Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur bonheur - Page 25 sur 26
Re: le jeu de la verité ... question 3 ??
la marquise de sade a écrit: |
.... Quel endroit inattendu a été le théâtre de vos ébats amoureux? La marquise ... Dupont d’occas ... |
- Madame la "Maîtresse" on est obligé d’avoir UN endroit uniquement?
- Il suffit, élève Ri1keneke!!! n’essayez pas de vous rendre interressante plus qu’il ne faut!
- Mais M’dame "Dupond", ca n’est pas ma faute, du moins ça n’était pas ma faute, mais celle de l’occasion qui a fait le larron, comme qui dirait.
- On ne vous demande pas de vous étaler, juste de nous raconter UNE FOIS, celle qui est sur la plus haute marche, celle qui vous fait encore frissonner aujourd’hui lorsque vous y pensez, celle qui vous fait rougir parce que si audacieuse.
- Cela va être dur alors de choisir Marquise, si j’étais aujourd’hui encore toute jeune, ces souvenirs qui s’appelleraient peut être alors fantasmes, me feraient, en bon nombre ROUGIR, tant je ne me serais crue capable... de tant d’audace... mais qui n’a d’audace ne sait ce qu’il perd...
Au coeur de ce bouquet d’arbrisseaux, sur ce rond point de centre ville, jamais je n’aurais cru un jour me retrouver, aux heures de pointe, à aller au delà d’un seul baiser...
Nos pas n’auraient pu nous dire qu’ils nous auraient menés ce jour en ce lieu parisien ou aucun indigeant n’aurait idée de s’introduire. Beau quartier et digicode, fous d’amour en errance que nous étions, ce lieu pétillant du 16ème arrondissement nous a vu nous aimer...
Dans les silences de la nuit, sous les ronflements ambiants d’une pièces hébergeant des provinciaux sans lieux d’arrivage, qu’il est difficile de faire faire silence à ses plaisirs...
En ce lieu qui était géole et qui éveilla l’insurrection de notre révolution mère, au rythme infernal des machines d’un bateau lavoir, les murs en retrait donnent de l’audace à l’attente et à l’impatience.
Géole dans le temps, quais d’arrivées et de départs dans d’autres temps, théatre de spectacle que ces lieux sont devenus, d’un opéra dans ses préparatifs nos ébats ont vécus le rythme...
Si haut dans cette montagne, devant ce spectacle "carte postale", bien au dessus du niveau de cette eau, nous nous sommes électrisés...
De navigation nos ébats sont devenus houleux,
de kilomètrages autoroutiers nous aurions pu cumuler les miles,
sur les rails les trains de nuit nous ont inspirés bien plus qu’endormis,
les parking, et les asenceurs, nous n’avons pas oublié de saluer de nos plaisirs,
occupés à nous aimer que nous étions, nous n’avons pas pour autant oubliés les films et les salles obscures qui nous ont acceuillis alors.
...
Audace, jeu, tentation, envie, risque, danger, besoin, désir,
des ingrédients en nombre, qui peuvent alors composer une recette si fine qu’il aurait été stupide de ne pas céder à la tentation d’y gouter.
Passée cette jeunesse où j’aurais pu rougir de tant d’audace,
les ans étant, des doux souvenirs demeureront toujours la force et le bonheur d’avoir vécu ces instant de grands plaisirs.
Mer 28 Jan 2004, 02:34 par
Ri1kedesBêtises sur La séduction
You ain't the first, you've been the worst
Je n’avais pas encore écrit dans cette rubrique ...et bien voilà qui est fait...comme dirait didier barbelivien "à toutes les femmes que j’ai aimé avant....pom pom....pompom" bon allez la suite est moins drôle mais on s’accroche hein
Eve et les autres
A réver, vous m’avez aidé
A murmurer, vous m’avez troublé
A écouter, vous m’avez initié
A aimer, vous m’avez résigné
A regretter, vous m’avez fragilisé
A oublier, vous m’avez apaisé
A pleurer, vous m’avez forcé
A un autre ...vous m’avez préféré
Vos influences, vous m’avez réveillé
Vos évidences, vous m’avez subjugué
Vos impertinences, vous m’avez agacé
Vos apparences, vous m’avez trompé
Vos différences, vous m’avez charmé
Vos confidences, vous m’avez livré
Vos défaillances, vous m’avez avoué
Vos absences ....vous m’avez blessé
Ma méfiance, vous avez dépassée
Ma peur, vous avez combattue
Ma présence, vous avez appréciée
Ma douleur, vous avez soignée
Ma confiance, vous avez obtenue
Mon coeur, vous avez décroché
Mon innocence, vous avez enterré
Mon bonheur ...vous n’obtiendrez jamais
De la vie, vous m’avez tout appris
Du respect? vous le méritez
De la tendresse ? voulez vous que je vous blesse ?
De l’amitié ? offrez-moi votre complicité !
De l’amour ? je fuis et crie au secours
De la passion, vous vouloir à la déraison
De l’amertume, jusqu’à ce que je me consume
De la fidélité ...tout ça pourrait durer
Eve et les autres
A réver, vous m’avez aidé
A murmurer, vous m’avez troublé
A écouter, vous m’avez initié
A aimer, vous m’avez résigné
A regretter, vous m’avez fragilisé
A oublier, vous m’avez apaisé
A pleurer, vous m’avez forcé
A un autre ...vous m’avez préféré
Vos influences, vous m’avez réveillé
Vos évidences, vous m’avez subjugué
Vos impertinences, vous m’avez agacé
Vos apparences, vous m’avez trompé
Vos différences, vous m’avez charmé
Vos confidences, vous m’avez livré
Vos défaillances, vous m’avez avoué
Vos absences ....vous m’avez blessé
Ma méfiance, vous avez dépassée
Ma peur, vous avez combattue
Ma présence, vous avez appréciée
Ma douleur, vous avez soignée
Ma confiance, vous avez obtenue
Mon coeur, vous avez décroché
Mon innocence, vous avez enterré
Mon bonheur ...vous n’obtiendrez jamais
De la vie, vous m’avez tout appris
Du respect? vous le méritez
De la tendresse ? voulez vous que je vous blesse ?
De l’amitié ? offrez-moi votre complicité !
De l’amour ? je fuis et crie au secours
De la passion, vous vouloir à la déraison
De l’amertume, jusqu’à ce que je me consume
De la fidélité ...tout ça pourrait durer
Mar 20 Jan 2004, 09:51 par
la_tulipe_noire sur L'amour en vrac
Bilan sulfureux
Deux semaine aprés l’ouverture des Liaisons sulfureuses, le bilan est positif. Aprés quelques balbutiements, les textes à caractère érotique ont commencé à alimenter ce forum, et vraisemblablement, le format en plusieurs posts y semble le plus apprécié par les ecrivains.
Les Canaux RSS, nous permettent d’alimenter Le club 666, l’annexe des ames tendres, et Les jolies choses en plus des moteurs butineur de fils.
Et enfin, la_tulipe_noire, détient désormais le titre de sulfureuse Fleur bleue à pouvoir correcteur
Bref, que du bonheur.
Les Canaux RSS, nous permettent d’alimenter Le club 666, l’annexe des ames tendres, et Les jolies choses en plus des moteurs butineur de fils.
Et enfin, la_tulipe_noire, détient désormais le titre de sulfureuse Fleur bleue à pouvoir correcteur
Bref, que du bonheur.
Sam 17 Jan 2004, 17:46 par
PetitPrince sur Edito
Contre un mur - Fin
En t’embrassant, je t’ai poussé contre le mur de cette vielle maison. La folie de l’instant ne nous fit pas doux comme de tendres amants, mais fous comme des animaux assoiffés, et maladroit comme des adolescents tourmentés.
Je sens tes mains balbutier dans mon dos et ma nuque, et tes mollets se sertir dans mes reins. Je ne sais plus trop qui lave l’autre avec sa langue. Nous nous sommes donné rendez-vous ici pour péter un boulon. Je suis excité comme un fou, mes mains sont déjà sous ta jupe, ayant délaissé les premiers appâts de ton buste, livré désormais au regard anonyme du ciel de Paris. Avec bonheur, je caresse la dentelle de tes bas, augurant de l’aspect pratique qui n’aurait point existé avec ces collants que je te soupçonnais.
Un instant je m’arrête. Nous sommes au bord de tout, et en galant homme je tiens encore à ton accord, même si je ne te connais pas. Tu as compris, et ton regard ne fit qu’accompagner tes mains fébriles qui me déboutonnerent au coin de cette rue inespérée.
Mon orgueil de male ainsi libéré, je me sentais de t’investir brusquement contre le mur de notre fortune, mais tu ne l’entendais pas ainsi. Un coup d’œil à droite, un coup d’œil à gauche. Personne. A ton regard mutin, qui rend inconscient le plus droit des hommes, et je compris ton envie de pousser cet instant incertain aux limites du jeu et de l’interdit.
Tes mains enserrent mon sexe dressé, tandis que je sens ton haleine, promesse de mille caresses, annoncer un plaisir dont je suis plus que friand. Et tu prends ton temps, coquine, à me faire tourment de ces lèvres que l’on croirait sans dent. Je savoure un instant, jouant le jeu de l’extrême en posant les mains sur ce mur, ah ce mur, en baissant la tête pour admirer impudique et ébahi ton œuvre, et ton regard insolent.
Stop. C’est toi que je veux. Je te redresse et te plaque contre ce mur, la bite à l’air. Je te regarde avec insolence et ferveur, comme tu me regardais quelques secondes auparavant. Je déboutonne lentement, ce qu’il reste de deboutonnable sur ton chemisier, et prends mon temps, toujours mon regard dans le tien, de caresser des seins durcis de désir.
Je retrousse ta jupe, et me plaque contre toi qui est dos à ce mur, compagnon de fortune, et désormais ami pour toujours. Je pénètre avec douceur, la chambre de tes plaisirs, accueillante et moelleuse, contrastant avec cette fin de journée d’hiver. Je suis heureux.
Notre fougue s’est calmée, et laisse place à une douceur et une tendresse inespérée. Les animaux sont-ils domptés à l’heure ou ils se repaissent à la mare de leurs souhaits ? Je ne sais. Nous avons pris notre temps toi et moi de savourer cet instant, d’arrêter le temps, comme je dis si souvent …Juste un léger cri, la tête penchée sur le coté, et les yeux fermés, tu m’as invité à te rejoindre dans l’aboutissement de cette étreinte, et je t’ai dit oui dans le creux de l’oreille, et au fond de ton corps.
Ne plus bouger, revenir sur terre. Je sors a regret, et il fait froid. Nos regards s’évitent, la magie commence à cesser. Je te vois rebaisser ta jupe, tandis que je me rembraille doucement en te regardant. Tu te reboutonnes, puis redescends cette jupe que j’ai tant suivie, et enfin te recoiffes avec les mains. Tu es belle. Oui, tu es belle.
Rhabillés, nous prenons le temps de nous regarder encore, en silence. La beauté d’un instant ne souffre aucun mot, aucun espoir ni aucun regret. Un léger sourire, un regard qui disait "jamais je ne t’oublierai" seront nos seuls mots d’amour, avec ce texte que je te dédie, en hommage à ta royale féminité.
Je sens tes mains balbutier dans mon dos et ma nuque, et tes mollets se sertir dans mes reins. Je ne sais plus trop qui lave l’autre avec sa langue. Nous nous sommes donné rendez-vous ici pour péter un boulon. Je suis excité comme un fou, mes mains sont déjà sous ta jupe, ayant délaissé les premiers appâts de ton buste, livré désormais au regard anonyme du ciel de Paris. Avec bonheur, je caresse la dentelle de tes bas, augurant de l’aspect pratique qui n’aurait point existé avec ces collants que je te soupçonnais.
Un instant je m’arrête. Nous sommes au bord de tout, et en galant homme je tiens encore à ton accord, même si je ne te connais pas. Tu as compris, et ton regard ne fit qu’accompagner tes mains fébriles qui me déboutonnerent au coin de cette rue inespérée.
Mon orgueil de male ainsi libéré, je me sentais de t’investir brusquement contre le mur de notre fortune, mais tu ne l’entendais pas ainsi. Un coup d’œil à droite, un coup d’œil à gauche. Personne. A ton regard mutin, qui rend inconscient le plus droit des hommes, et je compris ton envie de pousser cet instant incertain aux limites du jeu et de l’interdit.
Tes mains enserrent mon sexe dressé, tandis que je sens ton haleine, promesse de mille caresses, annoncer un plaisir dont je suis plus que friand. Et tu prends ton temps, coquine, à me faire tourment de ces lèvres que l’on croirait sans dent. Je savoure un instant, jouant le jeu de l’extrême en posant les mains sur ce mur, ah ce mur, en baissant la tête pour admirer impudique et ébahi ton œuvre, et ton regard insolent.
Stop. C’est toi que je veux. Je te redresse et te plaque contre ce mur, la bite à l’air. Je te regarde avec insolence et ferveur, comme tu me regardais quelques secondes auparavant. Je déboutonne lentement, ce qu’il reste de deboutonnable sur ton chemisier, et prends mon temps, toujours mon regard dans le tien, de caresser des seins durcis de désir.
Je retrousse ta jupe, et me plaque contre toi qui est dos à ce mur, compagnon de fortune, et désormais ami pour toujours. Je pénètre avec douceur, la chambre de tes plaisirs, accueillante et moelleuse, contrastant avec cette fin de journée d’hiver. Je suis heureux.
Notre fougue s’est calmée, et laisse place à une douceur et une tendresse inespérée. Les animaux sont-ils domptés à l’heure ou ils se repaissent à la mare de leurs souhaits ? Je ne sais. Nous avons pris notre temps toi et moi de savourer cet instant, d’arrêter le temps, comme je dis si souvent …Juste un léger cri, la tête penchée sur le coté, et les yeux fermés, tu m’as invité à te rejoindre dans l’aboutissement de cette étreinte, et je t’ai dit oui dans le creux de l’oreille, et au fond de ton corps.
Ne plus bouger, revenir sur terre. Je sors a regret, et il fait froid. Nos regards s’évitent, la magie commence à cesser. Je te vois rebaisser ta jupe, tandis que je me rembraille doucement en te regardant. Tu te reboutonnes, puis redescends cette jupe que j’ai tant suivie, et enfin te recoiffes avec les mains. Tu es belle. Oui, tu es belle.
Rhabillés, nous prenons le temps de nous regarder encore, en silence. La beauté d’un instant ne souffre aucun mot, aucun espoir ni aucun regret. Un léger sourire, un regard qui disait "jamais je ne t’oublierai" seront nos seuls mots d’amour, avec ce texte que je te dédie, en hommage à ta royale féminité.
Jeu 15 Jan 2004, 22:25 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
J'irai au bout de ce rêve - Partie 3
Elle se leva, fit le tour du bureau et vint se placer derrière moi. Ses mains vinrent courir dans mes cheveux. Ceci réveilla en moi un vieux souvenir d’adolescent. Une jolie coiffeuse qui éveilla mes premiers émois lors de sensuels massages capillaires, la tête coincée entre deux seins généreux.
Pour la première fois madame l’avocate m’appella par mon prénom :
-« Vous ne trouvez pas que nous avons bien travaillé Vincent ? Que diriez vous d’un peu de détente ? » me susurra-t-elle à l’oreille
Elle ne me laissa même pas le temps de répondre. Ma cravate déjà enlevée, elle commençait à détacher un à un les boutons de ma chemise. Toujours derrière moi, elle se penchait de plus en plus pour atteindre les boutons les plus éloignés d’elle. Elle venait en même temps me mordre doucement la nuque. Je me laissais faire, n’esquissant pas le moindre mouvement. Sa langue venait glisser le long de mon cou, jusqu’à mon oreille qui semblait l’endroit préféré de ses caresses humides.
Ses mains voyageaient adroitement sur mon torse. Le brûlant va et vient qu’elle imprimait de mes pectoraux vers mon bas-ventre provoquait chez moi une excitation grandissante. Par jeu, je continuais à ne pas bouger et à feindre l’indifférence, espérant par-là la pousser à user d’artifices encore plus torrides.
Ce qu’elle fit sans attendre …sa main venait maintenant caresser mon sexe dont elle pouvait sentir la vigueur chaude à travers mon pantalon. Encore plus penchée vers moi, ses cheveux flottaient maintenant sous mon nez, distillant un parfum sucré de noix de coco fraîchement ouverte. En même temps sa langue atteignait mes tétons qu’elle léchait avec gourmandise, ce qui finit par entraîner chez moi des frissons de plaisir chatouilleux.
Avec une adresse telle que je me rendais à peine compte de ce j’étais en train de vivre, elle détacha ma ceinture et descendit ma braguette. Sa main, déjà, tentait une incursion tranquille sous mon boxer. Cette reconnaissance finie, elle fit le tour du fauteuil et vint s’agenouiller devant moi.
Elle fit glisser ses doigts sur mes cuisses et mes fesses, alors que ses yeux fixaient mon regard, cherchant là le signe de ma capitulation face à ses élans enflammés. A travers le tissu elle honorait mon sexe de petits baisers mordants. Je m’agrippais au fauteuil, je me cambrais pour ne pas laisser échapper des râles de plaisir qui auraient pu éveiller l’attention de la secrétaire de l’autre côté de la porte.
Ses mains accédaient maintenant à leur but. L’une jouait habilement de ma verge pendant que l’autre allait et venait sur mes abdominaux durcis par le plaisir. Sa bouche douce et pulpeuse avalait tout entière mon phallus fièrement dressé, et venait par instants croquer goulûment un de mes testicules. Ma respiration se faisait de plus en plus saccadée, je laissais échapper des soupirs de bonheur incandescent….j’avais abdiqué. Le sourire coquin qui éclairait maintenant son visage ne laissait aucun doute sur ce point.
Elle savait alors que je n’avais plus envie de lui résister. Elle se releva et recula jusqu’à son bureau, ses yeux ne quittant pas les miens. Je me levais et me dirigeais lentement vers elle. Mes mains posées sur ses hanches, je l’embrassais fougueusement. J’ouvrais son pantalon et le laissais glisser le long de ses jambes. La douce fermeté de ses cuisses s’offrait alors à mes doigts électrisés par l’excitation. Elle portait un string écru aux bordures finement dentelées. Je décidais de garder ce trésor pour plus tard et préférais lui enlever son pull. Docilement elle leva ses bras pour me faciliter la tâche. Suite à mes assauts elle était maintenant assise sur le bord de son bureau. Ses jambes enroulées autour de ma taille, je continuais à l’embrasser, aimanté par le goût vanillé de sa bouche.
Pour la première fois madame l’avocate m’appella par mon prénom :
-« Vous ne trouvez pas que nous avons bien travaillé Vincent ? Que diriez vous d’un peu de détente ? » me susurra-t-elle à l’oreille
Elle ne me laissa même pas le temps de répondre. Ma cravate déjà enlevée, elle commençait à détacher un à un les boutons de ma chemise. Toujours derrière moi, elle se penchait de plus en plus pour atteindre les boutons les plus éloignés d’elle. Elle venait en même temps me mordre doucement la nuque. Je me laissais faire, n’esquissant pas le moindre mouvement. Sa langue venait glisser le long de mon cou, jusqu’à mon oreille qui semblait l’endroit préféré de ses caresses humides.
Ses mains voyageaient adroitement sur mon torse. Le brûlant va et vient qu’elle imprimait de mes pectoraux vers mon bas-ventre provoquait chez moi une excitation grandissante. Par jeu, je continuais à ne pas bouger et à feindre l’indifférence, espérant par-là la pousser à user d’artifices encore plus torrides.
Ce qu’elle fit sans attendre …sa main venait maintenant caresser mon sexe dont elle pouvait sentir la vigueur chaude à travers mon pantalon. Encore plus penchée vers moi, ses cheveux flottaient maintenant sous mon nez, distillant un parfum sucré de noix de coco fraîchement ouverte. En même temps sa langue atteignait mes tétons qu’elle léchait avec gourmandise, ce qui finit par entraîner chez moi des frissons de plaisir chatouilleux.
Avec une adresse telle que je me rendais à peine compte de ce j’étais en train de vivre, elle détacha ma ceinture et descendit ma braguette. Sa main, déjà, tentait une incursion tranquille sous mon boxer. Cette reconnaissance finie, elle fit le tour du fauteuil et vint s’agenouiller devant moi.
Elle fit glisser ses doigts sur mes cuisses et mes fesses, alors que ses yeux fixaient mon regard, cherchant là le signe de ma capitulation face à ses élans enflammés. A travers le tissu elle honorait mon sexe de petits baisers mordants. Je m’agrippais au fauteuil, je me cambrais pour ne pas laisser échapper des râles de plaisir qui auraient pu éveiller l’attention de la secrétaire de l’autre côté de la porte.
Ses mains accédaient maintenant à leur but. L’une jouait habilement de ma verge pendant que l’autre allait et venait sur mes abdominaux durcis par le plaisir. Sa bouche douce et pulpeuse avalait tout entière mon phallus fièrement dressé, et venait par instants croquer goulûment un de mes testicules. Ma respiration se faisait de plus en plus saccadée, je laissais échapper des soupirs de bonheur incandescent….j’avais abdiqué. Le sourire coquin qui éclairait maintenant son visage ne laissait aucun doute sur ce point.
Elle savait alors que je n’avais plus envie de lui résister. Elle se releva et recula jusqu’à son bureau, ses yeux ne quittant pas les miens. Je me levais et me dirigeais lentement vers elle. Mes mains posées sur ses hanches, je l’embrassais fougueusement. J’ouvrais son pantalon et le laissais glisser le long de ses jambes. La douce fermeté de ses cuisses s’offrait alors à mes doigts électrisés par l’excitation. Elle portait un string écru aux bordures finement dentelées. Je décidais de garder ce trésor pour plus tard et préférais lui enlever son pull. Docilement elle leva ses bras pour me faciliter la tâche. Suite à mes assauts elle était maintenant assise sur le bord de son bureau. Ses jambes enroulées autour de ma taille, je continuais à l’embrasser, aimanté par le goût vanillé de sa bouche.
Mar 13 Jan 2004, 22:29 par
la_tulipe_noire sur Les liaisons sulfureuses
comment on dit déjà??? ah oui!!! ==> kikooooooooooooooooo
Me voici de retour.. et oui, c’était pas la peine de se réjouir comme ça Petit prince et la Tulipe, suis revenue (oui, je sais dans le mot réjouir, il y a ré … ) Alors pour pas faire comme tout le monde (déjà en CM mon institutrice me traitait de marginale parce que je portais de longs anneaux à mes oreilles et c’est pas avec l’âge que je me suis assagie ) je ne vous souhaiterai pas une bonne année, ne vous présenterai pas tous mes vœux de bonheur, de réussite et autres blablateries, mais j’attendrai le 12 avril pour le faire.. pourquoi le 12 avril ? Parce que c’est un lundi pardi ! et que de plus, cette année, le 12 avril tombe juste avant le 13 !! Donc vous comprendrez aisément que j’ai choisi cette date, je n’en doute nullement J’aurais pu choisir la date exceptionnelle du 14 mars également… date exceptionnelle par excellence puis que Albert Einstein est né un 14 mars… moi aussi d’ailleurs (n’y voyez aucune ressemblance entre les deux personnages, Albert a beaucoup moins de cheveux que moi !! ). Mais je me suis dit qu’à cette date, j’aurais atteint l’âge de 30ans, et que je ne serai plus en état d’avoir une quelconque pensée gentille pour personne !! au moins pendant 5 minutes car je n’ai pas de doute sur le soutien que m’apporteront quelques gentilles personnes en me disant « mais non, t’es pas vieille isa !! mais non, tu as encore toute la vie devant toi ! Arrête quoi ! t’es toujours aussi sexy qu’à 18ans, on t’aimeuuuuuuu nous !! » (bande de faux-cul oui !! ) avant que j’aille me planter au bar de l’Europa (club de 3X20 hyper branché de ma ville ) et noyer ma vieillesse, oublier mes rides et mes bourrelets dans une vervaine sucrée ! Arfffffffff mon dieu ! faut que j’arrête de lire Barbara Cartland moi, ça me vaut rien !!
Bref … suis relà
La marquise … repartie comme en 14 crévindiou !
Bref … suis relà
La marquise … repartie comme en 14 crévindiou !
Mar 13 Jan 2004, 11:46 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
Incident voyageur....
Hier au détour d’un texto, j’apprenais que les transports en commun parisiens circulaient mal en raison d’un « incident voyageur » …
Déjà j’imaginais une prise de tête entre un contrôleur et un passager un peu énervé qui n’avait pas de titre de transport… Et bien non, c’était un peu plus que cela … un suicidé…
De qui, comment, pourquoi, je n’en sais rien et je ne veux pas le savoir, ce quidam est et restera pour moi un inconnu. De toute façon, que puis-je encore pour lui ? Et lui, peut-il encore quelque chose pour moi ?
Et bien oui. Inconsciemment il a fait quelque chose pour moi. Merci monsieur ou madame l’Inconnu.
Merci de me rappeler que MOI je suis vivante, merci de me rappeler que moi j’existe.
Merci de me rappeler que moi je suis vivante aujourd’hui, mais que demain je ne le serai peut-être plus.
Merci de me rappeler que je suis la Marquise de Sade, avec toute la symbolique que cela comporte, parfois tendre et sensible, parfois perverse et sans retenue, n’en déplaisent à certains et encore plus à certaines.
Merci de me rappeler que 12 années de manipulation, de violence, de viol, de peur et de silence m’ont fait naître, plus forte, plus confiante et plus rêveuse que jamais.
Merci de me rappeler que si je veux voir le soleil le matin quand je me lève, j’en suis seule maître, malgré le froid , la pluie et le vent de ma Belgique natale.
Merci de me rappeler que je n’ai jamais eu ni dieu ni maître pour me faire courber l’échine, et que celui que cela dérange peut passer son chemin.
Merci de me rappeler que dans la vie, rien n’est donné mais que tout reste à créer…
Merci monsieur ou madame l’inconnu …
Quant à l’auteur de ce texto… merci de me rappeler que l’avenir est à celui qui croit en lui, que le bonheur est à celui qui affronte la vie et que moi…. Je suis vivante…
et que moi, j’existe aussi dans le réel …
La marquise…. Imperturbable rêveuse… va falloir vous y faire !!!
Déjà j’imaginais une prise de tête entre un contrôleur et un passager un peu énervé qui n’avait pas de titre de transport… Et bien non, c’était un peu plus que cela … un suicidé…
De qui, comment, pourquoi, je n’en sais rien et je ne veux pas le savoir, ce quidam est et restera pour moi un inconnu. De toute façon, que puis-je encore pour lui ? Et lui, peut-il encore quelque chose pour moi ?
Et bien oui. Inconsciemment il a fait quelque chose pour moi. Merci monsieur ou madame l’Inconnu.
Merci de me rappeler que MOI je suis vivante, merci de me rappeler que moi j’existe.
Merci de me rappeler que moi je suis vivante aujourd’hui, mais que demain je ne le serai peut-être plus.
Merci de me rappeler que je suis la Marquise de Sade, avec toute la symbolique que cela comporte, parfois tendre et sensible, parfois perverse et sans retenue, n’en déplaisent à certains et encore plus à certaines.
Merci de me rappeler que 12 années de manipulation, de violence, de viol, de peur et de silence m’ont fait naître, plus forte, plus confiante et plus rêveuse que jamais.
Merci de me rappeler que si je veux voir le soleil le matin quand je me lève, j’en suis seule maître, malgré le froid , la pluie et le vent de ma Belgique natale.
Merci de me rappeler que je n’ai jamais eu ni dieu ni maître pour me faire courber l’échine, et que celui que cela dérange peut passer son chemin.
Merci de me rappeler que dans la vie, rien n’est donné mais que tout reste à créer…
Merci monsieur ou madame l’inconnu …
Quant à l’auteur de ce texto… merci de me rappeler que l’avenir est à celui qui croit en lui, que le bonheur est à celui qui affronte la vie et que moi…. Je suis vivante…
et que moi, j’existe aussi dans le réel …
La marquise…. Imperturbable rêveuse… va falloir vous y faire !!!
Mar 13 Jan 2004, 10:42 par
la marquise de sade sur Un monde parfait
Plaire
Un ami au cours d’un repas soumit à notre analyse une anecdote dans laquelle plus d’un pourrait se reconnaître :
« Je sors depuis quelques temps avec une femme très belle, dont je suis fier. Et du coup, non seulement je me rends compte que je plais aux femmes que je croise, qui sont elles aussi très belles, mais en plus ça me donne envie ! Pourquoi c’est quand on est avec quelqu’un, que l’on attire le plus les regards ? »
Ah là là, c’est tellement vrai, emporté par notre bonheur, on est un peu plus ouvert et surtout moins préoccupé par notre souci de « rencontrer » quelqu’un. Ca doit se sentir dans notre attitude, on est plus souriant, plus enjoué, moins soucieux et finalement très probablement plus attirant. Je suppose aussi que moins préoccupé, nous sommes aussi plus en mesure de reconnaître des signes d’intérêt, très subtils, qui doivent quand même exister mais passer inaperçus dans nos périodes d’inquiétude et de tristesse sentimentale.
« Je sors depuis quelques temps avec une femme très belle, dont je suis fier. Et du coup, non seulement je me rends compte que je plais aux femmes que je croise, qui sont elles aussi très belles, mais en plus ça me donne envie ! Pourquoi c’est quand on est avec quelqu’un, que l’on attire le plus les regards ? »
Ah là là, c’est tellement vrai, emporté par notre bonheur, on est un peu plus ouvert et surtout moins préoccupé par notre souci de « rencontrer » quelqu’un. Ca doit se sentir dans notre attitude, on est plus souriant, plus enjoué, moins soucieux et finalement très probablement plus attirant. Je suppose aussi que moins préoccupé, nous sommes aussi plus en mesure de reconnaître des signes d’intérêt, très subtils, qui doivent quand même exister mais passer inaperçus dans nos périodes d’inquiétude et de tristesse sentimentale.
Mar 09 Déc 2003, 14:30 par
PetitPrince sur La séduction
Contes de séduction...
La séduction en retour de bâton…
Il était une fois un séducteur arrivant toujours à ses fins.
Fin joueur il usait et abusait de ce jeu qu’il maîtrisait bien plus que tout autre.
Comment pouvait il en être autrement, bel homme il était.
A dame qui voulait recevoir, tendre il était de ses yeux, ouvert de geste doux, s’offrant de sourires enjôleurs. D’attention il n’était point radin, d’écoute et de compliments il donnait à ces dames.
Comment donc la gente féminine aurait elle fait pour ne pas sombrer sous le charme du Don Juan ?
Il était une fois, une Cosette peut être bien, qui croisa un jour les yeux du charmant.
De ses rêves elle cru pouvoir enfin se libérer et goûter ainsi à ce qu’elle n’avait jamais pu imaginer être une réalité.
Elle s’offrit alors corps et âme au Don Juan.
Sa garde tombée, il prit d’elle tous les plaisirs dont il était si friand, de bonheur elle lui donna tout d’elle.
De plaisirs ainsi repu, le Don Juan disparu alors, laissant la pauvrette face à cette douleur que ses rêves ne lui avaient pas contée.
Etre fragile qu’elle pouvait être, elle avait au gré du temps passant appris les leçons que la vie enseigne, et ne s’avoua donc pas vaincue pour autant.
De temps elle avait alors besoin pour amener sa revanche à bien.
Humble elle demeura.
De larmes elle n’abreuva pas la satisfaction du séducteur. De son jeu des plaisirs il l’avait découverte à elle-même, elle se montra alors ainsi.
De se surprendre dans ce jeu de séductrice elle en surprit plus d’un.
Et le Don Juan, à son tour, se laissa prendre à ce jeu. Femmes passant entre ses bras, femmes sombrant sous son charme, il ne réussit point à faire fuir de son esprit la damoiselle obsédant ses nuits et ses jours.
Il se mourrait le temps passant, de ne pouvoir aimer sa belle, elle s’abreuvait de le voir sombrer de cette souffrance.....
Ne peut on tirer de moralité d’un tel conte qu’une réserve sur le retour de bâton que l’un ou l’autre ait eu à subir?
Qui donc eu le plus à souffrir de ce jeu de séduction ?
Le séducteur d’avoir été séduit par la séduite ?
La séduite de s’être laissée prendre au jeu de la séduction pour devenir séduction elle-même ?
Il était une fois un séducteur arrivant toujours à ses fins.
Fin joueur il usait et abusait de ce jeu qu’il maîtrisait bien plus que tout autre.
Comment pouvait il en être autrement, bel homme il était.
A dame qui voulait recevoir, tendre il était de ses yeux, ouvert de geste doux, s’offrant de sourires enjôleurs. D’attention il n’était point radin, d’écoute et de compliments il donnait à ces dames.
Comment donc la gente féminine aurait elle fait pour ne pas sombrer sous le charme du Don Juan ?
Il était une fois, une Cosette peut être bien, qui croisa un jour les yeux du charmant.
De ses rêves elle cru pouvoir enfin se libérer et goûter ainsi à ce qu’elle n’avait jamais pu imaginer être une réalité.
Elle s’offrit alors corps et âme au Don Juan.
Sa garde tombée, il prit d’elle tous les plaisirs dont il était si friand, de bonheur elle lui donna tout d’elle.
De plaisirs ainsi repu, le Don Juan disparu alors, laissant la pauvrette face à cette douleur que ses rêves ne lui avaient pas contée.
Etre fragile qu’elle pouvait être, elle avait au gré du temps passant appris les leçons que la vie enseigne, et ne s’avoua donc pas vaincue pour autant.
De temps elle avait alors besoin pour amener sa revanche à bien.
Humble elle demeura.
De larmes elle n’abreuva pas la satisfaction du séducteur. De son jeu des plaisirs il l’avait découverte à elle-même, elle se montra alors ainsi.
De se surprendre dans ce jeu de séductrice elle en surprit plus d’un.
Et le Don Juan, à son tour, se laissa prendre à ce jeu. Femmes passant entre ses bras, femmes sombrant sous son charme, il ne réussit point à faire fuir de son esprit la damoiselle obsédant ses nuits et ses jours.
Il se mourrait le temps passant, de ne pouvoir aimer sa belle, elle s’abreuvait de le voir sombrer de cette souffrance.....
Ne peut on tirer de moralité d’un tel conte qu’une réserve sur le retour de bâton que l’un ou l’autre ait eu à subir?
Qui donc eu le plus à souffrir de ce jeu de séduction ?
Le séducteur d’avoir été séduit par la séduite ?
La séduite de s’être laissée prendre au jeu de la séduction pour devenir séduction elle-même ?
Mar 02 Déc 2003, 01:39 par
Ri1kedesBêtises sur La séduction
Le massage de pieds
Paf, ça y est ! J’ai jeté anodinement ce qui fait trembler toutes les nations. Les chefs d’état en ont peur et le considèrent comme le germe du contre pouvoir, je cite : le massage des pieds.
Pour les pauvres malheureux qui restent coits à l’évocation de "massage de pieds", je les renvoie à Pulp Fiction et au désopilant mais néanmoins édifiant dialogue entre John Travolta et Samuel L. Jackson quant à l’importance d’un massage de pieds (un mec en meurt tout de même...).
Le massage de pied, répond à la règle sacro-sainte de tous les massages : il faut avoir ENVIE de le faire. Si tu n’as pas envie, passes ton chemin, Ô mécréant.
Tu commenceras par les orteils, doucement, un à un tu les presseras avec la pulpe de tes doigts, de façon à en éprouver toi-même du plaisir. Et puis, tu passeras pour finir, sans insister surtout, banane, un doigt entre chaque orteil ainsi massé.
Tu remonteras sur la base des orteils et composeras une mélodie plutôt musclée avec cette partie du pied qui supporte ton poids (eh oui) toute la journée. De la base du gros orteil vers la base du petit orteil, c’est pas mal, d’autant que si tu es un fin limier, tu te douteras que la tranche extérieure du pied est dans la droite continuité de ce que tu viens de faire.
Hmmmmm, la suite est un délice, tu es sur la plante. Force légère et pression du pouce seront tes plus fidèles alliés. Ne pas chatouiller, ne pas écraser, tout est dans l’écoute. Au passage, je te signale que à cet endroit-là, tu lui masses probablement les gonades...
Le talon, ah ! le talon, souvent, il/elle se réveille en un brusque "Ohhhhh, c’est trop bon". Tu le prends à pleine main dans l’intention de déloger cette masse de chair que tu sens rouler. Il se peut qu’à ce moment là le massage s’arrête, pour passer à autre chose de plus... intime.
Fainéant(e), ne t’arrête pas en si bon chemin et finit ce que tu as commencé. Le pied, contrairement aux idées reçues, s’arrête en dessous du genou. Il te faut maintenant, t’occuper de la cheville de ton/ta partenaire. A deux mains, tu l’entoures, simules une "brûlure indienne". Cool hein, sois pas violent, juste ferme. Ensuite, tu remontes sur le mollet que tu "écrases". Que du bonheur !
Ca t’a plu ? Elle/il te demande ta main. T’affole pas, faut passer à l’autre pied !
Pour les pauvres malheureux qui restent coits à l’évocation de "massage de pieds", je les renvoie à Pulp Fiction et au désopilant mais néanmoins édifiant dialogue entre John Travolta et Samuel L. Jackson quant à l’importance d’un massage de pieds (un mec en meurt tout de même...).
Le massage de pied, répond à la règle sacro-sainte de tous les massages : il faut avoir ENVIE de le faire. Si tu n’as pas envie, passes ton chemin, Ô mécréant.
Tu commenceras par les orteils, doucement, un à un tu les presseras avec la pulpe de tes doigts, de façon à en éprouver toi-même du plaisir. Et puis, tu passeras pour finir, sans insister surtout, banane, un doigt entre chaque orteil ainsi massé.
Tu remonteras sur la base des orteils et composeras une mélodie plutôt musclée avec cette partie du pied qui supporte ton poids (eh oui) toute la journée. De la base du gros orteil vers la base du petit orteil, c’est pas mal, d’autant que si tu es un fin limier, tu te douteras que la tranche extérieure du pied est dans la droite continuité de ce que tu viens de faire.
Hmmmmm, la suite est un délice, tu es sur la plante. Force légère et pression du pouce seront tes plus fidèles alliés. Ne pas chatouiller, ne pas écraser, tout est dans l’écoute. Au passage, je te signale que à cet endroit-là, tu lui masses probablement les gonades...
Le talon, ah ! le talon, souvent, il/elle se réveille en un brusque "Ohhhhh, c’est trop bon". Tu le prends à pleine main dans l’intention de déloger cette masse de chair que tu sens rouler. Il se peut qu’à ce moment là le massage s’arrête, pour passer à autre chose de plus... intime.
Fainéant(e), ne t’arrête pas en si bon chemin et finit ce que tu as commencé. Le pied, contrairement aux idées reçues, s’arrête en dessous du genou. Il te faut maintenant, t’occuper de la cheville de ton/ta partenaire. A deux mains, tu l’entoures, simules une "brûlure indienne". Cool hein, sois pas violent, juste ferme. Ensuite, tu remontes sur le mollet que tu "écrases". Que du bonheur !
Ca t’a plu ? Elle/il te demande ta main. T’affole pas, faut passer à l’autre pied !
Sam 29 Nov 2003, 19:06 par
PetitPrince sur Le grimoire d'amour
Paquet souple
Citation: |
J’aimerais être une cigarette pour naître au creux de tes mains, vivre sur tes lèvres et mourir à tes pieds. Anonyme |
Si j’etais une cigarette, je serai dans un vieux paquet souple de camel, pour pouvoir trainer dans une de tes poches arrieres de pantalons, ou dans la poche de ta chemise.
Tout pres de toi, j’attendrai que tu me prennes, que tu m’allumes, que tu te delectes de mon souffle, que tu me mouilles et me mordille.
Je me consumerai de bonheur pour toi, fremissant a chaque fois que tu m’attirera contre toi, m’eteignant de douleur a chaque fois que tu me poserais dans ton cendrier. Dans ce cendrier ou je verrais le cadavre de toutes celles que tu auras aimées avant moi ....
Ah, si j’etais une cigarette, je te dirai que fumer tue, en vain, car c’est toi qui me tuera la premiere !
Mer 26 Nov 2003, 23:48 par
PetitPrince sur Citations
un monde parfait... enfin ..presque!
Nul n’est parfait.. on n’en voudra pas au ... comment tu dis déjà petit prince? tu sais ce joli surnom plein de tendresse dont tu as affublé ton hebergeur ... quoique je leur en veux un peu... un tout petit peu mais vraiment rien du tout ... car par leur faute, je n’ai pas pu souhaiter un joyeux anniversaire au forum le 20 novembre
Moi qui préparais depuis une semaine un message venant du fond du coeur, chargé en émotion, en souhaits de longue vie et de bonheur et autres banalités de rigueur, je n’ai même pas pu m’exprimer
pas grave... je vous louperai pas pour les deux mois du forum.... vous réjouissez pas trop vite je n’abandonne jamais quand j’ai une idée ....
La marquise ... frustrée par une semaine de mutisme total
Moi qui préparais depuis une semaine un message venant du fond du coeur, chargé en émotion, en souhaits de longue vie et de bonheur et autres banalités de rigueur, je n’ai même pas pu m’exprimer
pas grave... je vous louperai pas pour les deux mois du forum.... vous réjouissez pas trop vite je n’abandonne jamais quand j’ai une idée ....
La marquise ... frustrée par une semaine de mutisme total
Mer 26 Nov 2003, 14:59 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
Re: auteur inconnu ..enfin, je me rapelle plus le nom ....
la marquise de sade a écrit: |
Ne pleure pas parce que c’est terminé, souris plutôt pour tout ce qui s’est passé avant" |
Les séparations, les ruptures laissent hélas parfois des traces douleureuses. Combien de couples ayant partagés de nombreuses années de bonheur et d’ententes parfaites se déchirent lors d’une séparation ou d’un divorce. On ne garde en tête que les défauts de l’autre, on ne cherche qu’à lui faire payer la souffrance que l’on ressent, le sentiment d’echec que l’on vit, et on est prêt à toutes les bassesses pour surtout ne pas être le seul à souffrir...
Pourtant il y a eu tous ces fous rire à deux, tous ces moments si tendres, tous ces instants où le monde aurait pu s’ecrouler rien n’y aurait changé, toutes ces heures passées à se caresser, à se donner du plaisir, toutes ces minutes à l’attendre, impatient, toutes ces difficultés surmontées à deux.
Maintenant, il reste les cris, les injures, les vengeances, les reproches, les avocats, les amis de l’un contre les amis de l’autre, les "c’est à moi", les "c’est ta faute" ...
La nature humaine est incompréhensible.. elle accorde plus d’importance à quelques mois de mésententes qu’à des années de bonheur... faudra qu’on m’explique ça ...
La marquise ... fleur bleue .... (<=== ça en jete ! )
Mer 19 Nov 2003, 14:41 par
la marquise de sade sur Citations
suite de l'épisode précédent
Un an passé d’amour intense qui ne cesse de s’enflammer
Chaque jour je me réveille à côté de cet être merveilleux
J’oublie tous ces matins où le reveil était si malheureux
Amertume d’être seule, tristesse de ne pas aimer.
Maintenant et à jamais tu es présent oh toi bonheur
L’Amour emplie ma vie de si douces senteurs
Qui font battre mon coeur au rythme de l’ivresse
Ivresse d’amour, d’attentions, de tendresse.
Plus d’un an que dans ma vie il est entré
Tel un ange tombé du ciel pour m’apporter,
Affections qui me comblent, voir m’étonnent
Moi qui n’ai pas l’habitude qu’on m’en donne ;
Jamais, comme lui, on ne m’avait regarder
Avec des yeux emplient d’amour si étincellants
Jamais de ma vie on ne m’avait fait chavirer
Avec des tendres sourires si ensorcelants
Oh que oui amour et internet peuvent rimer,
Rimer avec échange de mp, rencontre plus si affinité..
Amour et internet peuvent rimer surtout
Avec cette si douce expression qu’est "pour toujours".
Chaque jour je me réveille à côté de cet être merveilleux
J’oublie tous ces matins où le reveil était si malheureux
Amertume d’être seule, tristesse de ne pas aimer.
Maintenant et à jamais tu es présent oh toi bonheur
L’Amour emplie ma vie de si douces senteurs
Qui font battre mon coeur au rythme de l’ivresse
Ivresse d’amour, d’attentions, de tendresse.
Plus d’un an que dans ma vie il est entré
Tel un ange tombé du ciel pour m’apporter,
Affections qui me comblent, voir m’étonnent
Moi qui n’ai pas l’habitude qu’on m’en donne ;
Jamais, comme lui, on ne m’avait regarder
Avec des yeux emplient d’amour si étincellants
Jamais de ma vie on ne m’avait fait chavirer
Avec des tendres sourires si ensorcelants
Oh que oui amour et internet peuvent rimer,
Rimer avec échange de mp, rencontre plus si affinité..
Amour et internet peuvent rimer surtout
Avec cette si douce expression qu’est "pour toujours".
Mer 19 Nov 2003, 06:48 par
odyyyyy sur Amour internet
hmmm!!! réflexion....
... de plus incongru...
je ne parlerai donc pas
- des mains, et pourtant...
- ni des yeux qui parlent, vavavoummm!
- ni des gestes sensuels, hmmmmmmmm!
- ni des p’tits culs... hé hé
- ni de la taille... tsss vicieux ne vous trompez pas de taille!
- ni de la couleur des cheveux...
certainement pas plus :
- du portefeuille accompagnant... l’argent ne fait pas le bonheur
- encore moins de la voiture puissante... je préfère la marche à pied et n’ai d’ailleurs pas le permis
- la profession? non pas plus, ça n’est pas forcément les bac + X qui sont les plus interressants... en tout cas si rarement!
- la maison? blurps, il vaut mieux un petit chez soi qu’un grand chez les autres!
je sais ce qui m’a fait craquer de plus incongru chez un homme, mais j’essaie de vous faire patienter un peu, de vous mettre l’eau à la bouche peut être aussi...
y arriverais-je?
alors est-ce que je pourrais dire :
- ses mots? ça pourrait être le cas
- son originalité? ça va bien avec moi, mais...
- sa folie? ça oui mais non, pas ça non plus
- son côté mystérieux? ça y fait aussi, mais non plus
aller je vous dis,
l’aisance vestimentaire, quelles que soient les tenues, costumes, jeans, sports, RIEN A REDIRE, il était CRAQUANT!!! Même en clochard je suis sûre que je lui aurais trouvé encore de la prestance!
ça ne vous apparaîtra pas très incongru mais dans les souvenirs que j’en ai ça le restera toujours.
Je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui ai autant de présence qu’il n’en avait quelle que soit sa tenue vestimentaire.
De plus, je n’étais pas la seule à avoir remarqué cette prestance, à l’unanimité ELU 1er DE LA CLASSE!
Le pire, c’est que je n’ai fait qu’admirer. Aussi timide que je peux être, je n’en ai aucunement profité.... je ne saurai jamais si en tenue d’Adam il avait autant de prestance......
je ne parlerai donc pas
- des mains, et pourtant...
- ni des yeux qui parlent, vavavoummm!
- ni des gestes sensuels, hmmmmmmmm!
- ni des p’tits culs... hé hé
- ni de la taille... tsss vicieux ne vous trompez pas de taille!
- ni de la couleur des cheveux...
certainement pas plus :
- du portefeuille accompagnant... l’argent ne fait pas le bonheur
- encore moins de la voiture puissante... je préfère la marche à pied et n’ai d’ailleurs pas le permis
- la profession? non pas plus, ça n’est pas forcément les bac + X qui sont les plus interressants... en tout cas si rarement!
- la maison? blurps, il vaut mieux un petit chez soi qu’un grand chez les autres!
je sais ce qui m’a fait craquer de plus incongru chez un homme, mais j’essaie de vous faire patienter un peu, de vous mettre l’eau à la bouche peut être aussi...
y arriverais-je?
alors est-ce que je pourrais dire :
- ses mots? ça pourrait être le cas
- son originalité? ça va bien avec moi, mais...
- sa folie? ça oui mais non, pas ça non plus
- son côté mystérieux? ça y fait aussi, mais non plus
aller je vous dis,
l’aisance vestimentaire, quelles que soient les tenues, costumes, jeans, sports, RIEN A REDIRE, il était CRAQUANT!!! Même en clochard je suis sûre que je lui aurais trouvé encore de la prestance!
ça ne vous apparaîtra pas très incongru mais dans les souvenirs que j’en ai ça le restera toujours.
Je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui ai autant de présence qu’il n’en avait quelle que soit sa tenue vestimentaire.
De plus, je n’étais pas la seule à avoir remarqué cette prestance, à l’unanimité ELU 1er DE LA CLASSE!
Le pire, c’est que je n’ai fait qu’admirer. Aussi timide que je peux être, je n’en ai aucunement profité.... je ne saurai jamais si en tenue d’Adam il avait autant de prestance......
Lun 17 Nov 2003, 23:19 par
Ri1kedesBêtises sur La séduction
Ecrire sur bonheur
Re: le jeu de la verité ... question 3 ??, You ain't the first, you've been the worst, Bilan sulfureux, Contre un mur - Fin, J'irai au bout de ce rêve - Partie 3, comment on dit déjà??? ah oui!!! ==> kikooooooooooooooooo, Incident voyageur...., Plaire, Contes de séduction..., Le massage de pieds, Paquet souple, un monde parfait... enfin ..presque!, Re: auteur inconnu ..enfin, je me rapelle plus le nom ...., suite de l'épisode précédent, hmmm!!! réflexion....,Il y a 380 textes utilisant le mot bonheur. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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