Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur coeur - Page 16 sur 44
Alivella
La chaleur souffle ici, les muscs d’Alivella
Pieds nus sur la terrasse, vive la dolce vita !
Parcourant la prairie du ciel et ses boutons
De fleurs illuminés dont tu connais les noms...
La douceur est ici elle parcourt nos deux corps
Et nos coeurs à l’envie vibrant dans ce décors.
Tu m’as parlé des arbres et les maisons de pierre
Pour moi ont toutes une âme c’est celle de tes pères...
J’aime le chant de ces voix profondes et habitées
Envoûtantes et vibrantes au coeur des châtaigniers
Des hommes de là-bas, multiples harmonies,
Raconte, raconte encore, là, couchés sous la voûte
Qui portent des échos dont nul être se doute
Si ce n’est les étoiles complices, nos amies...
Pieds nus sur la terrasse, vive la dolce vita !
Parcourant la prairie du ciel et ses boutons
De fleurs illuminés dont tu connais les noms...
La douceur est ici elle parcourt nos deux corps
Et nos coeurs à l’envie vibrant dans ce décors.
Tu m’as parlé des arbres et les maisons de pierre
Pour moi ont toutes une âme c’est celle de tes pères...
J’aime le chant de ces voix profondes et habitées
Envoûtantes et vibrantes au coeur des châtaigniers
Des hommes de là-bas, multiples harmonies,
Raconte, raconte encore, là, couchés sous la voûte
Qui portent des échos dont nul être se doute
Si ce n’est les étoiles complices, nos amies...
Sam 28 Oct 2006, 20:27 par
dolce vita sur La vie à deux
Moi Sans Toi Après Quatre mois
J’ ai le coeur plus solide que n’ importe quel Phare
Mes yeux brillent d’ Amour, font chavirer les Hommes
Ma démarche est certaine, mes mollets dans Le Galbe
Mes chevilles aussi Fines que celles entre tes mains ce soir de Juin
Si Tu Sais que Je te rejoins, C’ EST BIEN !
Je ne suis pas Angelina à Brad, ...
En plus, Les Tabloïds en feraient des choux gras, ou des Roses
J’ ai envie d’ Une fille...
Babou, fais moi un petite Puce qui te ressemble
Et je serai La plus heureuse des Fannies toutes Vécues.
A mon AKIRA D’À MOI.
Mes yeux brillent d’ Amour, font chavirer les Hommes
Ma démarche est certaine, mes mollets dans Le Galbe
Mes chevilles aussi Fines que celles entre tes mains ce soir de Juin
Si Tu Sais que Je te rejoins, C’ EST BIEN !
Je ne suis pas Angelina à Brad, ...
En plus, Les Tabloïds en feraient des choux gras, ou des Roses
J’ ai envie d’ Une fille...
Babou, fais moi un petite Puce qui te ressemble
Et je serai La plus heureuse des Fannies toutes Vécues.
A mon AKIRA D’À MOI.
Jeu 26 Oct 2006, 00:43 par
Chogokinette sur Les liaisons sulfureuses
Ce soir
Encore ce soir je réalise durement que sans toi
Ma vie n’est vraiment plus rien du tout.
Je réalise que je ne suis rien sans toi
Et tes mots doux me manquent beaucoup
Et ta voix, qui, comme une caresse
Glisse délicatement dans mon coeur
Elle m’éteint de toute maladresse
Ce soir mon chéri tu me manques vraiment...
Ce soir j’ai envie de ton corps et de ta chaleur
De ton amour, de ton attention et de ton âme.
Que tu déposes toujours tendrement
Au fond de mon coeur en velour
Comme une éternelle douceur de soie...
Ma vie n’est vraiment plus rien du tout.
Je réalise que je ne suis rien sans toi
Et tes mots doux me manquent beaucoup
Et ta voix, qui, comme une caresse
Glisse délicatement dans mon coeur
Elle m’éteint de toute maladresse
Ce soir mon chéri tu me manques vraiment...
Ce soir j’ai envie de ton corps et de ta chaleur
De ton amour, de ton attention et de ton âme.
Que tu déposes toujours tendrement
Au fond de mon coeur en velour
Comme une éternelle douceur de soie...
Mer 25 Oct 2006, 21:58 par
joullia sur L'amour en vrac
Comprend qui veut comprendre
Les mots ont laissé place au silence
L’amour m’a rempli de sa présence
J’ai bu à la source de la Vie
Mes fantasmes ont fané à l’ombre de la mort
Mes yeux et mon coeur se sont ouverts
Mes mains et ma voix ont chanté l’hymne à l’amour
De notre destin commun
L’amour m’a rempli de sa présence
J’ai bu à la source de la Vie
Mes fantasmes ont fané à l’ombre de la mort
Mes yeux et mon coeur se sont ouverts
Mes mains et ma voix ont chanté l’hymne à l’amour
De notre destin commun
Lun 23 Oct 2006, 11:27 par
coupdecoeur sur Parler d'amour
Et tu me demandes qui je suis ?
Je suis cette flamme qui brûle et te consume
Le coeur des doigts
Je suis cette violence qui est ta déraison
Je suis cheval fougueux
Et le vent sur les crêtes
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis de tempête et éclats dans tes yeux
Je suis la lumière ronde
Et blanche de tes nuits
Je suis l’ouragan
Qui dévaste nos vies
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis la vie qui jaillit des cieux
De l’onde claire
La vague qui réveille tes cris
Et danse qui martèle le sol
Et épuise son agonie
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis cette impatience
La forêt qui se dresse
Des larmes de sève
Qui perlent sur ma peau
Le corps Lissé par les mains de l’amour.
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis l’insolence
Et l’insoumission
Je suis née du désert
Ce fruit de ta passion
Source du désir à ton front...
Le coeur des doigts
Je suis cette violence qui est ta déraison
Je suis cheval fougueux
Et le vent sur les crêtes
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis de tempête et éclats dans tes yeux
Je suis la lumière ronde
Et blanche de tes nuits
Je suis l’ouragan
Qui dévaste nos vies
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis la vie qui jaillit des cieux
De l’onde claire
La vague qui réveille tes cris
Et danse qui martèle le sol
Et épuise son agonie
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis cette impatience
La forêt qui se dresse
Des larmes de sève
Qui perlent sur ma peau
Le corps Lissé par les mains de l’amour.
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis l’insolence
Et l’insoumission
Je suis née du désert
Ce fruit de ta passion
Source du désir à ton front...
Dim 22 Oct 2006, 10:36 par
dolce vita sur La séduction
Complémentaire ou opposé ... mais pas ennemis
Le Toi du Moi
Je suis ton pile
Tu es mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
Toi le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la guitare et moi la basse
Je suis la pluie et tu es mes gouttes
Tu es le oui et moi le doute
T’es le bouquet je suis les fleurs
Tu es l’aorte et moi le coeur
Toi t’es l’instant moi le bonheur
Tu es le verre je suis le vin
Toi tu es l’herbe et moi le joint
Tu es le vent j’suis la rafale
Toi la raquette et moi la balle
T’es le jouet et moi l’enfant
T’es le vieillard et moi le temps
Je suis l’iris tu es la pupille
Je suis l’épice toi la papille
Toi l’eau qui vient et moi la bouche
Toi l’aube et moi le ciel qui s’couche
T’es le vicaire et moi l’ivresse
T’es le mensonge moi la paresse
T’es le guépard moi la vitesse
Tu es la main moi la caresse
Je suis l’enfer de ta pécheresse
Tu es le Ciel moi la Terre, hum
Je suis l’oreille de ta musique
Je suis le soleil de tes tropiques
Je suis le tabac de ta pipe
T’es le plaisir je suis la foudre
Tu es la gamme et moi la note
Tu es la flamme moi l’allumette
T’es la chaleur j’suis la paresse
T’es la torpeur et moi la sieste
T’es la fraîcheur et moi l’averse
Tu es les fesses je suis la chaise
Tu es bémol et moi j’suis dièse
T’es le Laurel de mon Hardy
T’es le plaisir de mon soupir
T’es la moustache de mon Trotski
T’es tous les éclats de mon rire
Tu es le chant de ma sirène
Tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Je suis ton pile
Toi mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
T’es le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la putain et moi la passe
Tu es la tombe et moi l’épitaphe
Et toi le texte, moi le paragraphe
Tu es le lapsus et moi la gaffe
Toi l’élégance et moi la grâce
Tu es l’effet et moi la cause
Toi le divan moi la névrose
Toi l’épine moi la rose
Tu es la tristesse moi le poète
Tu es la Belle et moi la Bête
Tu es le corps et moi la tête
Tu es le corps. Hummm !
T’es le sérieux moi l’insouciance
Toi le flic moi la balance
Toi le gibier moi la potence
Toi l’ennui et moi la transe
Toi le très peu moi le beaucoup
Moi le sage et toi le fou
Tu es l’éclair et moi la poudre
Toi la paille et moi la poutre
Tu es le surmoi de mon ça
C’est toi Charybde et moi Scylla
Tu es la mère et moi le doute
Tu es le néant et moi le tout
Tu es le chant de ma sirène
Toi tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Carla Bruni
Je suis ton pile
Tu es mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
Toi le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la guitare et moi la basse
Je suis la pluie et tu es mes gouttes
Tu es le oui et moi le doute
T’es le bouquet je suis les fleurs
Tu es l’aorte et moi le coeur
Toi t’es l’instant moi le bonheur
Tu es le verre je suis le vin
Toi tu es l’herbe et moi le joint
Tu es le vent j’suis la rafale
Toi la raquette et moi la balle
T’es le jouet et moi l’enfant
T’es le vieillard et moi le temps
Je suis l’iris tu es la pupille
Je suis l’épice toi la papille
Toi l’eau qui vient et moi la bouche
Toi l’aube et moi le ciel qui s’couche
T’es le vicaire et moi l’ivresse
T’es le mensonge moi la paresse
T’es le guépard moi la vitesse
Tu es la main moi la caresse
Je suis l’enfer de ta pécheresse
Tu es le Ciel moi la Terre, hum
Je suis l’oreille de ta musique
Je suis le soleil de tes tropiques
Je suis le tabac de ta pipe
T’es le plaisir je suis la foudre
Tu es la gamme et moi la note
Tu es la flamme moi l’allumette
T’es la chaleur j’suis la paresse
T’es la torpeur et moi la sieste
T’es la fraîcheur et moi l’averse
Tu es les fesses je suis la chaise
Tu es bémol et moi j’suis dièse
T’es le Laurel de mon Hardy
T’es le plaisir de mon soupir
T’es la moustache de mon Trotski
T’es tous les éclats de mon rire
Tu es le chant de ma sirène
Tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Je suis ton pile
Toi mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
T’es le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la putain et moi la passe
Tu es la tombe et moi l’épitaphe
Et toi le texte, moi le paragraphe
Tu es le lapsus et moi la gaffe
Toi l’élégance et moi la grâce
Tu es l’effet et moi la cause
Toi le divan moi la névrose
Toi l’épine moi la rose
Tu es la tristesse moi le poète
Tu es la Belle et moi la Bête
Tu es le corps et moi la tête
Tu es le corps. Hummm !
T’es le sérieux moi l’insouciance
Toi le flic moi la balance
Toi le gibier moi la potence
Toi l’ennui et moi la transe
Toi le très peu moi le beaucoup
Moi le sage et toi le fou
Tu es l’éclair et moi la poudre
Toi la paille et moi la poutre
Tu es le surmoi de mon ça
C’est toi Charybde et moi Scylla
Tu es la mère et moi le doute
Tu es le néant et moi le tout
Tu es le chant de ma sirène
Toi tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Carla Bruni
Dim 15 Oct 2006, 17:45 par
coeur lourd sur Histoires d'amour
Complémentaire ou opposé ... reste le "Nous"
Je suis ton pile
Tu es mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
Toi le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la guitare et moi la basse
Je suis la pluie et tu es mes gouttes
Tu es le oui et moi le doute
T’es le bouquet je suis les fleurs
Tu es l’aorte et moi le coeur
Toi t’es l’instant moi le bonheur
Tu es le verre je suis le vin
Toi tu es l’herbe et moi le joint
Tu es le vent j’suis la rafale
Toi la raquette et moi la balle
T’es le jouet et moi l’enfant
T’es le vieillard et moi le temps
Je suis l’iris tu es la pupille
Je suis l’épice toi la papille
Toi l’eau qui vient et moi la bouche
Toi l’aube et moi le ciel qui s’couche
T’es le vicaire et moi l’ivresse
T’es le mensonge moi la paresse
T’es le guépard moi la vitesse
Tu es la main moi la caresse
Je suis l’enfer de ta pécheresse
Tu es le Ciel moi la Terre, hum
Je suis l’oreille de ta musique
Je suis le soleil de tes tropiques
Je suis le tabac de ta pipe
T’es le plaisir je suis la foudre
Tu es la gamme et moi la note
Tu es la flamme moi l’allumette
T’es la chaleur j’suis la paresse
T’es la torpeur et moi la sieste
T’es la fraîcheur et moi l’averse
Tu es les fesses je suis la chaise
Tu es bémol et moi j’suis dièse
T’es le Laurel de mon Hardy
T’es le plaisir de mon soupir
T’es la moustache de mon Trotski
T’es tous les éclats de mon rire
Tu es le chant de ma sirène
Tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Je suis ton pile
Toi mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
T’es le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la putain et moi la passe
Tu es la tombe et moi l’épitaphe
Et toi le texte, moi le paragraphe
Tu es le lapsus et moi la gaffe
Toi l’élégance et moi la grâce
Tu es l’effet et moi la cause
Toi le divan moi la névrose
Toi l’épine moi la rose
Tu es la tristesse moi le poète
Tu es la Belle et moi la Bête
Tu es le corps et moi la tête
Tu es le corps. Hummm !
T’es le sérieux moi l’insouciance
Toi le flic moi la balance
Toi le gibier moi la potence
Toi l’ennui et moi la transe
Toi le très peu moi le beaucoup
Moi le sage et toi le fou
Tu es l’éclair et moi la poudre
Toi la paille et moi la poutre
Tu es le surmoi de mon ça
C’est toi Charybde et moi Scylla
Tu es la mère et moi le doute
Tu es le néant et moi le tout
Tu es le chant de ma sirène
Toi tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Carla Bruni
Tu es mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
Toi le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la guitare et moi la basse
Je suis la pluie et tu es mes gouttes
Tu es le oui et moi le doute
T’es le bouquet je suis les fleurs
Tu es l’aorte et moi le coeur
Toi t’es l’instant moi le bonheur
Tu es le verre je suis le vin
Toi tu es l’herbe et moi le joint
Tu es le vent j’suis la rafale
Toi la raquette et moi la balle
T’es le jouet et moi l’enfant
T’es le vieillard et moi le temps
Je suis l’iris tu es la pupille
Je suis l’épice toi la papille
Toi l’eau qui vient et moi la bouche
Toi l’aube et moi le ciel qui s’couche
T’es le vicaire et moi l’ivresse
T’es le mensonge moi la paresse
T’es le guépard moi la vitesse
Tu es la main moi la caresse
Je suis l’enfer de ta pécheresse
Tu es le Ciel moi la Terre, hum
Je suis l’oreille de ta musique
Je suis le soleil de tes tropiques
Je suis le tabac de ta pipe
T’es le plaisir je suis la foudre
Tu es la gamme et moi la note
Tu es la flamme moi l’allumette
T’es la chaleur j’suis la paresse
T’es la torpeur et moi la sieste
T’es la fraîcheur et moi l’averse
Tu es les fesses je suis la chaise
Tu es bémol et moi j’suis dièse
T’es le Laurel de mon Hardy
T’es le plaisir de mon soupir
T’es la moustache de mon Trotski
T’es tous les éclats de mon rire
Tu es le chant de ma sirène
Tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Je suis ton pile
Toi mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
T’es le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la putain et moi la passe
Tu es la tombe et moi l’épitaphe
Et toi le texte, moi le paragraphe
Tu es le lapsus et moi la gaffe
Toi l’élégance et moi la grâce
Tu es l’effet et moi la cause
Toi le divan moi la névrose
Toi l’épine moi la rose
Tu es la tristesse moi le poète
Tu es la Belle et moi la Bête
Tu es le corps et moi la tête
Tu es le corps. Hummm !
T’es le sérieux moi l’insouciance
Toi le flic moi la balance
Toi le gibier moi la potence
Toi l’ennui et moi la transe
Toi le très peu moi le beaucoup
Moi le sage et toi le fou
Tu es l’éclair et moi la poudre
Toi la paille et moi la poutre
Tu es le surmoi de mon ça
C’est toi Charybde et moi Scylla
Tu es la mère et moi le doute
Tu es le néant et moi le tout
Tu es le chant de ma sirène
Toi tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Carla Bruni
Dim 15 Oct 2006, 17:41 par
coeur lourd sur Histoires d'amour
Je suis venue écrire que je m'en vais....
La musique commence là où s’arrête le pouvoir des mots.
Richard Wagner
Je ne sais pas composer avec les notes de musique
Je n’ai pas ce talent
Celui de savoir écrire non plus.
Les mots ont le pouvoir
Qu’ont leur donnent...
Si j’étais compositeur
J’aurais écrit " la symphonie inachevée "
Si j’étais écrivain
J’aurais écrit " l’amour imaginaire "
Si je pouvais donner un pouvoir
A mes mots
Je dirais que mon coeur saigne
D’avoir mal
D’avoir été trahie par un des miens
" Les je t’aime " en perdent
Leur sens.
Que je ne veux pas écrire
A l’encre rouge
Alors je n’écrirais plus sur ce site.
Je ne veux pas me sentir " épiée "
Des mots que j’écris
Ils ont perdu leur pouvoir...
Celui de pouvoir exprimer
En toute liberté
Mes états d’âme
Sans jugement
Sans trahison.
Je veux juste vivre
En paix...
Marie
Richard Wagner
Je ne sais pas composer avec les notes de musique
Je n’ai pas ce talent
Celui de savoir écrire non plus.
Les mots ont le pouvoir
Qu’ont leur donnent...
Si j’étais compositeur
J’aurais écrit " la symphonie inachevée "
Si j’étais écrivain
J’aurais écrit " l’amour imaginaire "
Si je pouvais donner un pouvoir
A mes mots
Je dirais que mon coeur saigne
D’avoir mal
D’avoir été trahie par un des miens
" Les je t’aime " en perdent
Leur sens.
Que je ne veux pas écrire
A l’encre rouge
Alors je n’écrirais plus sur ce site.
Je ne veux pas me sentir " épiée "
Des mots que j’écris
Ils ont perdu leur pouvoir...
Celui de pouvoir exprimer
En toute liberté
Mes états d’âme
Sans jugement
Sans trahison.
Je veux juste vivre
En paix...
Marie
Dim 15 Oct 2006, 11:17 par
Satine sur Histoires d'amour
Je l'aimais
Bon ben c’est mon premier texte enjoy it or not.
C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.
Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.
Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.
Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.
I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.
I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.
Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.
Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.
Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.
I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.
I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
Mar 10 Oct 2006, 20:50 par
Evidance sur Histoires d'amour
Le cil
Il y a des femmes qui croisent les jambes comme on croise un regard, dans un ciseau d’élégance, toutes paupières entrouvertes...
Stéphane Auger.
:coeur:
Stéphane Auger.
:coeur:
Dim 08 Oct 2006, 21:59 par
Chogokinette sur Citations
Grand Prix Formule UN
Passer dans son sang comme il passe dans le mien, coller mon visage contre son dos dans le sommeil, croiser son regard et son âme quand nous faisons l’amour.
L’entendre me dire qu’il a raison, qu’il me protège, que c’est mon Homme, et le croire.
Savoir qu’en tant qu’homme, il est aussi fragile et sensible que moi, que je fais n’importe quoi en me débattant parce que j’ai peur de dire oui à nouveau, mais cette fois ci, peut être à celui qui m’aimera.
Je suis sur le point de perdre la perle de ma vie … et, si elle file, ce sera la seule fidèle à ma mémoire, car elle a gommé mon passé, proche ou lointain.
Mon Homme est à Tokyo, il me manque et je l’ aime toujours.
Sa Fannie.
:coeur:
L’entendre me dire qu’il a raison, qu’il me protège, que c’est mon Homme, et le croire.
Savoir qu’en tant qu’homme, il est aussi fragile et sensible que moi, que je fais n’importe quoi en me débattant parce que j’ai peur de dire oui à nouveau, mais cette fois ci, peut être à celui qui m’aimera.
Je suis sur le point de perdre la perle de ma vie … et, si elle file, ce sera la seule fidèle à ma mémoire, car elle a gommé mon passé, proche ou lointain.
Mon Homme est à Tokyo, il me manque et je l’ aime toujours.
Sa Fannie.
:coeur:
Dim 08 Oct 2006, 15:04 par
Chogokinette sur Un monde parfait
Briséis le retour
J’ ai toujours la clé.
Dans deux mois, je pars définitivement de ce marasme qu’ est Juvisy sur Orge.
En l’ espace de soixante douze heures non chrono en main car il vient de mon coeur, j’ ai protégé une gamine de 20 ans dans mon appartement, au 12 rue de Draveil.
Cette fille, je l’ ai trouvée en pleurs, les lunettes pas cassées, mais il y avait dommage.
A toi, connard ac un petit c puisque t’ es définitivement un invertébré du bocal :
Si, à 24 ans, tu es capable de jurer sur n’ importe quelle bible en cognant ta p’ tite copine, que tu l’ aime, alors que t’ es bourré, rempli de tunes à donf de ses pôches à Elle, et je ne te parle pas des deux cocards que j’ ai soigné Moi Même, tu fais retour, sans case départ, à Fleury Meringis.
Eh oui.... En suisse normande, si tu connais Thury Harcourt, tu ne connais pas Fleury.
PS : la fille de son père, qui a toujours fait gaffe à ce qu’ on ne dépasse pas la limite de vitesse, parce que, sinon, on tue un enfant, comme une mère, et la plupart du temps, les plus vieux trinquent, parce qu’ ils marchent lentement.
En traversant la route, on continue chemin!
Dans deux mois, je pars définitivement de ce marasme qu’ est Juvisy sur Orge.
En l’ espace de soixante douze heures non chrono en main car il vient de mon coeur, j’ ai protégé une gamine de 20 ans dans mon appartement, au 12 rue de Draveil.
Cette fille, je l’ ai trouvée en pleurs, les lunettes pas cassées, mais il y avait dommage.
A toi, connard ac un petit c puisque t’ es définitivement un invertébré du bocal :
Si, à 24 ans, tu es capable de jurer sur n’ importe quelle bible en cognant ta p’ tite copine, que tu l’ aime, alors que t’ es bourré, rempli de tunes à donf de ses pôches à Elle, et je ne te parle pas des deux cocards que j’ ai soigné Moi Même, tu fais retour, sans case départ, à Fleury Meringis.
Eh oui.... En suisse normande, si tu connais Thury Harcourt, tu ne connais pas Fleury.
PS : la fille de son père, qui a toujours fait gaffe à ce qu’ on ne dépasse pas la limite de vitesse, parce que, sinon, on tue un enfant, comme une mère, et la plupart du temps, les plus vieux trinquent, parce qu’ ils marchent lentement.
En traversant la route, on continue chemin!
Dim 08 Oct 2006, 02:37 par
Chogokinette sur Un monde parfait
Pas d'équivalence
Je n’oublierai jamais
Cette soirée de juin,
Lorsque tu m’as émerveiller
Par ton doux sourire enjôleur et ton regard enchanteur.
Depuis ce jour béni
Mon coeur est emballé,
Tu hantes mon esprit
Et troubles mes pensées.
L’amour que j’ai pour toi
N’a pas d’équivalence,
Je vibre à chaque fois
Que je sens ta présence.
Tes yeux bruns pénétrants
Ébranlent tout mon être,
Et dans mon corps je sens
La chaleur du bien être.
Avec toi rien n’existe
Que la joie et l’amour,
Et mon coeur ne résiste
A espérer qu’un jour,
Nuit et jour tu me donnes
Jusqu’à l’éternité,
Un amour que personne
Ne pourra égaler.
joullia
Cette soirée de juin,
Lorsque tu m’as émerveiller
Par ton doux sourire enjôleur et ton regard enchanteur.
Depuis ce jour béni
Mon coeur est emballé,
Tu hantes mon esprit
Et troubles mes pensées.
L’amour que j’ai pour toi
N’a pas d’équivalence,
Je vibre à chaque fois
Que je sens ta présence.
Tes yeux bruns pénétrants
Ébranlent tout mon être,
Et dans mon corps je sens
La chaleur du bien être.
Avec toi rien n’existe
Que la joie et l’amour,
Et mon coeur ne résiste
A espérer qu’un jour,
Nuit et jour tu me donnes
Jusqu’à l’éternité,
Un amour que personne
Ne pourra égaler.
joullia
Sam 07 Oct 2006, 09:05 par
joullia sur Parler d'amour
L'amour, c'est quoi ? ( 2 )
IL la dit jolie
Il la dit séduisante.
Il la dit sensuelle.
Il la dit douce.
Il la dit tendre.
Il la dit sensible.
Il la dit intelligente..
Il la dit aimante.
Trop...
Est-elle tout cela, réellement ?
Oui, sans aucun doute.
Alors, qui est-elle ?
Une femme
Absolument
Une femme aimée...
Non.
Pourquoi ?
Il lui attribue pourtant
Des qualités incontestables.
Alors pourquoi ?
Pourquoi ne l’aime-t-il pas ?
Oui.
Pourquoi ?
Elle ne sait pas
Mais cela, elle le sait...
Alors ce soir, elle ira s’endormir
En sachant.
Quoi alors ?
Qu’elle est juste une femme désirée.
Et cela ne lui suffit pas ?
Non.
Pourquoi ?
Parce que elle a une âme et un coeur
Qu’elle n’a pas su contrôler.
Elle s’est laissée prendre au piège,
Celui des sentiments.
Elle ne sait pas pourquoi
Mais cela , elle le sait....
Alors ce soir elle ira s’endormir
En sachant
Quoi alors ?
Qu’elle a mal...
Marie
Il la dit séduisante.
Il la dit sensuelle.
Il la dit douce.
Il la dit tendre.
Il la dit sensible.
Il la dit intelligente..
Il la dit aimante.
Trop...
Est-elle tout cela, réellement ?
Oui, sans aucun doute.
Alors, qui est-elle ?
Une femme
Absolument
Une femme aimée...
Non.
Pourquoi ?
Il lui attribue pourtant
Des qualités incontestables.
Alors pourquoi ?
Pourquoi ne l’aime-t-il pas ?
Oui.
Pourquoi ?
Elle ne sait pas
Mais cela, elle le sait...
Alors ce soir, elle ira s’endormir
En sachant.
Quoi alors ?
Qu’elle est juste une femme désirée.
Et cela ne lui suffit pas ?
Non.
Pourquoi ?
Parce que elle a une âme et un coeur
Qu’elle n’a pas su contrôler.
Elle s’est laissée prendre au piège,
Celui des sentiments.
Elle ne sait pas pourquoi
Mais cela , elle le sait....
Alors ce soir elle ira s’endormir
En sachant
Quoi alors ?
Qu’elle a mal...
Marie
Jeu 05 Oct 2006, 18:54 par
Satine sur Histoires d'amour
Loft à Osaka
Je suis tombée dans les choux et les roses, et là, je me suis assise, pieds au sol, mains au coeur, le jour où je t’ai vu.
Si j’ai à ce point manqué de respect à l’homme dans ma réponse, c’est qu’il me manquait la griffe.
Tu me l’as donnée en retour à mon mail d’ouverture , et me suis dit qu’enfin, un homme savait parler à ma propre mesure.
Cet instant T pour moi est ta photo bureau chemise blanche et ton regard au travers des lunettes,
Et la phrase, dixit l’homme que j’aime : savez vous que je n’ai pas peur de Madame sévère...?
Tu valais, oh, grandement une petite femme comme moi.
Si j’ai à ce point manqué de respect à l’homme dans ma réponse, c’est qu’il me manquait la griffe.
Tu me l’as donnée en retour à mon mail d’ouverture , et me suis dit qu’enfin, un homme savait parler à ma propre mesure.
Cet instant T pour moi est ta photo bureau chemise blanche et ton regard au travers des lunettes,
Et la phrase, dixit l’homme que j’aime : savez vous que je n’ai pas peur de Madame sévère...?
Tu valais, oh, grandement une petite femme comme moi.
Lun 02 Oct 2006, 10:50 par
Chogokinette sur Un monde parfait
Ecrire sur coeur
Alivella, Moi Sans Toi Après Quatre mois, Ce soir, Comprend qui veut comprendre, Et tu me demandes qui je suis ?, Complémentaire ou opposé ... mais pas ennemis, Complémentaire ou opposé ... reste le "Nous", Je suis venue écrire que je m'en vais...., Je l'aimais, Le cil , Grand Prix Formule UN, Briséis le retour, Pas d'équivalence, L'amour, c'est quoi ? ( 2 ), Loft à Osaka, Il y a 654 textes utilisant le mot coeur. Ces pages présentent les textes correspondant.
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