Sa couleur (chapitre deux)



Elle pousse la porte, l’aperçoit et lui sourit. Il rend le sourire tout heureux de la revoir. Elle lui fait négligemment une bise et discrètement une caresse furtive puis s’en va saluer le patron à qui elle remet son petit Tupperware dont elle a cuisiné le contenu : Un lapin à l’ indienne. Ils en avaient parlé lors de sa première fois de cette passion commune pour la cuisine et elle avait promis d’en apporter un échantillon. Et elle tenait toujours parole. Sur ces entrefaites, Rémi est parti s’occuper d’une autre cliente. Elle prend une revue sur la table basse, s’assied et attend patiemment qu’il puisse s’occuper d’elle. ...

Au bout d’un petit moment, ayant fini de s’occuper de l’opulente dame, il vient la chercher pour qu’elle s’installe. Espiègle, elle lui laisse le choix le mettant au défi de réaliser quelque chose d’unique. Il l’observe longuement sous tous les angles et finit par se décider sur la couleur de la coiffure qu’il va lui concocter. Tout en travaillant, ils parlent de sujets divers sans jamais se lasser. Ils trouvent toujours un sujet ou l’autre à débattre. Tout en discutant, elle remarque des petits détails qui lui dessinent un sourire mutin tel, par exemple, la chemise à pressions, noire, ouverte, et dont elle voit son torse. Sa trousse à matériel de coiffure non accrochée,ou du moins pas au même endroit. Et encore, était-ce bien le bon souvenir ? Elle ne s’en rappelle plus ! Quelque peu perturbée, Alessia.

Leurs regards chargés d’intelligence coquine en disent plus long qu’un grand discours...
Une chose est sûre, une douce complicité les réunit, un tendre feeling. Ils se plaisent. Ils rêvent juste un moment , un long moment, une heure voire un peu plus. Il lui dit qu’il a hâte d’être en vacances car il en peut plus. Il a envie aussi d’évoluer, de changer d’endroit, monter sa propre affaire. Elle acquiesce compréhensive.
Elle le trouve doué, intelligent, charmeur, drôle...Et des mains d’argent
Il mâche son chewing-gum, elle boit le cappuccino qu’il lui a apporté. Elle l’observe, le dévisage, encore et encore. Il y a quelque chose qu’elle ne peut s’expliquer...

Juste , un charisme une complicité , une séduction qui s’installe
Il la regarde et imagine qu’l lui prend la main, l’installe sur un fauteuil pivotant, passe ses jambes et se retrouve assis sur elle, met tant ses mains dans ses cheveux et les respirant...
Puis il l’embrasse sur son nez, et le coin de sa juste pour lui donner envie aussi de l’embrasser.
Elle lui résiste mollement, et, ses yeux pétillant de malice, sort la langue pour en humecter ses lèvres .Rapide, il l’enroule autour de la sienne,et goulument il la déguste.

Il passe ses mains dans son dos, et dégrafe adroitement son balconnet. Prend un des seins, ainsi libérés, dans sa main et taquine l’aréole de son index jusqu’à ce que la poitrine se dresse. Puis entreprend de faire de même avec l’autre jusqu’à ce qu’il durcisse..Parcourt les mamelons de sa langue jusqu’au sommet où il happe et aspire avec délicatesse les tétons.
Elle savoure chaque caresse et se retient de gémir. Elle se colle de plus en plus contre son corps déjà en fièvre.Il va de découverte en découverte, en léchant chaque grain de beauté jusqu’au dernier qu’il déniche sur sa hanche gauche.

Elle brûle du désir de se donner entièrement à lui...
Le téléphone sonne, il n’a pas envie de décrocher. Il veut prolonger ce moment unique.
Il sonne toujours, avec insistance. Ça l’agace, il ne peut se concentrer. Finalement, il soupire, demande de l’excuser et s’en va répondre.
Cela paraît sérieux, elle ne peut s’empêcher d’écouter même si elle fait semblant de regarder ailleurs.Il raccroche, la regarde sérieusement, puis éclate de rire. Elle ne comprend plus rien. Il lui explique alors qu’il a oublié un rendez vous. Une coupe à faire ...Chez une amie.......Mais il a promis et doit y aller quand même ...
Déçue, elle fait semblant de comprendre, même si son string en est déjà bien mouillé et que l’ardeur de Rémi est encore visible. Elle sait qu’ils ne continueront pas.La situation est baroque et ils sont aussi gênés l’un que l’autre. Il se regardent en silence un long moment, puis Alessia le rassure en posant sa main sur son bras. Elle l’embrasse sur la une dernière fois...
Il a envie de lui dire , qu’il veut la revoir,car ils ne se verront pas avant longtemps. Lui doit partir en vacances, mais n’oubliera pas de lui donner son adresse mail. Elle sourit tristement et lui donne la sienne. Puis, elle s"évapore rapidement devant lui, un peu trop rapidement à son goût. Mais il la laisse partir à contre cœur et il ferme le salon.
Sam 26 Mars 2011, 09:51 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

Le coiffeur et sa derniere cliente (chapitre un)

REMI, brun au charme ténébreux, yeux pétillants,sourire ravageur, avec sans doute de belles origines espagnoles, se délecte à chaque fois, qu’une cliente lui dit:" je vous donne carte blanche."
C’est une phrase qu’il aime bien entendre. Il se défonce, s’improvise sculpteur, paysagiste à sa manière,et démontre ses talents incontestés de créateur en réalisant des compositions qui font le bonheur de la gente féminine.

Il affine, il peaufine et prend son temps, au plus grand désarroi de son patron Angelo.

Elle : Prénom ALESSIA
Il ne l’avait pas encore vue. Elle revient de vacances, superbement bronzée, mais les cheveux dans un état déplorables : Ternes,décolorés, affreusement abîmés. Dans une robe saharienne noire, grosse ceinture sur les hanches, et talons vertigineux, elle semble demander un miracle pour sa coiffure
Angélo lui lave les cheveux.Puis il engage une conversation bien sympathique.....Comme si il la connaissait depuis toujours, Rémi,en a terminé avec sa cliente, Salue Alessia d’un chaleureux bonjour, l’invite à s’asseoir dans un fauteuil agréable, l’installe confortablement et s’enquiert de ce qu’elle désire comme coupe.
Elle a repéré un modèle qui lui conviendrait dans un de leur book déposés dans la salle d’attente, L’artiste n’est vraiment pas emballé par ce choix et le montre clairement. Cédant à ses caprices de diva, Alessia en conclut que ce sera comme il voudra pourvu que la coiffure soit réussie. Un radieux sourire de gosse éclaire son visage. Il en faut peu à Rémi qui jubile tout heureux, en prenant ses instruments .Il coupe, élague, rafraîchit...
Elle, plongée dans ses pensées, rêve:

Elle ose fermer le salon à clef, lui faire comprendre qu’elle le désire, en le plaquant contre le renforcement du mur là où les clientes posent habituellement leurs sacs, ou, en cette saison, leurs petites laine. .Elle le renifle et de sa langue goûte d’abord sa , dont le parfum de divin breuvage la met encore plus en appétit. Rémi, le cœur qui palpite, la dévisage intensément..... Pour bien s’imprégner de son visage.....Pour bien être sûr qu’il ne rêve pas. Ses cils sont mouillés car elle passe et repasse sa langue dessus. Puis, elle s’attaque aux lobes de ses oreilles, et finit par descendre dans le cou...

Elle ouvre le premier bouton de sa chemise, hume sa peau, tout en défaisant le deuxième bouton, l’embrasse en déboutonnant le troisième, passe sa langue sur les tétons qui pointent, déboucle le bouton suivant et ainsi de suite
Elle sent monter son ardeur, mais prend bien son temps pour défaire la boucle de la ceinture de son pantalon. Elle le débarrasse de la sacoche de coiffeur contenant son matériel .et en profite pour lui caresser les fesses.
Puis, par quelques baisers légers sur le torse , elle approche sa de son nombril, et s’amuse à le titiller afin de faire durer l’attente et qu’il n’en puisse plus. Pour Rémi, c’est un supplice insupportable, mais une douce torture qui va crescendo, de plus en plus. Il a beaucoup de mal à se maîtriser, debout et tremblant sur ses jambes.N’y tenant plus, il la saisit par les hanches, remonte fiévreusement sa robe afin de voir ce qu’elle porte en dessous.
BINGO ! Il en était sûr : Un boxer, en dentelle, noir ! Il passe son pouce sur la couture du slip, fait glisser sa main sur le ventre, la toison, puis plonge résolument son index dans son intimité mouillée, lui arrachant un gémissement, au toucher de son bouton rose qu’il titille fébrilement....
Elle l’encourage à poursuivre et il prend plaisir à satisfaire le moindre de ses souhaits. Puis elle se retourne, s’abaisse et engloutit son sexe dans sa . L’action conjuguée de la main, de la langue et des lèvres lui extirpe un long râle de plaisir qui l’incite à plus de vigueur dans son "massage". Au seuil de la jouissance,il se retire et décharge dans un délicieux frisson...
Apaisés, ils se regardent, se sourient , et s’embrassent encore. Il désire la revoir, autre part, dans d’autres circonstances. Elle sourit gentiment, ne lui répond pas, regarde l’heure et lui dit :," je reviendrai pour une couleur".
Lun 21 Mars 2011, 16:52 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

L'heure du gouter

Je ferme la porte de mon bureau,
Et laisse tous les ennuis dehors
Je nous sers un chocolat chaud
Pendant que tu contemples mon décor.
Et que tu t’installes de ton mieux
C’est un instant bien particulier
Un moment rien que pour nous deux.
Le temps suspend son sablier
L’atmosphère devient pressante
Ta se fait gourmande.
Car les vapeurs du divin nectar
Embaument d’un parfum qui diffuse,
Des effluves chocolatées propres à nous enivrer.
Ma muse, coquine, s’amuse
À créer ces effets de hasard
Juste pour nous rapprocher.
Je me sens si bien auprès de toi
Je rêve de ces instants-là.
J’ai pris le soin d’ajouter ma petite touche personnelle,
Un tout petit brin de vanille et de cannelle
De ces attentions que tu aimes tant
Mon adorable accroche cœur,
Dont je ne me lasse de nos conversations.
Dans un paradis sans artifice
Me font redécouvrir toutes ces sensations
Que j’ai si longtemps oublié
Sam 12 Mars 2011, 19:33 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

La fleur du bien

je cueille ,à ta
La sève d’un beau fruit
Et dont la saveur sera chaude ,et troublante
D’un beau pétale rouge écarlate.
Humer les sépales en y plongeant mon nez dedans
Mais ressortir de temps en temps
Fleur envoutante, ensorceleuse
Et dont tes parfums arrivent à me faire oublier le présent
Le temps passe, mais je ne m’en aperçois pas
Bien auprès de toi
Je suis le pédoncule me rattachant à ton corps.
Un peu de poussière d’or que je dépose délicatement sur tes étamines
Et te donne bonne mine
Afin que tu sois encore plus sublime....

Baigné, d’un un halo de lumière
Ou, la chaleur m ’enveloppe , à mon tour
Je me laisse profondément envelopper
Afin de me faire aimer.
Lun 28 Fév 2011, 21:44 par caressedesyeux sur Mille choses

Une femme ,un homme

Il venait du sud,elle du nord. Ils s’étaient donnés rendez-vous ,à une terrasse fleuries, où les chèvrefeuilles embaumaient, le quartier...Un fameux "gouter" les attendaient. De part sa notoriété, cette pâtisserie valait les autres, mais il y avait de délicieux chocolats chauds, dont ils se gardaient bien de la divulguer la recette. Une touche de cannelle, aux puissants arôme d’un chocolat brésilien, et de merveilleuses mignardises accompagnaient ce breuvage si onctueux. Ils allaient enfin se voir, pour la première fois.
Leur yeux pétillants, leurs sourires, comme si ils se connaissaient depuis toujours...
A se demander lequel allait commencer la conversation, car troublés, ils l’étaient. Elle rougissait, et lui n’osait pas trop la regarder de face. Elle le trouva "captivant" par sa gentillesse, son humour et son bel esprit. Il la trouva charmante, pleine d’esprit, belle, avec cette fragilité qui le bouleversa. Un petit grain de folie vivifiant le charmait. Il aimait aussi ces mimiques et remarquait ses rides d’expression, ses taches de rousseur, et surtout son grain de beauté au coin de sa lèvre. Elle avait souligné ses paupières d’un trait, et mit sur sa un gloss. Elle portait quelque chose de " frais". Il devinait, qu’elle avait bon goût par sa façon de s’habiller et de se mouvoir...
La confiance s’installa tout naturellement. Il y avait de belles choses qui commençaient à germer dans son esprit. Quant à elle, elle imaginait les mêmes choses. C’était une puissante attirance, et leurs corps étaient à fleur de peau...
Il lui proposa une ballade, en lui demandant sa main, ce qu’elle accepta. Puis il osa caresser avec son pouce, son poignet, mais elle ne disait rien, et pour lui, c"était un signe révélateur. Elle aimait cela et l’encourageait à continuer. Ils arrivèrent devant un beau bâtiment, un hôtel très réputé. Ils se regardèrent en ayant la même idée, et la même soif intense qui les poussaient vers l’entrée....
Ils explorèrent, avec une frénésie inhabituelle, les lieux, et décidèrent finalement de prendre un bain.
Pudiques, et respectueux, malgré tout il lui permit de monter la première ,en mettant une main sur ses yeux.
Elle entra dans cette mousse onctueuse, puis a son tour; il y "pénétra"...
Leurs corps s’approchèrent, et il commença, avec sa main, à lui prodiguer de douces caresses, tout en la lavant.
Elle commença a gémir. Il descendit dans le trésor de sa moiteur, en "titillant son pistil rose, et gonflée.
Il haletait si fort, que son ardeur se fit sentir. Elle osa y mettre sa main, et l’entourant avec délicatesse, elle commença des va et vient...
Puis il la prit soudainement dans ses bras, et l’emmena sur le lit. Elle décida de prendre l’initiative, d’un sourire coquin, et très sure d’elle. Un foulard attaché autour de ses yeux, puis improvisant, elle trouva quelque chose qui servirait d’un doux lien à attacher ses poignets, afin qu’il soit dans l’incapacité de faire quoi que ce soit.
Il commença à aimer ce petit jeu, très doux, très subtil de part ses effleurages de baisers sur tout son corps,
et sentir sa langue chaude, s’insérer dans les moindres recoins. Elle joua très longtemps, en prenant bien soin de ne rien oublier. En le "mordant", léchant, caressant.... la jouissance n’était pas loin.
Puis elle "s"empala" dessus, et ondula de ses belles hanches dans des mouvements tantôt lents, tantôt rapides...!e déferlement d’un puissant raz de marée les secoua tout les deux, et leurs corps se lâchèrent subitement...
Elle avait encore cette fièvre. L’embrasser encore et encore et il était bouleversé de voir ce "petit" bout de femme avec cette fièvre de tendresse et d’affection, à son égard. Ce besoin intense, que cela ne se termine pas.
Mais ils savaient qu’ils en passeraient fatalement par là...La séparation fut-elle douloureuse pour elle comme pour lui, même si ils n’en parlaient pas? Un dernier regard chargé d’amour, un baiser torride, et elle disparut .
Mer 16 Fév 2011, 20:15 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

Ton affection


ça m’amuse
ça me trouble
Toi mon petit bout de chou,
Ton regard candide est si doux
Tes grands yeux si pétillants
Qu’on ce noierai dedans.
Embrasser
Ton joli petit nez,
Caresse douce
Sur ta .
gourmande
J’en redemande
joue de bébé
Sur ta peau satinée.



Pleins de bisous
Au creux de ton cou
Quelques câlins, quand tu as du chagrin
Besoin de toi, besoin de moi.
Erreurs et bêtise
Grande maitrise
C’est si bon ton affection...

caressedesyeux
Dim 06 Fév 2011, 15:15 par caressedesyeux sur Mille choses

Seulement un reve

Les tilleuls étaient en fleur, et dégageaient un parfum qui venaient me chatouiller le nez.
J’étais adossé à un tronc et je lisais bien tranquillement.
Tout autour de moi s’agitaient discrètement de petits écureuils, pas si sauvages que cela, qui s’approchaient de moi en espérant trouver une gourmandise dont ils raffolaient tant.
je fouillais dans mes poches et trouvais une pâte de fruit,
puis dans l’autre un morceau de pain rassis.
Je coupais cette sucrerie en petits morceaux , que je lançais devant moi.
En espérant les voir plus près.
Mais les rongeurs restaient méfiants.
Finalement des oiseaux vinrent picorer ce divin festin, quant au pain, quoique un peu dur, je le mangeais puis m’assoupissais.
Et je me mis à rêver...
Une femme , son panier à la main semblait heureuse assise à cote de moi.
Une femme au charme fou, un beau sourire, une aisance naturelle
Une impression de nous connaitre depuis des années.
Elle me proposa de partager son repas.
Et c’était avec grand plaisir que j’acceptais .
J’avais si faim.
Une salade composée, terrine de poisson, mousse au chocolat, et même un thermos de thé à la menthe.
Un moment qui passa beaucoup trop vite.
Elle s’approcha subitement de ma ...
Un pur moment de délice, bien meilleur que ma faim.
Une faim animale, et instinctivement, je l’a prenais dans mes bras.
Et lui donnais un baiser.
Un baiser mouillé, mais beaucoup trop mouillé.
Mouillé, je me réveillais, et une pluie torrentielle s’abattait soudainement.
Ce n’était qu’un rêve finalement , un merveilleux rêve qui me laissa pensif.

caressedesyeux
Jeu 27 Jan 2011, 16:00 par caressedesyeux sur Mille choses

La favorite


Dernière touche,
Rouge laquée, sur sa
Robe échancrée
Il n’aura que d’ yeux pour elle.
Celle qui l’aura choisi ,sa favorite.
Ou il déposera bien ses lèvres sur les siennes, par petite touche
Pour en savourer le gout ...

S’enivrer de son cou, de son parfum de peau
Et dont il ne résistera pas.
Quelques petits pas de danse
Pour un tango endiablé.
Elle le serrera contre son corps
Il aimera, qu’elle mène la cadence.
Et ses petits pieds s’emmêleront dans les siens.
Crise de fou rire, comme deux beaux idiots.
Bouffon du roi, il en fera sa reine
Sa favorite, rien que pour lui.

CARESSEDESYEUX
Jeu 20 Jan 2011, 12:48 par caressedesyeux sur Mille choses

Le secretaire particulier


Le secrétaire, a l’air de s’y plaire
En" dévisageant " cette belle ingénue montrant ses plus beaux atouts
Et dont il ouvre ses grands yeux
Et profite de cette belle opportunité qui lui est donné.
Belle ingénue si tentante le trouble malgré tout...
Il sent sa peau de soie s’accouder , contre lui, et s’imagine qu’ils n’en feront plus qu’un.........
Il se met à rêver, et se voit en secrétaire particulier de Madame
Planté, devant elle , tel un valet de chambre
Il attends qu’elle veuille bien prendre la parole, et lui donner un ordre
Des Georges par ci des Georges par la
Il adore le" son "mielleux qui sort de sa belle .
En lui décochant des sourires
Et de ces petits gestes affectueux, qu’elle affectionne tant.
Comme si il avait besoin de nettoyer la poussière sur son veston
Elle y passe les mains, afin qu’il "brille".
Et il ne comprend toujours pas pourquoi, elle utilise cette cire d’abeille.
Lui préfère , les flagrances de son eau de toilette dégageant une odeur de magnolia,
A savoir pourquoi d’ailleurs.
Ses doigts gelés et si joliment manucurés auraient besoin d’être réchauffés
Couvrir son joli corps afin qu’il ne prenne pas froid
"Je serai bien la moi ", dit -il pour m’occuper de toi......



caressedesyeux
Sam 15 Jan 2011, 18:52 par caressedesyeux sur Mille choses

Gourmandise

Sur ta entrouverte
Un sourire dérange attend....
Lèvres douces, pulpe de fruit
Charnue et rouge,
Comme un bonbon acidulé et humide, délicat, la sucrerie te tente....
Un baiser tu as posé
Plus loin tu oses.... tu cherches le "craquant".
Les yeux fermés pour mieux savourer.
Ta langue s’est attardée sur tous les alentours
Le fondant sous les tours, et contours.
Tu cherches et devines
Caramel, ou fraise des bois
J’aime le gout de toi.
Un baiser comme une friandise,
Une cerise sous le chapeau,
La guimauve rose de notre soirée. caressedesyeux
Sam 15 Jan 2011, 09:31 par caressedesyeux sur Mille choses

Gourmandise

Sur ta entrouverte
Un sourire dérange attend....
Lèvres douces, pulpe de fruit
Charnue et rouge,
Comme un bonbon acidulé et humide, délicat, la sucrerie te tente....
Un baiser tu as posé.
Plus loin tu oses, tu cherches le "craquant".
Les yeux fermés pour mieux savourer.
Ta langue s’est attardée sur tout les alentours.
Le fondant sous les tours, et contours.
Tu cherches et devines
Caramel, ou fraise des bois
J’aime le gout de toi.
Un baiser comme une friandise,
Une cerise sous le chapeau,
La guimauve rose de notre soirée. caressedesyeux
Jeu 06 Jan 2011, 19:24 par caressedesyeux sur Mille choses

Just jealous

Quand je vois vos mains jointes dans un rire spontané. Mes doigts se crispent, je me mords les lèvres jusqu’à sentir le goût pointu du sang dans ma . Elle qui meurt d’envie d’hurler que s’en ait trop. Et vos regards, vos regards en demi lune brillants par cet affreux sourire sincère. Dans ce regard je vois tellement de choses qui font monter les larmes juste pour mouiller les cils, pour qu’ils deviennent aussi noirs et voyant que cet affreux sentiment.
La joie, la spontanéité, l’affection, le rire, comme deux ampoules brillants en harmonie. Au plus grand de mes désespoirs je vois aussi un amour naissant, comme un nerf électrique passant dans la jonction de vos yeux.
Et après je me vois, enterrant un amour, tirée vers le fond par la culpabilité jour après jour et reniant de beaux sentiments. Ouais je culpabilise parce que c’est ma faute. Parce que je suis la cause de cet amour fructueux pour vous et ennemi pour moi.
Si seulement c’était pas le cas je pourrai m’exprimer, hurler mes sentiments, cracher mon venin ! Cependant, étant l’origine de tout ça, j’ai pas le droit.
J’ai pas le droit de montrer peine et amour en même temps.


A l’instant d’après, c’est toi, beau jeune homme, qui me regarde. T’as sûrement remarqué comme je vous dévisage.
T’façons, t’es trop occupé par ta nouvelle relation pour t’attarder sur la rage, la tristesse, l’amour et la haine qui se lisent dans mes yeux à chacune de vos caresse, chacun de vos rires, chacun de vos bruits, chaque battement de cil frappent comme un tambour heurté par l’immense baguette, ce pieux que je me suis moi-même enfoncée dans le cœur !
Ouais, parce que je vous vois ! Je vois que discrètement, amoureusement, belle indolente, elle te regarde ! Et moi à côté je suis quoi ? Oui, voilà, c’est exactement ça, je suis rien.
Je vois aussi tous tes gestes que j’exagèrerai presque en tendresses, tes yeux de coton, je peux même lire les pensées que tu lui adresses.
Trop fière pour l’avouer à quelqu’un d’autre que les abîmes de mon cœur, jamais je ne te le dirai. Mais, quand je te regarde sur de nouveaux sentiers ensoleillés, je n’arrive pas à la cacher.
Ce sentiment qui boue comme de l’acide au bord de mes yeux.
Ce que tu nommes à la légère : jalousie
Sam 25 Déc 2010, 15:00 par Coeur d'encre sur L'amour en vrac

Mes yeux dans ton reflet

Comme deux gouttes d’eau , qui avaient besoin de se retrouver
Et dont ils en seront finalement émerveillés.
Assoiffées , depuis deux années
Une éternité pour l’une d’entre elle.
Mais qui à su se poser délicatement en attendant que l’autre la rejoigne.
Se joignant, avec douceur, tendresse , et amour
Qui était la depuis toujours.
Mais dont l’une est en train de la redécouvrir
D’émotion, aussi forte que fragile.
Dans un monde fait d’argile
Ou tous peut se briser, d’un souffle glacé.
Elle glissera jusqu’à elle et se laissera emporter dans une danse "langoureuse"
Fermant leur yeux, et se rapprochant de plus en plus.
Sa , en face de la sienne
Et d’un effleurement, très lentement viendra furtivement s’y poser.
Quelques petits baisers
Qui se diffuseront, au plus profond de leurs âmes
Et dont le voyage , n’en sera "qu’extase"...
Ils se regarderont,dans un silence , et une pénombre
Et dont leurs yeux s ’en ,habitueront ..... caressedesyeux
Sam 04 Déc 2010, 19:28 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Fraise au parfum de rose

]Un samedi, comme tant d’autre... Et pourtant ....
Saint Jean beau quartier de Lyon.
Dans une rue, plutôt bien fréquentée, en effervescence, comme souvent le soir.
MARINE, qui se dépêche de rentrer chez elle comme d’habitude, sa baguette de pain à la main.
PIERRICK, tenant dans une main , le bout d’un ruban ficelé d’un prestigieux gâteau qu’il vient d’acheter chez un pâtissier renommé pour l’anniversaire de sa petite amie; et de son autre main une rose.
Ils ne se connaissent pas encore...
Ils se "percutent".Marine a une fâcheuse tendance à baisser la tête et à regarder ses pieds.PIERRICK surveille son carton oscillant, légèrement,afin surtout qu’il ne penche pas trop.
L’impact est éminent...
Comme au ralenti, la scène s’en suit
L’atterrissage du gâteau par terre, suivit de la rose, et de la baguette de pain qui se mettent à rouler, et s’échouent près d’une d’égout.
Ils daignent enfin lever leurs yeux, et PIERRICK ne n’est pas insensible au charme de Marine, Marine qui rougit
Elle ne sait pas quoi dire, et, elle est vraiment désolée,de ce qu’elle a provoqué.C’est pas la première fois que cela lui arrive Marine toujours la tête dans les nuages,écrivain à ses heures, qui accumule des petites bêtises, ou qui fait tomber des choses.Il y a des jours comme ça, ou elle resterait bien chez elle; on ne l’appelle pas Miss catastrophe pour rien;Ils se penchent sur le dessert, dont les dégâts,sont tout de même pas anodin.
A défaut d’un gâteau à la fraise, c’est un gâteau tatin. Marine est vraiment ennuyée, elle propose le remboursement, et à la même occasion, lui rachète le même , bien qu’elle imagine qu’il coute cher.Et en ce moment Marine est juste, il faut dire qu’avec un salaire, pas évident; mais elle gère comme elle peut,tant pis il faut qu’elle le rembourse d’une façon ou d’une autre.
PIERRICK a une idée invraisemblable mais finalement pourquoi pas? ,il est fou à ce moment la , mais parfois la folie,ne peut qu’être grisante, et cela fait très longtemps que cela ne lui est pas arrivé.
IL lui propose, de lui laisser son numero perso juste histoire de la revoir, et refuse quelconque remboursement.,
Elle ne sait quoi dire, mais lui donne le sien.
Quelques semaines plus tard, Marine attend, Pierrick , à la terrasse d’un restaurant, un rendez vous qu’il a programmé rapidement; il, travaille beaucoup, et il est rare qu’il puisse se libérer aussi facilement. Mais il faut bien trouver une excuse, même pour un rendez vous des plus correct.
IL arrive, avec un carton à la main , oubliant le mauvais épisode, car à s’en rappeler, sa petite amie n’ avait pas trop apprécié, son gâteau d’anniversaire renversé, et il en avait même oublié la rose et maintenant il en souriait en y repensant, mais finalement ce jour la il avait fait une belle rencontre, et il voulait d’avantage connaitre Marine.Marine aux yeux noisette si expressif, si charmante, bien qu’elle ne fut pas d’ une grande beauté, elle avait les formes la ou lui il aimait, et cela promettait d’être intéressant, de part son comportement,qui supposait qu’elle était douce, gentille et brillante.
Il savait qu’il devait aller doucement avec elle,et il se trouvait même "bête" , ne trouvant pas les mots, mais rassuré de voir Marine tout à son aise, lui compter fleurette ...
Il se retrouve chez elle, naturellement comme si ils se connaissaient, quelques gouts en commun, surtout la cuisine, le bon vin, ...
Elle l’emmène à la cuisine, elle ouvre le frigo, et dépose devant lui une multitude de petit choux à la crème Saint honoré surmontées de fraise, lui il ouvre son carton et en sort un gâteau napée de chantilly et aussi des fraises.
Crise de fou rire! de quoi manger, et d’en faire même une indigestion...
Il lui tend le premier un chou, et lui met dans la
Un nouveau jeu? elle accepte; c’est même amusant
Ils continuent, ne voyant pas l’heure passée.
En voila un dont la crème qui s’échappe, et coule le long de son doigt,et un peu sur son cache cœur juste à la naissance de ses seins, dont la veine, du cou palpite bien vite. Il a vu,osant s’approcher , et nettoie avec son pouce.Elle en a même pas peur, juste un peu déroutée.Puis avec sa langue il lèche son doigt, regard braqué dessus Marine est fascinée; picotement dans le bas du ventre, étrange sensation, agréable...
Ils se regardent dans les yeux,et naturellement Pierrick s’approche davantage pour l ’embrasser sur ces lèvres. Il se colle contre son corps,elle en tremble, et aura du mal à se laisser aller , mais il la met en confiance, et est très doux, car il aime donner,mais il n’a pas encore compris que Marine est pareille.
Ils se retrouvent nus, Pierrick écrasant une fraise entre ses beaux vallons et dont il boit le jus, ses pointes se figent, et des frissons parcourent son corps.Elle en veut encore ,il en pose par -ci par la , puis une dans son intimité, ou il la croque, délice calice ou il s’y niche,et dont elle plante ses doigts dans sa chevelure,et gémit...Il goute à son bouton rose,le happe, ,elle jouit...
Ils sont fous,ils se "tartinent" de crème, pâtissière, de chantilly, de sirop de rose que Marine fait couler sur son corps, ou à son tour elle prends les initiatives.Elle se délecte,telle une gourmande amante, qui prend le temps,en le léchant de partout, en l’aspirant de doux baisers, tantôt fougueux , tantôt langoureux.Il est au bord du précipice, mais se retient encore.
Elle pose sa autour de son sexe,et le "dévore" goulument,puis la pointe de sa langue descend,encore plus bas et fait couler du sirop dont elle lèche avec avidité et frénésie...
La jouissance ,arrive, et explose, il est comblé,elle se sent bien, ne veut plus bouger,et rester encore un peu;Il continue de la caresser,il aime la douceur de sa peau,Il ferme les yeux.Elle le regarde, en profite encore un peu avant le départ; Car fatalement il y a un départ, à savoir si ils se reverront ?

il en restera un beau souvenir, et une rose posés sur la table séchée et conservée .. [/size]
Sam 23 Oct 2010, 10:16 par caressedesyeux sur Les liaisons sulfureuses

La sasiete


Rassasié de toi, je ne le serai jamais
Ma se posera sur tes doigts de pied
Et je prendrai plaisir à jouer avec ceux ci
Je les "goberai" de ma suave et gourmande
Mais tu ne m’en redemandera pas
Car ton corps se tordra dans tous les sens
Et tes rires en feront trembler les murs du salon.
Je m’appliquerai pour que cela te donne d’autre sensation
Et tes ongles longs manucurés ,laisseront des marques dans mon dos.
Je te "pousserai "à l’extrémité
Pour te donner une jouissance
De ma langue qui se fera cadence
Et dont tu t’impatientera
A poser ma tête un peu plus haut
Ou tout est merveilleusement beau...
Chaque coin et recoin de ta peau sera une délectation
Ou je m’abreuverai de ce délicieux palais
Si doux, si chaud,
Moi le tendre gourmet..
caressedesyeux
Jeu 21 Oct 2010, 14:00 par caressedesyeux sur L'amour en vrac
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Ecrire sur bouche

Ecrire sur bouche Sa couleur (chapitre deux), Le coiffeur et sa derniere cliente (chapitre un), L'heure du gouter, La fleur du bien, Une femme ,un homme, Ton affection, Seulement un reve, La favorite, Le secretaire particulier, Gourmandise, Gourmandise, Just jealous, Mes yeux dans ton reflet, Fraise au parfum de rose, La sasiete,
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L'amour ne regarde pas avec les yeux mais avec l'âme.

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