Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur caché - Page 7 sur 7
Ode à l'idiot
Droit comme la pluie, l’idiot en moi est revenu
Celui qui prétend que rien n’est important
Cent fois rêvé, cent fois renié
J’ai oublié quand tout ça a commencé
Perdu dans les machines adolescentes, les visages oubliés et les amours fanées
Un diamant caché que je ne retrouve pas, une étoile secrète qui ne brille plus
Je ne peux plus vivre sans laisser derrière moi un morceau de jeunesse
Intoxiqué par ma folie, je suis amoureux de ma tristesse
Ma réflexion, sale miroir, l’idiot en moi est revenu
Celui qui prétend que je ne serai plus le même
Cent fois rêvé, cent fois renié
J’ai oublié d’oublier que tout est important
C’est drôle comme on prétend qu’on est encore des enfants
Le coeur déposé dans le tronc creux d’un chêne centenaire
J’ai peur que ma vie soit ordinaire, celle de tout le monde
M’allonger ici-bas et mourir parmi les regrets
Enfant aux yeux sauvages, l’idiot en moi est revenu
Celui qui prétend que plus on change, moins on ressent
Cent fois rêvé, cent fois renié
J’ai oublié d’oublier que tu voyais que tout est important pour moi
Détruis mon esprit, détruis mon corps, mais tu ne détruiras pas mon coeur
Tu me demandes si je suis toujours celui que je suis supposé être
Je ne renie pas mes peines, je ne renie pas mes changements
Est-ce que toi aussi un jour tu t’en iras ?
Cicatrices de l’écorché vif, l’idiot en moi est revenu
Celui qui prétendait que la vie était une douce désillusion
Cent fois rêvé, cent fois renié
Je t’ai enfin oublié
Mes pensées secrètes prennent vie sans me soucier du monde et de ses alibis
Les nuits solitaires qui me brisaient je les dirige avec l’ironie de ma paix intérieure
La noirceur de mes rêves et les tragédies cachées en toi sont terminées
Personne n’avait ressenti que l’amour serait ton suicide
Celui qui prétend que rien n’est important
Cent fois rêvé, cent fois renié
J’ai oublié quand tout ça a commencé
Perdu dans les machines adolescentes, les visages oubliés et les amours fanées
Un diamant caché que je ne retrouve pas, une étoile secrète qui ne brille plus
Je ne peux plus vivre sans laisser derrière moi un morceau de jeunesse
Intoxiqué par ma folie, je suis amoureux de ma tristesse
Ma réflexion, sale miroir, l’idiot en moi est revenu
Celui qui prétend que je ne serai plus le même
Cent fois rêvé, cent fois renié
J’ai oublié d’oublier que tout est important
C’est drôle comme on prétend qu’on est encore des enfants
Le coeur déposé dans le tronc creux d’un chêne centenaire
J’ai peur que ma vie soit ordinaire, celle de tout le monde
M’allonger ici-bas et mourir parmi les regrets
Enfant aux yeux sauvages, l’idiot en moi est revenu
Celui qui prétend que plus on change, moins on ressent
Cent fois rêvé, cent fois renié
J’ai oublié d’oublier que tu voyais que tout est important pour moi
Détruis mon esprit, détruis mon corps, mais tu ne détruiras pas mon coeur
Tu me demandes si je suis toujours celui que je suis supposé être
Je ne renie pas mes peines, je ne renie pas mes changements
Est-ce que toi aussi un jour tu t’en iras ?
Cicatrices de l’écorché vif, l’idiot en moi est revenu
Celui qui prétendait que la vie était une douce désillusion
Cent fois rêvé, cent fois renié
Je t’ai enfin oublié
Mes pensées secrètes prennent vie sans me soucier du monde et de ses alibis
Les nuits solitaires qui me brisaient je les dirige avec l’ironie de ma paix intérieure
La noirceur de mes rêves et les tragédies cachées en toi sont terminées
Personne n’avait ressenti que l’amour serait ton suicide
Mar 15 Juin 2004, 23:50 par
la_tulipe_noire sur Un monde parfait
La réponse de Mout
la marquise de sade a écrit: |
euh............... ![]() Voyons voir.... ![]() " Quelle chose la plus incongrue vous a le plus séduit chez une femme/ un homme? " A vos plumes ![]() La marquise .. Julienne Lepers provisoire |
Si c’est vraiment la plus incongrue qui est demandée je dirais....


Pour un inconnu, comme ça, au premier regard, je dirais sa coupe de cheveux. On en apprend pas mal, l’air de rien, sur la façon dont est coiffée une personne...
Pour un intime, ça peut être un grain de beauté non révélé au premier regard et caché


Jeu 13 Mai 2004, 17:15 par
Mout sur La séduction
Voyage au pays des elfes
C’était une aube magnifique, qui n’avait rien à envier au plus beau des couchers de soleil. Le ciel s’illuminait de toutes les teintes de violet jusqu’au rose, une aube laissant deviner une belle journée ensoleillée.
Lilou, princesse du pays des papillons, voletait de-ci de-là au dessus des fleurs d’un magnifique jardin dont les senteurs se réveillaient tout doucement sous la chaleur naissante du soleil... elle était belle ce matin, très en forme et chantonnait tout en passant d’une fleur à l’autre; se désaltérant sur les pétales veloutées d’une belle rose pourpre.
Elle choisit un beau lys blanc au parfum envoûtant pour faire sa toilette. Au même moment, Yanis roi des Elfes cherchait quelque nourriture pour son petit déjeuner. Il entend la voix cristalline de la divine princesse et cherche à voir d’où vient cette douce musique, il la voit, touché par tant de grâce, il se pose sur le pommier en fleur qui surplombe la belle.
Il est ému par la beauté de la femme papillon, c’est une jolie jeune femme au corps de jolies proportions, de longs cheveux noirs encadrent un visage à l’ovale parfait, de grands yeux violets illuminent son regard bordé de longs cils; une bouche pulpeuse, finement ourlée du plus beau rose, un joli nez un peu retroussé et fin.
Elle est nue comme toutes les femmes de sa race, nue, sauf une ceinture de fleurs joliment tressée qui descend, pudiquement, sur son pubis. Elle se lave, ignorant que quelqu’un la regarde, d’une pétale de fleur, elle se savonne le corps, elle s’attarde sur ses beaux seins généreux qui dardent leur pointes sous la caresse. Elle descend et c’est au tour de ses longues jambes...interminables au galbe parfait...elle déploie ses grandes ailes finement ciselées...quel chatoiement de couleurs...du bleu foncé au mauve, de petites touches de rose aussi et le tout pailleté d’argent...elle les fait battre tout doucement pour les sécher.
Yanis ne bouge plus, il respire à peine, la belle l’émerveille. Son corps commence à vibrer à la vue de tant de sensualité. Le battement des ailes lui envoie une bouffée de son doux parfum. Oh, comme il la désire! Il faut qu’il l’approche, mais comment faire? Il ne veut pas qu’elle puise deviner qu’il l’a épiée en un moment si intime.
Il prend son envol et va se poser un peu plus loin, priant pour qu’elle passe devant lui. La belle n’est pas sotte, elle l’a vue du coin de l’œil se poser sur l’arbre elle l’a trouvé si beau que troublée elle s’est laissée regarder.
Elle se tourne, se cache derrière le feuillage luxuriant des ancolies et l’observe à son tour, il s’affaire dans la cueillette de baies appétissantes, hum, elle a faim elle aussi. Aussi blond qu’elle est brune, il porte les cheveux longs sur la nuque et frisés, il a de magnifiques yeux bleus. Son corps n’a rien à envier aux sportifs de la Grèce antique. Ses muscles roulent sous l’effort et il arbore de beaux abdominaux bien dessinés. Il porte juste un pagne fait de feuilles fraîches, ses cuisses laissent voir sa puissance de male. Ses ailes repliées laissent deviner leur beauté, elles sont colorées de multiples dégradés de bleus et pailletées de jaune et d’or.
Elle le regarde surprise de ces sensations inconnues qui montent en elle. Quelle est cette chaleur au fond de son bas ventre qui irradie en elle un plaisir naissant. Elle s’avance effrontée, que faire, que dire? Elle ne veut pas le perdre! Il s’immobilise, il lui tourne le dos mais sent sa présence, il ferme les yeux, les sens en éveil, il la respire, perçoit son odeur de Lys. Il se retourne tout doucement, et si elle disparaissait, si elle n’était que mirage?
Ils sont face à face, plus de bruit, plus de pépiement d’oiseaux comme si la nature retenait son souffle, étonnée par tant de beauté réunie...Il lui sourit s’attendant à tout moment qu’elle s’évanouisse , simple illusion. Elle lui répond et il sait alors qu’elle est bien réelle. Le soleil complice les illumine de sa chaude lumière. Il se penche, ramassant une fleur, orchidée assortie à ses yeux et s’approche tout doucement la lui accrocher dans les cheveux...ils n’échangent aucun mots, ils sont superflus. L’air vibre d’amour et de désir autour d’eux.
Elle lui tend la main et il la prend, l’attirant vers un lit de mousse, moelleux tapis où ils s’installent. Ils piochent chacun à leur tour dans la provision de baies sucrées se donnant la becquée tour à tour. Il glisse les doigts dans sa bouche, elle lèche les délicatement le regardant droit dans les yeux. Elle en fait de même; il attrapé sa main et l’embrasse au creux de la paume, du poignet, de l’avant bras, du coude, sur l’épaule, au creux du cou. Il lui susurre des mots d’amour au creux de l’oreille, doux langage qui la trouble au plus profond de son être.
Elle ferme les yeux, s’allonge et s’abandonne à ses caresses. Il n’est que force et se fait douceur, la caressant partout de ses larges mains; elle se cambre sous le plaisir qui l’envahie. Ses mains partent du cou et descendent en coupe sur les seins tendus, il agace les deux pointes de ses pouces et index, les faisant rouler. Elle gémie et ça l’excite, son sexe vient se dresser d’un cran de plus...ohhh, ces seins ! il les palpe, les savoure, prenant les pointes dans sa bouche tour à tour, elle est si cambrée qu’il passe un main sous ses reins pour les caresser.
Il touche la naissance de ses fesses, sa peau est une merveille de douceur. Ses mains sont comme aimantées, il ne pourra plus la lâcher. Il descend encore plus bas sans cesser de l’embrasser, déposant des coups de langue de-ce de-là, glissant le bout de sa langue dans le nombril. Il est sur ses cuisses prenant bien soin d’en éviter le centre, préférant la faire languir un peu. Elle écarte les jambes lui signifiant qu’il est temps de butiner son bouton d’amour. Soit, il s’y dirige avec une lenteur calculée, il y est; mon dieu, elle est si mouillée, quel divin nectar, la reine des fleurs. Il en écarte les pétales veloutées et va s’y enivrer. Son sexe est tellement dressé qu’il lui fait mal, il n’a jamais désiré quelqu’un comme elle.
Ne pas s’affoler, il faut l’honorer comme il se doit. Il prend son bouton en bouche et le tête tout doucement., il le lâche, tourne autour, lèche la surface de son sexe émoustillé, il veut la pénétrer de sa langue et , surprise, la belle est vierge! Très ému par le cadeau qu’elle lui fait, il s’applique à la caresse, il ne veut pas la blesser; la sentant pas loin de l’orgasme, il retourne vers son clitoris et d’un doigt doux et chaud s’active sur le petit gland dressé.
Elle resserre les jambes et secouée de soubresaut se met à pousser des petits cris plaintif de jouissance extrême. Ohhh, cette vague de chaleur soudaine qui l’envahie des pieds à la tête, elle n’aurait cru pareille sensation possible, elle vole mais ne se sert pas de ses belles ailes, elle plane dans le soleil sentant sa lumière et sa chaleur.
Il la prend dans ses bras, la laissant savourer la jouissance, il l’accompagne dans sa descente sur terre en la berçant et en lui disant des mots doux. Elle se sent si bien, elle veut le caresser à son tour, elle ne sait comment faire pour donner du plaisir à un homme, elle fait confiance au désir qu’elle a de le toucher, de l’embrasser. Elle le caresse comme il l’a caressé, sans précipitation, elle découvre son sexe un peu inquiète de ce qu’elle voit.
Le gland est énorme sous le puissant désir qu’il a d’elle, gorgé du plus doux des sucs, elle le veut dans sa bouche. Elle le déguste, elle aime son goût et sa douceur. Humm ! elle ne s’en lasse pas, le faisant sortir de sa bouche pour mieux l’aspirer à nouveau, elle en est gourmande, elle le lèche, s’attardant sur le prépuce puis sur le méat, étonnée de la saveur sucrée de la goûte qui y perle, elle monte et descend, l’engloutissant de plus en plus profondément;
Elle masse ses deux belles boules et les lèches aussi goulûment. Il est comme fou sous sa caresse et bredouille des mots sans queue ne tête. Elle a de nouveau envie de lui, envie qu’il la pénètre malgré la peur de la douleur. Elle vient donc s’allonger à ses côtés et d’une voix rauque d’où on sent tant d’émotions elle lui dit:
- "fais-moi l’amour mon coeur, fais-moi femme".
Tant de douceur, de désir et d’abandon le tétanise, son sexe pourtant bien dur, se raffermit encore! Il se positionne au dessus d’elle, choisissant une position pas bien originale mais dans laquelle il pourra maîtriser toute sa fougue. Il place son gland à l’entrée de son puits d’amour, dont il allait être le premier visiteur. Lentement, sans à-coup, il commence à s’introduire dans ce fourreau de soie dont la chaleur et la moiteur trahit le plaisir qu’il lui donne.
Lorsqu’il fût au contact de la fine membrane qui protége l’entrée, il cesse la progression pour qu’elle se détende, elle le saisit aux hanches dans un geste d’acceptation totale et puis tout doucement, il appuie pour franchir cette barrière de chair. Dans un petit cri, elle l’enlace et comme il ne bouge plus, craintif, elle l’encourage avec un râle de plaisir.
Alors, il accentue ses mouvements et en quelques va et viens la fait devenir femme, ils gémissent de concert, s’accordant dans cette danse du plaisir. Ses puissants coup de reins les amènent au portes du plaisir sentant sa jouissance monter, il déplie ses grandes ailes, les couvrant à tous deux de poussière dorée et c’est à ce moment là qu’elle atteint le plaisir pour la deuxième fois en sentant sa chaude semence l’inonder au plus profond de son corps. Une nuée de papillons multicolores prend son envol mais bien moins haut que là où se trouvent Yanis et Lilou.
Si vous vous levez, à l’aube, un de ces jours, au moment où le ciel se pare de mille teintes, vous les verrez certainement voletant main dans la main parmi les fleurs, rois des cieux accompagnés de leurs enfants aux couleurs éclatantes ...
Lilou, princesse du pays des papillons, voletait de-ci de-là au dessus des fleurs d’un magnifique jardin dont les senteurs se réveillaient tout doucement sous la chaleur naissante du soleil... elle était belle ce matin, très en forme et chantonnait tout en passant d’une fleur à l’autre; se désaltérant sur les pétales veloutées d’une belle rose pourpre.
Elle choisit un beau lys blanc au parfum envoûtant pour faire sa toilette. Au même moment, Yanis roi des Elfes cherchait quelque nourriture pour son petit déjeuner. Il entend la voix cristalline de la divine princesse et cherche à voir d’où vient cette douce musique, il la voit, touché par tant de grâce, il se pose sur le pommier en fleur qui surplombe la belle.
Il est ému par la beauté de la femme papillon, c’est une jolie jeune femme au corps de jolies proportions, de longs cheveux noirs encadrent un visage à l’ovale parfait, de grands yeux violets illuminent son regard bordé de longs cils; une bouche pulpeuse, finement ourlée du plus beau rose, un joli nez un peu retroussé et fin.
Elle est nue comme toutes les femmes de sa race, nue, sauf une ceinture de fleurs joliment tressée qui descend, pudiquement, sur son pubis. Elle se lave, ignorant que quelqu’un la regarde, d’une pétale de fleur, elle se savonne le corps, elle s’attarde sur ses beaux seins généreux qui dardent leur pointes sous la caresse. Elle descend et c’est au tour de ses longues jambes...interminables au galbe parfait...elle déploie ses grandes ailes finement ciselées...quel chatoiement de couleurs...du bleu foncé au mauve, de petites touches de rose aussi et le tout pailleté d’argent...elle les fait battre tout doucement pour les sécher.
Yanis ne bouge plus, il respire à peine, la belle l’émerveille. Son corps commence à vibrer à la vue de tant de sensualité. Le battement des ailes lui envoie une bouffée de son doux parfum. Oh, comme il la désire! Il faut qu’il l’approche, mais comment faire? Il ne veut pas qu’elle puise deviner qu’il l’a épiée en un moment si intime.
Il prend son envol et va se poser un peu plus loin, priant pour qu’elle passe devant lui. La belle n’est pas sotte, elle l’a vue du coin de l’œil se poser sur l’arbre elle l’a trouvé si beau que troublée elle s’est laissée regarder.
Elle se tourne, se cache derrière le feuillage luxuriant des ancolies et l’observe à son tour, il s’affaire dans la cueillette de baies appétissantes, hum, elle a faim elle aussi. Aussi blond qu’elle est brune, il porte les cheveux longs sur la nuque et frisés, il a de magnifiques yeux bleus. Son corps n’a rien à envier aux sportifs de la Grèce antique. Ses muscles roulent sous l’effort et il arbore de beaux abdominaux bien dessinés. Il porte juste un pagne fait de feuilles fraîches, ses cuisses laissent voir sa puissance de male. Ses ailes repliées laissent deviner leur beauté, elles sont colorées de multiples dégradés de bleus et pailletées de jaune et d’or.
Elle le regarde surprise de ces sensations inconnues qui montent en elle. Quelle est cette chaleur au fond de son bas ventre qui irradie en elle un plaisir naissant. Elle s’avance effrontée, que faire, que dire? Elle ne veut pas le perdre! Il s’immobilise, il lui tourne le dos mais sent sa présence, il ferme les yeux, les sens en éveil, il la respire, perçoit son odeur de Lys. Il se retourne tout doucement, et si elle disparaissait, si elle n’était que mirage?
Ils sont face à face, plus de bruit, plus de pépiement d’oiseaux comme si la nature retenait son souffle, étonnée par tant de beauté réunie...Il lui sourit s’attendant à tout moment qu’elle s’évanouisse , simple illusion. Elle lui répond et il sait alors qu’elle est bien réelle. Le soleil complice les illumine de sa chaude lumière. Il se penche, ramassant une fleur, orchidée assortie à ses yeux et s’approche tout doucement la lui accrocher dans les cheveux...ils n’échangent aucun mots, ils sont superflus. L’air vibre d’amour et de désir autour d’eux.
Elle lui tend la main et il la prend, l’attirant vers un lit de mousse, moelleux tapis où ils s’installent. Ils piochent chacun à leur tour dans la provision de baies sucrées se donnant la becquée tour à tour. Il glisse les doigts dans sa bouche, elle lèche les délicatement le regardant droit dans les yeux. Elle en fait de même; il attrapé sa main et l’embrasse au creux de la paume, du poignet, de l’avant bras, du coude, sur l’épaule, au creux du cou. Il lui susurre des mots d’amour au creux de l’oreille, doux langage qui la trouble au plus profond de son être.
Elle ferme les yeux, s’allonge et s’abandonne à ses caresses. Il n’est que force et se fait douceur, la caressant partout de ses larges mains; elle se cambre sous le plaisir qui l’envahie. Ses mains partent du cou et descendent en coupe sur les seins tendus, il agace les deux pointes de ses pouces et index, les faisant rouler. Elle gémie et ça l’excite, son sexe vient se dresser d’un cran de plus...ohhh, ces seins ! il les palpe, les savoure, prenant les pointes dans sa bouche tour à tour, elle est si cambrée qu’il passe un main sous ses reins pour les caresser.
Il touche la naissance de ses fesses, sa peau est une merveille de douceur. Ses mains sont comme aimantées, il ne pourra plus la lâcher. Il descend encore plus bas sans cesser de l’embrasser, déposant des coups de langue de-ce de-là, glissant le bout de sa langue dans le nombril. Il est sur ses cuisses prenant bien soin d’en éviter le centre, préférant la faire languir un peu. Elle écarte les jambes lui signifiant qu’il est temps de butiner son bouton d’amour. Soit, il s’y dirige avec une lenteur calculée, il y est; mon dieu, elle est si mouillée, quel divin nectar, la reine des fleurs. Il en écarte les pétales veloutées et va s’y enivrer. Son sexe est tellement dressé qu’il lui fait mal, il n’a jamais désiré quelqu’un comme elle.
Ne pas s’affoler, il faut l’honorer comme il se doit. Il prend son bouton en bouche et le tête tout doucement., il le lâche, tourne autour, lèche la surface de son sexe émoustillé, il veut la pénétrer de sa langue et , surprise, la belle est vierge! Très ému par le cadeau qu’elle lui fait, il s’applique à la caresse, il ne veut pas la blesser; la sentant pas loin de l’orgasme, il retourne vers son clitoris et d’un doigt doux et chaud s’active sur le petit gland dressé.
Elle resserre les jambes et secouée de soubresaut se met à pousser des petits cris plaintif de jouissance extrême. Ohhh, cette vague de chaleur soudaine qui l’envahie des pieds à la tête, elle n’aurait cru pareille sensation possible, elle vole mais ne se sert pas de ses belles ailes, elle plane dans le soleil sentant sa lumière et sa chaleur.
Il la prend dans ses bras, la laissant savourer la jouissance, il l’accompagne dans sa descente sur terre en la berçant et en lui disant des mots doux. Elle se sent si bien, elle veut le caresser à son tour, elle ne sait comment faire pour donner du plaisir à un homme, elle fait confiance au désir qu’elle a de le toucher, de l’embrasser. Elle le caresse comme il l’a caressé, sans précipitation, elle découvre son sexe un peu inquiète de ce qu’elle voit.
Le gland est énorme sous le puissant désir qu’il a d’elle, gorgé du plus doux des sucs, elle le veut dans sa bouche. Elle le déguste, elle aime son goût et sa douceur. Humm ! elle ne s’en lasse pas, le faisant sortir de sa bouche pour mieux l’aspirer à nouveau, elle en est gourmande, elle le lèche, s’attardant sur le prépuce puis sur le méat, étonnée de la saveur sucrée de la goûte qui y perle, elle monte et descend, l’engloutissant de plus en plus profondément;
Elle masse ses deux belles boules et les lèches aussi goulûment. Il est comme fou sous sa caresse et bredouille des mots sans queue ne tête. Elle a de nouveau envie de lui, envie qu’il la pénètre malgré la peur de la douleur. Elle vient donc s’allonger à ses côtés et d’une voix rauque d’où on sent tant d’émotions elle lui dit:
- "fais-moi l’amour mon coeur, fais-moi femme".
Tant de douceur, de désir et d’abandon le tétanise, son sexe pourtant bien dur, se raffermit encore! Il se positionne au dessus d’elle, choisissant une position pas bien originale mais dans laquelle il pourra maîtriser toute sa fougue. Il place son gland à l’entrée de son puits d’amour, dont il allait être le premier visiteur. Lentement, sans à-coup, il commence à s’introduire dans ce fourreau de soie dont la chaleur et la moiteur trahit le plaisir qu’il lui donne.
Lorsqu’il fût au contact de la fine membrane qui protége l’entrée, il cesse la progression pour qu’elle se détende, elle le saisit aux hanches dans un geste d’acceptation totale et puis tout doucement, il appuie pour franchir cette barrière de chair. Dans un petit cri, elle l’enlace et comme il ne bouge plus, craintif, elle l’encourage avec un râle de plaisir.
Alors, il accentue ses mouvements et en quelques va et viens la fait devenir femme, ils gémissent de concert, s’accordant dans cette danse du plaisir. Ses puissants coup de reins les amènent au portes du plaisir sentant sa jouissance monter, il déplie ses grandes ailes, les couvrant à tous deux de poussière dorée et c’est à ce moment là qu’elle atteint le plaisir pour la deuxième fois en sentant sa chaude semence l’inonder au plus profond de son corps. Une nuée de papillons multicolores prend son envol mais bien moins haut que là où se trouvent Yanis et Lilou.
Si vous vous levez, à l’aube, un de ces jours, au moment où le ciel se pare de mille teintes, vous les verrez certainement voletant main dans la main parmi les fleurs, rois des cieux accompagnés de leurs enfants aux couleurs éclatantes ...
Dim 02 Mai 2004, 13:38 par
douce_minette sur Les liaisons sulfureuses
Au comptoir
- T’as déjà vu un homme qui pleure ? Pas qui pleure parce qu’il s’est fait mal, non, qui pleure parce que sa nana est partie, plus là tu vois?
- Ouais, je vois.
- Tu vois, le type qui avant se la ramenait, faisait le sur de lui, parlait avec aisance, essayait d’en imposer ?
- …
- C’est dingue hein. Quand t’y penses, un homme c’est capable de bâtir une ville, et c’est capable aussi d’en démolir une. Eh ben une femme, c’est capable de détruire ce même mec ! Sont fortes hein.
- Ouais, c’est vrai ça !
- Un peu que c’est vrai !
- Ouais.
- Et t’as vu comment ce mec qui faisait le beau un jour avant, il fait plus le beau, il a les yeux rouges, même si il les cache, on les voit. Au bar des fois t’en vois. Même qu’à ce moment là, ils disent même plus bonjour, et quand ils partent, ils disent au revoir au vide.
- Ouais, Lucas, l’autre soir, il a fait ça !
- Lucas, ouais, sa nana elle s’est barrée ! Il a deconné, alors elle s’est tirée. Fallait pas qu’il boive autant je crois, mais bon, c’est comme ça.
- C’est vrai que c’est dur.
- Moi, quand elles me quittent, ça me fait toujours mal, mais moins qu’avant, quand j’étais plus jeune.
- On vieillit.
- Ouais. Et puis on aime plus pareil non plus.
- Ouais, c’est vrai ça. On veut plus les mêmes trucs.
- Ouais.
- …
- Mais on les aime toujours autant au fond.
- …
- Ouais, je vois.
- Tu vois, le type qui avant se la ramenait, faisait le sur de lui, parlait avec aisance, essayait d’en imposer ?
- …
- C’est dingue hein. Quand t’y penses, un homme c’est capable de bâtir une ville, et c’est capable aussi d’en démolir une. Eh ben une femme, c’est capable de détruire ce même mec ! Sont fortes hein.
- Ouais, c’est vrai ça !
- Un peu que c’est vrai !
- Ouais.
- Et t’as vu comment ce mec qui faisait le beau un jour avant, il fait plus le beau, il a les yeux rouges, même si il les cache, on les voit. Au bar des fois t’en vois. Même qu’à ce moment là, ils disent même plus bonjour, et quand ils partent, ils disent au revoir au vide.
- Ouais, Lucas, l’autre soir, il a fait ça !
- Lucas, ouais, sa nana elle s’est barrée ! Il a deconné, alors elle s’est tirée. Fallait pas qu’il boive autant je crois, mais bon, c’est comme ça.
- C’est vrai que c’est dur.
- Moi, quand elles me quittent, ça me fait toujours mal, mais moins qu’avant, quand j’étais plus jeune.
- On vieillit.
- Ouais. Et puis on aime plus pareil non plus.
- Ouais, c’est vrai ça. On veut plus les mêmes trucs.
- Ouais.
- …
- Mais on les aime toujours autant au fond.
- …
Jeu 29 Avril 2004, 20:01 par
PetitPrince sur Un monde parfait
Un souvenir de là-bas...
Ce matin tu m’as pris avec toi
Dans la rue, les passants amusés
Regardaient ton sourire d’enfant gaté
Tu marchais fier, conquérant, comme un roi.
En passant la porte décorée de cet endroit
Où s’empilent ta vie, tes projets, tes dossiers
Ton bureau que tes pensées quittent parfois pour la retrouver
J’ai l’impression d’être plus proche de toi.
Quand ton portable bip, soudain monte ton émoi
Si c’était elle, un message, une pensée
Ton visage s’illumine, ton esprit s’est envolé
Jusqu’à elle, s’oublier dans ses bras.
Je ne suis pas passé inaperçu pour les yeux avisés
Elle ne restera pas longtemps ton secret bien caché
Là, tapi, quelqu’un m’a remarqué
Sur ta veste, petit cheveu noir emporté...
Dans la rue, les passants amusés
Regardaient ton sourire d’enfant gaté
Tu marchais fier, conquérant, comme un roi.
En passant la porte décorée de cet endroit
Où s’empilent ta vie, tes projets, tes dossiers
Ton bureau que tes pensées quittent parfois pour la retrouver
J’ai l’impression d’être plus proche de toi.
Quand ton portable bip, soudain monte ton émoi
Si c’était elle, un message, une pensée
Ton visage s’illumine, ton esprit s’est envolé
Jusqu’à elle, s’oublier dans ses bras.
Je ne suis pas passé inaperçu pour les yeux avisés
Elle ne restera pas longtemps ton secret bien caché
Là, tapi, quelqu’un m’a remarqué
Sur ta veste, petit cheveu noir emporté...
Dim 25 Avril 2004, 18:40 par
la marquise de sade sur La vie à deux
Prime de la rime...
Et c’est du bout d’une souris
Que je ris et m’évanouis...
En me disant que déjà...
Les tulipes vieillissent mais ne fânent pas...
Non, ne voilà pas une déclaration,
Non, je ne mets pas mes mots en faction...
Je les pose juste ici...
Pour vous dire Merci...
Merci d’être cette fleur,
Qui cache dans ses heures,
Je l’espère les couleurs...
:chut:
Que je ris et m’évanouis...
En me disant que déjà...
Les tulipes vieillissent mais ne fânent pas...
Non, ne voilà pas une déclaration,
Non, je ne mets pas mes mots en faction...
Je les pose juste ici...
Pour vous dire Merci...
Merci d’être cette fleur,
Qui cache dans ses heures,
Je l’espère les couleurs...
:chut:
Ven 23 Avril 2004, 17:15 par
Rose sur Un monde parfait
Sur ta piste aux étoiles
à V.
Sur ta piste aux étoiles.
En équilibre sur ton fil,
Souvent tu me contes les phobies
De ce chemin si difficile
Qui encombre ta vie.
De pas en pas, de ne pas... en ne pas...
Tu luttes puis baisses les bras.
Ta perche touche le sol
Redresse-toi et vole.
Mes filets te recueillent
Ma douceur pénètre ton deuil
Ton costume se déchire
Prends et respire.
J’ai souvent peur d’en faire trop...
D’entrer dans la loge interdite
De violer ton âme, tes mots
De ne pas comprendre cette vie maudite.
Toi ... tes sarcasmes, ton grimage
Ton spectacle d’illusionniste
Ton esprit sans visage
Qui se cache au centre de la piste.
Moi... spectatrice de ton desespoir
Assise au milieu du public
J’attends que tu reviennes un soir
Que tu me rejoues la scène du comique
... celle du petit clown noir
La marquise de sade ... une étoile dans la nuit
Sur ta piste aux étoiles.
En équilibre sur ton fil,
Souvent tu me contes les phobies
De ce chemin si difficile
Qui encombre ta vie.
De pas en pas, de ne pas... en ne pas...
Tu luttes puis baisses les bras.
Ta perche touche le sol
Redresse-toi et vole.
Mes filets te recueillent
Ma douceur pénètre ton deuil
Ton costume se déchire
Prends et respire.
J’ai souvent peur d’en faire trop...
D’entrer dans la loge interdite
De violer ton âme, tes mots
De ne pas comprendre cette vie maudite.
Toi ... tes sarcasmes, ton grimage
Ton spectacle d’illusionniste
Ton esprit sans visage
Qui se cache au centre de la piste.
Moi... spectatrice de ton desespoir
Assise au milieu du public
J’attends que tu reviennes un soir
Que tu me rejoues la scène du comique
... celle du petit clown noir
La marquise de sade ... une étoile dans la nuit
Sam 28 Fév 2004, 17:03 par
la marquise de sade sur Un monde parfait
pour rétablir l'égalité peut-être...
Jean de la Bruyère a écrit: |
Il arrive quelquefois qu’une femme cache à un homme toute la passion qu’elle sent pour lui, pendant que de son côté il feint pour elle toute celle qu’il ne sent pas.
|
Ne soyons pas dupes, l’un vaut-il mieux que l’autre?
Mais s’il le faut, pour le cas où ces Messieurs n’auraient pas la courtoisie de reconnaître qu’il en est effectivement ainsi, j’userai peut-être alors d’armes identiques...
Une pétale de rose dans ma cagnotte
Mar 24 Fév 2004, 18:51 par
Ri1kedesBêtises sur Citations
Le plaisir de la marquise
soleye a écrit: |
Ma Chère Marquise, je ne vous connais pas et je ne suis pas sûr de vous comprendre tout le temps ![]() ![]() |

C’est bizarre que vous me disiez cela petit Soleye de mes jours, car justement je pense être quelqu’un on ne peut plus facile à comprendre

Plaisir de vivre chaque seconde comme si c’était la dernière
Plaisir de découvrir ce que le monde cache derrière
Plaisir d’ecouter les silences de mes congénères
Plaisir de lire les récits parcourant les mers
Plaisir d’apaiser les plus violentes colère
De dévoiler de somptueux mystères
De tout envoyer en l’air
Juste pour un rêve, une chimère...
Ne plus se prendre au sérieux,
Par tous les bouts grignoter la vie
Seule ou à deux
Quand tout cela vous aurez compris
Peut-être la marquise se dévoilera à vos yeux...
Et deviendrez-vous le Soleye... de mes nuits...

La marquise .. épicurienne
Mar 17 Fév 2004, 10:35 par
la marquise de sade sur Citations
On s'attache
d’après les statistiques et les bruits qui courrent
, il semblerait que ce message me permette de postuler au statut envié de "fleur bleue" (ça fait bizarre ça non "la tulipe noire fleur bleue"
? à en perdre son latin
....un petit texte donc pour fêter ça (le jour de la saint Vincent en plus...la vie est bien faîte parfois
), pas vraiment un poème, plutôt des paroles de chanson, puisque ceci m’a été inspiré en écoutant une chanson





- On s’attache
à des riens
des riens lâches
qui font un destin
Pour une tache
sur son sein
elle se cache
moi j’aime bien
Elle me crache
son venin
Elle m’enlace
tendres câlins
On s’attache
jusqu’au cou
le temps passe
malgré nous
Je rabâche
le même refrain
l’amour-vache
c’est mon pain
On se fâche
comme toujours
c’est relâche
pour l’amour
Elle s’arrache
de ma main
pour une place
dans un train
Elle voulait
aller plus loin
moi je voulais
l’aimer plus loin
On s’attache
à des riens
faut que tu saches
que j’y tiens
Jeu 22 Jan 2004, 14:52 par
la_tulipe_noire sur L'amour en vrac
du sexe? vraiment, du pur sexe ?? rhoooooooooo
Mais c’est qui qui a eu l’idée d’ouvrir cette rubrique ?? c’est qui le (ou la … )pervers profond qui va nous livrer ses fantasmes les plus salaces ?
c’est qui qui va transcender les interdits, braver la morale judéo chrétienne, flouer toute l’éducation bien pensante que m’a inculquée ma pôv’ mère ??
(euh.. petit prince ? on est obligé d’écrire sous son nom ? je peux prendre un pseudo pour cacher le pseudo qui cache mon vrai nom ?
on peut signer Anonyme ? écrire en tant qu’invité ?
on est vraiment obligé de se faire une réputation de salope sur tout le net en disant qu’on rêve de se faire défoncer par un étalon arabe à longue crinière ondulée sous les yeux horrifiés de Sœur Marie Thérèse pendant qu’un dogue allemand vous lèche profondément et qu’un homme de petite taille aux cheveux bleus et rouges vous engouffre son gourdin dans la bouche ???
hein ?? dis ?? tu peux me répondre ??
)
La marquise.. euh.. oops … je voulais dire Shéhérazade et les quarante voleurs


(euh.. petit prince ? on est obligé d’écrire sous son nom ? je peux prendre un pseudo pour cacher le pseudo qui cache mon vrai nom ?




La marquise.. euh.. oops … je voulais dire Shéhérazade et les quarante voleurs

Mar 13 Jan 2004, 11:57 par
la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses
A l'aube
Il faut bien le dire, les premières fois c’est quand même pas une sinécure! Même si c’est avec un regard nostalgique et ému que l’on se souvient de ces moments, il n’en reste pas moins qu’on a tendance à omettre certains petits détails!
C’est qu’avant d’arriver à l’instant magique il faut se préparer! Si si parole de femme!
Et oui il est dur le moment où avant le RDV galant il faut se raser, se maquiller, s’habiller, se coiffer, appeler ses amies pour nous aider, trouver ses chaussures... Et après des heures à courir on finit par s’asseoir sur le lit, désespérée, au bord de la crise de nerf parce qu’on ne sera jamais assez belle et que décidemment il faut se mettre régime parce que la raclette entre copines la veille c’était pas une bonne idée
La semaine à été longue, très longue!
Etape.1: Il a fallu après des mois d’hibernation passer sous les mains expertes de notre esthéticienne adorée : " Mon Dieu et bien il était temps de venir nous voir, alors on commence par quelle jambe???", on s’en fout, même pas mal!
Et après des heures de conversation enrichissante sur le nouvel amant de madame Georgette, il est temps de penser à passer à l’étape suivante!
Etape.2 : Le matin en ouvrant le tiroir du bas le constat est dur mais il urgent de changer de lingerie, les culottes avec des petits nounours ça risque de casser l’ambiance.
Ca tombe bien il y a toujours un magasin de lingerie dans le coin. C’est à partir de là que votre vie de femme commence à se compliquer, et que de grandes questions existentielles se posent alors à vous... " Excusez moi mais ... ça se porte dans quel sens?" , " il est où le reste du tissu?", "mince ça existe?"," ça coûte combien?... ah...oui quand même", " je comprends pas d’habitude je rentre dans du 38!!"," votre miroir là! il grossit non?", " mouahaha! vous plaisantez! Vous m’avez vu?"
Et après quelques heures de débats on peut rentrer fièrement la récolte sous le bras. Mais quelques minutes plus tard et le portefeuille vide c’est la proie au doute, les sueurs froides et toujours la même conclusion " Mon Dieu, je suis sûr qu’il va me trouver grosse et moche!!"
Etape.3 : Sans doute une des plus longues. On se doute pas qu’une armoire peut contenir autant d’habits...et pourtant! A côté la caverne d’Ali baba ( au rhum
) c’est de la gnognote.
Parce qu’après avoir trouver le haut, il faut trouver la jupe qui va avec, puis les chaussures , le manteau, le pull, le collier, les boucles d’oreilles...raaaaaa
Et après des heures de recherches dignes d’une fouille archéologique la sentence tombe : " oh m... je rentre plus dans la jupe...va falloir que je trouve autre chose!" Là les courageuse copines appelées à la rescousse quelques heures avant sont au bord de la syncope et ont commencé à entamer la bouteille de bordeaux que vous aviez soigneusement caché sous le lit.
Etape.4 : Le maquillage. Un manque d’entraînement se fait sentir, normal le dernier RDV date d’un an. Heureusement les valeureuses copines sont toujours là au cas où. "Le maquillage est notre ami il faut l’aimer aussi!"
Pas toujours si évident quand après 5 tentatives on finit généralement borgne et ressemblant à une star de film muet. Mais ça serait trop facile!!
La salle de bain c’est une chose, la lumière du jour c’en est une autre, et le regard incrédule de vos cheres et tendre amies (maintenant profondément imbibées de vin) sera là pour vous le rappeler!
Etape.5 : il ne reste plus que la coiffure et s’entraîner à porter des chaussures à talons. Enfin ça y est la ressemblance avec un femme, une vraie, approche!
Conclusion1: le grand moment tant attendu est là! Le travail du sourire et du regard n’aura pas été vain, le parfum semble avoir été à son goût, les précieux conseils des amies sur les 5 façons de séduire un homme (paru dans ELLE magasine la veille! ça c’est de la veine!) ont fonctionné, le maquillage n’a pas fait trop tâche, les habits c’était parfait, et les dessous sexy après un travail d’équipe ont finit par terre!
c’était parfait! ...
Conclusion2 : Le lendemain soirée entre copine pour une réunion de haute importance sur comment s’est déroulée la soirée ( avec les détails ça va de soit
) : " wouah!!! il est trop mignoooon!!!" , " la chaaaaaanceee!!!", " il a fait çaaaa???"
Après messieurs cela ne vous regarde pas! Nos conversations resteront à tout jamais un mystère pour le sexe masculin

C’est qu’avant d’arriver à l’instant magique il faut se préparer! Si si parole de femme!

Et oui il est dur le moment où avant le RDV galant il faut se raser, se maquiller, s’habiller, se coiffer, appeler ses amies pour nous aider, trouver ses chaussures... Et après des heures à courir on finit par s’asseoir sur le lit, désespérée, au bord de la crise de nerf parce qu’on ne sera jamais assez belle et que décidemment il faut se mettre régime parce que la raclette entre copines la veille c’était pas une bonne idée

La semaine à été longue, très longue!
Etape.1: Il a fallu après des mois d’hibernation passer sous les mains expertes de notre esthéticienne adorée : " Mon Dieu et bien il était temps de venir nous voir, alors on commence par quelle jambe???", on s’en fout, même pas mal!

Et après des heures de conversation enrichissante sur le nouvel amant de madame Georgette, il est temps de penser à passer à l’étape suivante!
Etape.2 : Le matin en ouvrant le tiroir du bas le constat est dur mais il urgent de changer de lingerie, les culottes avec des petits nounours ça risque de casser l’ambiance.

Et après quelques heures de débats on peut rentrer fièrement la récolte sous le bras. Mais quelques minutes plus tard et le portefeuille vide c’est la proie au doute, les sueurs froides et toujours la même conclusion " Mon Dieu, je suis sûr qu’il va me trouver grosse et moche!!"

Etape.3 : Sans doute une des plus longues. On se doute pas qu’une armoire peut contenir autant d’habits...et pourtant! A côté la caverne d’Ali baba ( au rhum

Parce qu’après avoir trouver le haut, il faut trouver la jupe qui va avec, puis les chaussures , le manteau, le pull, le collier, les boucles d’oreilles...raaaaaa

Et après des heures de recherches dignes d’une fouille archéologique la sentence tombe : " oh m... je rentre plus dans la jupe...va falloir que je trouve autre chose!" Là les courageuse copines appelées à la rescousse quelques heures avant sont au bord de la syncope et ont commencé à entamer la bouteille de bordeaux que vous aviez soigneusement caché sous le lit.
Etape.4 : Le maquillage. Un manque d’entraînement se fait sentir, normal le dernier RDV date d’un an. Heureusement les valeureuses copines sont toujours là au cas où. "Le maquillage est notre ami il faut l’aimer aussi!"
Pas toujours si évident quand après 5 tentatives on finit généralement borgne et ressemblant à une star de film muet. Mais ça serait trop facile!!
La salle de bain c’est une chose, la lumière du jour c’en est une autre, et le regard incrédule de vos cheres et tendre amies (maintenant profondément imbibées de vin) sera là pour vous le rappeler!

Etape.5 : il ne reste plus que la coiffure et s’entraîner à porter des chaussures à talons. Enfin ça y est la ressemblance avec un femme, une vraie, approche!
Conclusion1: le grand moment tant attendu est là! Le travail du sourire et du regard n’aura pas été vain, le parfum semble avoir été à son goût, les précieux conseils des amies sur les 5 façons de séduire un homme (paru dans ELLE magasine la veille! ça c’est de la veine!) ont fonctionné, le maquillage n’a pas fait trop tâche, les habits c’était parfait, et les dessous sexy après un travail d’équipe ont finit par terre!
c’était parfait! ...
Conclusion2 : Le lendemain soirée entre copine pour une réunion de haute importance sur comment s’est déroulée la soirée ( avec les détails ça va de soit

Après messieurs cela ne vous regarde pas! Nos conversations resteront à tout jamais un mystère pour le sexe masculin

Ven 12 Déc 2003, 15:21 par
sobritish sur La première fois
La dame du 21 ...
La dame du 21 est une petite bonne femme qui flirte avec les 90ans et qui habitait comme son nom l’indique
au numéro 21 ....
Quoi de bien transcendant dans cela me direz vous? Rien vous répondrais-je! Excepté peut-être que cette petite bonne femme, toute fragile, toute menue, toute frippée était un vrai soleil dans une journée!
S’agitant de gauche à droite, ramassant feuilles mortes en automne, déblayant la neige en hiver, plantant bulbe au printemps et jouant au foot avec les enfants du quartier en été!!
Sans oublier aussi l’arche de jeanne (hélas, oui, elle s’apellait jeanne et non Noé!
) qui devait compter une dizaine de chats de toutes races et de toutes compositions (avec oreilles, sans oreilles, à trois ou quatre pattes, avec ou sans queue,
) un vieux chien qui avait aboutit là dieu seul sait comment (elle meme ne se souvient plus qui du chien ou d’elle a trouvé l’autre
) quelques pigeons, moineaux, canaris et deux poissons rouges!
Une petite vieille qui a toujours un bonbon caché au fond de la poche de son vieux tablier, qui a toujours une anecdote à vous raconter, qui a toujours un sourire pour vous illuminer la journée ...
La marquise ... p’tite vieille dans quelques dizaines d’années

Quoi de bien transcendant dans cela me direz vous? Rien vous répondrais-je! Excepté peut-être que cette petite bonne femme, toute fragile, toute menue, toute frippée était un vrai soleil dans une journée!
S’agitant de gauche à droite, ramassant feuilles mortes en automne, déblayant la neige en hiver, plantant bulbe au printemps et jouant au foot avec les enfants du quartier en été!!
Sans oublier aussi l’arche de jeanne (hélas, oui, elle s’apellait jeanne et non Noé!



Une petite vieille qui a toujours un bonbon caché au fond de la poche de son vieux tablier, qui a toujours une anecdote à vous raconter, qui a toujours un sourire pour vous illuminer la journée ...
La marquise ... p’tite vieille dans quelques dizaines d’années

Lun 17 Nov 2003, 20:49 par
la marquise de sade sur Un monde parfait
Ecrire sur caché

Il y a 103 textes utilisant le mot caché. Ces pages présentent les textes correspondant.
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