurait du conclure mais au moment où ils se retrouvèrent tous les deux seuls dans la chambre. On vint les appeler pour aller aider à chercher une camarde de classe qui avait disparu. Et puis, ils échangèrent leurs numéros, ils se revirent plusieurs fois en boîte mais notre héros n’osa jamais la rapprocher comme il l’avait fait dans ce pays étranger.
Il rencontra CA sur un chat. Elle était blonde- Elle avait de magnifique yeux bleus. Elle venait de l’île de cuba et avait une touche scandinave. Une magnifique beauté sortie d’un fjord norvégien. Elle représentait son idéal féminin en chaire et en os. La première fois qu’il la vit s’était de dos, elle était en train de se servir un verre d’eau quand elle s’est retournée pour le boire. La vue de son visage l’avait marqué. Le soir même en chattant, il tomba sur elle et le plus surprenant et qu’ils étaient dans le même cours de gymnastique. Le hasard faisait bien les choses, elle lui donna plusieurs fois rendez-vous mais il n y alla pas et puis un beau jour à une pause. Il la vit embrasser un autre type...elle le remarqua, elle le regarda avec gêne en lui faisant comprendre d’être moins timide et plus rapide. La vue de ce baiser et ce regard lui firent effet d’un coup de poignard. Il était fils d’ouvrier.
La colonie
Une autre rencontre traversa ces quinze années, il s’agissait d’une jolie monitrice lors d’un camp de break-dance. Il croyait de nouveau que Cupidon l’avait touché sur le quai de la gare en récupérant les gosses. Quelques jours avant la rencontre avec la monitrice, il avait envoyé la lettre dont vous trouvez l’extrait plus haut.
Elle était jolie. Elle sentait bon. Elle était bronzée. Elle avait des yeux verts et des cheveux courts. Elle portait un pendentif en forme de cœur. Elle jouait de la musique. Elle pratiquait un sport. Elle dansait. Elle prenait soin d’elle. Elle avait un doux regard et avait le rôle d’infirmière durant le camp. La joie et la surprise quand il apprit qu’ils devraient partager la même chambre. Il devint son colocataire préféré. Il la respecta. Elle le motiva à commencer la politique. Il venait de fonder une association.
Ils partagèrent beaucoup d’affection ensemble. C’était la première fois qu’il recevait autant de câlins, de caresses, de massages, des bisous et d’attention d’une femme. Elle croisait ses jambes autour de lui. Il découvrit toutes ces douceurs. Il était aux anges. Le soir, il espérait qu’elle n’arriva pas à dormir afin qu’ils puissent parler ensemble. Ils discutérent et partagèrent beaucoup de choses personnelles et intimes concernant leurs familles respectives. Elle l avait motivé à aretter de fumer la clope, et aussi de se raser plus souvent, de prendre plus soin de lui. Il lui fit une petite déclaration d’amour un matin avant de partir pour les activités. Elle refusa sa demande. Il n’était pas le b-boy dominant du camp.
Après ce camp, en même temps que la réponse de son amour mythique, il reçut aussi une lettre de la monitrice qui lui disait qu’elle pensait qu’ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre. C’était incroyable ! Il n y avait jamais rien eu, et il recevait tout d’un coup, le même jour, deux lettres en même temps. Il commença une correspondance manuscrite avec la monitrice. Son affection lui manquait beaucoup. Ces échanges de lettres lui procuraient du plaisir. Il avait l’impression d’avoir une copine. Un échange avait lieu. Ils gardèrent contact durant une année jusqu’à ce qu’ils refassent ensemble une colonie. Cette expérience fut toute différente de celle de l’année précédente. Il voulut tomber amoureux d’une autre monitrice. Il n’eut plus de nouvelle de sa colocatrice adorée.
Rapport avec le sexe opposé.
Notre héros avait peur des femmes. Une peur qui se traduisait par un estomac noué, une incapacité de manger, des malaises, des vomissements, des angoisses, une paralysie. Il était extrêmement timide. Des souvenirs enfouis dans son enfance quand il avait reçu des claques, des refus pour sa taille, un coup de pied dans l’œil, un coup de ciseaux, des refus pour sa couleur de peaux en provenance de petites filles. Il préférait demander l’heure à un voyou avec un pit-bull qu’à une jolie demoiselle. Il était incapable de téléphoner à une fille sans avoir fait tout un rituel avant de s’y décider. Il avait une peur totale de la femme. Il avait un manque de confiance face à la gent féminine. Son inconscient criait danger. Cette peur de l’inconnu le clouait sur le port et il n’osait pas prendre le large
Il avait eu parfois des discussions avec des filles. Il les écoutait mais il ne parlait pas de lui. De ce fait, elles n’avaient aucune raison de s’intéresser à notre héros et il restait le gentil ami. Il communiquait très peu de choses sur sa personne. Il était réservé et froid. Il était un homme d’écoute.
De plus, n’ayant jamais eu de sœurs ou de copine très proche. Il n’avait pas la connaissance de l’âme féminine. Il n’avait côtoyé que sa maman mais elle devait s’occuper de trois autres hommes aussi.
Son style.
Il était un mélange de deux continents. Les chromosomes de son père africain avaient pris le dessus. Il ressemblait à un arabe. Il mesurait un mètre cinquante-neuf, pour une cinquantaine de kilos.
Il était un partisan de la culture hip-hop. Il ne s’était jamais trop préoccupé de son style. Il transpirait le hip hop. Sa tenue vestimentaire préférée était un haut de training, un jeans, des baskets et une casquette. Il avait plus le style d’un gars d’en bas que celui d’un gars d’en haut. Il était porteur de lunettes. Il avait les cheveux noirs bouclés. Il portait souvent une barbe de trois jours et mettait parfois quelques gouttes de parfums. Il ferait un effort quand il serait en couple.
Il aimait les belle femmes, plus grandes que lui, avec une préférence pour les blondes, aux yeux clairs mais il pouvait tomber passionnément amoureux pour n’importe quelle femme. Il aimait ce qu’il choisissait.
Son sourire est son plus bel atout, il en a fait craquer plus d’une !
Conclusion de la première partie
Ces femmes lui avaient donné force d’entrer dans l’arène politique. Elles avaient donné à notre héros le courage de continuer à se battre pour son association. Elles lui avaient permis d’apprendre à donner de sa personne avec passion sans s’attendre à quelque chose d’elles en retour. Il avait appris le sens du sacrifice et de l’abstinence.
Elles étaient mises sur un piédestal. Il les avait aimées. Ces femmes lui avaient permis de créer des discours et d’organiser des évènements réunissant jusqu’à trois cents personnes par amour pour tous les êtres humains et de continuer à dévoiler ses messages de Paix, d’Amour et d’Unité. Elles lui avaient donné le courage de traverser des terrains inconnus, de rencontrer des gens d’autres cultures et d’exercer son écriture dans ses innombrables cahiers. Il croyait trop à la mythologie grecque.
Ces quinze ans de vie écrites sur papier lui permettait maintenant de faire une croix sur ce passé et d’aller de l’avant, de découvrir le Sexe et de ne plus s’en priver même sans Amour.
Mar 17 Mai 2011, 14:32 par
Jeaneck sur La vie à deux
Analepse
Tout a commencé, ici, il y a bien longtemps... Combien d’années déjà ? Je m’amusais à parcourir ce site d’écriture, oubliant les écrits insipides à mon goût pour me régaler de petites perles glanées ici et là. C’est ainsi que je l’ai découvert, caché entre des pétales bien refermés sur son coeur douloureux et sans doute, sans trop m’en apercevoir, j’ai appris à l’aimer.
Un ami. J’ai fait l’amour avec un ami, enfin, je le considérais comme mon ami. Je crois au fond qu’il le restera malgré tout, malgré nous. Je savais bien que cela ne pouvait rien nous amener de bon. De fait, comme pour me protéger, j’avais laissé courir des fils blancs dans mes cheveux et les lui montrais bien comme un trophée (ouf, si j’avais su je n’aurais pas fait cet effort dérisoire !), pas d’illusion sur nos âges respectifs : un rempart, une forteresse qui n’a pas eu l’effet escompté, en clair, ils ne m’ont pas protégée. N’ai-je donc tant vécu...
J’étais cependant terriblement attirée par lui - plus que je n’aurais imaginé la chose possible : son caractère de chien me semblait suffisant pour que je ne l’approche pas de près. Je croyais dur comme fer que de nous voir aurait suffi à refroidir nos éventuels désirs respectifs toujours renouvelés de déchirure en rupture en adieux éternels. Oui, je dois reconnaître que notre amitié a toujours été mâtinée de sentiments variés. Et deux natures fortes. Il m’attirait un peu comme en physique deux élèments inverses s’attirent, loi éternelle. Un exemple : je donnais et lui prenait. Pas très équilibrée comme relation ! Pas très adulte. Et je ne parle pas de ses dents grinçantes ! On pouvait rêver mieux ! Cynique. Calculateur. Froid. Et moi, prompte à corriger l’insolent à lui faire tâter du tranchant de mes mots. Lorsqu’on est femme, on aimerait être l’objet de soin et d’attentions avant que de prodiguer les nôtres ! Je ne peux m’empêcher de voir avec quelle rapidité pourtant il avait appris à donner au moins dans le jeu amoureux ! Sa bouche ouverte d’oisillon attendant la becquée qui m’avait fait mourir de rire (mais de mort lente) avait fini par se montrer savante et généreuse autant qu’il pouvait l’être !
Je pense qu’il avait tout calculé pour que l’affaire soit rentable. Rire ! Et avec ma façon de voir les choses il partait gagnant, il ne s’était pas trompé. Oh, il ne m’avait rien dit de particulier sauf son attirance et sa peur. Il n’a jamais été question d’amour, c’était, pour lui, un aller retour simple quelles qu’avaient été ses dénégations passées : - tu ne reviendras plus te balader avec moi en montagne, n’est-ce pas ? – Bien sûr, pourquoi dis-tu ça ? Je reviendrai… J’aimais son côté taciturne et introverti, cela me faisait rire ! A l’opposé, dis-je, de ce que je suis.
Alors, cette fois là, nous avons fait l’amour. Cela faisait des années que nous y avions pensé ensemble ou à tour de rôle. Toute une nuit, trop courte, dont je ne peux que me souvenir, et, comme je n’avais guère dormi déjà les nuits précédentes, je n’étais pas belle à voir au matin pour un homme sans amour ! Rire ! Mais, c’est égal. Il est des souvenirs que l’on n’oublie pas. Une complicité, une entente des corps qui ne s’invente pas. Il n’y avait, quoiqu’on en pense, pas d’autre issue. L’amour ne supporte pas les contrefaçons. C’était bien dans sa façon de faire. Et dans la mienne. La glace. Le volcan. Il n’y aurait pas d’avenir.
J’ai joué avec lui une dernière fois. Cette fois, c’est moi qui ai mené le jeu et qui ai gagné ! Juste pour le fun. Je m’étais imaginé son indifférence voire son silence mais pas sa colère ! Juste envie de le savoir vivant, là-bas, loin de mes montagnes. Juste envie de le faire râler une dernière fois. Ainsi ma sombre fleur demeurait-elle égale à elle-même ! Pleine de contradictions. Bah, il n’apprendra jamais que ce qu’il veut apprendre. A quoi bon ? Qui suis-je pour lui dire qu’il ne peut retirer aucun bien en n’étant pas intègre. Il calcule trop il en oublie de vivre. La vie est si courte… Elle donne à ceux qui sont généreux. Je l’espère heureux un jour ou l’autre, il le faudra bien qu’il avance, qu’il lâche ses chimères. Une femme saura bien faire changer ses couleurs un jour avant qu’il ne soit trop tard s’il ne se fait pas dévorer. Puisse-t-il se donner les moyens d’être heureux. Lâcher prise... et cesser d’avoir peur.
C’est si triste un corps sans âme.
Un ami. J’ai fait l’amour avec un ami, enfin, je le considérais comme mon ami. Je crois au fond qu’il le restera malgré tout, malgré nous. Je savais bien que cela ne pouvait rien nous amener de bon. De fait, comme pour me protéger, j’avais laissé courir des fils blancs dans mes cheveux et les lui montrais bien comme un trophée (ouf, si j’avais su je n’aurais pas fait cet effort dérisoire !), pas d’illusion sur nos âges respectifs : un rempart, une forteresse qui n’a pas eu l’effet escompté, en clair, ils ne m’ont pas protégée. N’ai-je donc tant vécu...
J’étais cependant terriblement attirée par lui - plus que je n’aurais imaginé la chose possible : son caractère de chien me semblait suffisant pour que je ne l’approche pas de près. Je croyais dur comme fer que de nous voir aurait suffi à refroidir nos éventuels désirs respectifs toujours renouvelés de déchirure en rupture en adieux éternels. Oui, je dois reconnaître que notre amitié a toujours été mâtinée de sentiments variés. Et deux natures fortes. Il m’attirait un peu comme en physique deux élèments inverses s’attirent, loi éternelle. Un exemple : je donnais et lui prenait. Pas très équilibrée comme relation ! Pas très adulte. Et je ne parle pas de ses dents grinçantes ! On pouvait rêver mieux ! Cynique. Calculateur. Froid. Et moi, prompte à corriger l’insolent à lui faire tâter du tranchant de mes mots. Lorsqu’on est femme, on aimerait être l’objet de soin et d’attentions avant que de prodiguer les nôtres ! Je ne peux m’empêcher de voir avec quelle rapidité pourtant il avait appris à donner au moins dans le jeu amoureux ! Sa bouche ouverte d’oisillon attendant la becquée qui m’avait fait mourir de rire (mais de mort lente) avait fini par se montrer savante et généreuse autant qu’il pouvait l’être !
Je pense qu’il avait tout calculé pour que l’affaire soit rentable. Rire ! Et avec ma façon de voir les choses il partait gagnant, il ne s’était pas trompé. Oh, il ne m’avait rien dit de particulier sauf son attirance et sa peur. Il n’a jamais été question d’amour, c’était, pour lui, un aller retour simple quelles qu’avaient été ses dénégations passées : - tu ne reviendras plus te balader avec moi en montagne, n’est-ce pas ? – Bien sûr, pourquoi dis-tu ça ? Je reviendrai… J’aimais son côté taciturne et introverti, cela me faisait rire ! A l’opposé, dis-je, de ce que je suis.
Alors, cette fois là, nous avons fait l’amour. Cela faisait des années que nous y avions pensé ensemble ou à tour de rôle. Toute une nuit, trop courte, dont je ne peux que me souvenir, et, comme je n’avais guère dormi déjà les nuits précédentes, je n’étais pas belle à voir au matin pour un homme sans amour ! Rire ! Mais, c’est égal. Il est des souvenirs que l’on n’oublie pas. Une complicité, une entente des corps qui ne s’invente pas. Il n’y avait, quoiqu’on en pense, pas d’autre issue. L’amour ne supporte pas les contrefaçons. C’était bien dans sa façon de faire. Et dans la mienne. La glace. Le volcan. Il n’y aurait pas d’avenir.
J’ai joué avec lui une dernière fois. Cette fois, c’est moi qui ai mené le jeu et qui ai gagné ! Juste pour le fun. Je m’étais imaginé son indifférence voire son silence mais pas sa colère ! Juste envie de le savoir vivant, là-bas, loin de mes montagnes. Juste envie de le faire râler une dernière fois. Ainsi ma sombre fleur demeurait-elle égale à elle-même ! Pleine de contradictions. Bah, il n’apprendra jamais que ce qu’il veut apprendre. A quoi bon ? Qui suis-je pour lui dire qu’il ne peut retirer aucun bien en n’étant pas intègre. Il calcule trop il en oublie de vivre. La vie est si courte… Elle donne à ceux qui sont généreux. Je l’espère heureux un jour ou l’autre, il le faudra bien qu’il avance, qu’il lâche ses chimères. Une femme saura bien faire changer ses couleurs un jour avant qu’il ne soit trop tard s’il ne se fait pas dévorer. Puisse-t-il se donner les moyens d’être heureux. Lâcher prise... et cesser d’avoir peur.
C’est si triste un corps sans âme.
Lun 25 Avril 2011, 08:12 par
dolce vita sur Histoires d'amour
La seance de cinema
Connaissez-vous quelque chose de plus énervant que de partir à l’avance et d’arriver en retard à cause d’un bouchon routier ? Cela fait plus d’une heure qu’on se traîne à la vitesse fantastique d’un escargot asthmatique et la séance de cinéma, pour le film que je ne voudrais surtout pas manquer, est dans quelques minutes. L’amie avec laquelle je dois y aller doit sans doute déjà trépigner d’impatience à m’attendre. J’arrive et j’aperçois au loin la foule qui se presse aux portes. Encore quelques minutes. Trouver une place de parking ?... En voilà une ! Vite, je suis en retard ! Oh, zut, voilà qu’il pleut maintenant ! Tant pis, je suis arrivée, trempée mais arrivée ! Ouf, un ticket ? Complet ? Non, pas ça ! Deux heures pour venir sous un soleil de plomb, cent mètres sous une pluie battante et il ne reste pas une seule place ? Et mon amie ? Elle est arrivée ou pas ? Comment savoir ? Et que vais-je faire en attendant ?
Je ne suis pas à mon aise ! Il y a là un grand type au teint cireux et cheveux gominés qui ne m’inspire pas confiance du tout.
Oh, non, le voilà qui s’approche ! Ayons l’air de rien (Tu parles : Un croisement entre un poussin trempé et un chiot perdu ! C’est pas aujourd’hui que je pourrai concourir pour Miss France !)
- ......
- (Comment ? Qu’est-ce qu’il me veut ?) Non, il n’y a plus de place ! Non, je suis venue faire un cent mètres sous la pluie !
- ........
- Oui, j’aurais pu chez moi, mais il y avait du soleil....Tandis qu’ici, il pleut !
- C’est mieux pour faire un cent mètre sous la pluie ?
- Oui, évidemment !
- Mocki, Jean-Pierre
- Moquer des pierres ? (Qu’est-ce qu’il raconte ?)
- Vous êtes délicieuse ! Beaucoup d’humour ! Non, Jean-Pierre Mocki, le réalisateur du film ! Je disais qu’il m’aurait été agréable de vous offrir cette séance et que, en attendant la fin de celle en cours, j’aurais pu vous offrir de quoi vous restaurer. J’entends votre ventre rugir. S’il vous plaît, ne refusez pas ! J’ai horreur de manger seul !
- (Je n’aurais jamais cru avoir la chance de rencontrer le réalisateur, ni, encore moins de pouvoir dîner avec lui !) Si vous insistez.......
- J’insiste !
- Quelle soirée ! Quel repas ! Quel film ! Et quel homme charmant, courtois, attentionné ! Voilà une soirée qui commençait mal et qui se termine comme un conte de fée que je ne suis pas prête d’oublier ! Et tant pis pour mon amie ! Elle va s’en mordre les doigts ma copine qui ne m’a pas attendue ou qui n’est pas venue, d’avoir raté ça !
Je ne suis pas à mon aise ! Il y a là un grand type au teint cireux et cheveux gominés qui ne m’inspire pas confiance du tout.
Oh, non, le voilà qui s’approche ! Ayons l’air de rien (Tu parles : Un croisement entre un poussin trempé et un chiot perdu ! C’est pas aujourd’hui que je pourrai concourir pour Miss France !)
- ......
- (Comment ? Qu’est-ce qu’il me veut ?) Non, il n’y a plus de place ! Non, je suis venue faire un cent mètres sous la pluie !
- ........
- Oui, j’aurais pu chez moi, mais il y avait du soleil....Tandis qu’ici, il pleut !
- C’est mieux pour faire un cent mètre sous la pluie ?
- Oui, évidemment !
- Mocki, Jean-Pierre
- Moquer des pierres ? (Qu’est-ce qu’il raconte ?)
- Vous êtes délicieuse ! Beaucoup d’humour ! Non, Jean-Pierre Mocki, le réalisateur du film ! Je disais qu’il m’aurait été agréable de vous offrir cette séance et que, en attendant la fin de celle en cours, j’aurais pu vous offrir de quoi vous restaurer. J’entends votre ventre rugir. S’il vous plaît, ne refusez pas ! J’ai horreur de manger seul !
- (Je n’aurais jamais cru avoir la chance de rencontrer le réalisateur, ni, encore moins de pouvoir dîner avec lui !) Si vous insistez.......
- J’insiste !
- Quelle soirée ! Quel repas ! Quel film ! Et quel homme charmant, courtois, attentionné ! Voilà une soirée qui commençait mal et qui se termine comme un conte de fée que je ne suis pas prête d’oublier ! Et tant pis pour mon amie ! Elle va s’en mordre les doigts ma copine qui ne m’a pas attendue ou qui n’est pas venue, d’avoir raté ça !
Mar 22 Mars 2011, 20:47 par
caressedesyeux sur Mille choses
Le silence de mes mots
Tout bas je refoule des choses dans mon esprit
En les chuchotant si intensément
Et qui les transporte près de toi.
Que mon cœur en a mal,d’en attendre leur retour.
Afin qu’ils me parlent d’amour....
Ces mots la qui je sais au fond de moi ne viendront pas.
Alors, je les rêve, et les remanie à ma façon
Pour ne pas perdre la raison.
Pour me dire qu’il y a un encore un espoir d’y croire,
Pour faire tous simplement semblant.
Ces mots acheminés , jusque dans mon âme ne me laisse en paix.
Comme un poison, qui me tue chaque jour
M’en remettrais je un jour?
Je ne suis qu’une ombre, qui attend cette lumière afin qu’elle me sorte de ce néant
Mais en attendant, j’essaye , j’essaye de m’en sortir.
caressedesyeux
Ven 14 Jan 2011, 16:44 par
caressedesyeux sur Mille choses
Futur...
Le coeur en berne
La flèche a traversé
Je pleure en silence
En attendant que tu reviennes vers moi
Est ce que je te manque parfois?
Ce sont des mots durs à attendre
Que tu penses ainsi à me quitter
Même si c’est la réalité
Je ne t’en veux pas
Après les 2 semaines que je t’ai fait endurer
Mais si tu as aimé ce que nous avons vécu
Alors tu vas adorer la suite
Si tu en as le désir
Et c’est là que je n’arrive plus à voir en toi
La flamme d’autrefois
Est ce qui m’effraye ?
Ou bien ta dualité
Ton tout chaud, tout froid
Qui m’enflamme comme me glace
Mais pas de doute de mon côté
Après une année de démarrage
Remplie de folie et de réalité
Il nous faut construire le tout les jours
Si l’on ne peut pas passer a travers
Nous n’irons nul part
Nous en sommes tout deux conscients
Mais la première force qu’il nous faut partager
C’est qu’ensemble, on peut tout réussir
Cette force je l’ai ressentie
Veux tu irréel avec moi?
Veux tu concret avec moi?
Je te propose ainsi
De vivre avec moi
Un conte de fée moderne
Car je t’aime...
La flèche a traversé
Je pleure en silence
En attendant que tu reviennes vers moi
Est ce que je te manque parfois?
Ce sont des mots durs à attendre
Que tu penses ainsi à me quitter
Même si c’est la réalité
Je ne t’en veux pas
Après les 2 semaines que je t’ai fait endurer
Mais si tu as aimé ce que nous avons vécu
Alors tu vas adorer la suite
Si tu en as le désir
Et c’est là que je n’arrive plus à voir en toi
La flamme d’autrefois
Est ce qui m’effraye ?
Ou bien ta dualité
Ton tout chaud, tout froid
Qui m’enflamme comme me glace
Mais pas de doute de mon côté
Après une année de démarrage
Remplie de folie et de réalité
Il nous faut construire le tout les jours
Si l’on ne peut pas passer a travers
Nous n’irons nul part
Nous en sommes tout deux conscients
Mais la première force qu’il nous faut partager
C’est qu’ensemble, on peut tout réussir
Cette force je l’ai ressentie
Veux tu irréel avec moi?
Veux tu concret avec moi?
Je te propose ainsi
De vivre avec moi
Un conte de fée moderne
Car je t’aime...
Mer 08 Déc 2010, 22:32 par
Loyd sur La vie à deux
Mes yeux dans ton reflet
Comme deux gouttes d’eau , qui avaient besoin de se retrouver
Et dont ils en seront finalement émerveillés.
Assoiffées , depuis deux années
Une éternité pour l’une d’entre elle.
Mais qui à su se poser délicatement en attendant que l’autre la rejoigne.
Se joignant, avec douceur, tendresse , et amour
Qui était la depuis toujours.
Mais dont l’une est en train de la redécouvrir
D’émotion, aussi forte que fragile.
Dans un monde fait d’argile
Ou tous peut se briser, d’un souffle glacé.
Elle glissera jusqu’à elle et se laissera emporter dans une danse "langoureuse"
Fermant leur yeux, et se rapprochant de plus en plus.
Sa bouche, en face de la sienne
Et d’un effleurement, très lentement viendra furtivement s’y poser.
Quelques petits baisers
Qui se diffuseront, au plus profond de leurs âmes
Et dont le voyage , n’en sera "qu’extase"...
Ils se regarderont,dans un silence , et une pénombre
Et dont leurs yeux s ’en ,habitueront ..... caressedesyeux
Et dont ils en seront finalement émerveillés.
Assoiffées , depuis deux années
Une éternité pour l’une d’entre elle.
Mais qui à su se poser délicatement en attendant que l’autre la rejoigne.
Se joignant, avec douceur, tendresse , et amour
Qui était la depuis toujours.
Mais dont l’une est en train de la redécouvrir
D’émotion, aussi forte que fragile.
Dans un monde fait d’argile
Ou tous peut se briser, d’un souffle glacé.
Elle glissera jusqu’à elle et se laissera emporter dans une danse "langoureuse"
Fermant leur yeux, et se rapprochant de plus en plus.
Sa bouche, en face de la sienne
Et d’un effleurement, très lentement viendra furtivement s’y poser.
Quelques petits baisers
Qui se diffuseront, au plus profond de leurs âmes
Et dont le voyage , n’en sera "qu’extase"...
Ils se regarderont,dans un silence , et une pénombre
Et dont leurs yeux s ’en ,habitueront ..... caressedesyeux
Sam 04 Déc 2010, 19:28 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Au son du violon
Une dernière note,
Une foule applaudie ,
Une révérence,
Des, fleurs odorantes jetées à même le sol
Un rideau qui se baissera....
Je te rejoindrai dans ta loge,
Je caresserai de mes yeux ton "instrument"
Je sentirai, encore l’odeur de tes doigts sur le bois,
Et m’en imprégnerai à jamais.
Il s’en suivra des autographes
Et je resterai sage, en attendant.
Tu prendras ma main dans la tienne,
Nous nous éclipserons...
Cote à cote, nous jouerons une mélodie
Qui raisonnera toute la nuit
Dans une parfaite harmonie
Ou nos corps se rapprocheront
Nos doigts, danseront sur la même cadence
Nos regards brulants de désir
Nos bouches s’effleureront, à peine
Des "je t"aime" au creux de ton oreille. CARESSEDESYEUX
Jeu 30 Sep 2010, 19:37 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Moi sans toi
Une lancinante douleur étreint inlassablement mon cœur d’un soleil à l’autre; d’une étoile à l’autre; elle me presse comme un citron, m’affaiblit physiquement et moralement, me laissant le souffle court, le regard perdu, l’âme éteinte face à tous ces lendemains que je n’arrive pas à imaginer sans toi depuis que tu es parti vers une autre. Je ne l’ai pas vraiment vu venir. Ou si, peut-être un peu, mais sans doute que je refusais de l’admettre qu’un jour tu puisses te lasser de moi et quitter ton amante pour en prendre une autre.
Nos routes virtuelles se sont croisées par un jour qui fut béni pour moi. Au fil de quelques échanges, un lien s’est tissé entre nous et nous avons un jour ressenti le besoin de nous « deviner » après une journée de travail. Je n’oublierai jamais ton souffle essoufflé par-dessus mon épaule; je n’oublierai jamais que tu portais une magnifique chemise blanche. Petit à petit, tu m’as apprivoisée; tu m’as tendu la main, ouvert grand tes bras, prêté tes lèvres et ouvert la porte de ton sanctuaire au Palais à une période de ma vie où j’errais et me perdais chaque jour un peu plus dans la jungle du virtuel. Le vide qui m’habitait était immense. Un abyme sans fin. Le volcan en moi s’était éteint. Et puis tu es arrivé dans ma vie. Grâce à toi, ce volcan endormi est sorti de son long sommeil. Une fougueuse passion venait de naître et me ramenait à la vie. Voilà qu’enfin, je sentais battre de nouveau mon cœur. À chacune de nos rencontres, il se mettait à battre comme le gros tambour d’une fanfare qui fait bondir notre intérieur sur son passage.
Tu as été bon pour moi. Tu as été généreux avec moi. Tu as été doux, tendre, drôle. Tu as été l’amant le plus sensuel qui soit. Il n’est pas étonnant que j’aie autant de peine de t’avoir perdu et de pleurer sur moi-même tout ce que je n’obtiendrai plus de si doux, de si chaud, de si voluptueux émanant de l’homme exceptionnellement sensuel et fougueux que tu es.
Plus jamais je ne revivrai une telle passion. Celle-ci était unique. Elle n’était que pour toi. Elle n’appartenait qu’à toi. Ma passion, c’était TOI. Tu es parti et je reste là à pleurer ce qui n’est plus. Ce qui ne sera plus. Je suis incapable de me consoler avec mes souvenirs. Je n’y arrive pas. La douleur prend toute la place. Le chagrin m’a envahie de part en part.
Tes silences de plus en plus longs, tes absences de message téléphonique ou écrit se faisant de plus en plus rares, me disaient bien que tu t’éloignais déjà de moi. Mais je croyais aux raisons que tu me donnais. Je faisais tout en mon possible pour y croire; je t’ avais demandé tant et tant de fois de me le dire si un jour tu te lassais de moi; j’avais si peur que tu t’en ailles même si je savais qu’un jour où l’autre, notre vie prendrait un autre tournant. J’aurais souhaité, j’avais follement espéré que ce soit après mon départ à la retraite et que d’ici là, nous deux, ce serait « éternel » . Et puis, un jour j’ai découvert qu’il y en avait effectivement une autre, et ce dernier jour où je t’ai demandé de me dire enfin la vérité, ce jour où tu m’as confirmé en déployant ce courriel d’elle devant mes yeux affolés n’ayant plus qu’une hâte : s’enfuir pour pouvoir pleurer. Fermer une dernière fois la porte de ton bureau que je ne franchirai plus jamais. Partir sans me retourner. T’oublier.
T’oublier. Comment t’oublier? Mission impossible! Je t’aime trop, je t’ai trop aimé pour espérer pouvoir t’oublier un jour. Parce que tu as fait partie de ma vie. Tu as pris mon cœur et t’y es fait une place toute chaude.
Et tu m’as quittée, et je me suis effondrée.
Six mois déjà que tu en caresses une autre. Six mois déjà que tu vibres pour elle. Que tu ne cherches plus qu’elle et qu’il n’y a plus qu’elle dans ton cœur, dans ton corps et dans ton esprit. Je n’y suis plus. Je n’occupe plus tes pensées les plus folles, je ne suis plus rien qu’un souvenir; je ne suis plus que le passé.
Ma douleur est bien là, toujours là, aussi vive qu’au premier jour. Malgré toute raison, mon cœur entretient l’espoir fou qu’un jour tu me reviennes. J’implore le ciel pour que tu me reviennes. Mon état intérieur est pitoyable. J’ai perdu ma joie de vivre. Je suis l’ombre de mon ombre. Mon rire est faux et derrière mon sourire se cache un torrent de larmes; l’étoile qui illuminait mon regard s’est éteinte avec ton départ vers une autre. C’est dur. C’est très dur. Je suis désormais privée de tes envies de moi; privée de tes désirs sexuels que tu venais déposer dans la boîte vocale de mon cellulaire et de qui je me délectais en ton absence, en attendant la prochaine rencontre.
Aucune lutte; aucun combat; aucune stratégie dans le but de te séduire je ne peux ni n’ai le droit de mener à présent pour tenter de te ramener à moi. Mon immense désolation va trouver son remède dans le temps. Le Temps ! Le fameux Temps dont tout le monde parle. La pilule miracle susceptible de guérir les plus grands maux de la terre.
Mes yeux s’embrument et mes idées s’embrouillent. J’ai le sentiment que je ne m’en remettrai jamais. Je ne savais pas ce que c’était que de vivre la fin d’une liaison passionnelle. C’est inouï comme souffrance. Ça nous transperce jusqu’à la moelle. Comme un cancer nous gruge jusqu’à l’os. Aucun répit ne m’est permis. Ton souvenir me poursuit jour et nuit. Toujours de plus en plus perdue dans mes pensées, dans mes souvenirs, dans mes « Pourquoi ??? », dans mes « J’aurais dû… » , dans mes « Si j’avais … », dans mes « Plus jamais… » de jour en jour s’enfoncent et m’enfoncent dans un délire émotionnel insupportable.
Je me suis réveillée un certain lendemain envahie par l’immensité de ma peine. Peine qui ne me quitte plus. Je vis dans le passé de toi; mes souvenirs heureux me font désormais pleurer. Plongée dans l’immensité du plus grand bouleversement émotionnel que j’ai été appelée à vivre depuis ma « Fin du monde de 1997 » après l’insupportable mort de mon fils. Moi qui croyais avoir déversé toutes les larmes que pouvait contenir et produire mon corps, mon âme. Voilà que je me retrouve en haute mer, tentant désespérément d’apprendre à nager. Mon chagrin est sans fin. Mon cœur, mon âme, comme une bouteille à la mer cherche désespérément un rivage où s’échouer en espérant que la lumière du soleil les ramène à la vie.
J’ai mal de toi;
J’ai le grand mal de Toi, mon Trésor. Mon Amour.
Et j’ai mal à moi.
Mal à cet être profondément malheureux que je suis redevenue.
Nos routes virtuelles se sont croisées par un jour qui fut béni pour moi. Au fil de quelques échanges, un lien s’est tissé entre nous et nous avons un jour ressenti le besoin de nous « deviner » après une journée de travail. Je n’oublierai jamais ton souffle essoufflé par-dessus mon épaule; je n’oublierai jamais que tu portais une magnifique chemise blanche. Petit à petit, tu m’as apprivoisée; tu m’as tendu la main, ouvert grand tes bras, prêté tes lèvres et ouvert la porte de ton sanctuaire au Palais à une période de ma vie où j’errais et me perdais chaque jour un peu plus dans la jungle du virtuel. Le vide qui m’habitait était immense. Un abyme sans fin. Le volcan en moi s’était éteint. Et puis tu es arrivé dans ma vie. Grâce à toi, ce volcan endormi est sorti de son long sommeil. Une fougueuse passion venait de naître et me ramenait à la vie. Voilà qu’enfin, je sentais battre de nouveau mon cœur. À chacune de nos rencontres, il se mettait à battre comme le gros tambour d’une fanfare qui fait bondir notre intérieur sur son passage.
Tu as été bon pour moi. Tu as été généreux avec moi. Tu as été doux, tendre, drôle. Tu as été l’amant le plus sensuel qui soit. Il n’est pas étonnant que j’aie autant de peine de t’avoir perdu et de pleurer sur moi-même tout ce que je n’obtiendrai plus de si doux, de si chaud, de si voluptueux émanant de l’homme exceptionnellement sensuel et fougueux que tu es.
Plus jamais je ne revivrai une telle passion. Celle-ci était unique. Elle n’était que pour toi. Elle n’appartenait qu’à toi. Ma passion, c’était TOI. Tu es parti et je reste là à pleurer ce qui n’est plus. Ce qui ne sera plus. Je suis incapable de me consoler avec mes souvenirs. Je n’y arrive pas. La douleur prend toute la place. Le chagrin m’a envahie de part en part.
Tes silences de plus en plus longs, tes absences de message téléphonique ou écrit se faisant de plus en plus rares, me disaient bien que tu t’éloignais déjà de moi. Mais je croyais aux raisons que tu me donnais. Je faisais tout en mon possible pour y croire; je t’ avais demandé tant et tant de fois de me le dire si un jour tu te lassais de moi; j’avais si peur que tu t’en ailles même si je savais qu’un jour où l’autre, notre vie prendrait un autre tournant. J’aurais souhaité, j’avais follement espéré que ce soit après mon départ à la retraite et que d’ici là, nous deux, ce serait « éternel » . Et puis, un jour j’ai découvert qu’il y en avait effectivement une autre, et ce dernier jour où je t’ai demandé de me dire enfin la vérité, ce jour où tu m’as confirmé en déployant ce courriel d’elle devant mes yeux affolés n’ayant plus qu’une hâte : s’enfuir pour pouvoir pleurer. Fermer une dernière fois la porte de ton bureau que je ne franchirai plus jamais. Partir sans me retourner. T’oublier.
T’oublier. Comment t’oublier? Mission impossible! Je t’aime trop, je t’ai trop aimé pour espérer pouvoir t’oublier un jour. Parce que tu as fait partie de ma vie. Tu as pris mon cœur et t’y es fait une place toute chaude.
Et tu m’as quittée, et je me suis effondrée.
Six mois déjà que tu en caresses une autre. Six mois déjà que tu vibres pour elle. Que tu ne cherches plus qu’elle et qu’il n’y a plus qu’elle dans ton cœur, dans ton corps et dans ton esprit. Je n’y suis plus. Je n’occupe plus tes pensées les plus folles, je ne suis plus rien qu’un souvenir; je ne suis plus que le passé.
Ma douleur est bien là, toujours là, aussi vive qu’au premier jour. Malgré toute raison, mon cœur entretient l’espoir fou qu’un jour tu me reviennes. J’implore le ciel pour que tu me reviennes. Mon état intérieur est pitoyable. J’ai perdu ma joie de vivre. Je suis l’ombre de mon ombre. Mon rire est faux et derrière mon sourire se cache un torrent de larmes; l’étoile qui illuminait mon regard s’est éteinte avec ton départ vers une autre. C’est dur. C’est très dur. Je suis désormais privée de tes envies de moi; privée de tes désirs sexuels que tu venais déposer dans la boîte vocale de mon cellulaire et de qui je me délectais en ton absence, en attendant la prochaine rencontre.
Aucune lutte; aucun combat; aucune stratégie dans le but de te séduire je ne peux ni n’ai le droit de mener à présent pour tenter de te ramener à moi. Mon immense désolation va trouver son remède dans le temps. Le Temps ! Le fameux Temps dont tout le monde parle. La pilule miracle susceptible de guérir les plus grands maux de la terre.
Mes yeux s’embrument et mes idées s’embrouillent. J’ai le sentiment que je ne m’en remettrai jamais. Je ne savais pas ce que c’était que de vivre la fin d’une liaison passionnelle. C’est inouï comme souffrance. Ça nous transperce jusqu’à la moelle. Comme un cancer nous gruge jusqu’à l’os. Aucun répit ne m’est permis. Ton souvenir me poursuit jour et nuit. Toujours de plus en plus perdue dans mes pensées, dans mes souvenirs, dans mes « Pourquoi ??? », dans mes « J’aurais dû… » , dans mes « Si j’avais … », dans mes « Plus jamais… » de jour en jour s’enfoncent et m’enfoncent dans un délire émotionnel insupportable.
Je me suis réveillée un certain lendemain envahie par l’immensité de ma peine. Peine qui ne me quitte plus. Je vis dans le passé de toi; mes souvenirs heureux me font désormais pleurer. Plongée dans l’immensité du plus grand bouleversement émotionnel que j’ai été appelée à vivre depuis ma « Fin du monde de 1997 » après l’insupportable mort de mon fils. Moi qui croyais avoir déversé toutes les larmes que pouvait contenir et produire mon corps, mon âme. Voilà que je me retrouve en haute mer, tentant désespérément d’apprendre à nager. Mon chagrin est sans fin. Mon cœur, mon âme, comme une bouteille à la mer cherche désespérément un rivage où s’échouer en espérant que la lumière du soleil les ramène à la vie.
J’ai mal de toi;
J’ai le grand mal de Toi, mon Trésor. Mon Amour.
Et j’ai mal à moi.
Mal à cet être profondément malheureux que je suis redevenue.
Ven 27 Août 2010, 21:31 par
Elle sur Les liaisons sulfureuses
Le silence de mes mots
Tous bas je refoule des choses dans mon esprit.
En les chuchotant si intensément
Et qui les transporte près de toi.
Que mon cœur en a mal,d’en attendre leur retour
Afin qu’ils me parlent d’amour....
Ces mots la qui je sais au fond de moi ne viendront pas.
Alors, je les rêve, et les remanie à ma façon
Pour ne pas perdre la raison.
Pour me dire qu’il y a un encore un espoir d’y croire
Pour faire tous simplement semblant.
Ces mots acheminés , jusque dans mon âme ne me laisse en paix
Comme un poison, qui me tue chaque jour.
M’en remettrais je un jour?
Je ne suis qu’une ombre, qui attend cette lumière afin qu’elle me sorte de ce néant
Mais en attendant, j’essaye , j’essaye de m’en sortir...
caressedesyeux
En les chuchotant si intensément
Et qui les transporte près de toi.
Que mon cœur en a mal,d’en attendre leur retour
Afin qu’ils me parlent d’amour....
Ces mots la qui je sais au fond de moi ne viendront pas.
Alors, je les rêve, et les remanie à ma façon
Pour ne pas perdre la raison.
Pour me dire qu’il y a un encore un espoir d’y croire
Pour faire tous simplement semblant.
Ces mots acheminés , jusque dans mon âme ne me laisse en paix
Comme un poison, qui me tue chaque jour.
M’en remettrais je un jour?
Je ne suis qu’une ombre, qui attend cette lumière afin qu’elle me sorte de ce néant
Mais en attendant, j’essaye , j’essaye de m’en sortir...
caressedesyeux
Mer 18 Août 2010, 20:23 par
caressedesyeux sur Mille choses
Et dans le domaine de l'asphixie?
Un sérieux manque d’humour. Logique. Tout ce qui ne regarde pas la joie est sérieux. Ici déjà premières échappées de mots nébuleux me confonds en maladresse.
Puis après pourquoi écrire? Parce qu’en moi les temps soudoient l’orage et celui ci demande le prix fort. Très patient. Le mien aura les yeux de Vulcain.
Ainsi donc me situe noctambule solitaire c’est ce qui définit au mieux le mec crasseux que je deviens lorsque le concept de séduction a porté trop de préjudices; ce n’est pas que je me fiche d’aimer suis fou éperdu de songes féminins elle frôle ma main baisse les yeux disparaît alors même qu’elle manque déjà à mon Ciel.
Un ami comme ça appelle il dit monsieur Souci évidemment tout un chacun estime ceci préjudiciable pour soi car il fait peur là où l’on sent naître la souffrance et quand bien même on n’en parle pas par soupçon d’être étranger au monde ou appréhension d’être simplement ridicule l’autre le pressent en lui comme une invitation mesquine ouverte sur le précipice.
Ton histoire à quand dis-tu? A quand on cessera de vouloir déterminer l’ambivalence des écritures par rapport à celui qui les conçoit son comportement est-il meilleur ou neutre crie-t-il au blâme à l’orgueil ou bien s’évertue t-il à susurrer "néant" quand il devrait aimer.
Accroche toi.
Tu serais à l’instant même avachi au rang subliminal du cancre ou bien à ton aise dans tes paumes oreillers je te dirai redresse toi on ne dort pas on apprend! Si seulement je daignais le permettre serais cramoisi de honte puisque je ne peux rien ordonner c’est ce qui perd.
D’ailleurs hors propos. Nous ne sommes pas à l’école l’effort dans lequel tu ponctionnes l’écriture la jugeant la mordant coeur ouvert ne me regarde pas.
Alors une nuit chaude estivale. Ne sais plus quoi faire de mes sens ai besoin de sortir oeuvrer au cercle des Téméraires ai bu bien bu puisqu’il n’y a rien d’autre à faire à voir à chérir Dieu ce que je me sens triste issu de ton flanc il n’y a rien de miraculeux où je traîne.
Le dirai constamment lorsqu’on n’a pas d’amour à recevoir en vrai en absolu on est prisonnier de l’insignifiant.
A vau-l’eau ce n’est plus l’insouciance de naguère un jour je saurai dire pourquoi.
En attendant, fais de beaux rêves .
Puis après pourquoi écrire? Parce qu’en moi les temps soudoient l’orage et celui ci demande le prix fort. Très patient. Le mien aura les yeux de Vulcain.
Ainsi donc me situe noctambule solitaire c’est ce qui définit au mieux le mec crasseux que je deviens lorsque le concept de séduction a porté trop de préjudices; ce n’est pas que je me fiche d’aimer suis fou éperdu de songes féminins elle frôle ma main baisse les yeux disparaît alors même qu’elle manque déjà à mon Ciel.
Un ami comme ça appelle il dit monsieur Souci évidemment tout un chacun estime ceci préjudiciable pour soi car il fait peur là où l’on sent naître la souffrance et quand bien même on n’en parle pas par soupçon d’être étranger au monde ou appréhension d’être simplement ridicule l’autre le pressent en lui comme une invitation mesquine ouverte sur le précipice.
Ton histoire à quand dis-tu? A quand on cessera de vouloir déterminer l’ambivalence des écritures par rapport à celui qui les conçoit son comportement est-il meilleur ou neutre crie-t-il au blâme à l’orgueil ou bien s’évertue t-il à susurrer "néant" quand il devrait aimer.
Accroche toi.
Tu serais à l’instant même avachi au rang subliminal du cancre ou bien à ton aise dans tes paumes oreillers je te dirai redresse toi on ne dort pas on apprend! Si seulement je daignais le permettre serais cramoisi de honte puisque je ne peux rien ordonner c’est ce qui perd.
D’ailleurs hors propos. Nous ne sommes pas à l’école l’effort dans lequel tu ponctionnes l’écriture la jugeant la mordant coeur ouvert ne me regarde pas.
Alors une nuit chaude estivale. Ne sais plus quoi faire de mes sens ai besoin de sortir oeuvrer au cercle des Téméraires ai bu bien bu puisqu’il n’y a rien d’autre à faire à voir à chérir Dieu ce que je me sens triste issu de ton flanc il n’y a rien de miraculeux où je traîne.
Le dirai constamment lorsqu’on n’a pas d’amour à recevoir en vrai en absolu on est prisonnier de l’insignifiant.
A vau-l’eau ce n’est plus l’insouciance de naguère un jour je saurai dire pourquoi.
En attendant, fais de beaux rêves .
Ven 26 Juin 2009, 23:30 par
cirrhus sur L'amour en vrac
Bien aimé !
Oh, bien aimé!
Combien de lettres dois-je encore t’écrire ?
Combien de mots dois-je encore te dire ? Pour que tu saches que je te porte encore et encore dans mon cœur ? Tu saches que je t’aime ?
Ces phrases ne te suffisent-elles pas ? Oui, on s’est fait tu mal,
J’ai été la première et je le regrette encore, toi aussi tu as versé des larmes sur ma joue, toi qui disais ne jamais vouloir une seule larme sur ma joue.
Oui, on s’est fait du mal,
Mais ne peut-on pas repartir d’une nouvelle voie, un nouveau chemin à deux?
Est-ce trop tard pour toi ? Dis-le moi, ne veux-tu pas qu’on soit enfin heureux ? Certes, tu en doutes encore ! Aucun de mes mots ne pourront plus te convaincre car j’ai trahi ce qui était cher à tes yeux : ta confiance.
Les mots, encore les mots, ne crois tu pas que j’ai muri ? Je préfère les actes plutôt que les mots, je te l’ai dit déjà, ces mots qui t’ont blessé et auxquels tu accordais une grande importance, j’en suis désolée. Mais l’amour c’est aussi ca, se faire du mal sans le vouloir et s’aimer à en perdre la tête.
Tu as choisi le silence et je le respecte, mais moi je ne suis pas comme toi, je cris cet amour que j’ai pour toi, ici, le seul endroit où je peux encore t’écrire sans me dire : est ce qu’il lira ma lettre ?!
Bien aimé, s’il te reste encore de l’amour dans ton cœur pour moi alors viens, viens et abreuvons nous de ce qu’on appelle le bonheur, on en a bavé toi et moi,
Aujourd’hui, on n’a plus vingt ans, on est des adultes et chacun a muri.
Bien aimé, je ferme les yeux en attendant que tu m’écrives, que je te lise, car ton visage me poursuit tous les jours.
Connais-tu ma prière ? Être de nouveau avec toi !
Cher bien aimé, la fatigue me gagne et bientôt je devrais fermer cette porte qui t’es dédiée, sache, je t’aurai attendu, je t’aurai espéré, je t’aurai aimé d’un amour pur et tendre.
Je suis comme ces fleurs de cerisier que tu aimes tant, bientôt la fin du printemps, bientôt je n’existerai plus, bientôt je tomberai et fanerai, et cette porte se fermera.
Combien de lettres dois-je encore t’écrire ?
Combien de mots dois-je encore te dire ? Pour que tu saches que je te porte encore et encore dans mon cœur ? Tu saches que je t’aime ?
Ces phrases ne te suffisent-elles pas ? Oui, on s’est fait tu mal,
J’ai été la première et je le regrette encore, toi aussi tu as versé des larmes sur ma joue, toi qui disais ne jamais vouloir une seule larme sur ma joue.
Oui, on s’est fait du mal,
Mais ne peut-on pas repartir d’une nouvelle voie, un nouveau chemin à deux?
Est-ce trop tard pour toi ? Dis-le moi, ne veux-tu pas qu’on soit enfin heureux ? Certes, tu en doutes encore ! Aucun de mes mots ne pourront plus te convaincre car j’ai trahi ce qui était cher à tes yeux : ta confiance.
Les mots, encore les mots, ne crois tu pas que j’ai muri ? Je préfère les actes plutôt que les mots, je te l’ai dit déjà, ces mots qui t’ont blessé et auxquels tu accordais une grande importance, j’en suis désolée. Mais l’amour c’est aussi ca, se faire du mal sans le vouloir et s’aimer à en perdre la tête.
Tu as choisi le silence et je le respecte, mais moi je ne suis pas comme toi, je cris cet amour que j’ai pour toi, ici, le seul endroit où je peux encore t’écrire sans me dire : est ce qu’il lira ma lettre ?!
Bien aimé, s’il te reste encore de l’amour dans ton cœur pour moi alors viens, viens et abreuvons nous de ce qu’on appelle le bonheur, on en a bavé toi et moi,
Aujourd’hui, on n’a plus vingt ans, on est des adultes et chacun a muri.
Bien aimé, je ferme les yeux en attendant que tu m’écrives, que je te lise, car ton visage me poursuit tous les jours.
Connais-tu ma prière ? Être de nouveau avec toi !
Cher bien aimé, la fatigue me gagne et bientôt je devrais fermer cette porte qui t’es dédiée, sache, je t’aurai attendu, je t’aurai espéré, je t’aurai aimé d’un amour pur et tendre.
Je suis comme ces fleurs de cerisier que tu aimes tant, bientôt la fin du printemps, bientôt je n’existerai plus, bientôt je tomberai et fanerai, et cette porte se fermera.
Sam 30 Mai 2009, 23:01 par
coeur perdu sur La déclaration d'amour
Histoire de savonnette
J’ai commencé ma vie, dans un grand bain bouillonnant, parmis les senteurs d’inombrables herbes aromatiques de Provence. J’ai ensuite durcis dans un petit moule aux formes ovoides qui m’ont donné la forme arrondie et gracieuse que j’ai depuis. Je suis resté très longtemps sur un étalage parfumé en attendant mon tour d’être adopté.
Voilà, un panier, une caisse enregistreuse qui scanne mon emballage, un sachet plastique où je suis écrasé entre un sac de rasoirs tout rose et une bouteille de shampooing aux contours moins élégants que les miens, un voyage en voiture où je suis ballotté un long moment, à nouveau le jour, je suis déshabillé, je dis adieu à mon emballage qui finira sa vie sur une décharge, mais qu’importe je trône maintenant comme un roi sur un petit écrin tout spécialement prévu pour moi, dans une salle de bains rose aux odeurs de bonbons acidulés, et j’attends impatiemment le matin sans trop dormir, inquiet de ne pas la décevoir.
Tout les jours, dans ses mains, je fond peu a peu, et je glisse de longues minutes sur sa peau de velour. Je sais qu’un jour je ne la reverrais plus mais ma douceur et mon odeur laisseront encore longtemps le souvenir du plaisir que nous avons pris ensemble. Je peux m’en aller en paix
Voilà, un panier, une caisse enregistreuse qui scanne mon emballage, un sachet plastique où je suis écrasé entre un sac de rasoirs tout rose et une bouteille de shampooing aux contours moins élégants que les miens, un voyage en voiture où je suis ballotté un long moment, à nouveau le jour, je suis déshabillé, je dis adieu à mon emballage qui finira sa vie sur une décharge, mais qu’importe je trône maintenant comme un roi sur un petit écrin tout spécialement prévu pour moi, dans une salle de bains rose aux odeurs de bonbons acidulés, et j’attends impatiemment le matin sans trop dormir, inquiet de ne pas la décevoir.
Tout les jours, dans ses mains, je fond peu a peu, et je glisse de longues minutes sur sa peau de velour. Je sais qu’un jour je ne la reverrais plus mais ma douceur et mon odeur laisseront encore longtemps le souvenir du plaisir que nous avons pris ensemble. Je peux m’en aller en paix
Jeu 10 Juil 2008, 21:44 par
GABRIEL 75 sur Mille choses
Ecrire sur attendant

Il y a 72 textes utilisant le mot attendant. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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