Figer le temps

FIGER LE TEMPS (poeme retravaillé)

Je voudrais avoir l’incroyable talent
De pouvoir, un jour, arrêter le temps!
Ce triste voleur,cet affreux scélérat
Qui emporte le d’un moment
je voudrais pouvoir le stopper un instant
Pour pouvoir être auprès de toi
Sentir encore la chaleur de ton corps
Étroitement lové contre le mien
Et sentir battre ton cœur à l’unisson
Là, tous les deux on était si bien...
Pressés l’un contre l’autre à n’en former qu’un
Pouvoir encore trembler entre tes bras
Frissonner de tes belles mains apaisantes,
Ces adroites caresses dont je ne me lasse pas,
De baisoter chacune de tes phalanges,
Mon adorable petit ange.
Et couvrir de ma bouche,
En te donnant de tous petits baisers,
Ta belle peau nacrée
C’en serait un plaisir si intense
Que mon cœur cognerait trop fort
Ma respiration en deviendrait saccadée
Des perles de sueur apparaitraient
Dans le halo du rai de lumière
Qui traverserait cette fenêtre.
Dont on aura pas eu le temps
De fermer les volets
Et tout cela nous plairait finalement...
Car on aurait enfin tout le temps
Pour s’aimer comme il se doit
Lun 22 Oct 2012, 09:30 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

La colombe ou la liberté, en destinée

L’amour en vrac? c’est le mot clé de ce texte, l’amour, notre amour est en vrac.
On vit dans un monde de putes, je suis bien d’accord avec ce concept.
Et car on vit dans un monde de putes, l’argent régit le cœur de plus vils d’entre nous.
Pauvre riche, l’argent nous a séparé.
c’est ce qui m’a fait pleurer.
je n’ai pas pleuré de te perdre ou de déception, ça j’en ai l’habitude et je ne pleure plus pour personne car je me suis fortifiée.
Ce fut une obligation dans mon cursus, et mon parcours me l’a permis.
J’ai donc un cœur tendre, sensible, ouvert, tout le temps amoureux, mais désormais bien accroché.
J’ai été programmée pour aimer, programmée pour ne plus sombrer.
Je ne ferais aucune polémique ni aucun débat sur le sujet, ni sur nous deux.
Si je t’écris ce soir je ne sais pas vraiment pourquoi ni ce que j’en attends, ou si je sais, juste me soulager de ces douleurs qui nous ont gagnées.
des malentendus, des discordes, tout ce qui tue l’amour.
Tout ce qui a tué mes sentiments.
Maintenant la haine a remplacé mon amour pour toi, et ce n’est plus de l’amour mais du mépris, de la colère, de la rancune aussi.
Me venger n’est pas au programme, mais combien tu vas payer, ça je sais que tu vas le regretter, tandis que je n’aurais aucun regret.
Un jour tu te diras "ah oui elle avait raison, je réagis trop tard et ne comprends que maintenant, et je regrette: elle me manque etc."
et tu ne seras pas le premier, car dans le genre talent précurseur, j’ai le premier prix et j’ai de l’avance sur toi.
je sais avant toi, ce qui advient, sans ne savoir l’avenir pour autant.
quand je te lis, je n’y comprends rien, ton style est dépareillé, tes mots sont dé-variés, ton cœur avarié...
tu parles d’amour comme on parle du malheur et ça me donne la nausée avant même d’avoir goûté au plat...
tu pourras me rendre tout l’argent que tu me dois ça n’achètera jamais l’effacement de ma peine.
de la peine oui que du matériel nous sépare mais pas étonnant quand je vois que tu me prends pour ton objet.
moi je n’ai qu’un objet c’est les droits de l’homme, les droits de la femme, le droit des enfants, le droit des victimes, et le droit des malades à la dignité.
je me rassemble à quelques bénévoles pour venir en aide à des pauvres gens que cette société a voulu réduire à néant et au silence des plus humiliants.
Humiliation oui, quand au silence se réduit la peur, et quant à la peur se substitue l’angoisse aux tripes.
Trop de salopes courent les rues, font les trottoirs à la recherche du malheur perdu.
Stérile est ce désir suspendu au fil des désillusions.
Puérile est le caprice de l’enfant sous couvert de souffrance donne l’illusion à l’adulte devenu grand qu’il existe.
Je déteste ce que tu fais de moi: je t’insulte à tout va, je t’en veux ou pas, plus ou moins, peu importe il est trop tard pour discuter.
Raccrocher au mieux, parler à un répondeur, pour se déverser des ses non-dits.
Quelle arme brise l’indifférence?
à l’indifférence répondre par l’indifférence et surtout ne jamais verser une larme.
si je pleure ce sera pour la juste cause, pour la noble cause, pour ce monde pourri, qui donne le dégoût, même les rats n’aiment plus cette vie.
avant on parlait d’avenir, pour cette terre, ce jour on ne parle plus que de la sauver...
notre planète, ô terre-mère, pardonne les humains de leur débilité.
pardonne l’humanité d’être aussi stupide que la stupidité.
pardonne nous d’être si petits, si fragiles, si insolents et pour les pires si ingrats.
pardonne nous, car nous sommes foutus.
nous ne sommes plus de ce monde, nous errons, nous traversons notre temps, nous tuons le temps, nous bouffons la vie, nous sombrons...lentement dans ce noir...
dans cette guerre qui nous assaillit, dans la haine, non dans l’erreur mais dans la faute.
la faute de ne plus être solidaires, la faute aux égoïstes, à l’égocentrisme, qui laisse l’autre crever pour ne pas l’aider.
volontairement, certains nuisent à autrui, juste par méchanceté gratuite, et ça, c’est encore pire que la malhonnêteté.
C’est lâche et sournois.
voilà tout ce que tu m’inspires, du noir, et du noir, et encore du noir.
un peu de rouge mais juste pour le sang.
la sang du christ, le sang de ces enfants assassinés au nom d’une religion, le sang dans ton assiette, quand ta viande est saignante...
le sang, voilà ta seule couleur.

Les larmes elles n’ont pas de couleur, elles sont transparentes.
Elles sont translucides, on y voit à travers.
On y voit quoi, du cinéma ou ce qu’on a dans les veines.
Pleure un bon coup, une bonne fois pour toutes, une bonne dépression et après ça ira mieux, crois moi tu ne pleureras plus pour rien.
ah oui, pourquoi pleurais-tu déjà?
car selon toi je te devais quelque chose?
ah bon depuis quand l’amour se doit?
on peut devoir de l’argent mais devoir de l’amour, j’ai jamais vu ça.
à part dans un mariage ou à la limite dans un couple et encore, l’amour n’est pas un devoir mais un état incontrôlable et jamais acquis oui je sais tu n’aimes pas quand je dis ça mais c’est vrai.
oui je sais tu n’aimes pas la vérité.
alors tu veux que je t’en balance un peu de réalité? histoire de réveiller tes neurones qui sont fatiguées mais tiennent des nerfs?
la réalité c’est que j’étais en train de tomber amoureuse de toi, je t’ai aimé, puis après ça me passait un peu tel un coup d’amour éphémère car cela ne marchait pas.
Puis tu revenais, donc à nouveau j’espérais.
à chaque fois je t’aimais un peu plus, je te découvrais, et tu me surprenais.
tu étais comme j’attendais, tu faisais ce que je voulais, enfin à peu près car comme je viens de le souligner du début de notre rencontre à la fin il y a eu des hauts et des bas.
et ce n’est pas parce que je me suis libérée que deux mois après non, c’est car, cela n’allait pas.
tu ne faisais pas ce que je souhaitais, alors je me dispersais j’allais voir ailleurs sans vraiment aller voir ailleurs, mais comprends que mon ressenti partait dans tous les sens.
j’étais perdue et déstabilisée et tu sais pourquoi?
parce que tu n’étais pas là près de moi.
tu étais là, tu me montrais indirectement ton attention et intérêt mais pas vraiment.
tu attendais tout de moi, que je fasse tout, tu me laissais tout te donner, sans lâcher ne serait-ce qu’un aveu.
Tu ne me disais pas que tu m’aimais, tu ne me montrais pas tes sentiments et je souffrais.
tu me laissais seule, le soir, la nuit, le jour, aux repas.
tu me laissais tout faire toute seule, faisant mine de me soutenir mais me laissant bien galérer.
tu te foutais de si j’avais à manger, si j’arrivais à manger, tu te foutais de moi.
tu ne te rendais pas compte de mon mal-être avec toi, du malaise, et du manquement.
je n’étais pas heureuse, et dans la durée.
tu voulais limite que je dorme par terre, tu te moquais que je dorme dans un lit ou dans un canapé comme une pauvre fille.
tu te foutais de m’envoyer au bagne, de me rabaisser car tu te sens toi même dans l’infériorité intellectuelle et que tu peines à comprendre mes collègues et moi.
tu voulais que je supporte tes enfants alors que déjà toi je ne te supporte pas.
je t’ai dit de rester avec tes gosses, et ce n’est pas méchant, mais je ne me vois pas avec tes gosses et toi vu les conflits entre nous deux.
déjà qu’à deux on se dispute alors former une famille harmonieuse est carrément impossible.
il n’y a aucune crédibilité à notre union et pourtant si je t’écris là encore c’est bien que j’étais sincère et que je t’aimais
car pourquoi écrire autant à quelqu’un dont on se fiche?
à ce point, tous ces mots là, ils veulent bien dire quelque chose même si ce n’est pas la quantité qui signifie tout?
pourquoi autant, de choses à te dire et toujours rien à te dire.
car te dire c’est parler à un mur, et ne rien dire, c’est impossible après tout ce qui s’est passé
mes potes me disent de ne pas me prendre la tête, mais c’est dur, de ne pas se prendre la tête, avec tout ce que tu me fais subir
tu m’as martyrisé et je le maintiens encore devant témoins.
tu voudrais que j’oublie que je pardonne et te laisse une seconde chance
que je te dise que tu es prêt.
je sais que ton père t’a manqué enfant et que tu as eu des remontées de souvenirs à ce sujet quant on s’est connus mais ce n’est pas une excuse à tes mauvais gestes à mon égard
le pardon n’a pas de prix, le pardon n’a pas de prix
pour te pardonner il me faudrait des milliers de mots doux réparateurs dont tu es bien incapable
tu ne comprends même pas mon rejet
tu crois que je me suis foutue de toi, que j’ai juste voulu profiter ou du moins me moquer de toi sans rien partager de réciproque alors que c’est totalement faux et c’est pourquoi je te dis que tu te trompes
j’étais vraiment prête à m’investir et à construire
à aller jusqu’au bout des choses avec toi
j’avais envie de toi
j’étais dans mon lit allongée vulnérable à tes formes, à tes lèvres et à tes mains
j’étais sous ton emprise et je t’attendais
j’étais heureuse de t’avoir trouvé
je te pensais mature, et avenant, attentionné, sensible, gentils...
je te pensais quelqu’un de bien.
je n’attendais qu’une chose que tu me rejoignes que je te donne la clé, de chez moi, ou bien que tu me la demandes donnée par avance
je n’attendais qu’une chose, que tu viennes, que tu me prennes dans tes bras
que tu me parles, avec ton corps si ta voix avait un bug
avec tes lèvres pour me dire je t’aime
je voulais que tu viennes là me rassurer, me sentir en sécurité contre toi quand je m’endors
je voulais me mettre en boule sous nos draps et ne plus jamais te quitter
je voulais faire un monde autour de toi, telle une protection, un entretenu, je me voulais parfaite pour toi, je voulais tout faire et tout le temps pour toi
je me levais le matin j’allais travailler pour toi
je voulais gagner beaucoup d’argent et toujours plus pour que tu sois heureuse car même si l’argent ne fait pas le je voulais pas que tu te soucies pour tes enfants et les nôtres ( j’en voulais avec toi ) de l’aspect financier
je voulais que si l’on ne travaille pas pour la gloire, qu’on travaille pour être riches, et la gloire viendra avec ou inversement
je voulais te couvrir d’or, et surtout d’amour, pour ne jamais que tu pleures
j’ai sans doute voulu trop te gâter mais je ne peux m’en vouloir si tu en as fait un caprice
je voulais que tu sois fier de moi, que nos enfants soient fiers de leurs parents, de leurs métiers, car comment me sentir une bonne mère si mes enfants ne sont pas fiers de moi?
je ne voulais pas d’un père ou d’une mère ni pauvres ni malheureux
je voulais le , tout simplement apprendre à s’aimer au fil du temps un peu plus chaque jour
une vie simple, sans préjugés, sans jugements, sans jalousies, sans envies déplacées...
et au lieu de ça la vulgarité a remplacé la douceur, et le langage soutenu
on n’a plus que le mot pute à la bouche quant on a les boules
on sent la violence nous envahir et on a envie de tout casser
de prendre un objet et de le briser
et ça, c’est bien le signe de la fin d’une relation selon moi
quand on a envie de prendre un objet et de l’exploser
puis qu’on se dit pour se rassurer jamais je ne te toucherai toi.
certes jamais je ne te toucherai mais c’est pas l’envie qui m’a manqué donc je préfère tout arrêter oui
je ne suis pas de celle qui reste dans ces conditions.
tu me rends mauvaise, mais vraiment quoi et encore je me retiens et heureusement que d’une part ça ne me fait pas ça sans causalité, d’autre part je sais que je ne suis pas comme ça quand je suis amoureuse
je ne suis plus amoureuse par malheur
je ressens encore des restes
des restes néfastes
une pilule mal digérée...
je ne me sens pas en sécurité avec toi, ni dans une relation avec toi.
tu me fais peur car tu as peur et c’est contagieux la peur.
tu as peur donc j’ai peur.
( face à toi pas les autres c’est pour ça que je vais voir ailleurs enfin que j’aimerais aller voir ailleurs car je ne cherche pas non plus )
j’aurais pu choisir n’importe qui pour te faire mourir de jalousie et je ne l’ai pas fait mais la maladie s’en est chargée et t’as fait mourir de jalousie sans que j’ai besoin d’agir
je pourrais me venger sur plein de points et facilement mais ce n’est pas mes méthodes, j’ai des techniques bien plus au point; je veux juste que justice soit faite, et surtout la paix, que tu me fiches la paix
je ne sais même pas pourquoi on se sépare ni pourquoi tu t’es énervé ainsi quand c’est parti en live entre nous, en premier lieu, car depuis je suis énervée aussi dans une certaine mesure que je tempère beaucoup malgré tout, car je sais que malgré ma colère à toute épreuve et mes forces, je suis plus calme que toi
je suis une fausse calme et toi un faux nerveux
tu t’énerves là mais c’est du cinéma ça aussi comme tes larmes.
c’est pas de la colère mais de l’hystérie
et pas de l’hystérie de conversion et l’hystérie tout court.
c’est pourquoi je n’ai plus aucune compassion envers toi
tu ne souffres pas, tu n’es pas malade physiquement, tu es juste pervers et malade sans doute oui, mais pas d’une maladie qui fait souffrir
tu es bien comme ça dans ta vie, tu te relèves aussi vite que tu tombes car tu voles bien bas...
la voilà la vérité!
je deviendrais cynique si je continue trop à dire ce que je pense de toi et sans vouloir te vexer encore une fois je ne dis que ce que je pense en bien comme en mal
toi tu me crois quand je dis du mal mais pas quand je dis du bien.
c’est ça qui est fou.
non?
moi je voulais sortir avec toi, voilà faut être clair, enfin je ne disais pas non car je ne savais pas clairement si un partage était possible tu sais maintenant que ce qui compte n’est pas le désir mais le partage donc l’amour, et que l’amour sans partage n’en est pas, enfin j’espère qu’au moins tu as compris ça.
si je t’ai appris au moins une chose, j’en suis ravie.
voilà je t’ai écrit un roman qui ne changera rien à notre sort désespéré;
je voulais sortir avec toi et au dernier moment tu m’as dégagé mais tu prétends que tu avais une bonne raison ou que c’est moi qui me suis défilée ou je ne sais pas quoi
je ne t’ai jamais dit que tu étais qu’un ami pour moi, jamais, ça aussi tu l’as inventé
j’ai peut être employé ce terme une fois à ton égard car je ne pouvais pas te dire mieux que ça sur ta ligne professionnelle comme ça.
je voulais te dire mon amour en face et en tête à tête donc seule à seul.
je ne voulais pas de tous ces gens dont tu nous entourais
je ne comprenais pas pourquoi tu avais besoin de parler de moi à tout le monde alors que je suis la première et seule concernée
et tout le monde sait mieux que moi ce que tu ressens pour moi car à moi tu ne dis jamais rien
tu es ce silence qui m’exaspère, pas celui des églises, pas celui des églises...
tu ne dis rien ou que de la merde, tu ne fais rien ou que de la merde, je ne sais même plus quand tu as fait un truc bien pour moi, ça doit faire si longtemps.
j’ai mal de voir à quel point je ne te comprends pas, de a à z, et sans parler de normal, je ne trouve pas ça bien
je sais pas tu as cru que je voulais aller voir quelqu’un d’autre alors que je n’ai eu personne d’autre depuis toute cette histoire
je ne sais pas ce que tu croyais
que je pensais qu’à mon travail, mais il me faut bien travailler pour te satisfaire, voudrais tu d’une femme sans profession?
c’est ça pour mère de tes enfants que tu veux? ou tu veux que nos enfants soient fiers de moi et de mon travail?
c’est pas pour moi et t’oublier que je faisais tout ça c’était pour nous et notre avenir
pour que notre couple soit stable comme nos emplois
je ne voulais pas faire passer le travail avant ni le reste avant mais tout passait comme priorités pour moi
car si je suis mal dans mon travail comment je pourrais être bien avec toi ou dans ma vie?
c’est mon épanouissement.
je voulais travailler avec toi en couple en plus donc bon je pense justement que je sacrifiais une partie de mon travail pour toi et pour tout partager et travailler avec toi
qui a fait des efforts et sacrifices pour me rapprocher de toi
qui a renoncé à une partie presque majeure de son emploi du temps
qui s’est rendue libre et sans jamais te faire sentir que tu étais de trop dans ma vie
qui a fait une place pour toi à mes côtés
qui bordel qui?
je ne trouve plus les mots non avec toi, et je n’y capte rien et vu que tu ne t’expliques cela restera un malentendu dans ce bas monde où l’on n’a plus de facilités à détruire qu’à construire...
c’est ce qui est triste, je suis en vrac, comme notre amour, tout part en vrille, ça part en couille, mes textes donnent la gerbe car c’est la merde....
comment te dire hein que toi sans moi ça veut dire quoi?
putain pourquoi on complique toujours tout dans cette putain de vie de merde, hein pourquoi?
ce serait si simple de se boire un petit café, de se dire ce qu’on pense et de se réconcilier, même si l’on doit en venir aux faits et donc soit se mettre ensemble soit oublier cette idée.
je n’arrive plus à aimer, enfin, je n’arrive plus à t’aimer
tu dis que tu m’aimes mais tu me maltraites alors je me dis que ta vision n’est pas la mienne
que nous ne sommes pas sur la même longueur d’ondes
un jour d’ailleurs le jour où tout s’est effondré, tu m’as dit nous n’avons pas les mêmes attentes et je n’ai pas compris pourquoi
maintenant je me dis que tu pensais que je ne voulais pas de toi
et je ne sais pas pourquoi tu pensais ça
ensuite concernant la fidélité, il y a bien longtemps que je suis fidèle, et ça aussi j’ai appris à gérer une situation sans tomber dans ce panneau, dans lequel on peut facilement s’adonner quant on n’a pas eu le bon coach à un moment dans sa vie.
c’est pour ça que je suis célibataire, entre autres, car je ne me vois pas encore fidèle à quelqu’un alors que je n’ai personne forcément comment pourrais-je être fidèle célibataire?
je ne trompe personne forcément car je n’ai personne
je suis seule et par choix, j’ai quitté mon conjoint car ça n’allait plus et je n’ai aucun regret
vaut mieux être seule que mal accompagnée, je dis non merci à la banalité
je dis non merci aux mensonges
je dis non merci aux enfers, et aux cauchemars, je dis non merci à tout ça
alors je suis seule oui, seule pour être libre de m’ouvrir enfin à la bonne personne un jour ou l’autre
demain, ou un peu plus loin, devant, l’horizon n’est pas tracé, l’horizon nous attend vierge et disposé à nous combler
je suis amnésique du futur, car je ne me souviendrai que du bon, que de celui que je garderai pour toujours.
ce ne fut pas toi, dommage, j’aurais bien aimé ne pas me tromper, ne pas nous tromper, ne pas se tromper, en ce sens là oui je te l’accorde nous nous sommes bien trompés.
nous avons cru changer le monde, nous avons cru trouver en l’autre ce qu’on cherchait, et en revanche nous avons souffert...
si dieu existait, il ne laisserait pas ça se passer, ou bien alors il existe et forme le destin.
tu n’es donc peut être pas destiné.
la liberté, je la concède contre un mari,

je marie ma liberté à mon futur mari.
que j’aime par avance forcément.
comment pourrais-je ne pas l’aimer?
on ne se marie pas pour se marier, enfin pas de nos jours, et pas lorsqu’on est normalement constitué
on se marie par amour, par engagement, car on pense avoir trouvé la bonne personne, et surtout car on se sent prêt
voilà la vérité
je n’ai pas d’enfants et que dieu m’en préserve tant que l’amour ne sera pas au rendez-vous et tant que la haine avortera mes enfants.
Ven 20 Juil 2012, 23:53 par inlove sur L'amour en vrac

En passant au bord de seine

Version libre et moderne de en passant par la Lorraine...

En passant au bord de Seine
Avec mes croquenots
J’ai vu une Marie Madeleine
Nue sous son chapeau
Qui exposait au soleil
Ses rondeurs et sa merveille
Suis passé devant
En la saluant

M’appela alors d’un geste
Avec mes croquenots
M’approchais à grand pas lestes
Vers ce corps si beau
Elle me dit as tu du temps
Pour t’occuper d’moi gentiment
Ce que je fis, sans perdre un instant

Je la besognais hardi
Avec mes croquenots
Encouragé par ses cris
Je m’en démis le dos
En voulant lui faire brouette
Par je ne sais quelle pirouette
Me suis coincé
Entre ses deux pieds

Point la belle s’en aperçu
Avec mes croquenots
Frémissant de tout son cul
Sans pitié pour mon dos
Avec rage elle me cria
Ne n’arrête surtout pas mon gars
Je sens venir, le plaisir en moi

Je finis dans la douleur
Avec mes croquenots
Dégoulinant de sueur
D’avoir fait comme il faut
Pour satisfaire la donzelle
Entre ses parties charnelles
Ne pu me relever
Sur le dos allongé

La belle me voyant comme ça
Avec mes croquenots
Voulu une seconde fois
Retourner aux travaux
Lui soufflais dans un soupir
Que je souffrais le martyr
Et dans les larmes
Que je rendais les armes

La belle n’eut pitié de moi
Avec mes croquenots
Qu’elle se rejeta sur moi
S’empalant à nouveau
Accroupie de bas en haut
Elle coulissait sur mon poireau
Gémissant Ah et Oh !
A chacun de ses sauts

Sa jouissance fut totale
Avec mes croquenots
Quand elle mit mon godiveau
Au fond de son trou de balle
Hurlant son extrême
D’sentir son fion rempli d’ma crème
Elle demanda, pour une troisième

Inlassable la coquine
Avec mes croquenots
Du pourtant cette partie fine
Arrêter illico
Le bâton était repu
D’avoir trop visité son cul
Qu’il s’écroula
Pour une nouvelle fois

Elle me quittant en riant
Avec mes croquenots
Me traitant de nonchalant
Ah mon dieu quel culot
Me laissant le dos brisé
Qu’à quatre pattes je dus rentrer
Péniblement, quand la nuit fut tombée

Je ne la revis jamais
Avec mes croquenots
Non pas faute d’être retourné
Là-bas au bord de l’eau
Mais la fille a disparu
Pour d’autres à du offrir vertu
Pour peu qu’ils eut
Chance à la croiser nue.
Ven 20 Juil 2012, 13:32 par Jime sur Les liaisons sulfureuses

Tout ce que je n'ai pû te dire

Tu veux que je te dise ? Tu me manques, mais aujourd’hui je sais que je vais avoir la force de me relever. Je sais que j’ai pas le choix, alors je m’accroche, Et pourtant, je ne sais pas comment je fais. J’ai tout perdu cette année, je n’ai pas aboutis dans ma vie professionnelle , je t’ai perdu, j’ai perdu beaucoup d’amis. Mais tu sais pourquoi je tente toujours de rester debout ? Parce que tu es la raison de tout ça. Tu es la cause même de toute ces pertes. Alors pourquoi tu me manquerais ? La raison est simple, je t’aime, encore et toujours. Cependant, depuis que tu m’as laissé, en pleurant, toute seule sur le parking, je ne sais plus qui tu es, je ne suis plus sûre de qui tu es, et de ce qui se passe dans ta tête. C’est bien simple, c’est comme si je ne t’avais jamais connu. Alors pourquoi j’ai ce sentiment amer ? Je devrais m’en foutre de toi, je devrais juste me dire que tu n’es pas le même et que je n’ai rien a faire avec toi. Je t’ai dit que je souhaitais sincèrement ton , je t’ai dit que je jalouserai la prochaine fille qui sera à tes côtés, et c’est vrai. Tu as embrassée une autre fille, et je peux pas m’empêcher d’imaginer son visage, son allure, la couleur de ses yeux, de l’imaginer plus belle que moi , et ca me ronge que tu désire quelqu’un d’autre, même si je sais que tu l’as embrassé et que tu es ressorti de cette soirée avec la même impression que j’ai eu auparavant. Tu sais, cette impression de ne rien reconnaitre, de perdre ses repères. Je sais pas si tu l’as également ressenti, mais ca m’avait dégouté, parce que je ne reconnaissait pas tes lèvres, je ne reconnaissait pas la douceur de tes baisers.
Alors, voilà, tu me manques, je fais une véritable connerie en ne te laissant pas une seconde chance, j’ai certainement tord de ne pas privilégier notre , et de penser et agir par sécurité. Mais j’ai eu mal, j’ai eu mal quand tu m’as laissé, au point de vouloir mourir, au point de ne plus vouloir sentir cette souffrance permanente dans ma poitrine, afin de ne plus manquer d’air, afin de ne plus avoir envie de pleurer sans se sentir soulagée. J’ai eu mal comme j’ai jamais eu mal, tu sais. Et c’est justement pour cela que je me suis fermé à toi au départ , parce que j’ai encore une fois appris que plus tu donnes de ta personnes, de ton intimité et de ton cœur , plus tu es vulnérable, et plus tu tombes bas. Tout ca, je n’ai jamais eu le cran de te le dire et j’aurai encore tellement à te dire, mais à quoi bon... Saches qu’aujourd’hui j’ai beaucoup de mal à me voir auprès de quelqu’un d’autre, d’être heureuse auprès de quelqu’un d’autre parce que tu restes en moi, comme possédée. Et c’est à moi seule de te chasser… Et malgré tout, je continue de penser que tu étais le bon, celui qui me correspondait.
Tu me manques, je t’aime, mais je dois t’oublier parce qu’on s’aime trop pour être heureux pour l’instant. Je t’aime, je t’aimerai toujours.
Mar 10 Juil 2012, 22:09 par sauvée sur Parler d'amour

Voir tes reves s'accomplir


À l’heure où lentement le soleil se couche
Où les rues se vident de toutes ces personnes
Où les silences s’installent et résonnent
Où les êtres s’approchent et se touchent
Il est un rêve que je fais très souvent
Qui serait, du destin, un vrai présent
Je voudrais pouvoir détenir ce talent
D’effacer de ton visage ce tourment
Qui le rend si âpre, si triste, si dur...
Je voudrais te voir sourire mon amour

D’une simple tendre caresse
Effacer cette souffrance morale
Et faire s’évanouir cette tristesse
D’une fougueuse approche buccale
Qui laisserait une empreinte si vivace
Sur ton cœur meurtri à jamais
Qu’elle gommerait ce stigmate tenace
Dont la douleur, moi seule, connais
Et te parcourir des paumes de mes mains
Pour que ma chaleur irradie tes demains

Pouvoir, juste du bout des doigts,
Atteindre et caresser ton âme
Calmer ses tourments et ses émois
Et te faire oublier ce drame
Qui t’enleva toute innocence
Je voudrais te voir rire à nouveau de joie
Faire éclater ton adolescence
En étant chaque instant près de toi
Pour qu’en toute insouciance,
Tu puisses de la revivre avec moi

Je voudrais, d’une main protectrice,
Éloigner à jamais, de toi, le malheur
Tandis que d’une main consolatrice
J’étendrais du baume sur ton cœur
Soignant cette douloureuse cicatrice
Qui met un frein à notre
Je veux que notre union soit propice
Pour un renouveau purificateur
Qui nous ouvrirait les portes d’un avenir
Qui permettrait à tes rêves de s’accomplir
Sam 16 Juin 2012, 10:14 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Lui dire

Comme si elle avait toujours su


J’ai approché fiévreux, un pays inconnu
Pris un avion volé pour la rejoindre mieux
Inventé pour elle des jours jamais plus vieux
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su

La serrer dans mes bras sans bruit et sans chahut
La couvrir de caresses et de mille tendresses
Ne danser rien qu’avec elle des nuits au goût d’ivresse
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su

Lui dire des mots d’amour, de ceux qu’on a vécus
Poser chaque syllabe sur ses lèvres sucrées
Construire sur des je t’aime la vie qu’elle a rêvé
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su

Lui raconter les joies qu’en moi elle a cousues
Que quand elle n’est plus là, les heures comptent double
Que j’ai dessiné pour elle tout un monde sans eaux troubles
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su

M’allonger tout près d’elle je n’en demande pas plus
Prendre sa main dans ma main, la poser sur mon cœur
J’ai caché quelque part ces instants de
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su

Jime
Mer 13 Juin 2012, 10:39 par Jime sur Parler d'amour

La jalousie



Comme un poison, dans mon sang
Elle s’infiltre lentement dans mes veines
Ce soupçon perfide qui déchaîne
Un violent tourbillon de tourments
Qui chaque jour détruit notre
S’insère entre l’esprit et le coeur
Pleine de rage, de colère, de peur... ;
Cette peur maladive de te perdre
De ne pas savoir te garder
Et ce venin qui continue de prétendre
Que tu as cessé de m’aimer
Voir dans tes yeux l’amour d’un autre
Dans tes gestes l’envie inassouvie
Cultiver en mon coeur cette jalousie
Dont l’esprit s’est fait apôtre
Et trembler chaque jour, chaque instant
De sentir que tu vas m’échapper
Et voir en chaque homme un amant
Auprès de qui tu serais comblée
Mais je ferai tout ce que je peux
Je me battrai de toute la force de mon émoi
Pour te garder toujours près de moi,
Sans t’étouffer, rendre ton coeur heureux
Chaque jour, je me fais violence sans cesse
Malgré tous ces hommes qui convoitent.
De voir ce si fragile se briser.
Pour te couvrir d’attentions, de caresses
J’apprendrai à t’aimer, à te faire confiance
Car tu es une fleur naïve, sans méfiance
Proie facile, pour tous ces horribles vautours
Je t’aime et je sais que je t’aimerai toujours
Et chaque jour, je te prouverai sans fin
Que de ton , je sais prendre soin
Pour que chaque jour tu souries
Et en profiter, à chaque moment, de nos vies
Lun 07 Mai 2012, 20:53 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Le cercle des poètes

Comme chaque année, Oasis organisait la traditionnelle rencontre de ses membres. Prolonger les beaux et bons moments passés sur le site, les amitiés nouées et les débuts d’idylles. Et partager tous ces mots qui formaient de si belles compositions. Des bouquets de mots aurait dit Douceur3. Une trentaine de poètes avaient répondu à l’appel, record historique, pas évident de rassembler en un lieu des personnes si dispersées.

Cette année la fête s’annonçait unique, le lieu choisit étant un vieux manoir style anglais, perdu dans la campagne et évocateur du plus pur romantisme. Et comme chaque fois, les règles de la rencontre lui donnaient un caractère de mystère tout à fait passionnant. Un thème, l’époque Victorienne anglaise pour les costumes et l’ambiance, et comme d’habitude, un souci de conserver l’anonymat de chacun pour garder les conditions de ces rencontres virtuelles sur le net. Donc pas de signes distinctifs, et port du masque obligatoire en plus du costume adéquat. Bien sûr certains se connaissaient déjà et pouvaient se reconnaître facilement, mais chacun jouait le jeu...

Seule indication, la liste des invités était fournie, pour augmenter l’envie de découvrir nos amis. Pour moi c’était la première fois, et j’avais hâte de vivre de bons moments avec tous les contacts sympathiques qui accompagnaient mon quotidien depuis plusieurs mois. Le site m’avait relancé et permis de m’exprimer, ce que je ne faisais pas si facilement, et la sensibilité de la plupart était un régal et un appel à la confidence. Franchement j’avais envie envie de côtoyer Capricorne pour son talent, Chibani pour son humour, Rainbownight pour sa fraîcheur et tant d’autres, surtout des femmes, pour la sympathie qu’ils dégageaient. Ecouter une nouvelle de Lesmotions, oui je le voulais...

Mais surtout, je venais pour l’élue, la fleur du site, mon amie, ma confidente et mon alter ego, celle avec qui je partageais au delà de l’espace des moments délicieux et de pure douceur. Un mélange de toutes les qualités, celles qui chauffent le cœur, celles qui enflamment le corps...

Comment se reconnaître? Je faisais confiance à notre intuition, et aux phéromones, ces petites molécules que nous émettons et qui transmettent les messages secrets de notre corps. J’étais sûr que la magie et la chimie ferait battre nos cœurs plus intensément quand viendrait l’heure de la proximité. J’avais confiance...

Les invités arrivaient petit à petit, belles femmes en robes blanches et petites ombrelles, beaux messieurs dans leurs costumes d’un autre temps. Et bien sûr le masque blanc pour garder le mystère. Un peu intimidé, je me mêlais aux personnes qui se tenaient autour d’un buffet dressé sur une grande table blanche au soleil. Et j’essayais de deviner qui était qui, par le souvenir du style de chacun. Oh cet homme qui déclamait des vers, d’une belle assurance et d’un talent certain , j’aurais juré que c’était Ratatouille! Et cette petite dame, qui allait de l’un à l’autre pour offrir sa gentillesse et ses mots si doux, si ce n’est pas Cyrael …
Tout le monde était là, la petite dame (j’avais raison) fit un petit discours de bienvenue et nous rappela les grands principes, passer une bonne journée, partager nos dernières œuvres (quelques petites estrades parsemaient les jardins) et se fabriquer de doux souvenirs de rencontres et d’amitié...

Je passais d’un groupe à l’autre, écoutant les poèmes, échangeant des idées sur le monde, et sur tout ce qui faisait notre vie de poètes. Un petit orchestre égayait nos oreilles. J’étais bien, ne me manquait que sa présence. J’avais bien quelques petites idées, mais encore un petit doute sur l’identité de ma chérie...

Oh mais c’est sûrement Isabelle59 qui nous enchante par sa douceur et sa sensualité. J’écoutais tendrement, mon esprit vagabondait, quand je sentis une petite main se glisser dans la mienne. Mon dieu, ce contact fit en moi l’effet d’un rayonnement soudain, et mon corps fût parcouru de frissons, doux et électriques...

ELLE M’AVAIT TROUVE

Mon cœur se mis à battre, ma voix bloquée dans ma gorge, des petits picotements dans la nuque. Pas de doute, vu l’effet sur moi, c’était bien ma douce. Sans rien dire elle prit mon bras et m’entraîna pour marcher un peu dans les allées du jardin. C’était la fin de l’après-midi, soleil bas et lumière tendre, pas besoin de parler, j’étais bien (et encore sous le coup de l’émotion) et nos pas s’accordaient comme des amis de toujours...

Sous une tonnelle, et entourés de merveilleuses roses aux senteurs enivrantes, nous nous faisions face à face. Sentant qu’elle devait prendre l’initiative, elle entoura mon cou de ses doux bras et approcha ses lèvres des miennes. Oh douceur exquise, saveur fruitée de l’été, sa bouche avait le goût d’une pêche qui éclate au palais et déverse son jus. Nos langues commencèrent leur danse et le temps se figea. Enlacés nos mains cherchaient la bonne prise, pour minimiser l’espace entre nos corps avides de contact...

Ces minutes furent une éternité, et me revenais le poème qu’elle m’avait inspiré sur cette seconde unique de quand tout s’accorde. Ses lèvres, ses joues, ses mains, étaient douceur extrême et comme une invite à découvrir le reste. Ses mains exploratrices commençaient à découvrir mon corps et ne semblaient pas avoir de limites imposées. Quand l’une d’elle se posa sur mon pantalon, elle constata que je n’étais pas insensible aux charmes de son corps. Notre étreinte m’avait comblé de joie pure et tendre, mais avais également réveillé mon désir. A travers le tissu, elle sentait et palpait la tension extrême qui ne demandait qu’à s’épanouir. Je crus défaillir quand sa caresse plus pressante fit sortir de sa cachette le bout déjà trempé de mon sexe...

Mais ce n’était pas le lieu de découvertes plus poussées. Je repris mon souffle et sa main et nous repartîmes vers des lieux plus fréquentés. Devant la grande demeure, certains s’activaient déjà pour préparer le grand dîner du soir. Belles assiettes et bougies nous promettaient un régal pour les yeux et raffinement de cuisine. Mais pour l’instant ma belle avait une autre idée en tête et comptait plutôt terminer son exploration à peine entamée …

Elle m’entraîna donc vers la maison à la recherche d’un endroit propice et discret. Les nombreuses pièces du bas étaient trop lumineuses et spacieuses, elle m’attira alors vers un escalier qui menait vers des recoins plus adaptés à sa mission. Là-haut, plus de calme et de pénombre. Et peu de chances d’être dérangés. Contre une porte elle me poussa et entrepris de libérer l’objet de son émoi. Le pantalon de toile tomba rapidement sur mes chaussures, et sa main agrippa à travers le fin coton qui me préservait encore, mon sexe tout tremblant et d’une vigueur de circonstance. Approchant ses lèvres, elle engloba le tout, tissu et chair et mordit doucement. Mes mains sur sa tête j’appréciais à sa juste valeur l’application qu’elle mettait dans cette mise en bouche...

Une main à même mes fesses, l’autre jouant avec mes bourses, elle entreprit de visiter sur toute sa longueur le dur bâton qui ne demandait que cela. Sa langue sentait à travers l’étoffe, la veine gonflée qui palpitait intensément. L’idée même que c’était mon petit cœur qui me procurait ces délices décuplait l’intensité du plaisir. Doucement sa tête montait et descendait, entraînant sa bouche, langue sortie, le long de ma verge qui commençait à entrevoir le moment où tout explose. Sa main vînt compléter l’action de sa bouche et accéléra le mouvement. Sentant l’instant ultime arriver, elle arracha mon dernier vêtement et me prit dans sa bouche, ses lèvres serrant fermement, elle engloutit au maximum, et en quelques mouvements bien contrôlés elle me fit atteindre l’extase. Ma semence jaillit accompagnée d’un petit cri de jouissance, tandis que ses ongles griffait ma fesse. Ne voulant rien laisser, elle avala le tout et lécha soigneusement ce qui coulait lentement le long de mon sexe bouillant...

J’avais rarement connu telle intensité, et un bien-être m’envahit, des frissons achevèrent mon contentement. Sous son masque je devinais le sourire de la bien-aimée fière d’avoir fait jouir son homme. Elle m’enlaça et je déposais sur sa bouche encore humide un doux baiser comme elle les aime. Reprenant mes esprits je remis un peu d’ordre dans mes vêtements et nous partîmes pour le dîner main dans la main...

Une telle journée m’avait mis en joie et en appétit, et c’est tout sourire que je pris place pour le repas à côté de ma sensuelle compagne. Ce fût régal, les plats raffinés défilaient, et l’ambiance était des plus conviviales, chacun y allant de son meilleur texte ou de ses bons mots. Le champagne nous montait à la tête, et ma petite qui est chamboulée à partir d’une demi-coupe commençait à montrer des joues rosies par l’alcool, la joie et certaines idées qui lui venaient en tête...

Sous la nappe je sentis sa main sur ma cuisse. La mienne vint l’y rejoindre et doigts enlacés nous étions comme deux amoureux tout neufs! D’un même mouvement, l’ensemble passa d’une cuisse à l’autre et j’entrai en contact avec la douce chaleur de sa peau. La coquine avait remonté sa robe pour permettre un accès plus aisé à certaines parties de son corps qu’elle souhaitait m’offrir en cadeau. Puis sa main rejoignit le dessus de la table, laissant la mienne seule, mais invitée à pousser plus loin l’exploration...

Douceur, chaleur, ces mots étaient trop faibles pour décrire la sensation que me procurait d’être entre ses cuisses. Ma main droite, paume sur sa peau, doigts vers le bas, remonta lentement, savourant le grain velouté de son épiderme. Elle atteignit alors l’infime dentelle qui recouvrait sa toison si fine. A plat sur le pubis, doigts écartés au maximum pour profiter de tout , je fis tendre pression pour assurer à ma voisine que j’avais bien compris le message...

Pendant ce temps, les conversations continuaient, les rires fusaient, et la coquine n’était pas la dernière à montrer sa joie. Que tous prirent bien sûr comme manifestation du de se retrouver tous ensemble. Mais autre chose était en partie responsable de cet état. Sous la table, mes doigts par petits cercles, avaient entrouverts les petites portes protégeant, pour peu de temps encore, la caverne aux mille trésors. Mon majeur poussa plus loin et commença à frotter le tissu blanc sur les chairs roses et humides. Parmi ses rires, des petits cris partaient, que tous prenaient pour les manifestations de la boisson. Oh coquine!!!

Repliant mes doigts, j’accrochais le bord de sa culotte mouillée de plaisir, et je les fis passer par dessous pour sentir les palpitations de sa peau. Il n’était plus l’heure de perdre du temps vu l’état de la belle qui riait et se secouait sous l’effet de tous les plaisirs réunis. Alors mes deux doigts enserrèrent comme une pince, le clitoris tout dur et gorgé de désir. L’humidité ambiante facilita le travail des deux artistes, pression, pincements, roulements, tout contribua à faire vibrer le corps de ma chérie qui m’envoyait des regards plein de tendresse et de gratitude. ..

Les mouvements maintenant profonds et appuyés faisaient leur effet, et la pauvre semblait s’enfoncer sous la table. Sentant que l’explosion serait imminente, je décidais de lui venir en aide et je sortais d’une voix puissante ma plus grosse blague (pourrie mais bien marrante). Ce fut un tonnerre de rires et d’applaudissements. Un tel bruit que ma coquine arriva à jouir bruyamment sous les derniers effets de ma main en folie, sans que personne ne remarque cette situation plutôt délicate. Secouée par les rires et les spasmes de l’orgasme, tout son corps bougeait et je la regardais avec un évident . A peine apaisée elle se jeta à mon cou et devant les sourires de l’assistance elle me fît le plus tendre baiser qu’il soit permis de donner...

Vous pensez bien que le retour vers nos régions respectives fut un voyage empli de bons souvenirs, de marques d’amitié, de promesses de se revoir et de rendez-vous futurs sur le site. Pour nous ce fut bien plus, nos corps avaient gardé l’empreinte de l’autre et dans nos têtes il y aurait pour longtemps ces instants délicieux où plus rien ne comptait que de donner et de s’aimer.
Lun 16 Avril 2012, 12:16 par cocoeur sur Les liaisons sulfureuses

Sensation forte

rien que des mots, réels pourtant
c’est le délice à chaque instant
je ferme les yeux, tu imagines
tu me découvres, je te devine

petits mots doux, idées tendresse
petits mots crus pour la caresse
tu oses dire et c’est divin
quand ton désir attends ma main

nuit de folie ou matin doux
câlins osés, baisers partout
nos corps tendus, sublime attente
je deviens loup, tu me contentes

cœur en éclat, c’est la jouissance
on s’est donné, belle confiance
tout apaisés, repos
un corps à corps pour cœur à cœur
Lun 16 Avril 2012, 07:48 par cocoeur sur Les liaisons sulfureuses

Je suis là

5 heures du matin, je ne dors plus. Tout est calme, dans mon lit je pense et je repense. Et ce n’est pas une petite envie qui ne demande qu’à s’épanouir, mais bien une grosse envie qui est déjà bien épanouie. Plus possible de dormir, mon corps se rappelle et tremble de désir. Tu es loin...

Alors je tente l’impossible, l’espace et le temps ne sont plus des obstacles, je vais venir, là maintenant. Je ferme les yeux , je me concentre, et mon esprit sort de mon corps, je voyage, je vole, aspiré, attiré par les messages invisibles que ton corps envoie dans ma direction.

ET JE SUIS LA

Dans ta chambre, même heure, même obscurité. Je devine ton corps sous tes draps, j’entends ton souffle régulier, apaisée tu rêves des couleurs de l’amour. Ton bras par dessus le drap est comme une invite. Je m’agenouille par terre et je te regarde. Du noir, du gris, des ombres, et ce bras blanc posé comme une offrande. Mes lèvres se rapprochent, et doucement se posent sur cette merveille, là au pli, ce petit creux magique, tout doux, si tendre et qui raffole de la caresse. Milliers de baisers se déposent là, et je les vois partir dans toutes les directions pour porter leur message de tendresse. Un soupir, le message est passé, ton corps est prêt...

Je tire le drap et je découvre ta splendeur. Le jour se lève à peine, mais mes yeux s’habituent à la pénombre et je vois l’essentiel. Sur le dos, chemise de nuit remontée sur les cuisses, un bras vers moi, l’autre qui repose sur ton ventre. Tu profites des dernières heures de la nuit, ton sommeil est profond, tu es bien.

Je m’approche de ton visage, tu souris en dormant, tu es belle, contours flous, tout m’attire et je vole un baiser sur tes lèvres entre-ouvertes. Papillons qui se posent sur tes joues, ton front, chaque parcelle de ton visage est une fleur où ils viennent délicatement aspirer le nectar de ta peau sucrée...

Doucement et sans te réveiller, je remonte ta chemise, douce au toucher et petit rempart qui ne demande qu’à céder. Petit à petit elle dévoile ton corps tout chaud, tes cuisses, ta culotte que j’imagine violette, ton ventre plat, tes seins, et pour ne pas te bousculer, je la laisse sous ton cou. Vision de rêve, abandon total, tu es là pour moi, ma main peut faire son œuvre...

A plat sur ton ventre, cette main si douce et coquine, descend doucement, légère pression, pour atteindre la limite du tissu qui protège ton intimité. Ma tête repose sur ton épaule, mon autre main vient se poser sur ton sein, qui monte et descend au rythme de ta respiration. Je le sens, tu le permets, mes doigts s’immiscent sous l’élastique et progressent lentement. Toison fine, début de ta fente, j’atteins le paradis...

Ma main englobe ton sexe, il est chaud, il dort encore. Sous la caresse ton corps a bougé, et comme s’il savait il me facilite la tâche. Tes jambes s’écartent, tu pousses un gros soupir, ta tête tourne et s’installe confortablement sur l’oreiller...

Mon doigt long et fin, par petite poussées, entre en toi, grandes lèvres, petites lèvres s’ouvrent pour le laisser passer. Une petite vague de rosée vient arroser cet endroit si secret. Mon doigt peut alors naviguer en douceur et rechercher le petit rocher qui se dresse au milieu, fier et appelant le frisson. L’ayant trouvé, une pression plus forte fait sursauter ton corps. Chaque appui t’envoie une décharge de plaisir qui se propage jusqu’au bout de tes orteils qui se tendent...

Ma main se fait plus envahissante, comme sur un piano, mes doigts, tour à tour, jouent de ton sexe et trouvent un chemin vers le calice de ta fleur. Près de mon oreille, ta bouche libère de petits gémissements, reflets du mélange de tes rêves et de la réalité. Ma main alors insistante te pénètre profondément et parcourt ton intimité la plus secrète. Par des mouvements de va et vient, tout en douceur, mes doigts entrent et sortent pour te donner le plaisir que tu espères...

Et tu te cambres, ma main reçoit l’eau de jouissance, tu vibres, tu laisses échapper un petit cri, à mon oreille. Ta respiration saccadée soulève tout ton corps, tu planes...

Je t’embrasse tendrement, je replace sur toi ta chemise, je remonte le drap, tu l’agrippes et te tournes en soupirant d’aise. De ma main je t’envoie un dernier baiser, et je ferme les yeux...

Et je reviens dans mon lit, quel merveilleux moment. Le plaisir, je l’ai eu aussi, dans ma tête et c’est très bien ainsi. La journée sera bonne, le jour se lève, bientôt l’heure. Je t’embrasse de loin.
Dim 15 Avril 2012, 22:22 par cocoeur sur Les liaisons sulfureuses

Entrevue galante de paul adam mignon (ma suite)

Entrevue galante (son poème)

La première fois quand je l’ai vue
J’ai tout de suite remarqué son regard
J’en étais complètement hagard

Dans ce jardin du Luxembourg
Je me suis dit Faut que je l’aborde
Pour voir si tous deux on s’accorde

J’ai déposé mon baluchon
Alors j’ai vu tes gros yeux doux
J’en suis devenu un peu comme fou

Quand je t’ai dis que tu me plaisais
Que j’aimerai bien te revoir
Tu m’as donné rendez-vous le soir




Et je t’ai dit Oh! Pénélope
Que tu étais une sacrée belle fille
Que je t’aimerai toute ma vie

Quand dans ce lit de marguerites
Tu m’as caressé doucement la tête
Ma vie entière est une fête

Et sous les regards de la foule
J’ai pose ma main sur ta main
Vous voyez bien que ce n’est pas malsain

A l’ombre des eucalyptus
Je t’ai dit Je veux que tu me suives
Je te sentais d’humeur lascive

Alors comme ça dans les tulipes
Tu m’as fait une petite promesse
Gage d’affection et de tendresse

Si notre amour devait céder
Je n’aurais plus qu’à me faire prêtre
Je ne pourrai jamais m’en remettre

Car si un jour notre amour rouille
Je m’en mordrai très fort les doigts
Chérie vraiment je n’aime que toi !



MA SUITE:


La première fois que je l’ai vu
Je marchais au hasard sur l’avenue
Le cœur en rade et la tête dans les nues

Dans ce joli parc je noyais mes pensées
Lorsqu’ au détour du sentier un homme m’approche
Son regard est beau et de suite j’accroche

Jeune homme de belle et fière allure
Sans doute un pauvre hère en quête d’aventure
Mais la beauté de ces yeux m’a conquis le cœur

Et je répondis à ta déclaration ,avec un brin de malice
J’espère que tu ne feras pas comme Ulysse.
Je t’attendrai ,juste ce soir ,au café "chez Maurice"

Tu avais l’air si mignon avec ton bouquet de renoncules
Si perdu avec ton costume plein de pellicules
Je t’en ai fais la remarque,c’était idiot avec le recul.

Tu n’en a pas eu cure et tu me pris la main.
Ce geste doux et tendre n’était pas du tout anodin
Mais la belle promesse d’un meilleur lendemain..

Dans ce joli cadre couvert de merveilleuses fleurs
Tes paroles me remplissaient d’un immense
Et je pensais tout bas:Je vous suivrai partout Monseigneur.

Tels des promis époux voila que tu m’embarques
Dans un voyage de noce,a bord de ta guimbarde
Qui me retourne le cœur à chacun de ses cahots

Si notre amour devait par la suite,autant de soubresauts
Je te préviens de suite que je partirais aussitôt au galop.
Et donc si tu veux me garder ,soit gentil,fidèle,et attentionné

Et je te promet de faire de ta vie ,un merveilleux rêve.
Scellons ce bon contrat du bout de nos lèvres
D’un baiser fougueux qui unira nos cœurs.

Jeu 22 Mars 2012, 17:12 par caressedesyeux sur Mille choses

La danseuse aux pies nus( duo caressedesyeux/inconnu

La danseuse aux pieds nus

Une douce musique résonne songeuse
Rebondissant sur les murs ensommeillés
Lentement, par gestes précis et calculés,
Les mouvements s’ajustent à la danseuse

Elle va, vient, virevolte, pirouette, bondit
S’élance d’une belle aisance singulière
Sur les accords d’une symphonie légère
Tel un oiseau s’envolant du nid

Sa chorégraphie est souple et aérienne
Ses pieds sont nus, tel un vibrant archet
Jouant, fringants, sur le bois blanc du parquet,
La partition d’une magicienne

Une dernière note et la musique se tait
La ballerine s’arrête en spirale
Le vent qui souffle en rafale
Inonde la pièce de son air frais

L’ardeur s’estompe et la sueur se colle
Elle ressent soudain le froid d’un frisson
Le plancher, tantôt chaud, est devenu glaçon
La froidure envahit la classe d’école

Elle frotte un pied contre l’autre pied
Les masse fort, pour que le sang circule
Un mèche tombe formant une virgule
Sur son front aux traits tirés

Puis enfile vite des grands bas de laine
Pose une mantille cachemire et soie
Ce voile lui provoque un grand émoi
Là, sur ses épaules nues, il rappelle sa peine

Elle éternue, bâille, se frotte les yeux
Elle est fatiguée sans doute
Un mug de café chaud pour la route
Viendra-t-il, aujourd’hui, son amoureux ?

Au loin, un carillon sonne l’heure
Elle se souvient de ses baisers
Viendra-t-il pour l’embrasser ?
Souvenirs d’instants de

Son regard parcourt la pièce vide
Ses pleurs s’arrêtent en quinte de toux
Personne pour susurrer des mots doux
À la danseuse au cœur livide

Mer 29 Fév 2012, 14:39 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Me noyer en ce champs de violette

Je ne résiste pas à relire, encore et toujours,
Ta dernière lettre qui est, pour moi, un vrai délice
Une magnifique symphonie de mots d’amour.
En la lisant, dans un tendre songe, je glisse
Nous revoilà dans la plus belle de nos journées,
Un merveilleux rêve dans lequel je nous projette,
Mes cheveux étaient soigneusement décorés de violettes,
Et nous étions, tous deux, dans l’herbe, couchés,
À profiter pleinement de ce beau soleil brûlant
Dans ce cadre agréable, je me suis assoupie doucement
Bien détendue, comme endormie, mais pas tout à fait :
L’œil en coin, je t’observais en secret !
Te voir me détailler valait bien la peine de tricher
Je savourais, de tes yeux posés sur moi, le profil,
Mon regard bien caché derrière mes longs cils
À me demander ce que tu allais encore inventer,
Pour agréablement me surprendre.
Tu as commencé par me chatouiller
Dans l’échancrure de mon décolleté
Et j’ai aimé cet instant doux et tendre
Puis tu as ouvert un à un mes boutons
Et tu as posé tes lèvres si délicatement
Que j’en ai eu un délicieux picotement
Mon adorable polisson
Ta tête a soudain plongé dans mon cou
Le couvrant de tes brûlants baisers
Et tu n’avais plus envie d’arrêter
De m’embrasser comme un fou
Tu respirais l’odeur de mes longs cheveux
Les effluves, en devenaient si forts :

Parfum de violette si présent et capiteux
Qu’il s’empreigne dans tous nos pores
Enivre-toi encore de la saveur odorante de ma peau,
Plonge une fois de plus dans le cœur de ta Juliette,
Pénètre-toi davantage de cet arôme de violette
Laisse-toi envoûter par le charme de ces jolies fleurs
Gage de notre amour et de notre
Mon tendre Roméo
Lun 20 Fév 2012, 18:14 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Ma dame

Ma dame,
D’habitude je vous vouvoie, et j’entrevois ici toute la sensibilité que vous masquez par votre sourire farceur au quotidien! clin

Voue moi ta vie!!!

Je vous vois rire à l’avance de mes propos, mes mots milliardaires et inestimables, ceux que vous attendiez tant et depuis tout ce temps?

Je resta silencieux tout ce temps.

J’observa la cour, les poules et les coqs, sans rien dire, sans rien écrire, juste avec mes yeux d’aveugle vertébré.

Ma dame en ce soir de formel, je vous attends, et je vais vous tutoyer.

Je vais vous dire tu, tue l’espace et le temps qui nous sépare.
Je te demande un peu de ton planning contre un peu de mon précieux emploi du temps!!! cool
Je te donne mon sourire contre tes yeux, mes mains contre tes lèvres, mes mots contre ta voix, mes cris contre tes silences, et j’hausse un peu le volume si tu le permets:
je te donne moi contre toi!!!!
bel échange non?
Jeu 09 Fév 2012, 03:59 par volcanique sur La séduction

Notre premier baiser

C’était un soir d’hiver, je venais de quitter mon copain, je n’avais pas le moral.
Je ne pouvais m’empêcher de penser à mon "prince".
Alors je les appeler.
Et nous voici partie chez des amis à lui, pour une partie de poker, ma toute première d’ailleurs.
Nous avions bien bu, rigoler et jouer une bonne partie de la soirée.
Je m’en rappelle comme si c’était hier...
j’étais, loin d’imaginée ce qui allait se passer par la suite.

Une fois la soirée fini, il m’a proposé de rentrée chez lui pour regarder un film ensemble, nous avons continué à parler de chose et autres.
Je voyais son regard changer, quelque petite caresse par ci par là...
Mais avec une-t-elle timidité...

Puis nous somme aller dans sa chambre,
Nous étions tous les deux dans la pénombre.
seul la lune refléter à travers les rideaux.
la lumière était si douce et tamiser, elle me laisser deviner sa silhouette.

Allonger près de moi, je n’arrivais pas à y croire, j’ était loin d’imaginer que je pouvais lui plaire.
Mal à l’aise dans mon coin, je ne savais comment réagir...

Il commença par des effleurements dans le coup et dans le dos, mon corps ce mis à frissonner.
Puis ce fut au tour des bisous dans le coup jusqu’au moment où c’est lèvres si douce toucha les miennes.
Suis-je en train de rêver ?... Mon corps tremblé, impossible de m’arrêter,
Ce fut comme un feu d’artifice, non ! que dis-je un tourbillon de , une envie de rire, de pleurer...
Je n’en revenais toujours pas.
Plus rien n’exister : le temps, l’espace... que nous dans l’ivresse d’un baiser...
Une émotion tellement forte, un vrai conte de fées....

Un moment inoubliable et tellement agréable comment définir tous cela ? Il n’y a pas de mots.
Je n’oublierai jamais notre premier baiser...



s’il vous plait dite moi ce que vous pensez de ce texte, toute critique constructive et bonne a prendre.

merci d’avance content
Mar 07 Fév 2012, 05:28 par amourperdu sur L'amour en vrac
Page 3 sur 26 Aller à la page Précédente  1, 2, 3, 4 ... 24, 25, 26  Suivante

Ecrire sur bonheur

Ecrire sur bonheur Figer le temps, La colombe ou la liberté, en destinée, En passant au bord de seine, Tout ce que je n'ai pû te dire, Voir tes reves s'accomplir, Lui dire, La jalousie, Le cercle des poètes, Sensation forte, Je suis là, Entrevue galante de paul adam mignon (ma suite), La danseuse aux pies nus( duo caressedesyeux/inconnu, Me noyer en ce champs de violette, Ma dame, Notre premier baiser,
Il y a 380 textes utilisant le mot bonheur. Ces pages présentent les textes correspondant.

Bonne lecture !

Derniers textes

Livres recommandables

On ne badine pas avec l'amour à 1,55 euros
Alfred de MUSSET
Pocket
Éloge des femmes mûres: Les souvenirs amoureux d'András Vajda
Stephen Vizinczey
Folio
L'Ile des Gauchers
Alexandre Jardin
Gallimard
CARNET DE RROSE
ALINA REYES
Pocket
Grammaire érotique
Laurin Jacques
La Musardine
La Pharmacienne
Esparbec
La Musardine
Infidèles : Nouvelles érotiques
Martin Laliberté
J'ai lu
Journal intime de mon sexe
ANONYME
Pocket
Les fables de l'Humpur
Pierre Bordage
J'AI LU
Cinquante nuances de Grey (Fifty Shades, Tome 1)
E L James
JC Lattès


Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres

La citation d'amour

L'amour n'as pas de meilleur ministre que l'occasion.

Cervantès.

Qui est en ligne ?

  • Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
  • La date/heure actuelle est Jeu 25 Avril 2024, 05:48
  • Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
    Nous avons 1234 membres enregistrés
    L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher
  • Il y a en tout 50 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 50 Invités et 0 Bots   [ Administrateur ]   [ Modérateur ]
  • Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 311 le Sam 21 Juil 2012, 20:22
  • Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
    Bots : Aucun
  • Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes
  Connexion
Nom d'utilisateur:
Mot de passe:
Se connecter automatiquement à chaque visite