Les Larmes (6)...

Mes larmes ont cessé de couler
Elles restent enfouies dans mon âme blessée
Pourquoi ne tombent elles plus
Alors que je n’en peux plus
J’ai tant de à pleurer
Que je pourrais innonder un monde entier...

Loyd
Mer 13 Juin 2007, 00:46 par Loyd sur Citations

Où il est question de séduction

Rêver à fleur de cil dans un rêve bleuté
et puis se réveiller pour mieux te retrouver.
Saluer l’aube claire et ce parfum exquis
qui habille les roses et qu’on nomme la vie !
Oh ! surtout ne rien regretter du passé.
Il dort, paisible et sage, ne le tourmentons pas.
Le jour point et mon corps se pare de tes doigts,
riches de toutes que j’apprends pas à pas.
Tu m’éveilles à ces jeux comme une adolescente
qu’un soleil éblouit et qui trouve troublantes
les heures qui nous lient !
Oh, tu es lourd de beauté mâle et cela te sied bien.
M’envoûtent tes gestes lents, précis cristaux de quartz,
m’enivrent tes parfums et ton âme, Italien !
Avec toi mille volts et tout autant de watts !
Que j’aime à t’écouter et ne me prive pas
de mieux te contempler, aussi, du bout des doigts
comme un livre sacré. Tabernacle d’amour,
je veux, puiser, ce jour et encor demain
les bienfaits de l’amour et t’en ceindre les reins...
Jeu 07 Juin 2007, 12:12 par dolce vita sur La séduction

Jalousie...

La jalousie est comme un acide qui attaque d’abord le coeur du jaloux lui-même
pour atteindre ensuite celui qu’il jalouse.

Ostad Elahi
Extrait de " Maximes de guidance "





La jalousie ne permet jamais de voir les telles qu’elles sont.
Les jaloux voient le réel à travers un miroir déformant
qui grossit les détails insignifiants,
transforme les nains en géants et les soupçons en vérité.

Miguel de Cervantès


Je hais ce sentiment qui peut conduire au désespoir...
le mien, en autre...

Marie
Mar 29 Mai 2007, 10:10 par Satine sur Histoires d'amour

Une lettre d'amour




Chéri,
La brise se retient, le ciel s’assombris, il est chargé, bientôt il va pleuvoir et… il faut que je parte.
Déjà cela me manque, l’atmosphère chaleureuse de l’appart, l’odeur de la cuisine, le divan lit du salon, témoins de tant de nos acrobaties. Déjà, oui mon amour, la nostalgie de ces années passées ensemble, de ces années de joie et de peine, ces années euphoriques un peu propriétaires peut-être de notre vie, celle-la même qu’on ne partagera plus…jamais… Hélas !
Que je t’aime ! Que je t’aime ! Que je t’aime ! Cet amour que ces années n’ont pas réussit à ternir l’éclat, au contraire ils l’ont agrandit, mûrit, l’assagit et est-ce peut-être à cause de cela qu’aujourd’hui j’ai la force de te dire au revoir?… Adieu?
Depuis des années que je voulais te le dire mais depuis des années que ma lâcheté, mon égoïsme m’en empêchait. Oh mon chéri ! Pardonne moi ces temps perdus ; ces rêves jamais réalisés, rangés parce que soudain notre vie ne les permettait plus. Oui chéri, excuse-moi ces aventures que tu aurais voulu vivre, ces amours qui te fantasmaient…forts et si différents de moi.
Aujourd’hui c’est différent, j’ai compris, l’amour ce sentiment que je croyais connaître se relève enfin en moi et tout cela grâce à toi. Il est d’une telle simplicité, d’une telle beauté et d’une telle finesse que ce que je vivais jadis, oui me parait-il soudain, n’était qu’un vulgaire narcissisme.
Merci pour tout ; pour notre histoire, si elle n’avait pas été, je l’aurais inventé. Merci pour cette amitié qui me fut nécessaire en un moment où je ne savais comment résister aux vicissitudes de la vie ; merci de m’avoir aider à être heureuse, moi qui croyais que le bonheur est pure invention des poètes ; oh oui chéri, merci de m’éloigner à jamais cette peur qui me paralysait et paralysait mon existence. Avec toi j’appris à vivre et de croire en ma valeur, je connue le pardon à une dimension qui m’affranchit.
J’imagine combien cela a dû te coûter même si je feignais les naïves quand des fois je surprenais sur ton visage la lassitude d’une vie faite désormais de routine et d’habitude. Oui je fermais les yeux, quand tes attitudes notaient cet abattement, cet air désabusé d’un destin non réalisé, ou, quand ton regard partait loin, là bas, chercher des que je n’arrivais pas à te donner. Tu vois que je n’étais pas dupe quand quelquefois dans une gaîté à peine forcée tu me disais « je t’aime » tu le disais tellement fort comme pour t’en convaincre toi-même plus que moi. Alors dans ma lâcheté, oui je me convie, je te caressais le visage, tes doigts fins et je m’enfuyais dans tes bras, seulement préoccupée de mon seul bien-être. Pardonne moi chéri…j’étais faible.
Si il arrivait de nous chamailler pour des banalités en apparence, je sais maintenant que c’était parce que je t’en voulais de ne pas être totalement mien, ou parce que tu me reprochais de ne pas pouvoir te donner ce qui te manque.
Je l’ai compris depuis que pour toi mon amour, sont devenu authentiques mes sentiments. Je n’ai plus le droit de te freiner dans ta quête. Je ne le peux même plus.

Quand tu rentreras ce soir je ne serais plus là. Désormais la moitié de notre armoire restera vide, on ne se chamaillera plus pour une rangée de plus ou de moins, et cela me manquera. Dans la salle de bain j’ai volé un peu de ton gel douche, j’ai eu peur d’oublier un jour ton odeur, ne m’en veux pas. Notre photo sur la vieille commode du salon, je l’ai pris également cela t’aidera d’aller plus vite de l’avant et elle m’aidera de continuer à croire encore au bonheur. Mais sur le lit, il y’ aura ta vielle chemise qui depuis de années me sert de robe de nuit, je ne l’ai pas prit, s’aurait été pour moi un souvenir de trop.
Quand tu liras cette lettre, chéri, tu comprendras sans doute que c’est parce que je t’aime que, je dois partir. Ne soit pas très triste, au contraire soit heureux, ce départ n’est pas une trahison, ni une rupture, juste une nécessité, tu t’en apercevras plu tard; ne me déteste pas non plus, je ne le supporterais pas, néanmoins tu pourras m’oublier si cela peut t’aider à te construire une vie meilleure…mais ne doute jamais que c’est parce que je t’aime que je suis parti.
Ta chérie.
Lun 28 Mai 2007, 23:00 par agna sur La vie à deux

Effets spéciaux

Dès que l’aurore pointe,
Nadia et Horacio
Se lancent de jolies pointes,
Epigrammes et bons mots.

Les petites vacheries
Sont leur manie, leur coutume.
Au p’tit-déj’, ils se charrient,
S’entartent et s’enclument.

Ils n’ont qu’à contempler
Leurs T-shirts de cartoon
Pour aussitôt s’appeler
Cunégonde et Bille de Clown.

Sur celui de Nadia,
Vil Coyote a l’air idiot.
Charlie Brown est béat
Sur celui d’Horacio.

Déclic, suite humoristique.
C’est l’effet T-shirt BD
Qui provoque, automatique,
Leurs délires débridés.

Ils se mettent au travail,
Horacio veille aux baignades,
Et Nadia ravitaille
Le bar en citronnades.

A la fin du service,
L’esprit dans les nuages,
Ils se promènent, complices,
Main dans la main, sur la plage.

Nadia, les épaules nues,
Fredonne une mélodie,
Osant des mots saugrenus,
Mots frondeurs de parodie.

Tifao les rejoint là.
C’est le guide pour touristes,
Frère de lait de Nadia.
Leur trio, c’est pas triste.

Horacio et son beau-frère,
En deux ou trois minutes,
Se mettent le torse à l’air
Et commencent une lutte.

Déclic pugilistique.
C’est l’effet torse nu
Qui déclenche, magique,
La bataille attendue.

Nadia regarde, amusée,
Ce beau combat du soir.
Ses épaules dénudées
Remuent, rythmant la bagarre.

Mais la belle a aussi
Des à exprimer.
Elle plonge, et voici
Qu’ils sont trois à cogner.

La nuit, sur leur lit mutin,
Dans le plus simple appareil,
A une heure du matin,
Nadia et Horacio veillent.

Sans chemise et sans futal,
Sans short et sans bustier,
Longs soupirs de cristal,
Grincements de sommier.

Déclic, suite érotique.
C’est l’effet nudité
Qui allume, féerique,
L’ardente vivacité.

Rire, se battre, s’aimer,
C’est la vie des deux loustics.
Sont pas près de se calmer
Dans leurs effets artistiques.
Sam 12 Mai 2007, 22:10 par Nadia et Horacio sur La vie à deux

Pensées fugaces

Le ciel d’un bleu foncé
la lune en ascendance
pensées focalisées
sur le doute et l’absence

Je pense à toi toujours
tu es là dans mes cieux
dans mes rêves d’Amour
mes songes inharmonieux

Je ne resterai pas
dans cet indéfini
je guiderai mes pas
je dois rester en vie

Je vais partir sûrement
t’échapper pour de vrai
m’éloigner tendrement
effacer cet attrait

Qui nous lie maintenant
depuis longtemps déjà
semblant nier le temps
se nourrir de combats.

Je veux rester sereine
éternelle et vivante
ou bien partir sans peine
heureuse et dilétante

Tu resteras pour moi
cet espoir de promesse
cette brume, cet émoi
cet élan de tendresse.

Je t’aime encore bien sûr
je te désire toujours
je pars vers d’autre azur
sans espoir de retour

Ces mots sont là pour toi
qu’ils te nourrissent enfin
qu’ils rencontrent ta foi
qu’ils te fassent être bien

Dans tes incertitudes
ta peur d’aimer vraiment
sache que ma solitude
s’inscrit comme un aimant

Le ciel d’un bleu foncé
la lune en ascendance
je renie le passé
et poursuis ma sentence

La vie est ainsi faite
que les essentielles
se cachent et se répètent
sous l’aval du ciel.
Lun 26 Mars 2007, 17:36 par jatea sur L'amour en vrac

Morphine [Yaoi]

3. Dans le bain, Second Rituel

Bill dégoulinait toujours de lait et en répandait un peu partout pendant que lui et Tom montaient à l’étage.
Ils allèrent à la salle de bain, où Bill mit l’eau à couler dans la baignoire. Tom l’enlaça dans le dos et passait ses mains sur son étoile. Bill avait relevé la tête et l’avait fait basculé sur l’épaule de son grand frère, les yeux vers le plafond. Puis il se mit à lécher les joues de Tom, qui lui faisait tourner son index dans le nombril de Bill. Bill pouvait sentir dans le bas de son dos la légère excitation que ressentait Tom.
Soudain, un peu plus violemment que tous ses autres gestes, Tom retourna son petit frère vers lui, prit son visage dans ses mains puis l’embrassa. Les mains du petit frère se perdaient dans les dreadlocks attachées de Tom. Puis ils s’arrêtèrent et se regardèrent dans le miroir. Chacun regardait le reflet de l’autre et se souriaient, se tenant la main. Ils étaient si beaux qu’on aurait pu leur attacher de longues ailes de plumes blanches dans le dos. Mais leurs intentions s’apparentaient plus à une tendance démoniaque qu’angélique.
Quand le bain fût près, ils y entrèrent en même temps. Puis ils s’assirent chacun d’un côté. Bill avait ramené ses jambes contre son torse et Tom s’était installé en tailleur. Celui-ci sourit et Bill comprit ce qu’il allait lui faire. Il allait tout simplement le laver.
Tom s’empara du flacon de shampoing et en fit couler sur les longs cheveux plein de lait de son petit frère. Bill ferma les yeux et laissa couler le liquide épais et parfumé sur son visage. Il souriait, il se sentait lavé de tous ses péchés. Il s’allongea dans l’eau tiède et Tom, maintenant penché à califourchon sur lui, commença à le frotter et à le masser. Il lava ses cheveux, puis son torse. Il joua un peu avec son sexe, mais pas trop, il laissait Bill le désirer encore un peu. Celui-ci se redressa et repoussa doucement Tom de son corps, le faisant glisser à l’autre bout de la baignoire. Puis il disparut sous la mousse. Quelques secondes plus tard, Tom poussa un petit cri. Il s’adossa sur la baignoire, se retenant aux rebords de celle-ci. Il écarta un peu les jambes et, sous l’effet du plaisir, poussa les côtés de la baignoire, comme s’il voulait les enlever. Il se mordait la lèvre. Il allait jouir quand Bill refit surface, tout essoufflé, et s’allongea sur lui. Mais celui-ci continua de caresser le sexe de son frère, et Tom finit par lâcher un long soupire remplit de plaisirs. Bill lâcha enfin le membre de son jumeau et lécha l’eau qui faisait briller sa poitrine. Puis, un peu fatigués même s’il était tout juste midi, ils somnolèrent ainsi, Bill sur Tom, Tom entourant Bill de ses bras dans son rôle de grand frère.
Ils étaient comme des rois, agissants comme ils le souhaitaient. Ils savaient qu’à la fin de la journée, ça serait terminé et qu’ils devraient se dire la pire des qu’on pourrait prononcer à son jumeau. Mais, ils iront jusqu’à bout, ne pouvant revenir en arrière. La fin, Bill la connaissait déjà, mais il n’en parlerait pas à son frère. Ça gâcherait cette journée, cette unique journée tant attendu. Cette dernière journée à passer à deux dans la plus profonde et scellé des intimités.
Sam 24 Mars 2007, 14:12 par Lyra sur Les liaisons sulfureuses

Merci,

Bonjour,

Oui j’ai vu, j’ai envoyé une de mes histoires par courrier à la mandolière, je n’ai pas de réponse pour l’instant.
J’espère qu’ils pourront me dire ce qu’ils en pensent.

Merci pour ton intérêt, je suis contente que le site remarche, j’adore lire d’aussi belles .

Je te souhaite à toi et à tous ces inventeurs de beaux textes une formidable journée et une soirée encore plus formidable.

Bisous. content
Jeu 08 Fév 2007, 09:07 par CLAUDE sur Annonces

Rêves éveillés

"Ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille qui échappent à ceux qui ne rêvent qu’endormis."

Edgar Allan Poe
Ven 26 Jan 2007, 23:51 par Utopia GFR sur Citations

Perplexe et amoureux

Le texte qui suit peut paraître disparate et surprenant.
Il est comme un accent circonflexe sur un temps ...
Un confluent, fluctuant sur le cours de mon moi, existant!

Ma vie, Mon amour, tu me fais peur.
L’amour que j’ai pour toi me fait peur.
Il y a encore tant de à venir,
Qui se profile et que tu fais jaillir.
Qu’il est presque inconcevable de vieillir
Sans réponse, sans certitude et sans armures!

Tu es :

Imprudente, écrasante, intelligente, espiègle, torturée, fascinante, charmeuse, attirante, angoissante, sensuelle, excitante, passionnante, affolante, agréable, aguichante, aiguillonnante, alléchante, aphrodisiaque, attrayante, bandante, dopante, électrisante, émoustillante, émouvante, encourageante, engageante, enivrante, érotique, euphorisante, exaltante, galvanisante, grisante, palpitante, piquante, pressante, provocante, provocatrice, réconfortante, séduisante, tentante, touchante, troublante, voluptueuse...

Mais la vie, elle même, n’est elle pas tout cela ?

Cette nuit, je n"ai pas trouvé le sommeil. Il est 6h37 et je pense ou plutôt j’essaie de canaliser mes pensées obscures et lumineuses, claires et brouillées disparates et burlesques , désuètes et pourtant si simples qu’on les avaient , pour un temps oubliées ...

Si l’on pouvait conserver, trier et garder ces milliers d’images minuscules et de si prêt si ridicules, pour les rassembler comme un gigantesque puzzle qui, avec le recul, nous donnerait le sens de notre vie, la direction en une sorte de fresque laissée par notre esprit tortueux comme le faisaient nos ancêtres ...

Qui suis je, je n’ai pas de réponse toute faite ?
Sûrement un mélange aberrant explosif et inoffensif ...
Pantois et plaintif , orgueilleux et craintif
Solitaire et misérable, fort et flexible
Sûrement moins bête qu’il faut l’être et pourtant si têtu !
Facilement complexe, comme tous les êtres et parfois simplement difficile ...

Il est maintenant 7h54 et ce texte restera sans doute inachevé,
ne sera ni relié et ne s’étalera pas sur des pages et des pages

Il est comme ma vie et c’est très bien ainsi ...

Ce texte peut vous décevoir ou vous émouvoir
Sachez qu’il est écrit sur ce grimoire
Sans éloges, ni louanges attendus de votre part ...
Qu’il soit juste gravé, comme une stèle quelque part ...
Pour qu’un petit bout de mon histoire,
Soit gravé en dehors de ma mémoire ...
Mar 21 Nov 2006, 08:47 par coeur lourd sur Histoires d'amour

Histoires d'amour avec la Vie...

J’aimerais tant incarner cette « vie »...
J’ai ressenti tant de douleurs...
J’ai vécu tant de manques...
J’ai fait tant de qui n’auraient pas dûes être...
Mais c’est la vie qui a gagné…
Mais ce n’est pas la vie qui m’aurait manqué...
Mais toi... Tout simplement TOI !
Sam 18 Nov 2006, 00:09 par coeur lourd sur Histoires d'amour

Recherche du bonheur ou douce vie !

Il est un espace en chacun de nous
Qui échappe à notre contrôle
Et qui respire la sérénité
Le bonheur est-il de le chercher
Toute notre vie?
Tout ce que nous faisons
Consciemment ou non
Est-il attiré par cette recherche?

Je comprends qu’il y a des
Que je ne comprends pas ou pas encore.........
Et que j’aimerais tant comprendre
Mar 14 Nov 2006, 13:12 par coupdecoeur sur Un monde parfait

Aimer

Je me fou de leur monde
En regardant dans tes yeux
A la prochaine nuit sombre
Ne seront-ils point heureux?
Bien des me font t’aimer toi
Tout ton être
Il me fait frémir,
Vouloir l’impossible, te vouloir toi.
Je ne sais pas comment ...
Je ne veux pas le savoir!!
Rien ne pourra m’éloigner
je suis otage de ton amour
Mais jusqu’a quand?
En fait peu importe
Je t’aime et voilà tout..

aime Unebabydoll
timide
Ven 10 Nov 2006, 00:52 par unebabydoll sur Parler d'amour

Pardonne-moi ...

Pardonne-moi de t’avoir tant aimée
Pardonne-moi de t’avoir pardonnée
Pardonne-moi d’avoir tant voulu donner
Pardonne-moi de ne pas avoir su te garder
Pardonne-moi d’avoir encore envie de t’aimer
Pardonne-moi de l’envie de tant donner

Pardonne-moi toutes ces
Pardonne-moi de vouloir encore te garder
Et de vivre avec toi autre chose…
Pour qu’enfin nous soyons apaisés.
Que la vie nous donne ce que l’on espérait
Plein de petites , mais en toute complicité …


Philippe.
Sam 28 Oct 2006, 13:44 par coeur lourd sur L'amour en vrac

Ma main quitta la sienne

Ma main quitta la sienne. Allongés tous les deux, sur son grand lit, j’ai tout à coup réalisé. Je ne l’aimais pas. Je me suis levée avec la plus grande des douceurs, je me suis glissée hors des draps. J’entendais sa respiration lente et régulière. Je pris mes affaires et m’en alla, en laissant un mot sur la commode. Il était bref, dénué d’émotions que ce soit la compassion ou la tendresse. Je ne l’aimais pas. Ce sont des contre lesquelles on ne peut lutter. Comment aurais-je pu savoir que je partais à un moment critique de sa vie ? Peut être aurais-je du faire semblant encore un peu ? Aurais-je du lui dire en face, d’une plus douce et moins blessante ?
Mon cœur s’est serré quand j’ai passé le seuil, que je suis parti. Mon cœur s’est noué très fort lorsque, le lendemain, j’ai vu son corps pendre à ma fenêtre.
Jeu 26 Oct 2006, 20:26 par Lindsey sur Histoires d'amour
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La citation d'amour

Celui qui fait un long chemin pour courtiser une femme, il veut tromper, ou bien il est trompé.

Proverbe anglais.

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