L'amour est-il un crime ? chapitre 4

Kikou, je remercie grandement inlove pour ses commentaires qui me font vraiment plaisir, donc sans plus attendre voici le chapitre 4.

Chapitre 4 : Exposé et humiliation

Point de vue Haruka.

Quelques jours plus tard avant la date butoir de l’exposer de la classe B-5 c’est à dire la mienne, je me retrouve à la maison dans la cuisine, en train de préparer le repas de ce soir. Au menu spécialité japonaise onigiris porc au caramel et sushi. Michiru se trouvait dans le salon en train de terminer son travail. Je met le riz à cuir 5 à 10 minutes pas plus, et un torchon à la main je me dirige vers ma douce.

Il est vrai que depuis que je lui avait délivré mes sentiments se que je ne fait pas tout les jours nous étions beaucoup plus proche, et cela me rendait très heureuse. Je m’avance vers ellle et enroule son cou lui posant un doux baiser sur sa joue.

Moi – Qu’es ce que tu fais ?
Michiru – je termine l’exposé pour demain, et je dois t’avouer Haru que sa me fait légèrement peur de devoir le réciter devant tout le monde.

Mon sourire s’agrandit un peu plus, j’aimer particulièrement quand elle me trouvait des petit surnom comme celui-là, sa me rendait si heureuse. Je pose le torchon sur la table, et vint m’avancer un peu plus, caressant tendrement ses épaules.

Moi – et de quoi aurais tu peur ?
Michiru – bin on doit réciter l’exposer devant toute la classe. Et le regard des autre me fait douter de mes capacités.
Moi – eh … Il n’y aura que les élèves de notre classe, et je serait la seule pro.fe.ss.eur présente ici !
Michiru – n’empêche sa me fait peur !
Moi – tu veux me le réciter pour t’entrainer un peu ?
Michiru – oui pourquoi pas, de toute manière je les terminé, mais promis tu rigole pas !
Moi – tututu … Pourquoi rigolerais-je de ton travail chaton, je sais que tu en est capable, aller va te mettre derrière la table basse je t’écoute et répond si il y a des questions.
Michiru – merci Haru.

Elle a tendrement posé ses lèvres sur les miennes, m’embrassant avec douceur. Je répond délicatement à son baiser, et la libera afin qu’elle puisse commencer.

Michiru * aller ta déjà surmonter bien plus que sa *

je la voie respirer un grand coup et sa douce voix résonne :

Michiru - le titre qui me semblais le plus aproprier pour ce sujet est parlons librement d’amour, avant toute chose, pour toi c’est quoi « l’amour »
Moi – eh bien c’est ressentir de l’amour et de la tendresse pour une personne, c’est se sentir attirer par cette dernière.
Michiru - très bien, c’est très intéressant, mais il faut savoir une chose... c’est que malgré les differences, chacun d’entres nous ici à le droit d’en bénéficié, que ce soit entre deux hommes , deux femmes, ou bien alors entre un homme et une femme.

Je sourit de plus belle, c’est vraiment très bien en plus sa voix est claire et elle articule parfaitement entre chaque mots, et je ne dis pas sa parce ce que j’en suis éperdument amoureuse.

Michiru - il faut savoir aussi, que l’amour est important, que malgré les choix, les décéptions, ce sentiment qui vous procure une sensation de bonheur, est toujours la pour vous aidé dans la vie de tout les jours. maintenant je vais prendre un exemple, deux jeunes filles qui sont ensemble aurons beaucoup plus de facilité à ce dire les choses, car le plus souvent, ont peut constater que dans un couple tout à fait ordinaire, il y a quelques petites tensions, la femme se demandera le plus souvent, si elle peut se confier sans que son conjoint ne se mette en colère, et vis versa. pour ce qui est des garçons, ils ne pourrons pas voir la chose de cette façon, puisque un couple formé de deux hommes, sera aussi une épreuve... Ils chercherons mutuellement, à savoir si les sentiments éprouvés sont réel et sincère, mais le ressentit est tout à fait le même qu’un amour partagé entre un homme et une femme. Parlons librement d’amour, devrais nous aider, à combattre nos peurs, nos questions les plus intime, et même le vide que nous pouvons ressentir. alors... Peut importe la situation quand il s’agi d’amour l’important avant tout, c’est de pouvoir donner à l’être aimé ce que nous ressentons au plus profond de notre cœur, car un couple d’homme ou bien de femme, ne doit pas être vue comme un crime, mais plutot comme un couple tout se qu’il y a de plus normal, sa aura beau choquer beaucoup de monde, mais l’amour ressentit de cette manière est tout à fait légitime. Pour ma part, je dirais que ce sentiment, est une douce caresse qui nous éfleur du bout du doigts mais qui nous fait en même temps agoniser, il n’est pas à prendre à la légère car comme nous, il est tout aussi fragile que du cristal, tout comme les sentiments que l’ont peut ressentir.

Je ne sais pas quoi dire, c’est … Extraordinaire ce vocabulaire qu’elle détien à a peine 17 ans. Je la dévisage en souriant, buvant encore ses paroles que je trouve juste et belle.

Moi – chapeau … Alors là je m’incline, c’était parfait Michiru, tu n’as vraiment pas à avoir peur, c’est … Vraiment je ne trouve pas mes mots tu as un vocabulaire très enrichi et s’est vraiment agréable de t’écouter.
Michiru – c’est vrai ? Merci.

Elle c’est dirigé vers moi, et je la prit tendrement dans mes bras afin de la câliner. La mettant sur mes jambes, j’enroule son dos et de ma main droite j’écarte quelques mèches bleutée de ses yeux et descend à sa joue en une caresse.

Moi – c’était parfait, je suis fière de toi !
Michiru – merci Haru …

Ont se sourit, et tout en allongeant ses bras sur mes épaules nos lèvres s’unirent dans un doux et tendre baiser. Je monte ma main à son visage et lui caresse la joue, la serrant aussi fort que je le pouvais contre moi. Bien qu’elle soit de caractère timide j’étais heureuse de savoir qu’elle partagé le même sentiment que moi.

Je sent une de ses mains se poser sur mon visage et ses doigts s’amusent sur ma paumette. Je l’aime c’est dingue tout se que l’ont peut ressentir quand l’amour nous frappe. Soudain je senti quelque chose de doux et chaud à la fois se qui eu pour effet de provoquer un grand huit à mon cœur.


C’est sa langue qui s’amuse avec la mienne, et je vint jouer amoureusement avec sa partenaire. En fin de compte je suis bien heureuse d’avoir accepter ce poste de professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géographie, car j’ai pue avoir ce bonheur de la rencontrer, et d’éprouver de nouvelles émotions.

On se décolent doucement, mais on dirais que ses lèvres ne son pas du même avis, elle continue de m’embrasser, et cela me rend encore plus heureuse. Je vint caresser son front avec le mien, caressant tendrement sa joue. Nos yeux se son rencontrés et ne se détache plus.


Moi – quand cessera tu … De me rendre folle ?
Michiru – jamais … Je … Oh Haruka.
Moi – chuut … Je sais !
Michiru – dis moi, et si … Et si tu me parler de toi ?
Moi – de moi ? Et que voudrais tu savoir ?
Michiru -se que tu aimes, se qui te passionne, se que tu fais de tes journées ou tes soirées, tes goût.

Je sourit, je caresse sa joue, et lui dépose un légé baiser sur ses lèvres.

Moi – dans ce cas … Je vais recommencer depuis le début alors !
Michiru – oui …

Mes doigts descendent à ses lèvres, et je lui caresse la dévisageant avec amour.

Moi – eh bien … Je m’appelle Haruka Tenoh j’ai 23 ans, et suis née un 2 novembre 1990, je suis passionné de dessin et lorsque je m’ennui je peint. J’aime cuisiner et regarder un bon film d’horreur. Depuis que je suis petite, mes parents ne me fournissait aucunes tendresse, bien qu’ils ne voulais pas se séparer ils passé leur temps à se disputer. A cause de se manque, je suis très vite devenu garçon manquer, je rester avec les garçons à jouer au foot ou au tennis. Bien que ma masculinité ne m’est pas quittée au file des années, ma couleur favorite est le bleu ainsi que le violet. Malgré les apparences, je suis quelqu’un de très attachante, de nature câline et rêveuse, quand j’aime quelque chose ou même quelqu’un, je fait tout pour la garder auprès de moi.

Je la voie me sourire, sa main caresse la mienne, et ses yeux azur caresse les miens qui pétille de bonheur. Mon cœur ne cesser de cogner violemment contre ma poitrine, j’étais atiré par elle, et j’avais le désir de pouvoir commencer une histoire avec elle sérieuse et sincère.

Michiru – tu est tellement belle … Merci d’avoir était sincère !
Moi – ce n’est rien voyons … Et toi alors, parle moi de toi.
Michiru – tu connais déjà tout.
Moi – non, j’ignore se que tu aimes, se qui te passionne, se que tu attends maintenant !
Michiru – eh bien, je suis Michiru Kaio j’ai 17 ans et suis née un 21 octobre 1996 à Venise. J’ai deux passions dans la vie, la musique et l’écriture, j’écris depuis 11 ans maintenant, et je fait du violon depuis l’âge de 10 ans. Je deteste les personnes qui se moque d’autrui, et qui ne prenne pas une relation au sérieuse. Je fait attention sur qui je tombe car une fois que je connais la personne, j’ai tendance à m’y attacher un peut trop vite et à me faire de faux espoires. J’adore les films d’amour et je rêve de traverser le grand tapis rouge en robe . Mes couleurs préférés sont le rouge le vert et le bleu, se que j’attends maintenant ? C’est que malgré mon jeune âge, je cherche à batir une relation sincère et durable avec la personne que j’aime plus que tout.

Tout au long de son monologue, le petit sourire que j’avais au coin des lèvres c’était agrandit au file que je buvait avidement ses paroles, je lui caresse la joue, et étant de nature curieuse, je lui demande d’une voix tendre :

Moi – et … Cette personne que tu aimes, à quoi ressemble t-elle ?
Michiru – eh bien … C’est une très jolie jeune femme de grande taille et aux cheveux blond court. Ses petit yeux en amande de couleur émeraude, sa voix douce mais masculine à la fois me fait frissonner de plaisir. Depuis que je la connais elle envahie tout mon univers et mon cœur, il y a un mois de sa lorsque j’ai eu mon accident, je lui est donné mon premier baiser, et même si nous avons un statue assez éloigné l’une de l’autre, je l’aime et en suis éperdument amoureuse !

Mon rythme cardiaque deviens plus rapide et violent, sans qu’elle ne sent rende compte, elle venais de me dire qu’elle m’aimer, et qu’elle est éperdument amoureuse de moi. Je me sent tellement bien, je lui embrasse le nez, et écarte quelques mèches de ses yeux, je l’aime, j’en suis eperdument amoureuse et je ne peux pas me mentir. Je lui soulève le menton et caresse ses lèvres, et d’une voix douce je lui murmure :

Moi – alors je vais te demander une chose … Et une seule.
Michiru – je t’écoute !
Moi – cette relation que tu veux batir … Accepterais tu de la construir avec moi ? Car je n’attend que sa … Construir et vivre une belle histoire d’amour avec la personne que j’aime !
Michiru – oui … C’est avec grand bonheur que j’accepte … Haruka je t’aime.

Sa y’est elle me la dit, je suis vraiment très heureuse, je lui caresse la joue, et m’approche de ses lèvres un peut plus.

Moi – moi aussi je t’aime, et il n’y a que toi qui détiens les clés de mon cœur !
Michiru – alors je vais de suite fermer à double tour et jeter les clés dans l’eau comme sa, tu ne sera plus jamais loin de moi !

Je sourit de nouveau, et posa mes lèvres sur les siennes. A cet instant je ne sais pas se qui se passer, mais ce que je c’est en revanche, c’est que je ne la laisserais plus s’enfuir. Mes bras la serre d’avantage et mes lèvres l’embrassent le plus tendrement possible.

On se détachent doucement, et je lui murmure à douce voix :


Moi – je ne te laisserais plus partir … Oh Michi je t’aime !
Michiru – je t’aime bien plus que sa encore.

On se sourit, je l’embrasse de nouveau, et après ce petit moment tendre, nous allons manger. Michi parti mettre la table, et moi je me dirige ver le cuiseur rêveuse, et oui même les professeurs ont le droit de rêver. Je m’installe face à elle et commence à nous servirent. Une fois fait, je la regarde avec douceur, lui prend la main et lui dis :

Moi – J’espère de tout mon cœur que sa durera !
Michiru – oui, ne t’inquiète pas … Et puis, de toute manière, je ne suis pas prête à te laisser partir.

Je t’aime … C’est dingue çà quel point je t’aime. C’est donc avec le sourire aux lèvres et le cœur rempli de bonheur que je mangea avec Michi.

Michiru – dis une question !
Moi – oui quoi donc ?
Michiru – l’exposé, il compte pour la moyenne général de ce semestre ?
Moi – oui, c’est une note global que je vous atribuerais en fin de semaine.
Michiru – ouais du coup faut pas que je me plante pour l’exposé et le contrôle d’italien.
Moi – bah, j’ai confiance, et tu est italienne non ?
Michiru – oui oui !
Moi – dans ce cas tu n’auras aucun mal à faire ce devoir.
Michiru – un vrai professeur, mais quand on ne parle plus sa langue maternelle, parfois sa savère être difficile de se remettre dans le bain.
Moi – c’est bien vrai !

Ont se sourit, et nous continuâmes de manger. A la fin de ce dernier, je me lève, et alors que ma douce mettait le sal dans le lave vaisselle, je me dirige à l’étagez pour prendre une bonne douche.

Avec toutes ses émotions ressenti au cour de ce mois ci je ne sais plus tellement ou me donner de la tête. Je ferme la salle de bain à clé, et commence à me dévêtir, allumant l’eau chaude au passage. Je me glisse à l’intérieur de la baignoire, et laissa mon corsps se détendre sous l’eau.


Mes yeux se ferment et mon visage laisse place à un petit sourire, je laisse mes doigts glisser le long de mes lèvres, sentant encore le délice de sa bouche contre moi.

Dire qu’elle était avec moi, que je pouvais la prendre dans mes bras et la câliner comme bon me semble. Sa me rendait si heureuse mais sa me faisait peur à la fois, peur de devoir souffrir, et de ne pas pouvoir supporter la séparation. Mais bon à quoi je pense moi, bien sûr que je ne la quitterais pas, je fairait tout pour pouvoir la garder entre mes bras. Quand je fut entièrement propre et détendut, je coupe l’arrivée d’eau, et m’enroule dans une serviette sentant le froid me gagner.


Je sort de la baignoire et commence à me sécher de toute part. J’enfile par la suite un bas de pyjama blanc, ainsi qu’un tee-shirt de même couleur. Je saisit le sèche cheveux branche la machine et active le soufflement. Vraiment je ne sais pas quoi penser, je n’arrête pas de sourire bêtement comme si un enfant venais de reçevoir une sucette.

Avec l’aide de mes doigts je met en place quelques mèche de mes cheveux fait ma toilette, et quand j’ouvrit la porte la plus jolie des pierres précieuse se dressa devant moi.

Moi – tu vas à la douche ?
Michiru – oui.

Elle me sourit m’embrasse délicatement les lèvres et vint s’enfermer dans la salle de bain, alors que moi, je me suis diriger l’air rêveur vers ma chambre. Je commencce à fermer les volet, met au pied d’une chaise mon habil pour demain, et règle mon réveille, demain nous ne commençions cas 11 heures, il est donc inutile de se lever tôt.

Je m’installe sous mes draps, et mettant mes bras derrière ma tête, je contemple le plafond qui na rien d’extraordinaire en soie, mais mes pensé étaient toute relier à Michiru.

J’entend ma porte s’ouvrir, et tourne automatiquement la tête vers la gauche, et surprise je vit Michi en petite robe de nuit noir qui mettait dois-je l’avouer ses jolie forme en valeurs, elle a posé ses affaires dans un coin plié, et c’est dirigé vers moi avec un sourire.



Je fut surprise mais heureuse de voir qu’elle se mettait sous les draps, car d’habitude c’est dans la chambre d’ami qu’elle réside.


Michiru – tu dois trouver sa étrange, mais avec se qui c’est passé entre nous ce mois ci j’ai envi de me rapprocher encore plus de toi.

Je sourit, et vint enrouler son dos de mes bras, montant une de mes main à sa chevelure. Sa tête se met face à la mienne posé sur l’oreiller, nous étions très prêt l’une de l’autre, elle glissa sa main gauche à mon dos, et son corps se rapproche du mien.

Je lui caresse la joue et la dévisage avec tendresse.


Moi – ne t’inquiète pas, sa ne me dérange absolument pas !
Michiru – tu est tellement belle. Ses lèvres se pose sur mon nez.

Elle est vraiment adorable, j’approfondit un peu plus ma caresse sur sa joue, et lui murmure en lui offrant un doux sourire :

Moi – et toi, tu est vraiment très jolie et adorable qui plus est.

Elle me sourit, et ne pouvant resister à la tentation je vint sceller mes lèvres aux siennes. Ses bras se son allonger sur mes épaule, alors que ma tête se pose sur son bras je l’approche un peu plus de moi et vint la serrer tendrement contre moi et lui caresse le dos. Nos langues se trouvent et se caresse, nos jambes s’emêlent l’une dans l’autre, nos corps se frictionnent et se caresse.

Michiru – mh …

Mon cœur bondit dans ma poitrine en entendant ce son si sensuelle venant d’elle, je lui faisait dont de l’effet. Cela m’adouci encore plus et je vint approfondir notre baiser, celui-ci devint plus tendre et langoureux. C’est un vrai délice, et je me sent si bien comme sa, j’ai envie que le temps s’arrête, et nous emprisonnent.

On se détachent doucement, j’emmène ma main à son menton et le lui soulève afin de croiser ses yeux qui son vraiment magnifique. Sa main se met à caresser ma joue, et elle me sourit, un sourire que j’aimer.

Michiru – oui, de tout mon cœur j’espère que sa va fonctionner entre nous … Car, je t’aime vraiment beaucoup Haru.
Moi – mais moi aussi, je t’aime vraiment très fort, et ne souhaite qu’une chose pouvoir te rendre heureuse et te voir sourire mon ange.
Michiru – Haruka …
Moi – chuut.

Je lui caresse la lèvres, et vint lui poser un second baiser avant d’éteindre complètement les lumières. Je lui caresse doucement sa cheveulure et lui murmure tendrement.

Moi – bonne nuit chaton à demain.
Michiru – à demain Haru !

Ses lèvres se sont déposés sur mon cou, se qui me fit sourire, je lui embrasse le front et m’endormie serrer contre la femme que j’aime.

Le lendemain, au alentours de sept heure, mon portable se mit à sonner, et encore endormie, j’essaie de l’atteindre, mais quelque chose m’en empêche. Je baisse mon regard encore embué, et remarque avec douceur que c’était Michi qui dormais contre moi. J’éteins mon téléphone que j’eu réussi à attraper, et vint reposer ma tête sur l’oreiller, mêlant au passage mes doigts dans la chevelure bleutée de ma douce.

Un petit bruit se fit entendre, sa provenais du téléphone de Michi. Je voie cette dernière tendre son bras et tater le meuble afin de localiser l’objet. Une fois en main, elle appuie sur décrocher, et porte le cellulaire à son oreille
.

Michiru – oui …
Cléo – ou mais c’est que tes encore dans le cirage ma pauvre !
Michiru – hm … T’abuse Cléo, il est que sept heure du mat.

Je sourit et la voie se redresser, elle se frotte les yeux et vint par la suite s’étirer. Qu’elle est belle. Je continue de l’observer tenant ma tête avec ma main gauche un sourire aux lèvres.

Michiru – je t’aime mais s’teu plais laisse moi dormir !
Cléo – mais moi aussi je t’aime. Au faite comment vas ton professeur ?
Michiru – pourquoi cette question ? Elle doit dormir.
Cléo – mais tu est bien chez elle non ?
Michiru – oui mais moi je suis dans le salon !
Cléo – le salon ?
Michiru – je te rappel que je ne peux pas monter les escaliers avec ma hanche !
Cléo – ah oui c’est vrai, sa te fait encore mal ?
Michiru – oui, et j’ai l’impression que le traitement que je suis n’a aucun effet, j’ai toujours aussi mal.
Cléo – bah va falloir retournr chez le médecin !
Michiru – je croix aussi oui, sa serait pas une mauvaise idée !

Elle vint s’allonger de nouveau, et ses yeux croisèrent les miens. Je lui sourit, emène ma main à sa joue et la caresse doucement. Je la voie qui s’approche de moi, et sa main alla se poser sur ma joue. On se sourit, et je vint lui déposer un légé baiser.

Cléo – dis, je peux te poser une question !
Michiru – oui vas y.
Cléo – tu compte lui dire quand ?
Michiru – de quoi ? Et à qui ?
Cléo – ben à ton professeur, et lui dire que tu l’aimes.
Michiru – oh mais arrête de dire que c’est mon professeur, et je c’est pas moi.

Ah, on dirais que sa parle de moi, je lui caresse la joue et lui sourit.


Michiru – bon, Cléo on se parle au lycée.
Cléo – bon … Ok !
Michiru – à plus.

Et sa comunication se coupa. Je lui écarte quelques mèches, et sa voix se met à résonner dans la pièce.

Michiru – elle me tuera un jour moi je vous le dis … J’aurais préféré un réveil beaucoup plus doux que sa voix qui me hurle dessus.
Moi – ah … Et quel genre de réveil voudrais tu ?
Michiru – ben … Me réveiller dans les bras de celle que j’aime par un câlin là c’est parfait.
Moi – dans ce cas … Bonjour mon amour, bien dormis ?
Michiru – oui, merveilleusement bien contre toi !

Je lui sourit tendrement, lui tapote le bout du nez, et c’est en riant que nos lèvres s’unirent dans un doux et délicat baiser. Je vint la prendre dans mes bras, et laisse ses dernier entourer son dos. Ses bras s’allongent sur mes épaules, et son corps se presse tendrement contre le mien. Nos langues se trouvent et se caresse, créant une danse endiablé mais délicieuse.

Je me sent tellement bien avec elle, j’ai envie de la protéger et la chérir tendrement. Je l’aime et me sent vraiment libre, je lui caresse la joue, et monte un peut plus pour être à sa hauteur, et approfondit notre baiser en allant lui morde amoureusement sa lèvres inférieur, mon cœur bat si vite, le désir que je ressent pour elle devient de plus en plus fort, mes gestes se font plus tendre, ainsi que mes lèvres qui deviennent avide de sa peau et amoureuse.

En manque d’oxygène, on se détachent doucement l’une de l’autre, mon front caresse le sien et mes yeux la dévisage avec tendresse.

Michiru – sa … C’est un réveil qui me plais !

Je me met un sourire, je lui caresse la joue, et embrasse son nez.

Moi – dans ce cas, réveillons nous comme sa tout les matins.
Michiru – avec grand plaisir !

On se fixent longuement, et Michi vint se lover dans mes bras, sa tête reposant sur mon cou. Je lui caresse les cheveux et la serre contre moi, il nous resté encore pas mal de temps avant de décoler. Et puis … Cette tendresse qu’elle m’offre à chaque fois qu’elle m’embrasse ou me regarde elle est vraiment agréable j’ai l’impression de revivre.

Michiru – je t’aime.
Moi – moi aussi mon cœur !

Je lui soulève le menton et la dévisage avec douceur, caressant sa joue avec mon pouce.

Moi – je suis tellement heureuse !
Michiru – pourquoi ?
Moi – car j’ai enfin trouvé celle qui qui fait battre mon cœur.

Elle ma sourit, et je vint l’embrasser avec tendresse. Je laisse mon cœur s’exprimer au grès de ses envie maintenant que je pouvais être heureuse.

Quelques heures plus tard, Michi s’habiller dans la salle de bain, alors que moi je préparé le petit déjeuner. Du bruit se fait entendre à l’étage, et surprise je passe ma tête à côté le mur et regarde. Je voie Michiru elle est vraiment très jolie habillé comme sa. Elle porte une longue jupe noire un petit chemiser blanc surmonter d’un petit chale noir. Ses cheveux son retenue par une queue de cheval, elle est vraiment très belle comme sa.

Michiru – Haruka !
Moi – oui ?
Michiru – tu peux venir m’aider à descendre s’il te plais !
Moi – j’arrive.

Je pose la tasse que j’avais en main, et me dirige vers l’étage. Je monte les quelques marches tout en la regardant avec un petit sourire en coin. Une fois à sa hauteur, je vint délicatement la prendre dans mes bras et dis en souriant :

Moi – prête à vous faire escorter princesse ?
Michiru – oui !

Je lui fit un petit clin d’oeil, et descend les escaliers doucement, et une fois arrivé en-bas, je la dépose sur le sol.

Michiru – merci ma chérie !

Je me suis mise à sourire à l’entente de ce petit surnom affectif qu’elle me porte, je lui tapote le bout de nez, et lui dépose un légé baiser sur le front. Je l’aime sa s’en est certain maintenant.

Moi – aller viens déjeuner, sa va bientôt être l’heure de partir !
Michiru – à vos ordre professeur !

Toi alors tu n’en rate pas une quand l’occasion se présente. Je la suit du regard, et saisit ses béquilles, et se dirige vers le comptoir de la cuisine.

Michiru – je suis vraiment obliger de prendre cette horeur ?
Moi – si tu veux vite être remie sur pied oui.
Michiru – c’est infecte !

Je la voie tirer la grimmace et cela me fait rire, prenant place sur une chaise, elle se met à sourire, elle lève ses yeux et me regarde.

Michiru – merci … Sa me fait plaisir de voir que tu est retenue se que j’aime !
Moi – ce n’est rien voyons.

On se regardent et s’échangent un doux sourire. Notre petit jeu dura encore quelques minutes nos yeux se défiaient qui allait avoir le dessus sur l’autre, et cela me fait bien rire intérieurement.

Quand fut l’heure de partir, Michi vint tout mettre dans le lave vaisselle et mit se dernier en route, passant un coup d’éponge sur la table et remetant les chaises à leur place. Je sourit, elle c’est bien intégrer à l’environnement. Prenant son sac qu’elle ajuste sur son épaule, elle se dirige vers moi.


Moi – aller en route ma petite fée du logie.

Elle c’est mise à rire, un son bien délicieux à mes oreilles, je prend mon sac, les clés, et sortie de l’appartement. Je ferme à clés, et nous nous dirigions vers les escaliers. Comme il n’y avait pas d’ascensseur, je dû la prendre dans mes bras, et descendre les quatre étages. Depuis ce matin mon cœur n’arrête pas de faire le grand huit, j’ai cette impression qu’il va bondir hors de ma poitrine.

Une fois en-bas, je me dirige vers le parking toujours avec Michi dans mes bras. Je n’avais pas très envie de la lâcher et ceux depuis les événement d’hier après-midi. Je lui demande gentiment de prendre les clés de ma voiture dans la poche de ma veste, et d’appuyer sur le dévérouillage.


Moi – merci mon petit cœur !

Elle me sourit, et une fois qu’elle fut attaché, je vint me placer à mon tour dans le bolide. J’allume le conteur, tourne une bonne fois vers la droite, fit une marche arrière, et parti direction le lycée.

Michiru – bon … J’espère vraiment que cet exposé va bien se passer !
Moi – mais oui, ne t’inquiète pas … Et puis je serait le seul professeur.
Michiru – c’est bien sa le souci !
Moi – comment sa.
Michiru – disons que à chaque fois que je croise tes yeux je suis comme … Hypnotisé, plus rien n’existe autour de moi quand je te regarde.

Je sourit, je m’arrête à un feu rouge, et vint poser ma main droite sur la sienne.

Moi – dans ce cas, j’essairer de ne pas trop te distraire !
Michiru - ce n’est pas ma faute si mon professeur se trouve être une belle et ravissante femme.

A votre avis qu’est ce que je dois faire ? Plusieurs solutions me vienne, mais comme je suis en voiture je ne peut rien faire.


Moi – dans ce cas … Voila un baiser d’encouragement pour la plus adorable des petes amie !

Et c’est avec le sourire que je lui prit le menton et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Un baiser rendu avec bonheur et sincérité. Je me décolle doucement colle mon front sur le sien, et fait pivoter mon nez négativement contre le sien. Ses yeux son doux pourtant je peux y apercevoir de la peur, sûrement dû à l’exposé de tout à l’heure.

Moi – tout va bien se passer, j’ai confiance en toi Michi !
Michiru – je …
Moi – chuut …

Je lui embrasse le front, descend le long de son nez et enfin à ses lèvres. Je lui caresse la joue, et nous sortâmes ensuite de la voiture. J’enclanche l’alarme, et m’exclame :

Moi – aller courage princesse.

Elle me sourit, je lui fit un signe de la main et je parti direction la salle des professeurs.

PDV Michiru.

Je la regarde partir, le sourire aux lèvres, j’avais encore du mal à croire tout se qui m’arriver, d’une part que je soit avec elle en plus que se soit mon professeur, et la seconde que je loge chez elle aussi. Tout sa était si … Prématuré, mais dieu que je suis heureuse. Je commence à m’avancer vers le portail, et je prit peur en voyant Cléo.

Moi – tu m’as fais peur !
Cléo – je suis si moche que sa ?
Moi – j’ai pas dis sa.

Elle me sourit, et ensemble, nous nous dirigions vers notre salle de cour car dans quelques minutes ce dernier allait commencer.

Cléo – alors ?
Moi – alors quoi ?
Cléo – ne fait pas celle qui ignore de quoi je parle Michi.
Moi – hehe … Bah pour le moment je préfère me poser, bien que j’ai cette envie de lui dire !
Cléo – tu voie que tu sais de quoi je parle !

Je lui fait un clin d’oeil et un petit sourire. Puis une fois dans le grand couloir, ont vîmes cette peste d’Emma et sa clique, j’essaie de rester calme car la seule envie que j’ai et celle de lui donner une bonne gifle en plus de savoir qu’elle aime ma jolie blonde me mettait dans tout mes états.


Emma – tiens mes regarder qui voilà, ce ne serait pas cette petite trainer, je croyais que tu devais rejoindre ta mère ? Dommage que le camion ne t’ai pas fait trop de dégâts, sa m’aurais fait une belle jambe de te savoir morte … Comme ta pouriture de mère.
Cléo – mais tu vas arrêter espèce de salope !
Emma – ou attention la petite Cléo emploie de vilain mots, bouh comme c’est navrant. Pff vous me faite franchement pitié.
Moi – c’est bon tu as terminé ? Tu t’sens mieux … Car j’en aie tout à ton service, tu c’est quoi je vais te dire une chose … Oui c’est bien dommage que je ne soit pas parti rejoindre ma mère, au moins sa m’aurais évité d’entendre de grands mots venant d’une gamine de 5 ans qui ne sais même pas ce que c’est d’aimer.
? - que ce passe t-il ?

Je me tourne et voie Haruka, non ce n’est pas le moment, je remet mon sac sur l’épaule, et dis :

Moi – ce n’est rien professeur …
Cléo – Michi … Non ce n’ai pas rien, tu n’en a pas marre de te faire discriminer et rabaisser à chaque fois !

Je regarde Haruka dans les yeux, je me retien de pleurer, et je dis la voix un peut larmoyante :

Moi – il … Il faut savoir encaisser, et ne pas répondre, et savoir avancer les pied droit devant.

Trop tard, une larme venais de s’échapper de mon œil droit.

Cléo – Michi non …

Et sans rien dire je me retourne et parti vers la salle de cour peiné et blessé des propos de cette peste.

Cléo – professeur Tenoh !
Haruka – oui ?
Cléo – s’il vous plait, faite quelques chose, sa ne peut plus durer Michiru a assez souffert comme sa.
Haruka – très bien, je vais aller la voir et lui parler, nous n’avons cours que dans 40 minutes, donc aller au foyer je viendrais vous cherchez.
Cléo – merci professeur !

Tu est si belle, bien que cruelle, je t’ai tellement aimer … Mais tu hantes toujours mon cœur et mes penser. J’entends du bruit mais je n’y prête pas attention, je me tiens debout face à la baie vitrée, les mains dans le dos.


Moi – maman … J’ai tellement de chose à te dire, sans toi je dépérie à vue d’oeil, même si tu ne ma pas aimé, moi je t’aime toujours, tu sais beaucoup de chose se son produite deuis ton départ …

Des larmes commence à couler le long de mes joues.

Moi – je viens de rentrer au lycée, et j’ai pour ambition de réaliser ton rêve celui de devenir professeur de mathématique, en parlant de professeur de mathématique, je ne t’ai pas dit, mais j’ai enfin trouvé la moitié de mon cœur, comme tu dois t’en douter c’est une femme, elle a 23 ans et elle s’appelle Haruka Tenoh, elle est tellement belle, avec ses cheveux blond court ses yeux fin de couleur émeraude, son côté masculin qui la rend vraiment sublime à mes yeux. Tu sais j’ai réussi à lui dire se que je ressent, et pour mon plus grand bonheur elle éprouve la même chose que moi … Je l’aime et en suis éperdument amoureuse, bien que je ne montre pas se que je ressent je tiens à elle et l’aime plus que tout. Un jour je viendrais me recueillir sur ta tombe et je te montrerais à quoi elle ressemble, elle est ma perle rare, ma moitié et si le temps le veux je veux finir avec elle. Parce ce qu’elle est la femme que j’aime et désir plus que quiconque.

Je ne me retiens plus et cache mon visage laissant libre court à ma peine et mon désaroie. Soudain je sent des bras entourer mon cou, et un souffle chaud caresse ma peau. Je ne me retourne pas je laisse juste mon corps se poser sur celui qui se situer derrière moi.

Je savait parfaitement que c’était Haruka, l’odeur qu’émane sa cheveulure m’enivre. Et je me laisse bercer par les battements rapide de mon cœur.


Haruka – je suis sûr que si elle était la, elle serait fière de toi … Même si nous ne marchons plus à leurs côtés, ils demeur dans nos cœurs, il ne faut pas voir le noir, il faut continuer de vivre et de continuer à avancer pour eux, et cela ne nous empêche pas de leur parler de se confier, j’ai moi aussi perdu ma mère et si j’en suis là aujourd’hui c’est grâce à elle car je voulais qu’elle soit fière de sa fille alors … Maman j’espère que tu te porte bien là où tu te trouve et que tu est heureuse, pour moi tout se passe bien, et j’ai quelques chose à t’avouer tu voies cette jolie jeune fille que je tiens dans mes bras ? Eh bien c’est elle … J’ai enfin trouver mon bout de bonheur, comme tu me le répeter souvent, j’ai trouvé chaussure à mon pied. Je l’aime énormément et suis fortement amoureuse, si le temps est d’accord je compte construir un futur à ses côtés, et j’ai beaucoup de projet en tête pour elle et moi … Voila je voulais que tu sache que ta fille est heureuse que se soit dans sa vie professionnelle que dans sa vie privé, je t’aime maman je ne t’oublierais jamais.
Moi – je t’aime, ne l’oublie pas maman.

Je me tourne doucement, et à la minutes ou mes yeux croisa les siens, j’eue envie de fondre en larme car j’aperçut une petite larme solitaire rouler sur sa joue. Je m’approche et vint lui effacer la goutte d’eau, et vint lui prendre les mains et je sentit les siennes me caresser.

Moi – je serait toujours la pour toi et je … Je ne cesserait jamais de t’aimer.
Haruka – moi non plus … Quoiqu’il arrive je serait la pour te rattraper.
Moi – je t’aime Haruka ne l’oublie jamais !
Haruka – moi aussi Michi, et je ne le cesserait jamais.

Elle a doucement prit mon visage entre ses mains, et ma essuyer les joues. Je m’approche, et voulant lui prouver que je suis sincère envers elle, je posa tendrement mes lèvres sur les siennes. J’enroule son dos et me collle doucement à son corps. Ses doigts se mettent à caresser mes joues, et ses lèvres réponde timidement à mon baiser. Je l’aime et je ne le cesserait jamais.

Sachant que nous étions dans le lycée, on se détachent avec regret l’une de l’autre. Nos yeux se caresse, et sa voix se met à résonner dans la pièce :

Haruka – je ne veux pas te perdre … J’en est perdu assez comme sa !
Moi – je ne pourrais jamais te laisser, c’est même mission impossible.

Elle c’est mise à rire, je suis heureuse de lui avoir redonner sourire, je lui saisit le menton, le soulève doucement, et lui dis de ma voix la plus douce.

Moi – car pour moi … Tu es ce que j’ai de plus cher … Mon amour !
Haruka – je suis heureuse de t’avoir rencontré, car je peux enfin être heureuse.

On se sourit, s’embrassent une dernière fois, et nos corps se séparent, ses lèvres touche une dernière fois mon front, elle me fit un clin d’oeil et parti vers son bureau, ou d’un tiroir elle sortie une espèce d’interphone.

Haruka – les élèves de la classe B-5 son prié de se présenter en cour !

Je sourit, souffle un bon coup, essuie mes yeux, et prend place à mon bureau mettant mes lunettes sur mon nez, je commence à sortir mes affaires, et attend que tout le monde arrive. Je lève mes yeux et remarque Haruka en train d’écrire sur le tableau, sûrement la leçon que nous devions faire.

Puis les élèves commence à pénétrer dans la salle, je voie Cléo me sourire, et cette peste d’Emma me lancer un regard noir.

Haruka – bien bonjour à tous, nous n’allons pas commencer de nouvelle leçon, comme l’exposer et cet après midi, je vais vous demander de me faire une page de couverture concernant le sujet que vous avez choisi.

Je lève la main, attendant de me faire intéroger.


Haruka – oui Michiru ?
Moi – professeur ce que vous voulez que l’ont face c’est dessiner c’est sa ?
Haruka – c’est exact, mais attention, je ne veux rien d’injurieux ou rasiste, alors maintant au travaille.

Elle me lance un petit sourire, je lui rendit, et me mit au travail. Je sort mon exposer que je mis dans mon casier sous la table, sort de ma trousse un crayon à papier une gomme et une règle.

Sortant par la suite une feuille moyennement grande, je plie cette dernière en deux, et à l’aide de mon crayon hb je commence à caresser légèrement le papier. Je savait exactement se que je voulais faire.


Quand j’eue terminé de tracer les formes et traits, à l’aide de crayon de couleurs, je vint crayonné tout le haut de la feuille en noir, en respectant les lignes que j’avais tracées. Sa c’est bien un de mes cours favoris, j’aime le dessin sa me libère de toute pression tout comme l’écriture.

Une fois la feuille colorié, je prend un feutre fin argenté et repasse les écritures que j’avais faite, tout en haut de la feuille, j’avais inscrit en lettre majuscule « Liberté d’expression » par la suite je repasse avec cette même couleur les sigles que j’avais fait. A gauche représenté deux sigles féminin d’écrivant l’amour entre femmes, à droite deux sigles masculin pour l’amour entre homme et juste en bas un sigle masculin et féminin pour montrer l’amour entre un homme et une femme.


Je prend mon temps pour bien le faire. Et à l’aide d’un feutre couleur or, je fait le contour du cœur que j’avais relier avec ses cigles. Je sent une préscence dans mon dos, se devait être Haruka qui vérifié notre travaille. Je colorie l’intérieur des cigles en argenter, et l’intérieur du cœur je le fit au rose pâle.

Enfin fini, je rajoute quelques derniers détails, marque mon nom et prénom en bas à droite de la feuille.


Haruka – c’est parfait.

Elle passe à mes côté et sa main frôle mon bras. Je sourit, la regarde quelques instant, et vint continuer mon travaille. Cette fois c’est l’autre côté de la feuille que je fit exactement pareil sauf que j’inversa les cigles pour qu’ils se retrouvent oposé, comme si ont tourné une page d’une couverture, on voie le dessin original devant et on peut parfois voir la suite derrière mais inverser. Quand ce fut terminé, je prend mon exposer, classe les feuilles dans l’ordre et les posent sur la couverture. Avec l’aide précieuse de mon compas je trace trois petit cercles sur la tranche de ma couverture. Après avec un cuter je vint découper soigneusement les cercles, et à l’aide d’un ruban fin argenter que Cléo m’avait passer pour que je m’attache les cheveux avec je passa ce ruban dans les troues de mon dossier avec les cercles de la couverture. Quand je réussi ma tâche, je met maintenant ce que l’ont pouvais appeler un livre entre mes jambes et vint faire un nœud pour fixer le tout, je coupe les ficelles trop longue, et posa enfin mon dossier sur la table, rangeant mes outils dans ma trousse, et retirant les épluchures de gomme les mettant dans une poubelle qui se situer derrière moi.

Quand enfin midi sonna, chaque élèves se lèvent, et remet le dossier à Haruka, se que je fit aussi. Je me dirige vers un tableau ou un tableau était dessiné, le titre « Délégué principal » afficher en haut. Je prend un stylo, et vint marquer mon nom dans l’une des cases.


Moi – bonne appétit professeur.

Elle ma tendrement sourit, et je suis parti direction le self. Arrivé au réfectoir, Cléo m’aida pour mon plateau, et ont se prit une table pour deux.

Cléo – alors sa va mieux ?
Moi – oui un peut, merci, et j’ai quelques chose à te dire !
Cléo – oui quoi donc ?
Moi – tu est ma meilleure amie, et je ne vais pas te le cacher plus longtemps mais … Nous sommes ensemble !
Cléo – le professeur et toi ?
Moi – oui.
Cléo – mais c’est supère sa, et depuis quand ?
Moi – sa va faire tout juste deux semaines.
Cléo – je suis supère contente pour toi, que sa dure !
Moi – merci Cléo.

On se sourit, et nous continuâmes à manger. Quand 12h55 arriva, avec l’aide de Cléo j’allai débarasser mon plateau, mais au moment ou je passa prêt de la table d’Emma cette dernière me fit un croche patte et je tombe sur le sol.

Emma – ah ah bien fait espèce de salope.
? - eh mais sa va pas, tes conne toi pff.
Moi – merci !

Le garçon qui ma gentiment aidé à me relever me rend les béquilles, je lui sourit, et reprit mon chemin vers Cléio qui poussé des jurons à cette tâche.

Cléo – pff, elle commence vraiment à m’enerver !!
Moi – laisse tomber sa sert à rien.

Je lui sourit, et me frotte le menton car j’ai quand même eu mal quand je suis tombé. Puis 13 heures sonna et c’est avec une boule au ventre que je rejoint ma salle de cour, car je devais parler de mon exposer, et déjà que sa me stresser assez comme sa.

Une fois arrivé en salle de cour, je me dirige vers le bureau d’Haruka et voie que toute la classe à changé, beaucoup de chaises qui se trouvés devant se retrouve à l’arrière. Je lève mes yeux et remarque ma jolie blonde assise sur l’une de ses chaises, je lui sourit tendrement et demande :


Moi – professeur ?
Haruka – oui Michiru ?
Moi – on peut reprendre nos dossiers ?
Haruka - oui allez-y.
Cléo – merci !

Je prend mon dossier et alla à ma table chercher mes lunettes, mon dieu j’ai hâte de quitter ses béquilles. Puis enfin tout le monde entra en classe, je prend place sur ma chaise, et Haruka se dirige vers son bureau.

Haruka – bien puisque tout le monde est là, nous allons pouvoir passer au chose sérieuse, je vais annoncer vos noms pour votre exposé alors … Le premier à passer sera Chardon, puis Tran Guilard Umbrunl, Jolie …

Quel chance je suis la dernière. Haruka remonte et reprend place sur sa chaise, elle tourne sa tête vers moi, et me lance un petit sourire, je lui rendit doucement, et enfin les présentations pour les exposers pue commencer. Mélanie a parler de la crise économique, Dilan des voie de disparition des animaux, cette peste à parler des vêtements se que je trouve ridicule au passage. Cléo a pour sujet la maltraitance des enfants, celui-ci ma particulièrement touché.

Puis enfin ce fut mon tour, j’avale ma salive, et me dirige vers le centre de la pièce juste devant le bureau d’Haruka. Je place mes lunette sur mon nez et cale mes béquilles contre le bureau.


Haruka – très bien nous t’écoutons Michiru !

Je lui sourit, et vint ouvrir mon dossier, j’apercoit un petit mot sur la couverture « courage ma chérie je c’est que tu peux le faire » je lève mes yeux surprise mais heureuse, et Haruka me fit un petit clin d’oeil.

Moi – pour cette exposé j’ai décidé de parler de la liberter d’expression, le titre qui me semblais le plus aproprier pour ce sujet est parlons librement d’amour, avant toute chose, pour vous c’est quoi « l’amour »
Haruka – Mélanie !
Mélanie – c’est des sentiments fort que l’ont éprouve pour une personne.
Haruka – Dilan !
Dilan – c’est éprouver de la tendresse et du désir.
Moi - très bien, c’est très intéressant, mais il faut savoir une chose... c’est que malgré les differences, chacun d’entres nous ici à le droit d’en bénéficié, que ce soit entre deux hommes , deux femmes, ou bien alors entre un homme et une femme.

Je voie Haruka me sourire, je continue de lire mon texte en articulant et argumentant.

Moi - il faut savoir aussi, que l’amour est important, que malgré les choix, les décéptions, ce sentiment qui vous procure une sensation de bonheur, est toujours la pour vous aidé dans la vie de tout les jours. maintenant je vais prendre un exemple, deux jeunes filles qui sont ensemble aurons beaucoup plus de facilité à ce dire les choses, car le plus souvent, ont peut constater que dans un couple tout à fait ordinaire, il y a quelques petites tensions, la femme se demandera le plus souvent, si elle peut se confier sans que son conjoint ne se mette en colère, et vis versa. pour ce qui est des garçons, ils ne pourrons pas voir la chose de cette façon, puisque un couple formé de deux hommes, sera aussi une épreuve... Ils chercherons mutuellement, à savoir si les sentiments éprouvés sont réel et sincère, mais le ressentit est tout à fait le même qu’un amour partagé entre un homme et une femme. Parlons librement d’amour, devrais nous aider, à combattre nos peurs, nos questions les plus intime, et même le vide que nous pouvons ressentir. alors... Peut importe la situation quand il s’agi d’amour l’important avant tout, c’est de pouvoir donner à l’être aimé ce que nous ressentons au plus profond de notre cœur, car un couple d’homme ou bien de femme, ne doit pas être vue comme un crime, mais plutot comme un couple tout se qu’il y a de plus normal, sa aura beau choquer beaucoup de monde, mais l’amour ressentit de cette manière est tout à fait légitime. Pour ma part, je dirais que ce sentiment, est une douce caresse qui nous éfleur du bout du doigts mais qui nous fait en même temps agoniser, il n’est pas à prendre à la légère car comme nous, il est tout aussi fragile que du cristal, tout comme les sentiments que l’ont peut ressentir.

Il n’y avait aucun bruit, tous me regarder, et cela me gênais beaucoup.

Emma – pff tes pitoyable ma pauvre fille, comment oses tu parler de ce genre de chose, c’est immonde, tu devrait avoir honte de tes propos, tes répugnante il faut vraiment que les gens face attention à toi, tes une mauvaise fréquentation, et une femme est faite pour aller avec un homme et pas autrement, les gens qui son comme sa sont dégoutant, ils devrait être puni pour ce crime. Va en enfer tu n’apporte que le malheur.
Haruka – sa suffit !!!!!!

Je voie Haruka se diriger vers Emma que je maudissait à ce moment, elle lui prend le bras et la poussa jusqu’en bas.

Haruka – j’en est vraiment plus qsu’assez de toi et de tes propos, ne peut tu pas laisser les autres tranquille ? Je ne te veux plus en cour, et je préviendrait tes parents pour un conseil de disipline.
Emma – mais non alors professeur, c’est dégoutant !!
Haruka – se qui est dégoutant ici c’est les propos que tu tiens à tes camarades et à ton professeur. Donc mademoiselle Umbrunl accompagné cette jeune éfronté chez le directeur.
Cléo – bien professeur.

Et elles partirent toutes deux. Puis un claquement se fit entendre, je me tourne et me reconnecte à la planette terre, et aperçu Dilan en train d’applaudir.

Dilan – je ne sais pas vous, mais moi je trouve que c’était un bel exposer et très intéressant.
Mélanie – bravo Michiru ta était supère !!
Quentin – c’était génial, tu viens de nous démontrer d’une belle façon que l’homme est libre de ses choix.
Moi – merci c’est … c’est gentil.
Haruka – c’était parfait Michiru, tu as bien travaillé.

Tous me complimenter, mais seul ses compliments à elle me fait le plus plaisir. La journée c’est suivit tranquillement, et j’ai réussi à me faire intégrer par la bande de Mélanie. Et pour combler ce bonheur Haruka m’avait féliciter à plusieurs reprise, vraiment je suis très heureuse.


Eh voila le chapitre 4, qui est très long je l’avoue, mais sa me fait tellement plaisir d’écrire cette histoire que j’ai du mal à m’arrêter ^^ et merci à inlove pour ses commentaires :)
Sam 19 Oct 2013, 16:07 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 2

Bonsoir ^^ je remercie inlove pour son commentaire qui ma fait très plaisir :) donc voila le chapitre 2.

Chapitre 2 : Accident et sentiment


Point de vue Michiru.


Brr, qu’es ce qu’il peut faire froid ce matin, je me réveille, et me redresse avec un mal de dos horrible, je me lève, et secou ma tenue qui était plein d’herbe. Je me cache afin que personne ne me voie, et m’habille en vitesse, il ne fallait pas que je soit en retard. Je prend mon sac, et une fois chaussée, je parti direction le lycée.

Ah... Mais qu’es ce qui m’arrive ? Je me sens bizarre d’un coup ma tête me fait atrocement mal, et ma vision se trouble, il faut que j’arrive à tenir sinon je....


Voix off.

Vite emmener la au bloc, il faut d’urgence l’opérer !
Très bien !!!!

Point de vue Haruka.


Alors que je m’installe à mon bureau, j’attends les élèves, tout en repensant à Michiru que j’ai vue hier sous ce pont, je comprend pourquoi elle n’a rien voulut me dire hier, mais tout de même cette histoire m’intrigue, comme il me resté encore quelques minutes je décide d’assouvir ce savoir que je voulais comprendre, je sort le dossier de Michiru que Betty ma passé hier. Je pose ce dernier sur la table, et l’ouvre.

Mes yeux commencent à longer le long des lignes buvant avec effroi les quelques phrases, concernant Michiru qui était assez sanglant.


Moi * Alors que Katsuke Kaio sort tout juste de prison, il revint à la charge chez lui menaçant sa femme de la tuer si elle ne lui remettait pas la petite Michiru qui n’a que 2 ans. La pauvre petite c’est vue aller dans plusieurs famille d’accueil, mais à chaque fois elle se faisait rejeter. Le 11 décembre Katsuke commis un second meurtre celui de Takana Kaio la mère de Michiru...

Tout au long de ma lecture, je sent soudainement les larmes me monter aux yeux, ma main se plaque sur ma bouche, et je continue de lire le cœur serrer.

Moi * Michiru vint voir la police municipal de la ville portant plainte contre son père qui la maltraiter lui offrant plusieurs coups de ceintures, et de gifle. Le 23 janvier : Katsuke fut arrêté pour avoir violé sa propre fille après l’avoir drogué *

Non... Sa... Sa ne peux pas être vraie... je ne peux pas y croir, la pauvre ... Mon cœur cogne violemment dans ma poitrine, j’ai mal à l’estomac, et mes larmes me menace de couler. Mon corps se met à trembler, pourquoi cacher un si lourd secret en soie ... Je savais qu’hier j’aurais dû aller la voir sous ce pont. Des images ou je la voie hurler de douleur sous les coups violent de ce monstre défile dans ma tête. Des voix se fait retentir, les élèves commencent à arriver.

J’essuie une petite larme, et repris mon sang froid. Je me lève, et commence à écrire sur le tableau. Écrivant des exercices sur cet immense rectangle blanc.


Moi : bon eh bien ... Veuillez me recopier ce que j’ai écrit en silence ... Aller au travail !

Je reprend place sur ma chaise, et je vint parcourir le dossier, je voulais en savoir plus sur elle, en savoir plus pour pouvoir l’aider et la soutenir du mieux que je peux même si je ne suis que son professeur et sa tutrice, je voulais à ce moment là être avec elle.

Soudain la porte s’ouvre, laissant place au directeur. Sous mon ordre, tous se lève afin de le saluer.


Directeur : merci, reprenait votre travaille !

Le directeur m’emmène dans le couloir, il ferme la porte gardant sa main sur la poignet, il avait un air grave et affolé à la fois, je me demande se qui se passe.

Directeur – Haruka, un terrible accident viens de se produir !
Moi – de quel accident parlez-vous ?

Il commence vraiment à m’inquiéter. Sa voix est tremblante, et ses yeux trahis toute ses émotions.

Directeur – l’hôpital ma appelé la petite Michiru c’est fait renverser par un camion, le conducteur apparemment ivre. Elle est entrée en bloc opératoire c’est ignoble, tout se qui lui est arrivé, je me demande si cette petite sera un jour heureuse.

Non ... Pas sa, je respire un grand coup et retiens mes larmes qui se font de plus en plus nombreuse et prenante. Je voie les mains du directeur prendre les miennes, et sa voix encore plus tremblante que tout à l’heure résonne.


Directeur – Haruka s’il vous plais, rendez moi cet immense service et allait la voir, Michiru a besoin dès à présent de soutien, et de personne qui l’aime. Je vous met en congé pendant quelques jours afin que vous puissiez vous occuper d’elle.


Je ne le laisse pas poursuivre, que je m’élance vers la sortie en courant. Sprintant à toute allure vers la sortie du lycée. Une fois dehors, je me dirige vers ma voiture, enfonce la clés dans la petite fente, m’attache, et après avoir fait une marche arrière rapide faisant crisper les roues, je parti direction l’hôpital. Pourquoi cela dois lui arriver ? Je ne la connais que depuis hier certe, mais j’ai cette envie de la protéger et l’aimer. L’amour, ce sentiment que j’avais banni pour des raisons personnelle a refait surface, me diriez-vous, mais c’est impossible de tomber amoureuse dès le premier jour, je suis tout à fait d’accord avec sa, mais je ne sais pas, il y a ce quelque chose en moi qui fait que je me sens attirer par Michiru. Serait-je en train de ... De tomber amoureuse ? Je ne sais pas et cela m’effraie un peu. Arrivé à l’hôpital, je me gare, me détache rapidement, et sort du bolide et enclenche l’alarme. Je me dirige donc et toujours en courant, vers l’entrée de l’établissement. Une fois à l’intérieur, je me dirige vers l’accueil et demande :


Moi – bonjour, seriez-vous où je pourrais trouver la chambre de Michiru Kaio s’il vous plais !
Secrétaire – vous êtes ?
Moi – son professeur ainsi que sa tutrice.
Secrétaire – euh... Oui vous monté au troisième étage, c’est la chambre 378 !
Moi – merci bien !


Et dans le calme cette fois ci je me dirige vers l’ascenseur. Une fois à l’intérieur, je presse le bouton 3, et la machine se mit à monter. Rah bon sang, pourquoi aie-je cette peur qu’elle soit ... Je ne pensait pas tenir autant à elle alors que sa ne fait que deux jours seulement que nous nous connaissons, ce n’est pas logique. Quand enfin j’arrive au troisième étage, d’un pat rapide, je longe le couloir et cherche le numéro de chambre de Michiru.

Je la trouve enfin, je souffle un bon coup, et vint pénétrer dans la pièce. Je ferme la porte, et regarde autour de moi. La pièce est grande et vide, il y a juste un lit ou repose Michiru enveloppé dans des couvertures . A sa droite il y a un tabouret et une commode avec un téléphone et un verre d’eau. En hauteur, il y a une télévision, et juste en face prêt de la fenêtre une armoire, et une porte à droite menant sûrement à la salle de bain.


Je m’avance doucement vers le lit, et la regarde quelques minutes. J’approche ma main de son visage, et écarte quelques mèches de ses yeux, laissant mon index descendre le long de sa joue. Sa tête se tourne et ses yeux bleu croisent les miens qui son triste. Un petit sourire naquis ses lèvres, comme si... Comme si elle était heureuse de me voir.

Je n’ose détourner mes yeux des siens, elle est tellement belle, mon cœur s’emporte violemment dans ma poitrine, je ne sais quoi dire, je continue juste de la regarder avec douceur.

Moi – tu sais que tu m’as fait peur !
Michiru – désolé professeur, je ... Je ne le voulais pas.
Moi - ce n’est rien, le principal, est que tu aille bien, mais tu c’est, tu vas devoir me dire se qui c’est passé !
Michiru – oui je sais, mais ... Si c’est à vous que je dois tout avouer, sa ne me dérange pas.

Je lui sourit, et continue de caresser sa joue, je vint faire descendre la barrière qui nous séparent, et vint prendre place sur le tabouret. Je lui prend délicatement la main, et la caresse comme pour la rassurer, que tout est fini et qu’avec moi, elle ne craint rien.


Michiru – je ... Je suis heureuse que se soit vous et pas quelqu’un d’autre !
Moi – chuut ... Ne dis rien, tout se qui m’importe maintenant c’est que tu te repose !
Michiru – oui je comprend, mais ... Mais sa fait tellement de bien de se sentir importante pour quelqu’un, depuis que je suis petite, père et mère ne m’ont jamais transmit un seul geste d’amour, mon père passait le plus clair de son temps à m’enfermer dans le placard, et mère me donner juste du pain et de l’eau comme si j’étais en prison. Sa fait longtemps que je garde se secret en moi, car à chaque fois j’ai peur que l’ont me juge et que ...

Ses yeux se son encrés dans les miens, et sa main à prit la mienne, ses doigts me serrant contre les siens.

Michiru – et que je soit torturer que soit physiquement ou verbalement. Je n’aie jamais eu d’amis, je ne sais pas se que l’ont peux ressentir quand on aime quelqu’un, je ne sais pas ce que c’est d’être heureuse, et cela me rend triste et me fait perdre tout sens de la vie. Mon père voulais à tout prix avoir ma garde car mes parents après six ans de vie commune se sont séparé, malgré tout le mal que ma infliger mère elle a voulut me garder, mais elle a ...


Quelques larmes roulent le long de ses joues, mon cœur se serre en la voyant dans cet état, je me lève, et à l’aide d’une petite télécommande qui suspend le long de son lit, je remonte ce dernier, afin que Michiru soit assise. Je pousse le tabouret, et m’assoie sur le matelas, lui prenant le visage entre mes mains et écarte quelques larmes.


Moi – chuut, c’est fini maintenant, tu est en sécurité ici ... Je comprend ta douleur, et je dois avouer que tu as beaucoup de courage pour avoir surmonter tout sa toute seule, mais dit toi une chose, c’est que qu’importe les choix que tu fera, les professeurs et moi-même seront là pour toi et t’épauler, alors si tu as le moindre souci, l’envie de pleurer, ou tout simplement l’envie de te confier viens nous voir nous t’écouterons .... Moi la première.
Michiru – professeur ...

Et sans que je ne dise quoique se soit, Michiru enroule ma nuque et lova sa tête dans mon cou. Bien que surprise du geste, je répond à son étreinte et entoure son dos le caressant doucement. Mon rythme cardiaque s’accelaire de plus en plus, l’odeur qu’émane sa chevelure me parvint aux narine, ils sentent si bon, à cet instant, je fut prise de désir et de tendresse pour elle, je voulais rester à ses côtés la protéger, la voir sourire et heureuse. Je me défait doucement de ses bras, et plonge mon regard émeraude dans ses yeux azure qui son magnifique. Je lui écarte quelques mèches bleutés de ses yeux et lui offre un sourire chaleureux.

Moi – avec nous tu sera en sécurité, je te le promet ma petite Michiru.
Michiru – vous êtes si gentille professeur, vraiment je ...
Moi – chuut ...

Je lui caresse la joue, et descend jusqu’à ses lèvres qui son rose et douce au toucher. Je passe plusieurs fois mon pouce sur sa bouche, créant un geste doux et régulier. Son regard s’attache au mien, et un petit claquement se fait sentir entre mon pouce et ses lèvres. Je ne fait rien, juste à lui sourire tendrement, je n’avait aucune envie de la brusquer ou quoique se soit d’autre, sans que je puisse retenir mes gestes qui étaient un peu déplacer vis à vis d’elle, mon front se colle contre le sien, mes mains prennent son visage, et mes pouces caressent ses joues. Je sent ses mains se poser sur ma poitrine, et ses yeux se ferment, un petit sourire sur ses lèvres. Mon regard s’adouci, et je m’approche un peut plus de son visage. Je sais que ce que je fait est interdit, mais les pulsassions de mon cœur son de plus en plus violent, et ce nœud dans mon estomac reviens, c’en est presque agréable, cette envie de vouloir franchir ce cap entre elle et moi me torture inlassablement. Et sans que je ne me retienne, mes lèvres s’unirent aux siennes.

Je lui caresse les joues, et m’approche un peu plus d’elle. Laissant mon cœur s’exprimer au grès de ses envies. Ce dernier fit un bon dans ma poitrine quand je sentit ses lèvres répondre tendrement à mon baiser. Mon corps tremblait de désir, c’est si agréable, tellement bon, je n’aie pas envie que sa s’arrête, je continue de lui caresser ses joues, et vint mêler tendrement ma langue à la sienne.

Cela fait tellement longtemps que je n’avais plus ressentit ce genre d’émotion, sa fait si longtemps que je ne mettait pas senti aussi bien et libre. Je sent sa langue répondre aux caresses que lui faisait la miennes, non décidément je me sent réellement attiré par elle, et avec une grande douceur je l’embrasse le plus tendrement possible. Mêlant mes doigts dans ses cheveux.

On se décollent doucement, et je la voie rougir, se qui m’adoucie encore une fois. Je lui soulève le menton, et la dévisage longuement.

Moi – n’est pas honte de se que tu est ... D’accord !

Je lui caresse la joue, et vint lui embrasser le front.

Moi – tu devrait te reposer !
Michiru – ne ... Ne partez pas.
Moi – je ne vais pas partir, je vais rester avec toi !
Michiru – merci ...

Je lui sourit et repris place sur le tabouret prenant sa main dans la mienne. Ah ... Je peux encore sentir ses lèvres douce contre les mienne, mon cœur est sur le point de flamber, cela faisait longtemps que je n’avais plus ressentit sa ... Car depuis la séparation de mes parents qui ne mon fourni aucun geste de tendresse j’ai renier ce sentiment si pur et tendre, c’est pour sa que je comprend la douleur de Michru car mon passé équivaut un peu au sien. Sans lui lâcher la main, je prend mon téléphone qui sonnait depuis quelques minutes maintenant.

Moi – oui allo !
Directeur – Haruka, c’est le directeur.
Moi – ah monsieur que désirez-vous ?
Directeur – eh bien je voulais savoir comment aller Michiru !
Moi – elle va bien ne vous inquiétez pas, une infirmière va passer dans quelques minutes, mais je pense qu’il vont la garder en observation pour la nuit.
Directeur – d’accord, et euh ... Après en avoir parler avec les professeurs nous nous sommes mis d’accord que vous pourriez l’heberger ! Vue que vous êtes sa tutrice, bien entendue si cela ne vous dérange pas Haruka.

Je sourit, et la regarde quelques minutes avec douceur, je vint doucement entrecroiser mes doigts avec les siens, et répond avec un léger sourire :

Moi – non absolument pas, donc c’est d’accord.
Directeur – je suis heureux de vous l’entendre dire, sur ceux j’ai une réunion, tenez moi au courant si il y a le moindre changement !
Moi – bien monsieur.

Et sur cette dernière parole, la communication se coupa. Je range mon cellulaire dans ma poche, et vint tourner ma tête vers Michiru afin de la regarder.


Michiru – que ... Voulais monsieur le directeur ?
Moi – rien qui puisse être désagréable, non il ma juste demander si je pouvais t’heberger !
Michiru – quoi mais je ... Je ne veux pas déranger, je c’est que je suis un poids pour tout le monde ...

Je m’approche d’elle, et caresse sa joue, lui faisant comprendre par le regard qu’elle ne me déranger pas le moins du monde ... Et puis, j’ai le sentiment que si je ne fait rien je pourrais la perdre à n’importe qu’elle moment, et c’est quelques chose que je ne souhaite pas connaître.

Moi – tu ne me dérange pas voyons, au contraire Michiru sa me fait plaisir, j’ai donc accepter de m’occuper de toi.
Michiru – merci professeur !
Moi – on va faire une chose.
Michiru – ah oui ? Quoi donc ?

Qu’es ce qu’elle est jolie quand elle est surprise, vraiment.

Moi – au lycée nous seront juste Michiru et le professeur Tenoh, mais une fois à la maison, tu peux m’appeler Haruka.
Michiru – vous ... Vous êtes sur ?
Moi – absolument certaine !
Michiru – merci pour tout se que vous faite pour moi, c’est vraiment gentil.

Et sans que je ne dise quoique se soit, Michiru c’est redresser et ma embrassé. Je sourit, heureuse de se contact que nous avons crée toute les deux. A présent je compter tout faire pour la garder auprès de moi la protéger l’aimer tendrement et la rendre heureuse.

En fin d’après midi une infirmière est passé comme prévu, et nous a affirmé que Michiru resterais en observation pour ce soir et qu’elle ne pourrais sortir que d’ici quelques jours.


Moi – bon eh bien, je vais te tenir compagnie pendant ses quelques jours !
Michiru – merci professeur !
Moi – ce n’est rien voyons.

Je lui embrasse tendrement le front, et resta à ses côtés lui tenant compagnie jusqu’à ce qu’elle puisse sortir.

Bon eh bien voila ce second chapitre est terminé, si cela vous plais toujours laisser vos avis bon ou mauvais.

content
Jeu 17 Oct 2013, 22:59 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

Notes, résultats d'essais à l'amour.

Des souvenirs rendus à l’état de néant. Rien de plus que des images brumeuses dans les recoins de mon esprit, dans les plus profondes cachettes de mon être. Existe-il seulement une page , où, par inquiétude d’oublier, je puisse coucher mes mots?
Existe-il seulement quelque mot assez exigeant qu’il rende a la chose sa terrible valeur?

L’on m’a appris il y a peu de temps que les mots n’étaient rien, "agis, agis", j’agis et obéis aux lois de mon âme, celles que tu me dictes. Que vas tu me donner en retour, sinon un peu d’amour? Ne puis-je espérer rien de plus que de vagues simulacres d’amitié?

Cependant cette étreinte charnelle se borne-t-elle a ce sentiment de confiance? Se pourrait-il, que l’amour mutuel ne naisse que lors de la rencontre de nos enveloppes corporelles? Quel est donc ce sentiment d’appartenance? Ne ressens tu pas, quelque fois, le désir d’avoir autre chose que ce contact... des promesses, projets, et prévisions d’un futur commun?

L’amour n’est il pour toi que le quart de ce qu’il est pour moi? Es-tu seulement conscient de cette implosion?

Ne comprends tu pas que l’amour est autre qu’un pur plaisir. Qu’il est indéfinissable.
Ven 19 Avril 2013, 22:03 par Mila sur L'amour en vrac

La femme parchemin



De ta plume ou du bout de tes doigts
J’aimerais que tu écrives ses lignes sur moi
Qu’un poème sur mes reins tu inventes
Que sur le contour de mes hanches
Des mots en avalanches
Fini la page
Place à ma peau
Entre mes cuisses
C’est facile ta plume glisse
Au creux de mon ventre
Fait attention que je ne te déconcentre!
Il reste de la place sur mon cou
J’y verrais bien de l’encre de couleur acajou
Tu peux même déborder sur ma nuque
Mais ce n’est peut-être pas ton truc
Dessine ma bouche d’un trait de rouge
Dessine bien les contours avant que je ne la bouge
Et je t’ai laissé le meilleur pour écrire la fin
Quoi de mieux que mes seins
La fin devra être sensuelle
N’en oublie surtout pas les voyelles!
Maintenant que tu as fini ton travail
Je te laisse me relire en braille
Sam 09 Juin 2012, 12:41 par Djinn sur La séduction

Le cercle des poètes

Comme chaque année, Oasis organisait la traditionnelle rencontre de ses membres. Prolonger les beaux et bons moments passés sur le site, les amitiés nouées et les débuts d’idylles. Et partager tous ces mots qui formaient de si belles compositions. Des bouquets de mots aurait dit Douceur3. Une trentaine de poètes avaient répondu à l’appel, record historique, pas évident de rassembler en un lieu des personnes si dispersées.

Cette année la fête s’annonçait unique, le lieu choisit étant un vieux manoir style anglais, perdu dans la campagne et évocateur du plus pur romantisme. Et comme chaque fois, les règles de la rencontre lui donnaient un caractère de mystère tout à fait passionnant. Un thème, l’époque Victorienne anglaise pour les costumes et l’ambiance, et comme d’habitude, un souci de conserver l’anonymat de chacun pour garder les conditions de ces rencontres virtuelles sur le net. Donc pas de signes distinctifs, et port du masque obligatoire en plus du costume adéquat. Bien sûr certains se connaissaient déjà et pouvaient se reconnaître facilement, mais chacun jouait le jeu...

Seule indication, la liste des invités était fournie, pour augmenter l’envie de découvrir nos amis. Pour moi c’était la première fois, et j’avais hâte de vivre de bons moments avec tous les contacts sympathiques qui accompagnaient mon quotidien depuis plusieurs mois. Le site m’avait relancé et permis de m’exprimer, ce que je ne faisais pas si facilement, et la sensibilité de la plupart était un régal et un appel à la confidence. Franchement j’avais envie envie de côtoyer Capricorne pour son talent, Chibani pour son humour, Rainbownight pour sa fraîcheur et tant d’autres, surtout des femmes, pour la sympathie qu’ils dégageaient. Ecouter une nouvelle de Lesmotions, oui je le voulais...

Mais surtout, je venais pour l’élue, la fleur du site, mon amie, ma confidente et mon alter ego, celle avec qui je partageais au delà de l’espace des moments délicieux et de pure douceur. Un mélange de toutes les qualités, celles qui chauffent le cœur, celles qui enflamment le corps...

Comment se reconnaître? Je faisais confiance à notre intuition, et aux phéromones, ces petites molécules que nous émettons et qui transmettent les messages secrets de notre corps. J’étais sûr que la magie et la chimie ferait battre nos cœurs plus intensément quand viendrait l’heure de la proximité. J’avais confiance...

Les invités arrivaient petit à petit, belles femmes en robes s et petites ombrelles, beaux messieurs dans leurs costumes d’un autre temps. Et bien sûr le masque blanc pour garder le mystère. Un peu intimidé, je me mêlais aux personnes qui se tenaient autour d’un buffet dressé sur une grande table au soleil. Et j’essayais de deviner qui était qui, par le souvenir du style de chacun. Oh cet homme qui déclamait des vers, d’une belle assurance et d’un talent certain , j’aurais juré que c’était Ratatouille! Et cette petite dame, qui allait de l’un à l’autre pour offrir sa gentillesse et ses mots si doux, si ce n’est pas Cyrael …
Tout le monde était là, la petite dame (j’avais raison) fit un petit discours de bienvenue et nous rappela les grands principes, passer une bonne journée, partager nos dernières œuvres (quelques petites estrades parsemaient les jardins) et se fabriquer de doux souvenirs de rencontres et d’amitié...

Je passais d’un groupe à l’autre, écoutant les poèmes, échangeant des idées sur le monde, et sur tout ce qui faisait notre vie de poètes. Un petit orchestre égayait nos oreilles. J’étais bien, ne me manquait que sa présence. J’avais bien quelques petites idées, mais encore un petit doute sur l’identité de ma chérie...

Oh mais c’est sûrement Isabelle59 qui nous enchante par sa douceur et sa sensualité. J’écoutais tendrement, mon esprit vagabondait, quand je sentis une petite main se glisser dans la mienne. Mon dieu, ce contact fit en moi l’effet d’un rayonnement soudain, et mon corps fût parcouru de frissons, doux et électriques...

ELLE M’AVAIT TROUVE

Mon cœur se mis à battre, ma voix bloquée dans ma gorge, des petits picotements dans la nuque. Pas de doute, vu l’effet sur moi, c’était bien ma douce. Sans rien dire elle prit mon bras et m’entraîna pour marcher un peu dans les allées du jardin. C’était la fin de l’après-midi, soleil bas et lumière tendre, pas besoin de parler, j’étais bien (et encore sous le coup de l’émotion) et nos pas s’accordaient comme des amis de toujours...

Sous une tonnelle, et entourés de merveilleuses roses aux senteurs enivrantes, nous nous faisions face à face. Sentant qu’elle devait prendre l’initiative, elle entoura mon cou de ses doux bras et approcha ses lèvres des miennes. Oh douceur exquise, saveur fruitée de l’été, sa bouche avait le goût d’une pêche qui éclate au palais et déverse son jus. Nos langues commencèrent leur danse et le temps se figea. Enlacés nos mains cherchaient la bonne prise, pour minimiser l’espace entre nos corps avides de contact...

Ces minutes furent une éternité, et me revenais le poème qu’elle m’avait inspiré sur cette seconde unique de bonheur quand tout s’accorde. Ses lèvres, ses joues, ses mains, étaient douceur extrême et comme une invite à découvrir le reste. Ses mains exploratrices commençaient à découvrir mon corps et ne semblaient pas avoir de limites imposées. Quand l’une d’elle se posa sur mon pantalon, elle constata que je n’étais pas insensible aux charmes de son corps. Notre étreinte m’avait comblé de joie pure et tendre, mais avais également réveillé mon désir. A travers le tissu, elle sentait et palpait la tension extrême qui ne demandait qu’à s’épanouir. Je crus défaillir quand sa caresse plus pressante fit sortir de sa cachette le bout déjà trempé de mon sexe...

Mais ce n’était pas le lieu de découvertes plus poussées. Je repris mon souffle et sa main et nous repartîmes vers des lieux plus fréquentés. Devant la grande demeure, certains s’activaient déjà pour préparer le grand dîner du soir. Belles assiettes et bougies nous promettaient un régal pour les yeux et raffinement de cuisine. Mais pour l’instant ma belle avait une autre idée en tête et comptait plutôt terminer son exploration à peine entamée …

Elle m’entraîna donc vers la maison à la recherche d’un endroit propice et discret. Les nombreuses pièces du bas étaient trop lumineuses et spacieuses, elle m’attira alors vers un escalier qui menait vers des recoins plus adaptés à sa mission. Là-haut, plus de calme et de pénombre. Et peu de chances d’être dérangés. Contre une porte elle me poussa et entrepris de libérer l’objet de son émoi. Le pantalon de toile tomba rapidement sur mes chaussures, et sa main agrippa à travers le fin coton qui me préservait encore, mon sexe tout tremblant et d’une vigueur de circonstance. Approchant ses lèvres, elle engloba le tout, tissu et chair et mordit doucement. Mes mains sur sa tête j’appréciais à sa juste valeur l’application qu’elle mettait dans cette mise en bouche...

Une main à même mes fesses, l’autre jouant avec mes bourses, elle entreprit de visiter sur toute sa longueur le dur bâton qui ne demandait que cela. Sa langue sentait à travers l’étoffe, la veine gonflée qui palpitait intensément. L’idée même que c’était mon petit cœur qui me procurait ces délices décuplait l’intensité du plaisir. Doucement sa tête montait et descendait, entraînant sa bouche, langue sortie, le long de ma verge qui commençait à entrevoir le moment où tout explose. Sa main vînt compléter l’action de sa bouche et accéléra le mouvement. Sentant l’instant ultime arriver, elle arracha mon dernier vêtement et me prit dans sa bouche, ses lèvres serrant fermement, elle engloutit au maximum, et en quelques mouvements bien contrôlés elle me fit atteindre l’extase. Ma semence jaillit accompagnée d’un petit cri de jouissance, tandis que ses ongles griffait ma fesse. Ne voulant rien laisser, elle avala le tout et lécha soigneusement ce qui coulait lentement le long de mon sexe bouillant...

J’avais rarement connu telle intensité, et un bien-être m’envahit, des frissons achevèrent mon contentement. Sous son masque je devinais le sourire de la bien-aimée fière d’avoir fait jouir son homme. Elle m’enlaça et je déposais sur sa bouche encore humide un doux baiser comme elle les aime. Reprenant mes esprits je remis un peu d’ordre dans mes vêtements et nous partîmes pour le dîner main dans la main...

Une telle journée m’avait mis en joie et en appétit, et c’est tout sourire que je pris place pour le repas à côté de ma sensuelle compagne. Ce fût régal, les plats raffinés défilaient, et l’ambiance était des plus conviviales, chacun y allant de son meilleur texte ou de ses bons mots. Le champagne nous montait à la tête, et ma petite qui est chamboulée à partir d’une demi-coupe commençait à montrer des joues rosies par l’alcool, la joie et certaines idées qui lui venaient en tête...

Sous la nappe je sentis sa main sur ma cuisse. La mienne vint l’y rejoindre et doigts enlacés nous étions comme deux amoureux tout neufs! D’un même mouvement, l’ensemble passa d’une cuisse à l’autre et j’entrai en contact avec la douce chaleur de sa peau. La coquine avait remonté sa robe pour permettre un accès plus aisé à certaines parties de son corps qu’elle souhaitait m’offrir en cadeau. Puis sa main rejoignit le dessus de la table, laissant la mienne seule, mais invitée à pousser plus loin l’exploration...

Douceur, chaleur, ces mots étaient trop faibles pour décrire la sensation que me procurait d’être entre ses cuisses. Ma main droite, paume sur sa peau, doigts vers le bas, remonta lentement, savourant le grain velouté de son épiderme. Elle atteignit alors l’infime dentelle qui recouvrait sa toison si fine. A plat sur le pubis, doigts écartés au maximum pour profiter de tout , je fis tendre pression pour assurer à ma voisine que j’avais bien compris le message...

Pendant ce temps, les conversations continuaient, les rires fusaient, et la coquine n’était pas la dernière à montrer sa joie. Que tous prirent bien sûr comme manifestation du bonheur de se retrouver tous ensemble. Mais autre chose était en partie responsable de cet état. Sous la table, mes doigts par petits cercles, avaient entrouverts les petites portes protégeant, pour peu de temps encore, la caverne aux mille trésors. Mon majeur poussa plus loin et commença à frotter le tissu blanc sur les chairs roses et humides. Parmi ses rires, des petits cris partaient, que tous prenaient pour les manifestations de la boisson. Oh coquine!!!

Repliant mes doigts, j’accrochais le bord de sa culotte mouillée de plaisir, et je les fis passer par dessous pour sentir les palpitations de sa peau. Il n’était plus l’heure de perdre du temps vu l’état de la belle qui riait et se secouait sous l’effet de tous les plaisirs réunis. Alors mes deux doigts enserrèrent comme une pince, le clitoris tout dur et gorgé de désir. L’humidité ambiante facilita le travail des deux artistes, pression, pincements, roulements, tout contribua à faire vibrer le corps de ma chérie qui m’envoyait des regards plein de tendresse et de gratitude. ..

Les mouvements maintenant profonds et appuyés faisaient leur effet, et la pauvre semblait s’enfoncer sous la table. Sentant que l’explosion serait imminente, je décidais de lui venir en aide et je sortais d’une voix puissante ma plus grosse blague (pourrie mais bien marrante). Ce fut un tonnerre de rires et d’applaudissements. Un tel bruit que ma coquine arriva à jouir bruyamment sous les derniers effets de ma main en folie, sans que personne ne remarque cette situation plutôt délicate. Secouée par les rires et les spasmes de l’orgasme, tout son corps bougeait et je la regardais avec un évident bonheur. A peine apaisée elle se jeta à mon cou et devant les sourires de l’assistance elle me fît le plus tendre baiser qu’il soit permis de donner...

Vous pensez bien que le retour vers nos régions respectives fut un voyage empli de bons souvenirs, de marques d’amitié, de promesses de se revoir et de rendez-vous futurs sur le site. Pour nous ce fut bien plus, nos corps avaient gardé l’empreinte de l’autre et dans nos têtes il y aurait pour longtemps ces instants délicieux où plus rien ne comptait que de donner et de s’aimer.
Lun 16 Avril 2012, 12:16 par cocoeur sur Les liaisons sulfureuses

Je n'ai pas su te dire

J’aime tes cheveux en bataille, le matin au réveil.
J’aime ton regard de rainette quand tu viens de pleurer.
J’aime tes longs cils, qui battent tels des éventails dissimulant tes yeux quand tu te sens gênée.
J’aime la chaleur de ton cœur qui bat contre le mien quand tu es fiévreuse.
J’aime la petite fille qui dessine les fleurs qu’elle n’a pu offrir à sa maman.
J’aime la silhouette fluide que dessine ta longue robe tachée de roses.
J’aime entendre ta voix la nuit dans la solitude de tes appels.
J’aime le souvenir de tes pas quand le long de la rivière tu as pris la main de ta sœur.
J’aime tes éclats de rire le dimanche, quand tu sais que les vacances ne font que commencer.
J’aime la rêverie des fumées de ta cigarette quand le soir nous n’avons plus besoin de parler.
J’aime la délicatesse de tes gestes et tes sourires amusés.
J’aime nos rendez-vous clandestins quand tu crois que ta mère ignore que nous nous retrouvons.
J’aime la sérénité de nos promenades en forêt quand l’hiver est si bleu.
J’aime quand tu me demandes de te servir du vin pour me faire comprendre que tu n’es plus une enfant.
J’aime les rides qui éclairent ton front quand tu lis Flaubert.
J’aime tes paroles adolescentes quand tu découvres la révolte.
J’aime le désordre de ta chambre, tes vêtements éparpillés que tu ne porteras pas ce soir.
J’aime ta précipitation affolée quand tu sais que tu es encore en retard.
J’aime regarder le chat qui s’endort au creux de ton ventre.
J’aime cette musique que tu écoutes, que je ne comprends plus.
J’aime te savoir heureuse quand tu es loin de moi.
J’aime quand tu descends du train, me cherchant sur le quai.
J’aime quand feignant l’indifférence, tu fais semblant de ne pas être fière de la copie que tu as laissée trainer sur la table de la cuisine.
J’aime quand tu me manques, je sais que ce soir nous dinerons ensemble.


Je n’aime pas les magazines que tu lis.
Je n’aime pas la longueur de tes silences.
Je n’aime pas ces photographies que je n’ai pas su prendre de toi.
Je n’aime pas la couleur rouge de l’ambulance.
Je n’aime pas ce téléphone qui a oublié le son de ta voix.
Je n’aime pas ces fleurs que tu soignais, qui renaissent éternellement.
Je n’aime pas ce chat que l’on n’a plus revu quand il a compris que tu ne reviendrais pas.
Je n’aime pas cette maison qu’ habitent d’autres bonheurs à présent.
Je n’aime pas le temps qui est passé dans l’ombre des années perdues.
Je n’aime pas entendre la tristesse de ta sœur.
Je n’aime pas les paroles que tu as enfouies, quand tu les pensais inutiles.
Je n’aime pas que tes rêves ne soient restés ceux de l’enfance.
Je n’aime pas le désespoir dont tu as vêtu tes nuits d’errance
Je n’aime pas ce corps que ta douleur a effacé.
Je n’aime pas les mots que je n’ai pas su te dire.
Je n’aime pas que de ma mémoire tu t’estompes chaque jour un peu plus.
Je n’aime pas ne plus savoir pleurer.
Je n’aime pas la force que j’ai eue sans toi.
Je n’aime pas cette femme qui ne t’a jamais connue.
Je n’aime pas ses yeux dans lesquels tu t’es sentie femme.
Je n’aime pas le chant des oiseaux insolents au printemps retrouvé dans ce jardin où tu es désormais en paix.
Jeu 15 Mars 2012, 00:04 par francisco varga sur La déclaration d'amour

Album photos

Redécouvrant ces images oubliées depuis si longtemps je m’abandonne à leur contemplation attentive, faisant renaitre celui que j’étais à vingt ans.

Premiers mots, dans le train

Ça, c’est dans le train qui nous conduisait à Marseille. Nous ne nous connaissions pas encore. J’avais remarqué cette fille qui sur le quai m’observait. C’est elle qui m’a adressé la parole en premier. Sa tête me disait bien quelque chose, mais je ne la remettais pas. Je ne me souviens plus des premiers mots que nous avons échangés. Le train était bondé et nous n’avions pas trouvé de places où nous assoir. Debout sur la plateforme, nous nous sommes racontés ; elle souriait tout le temps, faisant comme si elle me trouvait passionnant ; moi, je faisais la roue....Elle a voulu me montrer , un petit reflex argentique autofocus, que son père lui avait offert pour son anniversaire et dont elle était très fière, en le manipulant elle a photographié la porte des toilettes. Le flash s’est déclenché automatiquement..... L’image est remarquablement nette.

Quand à Vienne, le Wagon a commencé à se vider, nous nous sommes installés, côte à côte....Elle me parlait, de sa vie, de ses parents, de ses études....Nous fréquentions la même école. Elle entamait sa première année, moi ma troisième. Je me souviens juste de ses yeux qui brillaient et des reflets roux qui courraient sur le Rhône ce matin de décembre entre neige et soleil.

* * *

Neige de février la nuit.

Ça, c’est une drôle de photo toute floue. La neige tombait à gros flocons. C’était la nuit. Nous avions fait l’amour pendant des heures, probablement plusieurs fois de suite.
C’est elle qui m’a réveillé pour que je voie tomber la neige. Je me souviens m’être dit que c’était un peu idiot... La neige à Lyon en février, ça ne me semblait pas un spectacle inhabituel.
Toute nue, elle regardait la neige qui recouvrait le jardin en contrebas en me disant c’est beau non ? Moi j’étais derrière son dos, et je regardais ses petites fesses qui reflétaient la lumière jaune des lampadaires de la rue. J’ai saisi l’appareil posé sur la table du salon. C’est à cet instant qu’elle s’est retournée pour me sourire. Je n’ai pas interrompu mon geste, et j’ai pris la neige à travers la fenêtre. Elle s’est mise à genoux pour me prendre dans sa bouche. Elle n’avait jamais fait cela. Elle voulait me faire plaisir, elle s’y prenait plutôt mal. Nous avons encore une fois fait l’amour....
La photo est ratée et le labo ne nous l’a pas facturée, si l’on regarde attentivement, encore faut-il le savoir, on distingue vaguement le reflet de son dos..

* * *

Premières vacances à Biarritz

Celle-ci c’est mon frère qui l’a prise. On est au début de l’été sur la promenade qui longe la plage de Biarritz. Le ciel est bleu lumineux. Je me souviens de l’odeur des frites et de l’ambre solaire qui évoquait le temps des vacances. Les couleurs de la photo sont chaudes et saturées.
Le vent rabat ses cheveux vers l’avant, couvrant une partie de son visage. Elle ne pose pas et rit de toutes ses dents.
Nous nous étions baignés, l’eau était encore un peu fraiche. Elle porte une jupe rouge légère qui lui arrive un peu au-dessus des genoux. Prétextant que l’eau était très salée et qu’elle avait oublié emporter de quoi se changer, elle était restée nue sous ses vêtements.
Par jeu ou par défi, et sans que je le lui demande, elle est restée toute la journée dans la même tenue.
C’est la semaine ou elle a voulu emprunter avec moi de nouvelles voies sensuelles.


* * *

Le collier de perles

C’est l’hiver, toujours à Biarritz. Le regard buté et la lèvre tremblante, elle ne veut pas me parler.
Mes parents nous ont invités au restaurant. À la fin du repas, ma mère remarque qu’elle porte le collier en perles que je lui ai offert deux mois plus tôt. C’est à cet instant qu’elle découvre mon mensonge... le premier... en le lui offrant, je lui avais fait croire que je l’avais acheté lors d’une vente aux enchères. Ma mère lui apprend qu’il s’agit du collier de ma grand-mère. Ma mère parle toujours trop. J’aurais voulu qu’elle se taise. J’aurais voulu être ailleurs. Le choc est d’autant plus rude que le cadeau l’avait surprise.
Elle apprendra un an plus tard que ce n’était même pas de vraies perles.
C’est ce soir, je crois qu’elle à appris à ne plus m’aimer autant.

* * *

Festival d’Avignon

Photo de groupe, quelques mois plus tard. Un stage de théâtre à Avignon. Nous assistions à une ou deux représentations par jour et avions droit à l’explication de texte détaillée de l’artiste. Nous ne nous connaissions pas auparavant et ne sommes jamais revus depuis. Je ne parviens pas à mettre un nom ou un prénom sur le moindre visage.
Le cliché a été pris à la terrasse d’un café proche du palais des papes. Nous sommes côte à côte, sans tout à fait me tourner le dos, elle ne semble pas me prêter attention. Elle a sympathisé avec un garçon qui ressemble à un moniteur de ski ou de planche à voile. Il est grand, blond, les yeux clairs, l’allure assurée des hommes que les femmes recherchent ; j’ai l’air d’un môme à ses côtés.
Elle lui propose de venir nous voir à Lyon et insiste pour qu’il note le numéro de téléphone. Je sais que si elle le revoit, ce ne sera pas pour parler théâtre... Nous n’avons jamais évoqué cet épisode par la suite. Je ne suis pas certain qu’elle aurait souhaité m’associer à la réalisation de son fantasme.

* * *

Nouvel An dans le Jura

Sur celle-ci, on la voit, en train de danser. Nous sommes dans un gite dans le Jura et fêtons le Nouvel An avec un groupe d’étudiants que nous connaissons depuis quelques semaines seulement et ne reverrons jamais.
La musique est forte... tout le monde a déjà beaucoup bu. La pièce est enfumée, nous ne pouvons pas ouvrir les fenêtres, dehors il fait -20° ou moins encore.
Je la savais opposée à toute consommation de stupéfiant, mais ce soir-là, elle s’est servi une énorme part de space cake et peut être un cachet d’ectazy également.
Elle est devenue très câline, m’a attiré dans un coin un peu à l’écart, m’a pris la main, dégrafant elle-même un bouton de son jean pour dégager sa taille et m’a demandé de la caresser jusqu’à l’orgasme. Elle me regardait droit dans les yeux, tandis que ma main s’activait... je l’ai sentie se détendre comme un ressort cassé. Elle venait de jouir. Après cela, elle est partie danser, puis je l’ai perdue de vue pendant une heure ou deux jusqu’au moment où elle est venue me chercher, pour que je lui fasse l’amour sous la douche. Son sexe était humide au point que je me demande encore si je n’ai pas confondu son excitation intime avec le sperme d’un autre.
Un mois plus tard, nous étions séparés. Il me semble que c’est à cette occasion que nous avons fait l’amour pour la dernière fois.

* * *

Nuit de féria à Nîmes

Là, c’est moi de nuit, le crâne rasé, l’œil sombre, marchant dans les rues de Nîmes en pleine feria. Je suis militaire, à l’époque on disait bidasse.
Nous sommes séparés depuis plusieurs mois. Nous n’avons plus que quelques rares contacts téléphoniques.
Je sais qu’elle vit à présent dans cette ville.
J’ai l’air préoccupé et sérieux..., je me souviens que j’étais en fait à la fois triste que notre histoire soit terminée et inquiet de la rencontrer accompagnée d’un autre, qui serait forcément plus grand et plus beau que moi.
Mon ami, qui m’a invité se moque de moi.... La rue est en fête. Tout le monde rit et danse autour de nous, tandis que nous marchons en parlant du sens de la vie.

* * *

En revenant de Nîmes, un matin.....

Dans cette photo, prise d’un radar routier, à l’entrée de Nîmes, on me voit seul au volant de ma voiture. Je suis pressé d’arriver à destination.
Elle m’avait invité à venir lui rendre visite dans son deux pièces à Nîmes, pour diner.
Je n’étais plus militaire et nous ne nous étions pas revus depuis une année.
Elle m’attendait chez elle. Je suis venu les mains dans les poches, sans une bouteille ni même un bouquet de fleurs. Elle semblait heureuse de me revoir, me gratifiant de son sourire magnifique.
Tous deux assis à même le tapis de son salon, je l’écoutais me parler de son travail, de sa vie, de sa mère. Le téléphone a sonné. Elle a décroché, j’ai compris qu’elle parlait à son nouvel amoureux. Adossée à un mur, ses talons posés à plat, elle lissait sa jupe et la rajustait en me regardant sans cesser de parler. Elle a légèrement entrouvert ses genoux d’un geste faussement involontaire, me dévoilant un court instant une tache entre ses cuisses.
Après qu’elle ait raccroché sur un mot tendre chargé de promesses érotiques, nous avons repris notre discussion. Il faisait chaud ce soir-là, mais la température était supportable. Elle s’est levée d’un geste nerveux, me déclarant que son string la grattait et lui rentrait dans les fesses, l’a retiré rapidement en me tournant le dos. Sagement installée sur son canapé en toile, elle est nue sous sa jupe. Elle joue, prenant garde à ce que je n’interprète aucune de ses attitudes comme un signal érotique.
J’aurais dû l’embrasser, me jeter sur elle, la prendre, sans même la déshabiller, ramper sous elle pour la dévorer. Mais ce soir, je suis resté assis sur son tapis carré... j’ai continué à parler et à boire ; à parler encore et à boire aussi.
Nous avons dormi ensemble. Je n’étais de toute façon pas en état de reprendre la route. Allongée, dos contre mon ventre dans son lit, elle était nue. J’étais saoul et m’en voulais de ne pas avoir su réfréner ma pulsion alcoolique. Comprenant qu’il ne pouvait désormais plus y avoir que de la tendresse entre nous, elle s’est saisi de ma main droite afin de couvrir son sein gauche et s’est rapidement endormie.

* * *

Photo sur le net


Je ne l’ai plus jamais croisée. Récemment, en tapant son nom sur un moteur de recherche, j’ai vu son visage apparaitre sur une photo qui semblait avoir été scannée à partir d’une pièce d’identité.
Près de trente ans plus tard, elle n’a pas changé. Elle est toujours aussi souriante et ne fait pas son âge.
En revoyant cette image, me revenaient en mémoire les deux années que nous avions passées ensemble. Elle était toujours célibataire et vivait encore dans le sud. Je me suis demandé ce qu’il serait passé si je ne lui avais pas menti à propos du collier de perles. Peut-être aurions-nous prolongé notre histoire. Nous aurions certainement eu des enfants et la séparation n’en aurait été que plus douloureuse. Nous n’étions pas destinés à rester ensemble toute notre vie.
J’ai quelques remords, mais aucun regret. Je conserve un souvenir attendri de ma première histoire d’amour.

* * *

Elle n’a pas tout oublié

Ma mère est passée à la maison hier soir. Après quinze ans de célibat, elle a enfin décidé de refaire sa vie dans une autre ville avec son nouveau compagnon. C’est fou ce que l’on peut jeter quand on déménage. Je lui avais dit que je ne voulais pas qu’elle se débarrasse de quoi que ce soit qui m’appartient sans me le dire. Elle a tenu parole et m’a rapporté hier, une malle pleine de vêtements d’enfants et une surprise. La surprise c’est cette boite en carton qui déborde de vieux souvenirs que je suis en train d’effeuiller, seule, sur la table de mon salon.
Au fond de la boite, une enveloppe rose. Dans l’enveloppe, quelques photos de moi, encore adolescente. Mes sœurs et moi fêtant mes dix-huit ans, mon chat, mes premiers et derniers essais de photographie artistique. Puis retournée, parmi d’autres ; je suis sûr qu’elle a ouvert l’enveloppe, un cliché, ou je m’adonne au plaisir naturiste au bord d’une rivière par une claire journée d’été. Je suis debout, bien sûr toute nue, et la photo a été prise de surplomb. Mon corps est un peu déformé par la perspective plongeante. Je suis bronzée des pieds à la tête, sans la moindre marque de maillot de bain. J’avais encore mes petits seins, qui me complexaient tant, que je me suis fait refaire pour mes trente ans.
J’avais oublié l’existence de cette image, mais je me souviens de cette journée. Je ferme les yeux et elle revit en moi.
Nous avions décidé de nous baigner dans le Gardon. Ma sœur avait voulu nous accompagner avec son petit ami iranien. Lui nous conduisait, dans sa 504 décapotable rouge.
Il faisait très chaud, et nous voulions nous baigner. Il ne supportait pas la promiscuité et refusait toutes les plages que nous lui proposions, nous avons roulé, puis marché longtemps pour trouver un endroit qui ne soit pas envahi de familles.
Il était beau ce jour-là, très brun, ses cheveux bouclés flottaient au vent. Ses lunettes de soleil lui donnaient un air absent. J’avais envie de le toucher, de gouter sa peau que je devinais salée. Lui, conduisait, sans dire un mot le regard fixé sur la route.
C’est moi qui après notre baignade ai pris l’initiative de me débarrasser de mon slip de bain, pour bronzer toute nue. Il ne s’est pas fait prier longtemps et s’est lui aussi complètement dévêtu. Ma sœur était dans l’eau en compagnie de son invité. Visiblement gênés, ils n’osaient plus nous rejoindre.
Allongée sur le ventre, je somnolais, goutant l’odeur des pins, la douceur du soleil et le chant des cigales. Je me sentais bien dans mon corps, j’ai senti sa main huilée d’abord se poser sur mon épaule puis investir le reste de mon corps. J’avais envie qu’il continue sa caresse, qu’il l’a précise et de ses doigts me fasse jouir maintenant.
Je me suis levée et d’un geste de la tête l’ai invitée à me suivre. Sous un arbre, je me suis assise face à lui, tournant le dos à la rivière. Écartant légèrement les genoux, je n’ai pas eu besoin de dire pour qu’il comprenne ce que je désirais. Je voulais me sentir fouillée, caressée, excitée... Je n’ai jamais retrouvé un homme qui sache aussi bien me faire jouir de ces doigts. Il m’a caressée, longuement, lentement, avec la précision et la douceur d’une femme. Je le regardais dans les yeux et sentait son trouble alors que le plaisir rapidement montait de mon ventre d’abord par vagues, puis comme un flot continu. C’est à ce moment que sans cesser sa caresse, il s’est penché vers moi, me soufflant une parole obscène et souriante. J’ai senti mon sexe inondé de plaisir. Un petit cri m’a échappé... Je ne l’ai pas touché. Il n’a pas insisté. Il n’a jamais compris que j’attendais qu’il prenne sans attendre mon autorisation
C’est avec lui que je me suis peu à peu affranchie de mes inhibitions et du poids du regard de ma mère. Un soir, j’ai eu l’impression que je faisais l’amour avec mon frère. Je n’ai plus supporté de voir son visage face à moi. Je me suis retournée, et m’imaginant avec un autre je me suis faite jouir sans attention pour son plaisir. Je savais que notre histoire était finie. Je n’avais plus envie de lui. Il me fallait d’autres corps, d’autres odeurs, ressentir les émotions du début.
Nous nous sommes quittés sans qu’il insiste pour me retenir. Il avait l’air triste des amants révoqués. Je ne l’admirais plus.
Nous nous sommes revus peu après notre séparation. Je voulais qu’il me prenne, qu’il me maltraite et me baise.... mais, il n’a rien compris et a passé toute la soirée à boire et à parler.
Je ne sais plus où il vit. Il a dû vieillir et perdre sa brune beauté juvénile. Peut-être ses cheveux ont-ils blanchi. Peut-être a-t-il pris du ventre ou perdu l’éclat de son regard. Je voudrais ne jamais le recroiser. Et puis que lui dire à présent ?
Lun 12 Mars 2012, 22:57 par francisco varga sur Histoires d'amour

Le ruban (duo caressedesyeux/inconnu)

Il glisse en épousant harmonieusement ses courbes
Descend lentement de l’épaule entre les seins
Se colle au ventre et d’un mouvement superbe
Amoureusement enroulé tel un serpentin
Il se fait douce caresse sur sa belle hanche
Et embrasse de toute l’étendue de sa surface
Cette merveilleuse et adorée peau si
Oh, qu’est-ce que j’aimerai être à sa place

Ruban de laine, ruban de satin, ruban de soie
Suscitant, sur son parcours, l’amour, le désir et l’émoi
Longue pièce de tissu s’accrochant aux gouttes de sueur
Flânant délicatement sur le grain de la peau
Comptant, méthodique, chaque tâche de rousseur
Le ruban esquisse de son corps le tableau
Et glisse sur celui-ci léger et vaporeux
Tel un nuage sillonnant les cieux...

Son périple dans ce sublime décor enchanteur
Qui n’a désormais plus rien à cacher à nos yeux
Révèle au regard ébloui l’ineffable splendeur
De son corps dénudé, spectacle merveilleux
À l’indéniable beauté subliminale
Que ma mémoire gardera dans ses annales
Mais bien qu’on s’efforce, par tous les moyens, de le défaire
Le joli nœud malgré tout résiste et se retrouve finalement par terre
Sam 14 Jan 2012, 21:17 par caressedesyeux sur Mille choses

L'amour au clair de lune (reve) duo caressedesyeux/inconnu

Ce soir, il y a un magnifique clair de lune
Qui inonde la chambre de sa lueur argentée
Une claire obscurité, sur le corps de ma brune
S’étend telle une couverture brodée
Pour mieux observer cette nocturne beauté
Je me lève doucement, sur la pointe des pieds
Et sans faire de bruit, je fais le tour du lit
Pour épier ton visage et l’ourlet de ta bouche
Sens-tu mon regard ou tu rêves et souris
Je contemple ce trésor qui dort dans ma couche

Et l’envie me prend de doucement le caresser
L’ébène de tes cheveux glisse entre mes doigts
J’embrasse et mordille le lobe de l’oreille
Tu soupires, j’ai peur que mon geste ne te réveille
Je remonte le drap que tu ne prennes froid
Je dépose un bisou sur chacun de tes yeux
Et un poutou mutin sur le bout de ton nez
Tes lèvres entrouvertes me rendent fiévreux
Elles sont une invite pour un baiser passionné
Il faut que je les évite ou mon plan sera gâché

Je caresse ta joue et descend dans le cou
Puis, sur ta gorge, j’ose, la langue, glisser
Goulument jusqu’entre tes beaux mamelons
Tes seins se redressent et durcissent les tétons
J’apprécie leur fermeté, leur rondeur, leur parfum
De cette belle peau d’ambre j’en hume les embruns
Je m’étends en tendres bisous sur ton joli ventre
Un baiser moelleux pour chaque grain de beauté
Je m’approche doucement de l’endroit le plus tendre :
Un joli carré de belle toison, par ta jambe, caché

Splendeur de ta féminité, berceau de mes désirs
Je cajole l’entrejambe, tu soupires et t’étires
Libérant ainsi le doux objet de ma tentation
Je respire l’essence de ton bouton de rose
Le suce, l’agace et recommence l’action
Je bois à ta source cette liqueur onctueuse
Plus enivrante que le plus capiteux vin
Des doigts et de la langue, tes doux recoins
J’explore, tâte et caresse tout en douceur
Ta respiration s’accélère, tes reins se cambrent
Tu t’étends, te donnes, entière, avec ardeur
Tes gémissements emplissent la chambre

Puis, soudain, tu te redresses et m’empoignes
Et d’un fougueux baiser, tu te glisses sur moi
L’adorable amazone part en campagne
Chevauchant hardiment le corps de son roi
Je parcours des mains tes veloutés vallons
Tu en frissonnes et accélères tes mouvements
Je retiens ta croupe pour être au diapason
Ta bouche et ton regard deviennent brûlants
Nos corps tourmentés se mêlent de sueur
Nos lèvres s’écrasent et nos langues s’emmêlent
Je te sens raidir et retiens encore mon ardeur
Puis, dans un soupir de délice, nos sens s’apaisent

Tes yeux noisette pétillent de joie et de bonheur
Je t’embrasse passionnément et te regarde t’endormir
Te serre amoureusement, te caresse tendrement,
Mon amour, ma femme, mon rêve d’avenir
Jeu 29 Déc 2011, 11:18 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Je m'incline!

Mon âme est étreinte, car mon corps manque de ce rythme qui me comblerait. Cet acte: celui où tu me prends. Tu poses tes mains sur mes hanches, et me surprends, comme je succombe à cet instant. Je m’incline, au bord du précipice dans lequel je tombe d’amour. Je me penche.
Je me baisse, tu te dresses. Tu m’apprivoises et j’agonise du désir où mon rêve meurt mais tend à se réaliser. Je me soumets à toi, et toi tu enjambes ce qu’il reste de moi. Ce qu’il reste de moi? Un instinct comme animal, une envie de ton sang dans le mien. Il ne reste plus qu’une pulsion: celle où je me sens vivre pleinement, celle où tu donnes vie à l’orgasme. Celle où l’on culmine de plaisir, au cœur de la réalité. Une envie sans artificiel, une envie naturelle, une envie de toi qui me rend folle. Je m’incline car je t’aime et ça me rend folle de sexe avec toi. Faudrait-il une raison? La raison, la Passion. Je revis quand je vois ton sourire, même lorsque ton sourire ne me suffit plus. Je revis, quand je lis entre les lignes, et que je vois ton visage se dessiner sur le sable où tu écris mon nom. Je revis, quand mon téléphone indique un sms venant de toi, et ce avant de le lire. Je revis comme une enfant, qui t’éprouve. J’apprends, à te connaître, il faut du temps, mais au limite du besoin, mon fantasme se fait pressant. Ma patience a atteint ses limites, et je me languis, malgré les précautions. Doucement mais sûrement, je visualise la scène: comme si nous l’avions fait! Bande sans discontinu, film interdit au moins de 16 ans, ma vision est génitale! Et toi, tu es génial, tu es fantasque, tu es distingué et élégant. Tu m’apaises, et me soutiens. Tu m’écoutes et tu me fais rire. Tu es si intelligent, et très intéressant intellectuellement. Moi ça stimule mon cerveau de sucer des neurones de qualité! Tu me portes bienveillant, et je m’envole au septième ciel. Au 69ième étage, tu me conduis, dans les nuages. Mon regard est brûlant comme le soleil, pétillant, comme ton cœur qui pétille, effervescent, lorsque je te vois. Tu es l’air où je respire, des souffles de renouveau, tel un espoir qui vous caresse, une main qui vous frôle et vous tente. Une envie qui vous démange, une pensée qui vous ronge délicatement. Un jour noir de pluie et de froid, dans l’absence. Une nuit , un présent, qui illumine, ensoleillant. Un rêve diurne, une lueur dans mon cœur qui allume les flammes de l’ardeur. Un élan, voilà tout ce que je suis lorsque tu me pénètres profondément. Lorsque tu touches au plus profond de moi, lorsque tu rentres à l’intérieur et que tu pénètres mon intimité. Lorsque tes mains m’entourent et font le tour de ma taille, lorsqu’elles se promènent comme dans un jardin, et que je me fais fleur. Lorsqu’à ma peau, tes doigts glissent, et dérapent au bon endroit, au bon moment. Lorsque je me fais victime volontaire de tes assauts répétés, et de tout ce "va et vient". Tu bouges comme je vibre, tu me chamboules, tu me secoues, sauvage mais avenant. Mon corps accuse réception, il te reçoit cinq sur cinq, il s’ouvre. Mon corps s’écarte, puis c’est le trou noir: mes yeux se ferment. Je m’évanouis de plénitude, et quand j’ouvre les yeux, tu me donnes un baiser. Ma langue goûte à toi, mes mots coulent, je prends le risque: je me mouille. Je me jette à l’eau, je me noie dans tes yeux, je m’endors dans ton lit. Voilà, tout ce que je suis, lorsque nos deux corps se confondent en un seul, en fusion. Je ne suis plus qu’un être qui ne contrôle plus rien si ce n’est le cheminement de notre voyage en suivant ta voie lactée. Je ne suis plus qu’un être d’émotions que mon corps verbalise et interprète. Je n’ai plus qu’un langage: le corporel. Je n’ai plus qu’une lubie: faire l’amour avec toi.
Mer 26 Oct 2011, 00:07 par inlove sur Les liaisons sulfureuses

L'amour d'un frère

« L’encre est noir, les feuilles sont s. Dans la vie tout n’est pas noir, tout n’est pas blanc. Par exemple pour moi les jours sont noirs et les nuits sont s. Ma peau est moitié noire et moitié . On pense au meilleur car on ne peut pas oublier le pire. Quand on a vécu dans les ténèbres, on essaye de mourir dans la lumière. On ne vit ni un cauchemar, ni un rêve. On vit, ou on survit, entre les deux en essayant de maintenir l’équilibre.

Je ne suis né ni en enfer, ni au paradis. Juste entre les deux, sur Terre. Je ne suis ni un ange, ni un démon. Juste entre les deux, un Homme. Oui juste un Homme parmi des milliards qui vit entre le bien et le mal, qui fait le fort alors qu’il est si faible. Je vis dans ce monde si beau et à la fois si méprisant. Ce monde si petit qui est à la fois si grand, si immense, qu’il est facile de s’y perdre. Ce monde, dans lequel nous sommes à la fois tout et rien. Ce monde de contradictions, où on croit tout contrôler alors que c’est l’argent qui nous contrôle. Mais il faut s’adapter, sauver les apparences pour les gens qui nous aiment, pour ne pas les décevoir. Malheureusement toutes les personnes n’y arrivent pas et ces gens là sont pointés du doigt, souvent critiqués et incompris. Pourtant ces gens qu’on laisse pour compte, parfois abandonnés de tous, ne se sont tout simplement pas adapté à ce monde hypocrite et lâche. 

Je rêvais de marquer l’Histoire, de devenir un grand footballeur ou un artiste reconnu. Je voulais écrire des livres, réaliser des films, marquer un but au Parc des Princes ou peindre un tableau qui finirait au Louvre. Je voulais être considéré comme un génie, finir dans le dictionnaire ou sur Wikipédia, être l’égal d’un Ronaldinho, d’un De Vinci ou d’un Alexandre Dumas. Mais je ne pourrais pas réaliser ces rêves car ma vie va s’arrêter aujourd’hui. Elle va s’arrêter car on ne s’aime plus, je souffre trop et je la dégoutte.

Et toi ma belle Laura, ma grande sœur chérie et adorée, je vais te quitter, te libérer de ce lien si fort qu’est l’amour que tu me portes. Je suis désolé de t’avoir fait autant de mal et de soucis. Tu as été formidable et j’ai tout gâché comme un con. Je suis lâche et je vais t’abandonner.

Adieu , ma princesse et grande sœur adorée.

Je t’aime. »
Ven 21 Oct 2011, 14:08 par Denis sur L'amour en vrac

Petit traité de vulgairisation scientifesse (fessebook)

J’ouvre ici un petit manuel sur la fesse, tiré d’expérimentations scientifesses.

Je parle de "vulgairisation" car c’est ni de la vulgarisation, ni du vulgaire, c’est entre les deux ! je ne crois pas aux beaux sentiments par des envolées lyriques. Le véritable amour a une explication rationnelle que je vais tenter de vous expliquer en décryptant les mécanismes d’ordres mathématique, physique, chimique, transposés au sujet en question.
D’autre part, j’aimerais asseoir mes connaissances sur la fesse en élargissant mes idées avec les vôtres. Aussi, les commentaires appuyés sur un raisonnement scientifesse seront les bienvenus pour approfondir ensemble notre cul-dure !

Aussi, d’emblée, je rentrerais dans le vif du sujet, en assimilant le "cul" à une jolie plante. Que dis-je une plante, une fleur et si c’est pour parler du mien, je dirais même un chou-fleur ou un "Christ’ en thème". Mais passons et regardons-y de plus près. La fleur est si voluptueuse que deux tiges ne sont pas de trop pour son épanouissement. Les "popotinistes" classent notre jolie plante dans les jambèlifères : plantureuse famille toujours pourvue de deux jambes graciles qui prolongent sa fleur. Quand celle-ci repose, ramassée sur elle-même, il lui arrive d’entremêler ses tiges avec élégance. Elle devient ainsi source d’inspiration pour crucijambistes confirmés (généticiens en herbe ou amateurs de jambes croisées, pétris de case noire). Son pistil dégage alors un parfum entêtant et ô combien caractéristique !...
Mais je m’égare dans des élucubrations poétiques et intéressons-nous plutôt à la "faute aux saintes aises". Rien à voir avec la photosynthèse habituelle, car le mécanisme fonctionne à rebrousse poil. Je m’explique : la "faute aux saintes aises" de la fesse consiste à absorber du "coccyx gènes" en prenant ses saintes aises mais en fautant par rejet du gaz au "quart qu’on lui nique". Or, la photosynthèse est l’effet inverse ; comme chacun sait, son rôle est d’absorber le gaz carbonique et de rejeter l’oxygène. La faute aux saintes aises a donc ici un effet négatif pour l’environnement de notre planète car il accentue le réchauffement climatique en augmentant la couche d’ozone. Ce contre effet pervers est en tout point assimilable à l’amour vache (animal sympathique quand il broute mais pas quand il proute) ! Mais restons dans le raisonnement scientifesse et demandons nous pourquoi seulement le quart du gaz est rejeté : c’est très simple, le gaz est un anesthésiant redoutable et, lors de la pollinisation du pistil de la fleur par " l’ anthière état-pine ", la nature toujours bien faite s’escrime à ce que le tapin (racine de l’état-pine ) ne dure jamais trop longtemps. Ainsi, Le pistil, soucieuse de réitérer son plaisir pris pendant ces merveilleux rapports fusionnels, anesthésierait alors volontairement le sexe fort pour prolonger ses ardeurs sur le long terme. On reconnaît là l’éternelle amoureuse qui comme une héroïne dans un roman de Barbara Cartland susurrerait en son for intérieur :"Pisse-t-il mon coeur ne jamais saigner et filer longtemps le parfait amour !"

Cependant, voilà qu’un autre éminent chercheur du corps scientifesse contrecarra le pouvoir anesthésiant du gaz au "quart qu’on lui nique". il s’agit d’un spécialiste en hydrodynamique dans le secteur de la viscosité et l’écoulement des fluides. Ces proches collaborateurs lui ont qualifié le délicieux sobriquet de "Bébert la nouille" bien que mieux connu sous le nom de "Bernouilli" et de son fameux théorème. Bébert donc orienta ses recherches en observant la cuisson des pâtes (il était italien) et plus spécialement le macaroni. Il constata que la dite pâte plongée dans un liquide à 37 degré produisait une émulsion en surface sous forme d’écume et, 6 minutes après, il observa que la trempe du macaroni ressortait en forme de coquillette (précisons que la cuisson était " al dente "). Aussitôt il fit le rapprochement judicieux avec le fameux gaz anesthésiant, contestant alors son effet en tant que tel, le justifiant seulement d’ordre respiratoire ou d’aérophagie. En rapport au coït, la "faute aux saintes aises" n’implique pas selon lui un dégazage systématique. Ainsi, le pouvoir du gaz anesthésiant serait irrecevable, la crampe du sexe fort se ramollirait et racornirait uniquement par effet de trempe et en un point de fuite du "va-j’y nage". l’expérimentation sur le vivant assermenta son hypothèse: le prépuce sortait bel et bien fripé et blanchit après pénétration.
Enfin pour accentuer un peu plus la différence entre la "faute aux saintes aises" et la photosynthèse, disons que si "la forêt d’amozonie" absorbe une grande partie de "l’impur Co 2". Par ma fesse, "le purin " c’est au dos" qu’ il se rejette quand bien même percerait "une forêt où l’âme à son nid" !

Pour poursuivre dans les sciences des fluides et toujours dans le "va! j’y nage". Un colloque de chercheurs en expérimentation dans un lupanar établirent un calcul savant sur la poussée "d’orgie merde". Ils remarquèrent que tout corps plongé dans le trou noir subissait une poussée de haut en bas égale au poids du volume du liquide déplacé. Mais seulement si le plongeon est au must du coït, c’est à dire que l’accélération du "pesant heurt" s’exerce au point "g", là où il y a du plaisir ! Bien sûr on peut s’interroger sur le pourquoi de la grossièreté pour qualifier cette fameuse poussée. ben ! tout simplement parce qu’ après moult observations force fut de constater que ça ne sentait pas la rose !!!
Dés lors l’un des chercheur, mathématicien qui plus est, s’intéressa aussitôt au bourrin susceptible de cette merveilleuse poussée. Il s’avéra en l’examinant de près qu’il présentait de sérieux avantages sur les parties génitales. Il l’isola alors et mesura mathématiquement "sa rythme et trique" en position de frappe. Aujourd’hui, ce spécimen rare a donné son nom au théorème de "Bite à gore" énoncé comme il suit : "Bien carré l’hyppo t’abuse quand il te somme des deux côtés".
On dit à tout saigneur tout honneur ! Cependant abstinence est de rigueur au mâle en rut quand Madame en couche est contrainte de "l’effet de serre" ou de serrer des fesses. Coûte que coûte elle doit alors s’acclimater à ce non réchauffement clitoridien (pour le torride ça attendra) !

D’autres mathématiciens chevronnés de la fesse définirent sa courbe exponentielle, délimitée entre deux asymptotes : une au point de fuite et l’autre sur la chute de rein. Je vous ferais grâce des formules sur la valse du "x" pour situer le point d’inflexion où la courbe dérive !

En science sismolofesse, des chercheurs tout aussi inspirés ont prospecté le long de la ligne de faille qui partage les fesses en deux. Or, c’est dans cette cassure et en un point névralgique où "l’épice entre" (eh oui ! il suffit parfois d’un petit piment d’espelette pour provoquer un vrai cataclysme avec parfois tsunami à la clé) que le sismographe a enregistré les secousses des plus violentes. Allant jusqu’à 7 sur l’échelle de "Rich’ éther " : échelle mesurée en degré au plaisir). 7 étant la graduation optimum pour parvenir à l’extase quand vous atteignez le septième ciel !

En vulcanofesse, des "porctologues" qui ne sont autres que des proctologues spécialisés, n’ayant pas peur de mettre leur nez là où je pense, ont dénombré différentes éruptions. Il y a l’éruption classique dite bronzaïque (coulée dans le bronze), l’éruption filiforme (en forme de fil), l’éruption constipative( projections crottés à répétition), l’éruption explosive en deux catégories : l’une étant la courante laminaire (coulée liquide et plate) et l’autre la courante "diarré-hic"(pétard de feu d’artifesse constellé d’étoiles).

De physique-scientifesse, on a mesuré aussi l’effet "à coups triques" de l’instrument à vent. Dés lors, quiconque peut s’improviser musicien en soufflant sur les hanches par son embouchure, faisant résonner le muscle pelvien en rondes notes par l’entournure de son col en "ut et ruse".

En physique-mécanicofesse, il est rapporté la formule de l’énergie cinétique sous la forme :
Ec= 1/2 mv2+1/2 jw2
l’addition des deux énergies distribuées (mâle et femelle) se répartie par moitié d’ou le coefficient 1/2 :
- 1/2 mv2 est l’énergie cinétique linéaire de pénétration du sexe mâle proportionnel à sa vitesse "v" au carré et à sa masse "m"
- 1/2 jw2 est l’énergie cinétique radiale donné par le mouvement oscillatoire des fesses sur le sexe mâle pour interagir sur sa puissance. Elle est proportionnelle à la vitesse enculaire "w" au carré et au moment d’inertie "j" qui met en branle le couple en action !

Enfin pour terminer sur une note poétique je parlerais de la fesse en science astronomique. Quoi de mieux alors que la lune pour incarner la fesse et occuper l’espace ? Ainsi, tout prototype "fuseïforme" sorti tout droit de son "hors bite" entrerait en gravitation lunaire avant qu’ icelui subisse la "loi de l’attraction unie vers icelle" . Avec toute proportion gardée sur la rumeur des masses et inversement aux préjugés qui lui recommanderaient de bien se carrer à distance, son vrai désir pour elle n’en serait pas moins de "fesse toi y est" !

aime
Ven 24 Juin 2011, 13:57 par Fessue de Naz'arête sur Articles

Calcutta ô calcutta

A toi, pour toutes nos nuits passées, présentes et à venir

Sabre pointant l’infini
Le bateau mouille au port
La lune sourit
Mer 04 Mai 2011, 21:44 par dolce vita sur L'amour en vrac

Le coiffeur et sa derniere cliente (chapitre un)

REMI, brun au charme ténébreux, yeux pétillants,sourire ravageur, avec sans doute de belles origines espagnoles, se délecte à chaque fois, qu’une cliente lui dit:" je vous donne carte ."
C’est une phrase qu’il aime bien entendre. Il se défonce, s’improvise sculpteur, paysagiste à sa manière,et démontre ses talents incontestés de créateur en réalisant des compositions qui font le bonheur de la gente féminine.

Il affine, il peaufine et prend son temps, au plus grand désarroi de son patron Angelo.

Elle : Prénom ALESSIA
Il ne l’avait pas encore vue. Elle revient de vacances, superbement bronzée, mais les cheveux dans un état déplorables : Ternes,décolorés, affreusement abîmés. Dans une robe saharienne noire, grosse ceinture sur les hanches, et talons vertigineux, elle semble demander un miracle pour sa coiffure
Angélo lui lave les cheveux.Puis il engage une conversation bien sympathique.....Comme si il la connaissait depuis toujours, Rémi,en a terminé avec sa cliente, Salue Alessia d’un chaleureux bonjour, l’invite à s’asseoir dans un fauteuil agréable, l’installe confortablement et s’enquiert de ce qu’elle désire comme coupe.
Elle a repéré un modèle qui lui conviendrait dans un de leur book déposés dans la salle d’attente, L’artiste n’est vraiment pas emballé par ce choix et le montre clairement. Cédant à ses caprices de diva, Alessia en conclut que ce sera comme il voudra pourvu que la coiffure soit réussie. Un radieux sourire de gosse éclaire son visage. Il en faut peu à Rémi qui jubile tout heureux, en prenant ses instruments .Il coupe, élague, rafraîchit...
Elle, plongée dans ses pensées, rêve:

Elle ose fermer le salon à clef, lui faire comprendre qu’elle le désire, en le plaquant contre le renforcement du mur là où les clientes posent habituellement leurs sacs, ou, en cette saison, leurs petites laine. .Elle le renifle et de sa langue goûte d’abord sa bouche, dont le parfum de divin breuvage la met encore plus en appétit. Rémi, le cœur qui palpite, la dévisage intensément..... Pour bien s’imprégner de son visage.....Pour bien être sûr qu’il ne rêve pas. Ses cils sont mouillés car elle passe et repasse sa langue dessus. Puis, elle s’attaque aux lobes de ses oreilles, et finit par descendre dans le cou...

Elle ouvre le premier bouton de sa chemise, hume sa peau, tout en défaisant le deuxième bouton, l’embrasse en déboutonnant le troisième, passe sa langue sur les tétons qui pointent, déboucle le bouton suivant et ainsi de suite
Elle sent monter son ardeur, mais prend bien son temps pour défaire la boucle de la ceinture de son pantalon. Elle le débarrasse de la sacoche de coiffeur contenant son matériel .et en profite pour lui caresser les fesses.
Puis, par quelques baisers légers sur le torse , elle approche sa bouche de son nombril, et s’amuse à le titiller afin de faire durer l’attente et qu’il n’en puisse plus. Pour Rémi, c’est un supplice insupportable, mais une douce torture qui va crescendo, de plus en plus. Il a beaucoup de mal à se maîtriser, debout et tremblant sur ses jambes.N’y tenant plus, il la saisit par les hanches, remonte fiévreusement sa robe afin de voir ce qu’elle porte en dessous.
BINGO ! Il en était sûr : Un boxer, en dentelle, noir ! Il passe son pouce sur la couture du slip, fait glisser sa main sur le ventre, la toison, puis plonge résolument son index dans son intimité mouillée, lui arrachant un gémissement, au toucher de son bouton rose qu’il titille fébrilement....
Elle l’encourage à poursuivre et il prend plaisir à satisfaire le moindre de ses souhaits. Puis elle se retourne, s’abaisse et engloutit son sexe dans sa bouche. L’action conjuguée de la main, de la langue et des lèvres lui extirpe un long râle de plaisir qui l’incite à plus de vigueur dans son "massage". Au seuil de la jouissance,il se retire et décharge dans un délicieux frisson...
Apaisés, ils se regardent, se sourient , et s’embrassent encore. Il désire la revoir, autre part, dans d’autres circonstances. Elle sourit gentiment, ne lui répond pas, regarde l’heure et lui dit :," je reviendrai pour une couleur".
Lun 21 Mars 2011, 16:52 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

S'effacer

De sa jolie main, Romain me dessine avec une craie
Sur le tableau noir, avant que la maitresse n’arrive,
Va donc savoir pourquoi il me dessine comme cela.
Il a déjà des rêves plein sa tête
Et s’est crée un joli personnage fictif,
Il m’a crée moi : Marilyn
Marilyn qui prend plusieurs identités
Qui le font bien rigoler
Il me met soudain un nez rouge,
Et me fait jongler, auprès des enfants
NON ! NON ! CELA NE VA PAS ! IL EFFACE !!
Des chaussons de danses à mes pieds,
Me voila transformée en petit rat d’opéra
Auquel il aura coupé les cheveux si court..........
NON ! NON ! IL M’EFFACE ENCORE !
Déguisée en immense lapin doté des piles Duracel qui ne s’arrêtent plus
Tel un ressort sur pattes qui va à la rencontre de monsieur Pollux....
Et qui prend la place du manège enchanté...
NON ! NON ! IL M’EFFACE ENCORE !
Il me fait pousser une aile, une aile d’ange qui veille sur son berceau
Je veille sur l’enfant à qui je raconte mes plus beaux écrits
Il se sent si bien dans son lit, et s’y endort paisiblement...
Puis soudain il me dessine des bras immenses,
Pour s’y réfugier rapidement
Il s’y sent si bien qu’il ne veut plus les quitter
.Alors il me transporte avec lui sur son effaceur
Et me pose sur son cœur....

caressedesyeux
Jeu 10 Mars 2011, 16:03 par caressedesyeux sur Mille choses
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