Une petite pensée comme un pétale

Cher Bluetime, Sébastien, ou quel que soit ton prénom,

C’est toi et toi seul qui te donne le droit d’aimer et d’être aimé... A toi de déposer le fardeau de tes souffrances, de ta culpabilité, de tes doutes, le jour où tu qu’ils ne te servent à rien et se se nourrissent de toi, de tes éternités, de tes secondes, de ta vie... Abandonne-les comme une peau usée pour vivre enfin, tout simplement vivre...

Qu’avons-nous d’autre à vivre que l’amour : donné, reçu, partagé... Accepter d’arrêter de trembler en songeant à demain et vivre l’instant présent.

Nul n’est parfait, chacun a le droit à l’erreur. Garde ton amour dans ton coeur mais ne rumine pas ce qui n’est plus. Vis.

Bonne route. L’aube n’est pas loin.


Dolce
Dim 12 Oct 2008, 14:47 par dolce vita sur La vie à deux

Va voir ailleurs si j'y suis pas

T’as bouffé tout l’chocolat
T’as sali tous mes draps
T’as inondé la salle de bains
T’as pété au ptit matin
T’as pissé à côté du pot
Et t’as fait plein de rots
T’as oublié la lumière
T’as pas fait les poussières
Tes chaussettes traînent partout
Et t’as pas soigné ta toux
T’as laissé des poils dans la douche
Et t’as pas essuyé ta bouche
T’as pas dit un seul jour
Que tu m’aimais d’amour
T’as dit que j’avais grossi
Mais que j’étais quand même jolie
T’as dit "Ton fils est plus malin que toi"
C’est qu’y r’ssemble à son papa
T’as dit tout ça
Bien d’autres choses et tu vois
Tu commences à m’gonfler
Et à m’casser les pieds
Alors je vais t’dire pauv’gars
Retourne chez toi
Prends tes cliques et tes claques
J’en ai plus que ma claque
De voir ta tronche de cake
Et de t’faire des ptits plats
S’il te plaît va voir dehors
Si des fois j’y suis pas et alors
P’tête que tu
Que t’avais une chouette femme
Mais qu’elle est plus là
Pour te dire qu’elle t’aime
Et que vraiment, tu l’mérites pas
Jeu 11 Sep 2008, 13:42 par AFDM sur La vie à deux

Une lettre d'amour




Chéri,
La brise se retient, le ciel s’assombris, il est chargé, bientôt il va pleuvoir et… il faut que je parte.
Déjà cela me manque, l’atmosphère chaleureuse de l’appart, l’odeur de la cuisine, le divan lit du salon, témoins de tant de nos acrobaties. Déjà, oui mon amour, la nostalgie de ces années passées ensemble, de ces années de joie et de peine, ces années euphoriques un peu propriétaires peut-être de notre vie, celle-la même qu’on ne partagera plus…jamais… Hélas !
Que je t’aime ! Que je t’aime ! Que je t’aime ! Cet amour que ces années n’ont pas réussit à ternir l’éclat, au contraire ils l’ont agrandit, mûrit, l’assagit et est-ce peut-être à cause de cela qu’aujourd’hui j’ai la force de te dire au revoir?… Adieu?
Depuis des années que je voulais te le dire mais depuis des années que ma lâcheté, mon égoïsme m’en empêchait. Oh mon chéri ! Pardonne moi ces temps perdus ; ces rêves jamais réalisés, rangés parce que soudain notre vie ne les permettait plus. Oui chéri, excuse-moi ces aventures que tu aurais voulu vivre, ces amours qui te fantasmaient…forts et si différents de moi.
Aujourd’hui c’est différent, j’ai compris, l’amour ce sentiment que je croyais connaître se relève enfin en moi et tout cela grâce à toi. Il est d’une telle simplicité, d’une telle beauté et d’une telle finesse que ce que je vivais jadis, oui me parait-il soudain, n’était qu’un vulgaire narcissisme.
Merci pour tout ; pour notre histoire, si elle n’avait pas été, je l’aurais inventé. Merci pour cette amitié qui me fut nécessaire en un moment où je ne savais comment résister aux vicissitudes de la vie ; merci de m’avoir aider à être heureuse, moi qui croyais que le bonheur est pure invention des poètes ; oh oui chéri, merci de m’éloigner à jamais cette peur qui me paralysait et paralysait mon existence. Avec toi j’appris à vivre et de croire en ma valeur, je connue le pardon à une dimension qui m’affranchit.
J’imagine combien cela a dû te coûter même si je feignais les naïves quand des fois je surprenais sur ton visage la lassitude d’une vie faite désormais de routine et d’habitude. Oui je fermais les yeux, quand tes attitudes notaient cet abattement, cet air désabusé d’un destin non réalisé, ou, quand ton regard partait loin, là bas, chercher des choses que je n’arrivais pas à te donner. Tu vois que je n’étais pas dupe quand quelquefois dans une gaîté à peine forcée tu me disais « je t’aime » tu le disais tellement fort comme pour t’en convaincre toi-même plus que moi. Alors dans ma lâcheté, oui je me convie, je te caressais le visage, tes doigts fins et je m’enfuyais dans tes bras, seulement préoccupée de mon seul bien-être. Pardonne moi chéri…j’étais faible.
Si il arrivait de nous chamailler pour des banalités en apparence, je sais maintenant que c’était parce que je t’en voulais de ne pas être totalement mien, ou parce que tu me reprochais de ne pas pouvoir te donner ce qui te manque.
Je l’ai compris depuis que pour toi mon amour, sont devenu authentiques mes sentiments. Je n’ai plus le droit de te freiner dans ta quête. Je ne le peux même plus.

Quand tu rentreras ce soir je ne serais plus là. Désormais la moitié de notre armoire restera vide, on ne se chamaillera plus pour une rangée de plus ou de moins, et cela me manquera. Dans la salle de bain j’ai volé un peu de ton gel douche, j’ai eu peur d’oublier un jour ton odeur, ne m’en veux pas. Notre photo sur la vieille commode du salon, je l’ai pris également cela t’aidera d’aller plus vite de l’avant et elle m’aidera de continuer à croire encore au bonheur. Mais sur le lit, il y’ aura ta vielle chemise qui depuis de années me sert de robe de nuit, je ne l’ai pas prit, s’aurait été pour moi un souvenir de trop.
Quand tu liras cette lettre, chéri, tu sans doute que c’est parce que je t’aime que, je dois partir. Ne soit pas très triste, au contraire soit heureux, ce départ n’est pas une trahison, ni une rupture, juste une nécessité, tu t’en apercevras plu tard; ne me déteste pas non plus, je ne le supporterais pas, néanmoins tu pourras m’oublier si cela peut t’aider à te construire une vie meilleure…mais ne doute jamais que c’est parce que je t’aime que je suis parti.
Ta chérie.
Lun 28 Mai 2007, 23:00 par agna sur La vie à deux

Complainte … comprenne qui pourra …

Ne me quitte pas
Il faut oublier
Tout peut s’oublier
Qui s’enfuit déjà
Oublier le temps
Des malentendus
Et le temps perdu
A savoir comment
Oublier ces heures
Qui tuaient parfois
A coups de pourquoi
Le cœur du bonheur
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

Moi je t’offrirai
Des perles de pluie
Venues de pays
Où il ne pleut pas
Je creuserai la terre
Jusqu’après ma mort
Pour couvrir ton corps
D’or et de lumière
Je ferai un domaine
Où l’amour sera roi
Où l’amour sera loi
Où tu seras reine
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

Ne me quitte pas
Je t’inventerai
Des mots insensés
Que tu
Je te parlerai
De ces amants-là
Qui ont vu deux fois
Leurs cœurs s’embraser
Je te raconterai
L’histoire de ce roi
Mort de n’avoir pas
Pu te rencontrer
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

On a vu souvent
Rejaillir le feu
D’un ancien volcan
Qu’on croyait trop vieux
Il est paraît-il
Des terres brûlées
Donnant plus de blé
Qu’un meilleur avril
Et quand vient le soir
Pour qu’un ciel flamboie
Le rouge et le noir
Ne s’épousent-ils pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

Ne me quitte pas
Je ne vais plus pleurer
Je ne vais plus parler
Je me cacherai là
A te regarder
Danser et sourire
Et à t’écouter
Chanter et puis rire
Laisse-moi devenir
L’ombre de ton ombre
L’ombre de ta main
L’ombre de ton chien
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas.

Parole de Jacques Brel ; 1959 …
Mar 10 Oct 2006, 02:57 par coeur lourd sur Parler d'amour

Melodie d'amour

Une tres douce mélodie intense s’ecoule au fon de mon moi,
Elle prend source dans mon coeur,
Mes pensées affluent vers cette rive vide,
Ou mon être impatient n’attend que toi ...beny

Ame soeur, viendras tu ?
Me sauveras tu de ces deboires
de ces desillusion tenaces,
dont ma vie est paralysée ?

J’absorde une douce musique en sourdine
Qui entre en moi par tous les pores
De ma peau a la fois delicate et fanee,
De mon coeur si souple et dechiré...

Est ce ta voix que j’entend au loin,
Mon prince du desert, mon karim, mirage de tous mes songes ?
Est ce l’une de tes simples caresses
Qui pour quelques instants m’envahit d’ivresse?

Ame soeur, un jour tu ,
Que mes pensées se nourissent de toi...
Que c’est uniquement parce que tu vis en moi,
Que mon coeur se vide, sur cette feuille la.
Pour enfin laisser la palce,
A l’amour suprême celui dont les mots ne suffisent pas à décrire


PS: Pardon Ben d’envahir ce forum
mais c’est mon seul espoire,
ma seul chance que tu vois que je t’aime reelement
ma seul facon de te parler...
Jeu 03 Août 2006, 09:39 par joullia sur L'amour en vrac

Au hazard du chemin...

Quand tu viendras….


Je ne sais qui tu es
Je ne sais quand tu viendras
Mais ce que je sais c’est que je t’attends
Notre rencontre au détour du chemin
Nos âmes chanteront à l’unisson
Et immédiatement nous comprendrons
Nos corps attirés l’un vers l’autre dans une union
Tu mes besoins, je saurais tes désirs
Et nous comblerons de joie et de beauté nos vies enfin réunies
Lorsque tu viendras, je serai là
Attentive à tout mouvements me rapprochant de toi
Nous philosopherons des heures entières pas toujours en accord avec l’autre,
Mais lorsque nos esprits se calmeront, nos corps se mettront en mouvement dans un corps à corps toujours en accord pour le plaisir de nos corps.
La passion au rendez-vous laissera alors la place libre au repos de nos âmes enfin assouvies. rose
Sam 06 Mai 2006, 11:56 par Hécate sur Histoires d'amour

Lettre à une enfant

Je ne t’ai pas choisie et encore moins faite,
Mais ton absence est là, douloureuse pourtant.
Toi qui m’as fait grandir du haut de tes six ans,
Je ne serai pas là pour te fêter les sept.

Et j’en pleure crois moi en tapant cette lettre.
Je pleure de ce silence qui m’entoure à présent,
De n’avoir joué assez à tous tes jeux d’enfants
Qu’en toute joie et rire j’apprenais à connaître.

Ne m’attends pas jeudi, je ne serai pas là.
Une histoire de grands me pousse à disparaître.
Tu plus tard te souvenant de moi,
Que j’aurais préféré descendre pour y être.

Je te vois du balcon, courir et t’amuser,
Je sais je n’y suis pas, mais je t’entends crier,
Rire et parfois pleurer, mais jamais t’arrêter.

A écouter ces rêves mon cœur devient amer,
Car il désirait tant au côté de ta mère,
Te voir grandir longtemps, se sentir cœur de père.

Prends soin de toi enfant, avant que tu ne glisses
Dans des histoires de grands, petite Marie au Lys.

Joyeux anniversaire…
Dim 11 Déc 2005, 17:59 par l'homme de sable sur L'amour en vrac

Obsession

Je te montrerai
Cette nuit insomniaque
Où sans force et épuisé
Je me suis enfin écroulé

Tu verras les murs
Tapissés de ton nom
Que j’ai remplis, inlassable
Pour recréer ta présence

Tu entendras aussi
Cette souffrante mélodie
Composée sans foi
Un jour où je n’étais plus moi

Le fantôme de tes pas
Hante encore le sol
Que tu as foulé
D’un pied pourtant si léger

Tu ne jamais
Où ton image s’est coincée
Entre deux rochers, froids
Au coeur de mes pensées
Mar 12 Avril 2005, 04:28 par CafeFroid sur L'amour en vrac
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Ecrire sur comprendras

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