Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur beauté - Page 8 sur 15
Farfadets, réveillez l'Enchanteur de l'amour
Esprit de la forêt, Esprit des oceans,
Eclairez moi, mon esprit est chagrin.
Dans les troubles du temps, je me noie et je sombre.
Mon âme d’été, peu à peu, se remplit de ces ombres d’hivers,
Déroutée et pensive devant toutes ces questions existentielles,
Je ne distingue plus l’horizon, le chemin disparaît devant mes pas.
Farfadets de la foret et lutins des mers, réveillez l’Enchanteur de l’amour,
Je suis perdu, égarée, aveuglée par l’Amour de mon coeur.
Ce n’est rien me dites vous ! La souffrance est la vie,
Mais sa beauté est extasiante et céleste, il est fils de Cupidon.
Je l’avoue sans remords, j’ai été envoûtée par un mage,
Hypnotisé par la grâce et la bonté qu’il dégage.
Vous ne pouvez plus rien pour moi.
Lui, seul, détient le pouvoir, de briser l’enchantement,
Mais mon cœur ne peut pas, je ne veux pas l’effacer.
Voudra t-il, me garder à ses côtés ?
Eclairez moi, mon esprit est chagrin.
Dans les troubles du temps, je me noie et je sombre.
Mon âme d’été, peu à peu, se remplit de ces ombres d’hivers,
Déroutée et pensive devant toutes ces questions existentielles,
Je ne distingue plus l’horizon, le chemin disparaît devant mes pas.
Farfadets de la foret et lutins des mers, réveillez l’Enchanteur de l’amour,
Je suis perdu, égarée, aveuglée par l’Amour de mon coeur.
Ce n’est rien me dites vous ! La souffrance est la vie,
Mais sa beauté est extasiante et céleste, il est fils de Cupidon.
Je l’avoue sans remords, j’ai été envoûtée par un mage,
Hypnotisé par la grâce et la bonté qu’il dégage.
Vous ne pouvez plus rien pour moi.
Lui, seul, détient le pouvoir, de briser l’enchantement,
Mais mon cœur ne peut pas, je ne veux pas l’effacer.
Voudra t-il, me garder à ses côtés ?
Dim 27 Août 2006, 14:06 par
joullia sur L'amour en vrac
L'ouragan change toute la donne
Ce que tu dis n’est pas faux,
mais quand l’ouragan souffle,
il éloigne le grain de poussière que je suis,
le conduit là où je ne veux pas être,
là où la vie est sombre,
loin des autres grains,
loin d’une vie simple et belle,
loin des plaisirs simples,
comme une promenade le long d’un fleuve,
admirer la beauté de la nature,
sentir la brise du petit matin,
les milles odeurs de la vie,
regarder un enfant jouer
croiser une femme enceinte
tout ça m’est interdit ou difficile,
alors la vie est peut être belle, mais pas pour tout le monde....
Merci, tes paroles sont douces et sages.
mais quand l’ouragan souffle,
il éloigne le grain de poussière que je suis,
le conduit là où je ne veux pas être,
là où la vie est sombre,
loin des autres grains,
loin d’une vie simple et belle,
loin des plaisirs simples,
comme une promenade le long d’un fleuve,
admirer la beauté de la nature,
sentir la brise du petit matin,
les milles odeurs de la vie,
regarder un enfant jouer
croiser une femme enceinte
tout ça m’est interdit ou difficile,
alors la vie est peut être belle, mais pas pour tout le monde....
Merci, tes paroles sont douces et sages.
Mer 23 Août 2006, 23:53 par
joullia sur Histoires d'amour
N'avez vous jamais aimé à un point inimaginable ?
Vous n’avez qu’une envie :
être avec lui, le regarder, lui parler, l’écouter,
vous adresser tous vos sourires et recevoir les siens en
échange.
Juste parce que c’est lui, juste parce que vous l’aimez, juste pour ça.
Il est comme un rêve, une illusion qui vous poursuit.
Lorsque vous regardez les étoiles s’illuminer dans le ciel,
vous voyez s’inscrire son prénom dans les astres.
Lorsque vous êtes seule, vous avez l’impression
qu’il est là, tout près de vous.
Lorsque vous fermez les yeux, vous imaginez sa présence.
Il vous tient dans ses bras comme pour vous protéger.
Partout où vous allez vous apercevez son reflet et
ce beau sourire qui vous hante vous sourit.
Vous ne pensez qu’à lui, vous ne parlez que de lui,
vous ne vous levez le matin que pour le voir, vous
ne vivez que pour lui.
Vous l’aimez tellement, que parfois, ça vous détruit,
vous étouffe complètement.
On vit dans une dimension totalement étrangère.
Il n’y a plus que son doux prénom, lui qui a un sens pour vous.
Vous avez l’impression qu’à chaque regard,
qu’à chaque parole de lui, qu’à chaque sourire
qu’il vous adresse, votre coeur s’embrase, votre
rythme cardiaque s’accélère, vous avez une bombe
dans le ventre près à exploser au moindre instant,
votre bouche est sèche et votre imagination se
retrouve plongée dans un monde féerique : tout ça
pour lui.
Vous sentez que lorsque vous êtes avec lui plus
rien n’est impossible juste parce qu’il est à vos cotés.
Vous avez le sentiment que tout est facile,
que la vie vous sourit. Avec lui vous voulez
découvrir le monde.
Quand vous le voyez souffrir, vous ressentez sa
douleur mais ça vous fait beaucoup plus mal car sa
souffrance est dans votre coeur qui saigne à blanc.
Lorsqu’il pleure en vous disant qu’il va mourir, vous avez peur.
Vous ne savez pas comment réagir et au fond de vous,
vous trouvez cela débile de vouloir mourir pour une illusion qui
ressemble vaguement à la passion mais qui ne sert
à rien sauf à faire du mal à ceux qu’on aime.
Vous l’aimez tel qu’il est : de ses joues mal rasées à
son regard profond, de ses cheveux en bataille à
son parfum et de sa beauté à chacun de ses
défauts. Vous êtes heureuse avec lui malheureuse
sans lui.
Du jour au lendemain, tout se bouleverse : les
coups de fil moins fréquents, les mots doux plus
absents, sa présence plus superficielle. D’une
seconde à l’autre, tous vos rêves, vos espérances
se brisent tel du cristal sur le sol.
Il écrit déjà la fin du début de votre romance. A
cet instant, vous désirez le détester. Un rien
vous fait penser à lui. Vous basculez entre la vie
et la mort. Vous en êtes consciente enfui en vous
mais vous préférez faire apparaître l’excusable.
Mais en fait ce placebo vous revoit à la
simplicité de la vie : un rire, un chat qui
ronronne, la pluie qui tombe,... Nul ne se
souvient de ces instants. Vous voulez le voir, lui
parler, l’entendre, le toucher mais vous êtes
prisonnière de votre mal être. Pour empirer les
choses, vous vous mettez à sangloter... Il
recommence sa vie sans vous.
Sa brève présence dans votre longue existence a été pour vous votre
premier amour inoubliable.
Et vous recherchez ce premier amour dans un autre homme ...
être avec lui, le regarder, lui parler, l’écouter,
vous adresser tous vos sourires et recevoir les siens en
échange.
Juste parce que c’est lui, juste parce que vous l’aimez, juste pour ça.
Il est comme un rêve, une illusion qui vous poursuit.
Lorsque vous regardez les étoiles s’illuminer dans le ciel,
vous voyez s’inscrire son prénom dans les astres.
Lorsque vous êtes seule, vous avez l’impression
qu’il est là, tout près de vous.
Lorsque vous fermez les yeux, vous imaginez sa présence.
Il vous tient dans ses bras comme pour vous protéger.
Partout où vous allez vous apercevez son reflet et
ce beau sourire qui vous hante vous sourit.
Vous ne pensez qu’à lui, vous ne parlez que de lui,
vous ne vous levez le matin que pour le voir, vous
ne vivez que pour lui.
Vous l’aimez tellement, que parfois, ça vous détruit,
vous étouffe complètement.
On vit dans une dimension totalement étrangère.
Il n’y a plus que son doux prénom, lui qui a un sens pour vous.
Vous avez l’impression qu’à chaque regard,
qu’à chaque parole de lui, qu’à chaque sourire
qu’il vous adresse, votre coeur s’embrase, votre
rythme cardiaque s’accélère, vous avez une bombe
dans le ventre près à exploser au moindre instant,
votre bouche est sèche et votre imagination se
retrouve plongée dans un monde féerique : tout ça
pour lui.
Vous sentez que lorsque vous êtes avec lui plus
rien n’est impossible juste parce qu’il est à vos cotés.
Vous avez le sentiment que tout est facile,
que la vie vous sourit. Avec lui vous voulez
découvrir le monde.
Quand vous le voyez souffrir, vous ressentez sa
douleur mais ça vous fait beaucoup plus mal car sa
souffrance est dans votre coeur qui saigne à blanc.
Lorsqu’il pleure en vous disant qu’il va mourir, vous avez peur.
Vous ne savez pas comment réagir et au fond de vous,
vous trouvez cela débile de vouloir mourir pour une illusion qui
ressemble vaguement à la passion mais qui ne sert
à rien sauf à faire du mal à ceux qu’on aime.
Vous l’aimez tel qu’il est : de ses joues mal rasées à
son regard profond, de ses cheveux en bataille à
son parfum et de sa beauté à chacun de ses
défauts. Vous êtes heureuse avec lui malheureuse
sans lui.
Du jour au lendemain, tout se bouleverse : les
coups de fil moins fréquents, les mots doux plus
absents, sa présence plus superficielle. D’une
seconde à l’autre, tous vos rêves, vos espérances
se brisent tel du cristal sur le sol.
Il écrit déjà la fin du début de votre romance. A
cet instant, vous désirez le détester. Un rien
vous fait penser à lui. Vous basculez entre la vie
et la mort. Vous en êtes consciente enfui en vous
mais vous préférez faire apparaître l’excusable.
Mais en fait ce placebo vous revoit à la
simplicité de la vie : un rire, un chat qui
ronronne, la pluie qui tombe,... Nul ne se
souvient de ces instants. Vous voulez le voir, lui
parler, l’entendre, le toucher mais vous êtes
prisonnière de votre mal être. Pour empirer les
choses, vous vous mettez à sangloter... Il
recommence sa vie sans vous.
Sa brève présence dans votre longue existence a été pour vous votre
premier amour inoubliable.
Et vous recherchez ce premier amour dans un autre homme ...
Mer 23 Août 2006, 22:50 par
joullia sur Parler d'amour
LA BEAUTE N'A PAS DE DEMEURE
Ma vierge indécente ce soir, quelle importance que tu sois invisible comme le Saint Esprit du ciel ?
L’Amour que je Te porte est comme la Perle enfermée dans un coquillage
Pur, discret et a l’abri des êtres a la jalousie immense.
La Beauté n’a pas de visage, je T’aime d’un Amour sans ombrage
Et Vers Toi seule mon esprit jette son cri.
Ecoute, ô bien-aimé !
je suis plus prés de toi que de toi-même, que ton âme, que ton soufle
je marche vers mon extérieu, est recherche dans les feuilles d’été, ton sein! fenêtre qui s’ouvre et dessine le ciel de nos nuits blanches et nues.
Et dans ce qui reste de l’aube, je marche vers mon intérieur, ou se cache dans mes rêves le feux de ton flambeau.
karim B
L’Amour que je Te porte est comme la Perle enfermée dans un coquillage
Pur, discret et a l’abri des êtres a la jalousie immense.
La Beauté n’a pas de visage, je T’aime d’un Amour sans ombrage
Et Vers Toi seule mon esprit jette son cri.
Ecoute, ô bien-aimé !
je suis plus prés de toi que de toi-même, que ton âme, que ton soufle
je marche vers mon extérieu, est recherche dans les feuilles d’été, ton sein! fenêtre qui s’ouvre et dessine le ciel de nos nuits blanches et nues.
Et dans ce qui reste de l’aube, je marche vers mon intérieur, ou se cache dans mes rêves le feux de ton flambeau.
karim B
Jeu 17 Août 2006, 21:48 par
ricko sur Histoires d'amour
De la terre et du ciel
Ma pensée court vers toi qui m’aime comme je suis et respecte le fragile. Toi l’homme fort si doux. Toi l’ami. Tu as le temps. Toile tendre posée sur ma vie. Toi qui dévoile mes nuits. Toi qui vient rire dans mes jours. Partager l’instant, l’unique. Je sais que tes mots vont venir me bercer encore et encore. Rien que des mots, légers, vulnérables. Ils ne cherchent rien d’autre qu’à être et se poser. Là. Le ressac. L’aube. La montagne. Mes doigts filent dans le courant fluide qui coule des monts, portés par le flux qui glisse subtil. Je n’attends rien. Mes doigts courent sur ton visage. Veulent-ils te voir ? Sont-ils curieux ? Ils t’espèrent déjà. Une feuille sur ma peau. Ton prénom ils le façonnent dans la glaise. A quatre temps, nous avons dessiné l’amour, déjà, sans un mot. Les mots mentent, ils trahissent et font pleurer. Nos rires ! Toi tu as dessiné sur mon coeur un sourire comme l’oiseau, tu lui a mis des ailes. Tu as effacé les pleurs. La liberté ne te fait pas peur. Toi, dans toute ta beauté transparence. J’aime la pureté qui habite ton coeur. Une fleur a poussé qui n’existait pas hier encore. Mes doigts s’en souviennent. La pointe du jour ne nous a pas blessés. Tes doigts mêlés aux miens, endormis.
Ven 11 Août 2006, 19:10 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Un reve
J’ai fait un doux reve ou tu venais me retrouver,
Ta bouche si tendre venait deposer sur mes levres, un doux baiser,
Tes mains si parfaites et douce caressaient mon visage,
Tu fermais les yeux pour encrer en ton souvenir mon visage...
J’ai pris lentement ta main et je l’ai placerr sur mon coeur
Et je sentai les battement puissants qui faisaient vibrer tout mon corp.
Nos âmes en fusion recouvraient nos corps de sueur.
Et nous nous abandonnions pour une nuit a notre fureur...
Ta peau etait si douce que mes mains ne pouvaient,
S’empecher de la toucher.
Ton regard etait si profond que mes yeux eblouis par tant de beauté
Se perdaient dans les profondeurs dans ton être si parfait.
Je t’avais enfin retrouve toi mon petit prince tant recherché...
Mais je savais que tu partirais a cause de mes peurs
La bas a des kilometres de moi et de mes peurs
Et il me reste que l’ecran de mes pensees
Pour revoir l’image de mon touareg tant aimé.
Ta bouche si tendre venait deposer sur mes levres, un doux baiser,
Tes mains si parfaites et douce caressaient mon visage,
Tu fermais les yeux pour encrer en ton souvenir mon visage...
J’ai pris lentement ta main et je l’ai placerr sur mon coeur
Et je sentai les battement puissants qui faisaient vibrer tout mon corp.
Nos âmes en fusion recouvraient nos corps de sueur.
Et nous nous abandonnions pour une nuit a notre fureur...
Ta peau etait si douce que mes mains ne pouvaient,
S’empecher de la toucher.
Ton regard etait si profond que mes yeux eblouis par tant de beauté
Se perdaient dans les profondeurs dans ton être si parfait.
Je t’avais enfin retrouve toi mon petit prince tant recherché...
Mais je savais que tu partirais a cause de mes peurs
La bas a des kilometres de moi et de mes peurs
Et il me reste que l’ecran de mes pensees
Pour revoir l’image de mon touareg tant aimé.
Mar 01 Août 2006, 22:28 par
kylliane sur Parler d'amour
Qui es-tu chère femme ?
Qui es-tu, chère femme ?
Chaque fois que je te vois, j’arrête d’écrire…
Chaque fois que tu me parles, le temps s’arrête…
Chaque fois que je vois tes lèvres, j’arrête de travailler…
Qui es-tu, chère femme ?
Tes lèvres sont le symbole de la vie…
Tes lèvres sont le symbole de l’amour…
Tes lèvres me rendent insomniaque…
Qui es-tu, chère femme ?
Je n’ai pas l’habitude de ne pas dormir…
Je n’ai pas l’habitude de ne pas travailler…
Je n’ai pas l’habitude que le temps s’arrête autour de moi…
Qui es-tu, chère femme ?
Tu es une sorcière…
Tu es un démon…
Tu es une fée…
Tu es un ange…
Tu es une déesse…
Qui es-tu, chère femme ?
Ces lèvres, ces dents, cette beauté…
Une vague Djerbienne…
Un couché de soleil Djerbien…
Un amour Djerbien…
Tu me manques plus que Djerba me manque…
Qui es-tu, chère femme ?
Ta bouche !
Ta bouche est d’une beauté envoûtante…
Ta bouche résume tout ce que les artistes veulent décrire…
Ta bouche fait vibrer Montmartre et ses artistes…
Ta bouche ressuscitera un jour Da Vinci…
Ta bouche fera oublier au monde sa Joconde…
Ta bouche a déjà sa place au Louvre…
Mais qui es-tu, chère femme ?
Mais qui es-tu, cher ange ?
Mais qui es-tu, chère déesse ?
Chaque fois que je te vois, j’arrête d’écrire…
Chaque fois que tu me parles, le temps s’arrête…
Chaque fois que je vois tes lèvres, j’arrête de travailler…
Qui es-tu, chère femme ?
Tes lèvres sont le symbole de la vie…
Tes lèvres sont le symbole de l’amour…
Tes lèvres me rendent insomniaque…
Qui es-tu, chère femme ?
Je n’ai pas l’habitude de ne pas dormir…
Je n’ai pas l’habitude de ne pas travailler…
Je n’ai pas l’habitude que le temps s’arrête autour de moi…
Qui es-tu, chère femme ?
Tu es une sorcière…
Tu es un démon…
Tu es une fée…
Tu es un ange…
Tu es une déesse…
Qui es-tu, chère femme ?
Ces lèvres, ces dents, cette beauté…
Une vague Djerbienne…
Un couché de soleil Djerbien…
Un amour Djerbien…
Tu me manques plus que Djerba me manque…
Qui es-tu, chère femme ?
Ta bouche !
Ta bouche est d’une beauté envoûtante…
Ta bouche résume tout ce que les artistes veulent décrire…
Ta bouche fait vibrer Montmartre et ses artistes…
Ta bouche ressuscitera un jour Da Vinci…
Ta bouche fera oublier au monde sa Joconde…
Ta bouche a déjà sa place au Louvre…
Mais qui es-tu, chère femme ?
Mais qui es-tu, cher ange ?
Mais qui es-tu, chère déesse ?
Lun 31 Juil 2006, 16:18 par
AsmodeE sur Parler d'amour
Espoire
Je ne perds pas espoir de voir
Même si je ne vois que du brouillard noir
Que quand je rêve d’une petite lumière étincelante de beauté
Je me réveille et en vérité il fait noir.
Comme j’ai toujours entendu dire,
L’espoir fait vivre,
C’est bien pour ça que j’en suis ivre.
Je suis persuadé
Que j’y arriverais avec du temps,
En tout cas je l’ai décidé
Je suis plus déterminée que jamais.
Même si par moment
Je m’en sors en pleurant,
Même si par moment
Je m’en sors en désespérant,
La plupart du temps,
J’y crois encore plus qu’avant
Mais ce soir le brouillard est si noir ....
Même si je ne vois que du brouillard noir
Que quand je rêve d’une petite lumière étincelante de beauté
Je me réveille et en vérité il fait noir.
Comme j’ai toujours entendu dire,
L’espoir fait vivre,
C’est bien pour ça que j’en suis ivre.
Je suis persuadé
Que j’y arriverais avec du temps,
En tout cas je l’ai décidé
Je suis plus déterminée que jamais.
Même si par moment
Je m’en sors en pleurant,
Même si par moment
Je m’en sors en désespérant,
La plupart du temps,
J’y crois encore plus qu’avant
Mais ce soir le brouillard est si noir ....
Lun 31 Juil 2006, 02:41 par
joullia sur L'amour en vrac
Et peut être quelque ritournelle
Comme l’ hirondelle qui se repose
Je n’arrêtrai jamais ma prôse
Pour tous mes enfants à venir
Je combatterai contre le pire
Et tiendrai en mon bec, retour
Le doux duvet qui du printemps
A permis à notre Prince Charmant
Je cite " Monsieur Julien Clerc "
De faire un Tabac en 68 avec Le Titre " La Cavalerie "
Et qui ne sait prendre Monture, peux joindre poliment, très poliment,
Sieur Barthabas qui lui toujours, a donné exemple de Beauté et de Respect, A l’ Ecole à Versailles, et doux vent, douces promenades.
Je n’arrêtrai jamais ma prôse
Pour tous mes enfants à venir
Je combatterai contre le pire
Et tiendrai en mon bec, retour
Le doux duvet qui du printemps
A permis à notre Prince Charmant
Je cite " Monsieur Julien Clerc "
De faire un Tabac en 68 avec Le Titre " La Cavalerie "
Et qui ne sait prendre Monture, peux joindre poliment, très poliment,
Sieur Barthabas qui lui toujours, a donné exemple de Beauté et de Respect, A l’ Ecole à Versailles, et doux vent, douces promenades.
Dim 30 Juil 2006, 18:14 par
Chogokinette sur L'amour en vrac
La rose, l'encolie et l'amour ...
Regardons la beauté d’une rose !
Elle qui est si aimée des amoureux ardents,
Elle qui a de merveilleuses senteurs de mille lieux,
Elle qui revêtit les toisons les plus différentes de la terre,
Elle qui conquit les coeurs mêmes les plus rudes,
Elle qui dévoile une délicatesse de facettes,
Elle qui sait s’éveiller au grès du vent et de la saison,
Elle qui évoque l’amour dans le monde,
Elle qui a ce langage universel,
Elle a qui on dédit tant de poème...
Regardons la beauté de l’ancolie !
Elle qui de fins pétales en forme de clochette,
Elle qui est si délicate et douce,
Elle qui s’éveille le jour et s’endort la nuit,
Elle qui n’a aucune odeur,
Elle qui vêtit peut de toison,
Elle qui repousse les admirateurs,
Elle qui qui dévoile sa beauté qu’a ceux qui prennent le temps de s’arrêter la regarder,
Elle si timide et si seul,
Elle qui évoque l’amour,
Elle qui s’est fait voler sa place,
Elle qui voudrait dire tant de belle chose,
Devons nous choisir la rose ou l’ancolie ?
La beauté intérieure ou extérieure ?
L’amour ou la haine ?
La vie ou la mort ?
Sachons que dans le langage des fleurs,
De multiples fleurs désignent l’amour,
Certaines plus jolies que d’autre,
Certaines avec plus de senteurs,
Mais au final ne faut’-il pas choisir la fleur qui nous correspond le mieux ?
Arretons de parler toujours de la rose qui peut être futile.
Un destin trace chaque destiné des fleurs comme le nôtre,
Qu’elle est donc la fleur qui me représente ? ....
Dim 30 Juil 2006, 09:09 par
joullia sur L'amour en vrac
Papillon
Un petit papillon.
De mille eclat
D’une fragilité extreme
Virevoltant. Timide. Hésitant. Téméraire.
Le papillon se pose delicatement
Sur tes lèvres qui sentent l’encolie.
L’encolie fleur des amours
Si pure et si discrette
Que la rose lui a volé la vedette
Papillon a su voir la vrai beauté
Pas celle du miroire
Mais celle du coeur et l’âme
Chatouilleux. il pose des baisers innocents
Un. Dix. Ou cent.
Mille et un si tu veux
Infiniment si tu le souhaites.
Lèvres mi-closes et si delicate
Qui sentent la l’encolie
Douce salive qui abreuve ma soif
Festin idilique et inoubliable
Yeux mi-ouverts
Qui savourent ce plaisir solitaire.
Affreusement beau. Affreusement tendre.
Papillon reve
Heureuse de penser que bientot ce reve sera realité
De mille eclat
D’une fragilité extreme
Virevoltant. Timide. Hésitant. Téméraire.
Le papillon se pose delicatement
Sur tes lèvres qui sentent l’encolie.
L’encolie fleur des amours
Si pure et si discrette
Que la rose lui a volé la vedette
Papillon a su voir la vrai beauté
Pas celle du miroire
Mais celle du coeur et l’âme
Chatouilleux. il pose des baisers innocents
Un. Dix. Ou cent.
Mille et un si tu veux
Infiniment si tu le souhaites.
Lèvres mi-closes et si delicate
Qui sentent la l’encolie
Douce salive qui abreuve ma soif
Festin idilique et inoubliable
Yeux mi-ouverts
Qui savourent ce plaisir solitaire.
Affreusement beau. Affreusement tendre.
Papillon reve
Heureuse de penser que bientot ce reve sera realité
Sam 29 Juil 2006, 16:32 par
joullia sur L'amour en vrac
Le faucon et l'hirondelle
Par une douce nuit d’été,
Ou scintiller mille astres bienveillants,
L’hirondelle ne s’attendait pas à vivre un moment pareil,
La rencontre d’un faucon,
Un faucon merveilleux avec un plumage exceptionnel,
L’hirondelle timide et peureuse,
Elle observa ce faucon discrètement,
Elle le trouve sincère, gentil, aimable,
Elle décela en lui quelque chose de différent,
L’hirondelle tomba sous le charme de cette beauté intérieur,
Qu’aucun autre oiseau ne possédait,
Une sorte d’aura si merveilleuse,
Que les doux chants de ce faucon,
Là fis a nouveau et espérer....
Par un coup de folie et d’audace,
La jeune hirondelle aux ailes brisées,
Lui échangea quelques chants,
Le faucon écouta le chant de l’hirondelle,
De longues nuits de chants et d’espoir débutaient,
Les ailes de l’hirondelle,
Semblaient d’un coup moins douloureuses,
L’hirondelle meurtrie par son passé,
À bien du mal a avancé dans la vie,
Elle a tendance a repousser le faucon,
Parce qu’elle a tant combattu avec son coeur,
son elle intérieures,
Le faucon voudrait la protégée et la chérire,
Le faucon promis à l’hirondelle que le corbeau,
Ne lui ferait plus de mal.
Par un jour d’été,
L’hirondelle décida de faire un pas de plus,
Pour démontre a quel point elle aime le faucon,
Le faucon ravi d’avoir ce petit pas,
Lui demanda un pas de plus,
Là l’hirondelle a ressenti ces ailes brisées,
Elle a pris peur,
Elle a demandé du temps,
Le faucon à mal prit son refus,
Le faucon est parti,
L’hirondelle pleure de maladie d’amour,
L’hirondelle a peur du corbeau qui va revenir,
La toute petite hirondelle face à ce corbeau,
Si mal veillant, méchant et pervers,
L’hirondelle pleure de désespoir,
L’hirondelle ve que le beau faucon revienne,
Elle demandait juste un peu de temps au faucon,
Le temps que l’orage passe,
Pour être sereine sur ces chants.
Le faucon a penser que l’hirondelle le repousser,
L’hirondelle pleure de désespoir et de peur,
L’hirondelle a juste besoin de temps....
L’hirondelle voudrait rejoindre le faucon,
L’hirondelle voudrait que ces ailes repoussent.
L’hirondelle voudrait que le faucon l’aime encore,
L’hirondelle voudrait faire son nid avec lui,
L’hirondelle est terrorisée,
Elle voudrait partir là ou le corbeau ne pourra pas la retrouver.
Ou scintiller mille astres bienveillants,
L’hirondelle ne s’attendait pas à vivre un moment pareil,
La rencontre d’un faucon,
Un faucon merveilleux avec un plumage exceptionnel,
L’hirondelle timide et peureuse,
Elle observa ce faucon discrètement,
Elle le trouve sincère, gentil, aimable,
Elle décela en lui quelque chose de différent,
L’hirondelle tomba sous le charme de cette beauté intérieur,
Qu’aucun autre oiseau ne possédait,
Une sorte d’aura si merveilleuse,
Que les doux chants de ce faucon,
Là fis a nouveau et espérer....
Par un coup de folie et d’audace,
La jeune hirondelle aux ailes brisées,
Lui échangea quelques chants,
Le faucon écouta le chant de l’hirondelle,
De longues nuits de chants et d’espoir débutaient,
Les ailes de l’hirondelle,
Semblaient d’un coup moins douloureuses,
L’hirondelle meurtrie par son passé,
À bien du mal a avancé dans la vie,
Elle a tendance a repousser le faucon,
Parce qu’elle a tant combattu avec son coeur,
son elle intérieures,
Le faucon voudrait la protégée et la chérire,
Le faucon promis à l’hirondelle que le corbeau,
Ne lui ferait plus de mal.
Par un jour d’été,
L’hirondelle décida de faire un pas de plus,
Pour démontre a quel point elle aime le faucon,
Le faucon ravi d’avoir ce petit pas,
Lui demanda un pas de plus,
Là l’hirondelle a ressenti ces ailes brisées,
Elle a pris peur,
Elle a demandé du temps,
Le faucon à mal prit son refus,
Le faucon est parti,
L’hirondelle pleure de maladie d’amour,
L’hirondelle a peur du corbeau qui va revenir,
La toute petite hirondelle face à ce corbeau,
Si mal veillant, méchant et pervers,
L’hirondelle pleure de désespoir,
L’hirondelle ve que le beau faucon revienne,
Elle demandait juste un peu de temps au faucon,
Le temps que l’orage passe,
Pour être sereine sur ces chants.
Le faucon a penser que l’hirondelle le repousser,
L’hirondelle pleure de désespoir et de peur,
L’hirondelle a juste besoin de temps....
L’hirondelle voudrait rejoindre le faucon,
L’hirondelle voudrait que ces ailes repoussent.
L’hirondelle voudrait que le faucon l’aime encore,
L’hirondelle voudrait faire son nid avec lui,
L’hirondelle est terrorisée,
Elle voudrait partir là ou le corbeau ne pourra pas la retrouver.
Jeu 27 Juil 2006, 18:54 par
joullia sur L'amour en vrac
Leçon de mon regard envers et pour Toi
Ce qu’est une Femme non jalouse car très Amoureuse
Etre esthète, c’est Aimer Fort son âme et celle de son homme, tout en prenant un plaisir partagé à remarquer de belles personnes.
C’est se sentir beaux à Nous Un, en toute confiance partagée, à s’émerveiller devant la beauté d’une femme ou d’un homme croisé.
Je te parle d’une baignoire, du physique, de musiques, d’amour Famille.
A Olivier Saënz, à Sa Famille, et à sa Belle Hélène.
Fannie.
Et, bien sûr à Saez.
Et ... Hop Hop Hop, On mange du Chocolat Nestlé!
Etre esthète, c’est Aimer Fort son âme et celle de son homme, tout en prenant un plaisir partagé à remarquer de belles personnes.
C’est se sentir beaux à Nous Un, en toute confiance partagée, à s’émerveiller devant la beauté d’une femme ou d’un homme croisé.
Je te parle d’une baignoire, du physique, de musiques, d’amour Famille.
A Olivier Saënz, à Sa Famille, et à sa Belle Hélène.
Fannie.
Et, bien sûr à Saez.
Et ... Hop Hop Hop, On mange du Chocolat Nestlé!
Mar 25 Juil 2006, 12:44 par
Chogokinette sur Un monde parfait
La Garonne
Mon cœur est ce bateau qui file lentement,
Il rêve à la Garonne sans trop savoir comment.
En elle, se reflètent les abords, les contours
Des choses et des êtres qui lui parlent d’amour,
l’approchent, la soumettent et se mirent en ses eaux,
Mais ivres ses colères, ses larmes sont amères,
Elle ne voit que des ombres de face ou de dos,
Mais pas une seconde ne trouve ce qu’elle espère,
Et ce sont des mégots et ce sont des déchets
Que les passants sournois aiment à lui lancer...
Mais toujours en secret, ses eaux puisent la force
De ne pas s’offenser de toutes ces entorses
A l’affront elle répond en donnant sa beauté.
La Garonne continue sa course solitaire
Elle sourit à l’amant qui ne fait que se taire.
Un beau jour on verra le ciel tout embrasé
Le soleil, tel un roi, baiser sa fiancée
Et de perles d’écume en perles de lumière
Leur union sera pure pour féconder la terre...
Il rêve à la Garonne sans trop savoir comment.
En elle, se reflètent les abords, les contours
Des choses et des êtres qui lui parlent d’amour,
l’approchent, la soumettent et se mirent en ses eaux,
Mais ivres ses colères, ses larmes sont amères,
Elle ne voit que des ombres de face ou de dos,
Mais pas une seconde ne trouve ce qu’elle espère,
Et ce sont des mégots et ce sont des déchets
Que les passants sournois aiment à lui lancer...
Mais toujours en secret, ses eaux puisent la force
De ne pas s’offenser de toutes ces entorses
A l’affront elle répond en donnant sa beauté.
La Garonne continue sa course solitaire
Elle sourit à l’amant qui ne fait que se taire.
Un beau jour on verra le ciel tout embrasé
Le soleil, tel un roi, baiser sa fiancée
Et de perles d’écume en perles de lumière
Leur union sera pure pour féconder la terre...
Lun 26 Juin 2006, 12:44 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Chicco ti amo
Qui est cette fille? Est-ce la femme de ta vie? Elle est belle... Tu as de la chance. Tu vas plutôt bien avec. Tes yeux verts s’accordent bien avec ses yeux bleus. Tes cheveux noirs s’entendent à merveille avec son blond soyeux. Elle est marrante, tu es sympa. Elle est belle, tu es mignon. Vous êtes fait l’un pour l’autre. Mais ce n’est pas aussi simple que ça. Par quoi êtes-vous passés? Quelle est votre histoire? Tu sais, le coup de foudre, on ne le rencontre qu’une seule fois.
Elle t’a déclaré sa flamme pour la première fois sur le mur de ta maison à Florence. Lorsque tu es passé à côté de son inscription, tu as tout de suite reconnu son écriture. Vous êtes allés à l’école ensemble, depuis la maternelle. Tu l’as croisée et elle t’a pris dans ses bras. Tu lui as dit: “ Ti amo Elsa”, et tu lui as posé un doux baiser sur ses jeunes lèvres, pour la première fois.
Tu te souviens de ces années où tu parcourais ces ruelles avec elle, main dans la main. Enfant inconscient de l’avenir. Insouciant de L’amour. Tu l’aimais pourtant.
L’autre jour, tu as fait l’amour pour la première fois avec elle. Vous avez savouré ce moment avec une intensité telle que vous saviez qu’il ne pourrait se reproduire. Ensuite, elle s’est blottie tout contre toi et s’est endormie, sa tête contre ta tête, ta main sur son sein. C’est tellement beau une femme qui dort. Vous ne connaîtrez plus jamais pareil moment dans votre vie, celui où vous vous êtes donnés l’un à l’autre pour la première fois.
Tu l’aimes car elle te parle, te comprend. Tu l’aimes parce qu’elle ne se soucie pas du petit tracas quotidien. Elle t’aime car tu est le seul qui parvient à la faire vibrer. Elle t’aime car tu n’es pas un autre. C’est tellement beau l’amour!
Le lendemain quand tu te réveilleras, elle dormira encore. Sa tête sera toujours sur ton épaule, et elle aura remis ta main sur son sein. Tu lui glisseras un baiser dans le cou et tu te lèveras doucement pour ne pas la réveiller. Puis tu viendras t’asseoir sur le rebord du lit, à quelques centimètres d’elle et tu contempleras le miracle de sa beauté. Tu admireras sa grâce, son corps jeune et nu, la splendeur de ses formes et la pureté de son visage. C’est tellement beau un ange qui dort!
Elle s’apercevra de ton absence auprès d’elle et ouvrira les yeux. Tu te pencheras vers elle, culpabilisant son réveil, et tu l’embrasseras, de toute la tendresse dont tu es capable. Elle te rendra ton désir et vos corps s’entremêleront de nouveau. Vous voilà drogués pour l’éternité, vous voilà dépendants l’un de l’autre. Vous avez refoulé votre duplicité dans l’unité.
Elle t’a toujours aimé et tu l’as toujours su. Elle a vu dans tes yeux, dès le premier regard qu’elle a porté sur toi, que le destin vous réunirait. La première fois que tu l’as vue, tu as fondu en larmes. Tu ne savais pas que l’amour existait. Tu étais retranché dans ta solitude, ton désarroi. Plus pervers que ta colère contre ce monde que tu haïssais. Tu avais perdu tout espoir de rencontrer un jour ce qui te permettrais de sortir de ta déprime.
Elle t’as transformé. Tout comme tu l’as transformée. Elle t’aime. Cela suffit. Il n’y a rien d’autre de plus important. Vous êtes identiques. Son visage est ton visage. Sa force est ta force. Tant que vous serez en harmonie l’un avec l’autre, dans la fidélité de votre amour, dans les liens de vos cœurs. Aime-là. C’est ton souhait, ton avenir.
Lorsqu’elle te prend dans ses bras, lorsque sa tête se pose sur ton épaule pour se reposer d’être immortelle, tu tombes dans les méandres divinement étourdissants de l’amour. Mais tout cela n’est rien comparé au baiser qu’elle te donne, si tendre, si beau... Des lèvres si douces, un parfum si envoûtant. A ce moment où son visage est collé au tien, sans un frein, sans un soupir, dans une mélopée de désir si intense qu’enlever tes lèvres serait synonyme de blasphème.
Et quand vient le jour où elle t’arrive toute triste, toute fatiguée. Lorsqu’elle te prend dans ses bras, et que des larmes coulent le long de ses joues si innocentes, c’est comme si d’un coup brusquement le soleil cessait d’exister, comme une fleur qui fanerait, comme une guerre briserait la paix. Alors, sous ses sanglots, le ciel se couvre, la terre se fâche et la vie se meurt.
Alors, te dis-tu, pourquoi prendre un tel chemin? Pourquoi chercher ailleurs ce que l’on a déjà? La complexité est inutile et ridicule. La simplicité est là et ton amour fera le reste.
Regarde le monde et dis-toi que tu aurais pu en faire parti. Tu est face à lui. Tes amis passent à tes côtés pour basculer dans la conformité de l’adulte, cet univers où la routine a remplacé l’amour. Et zou… entrez dans la danse! Tu ne veux pas de cette vie. Elsa et toi êtes en parfaite harmonie. Ta gloire s’allume en elle. Votre amour est-il commun? Sans doute, car vous vous aimez à en mourir. Tu tiens à elle plus que tout, par ta main qui se pose sur son sein, par sa tête qui se trouve sur ton épaule. Tu te plais dans la chaleur de ses yeux bleus. Embrassez-vous! Votre amour, lui, embrasse votre humilité.
Elle t’a déclaré sa flamme pour la première fois sur le mur de ta maison à Florence. Lorsque tu es passé à côté de son inscription, tu as tout de suite reconnu son écriture. Vous êtes allés à l’école ensemble, depuis la maternelle. Tu l’as croisée et elle t’a pris dans ses bras. Tu lui as dit: “ Ti amo Elsa”, et tu lui as posé un doux baiser sur ses jeunes lèvres, pour la première fois.
Tu te souviens de ces années où tu parcourais ces ruelles avec elle, main dans la main. Enfant inconscient de l’avenir. Insouciant de L’amour. Tu l’aimais pourtant.
L’autre jour, tu as fait l’amour pour la première fois avec elle. Vous avez savouré ce moment avec une intensité telle que vous saviez qu’il ne pourrait se reproduire. Ensuite, elle s’est blottie tout contre toi et s’est endormie, sa tête contre ta tête, ta main sur son sein. C’est tellement beau une femme qui dort. Vous ne connaîtrez plus jamais pareil moment dans votre vie, celui où vous vous êtes donnés l’un à l’autre pour la première fois.
Tu l’aimes car elle te parle, te comprend. Tu l’aimes parce qu’elle ne se soucie pas du petit tracas quotidien. Elle t’aime car tu est le seul qui parvient à la faire vibrer. Elle t’aime car tu n’es pas un autre. C’est tellement beau l’amour!
Le lendemain quand tu te réveilleras, elle dormira encore. Sa tête sera toujours sur ton épaule, et elle aura remis ta main sur son sein. Tu lui glisseras un baiser dans le cou et tu te lèveras doucement pour ne pas la réveiller. Puis tu viendras t’asseoir sur le rebord du lit, à quelques centimètres d’elle et tu contempleras le miracle de sa beauté. Tu admireras sa grâce, son corps jeune et nu, la splendeur de ses formes et la pureté de son visage. C’est tellement beau un ange qui dort!
Elle s’apercevra de ton absence auprès d’elle et ouvrira les yeux. Tu te pencheras vers elle, culpabilisant son réveil, et tu l’embrasseras, de toute la tendresse dont tu es capable. Elle te rendra ton désir et vos corps s’entremêleront de nouveau. Vous voilà drogués pour l’éternité, vous voilà dépendants l’un de l’autre. Vous avez refoulé votre duplicité dans l’unité.
Elle t’a toujours aimé et tu l’as toujours su. Elle a vu dans tes yeux, dès le premier regard qu’elle a porté sur toi, que le destin vous réunirait. La première fois que tu l’as vue, tu as fondu en larmes. Tu ne savais pas que l’amour existait. Tu étais retranché dans ta solitude, ton désarroi. Plus pervers que ta colère contre ce monde que tu haïssais. Tu avais perdu tout espoir de rencontrer un jour ce qui te permettrais de sortir de ta déprime.
Elle t’as transformé. Tout comme tu l’as transformée. Elle t’aime. Cela suffit. Il n’y a rien d’autre de plus important. Vous êtes identiques. Son visage est ton visage. Sa force est ta force. Tant que vous serez en harmonie l’un avec l’autre, dans la fidélité de votre amour, dans les liens de vos cœurs. Aime-là. C’est ton souhait, ton avenir.
Lorsqu’elle te prend dans ses bras, lorsque sa tête se pose sur ton épaule pour se reposer d’être immortelle, tu tombes dans les méandres divinement étourdissants de l’amour. Mais tout cela n’est rien comparé au baiser qu’elle te donne, si tendre, si beau... Des lèvres si douces, un parfum si envoûtant. A ce moment où son visage est collé au tien, sans un frein, sans un soupir, dans une mélopée de désir si intense qu’enlever tes lèvres serait synonyme de blasphème.
Et quand vient le jour où elle t’arrive toute triste, toute fatiguée. Lorsqu’elle te prend dans ses bras, et que des larmes coulent le long de ses joues si innocentes, c’est comme si d’un coup brusquement le soleil cessait d’exister, comme une fleur qui fanerait, comme une guerre briserait la paix. Alors, sous ses sanglots, le ciel se couvre, la terre se fâche et la vie se meurt.
Alors, te dis-tu, pourquoi prendre un tel chemin? Pourquoi chercher ailleurs ce que l’on a déjà? La complexité est inutile et ridicule. La simplicité est là et ton amour fera le reste.
Regarde le monde et dis-toi que tu aurais pu en faire parti. Tu est face à lui. Tes amis passent à tes côtés pour basculer dans la conformité de l’adulte, cet univers où la routine a remplacé l’amour. Et zou… entrez dans la danse! Tu ne veux pas de cette vie. Elsa et toi êtes en parfaite harmonie. Ta gloire s’allume en elle. Votre amour est-il commun? Sans doute, car vous vous aimez à en mourir. Tu tiens à elle plus que tout, par ta main qui se pose sur son sein, par sa tête qui se trouve sur ton épaule. Tu te plais dans la chaleur de ses yeux bleus. Embrassez-vous! Votre amour, lui, embrasse votre humilité.
Jeu 15 Juin 2006, 10:34 par
Neus sur La première fois
Ecrire sur beauté
Farfadets, réveillez l'Enchanteur de l'amour, L'ouragan change toute la donne, N'avez vous jamais aimé à un point inimaginable ?, LA BEAUTE N'A PAS DE DEMEURE, De la terre et du ciel, Un reve, Qui es-tu chère femme ?, Espoire, Et peut être quelque ritournelle, La rose, l'encolie et l'amour ..., Papillon, Le faucon et l'hirondelle, Leçon de mon regard envers et pour Toi, La Garonne, Chicco ti amo, Il y a 224 textes utilisant le mot beauté. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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