Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur bout - Page 10 sur 21
2007 : le scoop !!
Reprise du chemin des journaleux ! ! ! Mais pour commencer en douceur, appel mi sensuel mi amical, voix d’homme au bout du fil, l’on joue avec les mots, les ressentis, les... Hum, petites attentions délicates à déguster sans modération, cela fait du bien dans la grisaille et le silence hivernal ! Yes ! Toujours agréable de se faire séduire, de se savoir désirable... C’est bon d’être en vie et d’être femme ! Puis, marche dans la ville, un gros classeur sous le bras.. Il faut lire, triller, classer, organiser, réécrire dans un souci de concision sans trahir ce qui est, tout en rendant la langue délectable et savoureuse.. Puis balade à nouveau dans les rues de la ville pour prendre les clichés choisis comme un condiment supplémentaire, ou une autre porte que l’on ouvre sur de l’info...
Lun 08 Jan 2007, 11:04 par
dolce vita sur La séduction
Hommage (2)
L’écran était noir. Il était au boulot et sentait son sexe se tendre. Les images qu’il avait d’elle ne cessaient de se présenter à sa mémoire et puis, tout ce qu’il ignorait. Son imagination le rendait fou. Le grain de sa peau, sa texture, caresser ses seins durcis par le plaisir. L’humidité de son sexe... Les gestes qu’elle oserait. Elle serait capable de toutes les impertinences. Il le savait.
Il la voyait là devant lui, le défiant du regard. Svelte, ses cheveux flous cachant la moitié du visage, son sourire entendu. Elle le défierait du regard. Il le voyait. Elle resterait immobile juste le temps pour elle de poser ses yeux sur tout le corps de l’homme traçant sur lui de ses yeux clairs le chemin du supplice... Puis, insouciante, elle agirait.
Passant ses doigts sous le gilet fluo. Elle se glisserait entre lui et les étoffes qui lui tenaient lieu de carapace. Du bout de la langue, des lèvres, l’effleurant, elle parcourrait un chemin humide vertical jusqu’à ses tétons qu’elle goûterait, sucerait, lécherait, mordillerait très très doucement, les mains parcourant son dos, suivant la trajectoire de la colone jusqu’aux fesses qu’elle empoignerait. Sans qu’il ne puisse un seul geste de protestation, elle déferrait son pantalon, bouton après bouton, ou fermeture à glissière ouverte de haut en bas, le cas échéant. Là, au risque que quelqu’un vienne, qu’un collègue entre dans le bureau, elle s’avancerait jusqu’à lui, ferait tomber sur ses genoux le bleu de travail aux poches amples, une nouvelle fois, les yeux plantés dans les siens, elle caresserait son boxer, la taille, les cuisses, et puis, les points sensibles : le pénis, son gland, insistant pour le mettre au supplice, les fruits ronds de sa virilité, avec beaucoup de précision, les surlignant, les dessinant de bas en haut et de haut en bas, du bout des doigts et puis, à pleines mains... Elle le pousserait à bout...
Il la voyait là devant lui, le défiant du regard. Svelte, ses cheveux flous cachant la moitié du visage, son sourire entendu. Elle le défierait du regard. Il le voyait. Elle resterait immobile juste le temps pour elle de poser ses yeux sur tout le corps de l’homme traçant sur lui de ses yeux clairs le chemin du supplice... Puis, insouciante, elle agirait.
Passant ses doigts sous le gilet fluo. Elle se glisserait entre lui et les étoffes qui lui tenaient lieu de carapace. Du bout de la langue, des lèvres, l’effleurant, elle parcourrait un chemin humide vertical jusqu’à ses tétons qu’elle goûterait, sucerait, lécherait, mordillerait très très doucement, les mains parcourant son dos, suivant la trajectoire de la colone jusqu’aux fesses qu’elle empoignerait. Sans qu’il ne puisse un seul geste de protestation, elle déferrait son pantalon, bouton après bouton, ou fermeture à glissière ouverte de haut en bas, le cas échéant. Là, au risque que quelqu’un vienne, qu’un collègue entre dans le bureau, elle s’avancerait jusqu’à lui, ferait tomber sur ses genoux le bleu de travail aux poches amples, une nouvelle fois, les yeux plantés dans les siens, elle caresserait son boxer, la taille, les cuisses, et puis, les points sensibles : le pénis, son gland, insistant pour le mettre au supplice, les fruits ronds de sa virilité, avec beaucoup de précision, les surlignant, les dessinant de bas en haut et de haut en bas, du bout des doigts et puis, à pleines mains... Elle le pousserait à bout...
Jeu 21 Déc 2006, 19:00 par
dolce vita sur Les liaisons sulfureuses
Perplexe et amoureux
Le texte qui suit peut paraître disparate et surprenant.
Il est comme un accent circonflexe sur un temps ...
Un confluent, fluctuant sur le cours de mon moi, existant!
Ma vie, Mon amour, tu me fais peur.
L’amour que j’ai pour toi me fait peur.
Il y a encore tant de choses à venir,
Qui se profile et que tu fais jaillir.
Qu’il est presque inconcevable de vieillir
Sans réponse, sans certitude et sans armures!
Tu es :
Imprudente, écrasante, intelligente, espiègle, torturée, fascinante, charmeuse, attirante, angoissante, sensuelle, excitante, passionnante, affolante, agréable, aguichante, aiguillonnante, alléchante, aphrodisiaque, attrayante, bandante, dopante, électrisante, émoustillante, émouvante, encourageante, engageante, enivrante, érotique, euphorisante, exaltante, galvanisante, grisante, palpitante, piquante, pressante, provocante, provocatrice, réconfortante, séduisante, tentante, touchante, troublante, voluptueuse...
Mais la vie, elle même, n’est elle pas tout cela ?
Cette nuit, je n"ai pas trouvé le sommeil. Il est 6h37 et je pense ou plutôt j’essaie de canaliser mes pensées obscures et lumineuses, claires et brouillées disparates et burlesques , désuètes et pourtant si simples qu’on les avaient , pour un temps oubliées ...
Si l’on pouvait conserver, trier et garder ces milliers d’images minuscules et de si prêt si ridicules, pour les rassembler comme un gigantesque puzzle qui, avec le recul, nous donnerait le sens de notre vie, la direction en une sorte de fresque laissée par notre esprit tortueux comme le faisaient nos ancêtres ...
Qui suis je, je n’ai pas de réponse toute faite ?
Sûrement un mélange aberrant explosif et inoffensif ...
Pantois et plaintif , orgueilleux et craintif
Solitaire et misérable, fort et flexible
Sûrement moins bête qu’il faut l’être et pourtant si têtu !
Facilement complexe, comme tous les êtres et parfois simplement difficile ...
Il est maintenant 7h54 et ce texte restera sans doute inachevé,
ne sera ni relié et ne s’étalera pas sur des pages et des pages
Il est comme ma vie et c’est très bien ainsi ...
Ce texte peut vous décevoir ou vous émouvoir
Sachez qu’il est écrit sur ce grimoire
Sans éloges, ni louanges attendus de votre part ...
Qu’il soit juste gravé, comme une stèle quelque part ...
Pour qu’un petit bout de mon histoire,
Soit gravé en dehors de ma mémoire ...
Il est comme un accent circonflexe sur un temps ...
Un confluent, fluctuant sur le cours de mon moi, existant!
Ma vie, Mon amour, tu me fais peur.
L’amour que j’ai pour toi me fait peur.
Il y a encore tant de choses à venir,
Qui se profile et que tu fais jaillir.
Qu’il est presque inconcevable de vieillir
Sans réponse, sans certitude et sans armures!
Tu es :
Imprudente, écrasante, intelligente, espiègle, torturée, fascinante, charmeuse, attirante, angoissante, sensuelle, excitante, passionnante, affolante, agréable, aguichante, aiguillonnante, alléchante, aphrodisiaque, attrayante, bandante, dopante, électrisante, émoustillante, émouvante, encourageante, engageante, enivrante, érotique, euphorisante, exaltante, galvanisante, grisante, palpitante, piquante, pressante, provocante, provocatrice, réconfortante, séduisante, tentante, touchante, troublante, voluptueuse...
Mais la vie, elle même, n’est elle pas tout cela ?
Cette nuit, je n"ai pas trouvé le sommeil. Il est 6h37 et je pense ou plutôt j’essaie de canaliser mes pensées obscures et lumineuses, claires et brouillées disparates et burlesques , désuètes et pourtant si simples qu’on les avaient , pour un temps oubliées ...
Si l’on pouvait conserver, trier et garder ces milliers d’images minuscules et de si prêt si ridicules, pour les rassembler comme un gigantesque puzzle qui, avec le recul, nous donnerait le sens de notre vie, la direction en une sorte de fresque laissée par notre esprit tortueux comme le faisaient nos ancêtres ...
Qui suis je, je n’ai pas de réponse toute faite ?
Sûrement un mélange aberrant explosif et inoffensif ...
Pantois et plaintif , orgueilleux et craintif
Solitaire et misérable, fort et flexible
Sûrement moins bête qu’il faut l’être et pourtant si têtu !
Facilement complexe, comme tous les êtres et parfois simplement difficile ...
Il est maintenant 7h54 et ce texte restera sans doute inachevé,
ne sera ni relié et ne s’étalera pas sur des pages et des pages
Il est comme ma vie et c’est très bien ainsi ...
Ce texte peut vous décevoir ou vous émouvoir
Sachez qu’il est écrit sur ce grimoire
Sans éloges, ni louanges attendus de votre part ...
Qu’il soit juste gravé, comme une stèle quelque part ...
Pour qu’un petit bout de mon histoire,
Soit gravé en dehors de ma mémoire ...
Mar 21 Nov 2006, 08:47 par
coeur lourd sur Histoires d'amour
Si un jour tu crois que tu m'aimes...
Ne crois pas que les souvenirs me gêne... Non ne le crois pas ...
Message personnel
Au bout du téléphone, il y a votre voix
Et il y a des mots que je ne dirai pas
Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire
Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres
Je voudrais vous les dire
Et je voudrais les vivre
Je ne le ferai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je suis seule à crever, et je sais où vous êtes
J’arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître
Préparez votre temps, pour vous j’ai tout le mien
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste
Je n’arriverai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je devrais vous parler,
Je devrais arriver
Ou je devrais dormir
J’ai peur que tu sois sourd
J’ai peur que tu sois lâche
J’ai peur d’être indiscrète
Je ne peux pas vous dire que je t’aime peut-être
Mais si tu crois un jour que tu m’aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent
Et cours, cours jusqu’à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m’aimes
Et si ce jour-là tu as de la peine
A trouver où tous ces chemins te mènent
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S’installe en toi
Pense à moi
Pense à moi
Mais si tu crois un jour que tu m’aimes
Ne le considère pas comme un problème
Et cours, cours jusqu’à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m’aimes
N’attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t’emmène
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S’installe en toi
Pense à moi
Pense à moi.
Françoise Hardy ...
Message personnel
Au bout du téléphone, il y a votre voix
Et il y a des mots que je ne dirai pas
Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire
Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres
Je voudrais vous les dire
Et je voudrais les vivre
Je ne le ferai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je suis seule à crever, et je sais où vous êtes
J’arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître
Préparez votre temps, pour vous j’ai tout le mien
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste
Je n’arriverai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je devrais vous parler,
Je devrais arriver
Ou je devrais dormir
J’ai peur que tu sois sourd
J’ai peur que tu sois lâche
J’ai peur d’être indiscrète
Je ne peux pas vous dire que je t’aime peut-être
Mais si tu crois un jour que tu m’aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent
Et cours, cours jusqu’à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m’aimes
Et si ce jour-là tu as de la peine
A trouver où tous ces chemins te mènent
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S’installe en toi
Pense à moi
Pense à moi
Mais si tu crois un jour que tu m’aimes
Ne le considère pas comme un problème
Et cours, cours jusqu’à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m’aimes
N’attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t’emmène
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S’installe en toi
Pense à moi
Pense à moi.
Françoise Hardy ...
Mer 18 Oct 2006, 06:27 par
coeur lourd sur L'amour en vrac
Toi ( 8 )...
Tant que c’est toi
Je ne sais jamais si tu vas venir
Quand je t’attends je peux m’attendre au pire
Je ne sais jamais si c’est un retard
Ou si c’est moi qui invente une histoire
Peux-tu comprendre le chemin que c’est d’attendre
Peux-tu te rendre comme je le fais sans jamais être là à t’attendre
Tant que c’est toi
D’un bout à l’autre
Ou l’autre à tout moment qui attendra
Tant que c’est toi
D’aller l’un vers l’autre
Peut importe le temps que ça prendra
Tant que c’est toi
Je ne sais jamais si tu prends ton temps
Ou le mien que tu perds inutilement
Penses-tu qu’il faille que je regrette
Ce parcours du combattant
Peux-tu comprendre le chemin que c’est d’attendre
Et d’en dépendre, serais-tu prêt sans jamais être là à t’attendre
Et si tu prenais peur, qu’un doute m’effleure
Qu’j’me sois trompée d’endroit et d’heure
Qu’il ait le doute mais c’est trop tard
Tant que c’est toi...
Natasha St Pier
Je ne sais jamais si tu vas venir
Quand je t’attends je peux m’attendre au pire
Je ne sais jamais si c’est un retard
Ou si c’est moi qui invente une histoire
Peux-tu comprendre le chemin que c’est d’attendre
Peux-tu te rendre comme je le fais sans jamais être là à t’attendre
Tant que c’est toi
D’un bout à l’autre
Ou l’autre à tout moment qui attendra
Tant que c’est toi
D’aller l’un vers l’autre
Peut importe le temps que ça prendra
Tant que c’est toi
Je ne sais jamais si tu prends ton temps
Ou le mien que tu perds inutilement
Penses-tu qu’il faille que je regrette
Ce parcours du combattant
Peux-tu comprendre le chemin que c’est d’attendre
Et d’en dépendre, serais-tu prêt sans jamais être là à t’attendre
Et si tu prenais peur, qu’un doute m’effleure
Qu’j’me sois trompée d’endroit et d’heure
Qu’il ait le doute mais c’est trop tard
Tant que c’est toi...
Natasha St Pier
Jeu 12 Oct 2006, 10:50 par
Satine sur Histoires d'amour
L' echappe de nos mains
Il existe un instant, quand on est fragile et pur, qui nous enveloppe, nous protège.
Je pense que tu l’ as connu, que tu le connais trop. Et, par cela, tes voies sont escarpées, ta démarche incertaine, tu avances, doucement avec tant de vertiges que j’ ai frôlé ta main sans la saisir jamais, … car si j’ avais plongé, là, du haut du rocher, tu aurais pu me tuer. La pression d’ une main, d’ une mauvaise attache dans un saut aussi grand peut être fatale, un simple décalage, et, bref, c’ est le gadin.
J’ ai aimé ce vertige, ce contretemps, cette envie de vivre à partager ce qui pourtant ne serait qu’ éphémère dans le plaisir pour toi, je suis cela, certes, mais ma tête reste là, sur terre et dans ma rivière … alors ... clin d’ oeil, tétard! c’ est moi qui mène le cours! ... tu peux me parler voyages, partir au bout du monde, tu ne veux pas construire, ne serait ce qu’ une case pour faire guise d’ école, ne serait ce qu’ un arbre pour faire l’ ombre, un jour, pour le vieux qui s’ endort, ne serait ce qu’ une marre pour qu’ une bête s’ y abreuve …. Bref, rien! rien, à part toi et ton incertitude de par un idéal qui n’ a pas de futur.
Je ne suis pas stérile, et ne ferai jamais corps avec ce qui est sec tellement il a soif de choses enfouies en soi et qu’ il faut écouter pour savoir aimer.
Il existe un instant, quand on est fragile et pur, qui nous enveloppe, nous protège, et moi, je suis dedans.
Je pense que tu l’ as connu, que tu le connais trop. Et, par cela, tes voies sont escarpées, ta démarche incertaine, tu avances, doucement avec tant de vertiges que j’ ai frôlé ta main sans la saisir jamais, … car si j’ avais plongé, là, du haut du rocher, tu aurais pu me tuer. La pression d’ une main, d’ une mauvaise attache dans un saut aussi grand peut être fatale, un simple décalage, et, bref, c’ est le gadin.
J’ ai aimé ce vertige, ce contretemps, cette envie de vivre à partager ce qui pourtant ne serait qu’ éphémère dans le plaisir pour toi, je suis cela, certes, mais ma tête reste là, sur terre et dans ma rivière … alors ... clin d’ oeil, tétard! c’ est moi qui mène le cours! ... tu peux me parler voyages, partir au bout du monde, tu ne veux pas construire, ne serait ce qu’ une case pour faire guise d’ école, ne serait ce qu’ un arbre pour faire l’ ombre, un jour, pour le vieux qui s’ endort, ne serait ce qu’ une marre pour qu’ une bête s’ y abreuve …. Bref, rien! rien, à part toi et ton incertitude de par un idéal qui n’ a pas de futur.
Je ne suis pas stérile, et ne ferai jamais corps avec ce qui est sec tellement il a soif de choses enfouies en soi et qu’ il faut écouter pour savoir aimer.
Il existe un instant, quand on est fragile et pur, qui nous enveloppe, nous protège, et moi, je suis dedans.
Lun 09 Oct 2006, 19:53 par
Chogokinette sur Les liaisons sulfureuses
Ton coeur est si beau
Ton coeur est si beau,
Que j’ai peur de lui faire du mal,
Des que je le vois de son velours ardant,
Il me rend éperdument folle de toi,
Car en lui je perçois des milliers d’étoiles,
Des sentiments, pleins de joie, d’espoirs,
Mais bientôt je vais voir,
Ton corps prés de moi,
Je lui donnerais se qu’il attend de moi,
Depuis un bon moment déjà,
Car se sera pour nous tu vois,
Le moment le plus doux crois moi,
Et puis qui sait après neuf mois,
Nous serons tous les deux des parents,
Et grasse à ce petit bout de choux,
Nous tous nous formerons un tout,
Nous les aimerons tous tendrement,
C’est se qui attendent de nous,
Ils seront heureux parmie nous,
La tu vois c’est un rêve parfait,
On verra avec la réalité,
Pour toi mon amour adoré.
Que j’ai peur de lui faire du mal,
Des que je le vois de son velours ardant,
Il me rend éperdument folle de toi,
Car en lui je perçois des milliers d’étoiles,
Des sentiments, pleins de joie, d’espoirs,
Mais bientôt je vais voir,
Ton corps prés de moi,
Je lui donnerais se qu’il attend de moi,
Depuis un bon moment déjà,
Car se sera pour nous tu vois,
Le moment le plus doux crois moi,
Et puis qui sait après neuf mois,
Nous serons tous les deux des parents,
Et grasse à ce petit bout de choux,
Nous tous nous formerons un tout,
Nous les aimerons tous tendrement,
C’est se qui attendent de nous,
Ils seront heureux parmie nous,
La tu vois c’est un rêve parfait,
On verra avec la réalité,
Pour toi mon amour adoré.
Sam 23 Sep 2006, 03:37 par
joullia sur Parler d'amour
Cette clé ouvre les portes de l'amour
J’ai la clé du paradis de mon coeur,
Suis-moi doucement, tendrement,
Fait moi voir ton vrai toi,
Ton ame celeste,
Suis moi,c’est par ici...
On va passer une nuit de folie,
Ou on decouvrira nos corps,
Ou nos fleurs et nos reves,
Chanterons une douce melodie à tout jamais,
Pour que la vie nous conduise
Jusqu’à la fin de notre existence...
Suis moi,
On oublie tous nos ennuis...
On balaye tous nos soucis
On rit , on chante sous la pluie...
Cette clé ouvre les portes de l’amour,
Ne la perd pas, elle est unique, je l’ai donner qu’une seul fois,
J’en ai fait un double et tu as la derniere.
Une romance pointe le bout de son nez
Ne la laissons pas passé pour des utilités
C’est juré, que cette douce romance ne s’arretera pas.
Suis-moi doucement, tendrement,
Fait moi voir ton vrai toi,
Ton ame celeste,
Suis moi,c’est par ici...
On va passer une nuit de folie,
Ou on decouvrira nos corps,
Ou nos fleurs et nos reves,
Chanterons une douce melodie à tout jamais,
Pour que la vie nous conduise
Jusqu’à la fin de notre existence...
Suis moi,
On oublie tous nos ennuis...
On balaye tous nos soucis
On rit , on chante sous la pluie...
Cette clé ouvre les portes de l’amour,
Ne la perd pas, elle est unique, je l’ai donner qu’une seul fois,
J’en ai fait un double et tu as la derniere.
Une romance pointe le bout de son nez
Ne la laissons pas passé pour des utilités
C’est juré, que cette douce romance ne s’arretera pas.
Jeu 21 Sep 2006, 20:21 par
joullia sur L'amour en vrac
Re: Dis
Qui est-il ?! Un être humain qui est en souffrance ces temps-ci... Que te répondre que tu ne sais déjà ? Le "hazard" l’a conduit sur ma route, il est un frère du bout de la France, l’autre bout, celui où je ne suis pas. Il est parfois comme un petit enfant perdu qui doute de tout et de lui et pourtant que lui manque-t-il ?! ... Un ami qui a besoin qu’on pense à lui... Mais il le sait je ne l’oublie pas...
Dolce
Dolce
Jeu 21 Sep 2006, 12:12 par
dolce vita sur Un monde parfait
Aimons nous vivants
Comme une envie de dire je t’aime
Quand on est au bout de soi même
Quand il n’y a plus aucune raison de le cacher
Comme une envie de rêver tout haut
Te dire enfin les mots qu’il faut
Les mots faciles qui ont le pouvoir de déranger
Et ce soir,
Je veux briser les ponts
Du silence
Franchir le mur du son, le temps d’une chanson
Aimons-nous vivants
N’attendons pas que la mort nous trouve du talent
Aimons-nous vivants
S’il faut danser, je veux danser maintenant
Aimons-nous vivants
Aimons-nous debout
Faisons la paix, faisons l’amour entre nous
Aimons-nous surtout
Pour ne plus jamais, jamais vivre à genoux
Aimons-nous vivants
Combien de larmes et de sourires
De mots qu’on n’a pas osés dire
Dieu que le silence est une arme qui fait souffrir!
Combien d’amours inavouées
Combien de passions condamnées
Au nom de ceux qui ne pourront jamais en mourir?
Mais ce soir,
On va se dépasser
Faire la fête,
Au nom de l’amitié, simplement pour chanter
C’est vrai, on ne peut pas changer le monde
Je sais, mais je veux y croire une seconde
Aimons-nous vivants
Maintenant
Ces quelques paroles de chanson comme le témoignage qu’il ne faudrait jamais oubier de dire aux gens qu’on les aime...
ne pas les abandonner dans leur solitude...et qu’un jour il soit trop tard.
Ces quelques paroles de chanson comme le témoignage que demain je penserais à toi, car je sais que demain ta famille et tes proches t’accompagneront dans ton dernier voyage, tu as choisi de partir il y a une semaine.
Moi je ne pourrais pas t’accompagner, cette histoire pourrait être la mienne...
Tu as voulu partir, on n’ a pas pu te sauver...trop tard.
Tu es morte de chagrin par amour....
Marie
Quand on est au bout de soi même
Quand il n’y a plus aucune raison de le cacher
Comme une envie de rêver tout haut
Te dire enfin les mots qu’il faut
Les mots faciles qui ont le pouvoir de déranger
Et ce soir,
Je veux briser les ponts
Du silence
Franchir le mur du son, le temps d’une chanson
Aimons-nous vivants
N’attendons pas que la mort nous trouve du talent
Aimons-nous vivants
S’il faut danser, je veux danser maintenant
Aimons-nous vivants
Aimons-nous debout
Faisons la paix, faisons l’amour entre nous
Aimons-nous surtout
Pour ne plus jamais, jamais vivre à genoux
Aimons-nous vivants
Combien de larmes et de sourires
De mots qu’on n’a pas osés dire
Dieu que le silence est une arme qui fait souffrir!
Combien d’amours inavouées
Combien de passions condamnées
Au nom de ceux qui ne pourront jamais en mourir?
Mais ce soir,
On va se dépasser
Faire la fête,
Au nom de l’amitié, simplement pour chanter
C’est vrai, on ne peut pas changer le monde
Je sais, mais je veux y croire une seconde
Aimons-nous vivants
Maintenant
Ces quelques paroles de chanson comme le témoignage qu’il ne faudrait jamais oubier de dire aux gens qu’on les aime...
ne pas les abandonner dans leur solitude...et qu’un jour il soit trop tard.
Ces quelques paroles de chanson comme le témoignage que demain je penserais à toi, car je sais que demain ta famille et tes proches t’accompagneront dans ton dernier voyage, tu as choisi de partir il y a une semaine.
Moi je ne pourrais pas t’accompagner, cette histoire pourrait être la mienne...
Tu as voulu partir, on n’ a pas pu te sauver...trop tard.
Tu es morte de chagrin par amour....
Marie
Mar 19 Sep 2006, 11:53 par
Satine sur Parler d'amour
VOYAGE INITIATIQUE 6
Paix au cœur
Les jours passaient et il commençait à aimer son voyage
Le temps était relativement calme et il était confiant, sûr de trouver la Vérité.
Parfois l’envie le prenait de retourner chez elle mais il sentait qu’il devait aller au bout de sa traversée.
En regardant des cartes il eut la surprise de découvrir qu’il passerait tout près d’elle...
Il pensa à cette rencontre en Vérité et se sentit Homme dans toute sa grandeur.
Il décida de prendre la direction de son port d’attache.
Il fut surpris que la lumière croissait depuis qu’il avait choisi cette direction.
Il comprit qu’il possédait une partie de la Vérité
Et qu’elle ne demandait qu’à grandir...
Au soleil de l’amour qui brillait
Il se sentit proche de son port d’attache,
Il se sentit proche de son autre port,
Il voulut les aimer tous les deux...
Il se dit que s’il gommait les mots son cœur serait libre
Mais il perçut qu’il n’avait pas encore tout découvert………..
Coupdecoeur
Les jours passaient et il commençait à aimer son voyage
Le temps était relativement calme et il était confiant, sûr de trouver la Vérité.
Parfois l’envie le prenait de retourner chez elle mais il sentait qu’il devait aller au bout de sa traversée.
En regardant des cartes il eut la surprise de découvrir qu’il passerait tout près d’elle...
Il pensa à cette rencontre en Vérité et se sentit Homme dans toute sa grandeur.
Il décida de prendre la direction de son port d’attache.
Il fut surpris que la lumière croissait depuis qu’il avait choisi cette direction.
Il comprit qu’il possédait une partie de la Vérité
Et qu’elle ne demandait qu’à grandir...
Au soleil de l’amour qui brillait
Il se sentit proche de son port d’attache,
Il se sentit proche de son autre port,
Il voulut les aimer tous les deux...
Il se dit que s’il gommait les mots son cœur serait libre
Mais il perçut qu’il n’avait pas encore tout découvert………..
Coupdecoeur
Lun 18 Sep 2006, 12:03 par
coupdecoeur sur Histoires d'amour
Ne perds pas confiance
Plus les jours avancent,
Plus ils se ressemblent,
Tu ne sais plus quoi faire de toi,
Tu continues à plonger vers le bas,
Même si tu es déjà là,
Les malheurs qui s’empilent les uns sur les autres,
Mais toujours l’espoir de t’en sortir,
Ne perds pas confiance...
Ton étoile est encore là,
Et encore, elle brillera,
Il y a des jours comme ça,
Y a des hauts, il y a des bas,
Ton tour viendra,
On t’a fait des promesses,
On t’a fait de belles façons,
Mais c’est comme des déjà vu,
On t’a redonné espoir,
A des histoires en t’a fait croire,
On t’a fait marcher.
Mais toujours la lueur,
Qui revient au bout du chemin,
Une fois de plus elle s’éteint,
Ne perds pas confiance....
Faut laisser le temps couler,
Le vent finira pas souffler,
Dans les grandes voiles désespérées,
Le vent dans les voiles,
Tu n’auras plus qu’à trouver,
Le grand phare blanc,
Pour te guider.
Ne perds pas confiance.
Plus ils se ressemblent,
Tu ne sais plus quoi faire de toi,
Tu continues à plonger vers le bas,
Même si tu es déjà là,
Les malheurs qui s’empilent les uns sur les autres,
Mais toujours l’espoir de t’en sortir,
Ne perds pas confiance...
Ton étoile est encore là,
Et encore, elle brillera,
Il y a des jours comme ça,
Y a des hauts, il y a des bas,
Ton tour viendra,
On t’a fait des promesses,
On t’a fait de belles façons,
Mais c’est comme des déjà vu,
On t’a redonné espoir,
A des histoires en t’a fait croire,
On t’a fait marcher.
Mais toujours la lueur,
Qui revient au bout du chemin,
Une fois de plus elle s’éteint,
Ne perds pas confiance....
Faut laisser le temps couler,
Le vent finira pas souffler,
Dans les grandes voiles désespérées,
Le vent dans les voiles,
Tu n’auras plus qu’à trouver,
Le grand phare blanc,
Pour te guider.
Ne perds pas confiance.
Mar 12 Sep 2006, 00:49 par
joullia sur Mille choses
Caresse-moi
Caresse-moi,
Frôle ma bouche de ta si belle et douce main,
Eclaire mon être du bout de tes doigts enchanteur,
Et membres contre membres;
Sauve-moi,
Des peurs paralisantes de ma vie,
Ne pose pas de questions,
La réponse se trouve dans la disparité,
De ce pour quoi nous sommes au monde;
Ne demande pas ce qu’on m’a fait,
Je ne peux pas en parler, c’est trop douloureux,
Prends-moi refais-moi dans la paume de ta main,
Cré de mon néant quelque chose pour un temps,
jusqu’à ce que la nuit t’allège de mon fardeau,
Frôle ma bouche de ta si belle et douce main,
Eclaire mon être du bout de tes doigts enchanteur,
Et membres contre membres;
Sauve-moi,
Des peurs paralisantes de ma vie,
Ne pose pas de questions,
La réponse se trouve dans la disparité,
De ce pour quoi nous sommes au monde;
Ne demande pas ce qu’on m’a fait,
Je ne peux pas en parler, c’est trop douloureux,
Prends-moi refais-moi dans la paume de ta main,
Cré de mon néant quelque chose pour un temps,
jusqu’à ce que la nuit t’allège de mon fardeau,
Ven 08 Sep 2006, 16:42 par
joullia sur L'amour en vrac
Ecrire sur bout
2007 : le scoop !!, Lumière passagère..., Hommage (2), Perplexe et amoureux, Si un jour tu crois que tu m'aimes..., Toi ( 8 )..., L' echappe de nos mains, Ton coeur est si beau, Cette clé ouvre les portes de l'amour, Re: Dis, Aimons nous vivants, VOYAGE INITIATIQUE 6, Ne perds pas confiance, Caresse-moi, Le ciel, Il y a 302 textes utilisant le mot bout. Ces pages présentent les textes correspondant.
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