Joli texte caressedesyeux

je réponds à votre ode à l’hiver

de l’hiver à des


Branches immobiles,
Terres infertiles,
Triste des ,
Tout meurt d’attendre

Tout s’éteint et se crève,
Du long froid de l’hiver
S’endorment jusqu’à nos rêves,
La nuit dort sur nos pierres

Disparus nos ciels de bleu
D’un vent froid irrespectueux
Qui glace nos cœurs qui s’aiment
Nos yeux qui brillent et s’éteignent

Frissonique est le songe
Du blanc sur un mensonge
Du grand manteau étrange
De l’incolore qui nous dérange

Laconiques silences
De la mort des mésanges,
Plus de couleurs n’arrangent
Les mots des cœurs vides de sens.

Lancinants chants de mort
Dans la plaine qui s’endort
Où dansent et se parsèment
Les premiers matins blêmes
Qui souffrent au pied des cinq lettres
Des pleurs de l’hiver aux fenêtres

Nos cahiers sont de glace
Nos plumes y glissent et cassent,
De rage maudissent l’orfèvre
De l’hiver à mes lèvres,
Grand blanc sans je t’aime

Jime
Mar 16 Déc 2014, 08:56 par Jime sur L'amour en vrac

Prends ce que je t'aime (texte de chanson de jime)

J’ai le sang des sentiments
Pour toi aux dunes légères
Qui parcours mes rondeurs
Quand il entrevoit les tiennes
Mais côté pile ou côté face
Rien n’est fait pour s’emboiter
Mais j’t’aime malgré malgré malgré ça...

Il n’y a rien qui me dérange
A t’aimer, toi, fait pareille
A rêver bien d’autre chose
Que l’universelle rose
Celle qui plombe tant de colombes dans des relations contraires
qui s’entachent de défaites, et de somme de déceptions
Moi je te parle d’un amour qui ne craint pas ces frontières

Prends ce que je t’aime
Prends ce que je t’aime

WOwowowow….

Je n’ai pas l’accroc du choix
de mettre posée sur toi
vibrionnée par ce droit
que certains n’acceptent pas
Moi j’t’ai cueilli comme une fleur
Comme elles sont et tas d’âmes
Leurs voies, ces feux qui ne dressent pas de lumière

Prends ce que je t’aime

J’gomme l’effluve de ceux qui pleuvent les relents du bien penser
J’aboierais tant qu’il faudra pour que tu saignes ma vérité
j’t’aime à héler le dôme des joies
Soutenues dans les sphères saphiquement printanières

Prends ce que je t’aime
Prends ce que je t’aime

Privilège,
Les routes de chaque jour sont tes nuits
Ces heures hors rang soulevant les flagrances d’envies
Dans la prose des émois d’un typhon double féminin de corps
Jeux d’accords de reins dans le sofa où toi et je fusionnons, l’aubade de l’envers.

Prends ce que je t’aime

J’gomme l’effluve de ceux qui pleuvent les relents du bien penser
J’aboierais tant qu’il faudra pour que tu saignes ma vérité
j’t’aime à héler le dôme des joies
Soutenues dans les sphères saphiquement printanières

Prends ce que je t’aime
Prends ce que je t’aime

J’gomme l’effluve de ceux qui pleuvent les relents du bien penser
J’perpétuerais le pareil pour caresser tes merveilles
Liane nue dans la dentelle t’enroulant comme le lierre

Prends ce que je t’aime

JIME
Mer 27 Mars 2013, 09:07 par Jime sur L'amour en vrac

L'escalier

L’escalier

J’aurais peut être pu comprendre
Si tu m’avais un peu parlé
plutôt que de descendre
Les marches de cet escalier
et quelques étages plus bas
échapper à nous à jamais
sans bruit et sans éclat
il y a des dans mon thé.
Des ruines de toi dans la maison
Un gout amer dans l’escalier
Ton départ c’est comme un poison
Qui lentement sans s’arrêter
M’amène au bout du mot fini.
Des traces de quoi sur l’oreiller
Tes vils parfums que je maudits
Il y a des dans mon thé
Rester seul, si cela doit être
Dans mon confort d’incertitudes
Je saurais faire dans le paraître
Pour que ne pèse ma solitude.
Mais restera comme souvenir
Vestige ultime de ce passé
Cet escalier que je dois gravir
Quand il y a des dans mon thé.
Mer 25 Juil 2012, 12:21 par Jime sur L'amour en vrac

Texte "d'amour" composé à 15 ans

Pourquoi rester ici alors qu’en faite , je ne fais que subir le reste de mes maux d’autrefois .. J’ai certes attenté à finir ce restant de ma vie tant de fois mais aucune n’a su se concrétiser .. Sais tu pourquoi , toi qui es entrain de lire ceci ? Je ne pourrais t’apporter qu’un fragment de réponse sûrement , mais au moins sache que si je peux encore écrire , c’est qu’une force me maintient , même si elle est infime , je pense qu’il y à une chance qu’elle renaisse de ses .. La vie est dure , mais elle l’est moins quand tu as quelqu’un à tes côtés , quand quelqu’un s’inquiète réellement pour toi. Autant il y en a qui peuvent te faire croire et espérer à tant de choses , bah elle au moins ne te fais rien espèrer. Elle te dit ce qu’elle pense , sur le coup , et c’est ça qui est bien. Car quand tu aimes une personne , tu ne lui caches rien. Que sa lui plaise ou non , elle le saura au bout d’un certain moment .. Elle est extrêmement fine aussi dans ses propos. Elle fait tant de choses qu’aucune autre ne ferait .. Si je l’aime et qu’elle compte plus que des milliers de diaments pour moi , c’est qu’elle , malgré ses problèmes a l’épaule solide. La vie est certes une pute , mais c’est aussi une source d’expériance inépuisable.. La vie te fait part de tonnes de choses .. Si je n’aurais pas été vivant .. Je n’aurais jamais eu l’occasion de rencontrer une fille aussi belle , aussi attachante que toi .. Tu es la lyre d’une déesse , la muse d’un poète et l’inspiration d’un jeune homme , tu es le coeur de tant de convoitise , même si elle n’est partagée que par un seul être , cette dernière fait de toi , la personne la plus importante à ses yeux. Je ne sais pas si je devrais te le répéter encore , mais je t’aime. Et sa , je me le dis chaque seconde passante ... Car c’est grâce à ça que je ne fait pas de bêtises. Je me sens invincible par rapport aux problèmes encontrés , même s’ils sont parfois éprouvants , savoir que tu es la me permet de me reconsolider à chaque instant de peine. Car tu es mon tout , ce qui me fait respirer (en dehors des poumons bien sur) , ce qui me fait penser .. Je n’aurais besoin que de toi pour former mon corps si tout ne serait pas necessaire. Car tu es mon coeur (je suis éperduement amoureux de toi) , mon cerveau (je penses a toi tout le temps et tu es le centre de mes pensées) , mes poumons (je peux respirer car tu es la , à mes côtés) , mes jambes (tu me permet d’avancer..) , mes épaules (Je peux me reposer dessus quand je suis mélancolique) , mes bras (Je peux porter le lourd fardeau de la vie grâce à ta présence) , mes yeux (sans toi , tout serait noir..) , mes oreilles (Entendre le son de ta voix est comme une douce mélodie à mon oreille) .. Tant de mots pour décrire une chose , un sentiment qui ne s’éteindra jamais .. Certes tu ne te considére pas comme une fille parfaite. Mais pour moi , plus parfaite que toi n’existe pas. Tu as toutes les qualités dont je pouvais rêver , et être rêveur , c’est aussi avoir les pieds à la fois sur Terre et à la fois être dans son monde , c’est ce qui fait la beauté de tout les sentiments. La vie est .. Assez complexe. Mais avec toi à mes côtés , je traverserais tout ce dont il me sera donné de traverser...
Dim 29 Avril 2012, 13:17 par rere24110 sur L'amour en vrac

Triste poésie

Le regard triste et le visage amaigri,
Dissimulant par des sourires, ce qui ronge sa vie,
Emprisonnée d’un amour tyrannique sans limite,
Vivant dans le déni de ce que chaque jour, elle subit,
Le moindre coup dur, tour à tour la détruit.
Ses rêves et ses joies ne sont plus que des miettes,
Enterrés par les actes de ce type qui la maltraite,
Bafouant les lois, son esprit et son corps il meurtrit,
Elle qui croyait en lui, son amour il a trahit.
Le miroir ne reflète que le teint de sa mine blafarde,
Epuisée par la haine et la rage dont il la bombarde,
Ses mots sont des armes auxquelles elle répond par les larmes,
Ses coups de trop sont des couteaux qui déchirent sa peau,
Ennivrant son corps d’un breuvage passionnel,
Qui n’a rien de charnel.
Drôle de dame que cette femme éprise d’amour pour un fou,
Cet homme sans âme ni charme qui la met à genou.
Elle se complaît sans répit dans ce drame qu’est sa vie,
Malgré les souffrances que lui valent sa dépendance,
Portant sa passion destructrice à l’apogée du vice,
Elle prône le silence qui la mène vers sa dernière danse,
Où un air mélodieux la berce en pleine utopie.
Il lui construit un avenir bien digne d’une chimère,
Un monde tant convoité où elle pourrait être mère,
Et lui, prendrait la place de ce père éphémère,
Il le lui a promis, il n’y aura point d’adultère.
Prisonnière d’une tour de verre et d’un amour bien amère,
Elle songe enfin à s’échapper vers un autre univers,
Ne supportant plus le poids des actes de son infidèle,
Elle ne s’y méprend plus, il lui a brûlé les ailes.
La flamme de son coeur à petit feu se meurt,
Plus de place pour la peur et encore moins pour les pleurs,
La passion laissant place à des endiablées,
Des sentiments de glaces, aucun meuble à sauver,
C’est sans le moindre regret, ni même se retourner,
Qu’un beau matin d’été, loin de lui elle s’en est allée.
Sam 08 Jan 2011, 23:51 par Atina sur L'amour en vrac

Oiseaux de feu

Offre-moi ton corps, pour le salut de mon âme, et prends le mien. Rapprochons-nous. Laissons glisser nos mains… Eclatons nos bulles pour n’être qu’un. Que nos bouches fassent ce qu’elles veulent. Mangeons-nous, buvons-nous, laissons s’exhaler les saveurs…

Mélangeons-nous, emboitons-nous, dans tous les sens, pour le bonheur des sens et sans interdit. Soyons beaux. Soyons fous. Soyons libres… Laissons nos cœurs s’emballer.

Regardons-nous... Aimons-nous au rythme du va-et-vient de la chair, compte-à-rebours de l’extase, faisons-nous trembler.

Abandonne-toi, comme moi je m’abandonne, en un subtil équilibre.

Laissons raisonner notre plaisir, tel une vague venant lécher chaque parcelle de nos corps, chauds, rougis, ruisselants et lisses… Que nos fluides apaisent le feu, pour mieux qu’il brûle encore, avec la même intensité. Vivons dans le péché. Enivrons nous l’un de l’autre, sans retenue.

Consumons-nous, pour mieux renaître de nos , tels deux phœnix à la saison des amours… Deux nids, deux cœurs, deux vies, un destin. On m’a dit que, quel que soit l’espace qui les sépare, ils se retrouvent… Si c’est de la magie, alors c’est vrai.
Lun 22 Fév 2010, 01:30 par Devetu sur Les liaisons sulfureuses

Eros&Thanatos

Amour-passion; mort-érosion. C’est un jeu morbide mais excitant qui nous tient en haleine. Celui du tour de passe-passe entre désir et néant.


Boris, ton corps contre le mien. Je sens le souffle chaud de ton existence contre mon cœur meurtri. Je chavire d’amour. Tes mains ont dénoué lentement les nœuds de mon appréhension, alors que la nuit fuyait à l’aube blafarde. Boris, ton parfum prédateur sur ma peau oubliée, qui me rappelle doucement que oui, je suis. Mais Boris, déjà tu m’échappes, criblé de balles ennemies, alors que ton dernier baiser résonne encore contre ma joue. Tu as cessé d’être, sur le champ de bataille, embourbé dans cette gadoue minée, sans me laisser le moindre espoir de survie.
Et pourtant.

Gregor, ton charme naissant dans mon regard velours. Je te souris, un peu amère, mais tu sais bien, pour Boris, et tu m’offres ta patience. Gregor, tes bras, ton regard, tes mots. Je ne suis plus sensuelle, habituelle, simplement ravagée de chagrin. Tes silences sont exutoire et ta présence espoir. Je n’ai pas encore succombé, il reste une lueur, au loin. Gregor, dans ton bonheur silencieux, ma renaissance. Mais Gregor, déjà tu halètes, dans ce lit noir. Tu souffles, tu gémis, tu cris. Puis tu te tais. La sueur recouvre ton front, ainsi que les noirs bubons. Dans la souffrance sordide de la maladie, tu me quittes. Noirs horizons.
Et pourtant.

Piotr, tes yeux de braises, ton cœur de . Tout contre ton âme, j’ai trouvé le repos. Mots de velours, ponctuation de satin, chaque instant est alexandrin, sonnet. Nous sommes heureux, Piotr, ma main dans la tienne. Il ne nous reste guère qu’une commune douleur, mais elle s’atténue dans nos complicités implicites. Piotr, amant de secrets, comme si rien ne devait jamais finir. Mais Piotr, mon souffle est court, mes mains tremblent. La ride court de mon front à mon frêle sourire. Me voilà qui m’enfonce peu à peu dans le bienfait d’un sommeil sans lendemain.
Et pourtant.


Boris, Gregor, Piotr. Amours perdus. La mort vous guettent, amants furtifs, comme elle a brisé mes pas. L’Eternité est un mensonge glacé, mais peut-être faut-il simplement apprendre à La déjouer ?
Piotr, et pourtant. Mais qui nous en dira la fin, à présent ?



Surtout pour Boris. Parce que c’est mon amant vocabulaire. Vous savez, Boris, avec un V.
Dim 20 Avril 2008, 11:28 par Etrangloir sur Parler d'amour

Lettre ouverte au Père Noël

Cher Père Noël,

Tu sais - comme moi - que je ne suis plus une petite fille et ce depuis bien des années. Néanmoins, j’entends tellement dire que je suis restée enfant que je t’écris cette lettre... Oh, tu peux te moquer de moi, ce ne seront pas les premiers sarcasmes et puis, je suis comme je suis, n’est-ce pas, si cela te fait rire alors tant mieux, c’est un peu de joie que je t’aurais donnée.
L’amour ? C’est l’amour qui est au coeur de ma demande. Car tu l’as bien compris je viens vers toi avec un coeur implorant. Père Noël, voilà bien des années que je regarde l’amour et ne le vis pas, je le contemple le nez collé contre la vitre du bonheur. Enfant on m’avait appris que l’amour se méritait, mais non, non, je sais aujourd’hui qu’il est gratuit et que, de surcroît, on en a tous besoin pour vivre. Et oui, tous autant que nous sommes. Certains le ressentent mais il reste sans objet... D’autres ont perdu le chemin de leur coeur à force d’enfermement.
Ma vie m’est presque à charge : à quoi sert de vivre si l’on ne peut remplir sa vocation, à quoi sert de ressentir l’amour lorsqu’il demeure unilatéral et qu’en fin de compte on ne ressent sa morçure que pour savoir que l’on est privé de ses joies ? Ma vocation propre est dans l’amour. L’amour, je l’espère, j’y crois naïvement à chaque instant. Cependant, il ne me reste entre les doigts - sitôt mon coeur enflammé - que des : l’être aimé/aimant où est-il ? Un petit génie m’avait demandé de faire un voeu, je l’ai fait mais hélas, le génie s’est enfui avec mon voeu sous le bras et mon coeur saigne... Je suis fatiguée.
J’ai besoin d’aimer et d’être aimée Père Noël, c’est le moteur de ma vie, c’est l’amour qui me donne la force de me battre, la force d’avancer, la force de me relever.
Nous sommes nombreux à connaître la solitude du coeur, alors je t’en prie pour Noël, puisses-tu apporter à toutes ces âmes la joie de l’amour partagé. Pas des tas d’amour de surconsommation à prendre et à jeter après usage, non, l’amour, tendre et vrai, l’amour propre à chacun, à chacune.
Je t’embrasse bien doucement de tout mon coeur d’enfant puisqu’enfant il y a.
Avec une pluie de tendresse,

Dolce
Mar 19 Déc 2006, 13:27 par dolce vita sur Mille choses

Phénix

De mes de chagrins
Je ressucite mes bonheurs.


Marie
Jeu 31 Août 2006, 17:27 par Satine sur Mille choses

Briser cette coquille qui m'étouffe

Parfois je désire parfois j’ai peur
Je dois dire adieu
A cet amour bercé de milles étoiles
Je lui ai donné mon coeur
Et lui ai promis mon corps

Je veux m’en sortir
Briser cette coquille qui m’étouffe
En attendant je reprends mon souffle
Je dois remonter à la surface
Survivre et me nourrir
Essayer de percevoir
A travers mon regard encore brumeux
Ces quelques lueurs
Dans un ciel au noir insondable
Mes yeux timidement s’ouvrent
Et petit à petit
S’habituent à cette lumière aveuglante
Mon coeur et mon corps
Reprennent goût à la vie,
A ce bonheur que je m’étais interdit

Je le vois renaître de ses
Cet oiseau aux couleurs chatoyantes
M’enveloppant de ses ailes
Encore fragiles et tremblantes
Mer 30 Août 2006, 22:52 par joullia sur Histoires d'amour

Je ne goûterai plus de ta vie

Ton prénom a refusé de caresser mes jours et bercer mes nuits.
Tes mains ont repoussé mon coeur par désamour.
Ton âme a repoussé mon être par déraison.
La gomme de ton âme veut rayer mon souvenir.
Ma vie s’essouffle, mon visage disparaît.

Mon jour a perdu tous ses pétales vermeil.
L’azur m’abandonne et engloutit mon soleil.
Par ta défiance, ma passion devient honteuse ;
Pourtant, mon image était fière et fougueuse.

Ton silence détruit l’amour qu’on a construit.
C’est dans tes yeux que toutes mes larmes s’enfuient.
Tant d’heures si douces ont délaissé mon coeur.
Tant d’amour aurait dû connaître ta douceur.

Je ne goûterai plus de ta vie les délices.
Le sablier du temps a rendu son terrible office.
Les mois deviennent trop courts ; l’hiver m’envahit.
Où sont passées les saisons, que les dieux m’ont pris ?
Les quatres saisons ne sont plus qu’une à mes yeux.

T’avouer ma passion et ne pas être aimée.
La flamme de mon amour ne peut te blâmer.
Je t’ai perdu ; peux-tu entendre mes soupirs ?
Mon voyage se termine seule, sans tes désirs.

Mon coeur tombe en du feu de ton dédain ;
Je dépose ces reliques entre tes mains.
Ma belle âme s’étouffe dans ton infini.
Dans l’avenir, mes jours ne seront qu’avanis.

Je ne garde pour tout soleil que ton étoile.
Dans l’Au-delà, les nuages seront mes toiles.
Jamais une femme n’a pu et ne pourra te dire
Tous les mots d’amour que mon coeur a pu t’écrire.
Et seule ma toile a le privilège de lire les mots.

L’amour reprend ce que je n’ai pas mérité.
Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ?
Mer 16 Août 2006, 22:21 par joullia sur L'amour en vrac

Mon âme et mon toi

O mon prince du désert, mon toi, mon âme,
On a mis en mémoire des rêves qui nous ressemblent,
On arrêtait le temps quelquefois,
Sans demander comment ni pourquoi,
On se retrouvait là sur ce chat.
Est-ce que toi aussi tu trembles ?
Parce que l’avenir te fait peur,
Est-ce que nos vies se ressemblent ?
Sommes-nous à côté de nos coeurs

O mon prince du désert, mon âme, mon toi,
J’aimerais qu’on soit ensemble
Pour partager nos joies et douleur
Est ce que je compte pour toi ?
Je ne suis qu’une écorce toute gravée de toi,
O mon prince,
Même loin, rien ne me soigne,
Mon coeur éteint ses ,
Au coeur de tes bras.
O mon prince,
Je perds mon âme,
Je meurs de ton absence,
Délivre-moi,
De ma prison de verre,
De ma tour,
Enchaîne ma vie a la tienne.
Avant que mon sang ne se mélange,
Aux larmes tombées à nos pieds,
Je meurs de ton indifférence,
Aime-moi !
O mon prince,
J’ai peur de tes silences,
Mon coeur, tout bas, se meurt de froid.

O mon prince, mon toi et mon âme,
Je parle à moi qui ne vis plus,
Avant de perdre la mémoire,
Pourquoi faut il toujours s’enfuir ?
C’est pas normal de tant souffrir,
Je ne peux plus me taire,
La liberté se meurt,
A coup de trahison.
A coup de déraison.
Alors je crie plus fort,
A m’arracher le coeur,
Pour dire combien je t’Aime
Pour dire combien j’ai Peur.
Je parle à moi qui rend les armes,
Ouvre les yeux,
Sors de ta bulle,
Sors de ta solitude,
Sors de tes peurs,
Pourquoi faut il bâtir des murs pour ce guérir ?
C’est pas normal de tant souffrir,
Je ne veux plus me taire,
Face à ce monde de guerre et de haine,
Face à ces hommes abominables,
Face à ce manque d’Amour dans le monde....

O mon prince, mon âme soeur, mon toi
Loin de toi je n’ai plus d’ailleurs
Partout où que je sois,
Il me manque tout puisqu’il me manque toi.
Je voudrais être à cette place différence,
Celle de l’âme soeur qui comprend tout,
Celle qui sait porter secours,
Celle qui remplit ton coeur.
Je voudrais être ta femme, ta maîtresse, ton amie, ta confidente et la mère de tes enfants.
Viens jusqu’à moi.
Ven 04 Août 2006, 10:38 par joullia sur Parler d'amour

A une ombre

Je te sens planer sur ma vie
En silence
Tes adieux n’ont pas effacé
Ta présence
Je chasse loin de mes pensées
La souffrance
De l’amour que tu veux tuer
Sans complaisance
Son parfum porte les regrets
Comme l’ambre
De ce qui nous a habité
Ce me semble
L’amour ne se peut tuer
Sans les
Des coeurs que l’on a blessé
Au plus tendre
C’est par lui si l’on a joui
Oui, ensemble
C’est à lui que tu as menti
sans comprendre
Dim 28 Mai 2006, 09:56 par dolce vita sur L'amour en vrac

Muguet bonheur amour

Avoir le bonheur de vivre l’amour
Je te le souhaite âme tendre

Avoir le bonheur de sourire au jour
Que ta joie disperse les

Avoir le bonheur de naître à l’amour
Et ta vie à deux mains la prendre...
Lun 01 Mai 2006, 10:51 par dolce vita sur Mille choses

Pulsions basiques. Episode 1.

Cela faisait un an maintenant que Cécile travaillait comme agent secret. Cette mission-ci ne s’annonçait pas de tout repos et elle espérait bien prendre des vacances après. Il s’agissait de coffrer Tom, un super beau gars, qui avait eu la très mauvaise idée d’être trafiquant de drogue. Cécile avait réussi à l’approcher en jouant de son charme. Tom y avait été très sensible et Cécile devait bien admettre que sortir avec ce bel homme était la partie agréable de son travail d’autant plus qu’il était bon amant! Il était grand et élancé, ses cheveux blonds cendrés toujours impeccablement coiffés faisaient ressortir ses yeux noisettes. Sa bouche attirante incitait au baiser. Le plus drôle, c’est que peu de gens savaient réellement ce qu’il valait. Il avait tellement l’apparence d’un type bien : gentil, galant, cultivé! Cécile commençait à cerner ses travers et ses faiblesses, les femmes étaient l’une d’entre elles.

Ce soir là, ils avaient rendez-vous : Tom avait proposé un resto mais Cécile avait dû trouver un prétexte pour décliner. Ils ne mangeaient vraisemblablement pas la même chose pensait-elle, moqueuse! Donc, ils avaient opté pour le cinéma. Cécile finissait de se préparer et jeta un coup d’oeil dans le miroir. Sa mini jupe noire et ses escarpins à talons hauts mettaient en valeur ses longues jambes au galbe parfait. Son T-shirt très moulant révélait ses formes généreuse. Elle avait rassemblé ses longs cheveux auburns en un chignon souple d’où s’échappaient négligemment quelques mèches soyeuses. Elle était ravissante et espérait boulverser Tom au point de le pousser à quelques confidences.

L’heure de leur rencontre approchait. Cécile avait tout juste le temps de prendre un petit en-cas. Elle ouvrit son réfrigérateur et s’empara d’un berlingot dont elle bu le contenu avec délice jusqu’à la dernière goutte.

Tom et Cécile étaient assis côte à côte dans la salle obscure. Le film était plutôt bon mais ils en perdaient le cours lorsqu’ils échangeaient des baisers de plus en plus torrides. Cécile sentait qu’elle marquait des points. Tom la désirait ardemment, peut-être tombait-il amoureux, restait à gagner sa confiance... Dans la pénombre, Tom s’enhardissait, ses mains s’égaraient sur la poitrine de Cécile, glissaient jusqu’à sa taille fine et tentaient de s’insinuer sous sa jupe courte. Bien qu’elle fut là "pour le boulot", Cécile décida de profiter de cette récréation qui s’annonçait. La nuit promettait d’être charnelle...

A suivre

Syolann
Sam 04 Sep 2004, 00:52 par syolann sur Les liaisons sulfureuses
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