Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur caches - Page 2 sur 2
A la découvert des trésors cachés
Je t’attends dans la nuit, assise sur le banc,
De mes rivières de songes,
Rien ne peut me réchauffer le coeur autant,
Que mes rêveries de Toi,
De Nous,
Comme avant.
Dans le calme de la nuit,
Caressée par ces douces brises voluptueuses,
Les yeux fermés,
Je peux entendre tes pas et ressentir ton doux parfum,
Et tu arrives....
Tes douces et belles lèvres
Humidifie ma peau tout en émoi,
La douceur extrême de ta peau,
Réveille en moi, des passions et des désirs extrêmes,
Quand tes belles mains parcourent mon corps,
A la découvert des trésors cachés,
Qui n’appartiennent qu’à Toi.
J’entends alors ton doux coeur,
Battre dans des rythmes envoûtants,
Seule moi peux entendre cette douce mélodie.
Et mon âme se blottit contre ton âme,
Juste là, contre nos deux coeurs.
Ton sourire si beau,
Et tes yeux ! Ô tes yeux !
Je les perçois comme des étoiles,
Ils brillent tant que par mis,
Les constellations, les cieux,
Je ne peux pas me tromper.
Je savoure ce spectacle étoilé.
Et là, apaisée, heureuse, je m’endors,
Avec ton beau sourire en mémoire,
La dernière image,
Tes rires complices,
Le dernier son,
Dans ma nuit.
Ainsi enveloppée et protégée
Dans tes bras d’Amour,
Je m’endors en sécurité.
julia
De mes rivières de songes,
Rien ne peut me réchauffer le coeur autant,
Que mes rêveries de Toi,
De Nous,
Comme avant.
Dans le calme de la nuit,
Caressée par ces douces brises voluptueuses,
Les yeux fermés,
Je peux entendre tes pas et ressentir ton doux parfum,
Et tu arrives....
Tes douces et belles lèvres
Humidifie ma peau tout en émoi,
La douceur extrême de ta peau,
Réveille en moi, des passions et des désirs extrêmes,
Quand tes belles mains parcourent mon corps,
A la découvert des trésors cachés,
Qui n’appartiennent qu’à Toi.
J’entends alors ton doux coeur,
Battre dans des rythmes envoûtants,
Seule moi peux entendre cette douce mélodie.
Et mon âme se blottit contre ton âme,
Juste là, contre nos deux coeurs.
Ton sourire si beau,
Et tes yeux ! Ô tes yeux !
Je les perçois comme des étoiles,
Ils brillent tant que par mis,
Les constellations, les cieux,
Je ne peux pas me tromper.
Je savoure ce spectacle étoilé.
Et là, apaisée, heureuse, je m’endors,
Avec ton beau sourire en mémoire,
La dernière image,
Tes rires complices,
Le dernier son,
Dans ma nuit.
Ainsi enveloppée et protégée
Dans tes bras d’Amour,
Je m’endors en sécurité.
julia
Dim 27 Août 2006, 14:57 par
joullia sur Parler d'amour
Combattre encore et toujours pour ne pas retomber
La douleur intérieure est éphémère.
Les blessures profondes,
Le cœur se serre,
L’estomac se noue.
La faim apaise le mal interne.
Manger gonfle le mal être,
Elle estompe mes angoisses.
Est-ce le mal de vivre, ou plutôt le mal être ?
La blessure physique est vue,
Mais la douleur intérieure est cachée.
Ne plus penser au mal être ;
Mal ! Oui, mais là dedans, dans le cœur.
L’estomac vide, mais la tête lourde.
La nourriture pèse et alourdit
Ce corps que je regarde d’un œil.
Dans le miroir, c’est mon intérieur qui reflète,
Rempli de douleurs enfuies, de chagrins cachés,
De blessures tantôt cicatrisées, tantôt réouvertes.
Lourdeur de solitude et de tristesse.
Mon corps peut paraître plume,
Mais l’intérieur est un lieu où tout se garde.
Parfois les secrets, les souvenirs enfuis ressurgissent.
L’enfant et l’adolescente que j’étais
Ne sont que peines et blessures.
L’adulte que je suis maintenant
S’est construite de ce mal et de beaucoup d’espoir.
Aller au plus profond de moi, c’est la douleur qui revient.
Vivre autour de la haine, de la colère, de la violence, du mensonge….
Combattre encore et toujours pour ne pas retomber.
J’en ai montées des marches ! Mais la chute fait mal.
Se rattraper, s’accrocher à un petit rien
Pour ne plus descendre au fond du gouffre.
C’est un soulagement d’extérioriser ce mal.
C’est difficile de faire semblant pour ne pas blesser.
Paraître bien pour ne pas faire souffrir.
Se cacher, s’enfuir vers d’autres horizons.
Eloigner les pensées néfastes pour se rapprocher de l’espoir.
Ne plus faire mal, cacher ses angoisses
Qui rongent l’esprit et le corps, encore si fragiles.
Paraître forte et ne pas laisser ses idées noires prendre le dessus.
Faire semblant, tricher mais ne pas trahir.
Difficile mais pas impossible.
Reculer pour sûrement,
Avancer vers un futur peut-être plus clair.
La vie est faite de chemins incertains.
Parfois il suffit d’un petit rien,
Pour prendre le mauvais.
Les directions sont multiples,
Etre guidé peut aider.
Ne pas s’enfermer dans cette bulle atroce et sans issue,
Peut paraître impossible à certains moments.
Le destin nous amène vers d’autres horizons.
Une autre porte s’ouvre ! Est-ce la bonne ?
La franchir tant qu’il est encore temps !
Oui, difficile ! Mais pas impossible.
L’espoir est toujours là.
Les blessures profondes,
Le cœur se serre,
L’estomac se noue.
La faim apaise le mal interne.
Manger gonfle le mal être,
Elle estompe mes angoisses.
Est-ce le mal de vivre, ou plutôt le mal être ?
La blessure physique est vue,
Mais la douleur intérieure est cachée.
Ne plus penser au mal être ;
Mal ! Oui, mais là dedans, dans le cœur.
L’estomac vide, mais la tête lourde.
La nourriture pèse et alourdit
Ce corps que je regarde d’un œil.
Dans le miroir, c’est mon intérieur qui reflète,
Rempli de douleurs enfuies, de chagrins cachés,
De blessures tantôt cicatrisées, tantôt réouvertes.
Lourdeur de solitude et de tristesse.
Mon corps peut paraître plume,
Mais l’intérieur est un lieu où tout se garde.
Parfois les secrets, les souvenirs enfuis ressurgissent.
L’enfant et l’adolescente que j’étais
Ne sont que peines et blessures.
L’adulte que je suis maintenant
S’est construite de ce mal et de beaucoup d’espoir.
Aller au plus profond de moi, c’est la douleur qui revient.
Vivre autour de la haine, de la colère, de la violence, du mensonge….
Combattre encore et toujours pour ne pas retomber.
J’en ai montées des marches ! Mais la chute fait mal.
Se rattraper, s’accrocher à un petit rien
Pour ne plus descendre au fond du gouffre.
C’est un soulagement d’extérioriser ce mal.
C’est difficile de faire semblant pour ne pas blesser.
Paraître bien pour ne pas faire souffrir.
Se cacher, s’enfuir vers d’autres horizons.
Eloigner les pensées néfastes pour se rapprocher de l’espoir.
Ne plus faire mal, cacher ses angoisses
Qui rongent l’esprit et le corps, encore si fragiles.
Paraître forte et ne pas laisser ses idées noires prendre le dessus.
Faire semblant, tricher mais ne pas trahir.
Difficile mais pas impossible.
Reculer pour sûrement,
Avancer vers un futur peut-être plus clair.
La vie est faite de chemins incertains.
Parfois il suffit d’un petit rien,
Pour prendre le mauvais.
Les directions sont multiples,
Etre guidé peut aider.
Ne pas s’enfermer dans cette bulle atroce et sans issue,
Peut paraître impossible à certains moments.
Le destin nous amène vers d’autres horizons.
Une autre porte s’ouvre ! Est-ce la bonne ?
La franchir tant qu’il est encore temps !
Oui, difficile ! Mais pas impossible.
L’espoir est toujours là.
Lun 21 Août 2006, 23:36 par
joullia sur Mille choses
Passion
La passion que nous avons l’Un pour l’Autre s’exprime...
Cette Passion qui ne se soumet à rien, et à qui,
au contraire, toutes choses se soumettent.
Notre désir est à fleur de peau et
chaque caresse offerte amène nos corps
vers une excitation grandissante.
Mes seins durcis par le plaisir du toucher,
le torse de l’Etre aimé bombé par l’Envie
font que nos corps commencent
à entrer en totale communion prêts
à recevoir des caresses plus intimes.
Nos corps s’entrelacent et les caresses deviennent si intenses...
Que nous nous aventurons vers un chemin plus intime de nos corps.
Ma main s’aventure à caresser son ventre
Pendant que la sienne continue à découvrir les formes de mon corps.
Les effleurements de nos doigts nous procurent un plaisir immense,
Celui du désir pas encore consommé,
Ces préliminaires qui nous préparent à ressentir d’autant plus fort
Le plaisir, puisqu’il nous envahit
Lentement, doucement, intensément..
Ma main descend encore et encore,
prête à offrir de tendres caressses
à cet organe de son corps
qui représente la masculinité
au plus profond de son sens.
Je vois l’Etre aimé réceptif à mes offrandes de plaisir
Et lentement seul le plaisir est Notre communion.
Sa main tente d’approcher ce jardin si secret
Qu’est celui d’une femme,
Là où les plaisirs sont cachés.
A cet instant présent, nous sommes en parfaite osmose
Où ce n’est plus la raison qui commande nos actes mais la passion....
Il découvre lentement la douceur de mon désir
Pendant que je m’attarde tendrement
Sur cette partie si intime de lui
Et qui à elle seule me montre son Envie.
Cette Passion qui ne se soumet à rien, et à qui,
au contraire, toutes choses se soumettent.
Notre désir est à fleur de peau et
chaque caresse offerte amène nos corps
vers une excitation grandissante.
Mes seins durcis par le plaisir du toucher,
le torse de l’Etre aimé bombé par l’Envie
font que nos corps commencent
à entrer en totale communion prêts
à recevoir des caresses plus intimes.
Nos corps s’entrelacent et les caresses deviennent si intenses...
Que nous nous aventurons vers un chemin plus intime de nos corps.
Ma main s’aventure à caresser son ventre
Pendant que la sienne continue à découvrir les formes de mon corps.
Les effleurements de nos doigts nous procurent un plaisir immense,
Celui du désir pas encore consommé,
Ces préliminaires qui nous préparent à ressentir d’autant plus fort
Le plaisir, puisqu’il nous envahit
Lentement, doucement, intensément..
Ma main descend encore et encore,
prête à offrir de tendres caressses
à cet organe de son corps
qui représente la masculinité
au plus profond de son sens.
Je vois l’Etre aimé réceptif à mes offrandes de plaisir
Et lentement seul le plaisir est Notre communion.
Sa main tente d’approcher ce jardin si secret
Qu’est celui d’une femme,
Là où les plaisirs sont cachés.
A cet instant présent, nous sommes en parfaite osmose
Où ce n’est plus la raison qui commande nos actes mais la passion....
Il découvre lentement la douceur de mon désir
Pendant que je m’attarde tendrement
Sur cette partie si intime de lui
Et qui à elle seule me montre son Envie.
Mer 01 Fév 2006, 16:50 par
Satine sur Les liaisons sulfureuses
La conquête.
Contemplant quelques jolis dos nus dans ma cité estivale et examinant le sentiment qui naissait alors en moi, je trouvais par hasard les chemins de l’évidence : l’homme, le mâle, est un conquérant, il convoite et s’accapare l’objet de son désir.
La séduction est communément perçue comme un ensemble de jeux et de techniques pour attirer l’autre dans ses bras. Les conseils sur le dialogue, l’attitude, les contextes gagnants foisonnent, mais il est rare de trouver une analyse des phénomènes qui enclenchent l’action de séduction. Un peu comme en médecine, on soignerait le mal plutôt que les blessures, nous pourrions examiner la séduction non plus sous l’angle de ses recettes, mais sous celui de ce qui la motive. Je vais donc flâner dans les idées qui gravitent autour de cet esprit de conquête qui habite chaque homme.
L’idée est que si l’homme est un conquérant, une femme pourra créer un jeu de séduction en se considérant comme le territoire à conquérir de son courtisan. L’idée est que toute femme peut, et d’ailleurs doit, jouer sur cette corde sensible qu’est l’esprit de conquête masculin.
Bien entendu, à chaque homme sa façon de conquérir. Les femmes, l’argent, les terres, la notoriété seront autant de pôles de convoitise qu’une femme pourra déceler chez son futur partenaire. Ce renseignement est utile, car sa façon naturelle de conquérir vous sera alors plus perceptible. Tout le monde imagine différentes méthodes, même simpliste, pour gagner de sous, acquérir un terrain, devenir fameux. Ne vous inquiétez pas sur la pertinence ou la qualité de ce que vous aurait alors imaginé : seul le principe compte.
La valeur que ce fait l’homme de sa future conquête est très importante. Il est sage de ne pas se sous-évaluer ni de se surestimer. Non pas en fonction de votre propre regard, mais en fonction du sien. Ne vous inquiétez pas, plus vous avancerez dans la conquête, plus votre valeur à ses yeux augmentera.
Conquérir implique une stratégie de la part du conquérant, le jeu pour vous mesdemoiselles consiste alors à s’inscrire sciemment dans cette stratégie. Accepter de jouer le rôle du « gibier » n’est pas de la soumission, bien au contraire. Lorsque les rôles sont définis, la complicité du jeu s’installe, tout est dit mais rien n’est fait. Une conquête sous-tend des efforts, il va en quelque sorte vous mériter : il vous tient presque, vous vous échappez et l’incitez à vous suivre.
L’avantage pour vous est que vous êtes constamment maître du jeu. Vous en connaissez les règles, n’avez qu’à observer les actions de rapprochement et en jouer. Maintenant ainsi une tension adéquate constante, vous comprimez un ressort qui ne se détendra qu’au moment que vous jugerez bon pour vous deux. Ce dénouement est à sentir avec beaucoup d’attention, sa qualité étant primordiale. A quel moment vous abandonnerez vous ?
L’avantage pour votre futur partenaire, c’est que durant cette partie complice que vous jouez, il va se sentir renaître, transporté par votre aisance à provoquer chez lui des bouffées de désir. En effet, le plaisir de se voir faire réveiller notre désir de conquête quelques fois endormi dans ce monde ou tout est facile est très agréable, surtout lorsqu’il est mené avec finesse et doigté.
Jouer ensemble à la conquête, s’est déjà un très bon signe sur son dénouement. Le positionnement de chacun est une richesse pour l’avenir éventuel du couple, car sous le biais du jeu vous pourrez sentir une quantité impressionnante de choses concernant l’autre, et découvrir des aspects cachés de sa personnalité. Ce jeu active l’imagination, terreau essentiel d’une relation amoureuse. Sans imagination, point de salut. Si la sienne ou la votre s’était un peu ramollie ces temps ci, ce petit jeu va la faire pétiller.
Il existe plusieurs façons pour une demoiselle de devenir l’objet de la conquête d’un jeune homme qui lui plait. Cette recherche d’adaptation au cas présent sera probablement le moment de regarder au fond de vous-mêmes et de vos ressources pour en extraire ce qui est le plus adapté. Et une demoiselle capable de cela, est une demoiselle à conquérir …
Pour conclure, je dirais que cette façon de voir la séduction n’est en aucun cas à appliquer systématiquement. Certains cas s’y prêtent, d’autres non. Il y aura des hommes qui ne veulent pas jouer avec vous à la conquête, parce qu’il vous aiment déjà, vous désirent déjà, ou ont peur de ses femmes qui les rendent ainsi nerveux par des jeux qu’ils ne connaissent pas. A vous de sentir alors ce qu’il convient simplement de faire en fonction de votre futur partenaire.
La séduction est communément perçue comme un ensemble de jeux et de techniques pour attirer l’autre dans ses bras. Les conseils sur le dialogue, l’attitude, les contextes gagnants foisonnent, mais il est rare de trouver une analyse des phénomènes qui enclenchent l’action de séduction. Un peu comme en médecine, on soignerait le mal plutôt que les blessures, nous pourrions examiner la séduction non plus sous l’angle de ses recettes, mais sous celui de ce qui la motive. Je vais donc flâner dans les idées qui gravitent autour de cet esprit de conquête qui habite chaque homme.
L’idée est que si l’homme est un conquérant, une femme pourra créer un jeu de séduction en se considérant comme le territoire à conquérir de son courtisan. L’idée est que toute femme peut, et d’ailleurs doit, jouer sur cette corde sensible qu’est l’esprit de conquête masculin.
Bien entendu, à chaque homme sa façon de conquérir. Les femmes, l’argent, les terres, la notoriété seront autant de pôles de convoitise qu’une femme pourra déceler chez son futur partenaire. Ce renseignement est utile, car sa façon naturelle de conquérir vous sera alors plus perceptible. Tout le monde imagine différentes méthodes, même simpliste, pour gagner de sous, acquérir un terrain, devenir fameux. Ne vous inquiétez pas sur la pertinence ou la qualité de ce que vous aurait alors imaginé : seul le principe compte.
La valeur que ce fait l’homme de sa future conquête est très importante. Il est sage de ne pas se sous-évaluer ni de se surestimer. Non pas en fonction de votre propre regard, mais en fonction du sien. Ne vous inquiétez pas, plus vous avancerez dans la conquête, plus votre valeur à ses yeux augmentera.
Conquérir implique une stratégie de la part du conquérant, le jeu pour vous mesdemoiselles consiste alors à s’inscrire sciemment dans cette stratégie. Accepter de jouer le rôle du « gibier » n’est pas de la soumission, bien au contraire. Lorsque les rôles sont définis, la complicité du jeu s’installe, tout est dit mais rien n’est fait. Une conquête sous-tend des efforts, il va en quelque sorte vous mériter : il vous tient presque, vous vous échappez et l’incitez à vous suivre.
L’avantage pour vous est que vous êtes constamment maître du jeu. Vous en connaissez les règles, n’avez qu’à observer les actions de rapprochement et en jouer. Maintenant ainsi une tension adéquate constante, vous comprimez un ressort qui ne se détendra qu’au moment que vous jugerez bon pour vous deux. Ce dénouement est à sentir avec beaucoup d’attention, sa qualité étant primordiale. A quel moment vous abandonnerez vous ?
L’avantage pour votre futur partenaire, c’est que durant cette partie complice que vous jouez, il va se sentir renaître, transporté par votre aisance à provoquer chez lui des bouffées de désir. En effet, le plaisir de se voir faire réveiller notre désir de conquête quelques fois endormi dans ce monde ou tout est facile est très agréable, surtout lorsqu’il est mené avec finesse et doigté.
Jouer ensemble à la conquête, s’est déjà un très bon signe sur son dénouement. Le positionnement de chacun est une richesse pour l’avenir éventuel du couple, car sous le biais du jeu vous pourrez sentir une quantité impressionnante de choses concernant l’autre, et découvrir des aspects cachés de sa personnalité. Ce jeu active l’imagination, terreau essentiel d’une relation amoureuse. Sans imagination, point de salut. Si la sienne ou la votre s’était un peu ramollie ces temps ci, ce petit jeu va la faire pétiller.
Il existe plusieurs façons pour une demoiselle de devenir l’objet de la conquête d’un jeune homme qui lui plait. Cette recherche d’adaptation au cas présent sera probablement le moment de regarder au fond de vous-mêmes et de vos ressources pour en extraire ce qui est le plus adapté. Et une demoiselle capable de cela, est une demoiselle à conquérir …
Pour conclure, je dirais que cette façon de voir la séduction n’est en aucun cas à appliquer systématiquement. Certains cas s’y prêtent, d’autres non. Il y aura des hommes qui ne veulent pas jouer avec vous à la conquête, parce qu’il vous aiment déjà, vous désirent déjà, ou ont peur de ses femmes qui les rendent ainsi nerveux par des jeux qu’ils ne connaissent pas. A vous de sentir alors ce qu’il convient simplement de faire en fonction de votre futur partenaire.
Jeu 09 Juin 2005, 12:14 par
PetitPrince sur Le grimoire d'amour
Ma première déclaration à Bénédicte...
Tu sais, Cupidon a décoché sa flèche !
Au delà de l’Amour,
Ecrire m’amènera peut être près de toi, un jour,
Tel le feu enflamme la mèche.
Comme tu vois, je laisse ma plume aller,
Et ma plus franche audace s’ennivrer.
"Je viens de Mars, toi de Vénus"
Je n’ai pas assez chaud ! puisse-tu, alors
me donner plus de chaleur comme tu fais lorsque
tu me souris.
Puisse-tu me donner de la profondeur comme celle
de ton virvoltant regard,
Puisse-tu comme sur ta Vénus, telle une cocotte minute,
faire jaillir des pluies de bonheur et de hazard.
Tu sais, les Amoureux sont toujours intimidés,
Et comme, sur ta planète ! tu m’as brûlé, j’ai la voix coupée.
Comment guérir, alors, je ne peux plus parler,
Juste t’écrire, te raconter,
Que l’été pousse tout à chacun à redevenir fringant ??
Où qu’une fois seulement aura suffit ??
Une fois aura suffit seulement,
Pour savoir si, c’est avec toi que je partagerais ma vie.
Quand notre premier regard a casser la monotonie du temps,
Ce n’est, non !! pas l’été, ni la chaleur de ma planète
Qui m’a fait fait en si peu de journées, perdre la tête.
Non, ni je ne rêve, non ni je ne joue, l’Amour
est un trop précieux moment.
Alors si comme moi, tu veux partager les clés du bonheur,
Même si je sais, que parler d’Amour
au bout d’une semaine, est abusif !
Ne t’éloignes pas, ni ne te caches, ni ne me griffes
Dis moi ! c’est difficile, mais sans peur,
Dis moi ? "Veux-tu devenir ma pile, mon attache, mon coeur...
Vincent
Au delà de l’Amour,
Ecrire m’amènera peut être près de toi, un jour,
Tel le feu enflamme la mèche.
Comme tu vois, je laisse ma plume aller,
Et ma plus franche audace s’ennivrer.
"Je viens de Mars, toi de Vénus"
Je n’ai pas assez chaud ! puisse-tu, alors
me donner plus de chaleur comme tu fais lorsque
tu me souris.
Puisse-tu me donner de la profondeur comme celle
de ton virvoltant regard,
Puisse-tu comme sur ta Vénus, telle une cocotte minute,
faire jaillir des pluies de bonheur et de hazard.
Tu sais, les Amoureux sont toujours intimidés,
Et comme, sur ta planète ! tu m’as brûlé, j’ai la voix coupée.
Comment guérir, alors, je ne peux plus parler,
Juste t’écrire, te raconter,
Que l’été pousse tout à chacun à redevenir fringant ??
Où qu’une fois seulement aura suffit ??
Une fois aura suffit seulement,
Pour savoir si, c’est avec toi que je partagerais ma vie.
Quand notre premier regard a casser la monotonie du temps,
Ce n’est, non !! pas l’été, ni la chaleur de ma planète
Qui m’a fait fait en si peu de journées, perdre la tête.
Non, ni je ne rêve, non ni je ne joue, l’Amour
est un trop précieux moment.
Alors si comme moi, tu veux partager les clés du bonheur,
Même si je sais, que parler d’Amour
au bout d’une semaine, est abusif !
Ne t’éloignes pas, ni ne te caches, ni ne me griffes
Dis moi ! c’est difficile, mais sans peur,
Dis moi ? "Veux-tu devenir ma pile, mon attache, mon coeur...
Vincent
Sam 16 Avril 2005, 16:19 par
Vincentblue sur Parler d'amour
La fuite d'eau
Il y a une chose qu’une femme seule met en panique, c’est une fuite d’eau dans la salle de bain. Et celle qui venait de se déclarer dans la mienne avait vraiment toutes les raisons de m’inquiéter. Elle avait du commencer au milieu de la nuit, et lorsque je me rendis dans la salle de bain pour prendre ma douche, je pataugeais dans trois bons centimètres d’eau. Je me ruais dans le salon et décrochais le téléphone tout en cherchant fébrilement dans mon carnet le numéro du plombier de l’immeuble.
« J’arrive dans cinq minutes me dit-il, coupez l’arrivée d’eau centrale, le robinet est dans le placard du cabinet »
Je n’avais pas la force de tourner ce fichu robinet, je dus me résoudre à attendre mon sauveur, assise dans l’entrée à fumer une cigarette censée me calmer.
J’entendis le bruit de l’ascenseur s’arrêter, la porte s’ouvrir, et finalement le bruit des talons se rapprocher de ma porte.
Sans attendre que la sonnette retentisse, j’ouvris la porte. Il tenait une lourde caisse à outils dans sa main droite, et dans sa main gauche une rose. Jaune avec un liseré carmin.
« Je l’ai coupée dans mon jardin en partant, ça vous consolera peut-être de votre fuite d’eau» me dit-il en me la tendant gentiment.
Surprise, je le remerciai. Sa rose était splendide, fraîche comme la rosée du matin. Son parfum emplit aussitôt l’entrée, et j’oubliais en un instant tous mes soucis. Cette attention était tellement inattendue, tellement délicate. J’arrêtais de contempler cette fleur pour voir mon plombier sortir des cabinets.
« La vache, il était vraiment dur à tourner ce robinet, mais je l’ai gagné » me dit il en souriant amusé.
Et en plus, ce type était charmant. Non seulement il était délicat, mais il était charmant. Mes yeux s’attardèrent un instant sur son corps, que le travail de force avait rendu puissant tout en restant fin.
Un frisson ma prit sous la nuque, et je sus à ce moment que ma matinée serait foute. Je le précédai pour lui indiquer le chemin de la salle de bain, profitant de ce que je lui tournai le dos pour resserrer le bas de mon peignoir, et entrouvrir le haut. Je sentais ses yeux sur mes hanches, et lorsque je le laissai passer pour contempler le désastre dans la salle de bain, je détournai un instant les yeux afin que les siens plongent sans embarras dans mon décolleté amène.
« Houlà, effectivement ! » s’ecria-t-il.
Il se démena comme un diable pour trouver finalement le joint fautif, entrepris de le changer et écopa l’eau dans la baignoire. Lorsqu’il eut finit, il était trempé, et je lui proposa de faire sécher ses affaires dans mon séchoir électrique, et que si il voulait il pouvait prendre une douche.
« Et vous, vous voulez ? » me demanda t il en me fixant droit dans les yeux.
Alors que je murmurai un « oui » courageux en fermant les yeux, je sentis ses mains faire tomber mon peignoir. Nous fîmes l’amour dans cette salle de bain, passant de la douche sur le séchoir, en faisant une petite incursion dans un énorme tas de serviettes propres.
Je réajustai sans enthousiasme mon peignoir de bain, rencontrant dans la glace mes yeux fatigués. Ce n’était pas raisonnable. Ce n’était pas raisonnable de se laisser aller avec un inconnu, mais c’était bon, oh que c’était bon.
«Tu vois» me dit il en finissant de réajuster son pantalon à présent sec, «tu ressembles à la rose que j’ai cueillie pour toi. Cette rose n’a pas d’épines, tu verras. Tu as son parfum enivrant, sa fraîcheur gourmande, et surtout tu ne te caches pas derrière d’illusoires épines.»
Je restai un peu interloquée, ne sachant pas si je devais prendre ces mots pour de la goujaterie de mauvais dragueur. Mais il s’approcha de moi, et m’embrassa avec tant de tendresse qu’il dissipa ces doutes.
« Ca fait des mois que je prie pour que tu m’appelles. Ca fait des mois que je te regarde et que je te désire. Je voudrais, enfin, si tu veux bien, je voudrais te revoir, être avec toi, essayer quelque chose quoi, enfin tu vois ». Ma bouche s’ouvrit de surprise et mes yeux ne purent contenir l’émotion provoquée par cette révélation. Je me blottis dans ses bras, comme un dernier recours, dans un merci muet.
Lorsque je le raccompagnai enfin dans l’entrée, j’observai attentivement sa rose. Effectivement, à la place des épines, elle avait des petites touffes de duvet soyeux, qui donnaient aussitôt l’envie de caresser. Je levai mes yeux et surprit les siens me contemplant avec tendresse. Il ouvrit la porte d’entrée sans un autre mot, et s’engouffra dans l’ascenseur qui semblait l’avoir attendu.
Je me précipitai sur le palier et le retint par l’épaule. Je lui pris un dernier baiser gourmand avant de le rendre à son travail. La porte de l’ascenseur se referma, me laissant seule sur le palier avec cette rose sans épines.
« J’arrive dans cinq minutes me dit-il, coupez l’arrivée d’eau centrale, le robinet est dans le placard du cabinet »
Je n’avais pas la force de tourner ce fichu robinet, je dus me résoudre à attendre mon sauveur, assise dans l’entrée à fumer une cigarette censée me calmer.
J’entendis le bruit de l’ascenseur s’arrêter, la porte s’ouvrir, et finalement le bruit des talons se rapprocher de ma porte.
Sans attendre que la sonnette retentisse, j’ouvris la porte. Il tenait une lourde caisse à outils dans sa main droite, et dans sa main gauche une rose. Jaune avec un liseré carmin.
« Je l’ai coupée dans mon jardin en partant, ça vous consolera peut-être de votre fuite d’eau» me dit-il en me la tendant gentiment.
Surprise, je le remerciai. Sa rose était splendide, fraîche comme la rosée du matin. Son parfum emplit aussitôt l’entrée, et j’oubliais en un instant tous mes soucis. Cette attention était tellement inattendue, tellement délicate. J’arrêtais de contempler cette fleur pour voir mon plombier sortir des cabinets.
« La vache, il était vraiment dur à tourner ce robinet, mais je l’ai gagné » me dit il en souriant amusé.
Et en plus, ce type était charmant. Non seulement il était délicat, mais il était charmant. Mes yeux s’attardèrent un instant sur son corps, que le travail de force avait rendu puissant tout en restant fin.
Un frisson ma prit sous la nuque, et je sus à ce moment que ma matinée serait foute. Je le précédai pour lui indiquer le chemin de la salle de bain, profitant de ce que je lui tournai le dos pour resserrer le bas de mon peignoir, et entrouvrir le haut. Je sentais ses yeux sur mes hanches, et lorsque je le laissai passer pour contempler le désastre dans la salle de bain, je détournai un instant les yeux afin que les siens plongent sans embarras dans mon décolleté amène.
« Houlà, effectivement ! » s’ecria-t-il.
Il se démena comme un diable pour trouver finalement le joint fautif, entrepris de le changer et écopa l’eau dans la baignoire. Lorsqu’il eut finit, il était trempé, et je lui proposa de faire sécher ses affaires dans mon séchoir électrique, et que si il voulait il pouvait prendre une douche.
« Et vous, vous voulez ? » me demanda t il en me fixant droit dans les yeux.
Alors que je murmurai un « oui » courageux en fermant les yeux, je sentis ses mains faire tomber mon peignoir. Nous fîmes l’amour dans cette salle de bain, passant de la douche sur le séchoir, en faisant une petite incursion dans un énorme tas de serviettes propres.
Je réajustai sans enthousiasme mon peignoir de bain, rencontrant dans la glace mes yeux fatigués. Ce n’était pas raisonnable. Ce n’était pas raisonnable de se laisser aller avec un inconnu, mais c’était bon, oh que c’était bon.
«Tu vois» me dit il en finissant de réajuster son pantalon à présent sec, «tu ressembles à la rose que j’ai cueillie pour toi. Cette rose n’a pas d’épines, tu verras. Tu as son parfum enivrant, sa fraîcheur gourmande, et surtout tu ne te caches pas derrière d’illusoires épines.»
Je restai un peu interloquée, ne sachant pas si je devais prendre ces mots pour de la goujaterie de mauvais dragueur. Mais il s’approcha de moi, et m’embrassa avec tant de tendresse qu’il dissipa ces doutes.
« Ca fait des mois que je prie pour que tu m’appelles. Ca fait des mois que je te regarde et que je te désire. Je voudrais, enfin, si tu veux bien, je voudrais te revoir, être avec toi, essayer quelque chose quoi, enfin tu vois ». Ma bouche s’ouvrit de surprise et mes yeux ne purent contenir l’émotion provoquée par cette révélation. Je me blottis dans ses bras, comme un dernier recours, dans un merci muet.
Lorsque je le raccompagnai enfin dans l’entrée, j’observai attentivement sa rose. Effectivement, à la place des épines, elle avait des petites touffes de duvet soyeux, qui donnaient aussitôt l’envie de caresser. Je levai mes yeux et surprit les siens me contemplant avec tendresse. Il ouvrit la porte d’entrée sans un autre mot, et s’engouffra dans l’ascenseur qui semblait l’avoir attendu.
Je me précipitai sur le palier et le retint par l’épaule. Je lui pris un dernier baiser gourmand avant de le rendre à son travail. La porte de l’ascenseur se referma, me laissant seule sur le palier avec cette rose sans épines.
Jeu 14 Avril 2005, 09:41 par
PetitPrince sur Textes à jalons
Vint si...
19 : 35
… Quelques caresses
Du bout des lèvres
Parsèment les souffrances
D’un après hier
Deux de la même espèce
Cachés sous Sèvres
Brillante attirance
Au lit d’une rizière
Supplier sézig
D’abandonner le combat
Chercher dans ton minois
The way of nothing
… …
… Quelques caresses
Du bout des lèvres
Parsèment les souffrances
D’un après hier
Deux de la même espèce
Cachés sous Sèvres
Brillante attirance
Au lit d’une rizière
Supplier sézig
D’abandonner le combat
Chercher dans ton minois
The way of nothing
… …
Lun 24 Jan 2005, 19:35 par
Rose sur L'amour en vrac
La conquéte
Il y a deux choses que je souhaite mettre en lumière, la première, concernant l’amertume que j’interpretais en tes lignes :
Je ne vois aucune equivoque quant au sens à donner à ces lignes.
Le deuxième point que je souhaite éclaircir, c’est le rapport entre la séduction et l’amour qui semble encore confus dans tes propos.
Milles mondes bondiront d’éffroi, en lisant la première phrase, mais c’est sur la suite que je souhaite intervenir. Dans mon discours, la séduction est un acte intentionnel, c’est une chasse, c’est un jeu. Agréable, flatteur mais qui n’a rien de fondamentalement beau. Juste une comédie amusante que font des don juan ou des messalines avec plus ou moins de talent. Ce n’est pas du tout ce que tu décris dans la fin de ce paragraphe, qui s’apparente plus à une relation saine et normale . Les moments ou les murs tombent, et les émotions naissent, ne sont pas du ressort de la séduction, mais rejoignent les façons naturelles de fusionner avec un être cher. En d’autres termes, il n’est pas nécessaire de passer par un savant jeu de séduction pour vivre ces moments beaux et fragiles que tu evoque.
Séduire, ca rime avec conquérir, ca sent l’artifice, et ca utilise la finesse. Un seducteur est par essence même, un menteur, qu’il en soit conscient ou non. Ses mensonges et tromperies lui permettront de conclure peut-être avec l’être convoité. Mais si par la suite amour il doit y avoir, alors les masques chaussés devront tomber. D’ou la difficulté et les déconvennues. Me comprends-tu maintenant ?
Peut-être que mes propos déplaisent aux seductrices et aux seducteurs. Il faut malgré tout être juste et faire la part des choses entre le jeu de la séduction , que j’apprecie beaucoup, et l’amour qui me semble infiniment plus subtil et nettement moins facilement definissable. Séduire, tout le monde sait faire, aimer ...
| Une marquise a écrit: |
| Il sait écouter... surtout lorsqu’il parle
Il sait consoler... surtout quand il a mal Il sait rigoler... toujours aux dépens des autres Il aime vous embrasser... si vous aimez vous agenouiller Il peut s’émouvoir... devant ses exploits Il aime se confier... pour raconter ses anciennes conquêtes Il a le sens critique... mais il est parfait Il a plein de rêves... principalement celui d’être le premier |
Je ne vois aucune equivoque quant au sens à donner à ces lignes.
Le deuxième point que je souhaite éclaircir, c’est le rapport entre la séduction et l’amour qui semble encore confus dans tes propos.
| Ma même marquise a écrit: |
| Dans l’amour, le plus beau moment est celui de la séduction.Non pas celui où nous nous fardons, cachés derrière de jolies voitures, de gros salaires, des dessous affriolants ou des séances d’esthéticienne, mais celui où peu à peu, nous nous effeuillons, laissant apparaitre l’émotion qui nous envahit, la douceur qui nous habite, la fragilité qui nous possède, la passion qui nous obsède (..).. |
Milles mondes bondiront d’éffroi, en lisant la première phrase, mais c’est sur la suite que je souhaite intervenir. Dans mon discours, la séduction est un acte intentionnel, c’est une chasse, c’est un jeu. Agréable, flatteur mais qui n’a rien de fondamentalement beau. Juste une comédie amusante que font des don juan ou des messalines avec plus ou moins de talent. Ce n’est pas du tout ce que tu décris dans la fin de ce paragraphe, qui s’apparente plus à une relation saine et normale . Les moments ou les murs tombent, et les émotions naissent, ne sont pas du ressort de la séduction, mais rejoignent les façons naturelles de fusionner avec un être cher. En d’autres termes, il n’est pas nécessaire de passer par un savant jeu de séduction pour vivre ces moments beaux et fragiles que tu evoque.
Séduire, ca rime avec conquérir, ca sent l’artifice, et ca utilise la finesse. Un seducteur est par essence même, un menteur, qu’il en soit conscient ou non. Ses mensonges et tromperies lui permettront de conclure peut-être avec l’être convoité. Mais si par la suite amour il doit y avoir, alors les masques chaussés devront tomber. D’ou la difficulté et les déconvennues. Me comprends-tu maintenant ?
Peut-être que mes propos déplaisent aux seductrices et aux seducteurs. Il faut malgré tout être juste et faire la part des choses entre le jeu de la séduction , que j’apprecie beaucoup, et l’amour qui me semble infiniment plus subtil et nettement moins facilement definissable. Séduire, tout le monde sait faire, aimer ...
Mar 31 Août 2004, 11:17 par
PetitPrince sur La séduction
Séduire
Quelle amertume? Je n’ai aucune amertume sur les hommes que j’ai aimés ou qui m’ont aimée. Parfois un regard attendri, d’autres fois amusé, à certains moments quelques regrets. Mais jamais d’amertume. Si un jour ils m’ont plus, si un jour ils m’ont fait vibrer, c’est que quelque part il y avait quelque chose en eux... quelque chose qu’il avait inventé pour l’occasion, pour me séduire, pour se plaire à eux aussi sans doute. Je regrette qu’ils n’aient pas entretenu ce quelque chose, qu’ils n’aient pas su le préserver, ou peut-être moi le faire durer.
Ils se fardent de qualités comme nous nous fardons de poudre. A la différence qu’au réveil notre maquillage a disparu, et que parfois certains gardent encore leur masque. Peut-être que ce qui est en dessous est trop laid à montrer, peut-être qu’ils manquent de confiance en eux, sans doute nous connaissent-ils mal et nous inventent des exigences que nous n’avions pas...
Dans l’amour, le plus beau moment est celui de la séduction. Non pas celui où nous nous fardons, cachés derrière de jolies voitures, de gros salaires, des dessous affriolants ou des séances d’esthéticienne, mais celui où peu à peu, nous nous effeuillons, laissant apparaitre l’émotion qui nous envahit, la douceur qui nous habite, la fragilité qui nous possède, la passion qui nous obsède. Quand tout cela disparait, il reste la possession, l’appartenance, la jalousie, les revendications, les attentes, les devoirs, les obligations. Tout ce qui fait qu’on devient laid, qu’on oublie que rien n’est jamais acquis, qu’aimer c’est bien plus dur qu’on ne le pense...
La première séduction est la plus simple, séduire au-delà du temps est un véritable art. Une oeuvre d’une vie entière, séduire une seule personne ou en séduire tant de différentes, peu importe, la beauté du tableau se verra sur les années où vous aurez séduits. Sur les amants qui deviennent des amis, les amis qui deviennent des amants, les amants-amis qui restent des amours.
Et s’il reste de l’amertume... c’est que vous n’avez pas été séduit, ou que vous-même n’avez jamais plu... c’est que pour vous, ce n’est qu’un jeu, et que vous êtes mauvais joueur.
Ils se fardent de qualités comme nous nous fardons de poudre. A la différence qu’au réveil notre maquillage a disparu, et que parfois certains gardent encore leur masque. Peut-être que ce qui est en dessous est trop laid à montrer, peut-être qu’ils manquent de confiance en eux, sans doute nous connaissent-ils mal et nous inventent des exigences que nous n’avions pas...
Dans l’amour, le plus beau moment est celui de la séduction. Non pas celui où nous nous fardons, cachés derrière de jolies voitures, de gros salaires, des dessous affriolants ou des séances d’esthéticienne, mais celui où peu à peu, nous nous effeuillons, laissant apparaitre l’émotion qui nous envahit, la douceur qui nous habite, la fragilité qui nous possède, la passion qui nous obsède. Quand tout cela disparait, il reste la possession, l’appartenance, la jalousie, les revendications, les attentes, les devoirs, les obligations. Tout ce qui fait qu’on devient laid, qu’on oublie que rien n’est jamais acquis, qu’aimer c’est bien plus dur qu’on ne le pense...
La première séduction est la plus simple, séduire au-delà du temps est un véritable art. Une oeuvre d’une vie entière, séduire une seule personne ou en séduire tant de différentes, peu importe, la beauté du tableau se verra sur les années où vous aurez séduits. Sur les amants qui deviennent des amis, les amis qui deviennent des amants, les amants-amis qui restent des amours.
Et s’il reste de l’amertume... c’est que vous n’avez pas été séduit, ou que vous-même n’avez jamais plu... c’est que pour vous, ce n’est qu’un jeu, et que vous êtes mauvais joueur.
Mar 31 Août 2004, 09:51 par
la marquise de sade sur La séduction
Le petit paradis
Lorsque Nina arriva au petit paradis, elle perdit ce qu’elle croyait être le plus solide chez elle. Ainsi, son assurance et sa verve s’envolèrent spontanément au contact de ce monde qui paraissait aussi tentant qu’agréable. Nina n’avait pas encore vu le petit paradis, si ce n’est en photo sur des cartes postales à peu près très grossières.
Elle fut éblouie, et décontenancée aussi, ce qui ne lui permit pas de traverser les terres du petit paradis avec autant d’assurance et de fierté qu’elle en avait eu à regarder ces cartes postales enchanteresses.
Mais Nina ne croyait pas, ne savait pas.
A l’office du tourisme du petit paradis, on peut découvrir quels sont les endroits pour dormir, les meilleures places pour manger, les promenades à ne pas rater. On y devine au travers des descriptions, et avec un peu d’intuition aussi, une richesse historique certaine: comment un tel lieu aurait-il pu être construit en un seul jour. Il est des capitales qui assurément ne le furent pas aussi vite, alors le petit paradis, vous pensez bien.
Le petit paradis, c’est une destination que nulle agence de voyage ne peut proposer: on y bronze trop fort là-bas, ça ferait de l’ombre aux destinations terrestres les plus prisées du la monde servile. Par ailleurs, aucune compagnie aérienne ne possède d’avion assez beau ni assez puissant pour vous y transporter. Et comme l’océan tout entier ne saurait être à la mesure des distances de ce monde fabuleux, les faiseurs de croisières et voyages maritimes baissent le nez devant l’impossibilité de la conquête.
Et pourtant Nina y pénétra sans effort.
Elle arriva sans visa, et goûta la douceur d’un soleil de parme. Alangui, son corps s’assouplit et devint plus leste et gourmand de jour en jour. Elle prit des couleurs, et malgré son appétit tout d’un coup redoublé, son corps prit les formes que celui ci souhaitait. Elle se redécouvrit des talents oubliés, et connut ses désirs enfouis et cachés.
Elle fut transportée.
Le monde est ainsi fait, que lorsque l’on commence quelque chose, un jour ou l’autre, on arrête. Partir pour Venise, ou partir pour le petit paradis, un jour ou l’autre il faut revenir !
Et Nina de pleurer les instants de rêve ainsi goûtés.
Et sourire de ce que nulle autre ne sait.
Elle fut éblouie, et décontenancée aussi, ce qui ne lui permit pas de traverser les terres du petit paradis avec autant d’assurance et de fierté qu’elle en avait eu à regarder ces cartes postales enchanteresses.
Mais Nina ne croyait pas, ne savait pas.
A l’office du tourisme du petit paradis, on peut découvrir quels sont les endroits pour dormir, les meilleures places pour manger, les promenades à ne pas rater. On y devine au travers des descriptions, et avec un peu d’intuition aussi, une richesse historique certaine: comment un tel lieu aurait-il pu être construit en un seul jour. Il est des capitales qui assurément ne le furent pas aussi vite, alors le petit paradis, vous pensez bien.
Le petit paradis, c’est une destination que nulle agence de voyage ne peut proposer: on y bronze trop fort là-bas, ça ferait de l’ombre aux destinations terrestres les plus prisées du la monde servile. Par ailleurs, aucune compagnie aérienne ne possède d’avion assez beau ni assez puissant pour vous y transporter. Et comme l’océan tout entier ne saurait être à la mesure des distances de ce monde fabuleux, les faiseurs de croisières et voyages maritimes baissent le nez devant l’impossibilité de la conquête.
Et pourtant Nina y pénétra sans effort.
Elle arriva sans visa, et goûta la douceur d’un soleil de parme. Alangui, son corps s’assouplit et devint plus leste et gourmand de jour en jour. Elle prit des couleurs, et malgré son appétit tout d’un coup redoublé, son corps prit les formes que celui ci souhaitait. Elle se redécouvrit des talents oubliés, et connut ses désirs enfouis et cachés.
Elle fut transportée.
Le monde est ainsi fait, que lorsque l’on commence quelque chose, un jour ou l’autre, on arrête. Partir pour Venise, ou partir pour le petit paradis, un jour ou l’autre il faut revenir !
Et Nina de pleurer les instants de rêve ainsi goûtés.
Et sourire de ce que nulle autre ne sait.
Ven 09 Juil 2004, 16:33 par
PetitPrince sur L'amour en vrac
Un rayon, une pensée
Petit rayon de soleil sur mon petit grain de beauté
Que fais-tu là, curieux, insidieux, effronté?
Qui t’a permis de te glisser ainsi dans mon décolleté?
Qui t’a autorisé à venir me réchauffer et mes joues empourprées?
Petit rayon de soleil qui glisse entre mes seins
Qui t’a dit de venir ainsi visiter, petit malin,
Mes deux monts cachés par ce petit balconnet de satin?
Qui t’envoit déposer ta chaleur là où il aimerait glisser ses mains?
Petit rayon de soleil qui réchauffe ma peau
Viens, descends plus bas, chauffe-moi jusqu’aux os
Viens, je t’ouvre le passage, laisse-moi retirer le haut
Et glisse, glisse tout en bas, à la bouche mets-moi l’eau
De celui qui de là-bas m’envoit ses messages subliminaux
Que fais-tu là, curieux, insidieux, effronté?
Qui t’a permis de te glisser ainsi dans mon décolleté?
Qui t’a autorisé à venir me réchauffer et mes joues empourprées?
Petit rayon de soleil qui glisse entre mes seins
Qui t’a dit de venir ainsi visiter, petit malin,
Mes deux monts cachés par ce petit balconnet de satin?
Qui t’envoit déposer ta chaleur là où il aimerait glisser ses mains?
Petit rayon de soleil qui réchauffe ma peau
Viens, descends plus bas, chauffe-moi jusqu’aux os
Viens, je t’ouvre le passage, laisse-moi retirer le haut
Et glisse, glisse tout en bas, à la bouche mets-moi l’eau
De celui qui de là-bas m’envoit ses messages subliminaux
Ven 21 Mai 2004, 14:41 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
Les gars de 1974
Pour prendre la suite de la Tulipe et de Petit Prince , mais sur les gars bien entendu
Les gars de 1974
Ceux qui rêvaient d’apnée en grandes eaux
Ceux qui dansaient sur la bande de Bono
Ceux qui s’éclataient avec de Caunes
En attendant le 20h et les problèmes d’ozone
Ceux qui ont vu s’effrondrer le mur
Espérer un nouveau futur
Ceux qui voulaient refaire le monde
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Ceux qui ont maquillé leurs yeux
Comme Robert, ébouriffés leurs cheveux
Ceux qui chantaient "Boys don’t cry"
Les poings serrés, le pantalon étroit
Ceux qui, cachés, fumaient un joint
Derrière les chevalets de la classe de dessin
Ceux qui à la sortie du lycée m’attendaient sur leur mob
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Ceux qui ont hurlé devant Tiananmen
Quand le droit laissait place à la haine
Ceux qui se sont pris pour Verlaine
Debout sur les tables "ho capitaine, mon capitaine"
Ceux qui disaient "Tu vas bien?"
Sur les Inconnus et leur refrain
Ceux qui s’appelaient
François, Vincent ou bien Tony,
Nicolas, Frédéric, Daniel, Stéphan.
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Ceux qui rêvaient d’apnée en grandes eaux
Ceux qui dansaient sur la bande de Bono
La Marquise... fille de 1974
Les gars de 1974
Ceux qui rêvaient d’apnée en grandes eaux
Ceux qui dansaient sur la bande de Bono
Ceux qui s’éclataient avec de Caunes
En attendant le 20h et les problèmes d’ozone
Ceux qui ont vu s’effrondrer le mur
Espérer un nouveau futur
Ceux qui voulaient refaire le monde
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Ceux qui ont maquillé leurs yeux
Comme Robert, ébouriffés leurs cheveux
Ceux qui chantaient "Boys don’t cry"
Les poings serrés, le pantalon étroit
Ceux qui, cachés, fumaient un joint
Derrière les chevalets de la classe de dessin
Ceux qui à la sortie du lycée m’attendaient sur leur mob
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Ceux qui ont hurlé devant Tiananmen
Quand le droit laissait place à la haine
Ceux qui se sont pris pour Verlaine
Debout sur les tables "ho capitaine, mon capitaine"
Ceux qui disaient "Tu vas bien?"
Sur les Inconnus et leur refrain
Ceux qui s’appelaient
François, Vincent ou bien Tony,
Nicolas, Frédéric, Daniel, Stéphan.
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Ceux qui rêvaient d’apnée en grandes eaux
Ceux qui dansaient sur la bande de Bono
La Marquise... fille de 1974
Sam 01 Mai 2004, 15:48 par
la marquise de sade sur Citations
Mon Homme-oiseau
Tu sortais de ta douche, ruisselant de milliers de gouttes d’eau, tu t’es ébroué et c’est là que je l’ai vue, planant doucement, flocon immaculé.
Subrepticement je me suis penchée pour la ramasser.
Au creux de ma main, elle reposait duveteuse et frémissante, j’avais trouvé une plume de tes ailes.
Tu me caches ton état d’homme oiseau mais l’amour ne laisse que peu d’ombres dans mon cœur de femme amoureuse.
Je l’avais deviné dans tes errances, dans cet appel auquel tu réponds sans détour.
Alors tu rejoins ceux qui ont pour toit le ciel, pour patrie le monde.
Tu te fonds dans l’azur qui de sa couleur donne le ton à notre planète.
Jamais je ne ferai de mes bras un lieu fermé, même si je ne dois avoir de toi que ta voix.
Bisous
Isabel
Subrepticement je me suis penchée pour la ramasser.
Au creux de ma main, elle reposait duveteuse et frémissante, j’avais trouvé une plume de tes ailes.
Tu me caches ton état d’homme oiseau mais l’amour ne laisse que peu d’ombres dans mon cœur de femme amoureuse.
Je l’avais deviné dans tes errances, dans cet appel auquel tu réponds sans détour.
Alors tu rejoins ceux qui ont pour toit le ciel, pour patrie le monde.
Tu te fonds dans l’azur qui de sa couleur donne le ton à notre planète.
Jamais je ne ferai de mes bras un lieu fermé, même si je ne dois avoir de toi que ta voix.
Bisous
Isabel
Sam 07 Fév 2004, 16:03 par
Isabel sur L'amour en vrac
Ecrire sur caches
A la découvert des trésors cachés, Combattre encore et toujours pour ne pas retomber, Passion, La conquête., Ma première déclaration à Bénédicte..., La fuite d'eau, Vint si..., La conquéte, Séduire, Le petit paradis, Un rayon, une pensée, Les gars de 1974, Mon Homme-oiseau, Il y a 28 textes utilisant le mot caches. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Dans les nuages
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- aimer
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