Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur battre - Page 4 sur 7
Moi j'y crois
Toutes ces conneries qu’on raconte sur l’amour
Toutes ces sornettes comme quoi ça fait du bien
Il paraît même que c’est l’ propre des humains
Il paraît qu’ ça rend heureux, qu’on a rien trouvé d’mieux
Et moi j’y crois
Quand j’ te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j’y crois
Embrasse moi!
Il paraît qu’ l’amour, ça t’aide quand t’es triste
Il paraît même que ça rend complices
Il paraît qu’ ça fait des trucs profonds
Qu’on efface pas d’un coup d’ torchon
Que ça va même jusqu’à la passion
Que des fois ça fait mal mais y’a qu’ça qu’est bon
Il paraît qu’ l’amour, ça change tous les jours
Que tu l’ croies mort, et même il bande encore
Et moi j’y crois
Quand j’te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j’y crois
Embrasse moi!
Mais j’ai vu un gars, dans un bistrot
Un peu tristounet, et tout pâlot
Qui m’a dit qu’un coeur pouvait battre si fort
Que d’un coup il s’arrache de son corps
Et il t’laisse là sur le bitume
Empli de vide et d’amertume
Il paraît qu’l’amour, c’est un truc dangereux
Que ça va faire chialer tes jolis p’tits yeux
Il paraît même que ça fout la fièvre
Il paraît qu’y’en a certains, y’en a certains qu’en crèvent
Mais moi j’y crois
Quand j’te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j’y crois
Embrasse moi!
Mano Solo
Toutes ces sornettes comme quoi ça fait du bien
Il paraît même que c’est l’ propre des humains
Il paraît qu’ ça rend heureux, qu’on a rien trouvé d’mieux
Et moi j’y crois
Quand j’ te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j’y crois
Embrasse moi!
Il paraît qu’ l’amour, ça t’aide quand t’es triste
Il paraît même que ça rend complices
Il paraît qu’ ça fait des trucs profonds
Qu’on efface pas d’un coup d’ torchon
Que ça va même jusqu’à la passion
Que des fois ça fait mal mais y’a qu’ça qu’est bon
Il paraît qu’ l’amour, ça change tous les jours
Que tu l’ croies mort, et même il bande encore
Et moi j’y crois
Quand j’te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j’y crois
Embrasse moi!
Mais j’ai vu un gars, dans un bistrot
Un peu tristounet, et tout pâlot
Qui m’a dit qu’un coeur pouvait battre si fort
Que d’un coup il s’arrache de son corps
Et il t’laisse là sur le bitume
Empli de vide et d’amertume
Il paraît qu’l’amour, c’est un truc dangereux
Que ça va faire chialer tes jolis p’tits yeux
Il paraît même que ça fout la fièvre
Il paraît qu’y’en a certains, y’en a certains qu’en crèvent
Mais moi j’y crois
Quand j’te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j’y crois
Embrasse moi!
Mano Solo
Jeu 27 Déc 2007, 12:58 par
Loyd sur Un monde parfait
L'Amour, une ruse de Dame Nature !?
J’écoute, j’écoute en boucle ces chansons, ces chansons de K.M que tu m’as fait connaître...
J’écoute cette voix douce et sensuelle que tu aimes tant !
Elle à des yeux à en mourir, un corps de rêve... Je t’imagine, la regarder...
Je t’imagine, les regarder, ces femmes que tu connais, toutes ces femmes autour de toi, toutes ces femmes, les femmes du Monde... que tu parcours depuis quinze ans...
Que suis-je moi, petite française, comparée à une brésilienne, une cubaine, une thaïlandaise, une fille de l’Est... une peau cannelle, des yeux amande, des cheveux blonds... le charme des langues étrangères, l’exotisme, le dépaysement...
Je n’ai pas envie de me battre ! Je ne me suis jamais battue pour un homme... L’Amour est là ou il n’est pas... Moi, je croyais qu’il était là... Tant pis pour moi !
Pourtant, ces mots, ces demi-mots que tu écrivais...
Les hommes sont forts ! Ils sont très forts ! Ils savent donner sans se donner et puis reprendre sans se faire prendre...
Les femmes ne savent pas faire ça ! Elles se donnent, elles se damnent...
Les femmes sont faites pour aimer... et les hommes !?
Et si l’amour n’était qu’une ruse de la nature, simplement une ruse de la nature pour assurer la pérennité de l’espèce !?
J’écoute cette voix douce et sensuelle que tu aimes tant !
Elle à des yeux à en mourir, un corps de rêve... Je t’imagine, la regarder...
Je t’imagine, les regarder, ces femmes que tu connais, toutes ces femmes autour de toi, toutes ces femmes, les femmes du Monde... que tu parcours depuis quinze ans...
Que suis-je moi, petite française, comparée à une brésilienne, une cubaine, une thaïlandaise, une fille de l’Est... une peau cannelle, des yeux amande, des cheveux blonds... le charme des langues étrangères, l’exotisme, le dépaysement...
Je n’ai pas envie de me battre ! Je ne me suis jamais battue pour un homme... L’Amour est là ou il n’est pas... Moi, je croyais qu’il était là... Tant pis pour moi !
Pourtant, ces mots, ces demi-mots que tu écrivais...
Les hommes sont forts ! Ils sont très forts ! Ils savent donner sans se donner et puis reprendre sans se faire prendre...
Les femmes ne savent pas faire ça ! Elles se donnent, elles se damnent...
Les femmes sont faites pour aimer... et les hommes !?
Et si l’amour n’était qu’une ruse de la nature, simplement une ruse de la nature pour assurer la pérennité de l’espèce !?
Sam 15 Déc 2007, 01:26 par
encredelune sur L'amour en vrac
Y a tout qui revient autour de toi
Je suis là mais je sais plus
Où j’en suis réelement dans ce monde injuste
Avec moi et tous ces morceaux de ma vie
Si décousus et noir
Je suis là mais je me demande encore
Qui fait battre mon coeur tendre encore plus fort
Y a mes yeux bleu qui se posent encore sur toi
Y a mon coeur doré qui pense encore à ta vie
Y a mes mains qui sentent encore ta présence
Y a mes souvenirs qui prennent toujours de l’importance
Et puis je suis là toujours à réfléchir
Si je prends le meilleur ou garde le pire
Je tourne sans cesse sur les mêmes chemins sinueux et tortueux
De lendemains en lendemains sans voir la lumiere
Y a mes pensées qui s’approchent de toi
Y a mes rêves qui te cherchent la nuit
Y a mon regard qui essaie toujours de te voir
Y a mes images qui se ramènent à la mémoire
Je cherche la force de m’en sortir
De m’éloigner de toi, de ne plus revenir
Mais rien n’y fait je n’y arrive pas
A croire que cette force n’est plus là
Y a ces battements qui m’y font penser
Y a ces tremblements qui me font douter
Y a ces sensations que je reconnais tant
Y a ces frissons qui me parcourent de temps en temps
Et j’essaie enfin de me trouver quelque part
Pouvoir enfin décider de ce hasard
Y a tout qui revient autour de toi
Et je sais pas si je dois faire ce premier pas
Y a tout ça & Y a moi
Y a la vie & Ya moi
Y a mon coeur & Ya moi
Y a toi & Y a moi...
Où j’en suis réelement dans ce monde injuste
Avec moi et tous ces morceaux de ma vie
Si décousus et noir
Je suis là mais je me demande encore
Qui fait battre mon coeur tendre encore plus fort
Y a mes yeux bleu qui se posent encore sur toi
Y a mon coeur doré qui pense encore à ta vie
Y a mes mains qui sentent encore ta présence
Y a mes souvenirs qui prennent toujours de l’importance
Et puis je suis là toujours à réfléchir
Si je prends le meilleur ou garde le pire
Je tourne sans cesse sur les mêmes chemins sinueux et tortueux
De lendemains en lendemains sans voir la lumiere
Y a mes pensées qui s’approchent de toi
Y a mes rêves qui te cherchent la nuit
Y a mon regard qui essaie toujours de te voir
Y a mes images qui se ramènent à la mémoire
Je cherche la force de m’en sortir
De m’éloigner de toi, de ne plus revenir
Mais rien n’y fait je n’y arrive pas
A croire que cette force n’est plus là
Y a ces battements qui m’y font penser
Y a ces tremblements qui me font douter
Y a ces sensations que je reconnais tant
Y a ces frissons qui me parcourent de temps en temps
Et j’essaie enfin de me trouver quelque part
Pouvoir enfin décider de ce hasard
Y a tout qui revient autour de toi
Et je sais pas si je dois faire ce premier pas
Y a tout ça & Y a moi
Y a la vie & Ya moi
Y a mon coeur & Ya moi
Y a toi & Y a moi...
Ven 28 Sep 2007, 21:51 par
joullia sur Un monde parfait
Chaque Femme est unique...
La conquête des femmes est la seule aventure exaltante dans la vie d’un homme.
Guy de Maupassant
La destinée de la femme et sa seule gloire sont de faire battre le coeur des hommes.
Honoré de Balzac
Que seraient ce les Hommes sans les Femmes ? ...
Marie
Guy de Maupassant
La destinée de la femme et sa seule gloire sont de faire battre le coeur des hommes.
Honoré de Balzac
Que seraient ce les Hommes sans les Femmes ? ...
Marie

Comme une guitare
Je me suis souvent demandée... Est-il normal que l’amour traîne éternellement dans son sillage la douleur, la souffrance et la peur ? Dans tous les livres, ils en parlent comme d’une chose merveilleuse et douloureuse... Mais pour moi, ça n’a jamais été que source de désespoir. On se vexe si facilement quand on aime ! Un rien nous blesse et on est sans arrêt dans l’attente désespérée d’obtenir quelque chose de l’être aimé... Sans jamais rien recevoir qui en vaille la peine...
J’ai parfois l’impression que l’amour nous balaye et nous reverse, laissant dans notre coeur dans grandes marques indélébiles, comme l’érosion d’un rocher par la mer... L’amour détruit, pourquoi ? Pourquoi ce n’est pas cette chose tendre qu’on espère tous ? cette chose qui nous réchauffe le coeur ? Cette chose que chacun est sensé bénir et apprécier ? Pourquoi quand j’aime, j’ai l’impression de mourir ?
Je ne comprends pas non plus... Pourquoi l’amour des autres me blesse-t-il autant ? Pourquoi me donne-t-il envie de pleurer et de hurler ? Pourquoi quand quelqu’un m’aime je n’arrive qu’à lui en vouloir ? Je ne veux pas qu’on m’aime.... et je veux qu’on m’aime...
Lorsqu’on ne m’aime pas, j’ai l’impression que le monde alentour est gris et sans saveur... Quand on m’aime, il prend la couleur du sang et le goût cuivré de la douleur... Mon esprit est alors comme un nuage d’encens... J’étouffe, j’apprécie, et je souffre de toutes les épines que sa senteur agréable plante en moi.
Je ne veux pas aimer... Parce que je ne veux pas mourir. je ne veux pas avoir cette impression désagréable de ne plus être moi-même, cette douleur terrible qui me ronge les entrailles comme un vers qui me boufferait le coeur... Mais lorsque je n’aime pas, j’ai l’impression d’être morte. Je ne souffre plus, mais je ne vis plus.... Est-ce dire que la vie est souffrance ? Ai-je a tout prix besoin d’un stimulant fort et aggressif pour forcer mon coeur à battre ?
En fait, je suis comme une corde de guitare... Lorsqu’on me caresse je vibre et tremble, je souffre, la tension me fait presque céder. Mais lorsque plus rien ne me touche, je suis morte... la poussière empli ma caisse de résonnance et ma voix s’enfonce au plus profond de moi... En attente de quelqu’un pour me blesser à nouveau.
J’ai parfois l’impression que l’amour nous balaye et nous reverse, laissant dans notre coeur dans grandes marques indélébiles, comme l’érosion d’un rocher par la mer... L’amour détruit, pourquoi ? Pourquoi ce n’est pas cette chose tendre qu’on espère tous ? cette chose qui nous réchauffe le coeur ? Cette chose que chacun est sensé bénir et apprécier ? Pourquoi quand j’aime, j’ai l’impression de mourir ?
Je ne comprends pas non plus... Pourquoi l’amour des autres me blesse-t-il autant ? Pourquoi me donne-t-il envie de pleurer et de hurler ? Pourquoi quand quelqu’un m’aime je n’arrive qu’à lui en vouloir ? Je ne veux pas qu’on m’aime.... et je veux qu’on m’aime...
Lorsqu’on ne m’aime pas, j’ai l’impression que le monde alentour est gris et sans saveur... Quand on m’aime, il prend la couleur du sang et le goût cuivré de la douleur... Mon esprit est alors comme un nuage d’encens... J’étouffe, j’apprécie, et je souffre de toutes les épines que sa senteur agréable plante en moi.
Je ne veux pas aimer... Parce que je ne veux pas mourir. je ne veux pas avoir cette impression désagréable de ne plus être moi-même, cette douleur terrible qui me ronge les entrailles comme un vers qui me boufferait le coeur... Mais lorsque je n’aime pas, j’ai l’impression d’être morte. Je ne souffre plus, mais je ne vis plus.... Est-ce dire que la vie est souffrance ? Ai-je a tout prix besoin d’un stimulant fort et aggressif pour forcer mon coeur à battre ?
En fait, je suis comme une corde de guitare... Lorsqu’on me caresse je vibre et tremble, je souffre, la tension me fait presque céder. Mais lorsque plus rien ne me touche, je suis morte... la poussière empli ma caisse de résonnance et ma voix s’enfonce au plus profond de moi... En attente de quelqu’un pour me blesser à nouveau.
Mer 16 Mai 2007, 16:42 par
Ayakai sur L'amour en vrac
Effets spéciaux
Dès que l’aurore pointe,
Nadia et Horacio
Se lancent de jolies pointes,
Epigrammes et bons mots.
Les petites vacheries
Sont leur manie, leur coutume.
Au p’tit-déj’, ils se charrient,
S’entartent et s’enclument.
Ils n’ont qu’à contempler
Leurs T-shirts de cartoon
Pour aussitôt s’appeler
Cunégonde et Bille de Clown.
Sur celui de Nadia,
Vil Coyote a l’air idiot.
Charlie Brown est béat
Sur celui d’Horacio.
Déclic, suite humoristique.
C’est l’effet T-shirt BD
Qui provoque, automatique,
Leurs délires débridés.
Ils se mettent au travail,
Horacio veille aux baignades,
Et Nadia ravitaille
Le bar en citronnades.
A la fin du service,
L’esprit dans les nuages,
Ils se promènent, complices,
Main dans la main, sur la plage.
Nadia, les épaules nues,
Fredonne une mélodie,
Osant des mots saugrenus,
Mots frondeurs de parodie.
Tifao les rejoint là.
C’est le guide pour touristes,
Frère de lait de Nadia.
Leur trio, c’est pas triste.
Horacio et son beau-frère,
En deux ou trois minutes,
Se mettent le torse à l’air
Et commencent une lutte.
Déclic pugilistique.
C’est l’effet torse nu
Qui déclenche, magique,
La bataille attendue.
Nadia regarde, amusée,
Ce beau combat du soir.
Ses épaules dénudées
Remuent, rythmant la bagarre.
Mais la belle a aussi
Des choses à exprimer.
Elle plonge, et voici
Qu’ils sont trois à cogner.
La nuit, sur leur lit mutin,
Dans le plus simple appareil,
A une heure du matin,
Nadia et Horacio veillent.
Sans chemise et sans futal,
Sans short et sans bustier,
Longs soupirs de cristal,
Grincements de sommier.
Déclic, suite érotique.
C’est l’effet nudité
Qui allume, féerique,
L’ardente vivacité.
Rire, se battre, s’aimer,
C’est la vie des deux loustics.
Sont pas près de se calmer
Dans leurs effets artistiques.
Nadia et Horacio
Se lancent de jolies pointes,
Epigrammes et bons mots.
Les petites vacheries
Sont leur manie, leur coutume.
Au p’tit-déj’, ils se charrient,
S’entartent et s’enclument.
Ils n’ont qu’à contempler
Leurs T-shirts de cartoon
Pour aussitôt s’appeler
Cunégonde et Bille de Clown.
Sur celui de Nadia,
Vil Coyote a l’air idiot.
Charlie Brown est béat
Sur celui d’Horacio.
Déclic, suite humoristique.
C’est l’effet T-shirt BD
Qui provoque, automatique,
Leurs délires débridés.
Ils se mettent au travail,
Horacio veille aux baignades,
Et Nadia ravitaille
Le bar en citronnades.
A la fin du service,
L’esprit dans les nuages,
Ils se promènent, complices,
Main dans la main, sur la plage.
Nadia, les épaules nues,
Fredonne une mélodie,
Osant des mots saugrenus,
Mots frondeurs de parodie.
Tifao les rejoint là.
C’est le guide pour touristes,
Frère de lait de Nadia.
Leur trio, c’est pas triste.
Horacio et son beau-frère,
En deux ou trois minutes,
Se mettent le torse à l’air
Et commencent une lutte.
Déclic pugilistique.
C’est l’effet torse nu
Qui déclenche, magique,
La bataille attendue.
Nadia regarde, amusée,
Ce beau combat du soir.
Ses épaules dénudées
Remuent, rythmant la bagarre.
Mais la belle a aussi
Des choses à exprimer.
Elle plonge, et voici
Qu’ils sont trois à cogner.
La nuit, sur leur lit mutin,
Dans le plus simple appareil,
A une heure du matin,
Nadia et Horacio veillent.
Sans chemise et sans futal,
Sans short et sans bustier,
Longs soupirs de cristal,
Grincements de sommier.
Déclic, suite érotique.
C’est l’effet nudité
Qui allume, féerique,
L’ardente vivacité.
Rire, se battre, s’aimer,
C’est la vie des deux loustics.
Sont pas près de se calmer
Dans leurs effets artistiques.
Sam 12 Mai 2007, 22:10 par
Nadia et Horacio sur La vie à deux
(postpostmodernisme naissant)
Si je commençais l’écriture d’un livre, je débuterais ainsi :
« Repoussons les limites de la littérature post-moderne (si il y a un tant soit peu de notion relative au post-modernisme, je n’en suis pas certain…) et établissons un nouvel ordre littéraire mondialisé… Mais je n’écrirais jamais de livre. Le seul plaisir éprouvé en réalisant l’action (liée à la pensée) d’écrire est d’arriver à saisir mon âme et la coucher sur le papier. Intime plaisir. Soit. Et teinté du (propre) simple égoïsme de voir sa pensée (ô combien personnelle et sacrée!) couchée sur un papier. Se dire qu’il y aura une trace de soi-même. Quelle excitante et névrotique pensée! C’est un serpent vicieux et lâche…
(Trouver un nouveau mot pour désigner moins communément la pensée). »
Un nuage masque la lumière du soleil un instant. Je viens de décider de ne pas écrire un livre et il fait nuit.
Lola attend en bas. Il m’arrive encore de descendre de temps en temps, pour respirer l’air vicié, marcher au petit matin, ou en pleine nuit pour jeter un regard angoissé à l’interminable présence de la ville. S’étendre un moment sur le pavé rassure et réchauffe, comme si cette masse vivante, cette entité qu’est la ville, pouvait disparaître.
J’ai peur de mourir les poumons arrachés entre les côtes.
Lola est encore habillée de façon honteusement sadique. Le trou au coude gauche de mon pull ne veut pas voir cela. Tant pi. Je remonte. Mais qu’a-t-elle à hurler des mots que je ne comprends pas ?
L’ancien panneau vitré de la porte me protége en haut des marches. Je regarde par le trou de la serrure et je vois les mots éclabousser, voler dans toutes les directions connues en s’évanouissant contre le bois et le verre. Le ballet est affreusement désordonné. Il faudra que je pense à nettoyer. Demain.
Je n’aime pas faire de ménage après une tempête.
Dans un soupir, je me laisse tomber avec effusion dans un fauteuil. Je devrais peut-être avoir un comportement plus social. Mais la présence de mes congénères m’ennuie et m’indispose.
Et que doit faire l’écrivain ensuite ?
Intrusion dans la post-postmodernité ou sieste sous les toits ?
C’est toujours la nuit.
La fenêtre s’amuse à battre avec insistance. S’étirer, se lever, bâiller, s’étirer, s’accouder au rebord. Respirer. Encore un ciel sans étoiles. C’est la ville qui me les a volées.
Je n’aurais pas dû m’endormir. Mon activité intellectuelle me paraît moins productive quand j’habite ici. Quand dois-je partir ?
Ai-je le droit d’affronter ce que le dehors a créé pendant mon absence ?
Le bruit du fer bat à mes tempes, je veux sentir la seringue pénétrer dans mon bras et l’ennui s’épandre dans les veines…
distillation d’une horreur perdue, comment peut-on RECHERCHER l’ennui ?
Surprendre ensuite. En créant une absence totale d’ordre ou de désordre quelconques dans toute cette œuvre en devenir.
L’infinie des possibilités d’automédication est dangereusement dangereuse pour la santé psychique et corporelle. Je lui avais bien dit qu’il était temps pour Elle de mourir (je me souviens).
Elle a mangé le chat et ensuite elle est morte.
« Repoussons les limites de la littérature post-moderne (si il y a un tant soit peu de notion relative au post-modernisme, je n’en suis pas certain…) et établissons un nouvel ordre littéraire mondialisé… Mais je n’écrirais jamais de livre. Le seul plaisir éprouvé en réalisant l’action (liée à la pensée) d’écrire est d’arriver à saisir mon âme et la coucher sur le papier. Intime plaisir. Soit. Et teinté du (propre) simple égoïsme de voir sa pensée (ô combien personnelle et sacrée!) couchée sur un papier. Se dire qu’il y aura une trace de soi-même. Quelle excitante et névrotique pensée! C’est un serpent vicieux et lâche…
(Trouver un nouveau mot pour désigner moins communément la pensée). »
Un nuage masque la lumière du soleil un instant. Je viens de décider de ne pas écrire un livre et il fait nuit.
Lola attend en bas. Il m’arrive encore de descendre de temps en temps, pour respirer l’air vicié, marcher au petit matin, ou en pleine nuit pour jeter un regard angoissé à l’interminable présence de la ville. S’étendre un moment sur le pavé rassure et réchauffe, comme si cette masse vivante, cette entité qu’est la ville, pouvait disparaître.
J’ai peur de mourir les poumons arrachés entre les côtes.
Lola est encore habillée de façon honteusement sadique. Le trou au coude gauche de mon pull ne veut pas voir cela. Tant pi. Je remonte. Mais qu’a-t-elle à hurler des mots que je ne comprends pas ?
L’ancien panneau vitré de la porte me protége en haut des marches. Je regarde par le trou de la serrure et je vois les mots éclabousser, voler dans toutes les directions connues en s’évanouissant contre le bois et le verre. Le ballet est affreusement désordonné. Il faudra que je pense à nettoyer. Demain.
Je n’aime pas faire de ménage après une tempête.
Dans un soupir, je me laisse tomber avec effusion dans un fauteuil. Je devrais peut-être avoir un comportement plus social. Mais la présence de mes congénères m’ennuie et m’indispose.
Et que doit faire l’écrivain ensuite ?
Intrusion dans la post-postmodernité ou sieste sous les toits ?
C’est toujours la nuit.
La fenêtre s’amuse à battre avec insistance. S’étirer, se lever, bâiller, s’étirer, s’accouder au rebord. Respirer. Encore un ciel sans étoiles. C’est la ville qui me les a volées.
Je n’aurais pas dû m’endormir. Mon activité intellectuelle me paraît moins productive quand j’habite ici. Quand dois-je partir ?
Ai-je le droit d’affronter ce que le dehors a créé pendant mon absence ?
Le bruit du fer bat à mes tempes, je veux sentir la seringue pénétrer dans mon bras et l’ennui s’épandre dans les veines…
distillation d’une horreur perdue, comment peut-on RECHERCHER l’ennui ?
Surprendre ensuite. En créant une absence totale d’ordre ou de désordre quelconques dans toute cette œuvre en devenir.
L’infinie des possibilités d’automédication est dangereusement dangereuse pour la santé psychique et corporelle. Je lui avais bien dit qu’il était temps pour Elle de mourir (je me souviens).
Elle a mangé le chat et ensuite elle est morte.
Sam 12 Mai 2007, 18:17 par
mah sur L'amour en vrac
Nadia et Horacio
Ile ensoleillée.
Décor de série télé.
Allez-vous zapper ?
La belle Nadia,
Serveuse au bar des Tadornes,
Boit sa menthe à l’eau.
Elle a les épaules nues,
C’est sa tenue favorite.
Ensuite, elle rejoint
Son aimé, son Horacio,
Le bouillant maître nageur.
Horacio l’attend,
Torse nu, comme souvent,
Dans son boxer short.
Il se précipite
Vers Nadia, qui le repousse :
Arrière, mon Belzébuth !
Voyez, mains aux hanches,
L’amazone qui provoque
Le fier étalon.
Nadia
Viens donc si tu l’oses,
Mon Apollon d’archipel,
Mon Clyde Barrow.
Horacio
Ma rose panthère,
Ton côté Felix the Cat
Est émoustillant.
Horacio s’approche.
Son sourire un peu macho
Amuse et agace
Nadia qui s’approche aussi,
Remuant les poings.
Défi réciproque,
Amoureuse invitation
Au ring sur la plage.
Tous les deux sont prêts
Pour une belle bagarre.
Ils reculent, avancent.
C’est : je t’aime, moi non plus ?
Non : je t’aime, viens te battre !
Nuage de poussière
Sur le sable fin et chaud.
Les poings, les pieds valsent.
Et les étoiles jaillissent.
A la fois tendresse et fight.
Nadia s’écrie : Aïe !
Elle fronce les sourcils
D’un air combatif.
Horacio crie : Au secours !
Puis replonge dans la lutte.
Aucun des deux ne se rend.
Comme ils se régalent !
Ils avaient faim de bataille.
Quel appétit d’ogre !
Après dix minutes,
Le nuage de poussière
Se dissipe enfin.
Les deux tourtereaux
Emergent de la fumée,
Riant aux éclats,
Et, se tenant par la taille,
Regagnent leur bungalow.
Nadia
Ah, quelle bagarre !
Je vais me boire un lait-fraise,
Mon Martin Mystère !
Horacio
Ma Wonder Woman,
Je me sens d’attaque pour
Un tout autre sport.
Nadia
Football ? Volley ? Badminton ?
Horacio
Fausse candeur que j’adore !
Humble bande-annonce
Pour vous présenter déjà
Les deux lousticos.
La jolie Nadia,
Fonceuse et garçon manqué,
Mais très féminine.
Et son Horacio,
Un tigre dans le moteur,
Neveu de Tarzan.
On les reverra parfois.
Du moins, si ça vous agrée.
Décor de série télé.
Allez-vous zapper ?
La belle Nadia,
Serveuse au bar des Tadornes,
Boit sa menthe à l’eau.
Elle a les épaules nues,
C’est sa tenue favorite.
Ensuite, elle rejoint
Son aimé, son Horacio,
Le bouillant maître nageur.
Horacio l’attend,
Torse nu, comme souvent,
Dans son boxer short.
Il se précipite
Vers Nadia, qui le repousse :
Arrière, mon Belzébuth !
Voyez, mains aux hanches,
L’amazone qui provoque
Le fier étalon.
Nadia
Viens donc si tu l’oses,
Mon Apollon d’archipel,
Mon Clyde Barrow.
Horacio
Ma rose panthère,
Ton côté Felix the Cat
Est émoustillant.
Horacio s’approche.
Son sourire un peu macho
Amuse et agace
Nadia qui s’approche aussi,
Remuant les poings.
Défi réciproque,
Amoureuse invitation
Au ring sur la plage.
Tous les deux sont prêts
Pour une belle bagarre.
Ils reculent, avancent.
C’est : je t’aime, moi non plus ?
Non : je t’aime, viens te battre !
Nuage de poussière
Sur le sable fin et chaud.
Les poings, les pieds valsent.
Et les étoiles jaillissent.
A la fois tendresse et fight.
Nadia s’écrie : Aïe !
Elle fronce les sourcils
D’un air combatif.
Horacio crie : Au secours !
Puis replonge dans la lutte.
Aucun des deux ne se rend.
Comme ils se régalent !
Ils avaient faim de bataille.
Quel appétit d’ogre !
Après dix minutes,
Le nuage de poussière
Se dissipe enfin.
Les deux tourtereaux
Emergent de la fumée,
Riant aux éclats,
Et, se tenant par la taille,
Regagnent leur bungalow.
Nadia
Ah, quelle bagarre !
Je vais me boire un lait-fraise,
Mon Martin Mystère !
Horacio
Ma Wonder Woman,
Je me sens d’attaque pour
Un tout autre sport.
Nadia
Football ? Volley ? Badminton ?
Horacio
Fausse candeur que j’adore !
Humble bande-annonce
Pour vous présenter déjà
Les deux lousticos.
La jolie Nadia,
Fonceuse et garçon manqué,
Mais très féminine.
Et son Horacio,
Un tigre dans le moteur,
Neveu de Tarzan.
On les reverra parfois.
Du moins, si ça vous agrée.
Dim 08 Avril 2007, 09:32 par
Nadia et Horacio sur La vie à deux
à deux...
La vie à deux se compose,
se dispose
ou s’oppose.
C’est selon.
Il a joué, j’ai gagné !
Je ne voulais pourtant que partager l’instant :
exit la compétition.
C’est triste pour lui :
Je n’ai pas joué, il a perdu...
A mes amis, Christian, Charles, Phil et les autres,
A mes amies, Yan, Flo, Françoise et les autres,
Ces moments aux couleurs de rire et de joie même mêlées de sombre ! Bon sang, avoir un coeur qui sait battre à tout rompre !
C’est bon la vie qui coule en soi !
C’est bon de peindre la vie éclatante de joie
C’est bon pour lui
C’est bon pour moi...
Pas de vérité transcendante en cela et pourtant
Je suis bien
et
Tu es là.
se dispose
ou s’oppose.
C’est selon.
Il a joué, j’ai gagné !
Je ne voulais pourtant que partager l’instant :
exit la compétition.
C’est triste pour lui :
Je n’ai pas joué, il a perdu...
A mes amis, Christian, Charles, Phil et les autres,
A mes amies, Yan, Flo, Françoise et les autres,
Ces moments aux couleurs de rire et de joie même mêlées de sombre ! Bon sang, avoir un coeur qui sait battre à tout rompre !
C’est bon la vie qui coule en soi !
C’est bon de peindre la vie éclatante de joie
C’est bon pour lui
C’est bon pour moi...
Pas de vérité transcendante en cela et pourtant
Je suis bien
et
Tu es là.
Mer 04 Avril 2007, 17:45 par
dolce vita sur La vie à deux
Dieu, que c'est bon ! La chanson du ravi !
On peut se faire mal, se blesser sur la route et souffrir parfois, mais Dieu comme c’est bon de vivre ! ! !
De vivre pleinement !
Respirer cet air unique : prendre le temps de savourer !
Chaque seconde est bonne à vivre, une étincelle de paradis, un soupçon d’éternité !
Dieu, comme c’est bon de vivre !
Si tu savais, Seigneur, la joie que j’ai !
Et le cadeau que tu m’as fait !
Comme c’est bon de vivre !
Comme c’est bon d’aimer !
Et à peine tombé, à nouveau espérer !
Les yeux vers les sommets !
Oh ! Oui ! Que c’est bon de vivre !
Ciel, quelle joie de sentir son cœur battre et de se mettre en route ! Quelle félicité !
Oh, oui, mon Dieu !
Que c’est bon de vivre !
Un cœur, de la joie, de la force en soi !
Qui peut les ravir ?
Qui peut les enlever ?
Oh, mon cœur n’est pas frileux !
Que je suis heureuse de vivre !
Mon Dieu, si tu savais !
Oh, oui, Dieu que c’est bon de vivre !
Et que c’est bon d’aimer ! ! !
De vivre pleinement !
Respirer cet air unique : prendre le temps de savourer !
Chaque seconde est bonne à vivre, une étincelle de paradis, un soupçon d’éternité !
Dieu, comme c’est bon de vivre !
Si tu savais, Seigneur, la joie que j’ai !
Et le cadeau que tu m’as fait !
Comme c’est bon de vivre !
Comme c’est bon d’aimer !
Et à peine tombé, à nouveau espérer !
Les yeux vers les sommets !
Oh ! Oui ! Que c’est bon de vivre !
Ciel, quelle joie de sentir son cœur battre et de se mettre en route ! Quelle félicité !
Oh, oui, mon Dieu !
Que c’est bon de vivre !
Un cœur, de la joie, de la force en soi !
Qui peut les ravir ?
Qui peut les enlever ?
Oh, mon cœur n’est pas frileux !
Que je suis heureuse de vivre !
Mon Dieu, si tu savais !
Oh, oui, Dieu que c’est bon de vivre !
Et que c’est bon d’aimer ! ! !
Lun 15 Jan 2007, 13:48 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Et si...
Je ne trouve plus les mots qui dépeignent le vide que je ressens
Mais ce n’est pas ça dont j’ai rêvé pour nous ce n’est pas ce sentiment oppressé
Ces maux de cœur qui font me retourner dans un lit sans repos
Ces cauchemars et la peur de regarder vers toi
Pour trouver quoi ?
Si je suis seule à rechercher la joie
A chanter la tendresse, à vouloir conquérir la douceur le désir
Se battre contre ce qui oppresse nos vies
Si tu te recroquevilles sur toi
Ca sert à quoi ?
Si l’amour n’est pour toi qu’une infinie contrainte
Un sacrifice une peur et des chaînes
Et qu’en ton cœur tu sens rugir la haine
Et le besoin d’éloigner tous tes pas
N’appelle pas...
Mais ce n’est pas ça dont j’ai rêvé pour nous ce n’est pas ce sentiment oppressé
Ces maux de cœur qui font me retourner dans un lit sans repos
Ces cauchemars et la peur de regarder vers toi
Pour trouver quoi ?
Si je suis seule à rechercher la joie
A chanter la tendresse, à vouloir conquérir la douceur le désir
Se battre contre ce qui oppresse nos vies
Si tu te recroquevilles sur toi
Ca sert à quoi ?
Si l’amour n’est pour toi qu’une infinie contrainte
Un sacrifice une peur et des chaînes
Et qu’en ton cœur tu sens rugir la haine
Et le besoin d’éloigner tous tes pas
N’appelle pas...
Ven 05 Jan 2007, 10:20 par
dolce vita sur La vie à deux
Lettre ouverte au Père Noël
Cher Père Noël,
Tu sais - comme moi - que je ne suis plus une petite fille et ce depuis bien des années. Néanmoins, j’entends tellement dire que je suis restée enfant que je t’écris cette lettre... Oh, tu peux te moquer de moi, ce ne seront pas les premiers sarcasmes et puis, je suis comme je suis, n’est-ce pas, si cela te fait rire alors tant mieux, c’est un peu de joie que je t’aurais donnée.
L’amour ? C’est l’amour qui est au coeur de ma demande. Car tu l’as bien compris je viens vers toi avec un coeur implorant. Père Noël, voilà bien des années que je regarde l’amour et ne le vis pas, je le contemple le nez collé contre la vitre du bonheur. Enfant on m’avait appris que l’amour se méritait, mais non, non, je sais aujourd’hui qu’il est gratuit et que, de surcroît, on en a tous besoin pour vivre. Et oui, tous autant que nous sommes. Certains le ressentent mais il reste sans objet... D’autres ont perdu le chemin de leur coeur à force d’enfermement.
Ma vie m’est presque à charge : à quoi sert de vivre si l’on ne peut remplir sa vocation, à quoi sert de ressentir l’amour lorsqu’il demeure unilatéral et qu’en fin de compte on ne ressent sa morçure que pour savoir que l’on est privé de ses joies ? Ma vocation propre est dans l’amour. L’amour, je l’espère, j’y crois naïvement à chaque instant. Cependant, il ne me reste entre les doigts - sitôt mon coeur enflammé - que des cendres : l’être aimé/aimant où est-il ? Un petit génie m’avait demandé de faire un voeu, je l’ai fait mais hélas, le génie s’est enfui avec mon voeu sous le bras et mon coeur saigne... Je suis fatiguée.
J’ai besoin d’aimer et d’être aimée Père Noël, c’est le moteur de ma vie, c’est l’amour qui me donne la force de me battre, la force d’avancer, la force de me relever.
Nous sommes nombreux à connaître la solitude du coeur, alors je t’en prie pour Noël, puisses-tu apporter à toutes ces âmes la joie de l’amour partagé. Pas des tas d’amour de surconsommation à prendre et à jeter après usage, non, l’amour, tendre et vrai, l’amour propre à chacun, à chacune.
Je t’embrasse bien doucement de tout mon coeur d’enfant puisqu’enfant il y a.
Avec une pluie de tendresse,
Dolce
Tu sais - comme moi - que je ne suis plus une petite fille et ce depuis bien des années. Néanmoins, j’entends tellement dire que je suis restée enfant que je t’écris cette lettre... Oh, tu peux te moquer de moi, ce ne seront pas les premiers sarcasmes et puis, je suis comme je suis, n’est-ce pas, si cela te fait rire alors tant mieux, c’est un peu de joie que je t’aurais donnée.
L’amour ? C’est l’amour qui est au coeur de ma demande. Car tu l’as bien compris je viens vers toi avec un coeur implorant. Père Noël, voilà bien des années que je regarde l’amour et ne le vis pas, je le contemple le nez collé contre la vitre du bonheur. Enfant on m’avait appris que l’amour se méritait, mais non, non, je sais aujourd’hui qu’il est gratuit et que, de surcroît, on en a tous besoin pour vivre. Et oui, tous autant que nous sommes. Certains le ressentent mais il reste sans objet... D’autres ont perdu le chemin de leur coeur à force d’enfermement.
Ma vie m’est presque à charge : à quoi sert de vivre si l’on ne peut remplir sa vocation, à quoi sert de ressentir l’amour lorsqu’il demeure unilatéral et qu’en fin de compte on ne ressent sa morçure que pour savoir que l’on est privé de ses joies ? Ma vocation propre est dans l’amour. L’amour, je l’espère, j’y crois naïvement à chaque instant. Cependant, il ne me reste entre les doigts - sitôt mon coeur enflammé - que des cendres : l’être aimé/aimant où est-il ? Un petit génie m’avait demandé de faire un voeu, je l’ai fait mais hélas, le génie s’est enfui avec mon voeu sous le bras et mon coeur saigne... Je suis fatiguée.
J’ai besoin d’aimer et d’être aimée Père Noël, c’est le moteur de ma vie, c’est l’amour qui me donne la force de me battre, la force d’avancer, la force de me relever.
Nous sommes nombreux à connaître la solitude du coeur, alors je t’en prie pour Noël, puisses-tu apporter à toutes ces âmes la joie de l’amour partagé. Pas des tas d’amour de surconsommation à prendre et à jeter après usage, non, l’amour, tendre et vrai, l’amour propre à chacun, à chacune.
Je t’embrasse bien doucement de tout mon coeur d’enfant puisqu’enfant il y a.
Avec une pluie de tendresse,
Dolce
Mar 19 Déc 2006, 13:27 par
dolce vita sur Mille choses
Histoires d'amour avec la Vie...
En ce lundi
Petite Marie
A failli partir
Au ciel
Sa santé
l’a lâché.
La vie, la mort
ont envahi
Son esprit.
Mais la vie a vaincu...
Elle est là
Pour vous écrire
Chers lecteurs.
De son flirt
Avec la mort,
Elle a retenu
Que la Vie
Est un combat...
En ce Vendredi
Petite Marie
Aime la vie
Et a choisi
De se battre
Pour ceux
Qu’elle aime...
Elle n’a qu’une
Philosophie,
AIMONS NOUS VIVANTS...
Petite Marie
A failli partir
Au ciel
Sa santé
l’a lâché.
La vie, la mort
ont envahi
Son esprit.
Mais la vie a vaincu...
Elle est là
Pour vous écrire
Chers lecteurs.
De son flirt
Avec la mort,
Elle a retenu
Que la Vie
Est un combat...
En ce Vendredi
Petite Marie
Aime la vie
Et a choisi
De se battre
Pour ceux
Qu’elle aime...
Elle n’a qu’une
Philosophie,
AIMONS NOUS VIVANTS...
Ven 17 Nov 2006, 22:29 par
Satine sur Histoires d'amour
Je l'aimais
Bon ben c’est mon premier texte enjoy it or not.
C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.
Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.
Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.
Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.
I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.
I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.
Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.
Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.
Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.
I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.
I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
Mar 10 Oct 2006, 20:50 par
Evidance sur Histoires d'amour
L'amour, c'est quoi ? grande interrogation ...
Mes amours passagères,
N’ont pas toujours étaient d’enfer ...
( poème passéiste sur mes conquêtes et le sexe ... sniff! )
Je dois être d’un autre âge,
Où les femmes étaient soumises et sauvages.
D’une époque aussi lointaine que l’âge de fer.
Où il suffisait de s’aimer pour le faire ...
Cet âge, aujourd’hui me rend amère.
Où est passée cette époque éphémère.
Toutes autour, sont devenues sages.
Où son mes jolies conquête de passages.
Sont elles devenues responsables et austères ?
Ont elles peur à ce point de la misère ?
Qu’il faille leur montrer notre bien être
Et bien paraître, tout cela m’exaspère ...
Au risque de ne pas paraître très sage,
Je rêve de conquêtes de mon âge.
Où les femmes infidèles et légères,
S’offriraient tous les plaisirs en pleine la lumière !
Sans tabou ni retenue, que celle de la chair.
Sortant de l’ombre et des valeurs monétaires !
Je suis prêt à offrir du plaisir de mes mains
De ma bouche et de mes reins
Plutôt séduire, quitte à déplaire,
Que se battre et croiser le fer.
Sans mensonges, à qui lira ce message
Je propose mes talents aux massages
Sans contrepartie financières,
Et sans arrière pensée grossière,
Juste comme il se doit, avec les manières.
Surtout ne me classer pas anthropophage
Moi qui suis à l’aube d’un grands âge
Je suis encore vert et prêt à le faire
Et malgré mes envies passagères
Me voilà condamner à battre le fer ...
Sans amour, dans un monde froid et austère ...
N’ont pas toujours étaient d’enfer ...
( poème passéiste sur mes conquêtes et le sexe ... sniff! )
Je dois être d’un autre âge,
Où les femmes étaient soumises et sauvages.
D’une époque aussi lointaine que l’âge de fer.
Où il suffisait de s’aimer pour le faire ...
Cet âge, aujourd’hui me rend amère.
Où est passée cette époque éphémère.
Toutes autour, sont devenues sages.
Où son mes jolies conquête de passages.
Sont elles devenues responsables et austères ?
Ont elles peur à ce point de la misère ?
Qu’il faille leur montrer notre bien être
Et bien paraître, tout cela m’exaspère ...
Au risque de ne pas paraître très sage,
Je rêve de conquêtes de mon âge.
Où les femmes infidèles et légères,
S’offriraient tous les plaisirs en pleine la lumière !
Sans tabou ni retenue, que celle de la chair.
Sortant de l’ombre et des valeurs monétaires !
Je suis prêt à offrir du plaisir de mes mains
De ma bouche et de mes reins
Plutôt séduire, quitte à déplaire,
Que se battre et croiser le fer.
Sans mensonges, à qui lira ce message
Je propose mes talents aux massages
Sans contrepartie financières,
Et sans arrière pensée grossière,
Juste comme il se doit, avec les manières.
Surtout ne me classer pas anthropophage
Moi qui suis à l’aube d’un grands âge
Je suis encore vert et prêt à le faire
Et malgré mes envies passagères
Me voilà condamner à battre le fer ...
Sans amour, dans un monde froid et austère ...
Jeu 05 Oct 2006, 20:13 par
coeur lourd sur Histoires d'amour
Ecrire sur battre

Il y a 105 textes utilisant le mot battre. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Dans les nuages
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La citation d'amour
Un amour peut être guéri par un autre amour, comme un poison est souvent chassé par un autre poison.
J. Dryden.
J. Dryden.
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