Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur conquérir
Re: la chambre de l'intendant ( duo )
La chambre de l’intendant
C’est bien tentant
De rester dans l’alcôve de l’intendant
Quand il est absent.
Ailleurs il est appelé,
Et là, il doit s’ramener…
Située au dernier étage,
Il faut bien du courage
Pour grimper ses escaliers,
Pas d’ascenseur,
Un bon exercice pour le cœur
Deux fois par semaine, Suzette,
La jolie soubrette,
Vient chasser la poussière à coups de plumeau
Et lave à grandes eaux
Tous y passent, meubles, livres, feuilles
Ils en disent des choses tous ses recueils
Même quand Suzette n’est plus là
Pour critiquer les choses déplacées ici et là
Mais la soubrette est tenace
Les crayons n’ont qu’à retrouver leur place
Les bouquins plus dociles sont rangés
Et la poubelle est vidée
L’écran nettoyé, le sol désinfecté
Cette fois elle va pouvoir se reposer
Dans le sofa rapiécé
Après avoir préparé l’eau pour le thé
Bien qu’elle préfère le chocolat
Mais l’intendant n’en a pas
Après avoir sorti sa barre de nougat
Elle quitte ses chaussures
Une liberté qui rassure
Contemple le ciel tout bleu
Et ferme les yeux
Le tic-tac de l’obsolète pendule
En fond doucement ondule
Berceuse qui dans le sommeil va l’entraîner
Elle n’entend pas l’intendant inspiré
Tourner l’huis pour dans la pièce entrer
Et pour cause, par la porte il n’est pas passé
Du miroir il a surgi
Sans l’once d’un petit bruit
De retour d’un voyage en imaginaire
Pour y régler quelques affaires
Le voilà tout surpris
De trouver sur son sofa Suzette assoupie
Il découvre un souffle régulier
Et sous ses paupières beaucoup d’activité
C’est une rêveuse, pour lui ce n’est pas une surprise
Il l’avait deviné la première fois, lorsqu’elle était assise
Une idée lui traverse l’esprit
Non… Ce serait pure folie !
Et pourquoi pas partager ce secret finalement
Franchir à deux c’est peut-être cela l’aboutissement
Il s’assoit et doucement réveille la soubrette
Elle, surprise reste totalement muette
Anxieuse de la façon dont va réagir l’intendant
Lui s’adresse à elle dans l’instant
Vous aimez voyager par le rêve, je le sais
Je suis touché qu’en mon absence vous lisiez
On va dire que c’était une sorte de test ou d’épreuve
Maintenant vous allez devoir vous mettre à l’œuvre
Lisant dans son regard un quiproquo
Il lui saisit la main illico
Et la faisant se relever dans la lumière du soir
Il lui propose de s’approcher avec lui du miroir
Vous intéresse t il de savoir d’où je tire mes récits
Après un court silence résonne un timide… Oui !
Alors tenez fort ma main et suivez moi ce soir
Puis ils font un pas, puis deux vers le miroir
L’impression de tomber, de tournoyer
Pour finir par se retrouver
Debout au milieu d’un immense damier
Un ciel différent; de la couleur,
Partout, de la couleur !
Je sais que vous aimez le chocolat dit l’intendant
Et bien approchez vous de cet arbre là, devant.
Suzette découvre une plante géante
Vraiment fort appétissante
Ployant sous une multitude de fruits chocolatés
L’intendant s’assoit pour la contempler se sustenter
Lorsque votre désir de cacao sera assouvi
Je vous emmène visiter ce monde ci
Il devrait vous conquérir
Il accorde volontiers tous les désirs
Si ça vous tente… Je cherchais une belle âme
Pour y séjourner définitivement
Vous avez le temps pour me répondre Madame
Évidemment
…
caressedesyeux et Patrick Arnoux 24.03.2014 ( Tous Droits Réservés )
C’est bien tentant
De rester dans l’alcôve de l’intendant
Quand il est absent.
Ailleurs il est appelé,
Et là, il doit s’ramener…
Située au dernier étage,
Il faut bien du courage
Pour grimper ses escaliers,
Pas d’ascenseur,
Un bon exercice pour le cœur
Deux fois par semaine, Suzette,
La jolie soubrette,
Vient chasser la poussière à coups de plumeau
Et lave à grandes eaux
Tous y passent, meubles, livres, feuilles
Ils en disent des choses tous ses recueils
Même quand Suzette n’est plus là
Pour critiquer les choses déplacées ici et là
Mais la soubrette est tenace
Les crayons n’ont qu’à retrouver leur place
Les bouquins plus dociles sont rangés
Et la poubelle est vidée
L’écran nettoyé, le sol désinfecté
Cette fois elle va pouvoir se reposer
Dans le sofa rapiécé
Après avoir préparé l’eau pour le thé
Bien qu’elle préfère le chocolat
Mais l’intendant n’en a pas
Après avoir sorti sa barre de nougat
Elle quitte ses chaussures
Une liberté qui rassure
Contemple le ciel tout bleu
Et ferme les yeux
Le tic-tac de l’obsolète pendule
En fond doucement ondule
Berceuse qui dans le sommeil va l’entraîner
Elle n’entend pas l’intendant inspiré
Tourner l’huis pour dans la pièce entrer
Et pour cause, par la porte il n’est pas passé
Du miroir il a surgi
Sans l’once d’un petit bruit
De retour d’un voyage en imaginaire
Pour y régler quelques affaires
Le voilà tout surpris
De trouver sur son sofa Suzette assoupie
Il découvre un souffle régulier
Et sous ses paupières beaucoup d’activité
C’est une rêveuse, pour lui ce n’est pas une surprise
Il l’avait deviné la première fois, lorsqu’elle était assise
Une idée lui traverse l’esprit
Non… Ce serait pure folie !
Et pourquoi pas partager ce secret finalement
Franchir à deux c’est peut-être cela l’aboutissement
Il s’assoit et doucement réveille la soubrette
Elle, surprise reste totalement muette
Anxieuse de la façon dont va réagir l’intendant
Lui s’adresse à elle dans l’instant
Vous aimez voyager par le rêve, je le sais
Je suis touché qu’en mon absence vous lisiez
On va dire que c’était une sorte de test ou d’épreuve
Maintenant vous allez devoir vous mettre à l’œuvre
Lisant dans son regard un quiproquo
Il lui saisit la main illico
Et la faisant se relever dans la lumière du soir
Il lui propose de s’approcher avec lui du miroir
Vous intéresse t il de savoir d’où je tire mes récits
Après un court silence résonne un timide… Oui !
Alors tenez fort ma main et suivez moi ce soir
Puis ils font un pas, puis deux vers le miroir
L’impression de tomber, de tournoyer
Pour finir par se retrouver
Debout au milieu d’un immense damier
Un ciel différent; de la couleur,
Partout, de la couleur !
Je sais que vous aimez le chocolat dit l’intendant
Et bien approchez vous de cet arbre là, devant.
Suzette découvre une plante géante
Vraiment fort appétissante
Ployant sous une multitude de fruits chocolatés
L’intendant s’assoit pour la contempler se sustenter
Lorsque votre désir de cacao sera assouvi
Je vous emmène visiter ce monde ci
Il devrait vous conquérir
Il accorde volontiers tous les désirs
Si ça vous tente… Je cherchais une belle âme
Pour y séjourner définitivement
Vous avez le temps pour me répondre Madame
Évidemment
…
caressedesyeux et Patrick Arnoux 24.03.2014 ( Tous Droits Réservés )
Mar 25 Mars 2014, 18:14 par
caressedesyeux sur Mille choses
La chambre de l'intendant ( duo caressedesyeux/patrick)
[color=blue
C’est bien tentant
De rester dans l’alcôve de l’intendant
Quand il est absent.
Ailleurs il est appelé,
Et là, il doit s’ramener…
Située au dernier étage,
Il faut bien du courage
Pour grimper ses escaliers,
Pas d’ascenseur,
Un bon exercice pour le cœur
Deux fois par semaine, Suzette,
La jolie soubrette,
Vient chasser la poussière à coups de plumeau
Et lave à grandes eaux
Tous y passent, meubles, livres, feuilles
Ils en disent des choses tous ses recueils
Même quand Suzette n’est plus là
Pour critiquer les choses déplacées ici et là
Mais la soubrette est tenace
Les crayons n’ont qu’à retrouver leur place
Les bouquins plus dociles sont rangés
Et la poubelle est vidée
L’écran nettoyé, le sol désinfecté
Cette fois elle va pouvoir se reposer
Dans le sofa rapiécé
Après avoir préparé l’eau pour le thé
Bien qu’elle préfère le chocolat
Mais l’intendant n’en a pas
Après avoir sorti sa barre de nougat
Elle quitte ses chaussures
Une liberté qui rassure
Contemple le ciel tout bleu
Et ferme les yeux
Le tic-tac de l’obsolète pendule
En fond doucement ondule
Berceuse qui dans le sommeil va l’entraîner
Elle n’entend pas l’intendant inspiré
Tourner l’huis pour dans la pièce entrer
Et pour cause, par la porte il n’est pas passé
Du miroir il a surgi
Sans l’once d’un petit bruit
De retour d’un voyage en imaginaire
Pour y régler quelques affaires
Le voilà tout surpris
De trouver sur son sofa Suzette assoupie
Il découvre un souffle régulier
Et sous ses paupières beaucoup d’activité
C’est une rêveuse, pour lui ce n’est pas une surprise
Il l’avait deviné la première fois, lorsqu’elle était assise
Une idée lui traverse l’esprit
Non… Ce serait pure folie !
Et pourquoi pas partager ce secret finalement
Franchir à deux c’est peut-être cela l’aboutissement
Il s’assoit et doucement réveille la soubrette
Elle, surprise reste totalement muette
Anxieuse de la façon dont va réagir l’intendant
Lui s’adresse à elle dans l’instant
Vous aimez voyager par le rêve, je le sais
Je suis touché qu’en mon absence vous lisiez
On va dire que c’était une sorte de test ou d’épreuve
Maintenant vous allez devoir vous mettre à l’œuvre
Lisant dans son regard un quiproquo
Il lui saisit la main illico
Et la faisant se relever dans la lumière du soir
Il lui propose de s’approcher avec lui du miroir
Vous intéresse t il de savoir d’où je tire mes récits
Après un court silence résonne un timide… Oui !
Alors tenez fort ma main et suivez moi ce soir
Puis ils font un pas, puis deux vers le miroir
L’impression de tomber, de tournoyer
Pour finir par se retrouver
Debout au milieu d’un immense damier
Un ciel différent; de la couleur,
Partout, de la couleur !
Je sais que vous aimez le chocolat dit l’intendant
Et bien approchez vous de cet arbre là, devant.
Suzette découvre une plante géante
Vraiment fort appétissante
Ployant sous une multitude de fruits chocolatés
L’intendant s’assoit pour la contempler se sustenter
Lorsque votre désir de cacao sera assouvi
Je vous emmène visiter ce monde ci
Il devrait vous conquérir
Il accorde volontiers tous les désirs
Si ça vous tente… Je cherchais une belle âme
Pour y séjourner définitivement
Vous avez le temps pour me répondre Madame
Évidemment
…
caressedesyeux et Patrick Arnoux 24.03.2014 ( Tous Droits Réservés )[/color]
C’est bien tentant
De rester dans l’alcôve de l’intendant
Quand il est absent.
Ailleurs il est appelé,
Et là, il doit s’ramener…
Située au dernier étage,
Il faut bien du courage
Pour grimper ses escaliers,
Pas d’ascenseur,
Un bon exercice pour le cœur
Deux fois par semaine, Suzette,
La jolie soubrette,
Vient chasser la poussière à coups de plumeau
Et lave à grandes eaux
Tous y passent, meubles, livres, feuilles
Ils en disent des choses tous ses recueils
Même quand Suzette n’est plus là
Pour critiquer les choses déplacées ici et là
Mais la soubrette est tenace
Les crayons n’ont qu’à retrouver leur place
Les bouquins plus dociles sont rangés
Et la poubelle est vidée
L’écran nettoyé, le sol désinfecté
Cette fois elle va pouvoir se reposer
Dans le sofa rapiécé
Après avoir préparé l’eau pour le thé
Bien qu’elle préfère le chocolat
Mais l’intendant n’en a pas
Après avoir sorti sa barre de nougat
Elle quitte ses chaussures
Une liberté qui rassure
Contemple le ciel tout bleu
Et ferme les yeux
Le tic-tac de l’obsolète pendule
En fond doucement ondule
Berceuse qui dans le sommeil va l’entraîner
Elle n’entend pas l’intendant inspiré
Tourner l’huis pour dans la pièce entrer
Et pour cause, par la porte il n’est pas passé
Du miroir il a surgi
Sans l’once d’un petit bruit
De retour d’un voyage en imaginaire
Pour y régler quelques affaires
Le voilà tout surpris
De trouver sur son sofa Suzette assoupie
Il découvre un souffle régulier
Et sous ses paupières beaucoup d’activité
C’est une rêveuse, pour lui ce n’est pas une surprise
Il l’avait deviné la première fois, lorsqu’elle était assise
Une idée lui traverse l’esprit
Non… Ce serait pure folie !
Et pourquoi pas partager ce secret finalement
Franchir à deux c’est peut-être cela l’aboutissement
Il s’assoit et doucement réveille la soubrette
Elle, surprise reste totalement muette
Anxieuse de la façon dont va réagir l’intendant
Lui s’adresse à elle dans l’instant
Vous aimez voyager par le rêve, je le sais
Je suis touché qu’en mon absence vous lisiez
On va dire que c’était une sorte de test ou d’épreuve
Maintenant vous allez devoir vous mettre à l’œuvre
Lisant dans son regard un quiproquo
Il lui saisit la main illico
Et la faisant se relever dans la lumière du soir
Il lui propose de s’approcher avec lui du miroir
Vous intéresse t il de savoir d’où je tire mes récits
Après un court silence résonne un timide… Oui !
Alors tenez fort ma main et suivez moi ce soir
Puis ils font un pas, puis deux vers le miroir
L’impression de tomber, de tournoyer
Pour finir par se retrouver
Debout au milieu d’un immense damier
Un ciel différent; de la couleur,
Partout, de la couleur !
Je sais que vous aimez le chocolat dit l’intendant
Et bien approchez vous de cet arbre là, devant.
Suzette découvre une plante géante
Vraiment fort appétissante
Ployant sous une multitude de fruits chocolatés
L’intendant s’assoit pour la contempler se sustenter
Lorsque votre désir de cacao sera assouvi
Je vous emmène visiter ce monde ci
Il devrait vous conquérir
Il accorde volontiers tous les désirs
Si ça vous tente… Je cherchais une belle âme
Pour y séjourner définitivement
Vous avez le temps pour me répondre Madame
Évidemment
…
caressedesyeux et Patrick Arnoux 24.03.2014 ( Tous Droits Réservés )[/color]
Mar 25 Mars 2014, 18:13 par
caressedesyeux sur Mille choses
SoirÉe chaude...
Je suis venu ce soir
Non pa pour combattre ton corps,
Mais pour le conquerir.
Comme un soldat inesperimenté
je me laisserai guider
par ta tendresse.
Sur chaque partie de ton corps conqui,
je hisserai mon drapeau.
Je suis venu ce soir
éteindre les bougies
et t’éclairer de mon regard.
te rendre muet de mes baisés
et de mes caresses, faire parler ton corps.
Je suis venu ce soir
Et ton corps m’a inspiré.
j’ai donc decidé de t’écrire un poeme;
mes gestes et mes caresse me serviront de Plume
ton corps,de papier!
Et je te le chuchotterai en te faisant l’amour.
Je suis venu ce soir Petite,
pour te faire loyalement l’amour.
Non pa pour combattre ton corps,
Mais pour le conquerir.
Comme un soldat inesperimenté
je me laisserai guider
par ta tendresse.
Sur chaque partie de ton corps conqui,
je hisserai mon drapeau.
Je suis venu ce soir
éteindre les bougies
et t’éclairer de mon regard.
te rendre muet de mes baisés
et de mes caresses, faire parler ton corps.
Je suis venu ce soir
Et ton corps m’a inspiré.
j’ai donc decidé de t’écrire un poeme;
mes gestes et mes caresse me serviront de Plume
ton corps,de papier!
Et je te le chuchotterai en te faisant l’amour.
Je suis venu ce soir Petite,
pour te faire loyalement l’amour.
Jeu 21 Juin 2012, 09:33 par
jules tizio sur L'amour en vrac
Tango
-pourquoi les hommes font la cour aux femmes, pourquoi un homme a besoin de conquérir une femme?
-c’est instinctif, le mâle depuis toujours doit conquérir une femelle
-mais pour quoi ?
-parce qu’un homme n’est pas un mâle fort sans une femelle
-et pour quoi un homme a-t-il besoin d’avoir plusieurs femmes?
-c’est parce qu’il craint la mort
-quoi que tu fasse un jour tu vas mourir
-certainement mais on vit qu’une fois
-je suis sure tu mourras avant moi
-fort probable, je suis plus vieux que toi, et moins résistant que toi
-je viendrai à tes funérailles en robe rouge et des talons escarpins noirs
-j’adorerai te voir une dernière fois
-je ne danserai pas le tango à trois
-tu n’es pas obligée!!
-de quoi?
-de danser
-j’aime danser
-danse alors
-je ne veux pas à trois, avec toi
-c’est qui le 3ème
-je veux que tu arrêtes de la voir, je veux danser
-remets ta robe rouge,
-elle me va plus
-tu es capricieuse
-mets-la, mets tes talons noirs
-ils sont usés
-tu ne veux pas danser, alors laisse moi danser
-je t’ai appris à danser
-oui, à ta manière, je t’ai offert la robe rouge elle t’appartient
-et si je mettrais une autre robe, je n’aime plus le rouge
-peut être on danserait, quand l’homme réalise que sa vie est basée sur rien, c’est douloureux
-ta vie n’est pas basée sur rien , je t’aime et tu aimes danser
-je t’aime, j’adore danser
-pour quoi dit-on tomber amoureux? est ce parce que lorsqu’on danse on risque de tomber?
-tu ne changeras jamais!
-c’est instinctif, le mâle depuis toujours doit conquérir une femelle
-mais pour quoi ?
-parce qu’un homme n’est pas un mâle fort sans une femelle
-et pour quoi un homme a-t-il besoin d’avoir plusieurs femmes?
-c’est parce qu’il craint la mort
-quoi que tu fasse un jour tu vas mourir
-certainement mais on vit qu’une fois
-je suis sure tu mourras avant moi
-fort probable, je suis plus vieux que toi, et moins résistant que toi
-je viendrai à tes funérailles en robe rouge et des talons escarpins noirs
-j’adorerai te voir une dernière fois
-je ne danserai pas le tango à trois
-tu n’es pas obligée!!
-de quoi?
-de danser
-j’aime danser
-danse alors
-je ne veux pas à trois, avec toi
-c’est qui le 3ème
-je veux que tu arrêtes de la voir, je veux danser
-remets ta robe rouge,
-elle me va plus
-tu es capricieuse
-mets-la, mets tes talons noirs
-ils sont usés
-tu ne veux pas danser, alors laisse moi danser
-je t’ai appris à danser
-oui, à ta manière, je t’ai offert la robe rouge elle t’appartient
-et si je mettrais une autre robe, je n’aime plus le rouge
-peut être on danserait, quand l’homme réalise que sa vie est basée sur rien, c’est douloureux
-ta vie n’est pas basée sur rien , je t’aime et tu aimes danser
-je t’aime, j’adore danser
-pour quoi dit-on tomber amoureux? est ce parce que lorsqu’on danse on risque de tomber?
-tu ne changeras jamais!
Ven 12 Nov 2010, 00:45 par
assouma23 sur La vie à deux
Ses lèvres...
Elles étaient là,
à quelques centimètres de moi
Je n’ai pas pu résister
D’essayer de l’embrasser
Et voilà la fin d’un rêve
Il fallait que je le crève
Je le savais impossible
Presque inaccessible
Tu cherches la même chose que moi
L’étincelle qui te donnera la foi
Sauf que la mienne à son heure
N’est venue qu’à l’ouverture de ton coeur
Sur ta profondeur d’âme
Pour consumer ma flamme
Sachant que ce n’était pas le moment
J’ai avoué mes sentiments
...
Petite fille de douceur
J’avais sans doute trop peur
Pour te l’avouer avant
Moi qui suis un gouffre de sentiments
Une âme meurtrie
Qui n’osait pas te dire
Ou osait tenter
Quoique ce soit sans douter
Des années pour que cela murisse
Ironie du temps qui glisse
Et qui transforme en amitié
Celle que j’aurais souhaité aimer
...
Aimer m’est donc interdit
Mais je reste séduit
Par ton visage, ton sourire
Que je n’ai pu conquérir
Et tes larmes désespérées
Que je n’aurais su sécher
Bonne nuit à celle qui dort déjà
Alors que moi, je me morfonds pour toi.
Loyd
à quelques centimètres de moi
Je n’ai pas pu résister
D’essayer de l’embrasser
Et voilà la fin d’un rêve
Il fallait que je le crève
Je le savais impossible
Presque inaccessible
Tu cherches la même chose que moi
L’étincelle qui te donnera la foi
Sauf que la mienne à son heure
N’est venue qu’à l’ouverture de ton coeur
Sur ta profondeur d’âme
Pour consumer ma flamme
Sachant que ce n’était pas le moment
J’ai avoué mes sentiments
...
Petite fille de douceur
J’avais sans doute trop peur
Pour te l’avouer avant
Moi qui suis un gouffre de sentiments
Une âme meurtrie
Qui n’osait pas te dire
Ou osait tenter
Quoique ce soit sans douter
Des années pour que cela murisse
Ironie du temps qui glisse
Et qui transforme en amitié
Celle que j’aurais souhaité aimer
...
Aimer m’est donc interdit
Mais je reste séduit
Par ton visage, ton sourire
Que je n’ai pu conquérir
Et tes larmes désespérées
Que je n’aurais su sécher
Bonne nuit à celle qui dort déjà
Alors que moi, je me morfonds pour toi.
Loyd
Dim 27 Sep 2009, 04:57 par
Loyd sur Histoires d'amour
Loin de moi toute idée de t'angoisser!
Sophy,
Ma chère Sophy la mort d’un amour ne donne – t – elle pas vie à un autre ?
Comme tu le voies, c’est par cette question que j’ai résumé ton point de vue. Soyons d’avis que seul la capacité à faire deuil d’un amour peut permettre à un autre de revivre.
C’est pour te dire que tu ressens aussi cruellement la rupture de ton ex qu’il t’es cependant plus dur voire inconcevable de s’abandonner à nouveau à la confiance d’une autre personne.
Sophy, à travers tes écrits on imagine très aisément que la brutalité, l’inattendu et le sentiment de trahison de cette rupture sont si forts et ont semé en toi la colère et peut être la haine. Cette colère parait si dense, si intense et si présente en toi qu’il t’es difficile d’oublier, de pardonner pour tourner la page.
Sophy même s’il te semble difficile de l’admettre, il faut que tu acceptes d’abroger cette peine, ce chagrin d’amour pour participer à la loterie du bonheur. Car en matières de sentiments et d’amour il n’y a pas de perdant ou de gagnant mais des hommes unis pour le mieux, … ainsi soit il.
J’aime à penser que l’amour reste le sentiment le plus enviable d’une existence, même s’il fait passer par tous les états d’âmes…
Je m’étonne pas parce que mes mots à ton noble égard te surprennent : je t’avoue qu’ils sont très sincères, très honnêtes et tous aussi innocents qu’involontaires. Mais ce qui m’as surpris c’est ce doute de ce que tu ne pourrais pas être la meilleure chose qui me soit arrivée tout simplement parce que nous ne nous connaissons pas, je ne sais rien de toi et toi rien de moi. Il est vrai dit-on que « l’on aime que ce que l’on voit ». Mais il y a aussi d’autres choses que nous ne connaissons et que nous n’avons jamais vues qui captivent pleinement tout notre être malgré nous. Tel est mon cas Sophy. C’est évident que nous ne nous connaissons pas, est - ce une raison de ne pas t’aimer d’un vrai amour avec tout son sens ? N’oublie pas je te cite « qu’il faut juste sentir comme une évidence que c’est la bonne relation » Pour moi la connaissons fondée sur l’âme est au dessus d’une simple connaissance ‘‘savoir des choses sur l’autre et les partager…’’. Les deux doivent aller de paire !
Je me suis fait peut être mal compris dans ma précédente note. Il n’est pas question que je te panse tes blessures. Je prétendais qu’on pouvait s’entraider, apprendre à regarder dans un même direction, de se ficeler un projet réfléchi et nourrit de vie. Au fait c’est une invite à mieux nous connaître.
Je te remercie de bien vouloir me prêter une oreille attentive et de bien vouloir m’aider à y voir clair. S’il m’est possible de me contrôler je ne t’aurais pas angoissé. Je pense humblement tout en te citant « une des clefs pour trouver la bonne personne est de ne pas la cherchée mais laisser faire le temps et le hasard des rencontres ».
Le temps peut panser la douleur mais il ne l’effacera jamais. Même si le souvenir de le douleur n’est pas la douleur il en demeure comme une tâche avec ses effets sur la mémoire et dans le comportement pour éternellement.
Pour finir je te dis merci pour le courage dont tu ne cesses de me donner, car j’en ai besoin pour te conquérir. A Bientôt
STEPHANE
Ma chère Sophy la mort d’un amour ne donne – t – elle pas vie à un autre ?
Comme tu le voies, c’est par cette question que j’ai résumé ton point de vue. Soyons d’avis que seul la capacité à faire deuil d’un amour peut permettre à un autre de revivre.
C’est pour te dire que tu ressens aussi cruellement la rupture de ton ex qu’il t’es cependant plus dur voire inconcevable de s’abandonner à nouveau à la confiance d’une autre personne.
Sophy, à travers tes écrits on imagine très aisément que la brutalité, l’inattendu et le sentiment de trahison de cette rupture sont si forts et ont semé en toi la colère et peut être la haine. Cette colère parait si dense, si intense et si présente en toi qu’il t’es difficile d’oublier, de pardonner pour tourner la page.
Sophy même s’il te semble difficile de l’admettre, il faut que tu acceptes d’abroger cette peine, ce chagrin d’amour pour participer à la loterie du bonheur. Car en matières de sentiments et d’amour il n’y a pas de perdant ou de gagnant mais des hommes unis pour le mieux, … ainsi soit il.
J’aime à penser que l’amour reste le sentiment le plus enviable d’une existence, même s’il fait passer par tous les états d’âmes…
Je m’étonne pas parce que mes mots à ton noble égard te surprennent : je t’avoue qu’ils sont très sincères, très honnêtes et tous aussi innocents qu’involontaires. Mais ce qui m’as surpris c’est ce doute de ce que tu ne pourrais pas être la meilleure chose qui me soit arrivée tout simplement parce que nous ne nous connaissons pas, je ne sais rien de toi et toi rien de moi. Il est vrai dit-on que « l’on aime que ce que l’on voit ». Mais il y a aussi d’autres choses que nous ne connaissons et que nous n’avons jamais vues qui captivent pleinement tout notre être malgré nous. Tel est mon cas Sophy. C’est évident que nous ne nous connaissons pas, est - ce une raison de ne pas t’aimer d’un vrai amour avec tout son sens ? N’oublie pas je te cite « qu’il faut juste sentir comme une évidence que c’est la bonne relation » Pour moi la connaissons fondée sur l’âme est au dessus d’une simple connaissance ‘‘savoir des choses sur l’autre et les partager…’’. Les deux doivent aller de paire !
Je me suis fait peut être mal compris dans ma précédente note. Il n’est pas question que je te panse tes blessures. Je prétendais qu’on pouvait s’entraider, apprendre à regarder dans un même direction, de se ficeler un projet réfléchi et nourrit de vie. Au fait c’est une invite à mieux nous connaître.
Je te remercie de bien vouloir me prêter une oreille attentive et de bien vouloir m’aider à y voir clair. S’il m’est possible de me contrôler je ne t’aurais pas angoissé. Je pense humblement tout en te citant « une des clefs pour trouver la bonne personne est de ne pas la cherchée mais laisser faire le temps et le hasard des rencontres ».
Le temps peut panser la douleur mais il ne l’effacera jamais. Même si le souvenir de le douleur n’est pas la douleur il en demeure comme une tâche avec ses effets sur la mémoire et dans le comportement pour éternellement.
Pour finir je te dis merci pour le courage dont tu ne cesses de me donner, car j’en ai besoin pour te conquérir. A Bientôt
STEPHANE
Jeu 29 Nov 2007, 18:21 par
STEPHANE sur Histoires d'amour
Souvenir
je me souviens le jour où je t’ai rencontré
l’instant précis où nos regards se sont croisés
je me souviens de tout ce que tu me disais
jamais je n’oublierais tes grands yeux noirs
ni ta bouche au gout de cannelle et citron qui m’embrassa
ni ton corps de femme qui m’envoûta
ni ta grâce naturelle qui me subjugua
depuis ce jour j’ai découvert l’amour
le mien, le tien, celui qui peut-être a nous
pauvre diable que je suis
je n’ai que trois choses à t’offrir, car je n’ai pas de fortune
ces trois choses pour toi mon amour sorti de la brume
Mon âme, mon cœur et ma vie
mon âme, pour te conquérir
mon coeur, pour t’aimer sans te faire souffrir
ma vie, pour la vivre avec toi a l’infini...
l’instant précis où nos regards se sont croisés
je me souviens de tout ce que tu me disais
jamais je n’oublierais tes grands yeux noirs
ni ta bouche au gout de cannelle et citron qui m’embrassa
ni ton corps de femme qui m’envoûta
ni ta grâce naturelle qui me subjugua
depuis ce jour j’ai découvert l’amour
le mien, le tien, celui qui peut-être a nous
pauvre diable que je suis
je n’ai que trois choses à t’offrir, car je n’ai pas de fortune
ces trois choses pour toi mon amour sorti de la brume
Mon âme, mon cœur et ma vie
mon âme, pour te conquérir
mon coeur, pour t’aimer sans te faire souffrir
ma vie, pour la vivre avec toi a l’infini...
Mar 10 Juil 2007, 23:28 par
pierre de la carolina sur Mille choses
Et si...
Je ne trouve plus les mots qui dépeignent le vide que je ressens
Mais ce n’est pas ça dont j’ai rêvé pour nous ce n’est pas ce sentiment oppressé
Ces maux de cœur qui font me retourner dans un lit sans repos
Ces cauchemars et la peur de regarder vers toi
Pour trouver quoi ?
Si je suis seule à rechercher la joie
A chanter la tendresse, à vouloir conquérir la douceur le désir
Se battre contre ce qui oppresse nos vies
Si tu te recroquevilles sur toi
Ca sert à quoi ?
Si l’amour n’est pour toi qu’une infinie contrainte
Un sacrifice une peur et des chaînes
Et qu’en ton cœur tu sens rugir la haine
Et le besoin d’éloigner tous tes pas
N’appelle pas...
Mais ce n’est pas ça dont j’ai rêvé pour nous ce n’est pas ce sentiment oppressé
Ces maux de cœur qui font me retourner dans un lit sans repos
Ces cauchemars et la peur de regarder vers toi
Pour trouver quoi ?
Si je suis seule à rechercher la joie
A chanter la tendresse, à vouloir conquérir la douceur le désir
Se battre contre ce qui oppresse nos vies
Si tu te recroquevilles sur toi
Ca sert à quoi ?
Si l’amour n’est pour toi qu’une infinie contrainte
Un sacrifice une peur et des chaînes
Et qu’en ton cœur tu sens rugir la haine
Et le besoin d’éloigner tous tes pas
N’appelle pas...
Ven 05 Jan 2007, 10:20 par
dolce vita sur La vie à deux
Hommage
Elle s’était déshabillée pour le bain… Bain moussant, huiles essentielles. Elle avait relevé ses cheveux. Sa peau, lisse, renvoyait doucement la lumière… Elle se laissa couler dans l’eau odorante, les cheveux calés contre la faïence. Contact de la peau tendre et chaude contre le matériau froid et dur… Contraste avec l’eau chaude à la limite du supportable mais tout en restant délicieuse. Soupir d’aise, ample, généreux… Ses lèvres s’entrouvrirent, les paupières lourdes, les cils en étoile couvrant l’iris de l’œil.
Il la savourait. Il savait qu’elle ne serait jamais sienne… Jamais. Il la connaissait dans sa presque nudité, presque. Il restait ce "presque" comme un tourment. Toutes ses terres à découvrir, tous ces oasis, ses rivières souterraines, tous ces mystères qu’il n’explorerait pas. Jamais. Elle resterait cette terra incognita comme une aventure qu’il n’avait pas eu le goût ou l’audace de conquérir. Du reste, aurait-il pu ? Ne savait-il pas bien que si elle s’était donnée avec fougue, avec volupté, elle serait restée malgré tout sauvage, entière, farouche… En un mot, libre.
Elle jouait avec la surface de l’eau, lissant de ses doigts fins l’onde blanchie d’écume parfumée… Elle avait relevé les jambes, cuisses légèrement écartées, les pieds de part et d’autre de la robinetterie. Et puis, lassée de la pose, elle s’était tournée, le bas du visage couvert d’eau, elle jouait avec l’onde qui la caressait en vagues molles…
Il voyait très bien son dos cambré et ses fesses, rondes et dures, relevées vers le ciel… Il en voulait à l’eau d’oser ses caresses intimes, elle posait ses doigts là où tout pour lui resterait mystère. Elle posait ses doigts où il aurait voulu avidement poser les lèvres… Où il aurait voulu se poser, la couvrir, la découvrir, la conquérir. Tout se troubla, Il tenta de regarder à nouveau la baigneuse, mais il ne vit plus rien qu’un écran. Noir.
Il la savourait. Il savait qu’elle ne serait jamais sienne… Jamais. Il la connaissait dans sa presque nudité, presque. Il restait ce "presque" comme un tourment. Toutes ses terres à découvrir, tous ces oasis, ses rivières souterraines, tous ces mystères qu’il n’explorerait pas. Jamais. Elle resterait cette terra incognita comme une aventure qu’il n’avait pas eu le goût ou l’audace de conquérir. Du reste, aurait-il pu ? Ne savait-il pas bien que si elle s’était donnée avec fougue, avec volupté, elle serait restée malgré tout sauvage, entière, farouche… En un mot, libre.
Elle jouait avec la surface de l’eau, lissant de ses doigts fins l’onde blanchie d’écume parfumée… Elle avait relevé les jambes, cuisses légèrement écartées, les pieds de part et d’autre de la robinetterie. Et puis, lassée de la pose, elle s’était tournée, le bas du visage couvert d’eau, elle jouait avec l’onde qui la caressait en vagues molles…
Il voyait très bien son dos cambré et ses fesses, rondes et dures, relevées vers le ciel… Il en voulait à l’eau d’oser ses caresses intimes, elle posait ses doigts là où tout pour lui resterait mystère. Elle posait ses doigts où il aurait voulu avidement poser les lèvres… Où il aurait voulu se poser, la couvrir, la découvrir, la conquérir. Tout se troubla, Il tenta de regarder à nouveau la baigneuse, mais il ne vit plus rien qu’un écran. Noir.
Jeu 21 Déc 2006, 16:36 par
dolce vita sur Les liaisons sulfureuses
Mon Amour m'a dit
Mon Amour m’a demandé :
" tu cherches à me conquérir pas à pas "
Je lui ai répondu :
" oui, chaque jour est un pas ".
" tu cherches à me conquérir pas à pas "
Je lui ai répondu :
" oui, chaque jour est un pas ".
Mar 25 Oct 2005, 21:55 par
Satine sur La vie à deux
La conquête.
Contemplant quelques jolis dos nus dans ma cité estivale et examinant le sentiment qui naissait alors en moi, je trouvais par hasard les chemins de l’évidence : l’homme, le mâle, est un conquérant, il convoite et s’accapare l’objet de son désir.
La séduction est communément perçue comme un ensemble de jeux et de techniques pour attirer l’autre dans ses bras. Les conseils sur le dialogue, l’attitude, les contextes gagnants foisonnent, mais il est rare de trouver une analyse des phénomènes qui enclenchent l’action de séduction. Un peu comme en médecine, on soignerait le mal plutôt que les blessures, nous pourrions examiner la séduction non plus sous l’angle de ses recettes, mais sous celui de ce qui la motive. Je vais donc flâner dans les idées qui gravitent autour de cet esprit de conquête qui habite chaque homme.
L’idée est que si l’homme est un conquérant, une femme pourra créer un jeu de séduction en se considérant comme le territoire à conquérir de son courtisan. L’idée est que toute femme peut, et d’ailleurs doit, jouer sur cette corde sensible qu’est l’esprit de conquête masculin.
Bien entendu, à chaque homme sa façon de conquérir. Les femmes, l’argent, les terres, la notoriété seront autant de pôles de convoitise qu’une femme pourra déceler chez son futur partenaire. Ce renseignement est utile, car sa façon naturelle de conquérir vous sera alors plus perceptible. Tout le monde imagine différentes méthodes, même simpliste, pour gagner de sous, acquérir un terrain, devenir fameux. Ne vous inquiétez pas sur la pertinence ou la qualité de ce que vous aurait alors imaginé : seul le principe compte.
La valeur que ce fait l’homme de sa future conquête est très importante. Il est sage de ne pas se sous-évaluer ni de se surestimer. Non pas en fonction de votre propre regard, mais en fonction du sien. Ne vous inquiétez pas, plus vous avancerez dans la conquête, plus votre valeur à ses yeux augmentera.
Conquérir implique une stratégie de la part du conquérant, le jeu pour vous mesdemoiselles consiste alors à s’inscrire sciemment dans cette stratégie. Accepter de jouer le rôle du « gibier » n’est pas de la soumission, bien au contraire. Lorsque les rôles sont définis, la complicité du jeu s’installe, tout est dit mais rien n’est fait. Une conquête sous-tend des efforts, il va en quelque sorte vous mériter : il vous tient presque, vous vous échappez et l’incitez à vous suivre.
L’avantage pour vous est que vous êtes constamment maître du jeu. Vous en connaissez les règles, n’avez qu’à observer les actions de rapprochement et en jouer. Maintenant ainsi une tension adéquate constante, vous comprimez un ressort qui ne se détendra qu’au moment que vous jugerez bon pour vous deux. Ce dénouement est à sentir avec beaucoup d’attention, sa qualité étant primordiale. A quel moment vous abandonnerez vous ?
L’avantage pour votre futur partenaire, c’est que durant cette partie complice que vous jouez, il va se sentir renaître, transporté par votre aisance à provoquer chez lui des bouffées de désir. En effet, le plaisir de se voir faire réveiller notre désir de conquête quelques fois endormi dans ce monde ou tout est facile est très agréable, surtout lorsqu’il est mené avec finesse et doigté.
Jouer ensemble à la conquête, s’est déjà un très bon signe sur son dénouement. Le positionnement de chacun est une richesse pour l’avenir éventuel du couple, car sous le biais du jeu vous pourrez sentir une quantité impressionnante de choses concernant l’autre, et découvrir des aspects cachés de sa personnalité. Ce jeu active l’imagination, terreau essentiel d’une relation amoureuse. Sans imagination, point de salut. Si la sienne ou la votre s’était un peu ramollie ces temps ci, ce petit jeu va la faire pétiller.
Il existe plusieurs façons pour une demoiselle de devenir l’objet de la conquête d’un jeune homme qui lui plait. Cette recherche d’adaptation au cas présent sera probablement le moment de regarder au fond de vous-mêmes et de vos ressources pour en extraire ce qui est le plus adapté. Et une demoiselle capable de cela, est une demoiselle à conquérir …
Pour conclure, je dirais que cette façon de voir la séduction n’est en aucun cas à appliquer systématiquement. Certains cas s’y prêtent, d’autres non. Il y aura des hommes qui ne veulent pas jouer avec vous à la conquête, parce qu’il vous aiment déjà, vous désirent déjà, ou ont peur de ses femmes qui les rendent ainsi nerveux par des jeux qu’ils ne connaissent pas. A vous de sentir alors ce qu’il convient simplement de faire en fonction de votre futur partenaire.
La séduction est communément perçue comme un ensemble de jeux et de techniques pour attirer l’autre dans ses bras. Les conseils sur le dialogue, l’attitude, les contextes gagnants foisonnent, mais il est rare de trouver une analyse des phénomènes qui enclenchent l’action de séduction. Un peu comme en médecine, on soignerait le mal plutôt que les blessures, nous pourrions examiner la séduction non plus sous l’angle de ses recettes, mais sous celui de ce qui la motive. Je vais donc flâner dans les idées qui gravitent autour de cet esprit de conquête qui habite chaque homme.
L’idée est que si l’homme est un conquérant, une femme pourra créer un jeu de séduction en se considérant comme le territoire à conquérir de son courtisan. L’idée est que toute femme peut, et d’ailleurs doit, jouer sur cette corde sensible qu’est l’esprit de conquête masculin.
Bien entendu, à chaque homme sa façon de conquérir. Les femmes, l’argent, les terres, la notoriété seront autant de pôles de convoitise qu’une femme pourra déceler chez son futur partenaire. Ce renseignement est utile, car sa façon naturelle de conquérir vous sera alors plus perceptible. Tout le monde imagine différentes méthodes, même simpliste, pour gagner de sous, acquérir un terrain, devenir fameux. Ne vous inquiétez pas sur la pertinence ou la qualité de ce que vous aurait alors imaginé : seul le principe compte.
La valeur que ce fait l’homme de sa future conquête est très importante. Il est sage de ne pas se sous-évaluer ni de se surestimer. Non pas en fonction de votre propre regard, mais en fonction du sien. Ne vous inquiétez pas, plus vous avancerez dans la conquête, plus votre valeur à ses yeux augmentera.
Conquérir implique une stratégie de la part du conquérant, le jeu pour vous mesdemoiselles consiste alors à s’inscrire sciemment dans cette stratégie. Accepter de jouer le rôle du « gibier » n’est pas de la soumission, bien au contraire. Lorsque les rôles sont définis, la complicité du jeu s’installe, tout est dit mais rien n’est fait. Une conquête sous-tend des efforts, il va en quelque sorte vous mériter : il vous tient presque, vous vous échappez et l’incitez à vous suivre.
L’avantage pour vous est que vous êtes constamment maître du jeu. Vous en connaissez les règles, n’avez qu’à observer les actions de rapprochement et en jouer. Maintenant ainsi une tension adéquate constante, vous comprimez un ressort qui ne se détendra qu’au moment que vous jugerez bon pour vous deux. Ce dénouement est à sentir avec beaucoup d’attention, sa qualité étant primordiale. A quel moment vous abandonnerez vous ?
L’avantage pour votre futur partenaire, c’est que durant cette partie complice que vous jouez, il va se sentir renaître, transporté par votre aisance à provoquer chez lui des bouffées de désir. En effet, le plaisir de se voir faire réveiller notre désir de conquête quelques fois endormi dans ce monde ou tout est facile est très agréable, surtout lorsqu’il est mené avec finesse et doigté.
Jouer ensemble à la conquête, s’est déjà un très bon signe sur son dénouement. Le positionnement de chacun est une richesse pour l’avenir éventuel du couple, car sous le biais du jeu vous pourrez sentir une quantité impressionnante de choses concernant l’autre, et découvrir des aspects cachés de sa personnalité. Ce jeu active l’imagination, terreau essentiel d’une relation amoureuse. Sans imagination, point de salut. Si la sienne ou la votre s’était un peu ramollie ces temps ci, ce petit jeu va la faire pétiller.
Il existe plusieurs façons pour une demoiselle de devenir l’objet de la conquête d’un jeune homme qui lui plait. Cette recherche d’adaptation au cas présent sera probablement le moment de regarder au fond de vous-mêmes et de vos ressources pour en extraire ce qui est le plus adapté. Et une demoiselle capable de cela, est une demoiselle à conquérir …
Pour conclure, je dirais que cette façon de voir la séduction n’est en aucun cas à appliquer systématiquement. Certains cas s’y prêtent, d’autres non. Il y aura des hommes qui ne veulent pas jouer avec vous à la conquête, parce qu’il vous aiment déjà, vous désirent déjà, ou ont peur de ses femmes qui les rendent ainsi nerveux par des jeux qu’ils ne connaissent pas. A vous de sentir alors ce qu’il convient simplement de faire en fonction de votre futur partenaire.
Jeu 09 Juin 2005, 12:14 par
PetitPrince sur Le grimoire d'amour
Le baiser du sel.
L’eau fraîche les réveilla avec ce petit frisson qui prend naissance dans le creux du dos et hérisse les poils de la nuque. Délaissant la petite plage de sable fin Katy et Luc se tenaient les pieds dans l’eau face à la mer et prenaient le temps de s’accoutumer au changement de température. Katy s’avança la première et pénétra dans l’eau jusqu’en haut des cuisses, ce qui lui arracha un cri amusé et un nouveau frisson la secoua. Dans le creux de ses mains, elle pris de l’eau qu’elle étala sur ses bras, sa nuque et les épaules. Virevoltant sur elle-même, elle se retourna vers son homme occupé par les mêmes ablutions, puis le regarda en faisant une grimace comique alors qu’elle se laissait tomber doucement dans le bain d’eau fraîche. Il rejoignit dans un plongeon courageux.
Ces deux là n’avaient pas besoin de se parler pour se comprendre. Ils étaient contents de leur sort, prenant les choses comme elles viennent, s’aimant simplement. La déclinaison douce du sable leur permis d’avancer loin du bord jusqu’à ce que l’eau atteigne le haut du corps de Katy. Alanguis par le soleil qui les avait léché toute l’après-midi, fatigués de leurs jeux dans les vagues ils ne prirent pas la peine de nager vers la petite bouée comme ils aimaient le faire, mais s’allongèrent sur l’eau et firent la planche. Le nez dans les nuages, et les yeux fermés, ils se laissèrent ainsi ballotter légèrement par les vagues, s’échangeant de brèves paroles pour décrire ce qu’ils éprouvaient dans cette expérience commune. Qu’il est bon d’être insouciant, loin des tracas des hommes, des bêtises du monde se disait Luc.
- Je voudrais t’aimer ici, Katy dit-il soudain, toujours sur le dos.
Elle tourna la tête vers lui, amusée par les mots toujours inattendus de celui avec qui elle partageait sa vie depuis plusieurs mois.
- Je n’y vois pas d’inconvénient répondit-elle espiègle, sans changer de position.
Luc se rétablit dans l’eau et alla vers sa compagne, toujours allongée, les yeux grands ouverts, dardant avec excitation celui qui savait lui arracher des cris de plaisir. Il se tint debout un moment prés d’elle, puis posa doucement sa main sur son ventre. Il voulait la caresser sans qu’elle ne s’enfonce dans l’eau, que le poids de sa main soit suffisamment fort pour qu’elle le goûte sans briser l’ équilibre de la flottaison. C’était un jeu qui demandait une délicatesse infinie, une complicité sans faille. Elle comprit la manœuvre et se détendit pour ne goûter que les mains agiles de Luc sur sa peau. Elle sentit l’index de celui-ci glisser sous la lisière de son petit slip orange, se promener sur la lisière de son ventre, glisser vers une hanche, revenir vers le centre pour partir conquérir l’autre hanche. La caresse était aux frontières de l’érotisme, s’en approchant si prés, mais sans jamais la franchir. C’était bon, doux, simple.
Elle sentit le doigt se retirer de sous l’élastique, aussitôt remplacé par la main entière posée sur son maillot. Un petit frisson naquit au fond de son ventre tandis que les doigts de Luc survolaient au travers de son maillot la petite toison taillée pour l’été. La main descendit vers l’aine en l’effleurant, quitta la surface lisse du maillot pour se plaquer doucement sur l’intérieur de sa cuisse. Inconsciemment, ses jambes s’étaient entrouvertes, invitant ainsi son homme à continuer sa progression. La main descendit dans l’intérieur de la cuisse jusque sous le genou, puis remonta en passant sous la cuisse. Dans un frôlement les doigts remontèrent de la base des fesses vers l’entrejambe, insistant imperceptiblement sur l’entrée de son temple sacré.
Le petit séisme chaud qui la tarauda fit battre son cœur plus vite, créant un flot de désir venu du fond de son être. Elle se redressa vivement et se jeta au cou de Luc, la bouche avide de ses lèvres. Le goût du sel l’électrisa un instant, la chaleur et le goût plus sucré de la langue accueillante provoqua une autre bouffé intense de désir. Son ventre vide réclamait avec insistance qu’il fut comblé par de la chair dure et puissante. Elle se colla contre le torse de Luc, écrasant ses seins lourds et durs avec insistance. Leurs bouches tourbillonnaient avec fièvre, prises dans une valse folle et gourmande. Elle sentit une main s’emparer avidement d’un sein, passer sous le soutien-gorge pour coller sa paume contre le téton et pétrir à pleine main la forme compacte et généreuse. Autre frisson, ses yeux se voilèrent. Elle glissa prestement une main dans le maillot du jeune homme et s’empara vivement de l’objet de son désir. La chaleur de la main vint contraster avec le milieu liquide et augmenta l’intensité de l’érection. Les cœurs tambourinaient.
Un instant, ils s’arrêtèrent. La main de Katy entourait le sexe rigide de Luc, le flattant avec respect dans une caresse douce, lente, experte. Les yeux fermés, Luc goûtait ce moment de tout son corps. Il ouvrit les yeux et les planta dans ceux de Katy. Sans la quitter du regard, il posa les mains sur ses hanches et les fit descendre avec une lenteur calculée dans ses reins, et continua de la sorte jusque dans le maillot. Elles quittèrent la rondeur de ses fesses pour glisser sur les hanches, et, l’élastique du slip bloqué par ses poignets, il descendit les mains sur ses cuisses pour la libérer de cette ultime entrave à leur étreinte. Katy se plaqua contre lui, la main toujours nichée dans le caleçon qu’elle écarta. Elle se laissa glisser, et guidant le sexe du jeune homme, se planta doucement sur lui.
Elle sentit d’abord le froid envahir son ventre, et lui sentir le chaud envelopper son membre. Ce contraste de température les projeta tout les deux aux frontières du plaisir. Dans un râle il résista, et dans un cri elle se cambra pour elle aussi repousser l’issue. Lentement, au rythme des vagues, ils entamèrent ce va et vient magique. Luc sortait presque entièrement du ventre, marquant un petit temps d’arrêt pour sentir le contact froid de la mer sur son sexe, puis rentrait lentement pour renouer avec la chaleur brûlante du ventre en émoi. Ils renouvelèrent cette sensation sans se presser, leurs mains fébriles courant sur le corps de l’autre. Au paroxysme, les jambes de Katy enlacèrent la taille du Luc, ses bras enserrant fermement le torse de Luc. Les bras puissants de celui-ci s’étaient noués dans les reins de sa partenaire, l’écrasant contre lui avec force. Ils se figèrent au plus profond de l’étreinte, chacun cherchant à s’enfoncer encore plus loin dans le corps de l’autre, chaque infime petit mouvement dans les chairs les rapprochant de l’explosion.
Elle fut fulgurante. Katy sentit le flot chaud de la semence de Luc se déverser en spasmes puissant dans son ventre tandis qu’un point chaud et intense grossissait et se propageait au plus profond de son être. L’intensité augmenta sans répit, parcouru ses jambes, son dos, ses bras pour se planter avec force dans sa nuque. Elle se cambra, transpercée par ces pieux de jouvence, inondée par cette vague de plaisir chaud, terrassée par l’effort.
De cette union, la mer complice s’en souvient encore.
Ces deux là n’avaient pas besoin de se parler pour se comprendre. Ils étaient contents de leur sort, prenant les choses comme elles viennent, s’aimant simplement. La déclinaison douce du sable leur permis d’avancer loin du bord jusqu’à ce que l’eau atteigne le haut du corps de Katy. Alanguis par le soleil qui les avait léché toute l’après-midi, fatigués de leurs jeux dans les vagues ils ne prirent pas la peine de nager vers la petite bouée comme ils aimaient le faire, mais s’allongèrent sur l’eau et firent la planche. Le nez dans les nuages, et les yeux fermés, ils se laissèrent ainsi ballotter légèrement par les vagues, s’échangeant de brèves paroles pour décrire ce qu’ils éprouvaient dans cette expérience commune. Qu’il est bon d’être insouciant, loin des tracas des hommes, des bêtises du monde se disait Luc.
- Je voudrais t’aimer ici, Katy dit-il soudain, toujours sur le dos.
Elle tourna la tête vers lui, amusée par les mots toujours inattendus de celui avec qui elle partageait sa vie depuis plusieurs mois.
- Je n’y vois pas d’inconvénient répondit-elle espiègle, sans changer de position.
Luc se rétablit dans l’eau et alla vers sa compagne, toujours allongée, les yeux grands ouverts, dardant avec excitation celui qui savait lui arracher des cris de plaisir. Il se tint debout un moment prés d’elle, puis posa doucement sa main sur son ventre. Il voulait la caresser sans qu’elle ne s’enfonce dans l’eau, que le poids de sa main soit suffisamment fort pour qu’elle le goûte sans briser l’ équilibre de la flottaison. C’était un jeu qui demandait une délicatesse infinie, une complicité sans faille. Elle comprit la manœuvre et se détendit pour ne goûter que les mains agiles de Luc sur sa peau. Elle sentit l’index de celui-ci glisser sous la lisière de son petit slip orange, se promener sur la lisière de son ventre, glisser vers une hanche, revenir vers le centre pour partir conquérir l’autre hanche. La caresse était aux frontières de l’érotisme, s’en approchant si prés, mais sans jamais la franchir. C’était bon, doux, simple.
Elle sentit le doigt se retirer de sous l’élastique, aussitôt remplacé par la main entière posée sur son maillot. Un petit frisson naquit au fond de son ventre tandis que les doigts de Luc survolaient au travers de son maillot la petite toison taillée pour l’été. La main descendit vers l’aine en l’effleurant, quitta la surface lisse du maillot pour se plaquer doucement sur l’intérieur de sa cuisse. Inconsciemment, ses jambes s’étaient entrouvertes, invitant ainsi son homme à continuer sa progression. La main descendit dans l’intérieur de la cuisse jusque sous le genou, puis remonta en passant sous la cuisse. Dans un frôlement les doigts remontèrent de la base des fesses vers l’entrejambe, insistant imperceptiblement sur l’entrée de son temple sacré.
Le petit séisme chaud qui la tarauda fit battre son cœur plus vite, créant un flot de désir venu du fond de son être. Elle se redressa vivement et se jeta au cou de Luc, la bouche avide de ses lèvres. Le goût du sel l’électrisa un instant, la chaleur et le goût plus sucré de la langue accueillante provoqua une autre bouffé intense de désir. Son ventre vide réclamait avec insistance qu’il fut comblé par de la chair dure et puissante. Elle se colla contre le torse de Luc, écrasant ses seins lourds et durs avec insistance. Leurs bouches tourbillonnaient avec fièvre, prises dans une valse folle et gourmande. Elle sentit une main s’emparer avidement d’un sein, passer sous le soutien-gorge pour coller sa paume contre le téton et pétrir à pleine main la forme compacte et généreuse. Autre frisson, ses yeux se voilèrent. Elle glissa prestement une main dans le maillot du jeune homme et s’empara vivement de l’objet de son désir. La chaleur de la main vint contraster avec le milieu liquide et augmenta l’intensité de l’érection. Les cœurs tambourinaient.
Un instant, ils s’arrêtèrent. La main de Katy entourait le sexe rigide de Luc, le flattant avec respect dans une caresse douce, lente, experte. Les yeux fermés, Luc goûtait ce moment de tout son corps. Il ouvrit les yeux et les planta dans ceux de Katy. Sans la quitter du regard, il posa les mains sur ses hanches et les fit descendre avec une lenteur calculée dans ses reins, et continua de la sorte jusque dans le maillot. Elles quittèrent la rondeur de ses fesses pour glisser sur les hanches, et, l’élastique du slip bloqué par ses poignets, il descendit les mains sur ses cuisses pour la libérer de cette ultime entrave à leur étreinte. Katy se plaqua contre lui, la main toujours nichée dans le caleçon qu’elle écarta. Elle se laissa glisser, et guidant le sexe du jeune homme, se planta doucement sur lui.
Elle sentit d’abord le froid envahir son ventre, et lui sentir le chaud envelopper son membre. Ce contraste de température les projeta tout les deux aux frontières du plaisir. Dans un râle il résista, et dans un cri elle se cambra pour elle aussi repousser l’issue. Lentement, au rythme des vagues, ils entamèrent ce va et vient magique. Luc sortait presque entièrement du ventre, marquant un petit temps d’arrêt pour sentir le contact froid de la mer sur son sexe, puis rentrait lentement pour renouer avec la chaleur brûlante du ventre en émoi. Ils renouvelèrent cette sensation sans se presser, leurs mains fébriles courant sur le corps de l’autre. Au paroxysme, les jambes de Katy enlacèrent la taille du Luc, ses bras enserrant fermement le torse de Luc. Les bras puissants de celui-ci s’étaient noués dans les reins de sa partenaire, l’écrasant contre lui avec force. Ils se figèrent au plus profond de l’étreinte, chacun cherchant à s’enfoncer encore plus loin dans le corps de l’autre, chaque infime petit mouvement dans les chairs les rapprochant de l’explosion.
Elle fut fulgurante. Katy sentit le flot chaud de la semence de Luc se déverser en spasmes puissant dans son ventre tandis qu’un point chaud et intense grossissait et se propageait au plus profond de son être. L’intensité augmenta sans répit, parcouru ses jambes, son dos, ses bras pour se planter avec force dans sa nuque. Elle se cambra, transpercée par ces pieux de jouvence, inondée par cette vague de plaisir chaud, terrassée par l’effort.
De cette union, la mer complice s’en souvient encore.
Sam 04 Juin 2005, 17:25 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
Missive ennivrante
Ce matin, comme tous les matins, je vais chercher le courrier dans la boîte. Des publicités, des factures et une enveloppe différente...avec ton écriture. Mon coeur bat plus vite et je brûle déjà rien qu’à deviner tes mots. J’ai déchiré l’enveloppe en une seconde et je te lis:
Je suis émue et touchée, ma journée se trouve soudain illuminée! L’écho de tes mots résonne en moi et je sais qu’il me suivra toute la journée comme un délicieux refrain. J’attends fébrilement le moment où, libre de toute autre préoccupation, je pourrai me poser,seule avec ma plume et mes mots pour te répondre d’aussi jolie manière...j’espère!
Syolann
- "Adieu juillet, août et mois d’été censés illuminer nos corps d’une chaleur ardente. Voici septembre et ses cartables, le mois le plus tendre comme le chantait Nougaro poète devant l’éternel, parti rejoindre ses pairs là-haut dans le ciel.
Qu’il est doux ce rayon de soleil qu’une légère brise ballaye furtivement sur nos corps allongés côte à côte. Pas un bruit, pas une âme à la ronde. Rien que toi et moi jouissant pleinement de ces instants d’amour. Seul le cours d’un ruisseau rompt le silence. Quelques oiseaux piaillent sur une branche dont les feuilles jaunies frémissent sous éole comme ta peau le fait sous mes tendres caresses. Mes mains, ma bouche ne se lasseront donc jamais de te couvrir de délices?
Dans tes yeux, je devine la voûte céleste, parsemée de nuages qui chagrinent ton âme. Le souffle de mon corps tente de les chasser de ton horizon, l’instant de notre rencontre. Je voudrais tant que les aiguilles s’arrêtent pour mieux jouir de ces tendres moments. Mais ce serait déraisonnable de se retrouver dans une cage. Le temps éroderait cette envie de te conquérir à chaque instant, et je te perdrais à jamais. Nous aimons trop la vie, la mordre à pleine dents pour sombrer dans la monotonie. Te séduire et te conquérir dans mon jardin secret, telles sont mes maîtresses pensées."
Je suis émue et touchée, ma journée se trouve soudain illuminée! L’écho de tes mots résonne en moi et je sais qu’il me suivra toute la journée comme un délicieux refrain. J’attends fébrilement le moment où, libre de toute autre préoccupation, je pourrai me poser,seule avec ma plume et mes mots pour te répondre d’aussi jolie manière...j’espère!
Syolann
Jeu 02 Sep 2004, 12:46 par
syolann sur Un monde parfait
La conquéte
Il y a deux choses que je souhaite mettre en lumière, la première, concernant l’amertume que j’interpretais en tes lignes :
Je ne vois aucune equivoque quant au sens à donner à ces lignes.
Le deuxième point que je souhaite éclaircir, c’est le rapport entre la séduction et l’amour qui semble encore confus dans tes propos.
Milles mondes bondiront d’éffroi, en lisant la première phrase, mais c’est sur la suite que je souhaite intervenir. Dans mon discours, la séduction est un acte intentionnel, c’est une chasse, c’est un jeu. Agréable, flatteur mais qui n’a rien de fondamentalement beau. Juste une comédie amusante que font des don juan ou des messalines avec plus ou moins de talent. Ce n’est pas du tout ce que tu décris dans la fin de ce paragraphe, qui s’apparente plus à une relation saine et normale . Les moments ou les murs tombent, et les émotions naissent, ne sont pas du ressort de la séduction, mais rejoignent les façons naturelles de fusionner avec un être cher. En d’autres termes, il n’est pas nécessaire de passer par un savant jeu de séduction pour vivre ces moments beaux et fragiles que tu evoque.
Séduire, ca rime avec conquérir, ca sent l’artifice, et ca utilise la finesse. Un seducteur est par essence même, un menteur, qu’il en soit conscient ou non. Ses mensonges et tromperies lui permettront de conclure peut-être avec l’être convoité. Mais si par la suite amour il doit y avoir, alors les masques chaussés devront tomber. D’ou la difficulté et les déconvennues. Me comprends-tu maintenant ?
Peut-être que mes propos déplaisent aux seductrices et aux seducteurs. Il faut malgré tout être juste et faire la part des choses entre le jeu de la séduction , que j’apprecie beaucoup, et l’amour qui me semble infiniment plus subtil et nettement moins facilement definissable. Séduire, tout le monde sait faire, aimer ...
| Une marquise a écrit: |
| Il sait écouter... surtout lorsqu’il parle
Il sait consoler... surtout quand il a mal Il sait rigoler... toujours aux dépens des autres Il aime vous embrasser... si vous aimez vous agenouiller Il peut s’émouvoir... devant ses exploits Il aime se confier... pour raconter ses anciennes conquêtes Il a le sens critique... mais il est parfait Il a plein de rêves... principalement celui d’être le premier |
Je ne vois aucune equivoque quant au sens à donner à ces lignes.
Le deuxième point que je souhaite éclaircir, c’est le rapport entre la séduction et l’amour qui semble encore confus dans tes propos.
| Ma même marquise a écrit: |
| Dans l’amour, le plus beau moment est celui de la séduction.Non pas celui où nous nous fardons, cachés derrière de jolies voitures, de gros salaires, des dessous affriolants ou des séances d’esthéticienne, mais celui où peu à peu, nous nous effeuillons, laissant apparaitre l’émotion qui nous envahit, la douceur qui nous habite, la fragilité qui nous possède, la passion qui nous obsède (..).. |
Milles mondes bondiront d’éffroi, en lisant la première phrase, mais c’est sur la suite que je souhaite intervenir. Dans mon discours, la séduction est un acte intentionnel, c’est une chasse, c’est un jeu. Agréable, flatteur mais qui n’a rien de fondamentalement beau. Juste une comédie amusante que font des don juan ou des messalines avec plus ou moins de talent. Ce n’est pas du tout ce que tu décris dans la fin de ce paragraphe, qui s’apparente plus à une relation saine et normale . Les moments ou les murs tombent, et les émotions naissent, ne sont pas du ressort de la séduction, mais rejoignent les façons naturelles de fusionner avec un être cher. En d’autres termes, il n’est pas nécessaire de passer par un savant jeu de séduction pour vivre ces moments beaux et fragiles que tu evoque.
Séduire, ca rime avec conquérir, ca sent l’artifice, et ca utilise la finesse. Un seducteur est par essence même, un menteur, qu’il en soit conscient ou non. Ses mensonges et tromperies lui permettront de conclure peut-être avec l’être convoité. Mais si par la suite amour il doit y avoir, alors les masques chaussés devront tomber. D’ou la difficulté et les déconvennues. Me comprends-tu maintenant ?
Peut-être que mes propos déplaisent aux seductrices et aux seducteurs. Il faut malgré tout être juste et faire la part des choses entre le jeu de la séduction , que j’apprecie beaucoup, et l’amour qui me semble infiniment plus subtil et nettement moins facilement definissable. Séduire, tout le monde sait faire, aimer ...
Mar 31 Août 2004, 11:17 par
PetitPrince sur La séduction
Arreter d'aimer
A toutes, j’ai décrit avec ironie l’idéal féminin à mes yeux :
Une femme, ça ne rote pas, ça ne pète pas, ça n’a pas de poils et ça ne va pas aux toilettes !
C’était de l’ironie mais finalement, le message derrière était très sérieux. Je n’aime pas « Les femmes » mais La Femme. Celle qui efface toutes les autres par sa sincérité d’être, sa véritable beauté, sa conscience d’être celle que je regarde. Celle qui grandit à mon contact, qui me grandit au sien. Celle qui durera cinq minutes ou plusieurs mois, et celle aussi qui ne durera pas. Parce que dans la vie rien ne dure.
Toutes je les ai regardées, et parmi toutes celles-ci il y en a que j’ai choisi de conquérir. Celles-ci je les ai toute conquise parce que mon âme était juste, et mon cœur était vrai. Au fil du temps passé à s’aimer, il y en eut aussi à se lasser. J’ai alors arrêté l’histoire avec ces femmes, pour la seule et unique raison que je ne les aimais plus. Car seul aimer compte.
Une femme, ça ne rote pas, ça ne pète pas, ça n’a pas de poils et ça ne va pas aux toilettes !
C’était de l’ironie mais finalement, le message derrière était très sérieux. Je n’aime pas « Les femmes » mais La Femme. Celle qui efface toutes les autres par sa sincérité d’être, sa véritable beauté, sa conscience d’être celle que je regarde. Celle qui grandit à mon contact, qui me grandit au sien. Celle qui durera cinq minutes ou plusieurs mois, et celle aussi qui ne durera pas. Parce que dans la vie rien ne dure.
Toutes je les ai regardées, et parmi toutes celles-ci il y en a que j’ai choisi de conquérir. Celles-ci je les ai toute conquise parce que mon âme était juste, et mon cœur était vrai. Au fil du temps passé à s’aimer, il y en eut aussi à se lasser. J’ai alors arrêté l’histoire avec ces femmes, pour la seule et unique raison que je ne les aimais plus. Car seul aimer compte.
Jeu 19 Août 2004, 22:21 par
PetitPrince sur La séduction
Ecrire sur conquérir
Re: la chambre de l'intendant ( duo ), La chambre de l'intendant ( duo caressedesyeux/patrick), SoirÉe chaude..., Tango, Ses lèvres..., Loin de moi toute idée de t'angoisser!, Souvenir, Et si..., Hommage, Mon Amour m'a dit, La conquête., Le baiser du sel., Missive ennivrante, La conquéte, Arreter d'aimer, Il y a 18 textes utilisant le mot conquérir. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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