Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur baisers - Page 8 sur 14
Ces mots là...
Pourquoi ne pas oser me dire ces mots là
Au delà du dialogue : virtuel toi et moi
Le printemps n’est plus là, la nature, elle, explose
Et les allées du Parc sont parsemées de roses
Il suffit de les lire, ces mots tracés pour moi
Ils me parlent d’amour, ils me parlent d’émois
Et mon enchantement s’approche de l’extase
Vers les dernières lignes, à la dernière phrase
Si tu ne peux les dire, ces mots là, je les lis
Tes pensées transparaissent dés franchi le parvis
De cette cathédrale d’où ton requiem s’élève
Comme un chant Grégorien dans une nef de rêve
Prolongement du rêve en réveil extasié
C’est plus qu’une lueur ce qui m’a enchanté
Rêver ta vie réelle, tes yeux et ton sourire
Les baisers envoyés me font chanter et rire
Je t’entends, je te lis, je te vois ! mon émoi
Me fait trembler de joie. Mon cœur bat fort pour toi
Au delà des espaces, au delà des années
Mon amour vole vers toi, et je te sais charmée…
Jan
Au delà du dialogue : virtuel toi et moi
Le printemps n’est plus là, la nature, elle, explose
Et les allées du Parc sont parsemées de roses
Il suffit de les lire, ces mots tracés pour moi
Ils me parlent d’amour, ils me parlent d’émois
Et mon enchantement s’approche de l’extase
Vers les dernières lignes, à la dernière phrase
Si tu ne peux les dire, ces mots là, je les lis
Tes pensées transparaissent dés franchi le parvis
De cette cathédrale d’où ton requiem s’élève
Comme un chant Grégorien dans une nef de rêve
Prolongement du rêve en réveil extasié
C’est plus qu’une lueur ce qui m’a enchanté
Rêver ta vie réelle, tes yeux et ton sourire
Les baisers envoyés me font chanter et rire
Je t’entends, je te lis, je te vois ! mon émoi
Me fait trembler de joie. Mon cœur bat fort pour toi
Au delà des espaces, au delà des années
Mon amour vole vers toi, et je te sais charmée…
Jan
Lun 06 Août 2007, 16:45 par
jan goure sur La déclaration d'amour
Quand Marie m'inspire...
Venise vénusienne
Ses canaux d’amour...
Marie ou Aimer
L’Aphrodite dite
Celle qui sort de l’écume de la mer
En vice et délice
Versa sa houle câline
Et ses désirs humides
Sur mon âme
Flux et reflux de nos baisers dissolus
Emotions juteuses
Marée d’amour
Haletants rivages
Ecume ardente
Vagues de l’extase
Orgasme en lame de fond
Ô Marie ! Oui ! Viens me boire !
De mon phare dressé jaillit ma semence
Elle coule et s’offre en cascade
Sur tes joues, ta bouche, ta langue
Tes seins, ton ventre,
Et ta vulve marine
Ô Marie sous-marine...
Ses canaux d’amour...
Marie ou Aimer
L’Aphrodite dite
Celle qui sort de l’écume de la mer
En vice et délice
Versa sa houle câline
Et ses désirs humides
Sur mon âme
Flux et reflux de nos baisers dissolus
Emotions juteuses
Marée d’amour
Haletants rivages
Ecume ardente
Vagues de l’extase
Orgasme en lame de fond
Ô Marie ! Oui ! Viens me boire !
De mon phare dressé jaillit ma semence
Elle coule et s’offre en cascade
Sur tes joues, ta bouche, ta langue
Tes seins, ton ventre,
Et ta vulve marine
Ô Marie sous-marine...
Mer 18 Juil 2007, 17:15 par
cyrpoete sur Les liaisons sulfureuses
Désirs
Je te croise et désire
Ton corps abandonné
Sous mes chairs enflammées
recherchant le plaisir
Ton regard me devine
Ton odeur me séduit
Me grise, m’humidifie
Accepte que je dessine..
Pour un soir un instant
Mon envie et ma faim
Sur ton corps et tes mains
Deviens mon fier amant
Mélons-nous secrètement
Laissons nous vivre entiers
Je me livre sincèrement
Et attends tes baisers.
Ton corps abandonné
Sous mes chairs enflammées
recherchant le plaisir
Ton regard me devine
Ton odeur me séduit
Me grise, m’humidifie
Accepte que je dessine..
Pour un soir un instant
Mon envie et ma faim
Sur ton corps et tes mains
Deviens mon fier amant
Mélons-nous secrètement
Laissons nous vivre entiers
Je me livre sincèrement
Et attends tes baisers.
Sam 14 Juil 2007, 18:50 par
jatea sur Les liaisons sulfureuses
A l'ombre des pins...
(en clin d’oeil à Alivella et au Sud Ouest !!! )
L’océan murmure mon prénom dans l’azur
Il appelle mes pas les dirige en pensée
Le sable à mes pieds emporte mes chaussures
Et si le vent emmêle mes cheveux mes idées
Il m’a déshabillée de ma frilosité
Il me veut toute à lui toute à lui pour jouer
Plonger dans l’eau salée en être éclaboussée
D’écume se parer comme d’un drap léger
Avec les poissons d’or découvrir des trésors
Des perles de rosée des diamants étalés
A la face des eaux éblouissantes encore
Et puis, tous ruisselants dans un doux corps à corps
Revenir triomphants pêcher dans nos accords
Tendresse et douceur et puis félicité
Et que tes bras soient forts et troublants tes baisers
En caressant nos corps gagnons d’intimité
Se découvrir encore et encore s’aimer
Et sans aucun remords dans nos bras reposer...
L’océan murmure mon prénom dans l’azur
Il appelle mes pas les dirige en pensée
Le sable à mes pieds emporte mes chaussures
Et si le vent emmêle mes cheveux mes idées
Il m’a déshabillée de ma frilosité
Il me veut toute à lui toute à lui pour jouer
Plonger dans l’eau salée en être éclaboussée
D’écume se parer comme d’un drap léger
Avec les poissons d’or découvrir des trésors
Des perles de rosée des diamants étalés
A la face des eaux éblouissantes encore
Et puis, tous ruisselants dans un doux corps à corps
Revenir triomphants pêcher dans nos accords
Tendresse et douceur et puis félicité
Et que tes bras soient forts et troublants tes baisers
En caressant nos corps gagnons d’intimité
Se découvrir encore et encore s’aimer
Et sans aucun remords dans nos bras reposer...
Mer 24 Jan 2007, 20:10 par
dolce vita sur Parler d'amour
Soir de porcelaine
J’ai trop fréquenté les bars à putes. Par plaisir du vice sans joie, mais avec des rires gras, des rires cassés. Des rires de bêtes imondes. J’ai trop bu de leur breuvage, fumé des ronds qui empestaient l’euphorie. Trop entendu cette musique mielleuse qui résonnait au milieu des verres qui se cognent les uns aux autres pour se féliciter d’être un homme, d’être là. Ce bar reflétait ce qu’il y avait en moi. Un désordre. Un chaos.
J’ôtais rarement mon imperméable. Je me sentais à l’abri de cet endroit, que je sollicitais au plus profond de moi. C’est moi qui était la négresse blanche, celle que l’on insulte. J’étais la honte de cet endroit. J’épiais les autres, libertins. Je jubilais de les voir se vautrer dans cette ambiance de fumée, sexe, parjure. Je m’incrustais dans les mains des hommes lorsque saouls ils devenaient bestial sur la poitrine des putains. Je devenais leurs bouches. Je ressentais l’émoi de dégoût de ces femmes lorsque la main indélicate saisissait un sein lourd de non promesse. La bouche des hommes vomissait à mon visage des insultes grossières, mais je jubilais de leurs faiblesses. Je transpirais de leurs désirs. Je me tenais bien souvent sur la petite table qui traînait au fond de ce bar de jouissance d’un soir. Mon imperméable, mes bas, mon chignon et mes talons aiguilles me donnaient l’air d’une pute vierge. Tous leurs mots pleins d’indélicatesse me promettaient un dépucelage inavouable. Je les toisais l’air de les inviter à me prendre sur cette petite table. Mais si mon sourire les invitait à l’immorale, mon regard glacé retenait de bouger seulement une main. Je buvais mi-pucelle mi-putain mon verre de whisky d’un trait pour provoquer ces hommes. Je les incitais à venir poser une main dans l’encolure de mon imperméable. Je les bravais de mon regard. Je les jaugeais. Entre les dessous vulgaires des femmes, la couleur des murs violet et rose sale, je devenais la négresse blanche. Négresse blanche, capable d’ajuster une robe longue comme Scarlette O’ Hara, de dentelle et de soie et capable d’être Fleur de Marie. Le mélange des deux était explosif de sueur. J’aspirais par ma peau, mes cheveux de grande bouffée de la fumée de cigarette et mon parfum de bas étage épongeait cette odeur de puanteur. Je répugnais à me sentir, mais je caressais l’envie d’assouvir mes fantasmes de négresse blanche. Le mauvais whisky bavait sur le coin de ma bouche devant tant de débauche dont je raffolais. Ce mauvais jus roulait dans mon corps pour le réchauffer. Le vocabulaire de cet endroit était une crasse épaisse qui se collait à mon imperméable. Les femmes riaient bouches grandes ouvertes, pleines d’ appétit. Les hommes éteignaient leurs rires par des baisers écumants de bave. Tandis que leurs mains plus avides sous ce couvert cherchaient à fouiller la pute ivre de ce débordement charnel. Glauque pour celui qui se trompe d’endroit. Les yeux des hommes et des femmes à demi fermés par l’ivresse d’un soir brillent de façon pitoyables mais cette attente de luxure annonce une fin éminente et libératrice… La négresse blanche fait outrage à ses désirs et part retrouver la petite bourgeoise qu’elle est...
Fille du peuple.
J’ôtais rarement mon imperméable. Je me sentais à l’abri de cet endroit, que je sollicitais au plus profond de moi. C’est moi qui était la négresse blanche, celle que l’on insulte. J’étais la honte de cet endroit. J’épiais les autres, libertins. Je jubilais de les voir se vautrer dans cette ambiance de fumée, sexe, parjure. Je m’incrustais dans les mains des hommes lorsque saouls ils devenaient bestial sur la poitrine des putains. Je devenais leurs bouches. Je ressentais l’émoi de dégoût de ces femmes lorsque la main indélicate saisissait un sein lourd de non promesse. La bouche des hommes vomissait à mon visage des insultes grossières, mais je jubilais de leurs faiblesses. Je transpirais de leurs désirs. Je me tenais bien souvent sur la petite table qui traînait au fond de ce bar de jouissance d’un soir. Mon imperméable, mes bas, mon chignon et mes talons aiguilles me donnaient l’air d’une pute vierge. Tous leurs mots pleins d’indélicatesse me promettaient un dépucelage inavouable. Je les toisais l’air de les inviter à me prendre sur cette petite table. Mais si mon sourire les invitait à l’immorale, mon regard glacé retenait de bouger seulement une main. Je buvais mi-pucelle mi-putain mon verre de whisky d’un trait pour provoquer ces hommes. Je les incitais à venir poser une main dans l’encolure de mon imperméable. Je les bravais de mon regard. Je les jaugeais. Entre les dessous vulgaires des femmes, la couleur des murs violet et rose sale, je devenais la négresse blanche. Négresse blanche, capable d’ajuster une robe longue comme Scarlette O’ Hara, de dentelle et de soie et capable d’être Fleur de Marie. Le mélange des deux était explosif de sueur. J’aspirais par ma peau, mes cheveux de grande bouffée de la fumée de cigarette et mon parfum de bas étage épongeait cette odeur de puanteur. Je répugnais à me sentir, mais je caressais l’envie d’assouvir mes fantasmes de négresse blanche. Le mauvais whisky bavait sur le coin de ma bouche devant tant de débauche dont je raffolais. Ce mauvais jus roulait dans mon corps pour le réchauffer. Le vocabulaire de cet endroit était une crasse épaisse qui se collait à mon imperméable. Les femmes riaient bouches grandes ouvertes, pleines d’ appétit. Les hommes éteignaient leurs rires par des baisers écumants de bave. Tandis que leurs mains plus avides sous ce couvert cherchaient à fouiller la pute ivre de ce débordement charnel. Glauque pour celui qui se trompe d’endroit. Les yeux des hommes et des femmes à demi fermés par l’ivresse d’un soir brillent de façon pitoyables mais cette attente de luxure annonce une fin éminente et libératrice… La négresse blanche fait outrage à ses désirs et part retrouver la petite bourgeoise qu’elle est...
Fille du peuple.
Jeu 04 Jan 2007, 14:33 par
Fille du peuple sur L'amour en vrac
Tapis rouge
Tapis rouge.
Elle savait ce qu’elle faisait. Elle savait ce qu’il allait se produire. Ce soir était un soir où la nuit lui appartenait. Précieusement, charnue de désirs elle s’était glissée dans un bain chaud et impudique. Avec précaution elle avait parfumé son corps de crème. Elle savait que ce soir elle mettrait toutes ses valeurs dans le tiroir de sa mémoire.
Nez de clown, rouge.
Elle l’avait appelé. Un café ? Il avait répondu oui, il savait ce qu’il faisait. Deux adultes. Deux adultes mais si enfantins, tellement seuls. Personne ne saurait. Tuer le temps ensemble, ballon rouge.
Ils ne s’aimaient pas vraiment d’amour, ils aimaient être ensemble et partager des joies, des peines et soulager leurs désirs charnels. Rien de plus, tristement.
Chez lui, un café, des paroles, un café, des silences. Des flots de paroles inutiles pour combler tout regard. Pour fuir des désirs, des envies. Un café. Des secrets confiés, échangés. Banal. Nez rouge, un soir fugace.
Il est l’heure de se séparer. Lui, offre un cadeau. Elle, sensible sent qu’une tension monte. Il la raccompagne. Et dans la voiture une phrase « j’ai envie de t’embrasser » déclenche un torrent de passion, de permission. Trop longtemps retenu. Pas de tapis rouge. Avidement les lèvres se rencontrent, avidement des mains s’évadent. Une chaleur se dégage. Lui, plein de désirs sous des mains câlines, elle, pleine de désirs sous des mains fouilleuse. Plus rien ne les retient, la nuit les drape. La nuit les couvre. Une jupe est remontée à la hâte. Dans cette folie, une seule jambe de collant est enlevée pour offrir un sexe gonflé de désir, une main glisse à l’intérieur des cuisses chaudes de promesses. Ballon rouge. Plus rien ne les arrête. Le siége de la voiture se couche. Puis lentement, délicieusement chacune des quatre mains déshabille l’autre. Des baisers avides déchaînent deux corps en demande. Puis, les deux corps s’unissent, s’accouplent. Tendrement, il pénètre en elle. Tendrement il la pénètre. Elle se cabre, l’invitant à rester, l’invitant à se donner. Sans amour. Tout devient vivant. Tout devient douleur. De légers tressaillement envahissent les corps des deux amants. Impudique dans leurs chairs, ils s’abandonne l’un dans l’autre. Ils se donnent sans compter. Ils prennent, ils donnent. Ils prennent. Fulgurant de haine envers elle, elle joue à l’épanouie. Le pastique du ballon rouge grince.
Ballon rouge éclaté, tapis rouge enroulé, nez rouge de clown.
C’est fini la tempête des sentiments charnels. Chacun se rhabille mine de rien, mine de tout. Pas un mot. Pas une promesse, pas un mot d’amour. Que soulager des envies. La voiture démarre. Tout est fini. Ne rien dire.
Ballon rouge et vide grenier.
Un au revoir, lancé à la hâte.
Demain elle reprendra un bain pour un amant lointain…Miroir ne triche pas, l’odeur qu’elle regarde pue. Elle sait…le jeu est dégueulant de tristesse. Une nouvelle histoire courte d’un jour, pour ne pas croire. Mais dans un ventre trop lourd de secret, elle continuer son chemin vers une fin sans parole. Mais ballon rouge va éclater…
fille du peuple.
Elle savait ce qu’elle faisait. Elle savait ce qu’il allait se produire. Ce soir était un soir où la nuit lui appartenait. Précieusement, charnue de désirs elle s’était glissée dans un bain chaud et impudique. Avec précaution elle avait parfumé son corps de crème. Elle savait que ce soir elle mettrait toutes ses valeurs dans le tiroir de sa mémoire.
Nez de clown, rouge.
Elle l’avait appelé. Un café ? Il avait répondu oui, il savait ce qu’il faisait. Deux adultes. Deux adultes mais si enfantins, tellement seuls. Personne ne saurait. Tuer le temps ensemble, ballon rouge.
Ils ne s’aimaient pas vraiment d’amour, ils aimaient être ensemble et partager des joies, des peines et soulager leurs désirs charnels. Rien de plus, tristement.
Chez lui, un café, des paroles, un café, des silences. Des flots de paroles inutiles pour combler tout regard. Pour fuir des désirs, des envies. Un café. Des secrets confiés, échangés. Banal. Nez rouge, un soir fugace.
Il est l’heure de se séparer. Lui, offre un cadeau. Elle, sensible sent qu’une tension monte. Il la raccompagne. Et dans la voiture une phrase « j’ai envie de t’embrasser » déclenche un torrent de passion, de permission. Trop longtemps retenu. Pas de tapis rouge. Avidement les lèvres se rencontrent, avidement des mains s’évadent. Une chaleur se dégage. Lui, plein de désirs sous des mains câlines, elle, pleine de désirs sous des mains fouilleuse. Plus rien ne les retient, la nuit les drape. La nuit les couvre. Une jupe est remontée à la hâte. Dans cette folie, une seule jambe de collant est enlevée pour offrir un sexe gonflé de désir, une main glisse à l’intérieur des cuisses chaudes de promesses. Ballon rouge. Plus rien ne les arrête. Le siége de la voiture se couche. Puis lentement, délicieusement chacune des quatre mains déshabille l’autre. Des baisers avides déchaînent deux corps en demande. Puis, les deux corps s’unissent, s’accouplent. Tendrement, il pénètre en elle. Tendrement il la pénètre. Elle se cabre, l’invitant à rester, l’invitant à se donner. Sans amour. Tout devient vivant. Tout devient douleur. De légers tressaillement envahissent les corps des deux amants. Impudique dans leurs chairs, ils s’abandonne l’un dans l’autre. Ils se donnent sans compter. Ils prennent, ils donnent. Ils prennent. Fulgurant de haine envers elle, elle joue à l’épanouie. Le pastique du ballon rouge grince.
Ballon rouge éclaté, tapis rouge enroulé, nez rouge de clown.
C’est fini la tempête des sentiments charnels. Chacun se rhabille mine de rien, mine de tout. Pas un mot. Pas une promesse, pas un mot d’amour. Que soulager des envies. La voiture démarre. Tout est fini. Ne rien dire.
Ballon rouge et vide grenier.
Un au revoir, lancé à la hâte.
Demain elle reprendra un bain pour un amant lointain…Miroir ne triche pas, l’odeur qu’elle regarde pue. Elle sait…le jeu est dégueulant de tristesse. Une nouvelle histoire courte d’un jour, pour ne pas croire. Mais dans un ventre trop lourd de secret, elle continuer son chemin vers une fin sans parole. Mais ballon rouge va éclater…
fille du peuple.
Mar 02 Jan 2007, 17:28 par
Fille du peuple sur Parler d'amour
Notre Histoire
Toi et moi c’est notre histoire
J’y pense chaque soir
écoute les battement de mon coeur
comme un goutte à goutte
les vibrations de mon corps entre toutes
ce sont les appels de mon coeur
le ruissèlement de mes pleurs
de cette histoire je tourne les pages
je vis les chapitres
que je ponctue de baisers
et chaque jour où je tourne une page
j’espère y lire ton corps, ta peau, ta bouche, ton coeur...
Unebabydoll
J’y pense chaque soir
écoute les battement de mon coeur
comme un goutte à goutte
les vibrations de mon corps entre toutes
ce sont les appels de mon coeur
le ruissèlement de mes pleurs
de cette histoire je tourne les pages
je vis les chapitres
que je ponctue de baisers
et chaque jour où je tourne une page
j’espère y lire ton corps, ta peau, ta bouche, ton coeur...


Ven 10 Nov 2006, 01:34 par
unebabydoll sur Parler d'amour
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Tu me parcours, me savoure
me désire et me boies,
tu me meurtrie, me crève,
me soulève et me noie.
Ces ardentes souffrances me font pâlir,
gémir, mourir puis jouir dans tes bras.
Echangés entre toi et moi,
des caresses des baisers,
en horribles et incessants émois.
Ces gestes gravés
Comme l’écriture la plus ancienne
seront répétés à chaque nouvelle fouille
jusqu’a de plus profondes découvertes.
Unebabydoll
me désire et me boies,
tu me meurtrie, me crève,
me soulève et me noie.
Ces ardentes souffrances me font pâlir,
gémir, mourir puis jouir dans tes bras.
Echangés entre toi et moi,
des caresses des baisers,
en horribles et incessants émois.
Ces gestes gravés
Comme l’écriture la plus ancienne
seront répétés à chaque nouvelle fouille
jusqu’a de plus profondes découvertes.

Ven 10 Nov 2006, 01:22 par
unebabydoll sur Parler d'amour
Qu' est Elle ???
J’ ai eu un Homme qui cherchait son lieu de Taï Chi Parmi les Arbres que je lui avait promis...
Je souffrais beaucoup au Hilton, mais avais mon étincelle,
De caractère
D’ Amour
De Respect.
J’ adorrais l’ Engueuler, pour qu’ Ensemble, On dérange les voisins qui sont mes potes maintenant
QUE L’on fasse 1000 notes, 1000 choses.
Des Baisers Tendres Au Proprio!!!
Baisers.
Pour Mon Babou qui a snobé la Marque...
Je T’ Aime.
Et...
Chausse comme Moi des bonnes chaussures pour que l’ on vive la Massane, ou la Plage, ou nos délires chant pour éteindre ton angoisse, parce que je t’ aimais.
Pour mon FIFIX.
Je souffrais beaucoup au Hilton, mais avais mon étincelle,
De caractère
D’ Amour
De Respect.
J’ adorrais l’ Engueuler, pour qu’ Ensemble, On dérange les voisins qui sont mes potes maintenant
QUE L’on fasse 1000 notes, 1000 choses.
Des Baisers Tendres Au Proprio!!!
Baisers.
Pour Mon Babou qui a snobé la Marque...
Je T’ Aime.
Et...
Chausse comme Moi des bonnes chaussures pour que l’ on vive la Massane, ou la Plage, ou nos délires chant pour éteindre ton angoisse, parce que je t’ aimais.
Pour mon FIFIX.
Dim 22 Oct 2006, 22:13 par
Chogokinette sur La vie à deux
Ce soir Encore, Ce matin Tu étais
Le Quatre Quarts...
Gravissant Les Marches Du Palais---
Souvenir Notre Dame Et Tu la méritais.
Baisers.
Monte Ton Mur de Varap,
Pour Charles,
À FRANCK.
Gravissant Les Marches Du Palais---
Souvenir Notre Dame Et Tu la méritais.
Baisers.
Monte Ton Mur de Varap,
Pour Charles,
À FRANCK.
Dim 22 Oct 2006, 20:47 par
Chogokinette sur La séduction
Le Roi De Mes Nuits sans étoiles... ac couette mer / nuit
Je T’ Aime
Et je le dis.
Je ne te regarde pas quand Tu es en Danger
Je me réchauffe de Ton regard quand Tu es derrière Moi
Danton Quartier.
Tu ne m’ as pas saisie, Dixit, Pascal...
Je t’ ai Aimé au vol, au plus profond de la p’tite Femme qui fondait dés, regards croisés et voix partagées...
Notre petit fou rire à mesurer si l’ armoire en Meurisier allait tenir dans la Chambre...
Franck choppe, à la mesure, de par sa jolie semelle, le B à Ba de mon mètre de Gouvernante pour le coller à terre, et me dit :
" Je ne comprends pas vos mesures, Mademoiselle... "
Baisers.
Fannie.
Et je le dis.
Je ne te regarde pas quand Tu es en Danger
Je me réchauffe de Ton regard quand Tu es derrière Moi
Danton Quartier.
Tu ne m’ as pas saisie, Dixit, Pascal...
Je t’ ai Aimé au vol, au plus profond de la p’tite Femme qui fondait dés, regards croisés et voix partagées...
Notre petit fou rire à mesurer si l’ armoire en Meurisier allait tenir dans la Chambre...
Franck choppe, à la mesure, de par sa jolie semelle, le B à Ba de mon mètre de Gouvernante pour le coller à terre, et me dit :
" Je ne comprends pas vos mesures, Mademoiselle... "
Baisers.
Fannie.
Dim 22 Oct 2006, 17:38 par
Chogokinette sur La séduction
Et si c' était
Seulement la nana qui un jour a écrit :
Petit chemin de Terre et d’ Altruisme...
Si elle était encore là, à le protéger depuis trois ans,
À savoir Un Bail.
Baisers.
Petit chemin de Terre et d’ Altruisme...
Si elle était encore là, à le protéger depuis trois ans,
À savoir Un Bail.
Baisers.
Jeu 12 Oct 2006, 21:14 par
Chogokinette sur Histoires d'amour
Contre toi je m’enlace tendrement et amoureusement
Tous deux entrelacés sous la couette
Nos gestes délicats tremblent de cette douce passion sans mots
Et mon cœur abîmé glisse sur ton cœur de velours si pur
Mon corps brûe de mille feux contre ton corps si chaud et si beau.
Ta douce main glisse dans le creux de mon ventre
La mienne sur le rythme des battements de ton cœur
Tous deux serrés pour que le froid n’y entre
Notre amour dégage tant de chaleur intense.
Contre toi je m’enlace tendrement et amoureusement
Je n’ai plus peur du monde autour de moi
Je suis comme ensorcelée par le temps de ton corps
Tout doucement je m’abandonne à toi.
Douces caresses longs baisers langoureux d’amour
Fondus avec toi dans l’obscurité révélatrice
Nos peaux sont tant humides et glissent autour
De nos corps mûrs par ce désir love.
C’est si tendrement que tu chuchotes
Quelques paroles éblouies de nous
Nos deux corps brûlent comme des bouillottes
Ce flot d’amour est un plaisir si doux.
Ces quelques mouvemenst imperceptibles
Qui donnent au corps un plaisir sacré
C’est toi et moi, c’est toi en moi, sensibles
Ce que tu m’offres est ton amour nacré.
Ici je suis si bien, je t’aime tant
Que ce moment est un délice en or
Et quand sa fin est là, quelques instants
Plus tard, blottis d’amour, on se rendort
L’un contre l’autre en ne voulant plus être séparés …
Nos gestes délicats tremblent de cette douce passion sans mots
Et mon cœur abîmé glisse sur ton cœur de velours si pur
Mon corps brûe de mille feux contre ton corps si chaud et si beau.
Ta douce main glisse dans le creux de mon ventre
La mienne sur le rythme des battements de ton cœur
Tous deux serrés pour que le froid n’y entre
Notre amour dégage tant de chaleur intense.
Contre toi je m’enlace tendrement et amoureusement
Je n’ai plus peur du monde autour de moi
Je suis comme ensorcelée par le temps de ton corps
Tout doucement je m’abandonne à toi.
Douces caresses longs baisers langoureux d’amour
Fondus avec toi dans l’obscurité révélatrice
Nos peaux sont tant humides et glissent autour
De nos corps mûrs par ce désir love.
C’est si tendrement que tu chuchotes
Quelques paroles éblouies de nous
Nos deux corps brûlent comme des bouillottes
Ce flot d’amour est un plaisir si doux.
Ces quelques mouvemenst imperceptibles
Qui donnent au corps un plaisir sacré
C’est toi et moi, c’est toi en moi, sensibles
Ce que tu m’offres est ton amour nacré.
Ici je suis si bien, je t’aime tant
Que ce moment est un délice en or
Et quand sa fin est là, quelques instants
Plus tard, blottis d’amour, on se rendort
L’un contre l’autre en ne voulant plus être séparés …

Sam 23 Sep 2006, 23:19 par
joullia sur Parler d'amour
Ils se sont trouvés
Il était extraverti, fou et sensible.
Elle était mystérieuse, réservée et sensible...
Vous me direz que cette histoire était impossible ?!
Pas tant que ça, croyez moi !
Elle osa subitement le premier pas.
Son regard l’intriguait, la déstabilisait
Mais par dessus tout, il l’obsédait.
Quand cette idylle naquit
Ce jour-là, personne n’y crut
« Ils sont trop différents pour être de vrais amants »
Voilà ce Que disaient les gens.
Mais peu-à-peu, leur amour s’enflamma
Cette flamme, si fragile autrefois, s’embrasa.
Des bisous sur la joue
Aux caresses dans le cou,
Des regards échangés
Aux baisers passionnés,
Ils devinrent vite accros
Sans avoir pu dire un mot !
Lentement, de cette liaison
Naquit une véritable passion
Ou s’emmêlaient désir et sentiments
Amour de toujours et peur de l’engagement.
Cet amour est toujours présent aujourd’hui
Au fond du cœur de ces jeunes gens.
Jamais séparés, toujours ensemble,
Voilà les mots auxquels ils ressemblent
Ils s’aiment à la folie,
Se foutant des préavis,
Vivant le moment présent,
Ne se souciant guère des gens.
A ce stade de la passion
Il n’existe plus de guérison :
L’un sans l’autre rien n’est possible,
L’un sans l’autre tout est inaccessible.
La force de leur amour
Nécessiterait de trop long discours
Mais pour faire un simple résumé :
Ils se sont trouvés.
Elle était mystérieuse, réservée et sensible...
Vous me direz que cette histoire était impossible ?!
Pas tant que ça, croyez moi !
Elle osa subitement le premier pas.
Son regard l’intriguait, la déstabilisait
Mais par dessus tout, il l’obsédait.
Quand cette idylle naquit
Ce jour-là, personne n’y crut
« Ils sont trop différents pour être de vrais amants »
Voilà ce Que disaient les gens.
Mais peu-à-peu, leur amour s’enflamma
Cette flamme, si fragile autrefois, s’embrasa.
Des bisous sur la joue
Aux caresses dans le cou,
Des regards échangés
Aux baisers passionnés,
Ils devinrent vite accros
Sans avoir pu dire un mot !
Lentement, de cette liaison
Naquit une véritable passion
Ou s’emmêlaient désir et sentiments
Amour de toujours et peur de l’engagement.
Cet amour est toujours présent aujourd’hui
Au fond du cœur de ces jeunes gens.
Jamais séparés, toujours ensemble,
Voilà les mots auxquels ils ressemblent
Ils s’aiment à la folie,
Se foutant des préavis,
Vivant le moment présent,
Ne se souciant guère des gens.
A ce stade de la passion
Il n’existe plus de guérison :
L’un sans l’autre rien n’est possible,
L’un sans l’autre tout est inaccessible.
La force de leur amour
Nécessiterait de trop long discours
Mais pour faire un simple résumé :
Ils se sont trouvés.
Lun 18 Sep 2006, 00:44 par
joullia sur Parler d'amour
L’ardeur de tes flammes crépitantes
Je sens l’ardeur de tes flammes crépitantes
Et l’envie qui te brûle le bout des doigts,
J’entends aussi le désir que tu chuchotes au plus profond de toi
Et je vois ton corps qui grelotte de désir intense.
Il appelle timidement mes mains pour qu’elles le caressent.
Couine de plaisir et crie de rage.
Les mots de la passion ont un doux visage d’ange
Tes yeux langoureux et profonds !
Les mots du cœur ont une couleur rouge foudroyant
Des baisers tendres et une douce saveur subtile et délicate
D’un mélange de parfums et de sueurs
Où la douceur embrasse la douceur de nos corps.
Mes lèvres qui se penchent sur tes reins.
Je sens l’ardeur des flammes crépitantes
Et l’envie qui te brûle le corps,
Je te veux dans mes petit bras.
Je te veux dans mes draps.
Je te veux poème.
Je te veux poète.
Je te veux une tempête.
Que rien n’arrête.
Je te veux comme tu es.
Qu’on s’embrasse dans la différence, dans l’innocence
Et dans le silence de notre désir.
Qu’on s’embrasse à ne plus en finir,
Que la douce lueur du matin nous dévoile l’un à l’autre
Dans la plus merveilleuse lumière aux mille reflets de couleurs
Et qu’au petit matin nous formions plus qu’un Nous,
Et que ce Nous se transforme en Amour réel,
Celui dont même la mort ne peut défaire.
julia
Et l’envie qui te brûle le bout des doigts,
J’entends aussi le désir que tu chuchotes au plus profond de toi
Et je vois ton corps qui grelotte de désir intense.
Il appelle timidement mes mains pour qu’elles le caressent.
Couine de plaisir et crie de rage.
Les mots de la passion ont un doux visage d’ange
Tes yeux langoureux et profonds !
Les mots du cœur ont une couleur rouge foudroyant
Des baisers tendres et une douce saveur subtile et délicate
D’un mélange de parfums et de sueurs
Où la douceur embrasse la douceur de nos corps.
Mes lèvres qui se penchent sur tes reins.
Je sens l’ardeur des flammes crépitantes
Et l’envie qui te brûle le corps,
Je te veux dans mes petit bras.
Je te veux dans mes draps.
Je te veux poème.
Je te veux poète.
Je te veux une tempête.
Que rien n’arrête.
Je te veux comme tu es.
Qu’on s’embrasse dans la différence, dans l’innocence
Et dans le silence de notre désir.
Qu’on s’embrasse à ne plus en finir,
Que la douce lueur du matin nous dévoile l’un à l’autre
Dans la plus merveilleuse lumière aux mille reflets de couleurs
Et qu’au petit matin nous formions plus qu’un Nous,
Et que ce Nous se transforme en Amour réel,
Celui dont même la mort ne peut défaire.
julia

Lun 21 Août 2006, 11:27 par
joullia sur La séduction
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