Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur coeur - Page 20 sur 44
Garderais-je l'espoir
Garderais-je l’espoir qui m’anime en ces jours
De prendre tendrement ton visage en mes mains
Goûter sur tes lèvre un doux baiser divin
Et réchauffer mon coeur au creux de ton amour
Quand saurons-nous briser les démons qui nous hantent
Aller l’un vers l’autre sans la peur en nos coeurs
De se troubler d’amour de joies et de bonheur
En sachant accueillir ces temps qui nous enchantent
J’ai peur du temps et que la vie se joue de nous
Je rêve à l’heure où je serai à tes genoux
Où je pourrais goûter l’éclat de ton sourire
J’ai peur de ce lointain et de toutes ces autres
De ces choses j’ai peur et encor combien d’autres
Qui m’éloignent de toi, m’abîment en soupirs
De prendre tendrement ton visage en mes mains
Goûter sur tes lèvre un doux baiser divin
Et réchauffer mon coeur au creux de ton amour
Quand saurons-nous briser les démons qui nous hantent
Aller l’un vers l’autre sans la peur en nos coeurs
De se troubler d’amour de joies et de bonheur
En sachant accueillir ces temps qui nous enchantent
J’ai peur du temps et que la vie se joue de nous
Je rêve à l’heure où je serai à tes genoux
Où je pourrais goûter l’éclat de ton sourire
J’ai peur de ce lointain et de toutes ces autres
De ces choses j’ai peur et encor combien d’autres
Qui m’éloignent de toi, m’abîment en soupirs
Dim 20 Août 2006, 22:58 par
joullia sur Histoires d'amour
Les larmes d'encre
Encore devant la toile pour y faire couler le trop plein de mes larmes
Encore la tristesse qui sert mon coeur et le somnifère sur la table de chevet qui ne sert à rien.
Et encore toi qui hante mes pensées.
Et moi, toujours sans armes...
Seuls les mots écrits hâtivement parviennent à alléger mon lourd fardeau.
Seulement les larmes d’encre et Dieu n’ont pas d’existence matérielle
Ils sont là pourtant et me soutiennent passivement.
Mais c’est toi que je veux, ton souffle, ton coeur et la chaleur de ton corps ;
Là, dans la place laissée vide par mon passé au pluriel.
J’ai confié au saule ma mélancolie qui a virée ce soir à la tristesse.
J’étais si... près de toi, là, adossée à son tronc imposant
Mais tu ne m’as point vue sous ses branches.
Me verras-tu un jour ?
Qui me verra à part Lui ?
Le verras-tu d’abord puis tes yeux me verront ?
En attendant, je demeure, transparente,
et il n’y a rien de plus déprimant que l’indifférence
et cela fait trop longtemps que je pleure.
Mes larmes d’encre coulent inlassablement.
Ici, pour certains textes, et ailleurs pour les plus beaux
Que je ne devoilerais pas.
Julia M
Encore la tristesse qui sert mon coeur et le somnifère sur la table de chevet qui ne sert à rien.
Et encore toi qui hante mes pensées.
Et moi, toujours sans armes...
Seuls les mots écrits hâtivement parviennent à alléger mon lourd fardeau.
Seulement les larmes d’encre et Dieu n’ont pas d’existence matérielle
Ils sont là pourtant et me soutiennent passivement.
Mais c’est toi que je veux, ton souffle, ton coeur et la chaleur de ton corps ;
Là, dans la place laissée vide par mon passé au pluriel.
J’ai confié au saule ma mélancolie qui a virée ce soir à la tristesse.
J’étais si... près de toi, là, adossée à son tronc imposant
Mais tu ne m’as point vue sous ses branches.
Me verras-tu un jour ?
Qui me verra à part Lui ?
Le verras-tu d’abord puis tes yeux me verront ?
En attendant, je demeure, transparente,
et il n’y a rien de plus déprimant que l’indifférence
et cela fait trop longtemps que je pleure.
Mes larmes d’encre coulent inlassablement.
Ici, pour certains textes, et ailleurs pour les plus beaux
Que je ne devoilerais pas.
Julia M
Ven 18 Août 2006, 01:18 par
joullia sur Mille choses
L'espoir était si doux
Qui suis-je pour avoir voulu rêver de toi ?
Je ne suis personne et d’une classe différente...
Fait-on de l’or avec un grain de poussière ?
Non, sinon tout le monde serait riche ...
Fait-on jaillir du vide, clarté et lumière ?
Je ne le pense pas ....
L’espoir était si doux mais bien trop beau pour moi
Qui suis-je pour avoir osé penser que nous
Ensemble nous prenions la même route
J’ai rêvé de tes yeux, j’ai oublié sans doute
J’ai rêvé de ton coeur, j’ai oublié sans doute
J’ai rêvé de ton âme, j’ai oublié sans doute
j’ai rêvé de ton corps, j’ai oublié sans doute
La condition sine qua non :
Il faut être deux pour écrire "Nous"
Qui es-tu Prince ?
Pourquoi as-tu posé ton doux regard sur moi ?
Tes yeux qui n’appartiennent qu’à toi
Qui me restent plantés dans le coeur comme un pieu
Tes lèvres si délicates et envoûtantes
Que mon coeur ne m’écoute plus
Je n’ai pas de rancoeur, juste un peu de regret
De n’être rien sinon ce grain de poussière
Que l’on souffle et qui part loin hors de la lumière
Là où tout est sombre de douleur
Ou le néant reigne
Que sonne le glas de mon :coeur: écartelé
Je ne suis personne et d’une classe différente...
Fait-on de l’or avec un grain de poussière ?
Non, sinon tout le monde serait riche ...
Fait-on jaillir du vide, clarté et lumière ?
Je ne le pense pas ....
L’espoir était si doux mais bien trop beau pour moi
Qui suis-je pour avoir osé penser que nous
Ensemble nous prenions la même route
J’ai rêvé de tes yeux, j’ai oublié sans doute
J’ai rêvé de ton coeur, j’ai oublié sans doute
J’ai rêvé de ton âme, j’ai oublié sans doute
j’ai rêvé de ton corps, j’ai oublié sans doute
La condition sine qua non :
Il faut être deux pour écrire "Nous"
Qui es-tu Prince ?
Pourquoi as-tu posé ton doux regard sur moi ?
Tes yeux qui n’appartiennent qu’à toi
Qui me restent plantés dans le coeur comme un pieu
Tes lèvres si délicates et envoûtantes
Que mon coeur ne m’écoute plus
Je n’ai pas de rancoeur, juste un peu de regret
De n’être rien sinon ce grain de poussière
Que l’on souffle et qui part loin hors de la lumière
Là où tout est sombre de douleur
Ou le néant reigne
Que sonne le glas de mon :coeur: écartelé
Jeu 17 Août 2006, 23:18 par
joullia sur Histoires d'amour
Un demi-tour fatal aux rêves doux
J’ai fait un demi-tour fatal aux rêves doux
Mes pas se sont perdus sur le long chemin dificile des doutes
Nos secrets endormis au fond de mes yeux clairs
Aveuglés par la peur qui assiégait ma route
Cette route tortueuse qui n’en finit pas
J’ai déchiré ton coeur, froissée aussi le mien
Gorgé tes yeux de pleurs et rougi mes paupières,
Abimé le bonheur en délaçant les liens,
Versé des tonnes d’eau sur les braises de mon coeur,
Enterré nos deux coeurs recouverts de poussière
Sans aucun effet sur l’amour qui me tient
J’ai hurlé à genoux ton doux prénom dans le silence,
En espérant que le vent le porte au Tout Puissant,
Invoqué tous les saints, imploré tous les anges de la terre entière,
Allant même jusqu’à imploré les croyances qui ne sont pas mienne
Et j’ai tendu les bras à ton coeur en absence,
Pleuré sur mon amour, récité tes louanges...
Les "je t’aime" lancés aux murmures du vent
Me sont revenus comme un parfum de roses fané,
Sur mon coeur dévasté,
Sur mon coeur endolori,
Seul ton sourire me calmait.
Julia M
Mes pas se sont perdus sur le long chemin dificile des doutes
Nos secrets endormis au fond de mes yeux clairs
Aveuglés par la peur qui assiégait ma route
Cette route tortueuse qui n’en finit pas
J’ai déchiré ton coeur, froissée aussi le mien
Gorgé tes yeux de pleurs et rougi mes paupières,
Abimé le bonheur en délaçant les liens,
Versé des tonnes d’eau sur les braises de mon coeur,
Enterré nos deux coeurs recouverts de poussière
Sans aucun effet sur l’amour qui me tient
J’ai hurlé à genoux ton doux prénom dans le silence,
En espérant que le vent le porte au Tout Puissant,
Invoqué tous les saints, imploré tous les anges de la terre entière,
Allant même jusqu’à imploré les croyances qui ne sont pas mienne
Et j’ai tendu les bras à ton coeur en absence,
Pleuré sur mon amour, récité tes louanges...
Les "je t’aime" lancés aux murmures du vent
Me sont revenus comme un parfum de roses fané,
Sur mon coeur dévasté,
Sur mon coeur endolori,
Seul ton sourire me calmait.
Julia M
Jeu 17 Août 2006, 22:27 par
joullia sur Mille choses
Sacrifice
L’amour rime-t-il parfois avec sacrifice ?
La raison dit " non "
Le coeur dit " oui " .
La raison dit " non "
Le coeur dit " oui " .
Jeu 17 Août 2006, 16:05 par
Satine sur Histoires d'amour
Vouloir ton bonheur c'est avant tout te voir heureux
Je ne sais pas si je dois écouter les conseils de mon amie ou alors me laisser totalement ennivrer par lui et sa personnalité qui fait de lui un être si cher à mon coeur.
Je trouve la vie injuste avec cet homme qui donnerait corps et âme pour aider ses amis, ce petit bout d’homme au grand coeur.
En sa présence je suis comme un glaçon qui fond au soleil, je suis remplie de joie et de bonne humeur. Je revis, quand je le vois, mon sang ne fait qu’un tour et se glace dans mes veines tandis que mon coeur bat la chamade à l’idée qu’il me donne un doux baiser, un baiser qui serait pour moi le plus beau des cadeaux qu’il puisse m’offrir.
Je voudrais faire son bonheur, faire cesser ses pleurs, lui donner mon amour sans rien d’autre en retour que sa présence.
Une chose est sûre, aujourd’hui je n’ai plus peur de le voir dans les bras d’une autre que moi car aujourd’hui j’ai compris que vouloir son bonheur c’est avant tout le voir heureux même si ce n’est pas avec moi.
Tu n’es pas là pour me lire mais je me le murmure à moi-même en attendant le jour ou tu seras prêt à l’entendre .....
Je trouve la vie injuste avec cet homme qui donnerait corps et âme pour aider ses amis, ce petit bout d’homme au grand coeur.
En sa présence je suis comme un glaçon qui fond au soleil, je suis remplie de joie et de bonne humeur. Je revis, quand je le vois, mon sang ne fait qu’un tour et se glace dans mes veines tandis que mon coeur bat la chamade à l’idée qu’il me donne un doux baiser, un baiser qui serait pour moi le plus beau des cadeaux qu’il puisse m’offrir.
Je voudrais faire son bonheur, faire cesser ses pleurs, lui donner mon amour sans rien d’autre en retour que sa présence.
Une chose est sûre, aujourd’hui je n’ai plus peur de le voir dans les bras d’une autre que moi car aujourd’hui j’ai compris que vouloir son bonheur c’est avant tout le voir heureux même si ce n’est pas avec moi.
Tu n’es pas là pour me lire mais je me le murmure à moi-même en attendant le jour ou tu seras prêt à l’entendre .....
Jeu 17 Août 2006, 12:49 par
joullia sur Histoires d'amour
Je ne goûterai plus de ta vie
Ton prénom a refusé de caresser mes jours et bercer mes nuits.
Tes mains ont repoussé mon coeur par désamour.
Ton âme a repoussé mon être par déraison.
La gomme de ton âme veut rayer mon souvenir.
Ma vie s’essouffle, mon visage disparaît.
Mon jour a perdu tous ses pétales vermeil.
L’azur m’abandonne et engloutit mon soleil.
Par ta défiance, ma passion devient honteuse ;
Pourtant, mon image était fière et fougueuse.
Ton silence détruit l’amour qu’on a construit.
C’est dans tes yeux que toutes mes larmes s’enfuient.
Tant d’heures si douces ont délaissé mon coeur.
Tant d’amour aurait dû connaître ta douceur.
Je ne goûterai plus de ta vie les délices.
Le sablier du temps a rendu son terrible office.
Les mois deviennent trop courts ; l’hiver m’envahit.
Où sont passées les saisons, que les dieux m’ont pris ?
Les quatres saisons ne sont plus qu’une à mes yeux.
T’avouer ma passion et ne pas être aimée.
La flamme de mon amour ne peut te blâmer.
Je t’ai perdu ; peux-tu entendre mes soupirs ?
Mon voyage se termine seule, sans tes désirs.
Mon coeur tombe en cendres du feu de ton dédain ;
Je dépose ces reliques entre tes mains.
Ma belle âme s’étouffe dans ton infini.
Dans l’avenir, mes jours ne seront qu’avanis.
Je ne garde pour tout soleil que ton étoile.
Dans l’Au-delà, les nuages seront mes toiles.
Jamais une femme n’a pu et ne pourra te dire
Tous les mots d’amour que mon coeur a pu t’écrire.
Et seule ma toile a le privilège de lire les mots.
L’amour reprend ce que je n’ai pas mérité.
Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ?
Tes mains ont repoussé mon coeur par désamour.
Ton âme a repoussé mon être par déraison.
La gomme de ton âme veut rayer mon souvenir.
Ma vie s’essouffle, mon visage disparaît.
Mon jour a perdu tous ses pétales vermeil.
L’azur m’abandonne et engloutit mon soleil.
Par ta défiance, ma passion devient honteuse ;
Pourtant, mon image était fière et fougueuse.
Ton silence détruit l’amour qu’on a construit.
C’est dans tes yeux que toutes mes larmes s’enfuient.
Tant d’heures si douces ont délaissé mon coeur.
Tant d’amour aurait dû connaître ta douceur.
Je ne goûterai plus de ta vie les délices.
Le sablier du temps a rendu son terrible office.
Les mois deviennent trop courts ; l’hiver m’envahit.
Où sont passées les saisons, que les dieux m’ont pris ?
Les quatres saisons ne sont plus qu’une à mes yeux.
T’avouer ma passion et ne pas être aimée.
La flamme de mon amour ne peut te blâmer.
Je t’ai perdu ; peux-tu entendre mes soupirs ?
Mon voyage se termine seule, sans tes désirs.
Mon coeur tombe en cendres du feu de ton dédain ;
Je dépose ces reliques entre tes mains.
Ma belle âme s’étouffe dans ton infini.
Dans l’avenir, mes jours ne seront qu’avanis.
Je ne garde pour tout soleil que ton étoile.
Dans l’Au-delà, les nuages seront mes toiles.
Jamais une femme n’a pu et ne pourra te dire
Tous les mots d’amour que mon coeur a pu t’écrire.
Et seule ma toile a le privilège de lire les mots.
L’amour reprend ce que je n’ai pas mérité.
Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ?
Mer 16 Août 2006, 22:21 par
joullia sur L'amour en vrac
Je m'envole
Tu as déchiré mon " moi "...
Tu m’as lachée en plein chemin...
Tu as brisé ma foi...
Tu as brisé mes espoirs
Tu as fait mon malheur...
Je n’ai plus confiance,
Puisque tu en as fait ma méfiance...
Je ne veux plus de ton " je t’aime ",
Il ne me fournit que dégoût et amertume,
Tu te dis différent de Don Juan,
Mais c’est faux, la preuve....
En quelques minutes, tu t’es tourné vers elle...
Te rends-tu compte de ce que tu m’a fait ?
Toi qui crois tout connaître.
Mais tu ne sais rien du tout...
Tu imagines que je suis parfaite...
Tu ne cesses de douter de moi.
Sous prétexte que mon passé me hante,
Facile de juger, facile de condamner...
Regarde toi, ouvre ton coeur et tes yeux ...
Tu y verras non pas mes peurs mais les tiens.
Tu oublies l’essentiel, le plus important.
Tu m’as fait mal... Tu fais en sorte que je me sente coupable....
Coupable d’avoir des défauts...
Coupable d’avoir vécu des choses moches
Coupable d’avoir des doutes ?
Mais finalement n’avais-je pas raison ?
Tu m’as trahie.
Tu ne vois pas mes qualités.
Tu juges, mais tu ne veux pas être condamné
Réveille-toi, regarde-toi...
Chaque personne a dans son coeur un jardin secret...
Ouvre donc ton jardin secret,
Et les autres portes s’ouvriront
Comment les ouvrir les portes ?
Ouvre ton coeur et soit honnête, ce sont les meilleures clés.
Tu m’a fait mal, tu te fais du mal.
Je suis tombée, je me suis relevée...
Ne l’as tu jamais fait toi?
Tu le sais pourtant... Ouvre les yeux
Regarde qui je suis.
Et non ce que toi tu voudrais que je sois...
Tu verras que de comprendre
Le mot... aimer.... C’est bien plus,
Que ce que tu prétends savoir
Et écrire avec tes belles paroles sur ce forum.
L’amour est indissociable de fidélité d’âme et de corps
Moi je m’envole ...
Car je voulais que toi et moi nous bâtissions
Un " je t’aime " éternel ...
Pour faire revivre nos anges,
Pour faire naître d’autres anges,
Mais cet amour m’a été cruel...
Comme deux anges me manquent
Je m’envole.
Tu m’as lachée en plein chemin...
Tu as brisé ma foi...
Tu as brisé mes espoirs
Tu as fait mon malheur...
Je n’ai plus confiance,
Puisque tu en as fait ma méfiance...
Je ne veux plus de ton " je t’aime ",
Il ne me fournit que dégoût et amertume,
Tu te dis différent de Don Juan,
Mais c’est faux, la preuve....
En quelques minutes, tu t’es tourné vers elle...
Te rends-tu compte de ce que tu m’a fait ?
Toi qui crois tout connaître.
Mais tu ne sais rien du tout...
Tu imagines que je suis parfaite...
Tu ne cesses de douter de moi.
Sous prétexte que mon passé me hante,
Facile de juger, facile de condamner...
Regarde toi, ouvre ton coeur et tes yeux ...
Tu y verras non pas mes peurs mais les tiens.
Tu oublies l’essentiel, le plus important.
Tu m’as fait mal... Tu fais en sorte que je me sente coupable....
Coupable d’avoir des défauts...
Coupable d’avoir vécu des choses moches
Coupable d’avoir des doutes ?
Mais finalement n’avais-je pas raison ?
Tu m’as trahie.
Tu ne vois pas mes qualités.
Tu juges, mais tu ne veux pas être condamné
Réveille-toi, regarde-toi...
Chaque personne a dans son coeur un jardin secret...
Ouvre donc ton jardin secret,
Et les autres portes s’ouvriront
Comment les ouvrir les portes ?
Ouvre ton coeur et soit honnête, ce sont les meilleures clés.
Tu m’a fait mal, tu te fais du mal.
Je suis tombée, je me suis relevée...
Ne l’as tu jamais fait toi?
Tu le sais pourtant... Ouvre les yeux
Regarde qui je suis.
Et non ce que toi tu voudrais que je sois...
Tu verras que de comprendre
Le mot... aimer.... C’est bien plus,
Que ce que tu prétends savoir
Et écrire avec tes belles paroles sur ce forum.
L’amour est indissociable de fidélité d’âme et de corps
Moi je m’envole ...
Car je voulais que toi et moi nous bâtissions
Un " je t’aime " éternel ...
Pour faire revivre nos anges,
Pour faire naître d’autres anges,
Mais cet amour m’a été cruel...
Comme deux anges me manquent
Je m’envole.
Dim 13 Août 2006, 00:05 par
joullia sur Amour internet
Un coq.
C’était un coq qui faisait le paon devant des poules...
Il se rengorgeait lorsqu’il les voyait pour lui se plumer...
Et il se rengorgeait : sont-elles bêtes !
Il fallait le voir faire et comme il paradait !
C’était un vieux coq, tout tremblant et chenu.
La vie a passé et de lui, il ne reste plus,
Qu’un vieux tas de grimace, qu’un vieux tas et c’est tout
Seul et las, le coeur vide, las ! son temps n’est plus.
Un coq est mort et nul ne l’a pleuré.
Dans un coin de basse-cour on voit à volonté,
Un amas de plumes tout crotté, oublié,
Un bon coup de balais et le voilà passé.
Il se rengorgeait lorsqu’il les voyait pour lui se plumer...
Et il se rengorgeait : sont-elles bêtes !
Il fallait le voir faire et comme il paradait !
C’était un vieux coq, tout tremblant et chenu.
La vie a passé et de lui, il ne reste plus,
Qu’un vieux tas de grimace, qu’un vieux tas et c’est tout
Seul et las, le coeur vide, las ! son temps n’est plus.
Un coq est mort et nul ne l’a pleuré.
Dans un coin de basse-cour on voit à volonté,
Un amas de plumes tout crotté, oublié,
Un bon coup de balais et le voilà passé.
Sam 12 Août 2006, 09:14 par
dolce vita sur Un monde parfait
De la terre et du ciel
Ma pensée court vers toi qui m’aime comme je suis et respecte le fragile. Toi l’homme fort si doux. Toi l’ami. Tu as le temps. Toile tendre posée sur ma vie. Toi qui dévoile mes nuits. Toi qui vient rire dans mes jours. Partager l’instant, l’unique. Je sais que tes mots vont venir me bercer encore et encore. Rien que des mots, légers, vulnérables. Ils ne cherchent rien d’autre qu’à être et se poser. Là. Le ressac. L’aube. La montagne. Mes doigts filent dans le courant fluide qui coule des monts, portés par le flux qui glisse subtil. Je n’attends rien. Mes doigts courent sur ton visage. Veulent-ils te voir ? Sont-ils curieux ? Ils t’espèrent déjà. Une feuille sur ma peau. Ton prénom ils le façonnent dans la glaise. A quatre temps, nous avons dessiné l’amour, déjà, sans un mot. Les mots mentent, ils trahissent et font pleurer. Nos rires ! Toi tu as dessiné sur mon coeur un sourire comme l’oiseau, tu lui a mis des ailes. Tu as effacé les pleurs. La liberté ne te fait pas peur. Toi, dans toute ta beauté transparence. J’aime la pureté qui habite ton coeur. Une fleur a poussé qui n’existait pas hier encore. Mes doigts s’en souviennent. La pointe du jour ne nous a pas blessés. Tes doigts mêlés aux miens, endormis.
Ven 11 Août 2006, 19:10 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Quelques notes
Par un matin d’été ensoleillé ou par un sombre soir d’hiver
d’humeur gaie, jovial quand on est amoureux
ou plutôt tendu et triste
elle frappe à notre porte.
Nous lui ouvrons notre coeur
qu’elle soit rythmée ou calme,
une guitare à la main, un violon sur l’épaule
elle berce nos nuit d’enfant
ou nos chagrins d’adolescent.
Sur une plage accompagné ou seul sur son canapé effondré
cramponné au volant elle adoucit les moeurs
et sous la douche elle rythme nos réveils embrumés.
Le chant fait vibrer cette petite corde sensible et la musique, douce mélodie la met en valeur.
Que c’est magique de se sentir magnifique ou invisible le coeur embaumé de cette chaleur enivrante par l’amour qu’elle nous fait passer.
écrit en mars 2001
daulphin
d’humeur gaie, jovial quand on est amoureux
ou plutôt tendu et triste
elle frappe à notre porte.
Nous lui ouvrons notre coeur
qu’elle soit rythmée ou calme,
une guitare à la main, un violon sur l’épaule
elle berce nos nuit d’enfant
ou nos chagrins d’adolescent.
Sur une plage accompagné ou seul sur son canapé effondré
cramponné au volant elle adoucit les moeurs
et sous la douche elle rythme nos réveils embrumés.
Le chant fait vibrer cette petite corde sensible et la musique, douce mélodie la met en valeur.
Que c’est magique de se sentir magnifique ou invisible le coeur embaumé de cette chaleur enivrante par l’amour qu’elle nous fait passer.
écrit en mars 2001
daulphin
Jeu 10 Août 2006, 09:07 par
daulphin sur Mille choses
Batailles de mots
Je cherche les plus beaux mots,
les plus belles rimes,
pour te dire mon désir.
Je cherche les plus belles phrases ,
pour toucher ton coeur et y rester.
Batailles à coups de mots, de couleurs
pour faire fuir celles qui te cherchent.
Moi je bataille juste avec mon coeur....
pour te dire tous ces mots au fond de moi.....
daulphin
les plus belles rimes,
pour te dire mon désir.
Je cherche les plus belles phrases ,
pour toucher ton coeur et y rester.
Batailles à coups de mots, de couleurs
pour faire fuir celles qui te cherchent.
Moi je bataille juste avec mon coeur....
pour te dire tous ces mots au fond de moi.....
daulphin
Mer 09 Août 2006, 15:57 par
daulphin sur Amour internet
Un jour en juillet
La navette vient de stationner aux abords de l’aérogare; il est un peu plus de treize heures et, à moins d’un imprévu, il ne leur faudra pas plus d’un quart d’heure pour se présenter à la porte d’embarquement, traverser le couloir qui les mènera à bord de l’avion en partance pour L’Ile au Bout du Monde.
Ils croulent sous le poids des sacs à dos prêts à craquer et la chaleur étouffante de cet après-midi de juillet.
Lâchés dans le hall, les garçons hésitent entre excitation et flânerie, chacun à sa manière exprime son impatience du voyage...leurs parents n’ont pas trop de leurs deux voix réunies pour les rappeler à l’ordre.
Mon regard se pose sur elle, capte le sien l’espace d’un court instant, doux mais fatigué; trop de tensions sans doute, les départs en vacances sont redoutables, les enfants ne sont pas des anges et il y a leur histoire, à elle et lui, leur vie bousculée depuis l’automne dernier et qu’ils poursuivent avec toujours présente cette question: "et demain, nous deux ce sera quoi?"
Très vite, ses pensées se rattrapent au moment présent et vagabondent au-delà de l’étendue d’eau qui la sépare de cette escale de trois semaines, là-bas, là où le ciel est peut-être plus bleu.
"Là-bas, il fera bon...un peu froid peut-être; là-bas, il y aura la douceur des instants à vivre, la nuit partie en vacances, le jour sans cesse et son amour pour moi..."
Je l’imagine...et je la vois, encore ici mais tellement ailleurs déjà...le contour de son visage si net se détache en contre-jour sur l’éclat de la baie vitrée.
Moi, je me contente de fixer le dessin de ses traits, là, à l’abri de ma mémoire, derrière mes yeux...loin, profond, ancré, accroché pour ne rien oublier, pour que tout reste vivant, pour que chacune de ces minutes vécue sans elle rythme mon souffle, s’enroule autour de mon coeur comme se lovent ses boucles de cheveux autour de mes doigts en anneaux réguliers, m’apprenne cette cadence si particulière de l’amour vécu dans l’absence et dans le manque, occupe mon espace où elle n’est pas, se fonde dans mon esprit qui la pense si fort qu’un mot soupiré ici lui parviendrait avec l’intensité d’un cri, là-bas.
Alors oui, je l’imagine comme je la voudrais, simplement, à côté de moi...alors oui, je la vois comme je l’aimerais, vraiment, à la toucher du regard, de la main, de la voix.
Il n’y a pas eu d’imprévu...quelques mots banals échangés au téléphone pour nous dire au revoir...maintenant, l’avion met le cap au nord, bientôt il survolera la mer et se posera, là-bas, là où le ciel est plus bleu...peut-être.
Ils croulent sous le poids des sacs à dos prêts à craquer et la chaleur étouffante de cet après-midi de juillet.
Lâchés dans le hall, les garçons hésitent entre excitation et flânerie, chacun à sa manière exprime son impatience du voyage...leurs parents n’ont pas trop de leurs deux voix réunies pour les rappeler à l’ordre.
Mon regard se pose sur elle, capte le sien l’espace d’un court instant, doux mais fatigué; trop de tensions sans doute, les départs en vacances sont redoutables, les enfants ne sont pas des anges et il y a leur histoire, à elle et lui, leur vie bousculée depuis l’automne dernier et qu’ils poursuivent avec toujours présente cette question: "et demain, nous deux ce sera quoi?"
Très vite, ses pensées se rattrapent au moment présent et vagabondent au-delà de l’étendue d’eau qui la sépare de cette escale de trois semaines, là-bas, là où le ciel est peut-être plus bleu.
"Là-bas, il fera bon...un peu froid peut-être; là-bas, il y aura la douceur des instants à vivre, la nuit partie en vacances, le jour sans cesse et son amour pour moi..."
Je l’imagine...et je la vois, encore ici mais tellement ailleurs déjà...le contour de son visage si net se détache en contre-jour sur l’éclat de la baie vitrée.
Moi, je me contente de fixer le dessin de ses traits, là, à l’abri de ma mémoire, derrière mes yeux...loin, profond, ancré, accroché pour ne rien oublier, pour que tout reste vivant, pour que chacune de ces minutes vécue sans elle rythme mon souffle, s’enroule autour de mon coeur comme se lovent ses boucles de cheveux autour de mes doigts en anneaux réguliers, m’apprenne cette cadence si particulière de l’amour vécu dans l’absence et dans le manque, occupe mon espace où elle n’est pas, se fonde dans mon esprit qui la pense si fort qu’un mot soupiré ici lui parviendrait avec l’intensité d’un cri, là-bas.
Alors oui, je l’imagine comme je la voudrais, simplement, à côté de moi...alors oui, je la vois comme je l’aimerais, vraiment, à la toucher du regard, de la main, de la voix.
Il n’y a pas eu d’imprévu...quelques mots banals échangés au téléphone pour nous dire au revoir...maintenant, l’avion met le cap au nord, bientôt il survolera la mer et se posera, là-bas, là où le ciel est plus bleu...peut-être.
Mer 09 Août 2006, 14:16 par
danslalune sur Histoires d'amour
Hâte de te voir
J’ai tellement hâte,
De pouvoir te voir,
Sentir tes lèvres si douces,
Sentir ton être près de moi,
Sentir ton affection et ton amour,
Savoir que tu ne me veux pas de mal...
Je t’attendrais sur un banc du parc du 5 ème ,
Le banc entre le muséum d’histoire naturelle et les serres,
Ou bien sur les marches du muséum,
J’aime cet endroit,
Où les gens se mélangent pour un instant,
Où la nature reprend un peu ses droits sur la ville...
Sur ce banc je regarderais les parisiens vivre à mille à l’heure,
Assise sur ce banc
Je regarderais
Quoi ? On me le dira !
Je vois simplement
Le bonheur des gens
Celui qui me fuit
Celui que je ne vis pas.
Assise sur ce banc
Des larmes au bord du coeur
Je vois ce qu’est le bonheur
Je regarde ces amants
Qui s’aiment en riant
Qui regardent leur avenir
Car à deux, pourquoi fuir ?
Assise sur ce banc
Je ferme très fort les yeux
Car leur bonheur est douloureux
Je revois leurs précieux moments
Quand ils riaient de l’avenir
Quand rien ne semblait pire
Que de se quitter quelque instants
Sur ce banc
Je rêve de mon amant
Qui ne devrait plus tarder à venir,
Je t’attends,
Mon doux prince.
De pouvoir te voir,
Sentir tes lèvres si douces,
Sentir ton être près de moi,
Sentir ton affection et ton amour,
Savoir que tu ne me veux pas de mal...
Je t’attendrais sur un banc du parc du 5 ème ,
Le banc entre le muséum d’histoire naturelle et les serres,
Ou bien sur les marches du muséum,
J’aime cet endroit,
Où les gens se mélangent pour un instant,
Où la nature reprend un peu ses droits sur la ville...
Sur ce banc je regarderais les parisiens vivre à mille à l’heure,
Assise sur ce banc
Je regarderais
Quoi ? On me le dira !
Je vois simplement
Le bonheur des gens
Celui qui me fuit
Celui que je ne vis pas.
Assise sur ce banc
Des larmes au bord du coeur
Je vois ce qu’est le bonheur
Je regarde ces amants
Qui s’aiment en riant
Qui regardent leur avenir
Car à deux, pourquoi fuir ?
Assise sur ce banc
Je ferme très fort les yeux
Car leur bonheur est douloureux
Je revois leurs précieux moments
Quand ils riaient de l’avenir
Quand rien ne semblait pire
Que de se quitter quelque instants
Sur ce banc
Je rêve de mon amant
Qui ne devrait plus tarder à venir,
Je t’attends,
Mon doux prince.
Mer 09 Août 2006, 10:09 par
joullia sur L'amour en vrac
Ode à toi !
Ode à toi bel étranger que je ne connais toujours pas,
à la voix si charmante et si charmeuse.
Quand l’heure du souper arrive c’est toi que j’ai envie de manger
et quand celle du soir est là, je n’ai qu’une hàte c’est de t’y retrouver.
Un de ces rêves, c’est à tes côtés que je veux me réveiller .
et si ce n’était que pour quelques semaines j’en aurais au moins retrouver le sourire
et un peu de bonheur le temps de ces échanges à distance,
mais si proches dans mon coeur...
daulphin
à la voix si charmante et si charmeuse.
Quand l’heure du souper arrive c’est toi que j’ai envie de manger
et quand celle du soir est là, je n’ai qu’une hàte c’est de t’y retrouver.
Un de ces rêves, c’est à tes côtés que je veux me réveiller .
et si ce n’était que pour quelques semaines j’en aurais au moins retrouver le sourire
et un peu de bonheur le temps de ces échanges à distance,
mais si proches dans mon coeur...
daulphin
Mer 09 Août 2006, 07:50 par
daulphin sur Amour internet
Ecrire sur coeur
Garderais-je l'espoir, Les larmes d'encre, L'espoir était si doux, Un demi-tour fatal aux rêves doux, Sacrifice, Vouloir ton bonheur c'est avant tout te voir heureux, Je ne goûterai plus de ta vie, Je m'envole, Un coq., De la terre et du ciel, Quelques notes, Batailles de mots, Un jour en juillet, Hâte de te voir, Ode à toi !, Il y a 654 textes utilisant le mot coeur. Ces pages présentent les textes correspondant.
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