Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur bousculent
Le rendez-vous duo marilyn/hamilcar
Je n’ose y croire ! Elle est venue au rendez-vous !
Elle comble tous mes espoirs, mes rêves les plus fous !
Magnifique en robe du soir, simple mais de bon goût
Vêtement fourreau noir avec un beau grand dos nu
Broche avec fermoir et un joli cœur en argent suspendu
Le mien joue la fanfare...J’espère qu’on ne l’a entendu .....Hami
Il est là, bien réel, en chair et en os, qui m’attend
Sourire radieux aux lèvres et des yeux pétillants
Beau dans ce costume noir, chemise blanche
Cravate écarlate, sans doute sa tenue du dimanche
Il est attendrissant avec sa belle rose rouge vermillon
Attendre, par ce froid, je crains qu’il ne soit grognon
Oh, il est adorable ! J’ai plus d’une heure de retard
Et il est juste content de me voir : Bonsoir ! ..........Marilyn
Elle est si belle ! Pres qu’irréelle ! Si douce et naturelle...
Je dépose une bise sur la joue, son parfum m’interpelle
Je dois me retenir pour ne pas la prendre dans mes bras
J’inspire cette essence et j’ai tout le corps en émoi
Ces cheveux, ce visage, ce corps, Elle est merveilleuse !
Je reste figé tel un piquet, subjugué, je lui tends la rose
Elle me fait un sourire timide, je la sens un peu nerveuse
Je connais son inquiétude car je ressens la même chose
Dix minutes qu’on se regarde et je n’ai encore dit un mot
C’est sûr qu’à ce train-là, elle va me prendre pour un idiot....Hami
Je sens son bisou sur la joue et son souffle dans le cou
Le dos qui frissonne et aucun son ne sort de ma bouche
Étrange cette sensation alors même qu’il ne me touche
J’en tremble toute d’émotion alors qu’il est là, debout,
Sans mot dire, immobile, à me regarder d’un air candide.
Il me dévore des yeux. C’est atroce, je me sens désarmée
Je suis gênée. Je bredouille. Je me trouve stupide
Un sursaut de volonté pour lancer : Bonsoir, enchantée !
J’ai le cœur qui cogne si fort, j’ai soudain des vapeurs
Faisons semblant de rien et sortons un sourire charmeur
Il n’a pas remarqué mon embarras, j’en suis soulagée
Mais je commence à avoir froid ! Alors cette soirée ?......Marilyn
Quelle beauté ! Je rêve ! Pourvu que je ne me réveille !
Ces yeux, cette bouche et cette peau de velours
Ces courbes et cette silhouette, quelle merveille !
C’est Elle que j’attendais ! Maintenant j’en suis sûr !
Son "Bonsoir" me secoue et sa voix me transporte
Dans mon beau rêve éveillé, je lui ouvre la porte
L’invite à rentrer, s’asseoir, se mettre à l’aise
J’apporte les apéros et lui présente une chaise
Une table en aparté avec nappe en dentelle
À la lueur des chandelles, lumière tamisée
Dans ce halo mitigé Elle est encore plus belle.
Mon esprit se rebelle, ma langue est tétanisée
Mon cœur joue du tambour, mon corps frissonne
Je suis déjà fou d’amour pour cette jolie personne........Hami
Que c’est beau ! Il a mis les petits plats dans les grands !
Tout cela est vraiment magnifique et il est très charmant !
Quelle galanterie ! Voilà qu’il m’avance la chaise...
Il s’en donne du mal pour que je me sente à l’aise !
Toute cette prévenance et cette sollicitude m’ont touchée
Mais j’ai faim ! Et je n’arrive à avaler la moindre bouchée
Un étau serré d’émoi m’empêche de pouvoir déguster
Cette délicieuse nourriture qu’il a gentiment commandée
Je vais boire un petit verre de vin pour décompresser
Je suis sincèrement éblouie, complètement envoûtée
Jamais je ne l’aurai cru si l’on me l’avait dit ce matin !
Je m’enivre de sa voix, subjuguée par son jeu de main
Des mains si belles que j’en suis tombée raide dingue
Au menu, juste après une succulente mise en bouche,
On nous apporte un millésime qu’aussitôt il débouche
Comme plat de résistance, une belle grosse dinde
Repas qu’il est de tradition de servir en fin d’Automne
Et qu’il se fait un devoir de découper en personne.
Il pose délicatement, tout en me dévorant des yeux,
Un morceau royal au beau milieu de mon assiette
Il ne saurait vraiment pas cacher qu’il est amoureux
Mais s’il continue à me fixer ainsi, avec l’amour en tête
Je crains que cette louche de crème de pommes de terre
Ne risque de rater son but et d’atterrir, au hasard
Tant nos yeux se noient avec délice dans nos regards
S’il continue, je crois bien qu’il va en mettre dans un verre
Car nos yeux ne peuvent plus se quitter...
Qu’est-ce qu’il va encore m’inventer ?
Que signifie cet étrange petit signe qui se veut discret ?
Qu’est-ce que c’est ?!?
J’entends, derrière moi, un bruit de pas qui se rapproche
Qu’est-ce qu’il fait ? Il sort de l’argent de sa poche ?
Mon Dieu ! Ce n’est pas vrai ! Des bouquets de violettes !
Belle tactique de séduction ! Mais je jouerai les coquettes
Pour faire ma conquête, il devra se montrer plus innovant
Et rendre ce rendez-vous un moment vraiment enivrant !
Mais ??.. J’entends une lointaine musique ?
Des violonistes tziganes s’approchent de notre table
Jouant tout doucement une petite mélodie romantique.
Que cette attention est charmante et adorable !
C’est décidement un véritable gentleman, un amour !
J’ai le cœur qui bat comme un tambour...
Mes yeux brillent. C’est magnifique ! Je suis émue
Dans ma tête, mon cœur, mon corps c’est la cohue
Je ne peux retenir les perles qui coulent au coin des yeux
Je cherche son regard, anxieuse, la bouche close...
Saura-t-il voir dans le mien que je suis heureuse ? ......Marilyn
Je profite de la musique tzigane pour L’inviter à danser
Un clin d’œil convenu nous accorde une danse alanguie
Je La prends dans mes bras et sur la piste, on s’élance
Je me sens gauche mais Ses yeux La disent réjouie
La chaleur de Son corps réveille des souvenirs oubliés,
En profond sommeil depuis de nombreuses années,
Un ensemble de sensations se bousculent dans mon être
Un petit frémissement glacé descend le long du dos
Tandis qu’une marque d’excitation met en éveil la libido
Le corps réagissant aussitôt, je crains l’incident stupide
En même temps une ondée de fièvre monte à la tête
J’appréhende l’instant où elle va empourprer mes joues
Ou celui où l’émotion va d’un coup me couper les genoux
Un tourbillon de passion ardente me chavire le cœur
Un tumulte de sentiments s’agite dans mon esprit
Mettant sens dessus dessous mes moindres pensées...
Je sens monter la forte pulsion d’un désir pressant :
Le rubis de Sa bouche m’attire comme un aimant
Telle une idée fixe, de coller mes lèvres aux Siennes
Cédant à l’invite, je me penche et hardiment, L’embrasse
M’attendant à ce que, scandalisée par mon audace,
Elle me gifle violemment me laissant sitôt sur place.
Mais, comme si Elle attendait cela depuis longtemps,
Répond à mon transport par un délicieux baiser ardent.
Le temps, la musique, le monde arrêtent leur mouvement
Plus rien ne compte que la douce chaleur de Ses lèvres
Que Ses bras me serrant fortement contr’Elle sans effort
Ne comptent que nos langues se cherchant sans trêve
En une suite de va-et-vient de langoureux titillements
Une explosion de sensations irradie de la bouche
Se propage dans les membres, envahissant tout le corps
Lui insufflant une ivresse qui joignant le cœur me touche
Et me transporte au nirvana en compagnie d’un ange
Surtout qu’on ne me réveille, si c’est un songe !!........Hami
En musique, on continue, en s’embrassant, à danser
Son baiser est un feu qui semble vouloir me consumer
Les personnes autour disparaissent, le décor s’efface,
Il ne reste que nous deux dans ce baiser qui nous enlace
Qui est si enivrant que je voudrais qu’il ne s’arrête jamais
J’ai le cœur en transe et des rêves plein la tête
Le dîner, danser, le vin, ce baiser, je suis en apesanteur !
Je me sens transportée. Je nous vois sortir à l’extérieur
Je devine cocher et calèche, il m’installe dans la trotteuse
Me couvre entièrement d’une chaude fourrure moelleuse
Me recouvre d’ardents baisers. Mon cœur est aux étoiles
J’ai chaud au corps, au cœur. Je suis comblée, heureuse
Que cette soirée ne finisse plus tant elle est merveilleuse
Je m’accroche à lui de peur qu’il ne mette les voiles
Mais j’ai tort de m’en faire, à la façon qu’il serre ma taille
Je crois que, comme moi, il craint aussi que je m’en aille
Il ajuste la peau fourrée pour que je n’aie pas froid
C’est la première fois qu’on prend autant soin de moi !
Ses baisers, le bercement du tilbury, voilà, je m’endors
Ultime image : nue dans la baignoire la tête sur le rebord
Je contemple encore ce beau sourire qui orne ses lèvres
Il s’installe et s’apprête à être le gardien de mes rêves
Je peux dormir tranquille ! Il sera encore là à mon réveil
Je n’ai jamais ressenti un sentiment de bien-être pareil :
L’envie de sentir sa bouche et d’y laisser mon empreinte
Le désir d’un corps-à-corps, d’une brûlante étreinte
L’avidité des sens, l’appétence d’un corps à gémir
Être si excitée......Et avoir tellement envie de dormir... !
Lui en demande pardon, me serrant davantage à lui
Il ne semble m’en tenir rigueur, me regarde et sourit
Il caresse mes cheveux en récitant une poésie
Je nage en plein bonheur et m’endors paisiblement
Sur le rêve enchanteur d’un merveilleux moment
Je n’ai connu meilleur ! Je suis au paradis
Elle comble tous mes espoirs, mes rêves les plus fous !
Magnifique en robe du soir, simple mais de bon goût
Vêtement fourreau noir avec un beau grand dos nu
Broche avec fermoir et un joli cœur en argent suspendu
Le mien joue la fanfare...J’espère qu’on ne l’a entendu .....Hami
Il est là, bien réel, en chair et en os, qui m’attend
Sourire radieux aux lèvres et des yeux pétillants
Beau dans ce costume noir, chemise blanche
Cravate écarlate, sans doute sa tenue du dimanche
Il est attendrissant avec sa belle rose rouge vermillon
Attendre, par ce froid, je crains qu’il ne soit grognon
Oh, il est adorable ! J’ai plus d’une heure de retard
Et il est juste content de me voir : Bonsoir ! ..........Marilyn
Elle est si belle ! Pres qu’irréelle ! Si douce et naturelle...
Je dépose une bise sur la joue, son parfum m’interpelle
Je dois me retenir pour ne pas la prendre dans mes bras
J’inspire cette essence et j’ai tout le corps en émoi
Ces cheveux, ce visage, ce corps, Elle est merveilleuse !
Je reste figé tel un piquet, subjugué, je lui tends la rose
Elle me fait un sourire timide, je la sens un peu nerveuse
Je connais son inquiétude car je ressens la même chose
Dix minutes qu’on se regarde et je n’ai encore dit un mot
C’est sûr qu’à ce train-là, elle va me prendre pour un idiot....Hami
Je sens son bisou sur la joue et son souffle dans le cou
Le dos qui frissonne et aucun son ne sort de ma bouche
Étrange cette sensation alors même qu’il ne me touche
J’en tremble toute d’émotion alors qu’il est là, debout,
Sans mot dire, immobile, à me regarder d’un air candide.
Il me dévore des yeux. C’est atroce, je me sens désarmée
Je suis gênée. Je bredouille. Je me trouve stupide
Un sursaut de volonté pour lancer : Bonsoir, enchantée !
J’ai le cœur qui cogne si fort, j’ai soudain des vapeurs
Faisons semblant de rien et sortons un sourire charmeur
Il n’a pas remarqué mon embarras, j’en suis soulagée
Mais je commence à avoir froid ! Alors cette soirée ?......Marilyn
Quelle beauté ! Je rêve ! Pourvu que je ne me réveille !
Ces yeux, cette bouche et cette peau de velours
Ces courbes et cette silhouette, quelle merveille !
C’est Elle que j’attendais ! Maintenant j’en suis sûr !
Son "Bonsoir" me secoue et sa voix me transporte
Dans mon beau rêve éveillé, je lui ouvre la porte
L’invite à rentrer, s’asseoir, se mettre à l’aise
J’apporte les apéros et lui présente une chaise
Une table en aparté avec nappe en dentelle
À la lueur des chandelles, lumière tamisée
Dans ce halo mitigé Elle est encore plus belle.
Mon esprit se rebelle, ma langue est tétanisée
Mon cœur joue du tambour, mon corps frissonne
Je suis déjà fou d’amour pour cette jolie personne........Hami
Que c’est beau ! Il a mis les petits plats dans les grands !
Tout cela est vraiment magnifique et il est très charmant !
Quelle galanterie ! Voilà qu’il m’avance la chaise...
Il s’en donne du mal pour que je me sente à l’aise !
Toute cette prévenance et cette sollicitude m’ont touchée
Mais j’ai faim ! Et je n’arrive à avaler la moindre bouchée
Un étau serré d’émoi m’empêche de pouvoir déguster
Cette délicieuse nourriture qu’il a gentiment commandée
Je vais boire un petit verre de vin pour décompresser
Je suis sincèrement éblouie, complètement envoûtée
Jamais je ne l’aurai cru si l’on me l’avait dit ce matin !
Je m’enivre de sa voix, subjuguée par son jeu de main
Des mains si belles que j’en suis tombée raide dingue
Au menu, juste après une succulente mise en bouche,
On nous apporte un millésime qu’aussitôt il débouche
Comme plat de résistance, une belle grosse dinde
Repas qu’il est de tradition de servir en fin d’Automne
Et qu’il se fait un devoir de découper en personne.
Il pose délicatement, tout en me dévorant des yeux,
Un morceau royal au beau milieu de mon assiette
Il ne saurait vraiment pas cacher qu’il est amoureux
Mais s’il continue à me fixer ainsi, avec l’amour en tête
Je crains que cette louche de crème de pommes de terre
Ne risque de rater son but et d’atterrir, au hasard
Tant nos yeux se noient avec délice dans nos regards
S’il continue, je crois bien qu’il va en mettre dans un verre
Car nos yeux ne peuvent plus se quitter...
Qu’est-ce qu’il va encore m’inventer ?
Que signifie cet étrange petit signe qui se veut discret ?
Qu’est-ce que c’est ?!?
J’entends, derrière moi, un bruit de pas qui se rapproche
Qu’est-ce qu’il fait ? Il sort de l’argent de sa poche ?
Mon Dieu ! Ce n’est pas vrai ! Des bouquets de violettes !
Belle tactique de séduction ! Mais je jouerai les coquettes
Pour faire ma conquête, il devra se montrer plus innovant
Et rendre ce rendez-vous un moment vraiment enivrant !
Mais ??.. J’entends une lointaine musique ?
Des violonistes tziganes s’approchent de notre table
Jouant tout doucement une petite mélodie romantique.
Que cette attention est charmante et adorable !
C’est décidement un véritable gentleman, un amour !
J’ai le cœur qui bat comme un tambour...
Mes yeux brillent. C’est magnifique ! Je suis émue
Dans ma tête, mon cœur, mon corps c’est la cohue
Je ne peux retenir les perles qui coulent au coin des yeux
Je cherche son regard, anxieuse, la bouche close...
Saura-t-il voir dans le mien que je suis heureuse ? ......Marilyn
Je profite de la musique tzigane pour L’inviter à danser
Un clin d’œil convenu nous accorde une danse alanguie
Je La prends dans mes bras et sur la piste, on s’élance
Je me sens gauche mais Ses yeux La disent réjouie
La chaleur de Son corps réveille des souvenirs oubliés,
En profond sommeil depuis de nombreuses années,
Un ensemble de sensations se bousculent dans mon être
Un petit frémissement glacé descend le long du dos
Tandis qu’une marque d’excitation met en éveil la libido
Le corps réagissant aussitôt, je crains l’incident stupide
En même temps une ondée de fièvre monte à la tête
J’appréhende l’instant où elle va empourprer mes joues
Ou celui où l’émotion va d’un coup me couper les genoux
Un tourbillon de passion ardente me chavire le cœur
Un tumulte de sentiments s’agite dans mon esprit
Mettant sens dessus dessous mes moindres pensées...
Je sens monter la forte pulsion d’un désir pressant :
Le rubis de Sa bouche m’attire comme un aimant
Telle une idée fixe, de coller mes lèvres aux Siennes
Cédant à l’invite, je me penche et hardiment, L’embrasse
M’attendant à ce que, scandalisée par mon audace,
Elle me gifle violemment me laissant sitôt sur place.
Mais, comme si Elle attendait cela depuis longtemps,
Répond à mon transport par un délicieux baiser ardent.
Le temps, la musique, le monde arrêtent leur mouvement
Plus rien ne compte que la douce chaleur de Ses lèvres
Que Ses bras me serrant fortement contr’Elle sans effort
Ne comptent que nos langues se cherchant sans trêve
En une suite de va-et-vient de langoureux titillements
Une explosion de sensations irradie de la bouche
Se propage dans les membres, envahissant tout le corps
Lui insufflant une ivresse qui joignant le cœur me touche
Et me transporte au nirvana en compagnie d’un ange
Surtout qu’on ne me réveille, si c’est un songe !!........Hami
En musique, on continue, en s’embrassant, à danser
Son baiser est un feu qui semble vouloir me consumer
Les personnes autour disparaissent, le décor s’efface,
Il ne reste que nous deux dans ce baiser qui nous enlace
Qui est si enivrant que je voudrais qu’il ne s’arrête jamais
J’ai le cœur en transe et des rêves plein la tête
Le dîner, danser, le vin, ce baiser, je suis en apesanteur !
Je me sens transportée. Je nous vois sortir à l’extérieur
Je devine cocher et calèche, il m’installe dans la trotteuse
Me couvre entièrement d’une chaude fourrure moelleuse
Me recouvre d’ardents baisers. Mon cœur est aux étoiles
J’ai chaud au corps, au cœur. Je suis comblée, heureuse
Que cette soirée ne finisse plus tant elle est merveilleuse
Je m’accroche à lui de peur qu’il ne mette les voiles
Mais j’ai tort de m’en faire, à la façon qu’il serre ma taille
Je crois que, comme moi, il craint aussi que je m’en aille
Il ajuste la peau fourrée pour que je n’aie pas froid
C’est la première fois qu’on prend autant soin de moi !
Ses baisers, le bercement du tilbury, voilà, je m’endors
Ultime image : nue dans la baignoire la tête sur le rebord
Je contemple encore ce beau sourire qui orne ses lèvres
Il s’installe et s’apprête à être le gardien de mes rêves
Je peux dormir tranquille ! Il sera encore là à mon réveil
Je n’ai jamais ressenti un sentiment de bien-être pareil :
L’envie de sentir sa bouche et d’y laisser mon empreinte
Le désir d’un corps-à-corps, d’une brûlante étreinte
L’avidité des sens, l’appétence d’un corps à gémir
Être si excitée......Et avoir tellement envie de dormir... !
Lui en demande pardon, me serrant davantage à lui
Il ne semble m’en tenir rigueur, me regarde et sourit
Il caresse mes cheveux en récitant une poésie
Je nage en plein bonheur et m’endors paisiblement
Sur le rêve enchanteur d’un merveilleux moment
Je n’ai connu meilleur ! Je suis au paradis
Jeu 14 Nov 2013, 11:07 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Incommunication
Un regret, énorme. Le manque de communication ou de réactivité du site depuis ces dernières années.
Les âmes tendres postent et se sauvent comme des âmes solitaires.
Pourquoi ne pas davantage échanger sur le fond ou la forme ? Pourquoi ne pas donner de suite à un écrit qui a stimulé notre plume ?
Pourquoi ne pas réfléchir en commun sur des sujets qui nous pré- occupent ou nous bousculent ?!
Si vous n’osez pas le faire directement, n’hésitez pas à m’écrire sur ma messagerie.
Au plaisir de vous lire et de vous répondre.
Dolce
Les âmes tendres postent et se sauvent comme des âmes solitaires.
Pourquoi ne pas davantage échanger sur le fond ou la forme ? Pourquoi ne pas donner de suite à un écrit qui a stimulé notre plume ?
Pourquoi ne pas réfléchir en commun sur des sujets qui nous pré- occupent ou nous bousculent ?!
Si vous n’osez pas le faire directement, n’hésitez pas à m’écrire sur ma messagerie.
Au plaisir de vous lire et de vous répondre.

Dolce
Ven 03 Juin 2011, 13:43 par
dolce vita sur Articles
La bibliothecaire (mdr)
La belle bibliothécaire
A l’air de se complaire;
Et prend du plaisir,
Quand elle le désire
A s’occuper tendrement d’elle
Sans que l’on ne lui tienne la chandelle
Le silence s’en accommode
Et les livres entre eux s’accordent
A profiter du spectacle charmant
Devant leurs reliures se déroulant.
Et avant qu’ils n’arrivent tous.
Lentement elle se fait douce
Ce n’est que son petit doigt qui trémousse
Derrière les étagères en bois
Près du grand débarras
Pour que personne ne la voit
Elle taquinera son petit chat
devenant humide et gonflé
Tel un bouton de fleur après la rosée.
Ses plaintes deviennent des râles
Son corps se plie dans ce plaisir animal
Les livres se bousculent ,les pages s’affolent
Et des étagères dégringolent
Dans tel un fracas,
Que son chef s’en inquiètera
Vite elle se rhabille
Prend son air de timide jeune fille
Avec un sourire en coin
Revenant de très loi
Sa petite culotte trempée
Que personne n’a jamais contemplé
A l’air de se complaire;
Et prend du plaisir,
Quand elle le désire
A s’occuper tendrement d’elle
Sans que l’on ne lui tienne la chandelle
Le silence s’en accommode
Et les livres entre eux s’accordent
A profiter du spectacle charmant
Devant leurs reliures se déroulant.
Et avant qu’ils n’arrivent tous.
Lentement elle se fait douce
Ce n’est que son petit doigt qui trémousse
Derrière les étagères en bois
Près du grand débarras
Pour que personne ne la voit
Elle taquinera son petit chat
devenant humide et gonflé
Tel un bouton de fleur après la rosée.
Ses plaintes deviennent des râles
Son corps se plie dans ce plaisir animal
Les livres se bousculent ,les pages s’affolent
Et des étagères dégringolent
Dans tel un fracas,
Que son chef s’en inquiètera
Vite elle se rhabille
Prend son air de timide jeune fille
Avec un sourire en coin
Revenant de très loi
Sa petite culotte trempée
Que personne n’a jamais contemplé
Dim 29 Mai 2011, 15:08 par
caressedesyeux sur Mille choses
Le temps des vacances (rémi chapitre quatre)
Voilà une semaine qu’il est en vacances à Ibiza. Il en a rêvé depuis des années. Il avait tout planifié, le voyage, l’hôtel, les virées dans les boîtes le soir, les promenades matinales sur la plage, les excursions en mer..............
Et il était là à se morfondre dans sa chambre d’hôtel. Qu’est-ce qui n’avait pas marché comme il avait imaginé ?
Les virées dans les boîtes de nuit lui étaient fastidieuses. Lui qui aimait la musique à plein volume, trouvait ces endroits bruyants, agaçants avec tous ces gens qui se trémoussent et se bousculent à qui mieux, mieux. Les jeunes beautés de tous les pays lui paraissaient fades........ Lui qui n’avait jamais reculé pour une aventure d’un jour, trouvait maintenant cela futile et immature.
Ses promenades à la plage, parmi des anatomies plus dénudées les unes que les autres, loin de lui apporter le plaisir envisagé, lui pesaient. Sous un temps splendide et un soleil radieux, il avait l’impression de traîner le froid et la brume du grand Nord. Et ne parlons pas de ces fabuleuses escapades en mer où la houle du bateau conjuguée aux remous de son coeur le collaient au bastingage le regard perdu sur l’horizon. Il fallait qu’il s’en fasse une raison : Elle lui manquait !
Alessia lui manquait et cette absence gâchait ses vacances. Il revoyait son visage rayonnant, ses courbes généreuses. Se remémorait leurs discussions et leurs éclats de rire. Se souvenait de leurs rencontres, de leurs caresses et de leurs baisers. Et un nœud se serrait dans ses entrailles lui bloquant un boule dans la gorge et une énorme tristesse. Il se rappelait leur dernière entrevue et le lamentable fiasco. La mue dépitée d’Alessia et sa fuite précipitée. Il aurait voulu remonter le temps et avoir le courage d’envoyer promener l’amie mais voilà : Le mal était fait ! Et il était à se demander si Alessia pensait encore à cet inconscient qu’il était.
Et puis qu’avait à lui offrir ? Il n’était plus tout jeune et elle pouvait prétendre à tant d’autres qui seraient subjugués par son charme et ses charmes. Que pouvait-il lui proposer ? Ses projets ? Cet embonpoint tenace malgré les régimes, les efforts et le sport ? Son caractère et sa beauté mettaient tant de prétendants à ses pieds qu’il ne s’accordait aucune chance à ce qu’elle se souvienne de lui. Il ruminait, ressassait quand soudain............... L’adresse e-mail !!
Il se précipita sur l’ordi et commença à lui rédiger un message :
Chère, tendre et lumineuse Alessia.......
Et il était là à se morfondre dans sa chambre d’hôtel. Qu’est-ce qui n’avait pas marché comme il avait imaginé ?
Les virées dans les boîtes de nuit lui étaient fastidieuses. Lui qui aimait la musique à plein volume, trouvait ces endroits bruyants, agaçants avec tous ces gens qui se trémoussent et se bousculent à qui mieux, mieux. Les jeunes beautés de tous les pays lui paraissaient fades........ Lui qui n’avait jamais reculé pour une aventure d’un jour, trouvait maintenant cela futile et immature.
Ses promenades à la plage, parmi des anatomies plus dénudées les unes que les autres, loin de lui apporter le plaisir envisagé, lui pesaient. Sous un temps splendide et un soleil radieux, il avait l’impression de traîner le froid et la brume du grand Nord. Et ne parlons pas de ces fabuleuses escapades en mer où la houle du bateau conjuguée aux remous de son coeur le collaient au bastingage le regard perdu sur l’horizon. Il fallait qu’il s’en fasse une raison : Elle lui manquait !
Alessia lui manquait et cette absence gâchait ses vacances. Il revoyait son visage rayonnant, ses courbes généreuses. Se remémorait leurs discussions et leurs éclats de rire. Se souvenait de leurs rencontres, de leurs caresses et de leurs baisers. Et un nœud se serrait dans ses entrailles lui bloquant un boule dans la gorge et une énorme tristesse. Il se rappelait leur dernière entrevue et le lamentable fiasco. La mue dépitée d’Alessia et sa fuite précipitée. Il aurait voulu remonter le temps et avoir le courage d’envoyer promener l’amie mais voilà : Le mal était fait ! Et il était à se demander si Alessia pensait encore à cet inconscient qu’il était.
Et puis qu’avait à lui offrir ? Il n’était plus tout jeune et elle pouvait prétendre à tant d’autres qui seraient subjugués par son charme et ses charmes. Que pouvait-il lui proposer ? Ses projets ? Cet embonpoint tenace malgré les régimes, les efforts et le sport ? Son caractère et sa beauté mettaient tant de prétendants à ses pieds qu’il ne s’accordait aucune chance à ce qu’elle se souvienne de lui. Il ruminait, ressassait quand soudain............... L’adresse e-mail !!
Il se précipita sur l’ordi et commença à lui rédiger un message :
Chère, tendre et lumineuse Alessia.......
Jeu 28 Avril 2011, 17:55 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
La chute
Une toupie......Et c’est la chute
Elle ne dansera plus
Plus de doute
Tragique accident, en tombant
Son genou est en piteux état
Cette fois, c’est évident
Ce n’est pas la première fois
Mais de cette chute-là
Elle ne pourra plus faire d’entrechats......
Elle se demande alors
Quel avenir pour elle
La musique, ces décors
Ces froufrous et dentelles
La danse est toute sa passion
Elle y mettait toute son émotion
Plus cette effervescence d’un public fidèle
Plus ces brassées de roses jetées à ses pieds
Plus d’amoureux déclamant des poèmes,
Plus de ces applaudissement tant mérités
Plus de fans qui se bousculent à sa loge
Plus d’éloges....
L’étoile est tombée
Redevient petit rat d’opéra ,
Dont la carrière se termine ce soir.
Qui doit penser à se recycler
Changer de vie, de métier
Elle pleure sur la perte de son avenir
Puis le visage s’éclaire d’un sourire
Elle se projette soudainement
Dans un autre présent
Dans une salle immense
Remplie de petites filles qui dansent
Dans leurs jolis tutus et leurs chaussons
Où elle leur donne des leçons
Et tout cet amour
Qu’elle a pour la danse
Sa plus belle passion..
Elle ne dansera plus
Plus de doute
Tragique accident, en tombant
Son genou est en piteux état
Cette fois, c’est évident
Ce n’est pas la première fois
Mais de cette chute-là
Elle ne pourra plus faire d’entrechats......
Elle se demande alors
Quel avenir pour elle
La musique, ces décors
Ces froufrous et dentelles
La danse est toute sa passion
Elle y mettait toute son émotion
Plus cette effervescence d’un public fidèle
Plus ces brassées de roses jetées à ses pieds
Plus d’amoureux déclamant des poèmes,
Plus de ces applaudissement tant mérités
Plus de fans qui se bousculent à sa loge
Plus d’éloges....
L’étoile est tombée
Redevient petit rat d’opéra ,
Dont la carrière se termine ce soir.
Qui doit penser à se recycler
Changer de vie, de métier
Elle pleure sur la perte de son avenir
Puis le visage s’éclaire d’un sourire
Elle se projette soudainement
Dans un autre présent
Dans une salle immense
Remplie de petites filles qui dansent
Dans leurs jolis tutus et leurs chaussons
Où elle leur donne des leçons
Et tout cet amour
Qu’elle a pour la danse
Sa plus belle passion..
Ven 15 Avril 2011, 11:11 par
caressedesyeux sur Mille choses
La bibliothécaire
La belle bibliothécaire a l’air de se complaire;
Et prend du plaisir, à s’occuper d’elle
Le silence s’en accommode
Et les livres, profitent du charmant spectacle se déroulant sous leur yeux.
Avant qu’ils n’arrivent tous.
Elle se fait douce ,et trémousse son petit doigt
La ou elle seule, taquinera son petit "chat"
Humide et gonflé tel un bouton rosé.
Ses plaintes deviennent de plus en plus fortes
Son corps se plie contre la bibliothèque
Les livres se bousculent ,les pages s’affolent
Et font des farandoles à en tomber par terre
Tel un fracas, ou l’on s’en inquiètera
Vite elle se rhabille
Avant que leur "billes" jubilent
Elle redevient sérieuse,
Jolie vicieuse, avec son sourire au coin
Sa petite culotte trempée
Et se disant" personne n’ira trempé son nez"
caressedesyeux
Et prend du plaisir, à s’occuper d’elle
Le silence s’en accommode
Et les livres, profitent du charmant spectacle se déroulant sous leur yeux.
Avant qu’ils n’arrivent tous.
Elle se fait douce ,et trémousse son petit doigt
La ou elle seule, taquinera son petit "chat"
Humide et gonflé tel un bouton rosé.
Ses plaintes deviennent de plus en plus fortes
Son corps se plie contre la bibliothèque
Les livres se bousculent ,les pages s’affolent
Et font des farandoles à en tomber par terre
Tel un fracas, ou l’on s’en inquiètera
Vite elle se rhabille
Avant que leur "billes" jubilent
Elle redevient sérieuse,
Jolie vicieuse, avec son sourire au coin
Sa petite culotte trempée
Et se disant" personne n’ira trempé son nez"
caressedesyeux
Sam 08 Mai 2010, 17:35 par
caressedesyeux sur Les liaisons sulfureuses
Horaire discordant
Je travaille de soir, lui, de jour....
Je laisse durant la semaine qui nous sépare la braise envahir mon ventre. Cette braise de plus en plus chaude en devient presque insupportable, brûlante.
Laissant échapper quelques gouttes de sève, tel un volcan jaillissant de sa lave, ma fente opprimée dans sa petite culotte ne demande qu’à être délivrée par ton membre chaud. Je suis là à travailler à installer cet harnais électrique, à fantasmer à l’idée de frotter délicieusement mes jolis petits seins sur ton visage, pour ensuite les passer sur ton pénis en érection. Je veux tes mains douces et baladeuses sur mes fesses rebondies et sa rosette timide, bien logée entre les deux beignets frais , j’imagine ta langue et ton souffle chaud l’effleurer tout en laissant ton index pénétrer mon vagin.
Toutes ces idées se bousculent dans ma tête. Quand sont passées ces pulsions génitales, je repense à ton sourire. Tu as des yeux si amoureux quand tu me regardes ! Tes longs cils noirs, ton iris bleu minuit, tout ce mystère dans ton regard ! Je vois
toutes ces petites attentions qui font de toi un homme charmant.
Je m’ennuie !
Hélas !quand je m’ennuie de toi, même si je reviens à notre amour qui grandit de jour en jour, mes pulsions animales me font repenser, toujours, à ce four qui brûle dans mon ventre.
Je laisse durant la semaine qui nous sépare la braise envahir mon ventre. Cette braise de plus en plus chaude en devient presque insupportable, brûlante.
Laissant échapper quelques gouttes de sève, tel un volcan jaillissant de sa lave, ma fente opprimée dans sa petite culotte ne demande qu’à être délivrée par ton membre chaud. Je suis là à travailler à installer cet harnais électrique, à fantasmer à l’idée de frotter délicieusement mes jolis petits seins sur ton visage, pour ensuite les passer sur ton pénis en érection. Je veux tes mains douces et baladeuses sur mes fesses rebondies et sa rosette timide, bien logée entre les deux beignets frais , j’imagine ta langue et ton souffle chaud l’effleurer tout en laissant ton index pénétrer mon vagin.
Toutes ces idées se bousculent dans ma tête. Quand sont passées ces pulsions génitales, je repense à ton sourire. Tu as des yeux si amoureux quand tu me regardes ! Tes longs cils noirs, ton iris bleu minuit, tout ce mystère dans ton regard ! Je vois
toutes ces petites attentions qui font de toi un homme charmant.
Je m’ennuie !
Hélas !quand je m’ennuie de toi, même si je reviens à notre amour qui grandit de jour en jour, mes pulsions animales me font repenser, toujours, à ce four qui brûle dans mon ventre.
Jeu 29 Déc 2005, 09:50 par
mistelle sur Les liaisons sulfureuses
Leçon de trahison...
Toutes ces mains sur ma peau… Qui se baladent, qui s’emballent…
Toutes ces envies dans ma tête… Qui me bousculent, qui m’emportent…
Toutes ces passions dans mon cœur… Qui s’éloignent… qui s’évadent…
Toutes ces pensées sur mon âme… Qui m’échappent… Qui s’exécutent…
En voilà, donc, un bête d’amour…
Toutes ces paroles… Qui blessent en caresses…
Toutes ces intentions… Qui prennent en haine…
Tous ces soupçons… Qui galvanisent et enlisent…
Tous ces rires… Qui t’exhortent de prendre la porte…
Ha, mes Hommes… Ho, mes jouets…
Sans ces rêves… Dans ma tête qui s’entêtent…
Sans ces souffles… Encore, encore sur mon corps…
Sans ces baisers… Jamais regretter, toujours suggérer…
Sans ces caresses… Univers futile sans hiers…
Rarement aimé toujours…
Sans ces serpents… Glissante, chancelante…
Sans ces requins… Acerbe la gerbe…
Sur ces musiques… Logique la chique…
Sur ces draps… Jouissantes d’attentes…
Ha, mes femmes… Ho, mes rouets…
Ne pas pleurer sur la tombe d’un idiot…
Ne pas laisser passé, nos actes pro…
Ne pas changer malgré les mots…
Et restée en hiver… Ce grand cœur aux cuisses chaudes…
Toutes ces envies dans ma tête… Qui me bousculent, qui m’emportent…
Toutes ces passions dans mon cœur… Qui s’éloignent… qui s’évadent…
Toutes ces pensées sur mon âme… Qui m’échappent… Qui s’exécutent…
En voilà, donc, un bête d’amour…
Toutes ces paroles… Qui blessent en caresses…
Toutes ces intentions… Qui prennent en haine…
Tous ces soupçons… Qui galvanisent et enlisent…
Tous ces rires… Qui t’exhortent de prendre la porte…
Ha, mes Hommes… Ho, mes jouets…
Sans ces rêves… Dans ma tête qui s’entêtent…
Sans ces souffles… Encore, encore sur mon corps…
Sans ces baisers… Jamais regretter, toujours suggérer…
Sans ces caresses… Univers futile sans hiers…
Rarement aimé toujours…
Sans ces serpents… Glissante, chancelante…
Sans ces requins… Acerbe la gerbe…
Sur ces musiques… Logique la chique…
Sur ces draps… Jouissantes d’attentes…
Ha, mes femmes… Ho, mes rouets…
Ne pas pleurer sur la tombe d’un idiot…
Ne pas laisser passé, nos actes pro…
Ne pas changer malgré les mots…
Et restée en hiver… Ce grand cœur aux cuisses chaudes…
Sam 08 Jan 2005, 23:09 par
Rose sur Un monde parfait
L'abandon
(Oh! Tristement beau ce texte, imaginative et inspirant...)
L’abandon
Elle s’arrache du vert-de-gris de son corps corail minutieusement inaccessible …
Elle perce une autre bouteille engouffrée de solitude blanche.
Le rouge ferait mieux pleurer en vain son coeur qui n’arrive plus à soûler le silence.
Elle se verse à déborder dans la fosse de son âme.
Elle s’enracine délaissée encore une fois à côté de son armoire à deux.
Des larmes saumâtres de mers musicales battent dans ses souvenirs.
Elle évapore d’une grande boîte métallique…. ces lettres et …ces cartes usées et déformées…
Depuis si loin toujours les mots renégats d’amour s’échappent à la queue leuleu
sur le tablier de sa robe déprimée.
Ils se bousculent là …dans d’avares mains pour lire
…ces battements titubant de passion modeste qui ont navigués jusqu’à elle sans biffure.
C’est si passé…comme liaison…
Mille centième de ses souvenirs plus ou moins,
c’est quelque part une croûte cruelle de je t’aime qui a séché sur son vieux coeur.
Il avait fait naufrage dans un versant joyeux de son lit. C’était le hasard voisin.
Elle était douce comme une nouvelle étoile et il avait mangé la couleur de son sourire et dîné dans sa chambre et soupé dans son lit.
Deux enfants pareils à l’eau en étaient sortis puis il était parti son jeune marin arpenter une autre meilleure vie.
Elle ferme les yeux sur l’odeur de ses fleurs punies…
Il lui fait toujours parvenir en pensée des fleurs puisqu’il ne sait plus dire les mots…
Il a cessé d’écrire depuis longtemps… son poète…
mOTSaRT
L’abandon
Elle s’arrache du vert-de-gris de son corps corail minutieusement inaccessible …
Elle perce une autre bouteille engouffrée de solitude blanche.
Le rouge ferait mieux pleurer en vain son coeur qui n’arrive plus à soûler le silence.
Elle se verse à déborder dans la fosse de son âme.
Elle s’enracine délaissée encore une fois à côté de son armoire à deux.
Des larmes saumâtres de mers musicales battent dans ses souvenirs.
Elle évapore d’une grande boîte métallique…. ces lettres et …ces cartes usées et déformées…
Depuis si loin toujours les mots renégats d’amour s’échappent à la queue leuleu
sur le tablier de sa robe déprimée.
Ils se bousculent là …dans d’avares mains pour lire
…ces battements titubant de passion modeste qui ont navigués jusqu’à elle sans biffure.
C’est si passé…comme liaison…
Mille centième de ses souvenirs plus ou moins,
c’est quelque part une croûte cruelle de je t’aime qui a séché sur son vieux coeur.
Il avait fait naufrage dans un versant joyeux de son lit. C’était le hasard voisin.
Elle était douce comme une nouvelle étoile et il avait mangé la couleur de son sourire et dîné dans sa chambre et soupé dans son lit.
Deux enfants pareils à l’eau en étaient sortis puis il était parti son jeune marin arpenter une autre meilleure vie.
Elle ferme les yeux sur l’odeur de ses fleurs punies…
Il lui fait toujours parvenir en pensée des fleurs puisqu’il ne sait plus dire les mots…
Il a cessé d’écrire depuis longtemps… son poète…
mOTSaRT
Ven 04 Juin 2004, 20:16 par
mOTSaRT sur Le grimoire d'amour
Ecrire sur bousculent

Il y a 9 textes utilisant le mot bousculent. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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