Notes, résultats d'essais à l'amour.

Des souvenirs rendus à l’état de néant. Rien de plus que des images brumeuses dans les recoins de mon esprit, dans les plus profondes cachettes de mon être. Existe-il seulement une page blanche, où, par inquiétude d’oublier, je puisse coucher mes mots?
Existe-il seulement quelque mot assez exigeant qu’il rende a la chose sa terrible valeur?

L’on m’a appris il y a peu de temps que les mots n’étaient rien, "agis, agis", j’agis et obéis aux lois de mon âme, celles que tu me dictes. Que vas tu me donner en retour, sinon un peu d’amour? Ne puis-je espérer rien de plus que de vagues simulacres d’amitié?

Cependant cette étreinte charnelle se borne-t-elle a ce sentiment de confiance? Se pourrait-il, que l’amour mutuel ne naisse que lors de la rencontre de nos enveloppes corporelles? Quel est donc ce sentiment d’appartenance? Ne ressens tu pas, quelque fois, le désir d’avoir autre chose que ce contact... des promesses, projets, et prévisions d’un futur commun?

L’amour n’est il pour toi que le quart de ce qu’il est pour moi? Es-tu seulement de cette implosion?

Ne comprends tu pas que l’amour est autre qu’un pur plaisir. Qu’il est indéfinissable.
Ven 19 Avril 2013, 22:03 par Mila sur L'amour en vrac

Monsieur.

Il est de ces hommes qui font naitre une relation ambiguë en une fraction de seconde, en un battement de cil, en une main posée sur l’épaule, en un effleurement de deux peaux respectives. Il ne doit même pas être de son pouvoir de séduction, de la chaleur qui émane de tout son être et qui ennivre les plus faibles créatures féminines. Et, je suis faible. Il est de ces hommes qui ne font tourner les têtes qu’après avoir échanger quelques mots. Même si ces mots n’ont pas de sens, même si ces mots ne sont que banals aux yeux et aux oreilles des autres mais si différents pour ceux qui savent vraiment les entendre : Les miens. Même si ces mots sont dépourvus de charme volontaire, ils ensorcellent mon ouïe. Sa voix sonne comme un philtre au creux de mes tympans, comme un élixir qu’il m’est impossible de refuser. Il est de ces hommes dont la beauté ne se reflète qu’au détour d’un regard, qu’à la profondeur de ses yeux rieurs et enjôleurs. Peu importe leurs couleurs, leurs formes ou bien même leurs âges, ce qui compte réellement c’est leurs expressions. Cette expression pleine de douceur qui m’enveloppe d’une dilection inexplicable, d’une violente tendresse qui n’est possible de lire que dans ses prunelles à lui. Il est de ces hommes dont les lèvres ont la faculté d’affoler ces délires charnels qui naissent au creux de mon ventre. A l’aube de mes rêves débutent notre idylle, mais c’est au coin de ses lèvres que je me déshabille. Je violerai cette bouche avec délicatesse. Je sucerai ces lèvres avec fougue. Je les laisserai parcourir ma peau sans même montrer un signe de contestation car ce sont ces mêmes lèvres qui mettront mon corps en émoi. Il est de ces hommes dont la respiration se fait chaude et langoureuse, sans même le savoir. Il détient ce souffle où j’aimerai y perdre haleine, où j’aimerai y mélanger le mien. J’en absorberai une bouffée pour ne plus en oublier le parfum. J’en humerai l’effluve jusqu’à la dernière goutte pour me saouler de son odeur. Il est de ces hommes dont les mains se font mâles et robustes, dénuées de finesse mais qui savent amignonner avec passion. Dans mes chimères lubriques, ses gants virils me caresserai chastement, pénètrerai mon intimité avec suavité, s’introduirai onctueusement à l’intérieur de ma chair. Ses longs doigts me pétrirai la peau, pianoterai mes hanches, danserai le long de mon dos et embrasserai mes fesses. Et, je me laisserai faire. Je m’abandonnerai toute entière à ses désirs concupiscents. Il abuserai de moi, encore et encore.

Il est de ces hommes qui me captive, m’angoisse et me désarme. Il exacerbe cette fascination que je voue à ces créatures masculines. Il est l’acteur de mes fantasmes bestiaux, de mes divagations libertines. Il est cette obsession voluptueuse qui envahit mon esprit, mes rêves et chaque recoins de mon anatomie. Il est le dessin de nos ébats romantiques et luxurieux. Il est ce tableau salace qui se peint dans ma tête. Il est cette sensation étrange qui s’anime au bas de mes reins, au sein de ma poitrine, entre mes cuisses. Il est cet individu qui papillonne dans mes songes, s’emprisonne dans ma tête, rayonne dans mon cœur. Il prostitue mes pensées, me transforme en catin insoupçonnée. Il me rends érotomane de lui, libidineuse de sa chair aux aspérités si belles et alléchantes, aux défauts plaisants et sexuels. Il est la raison de ma perversion, de l’impureté de mes mots, de la corruption de mes sentiments. Il est la cause de cette utopie indécente qui résonne en moi, de mon impudicité. Il est ma muse charnelle, mon idole érotique. Il est de ces hommes dont tout le corps transpire de cette âme masculine qui pourrait fendre la mienne. A lui, je pourrai me donner corps et âme pour qu’il me retienne, me prenne et m’aime. J’érotise tous nos échanges, tous nos regards, tous nos gestes. Je rends lascive toute notre relation. Notre liaison se fait légère au sein de mes entrailles. Et, il est cet homme qui ne s’en rends pas compte. Noir sur blanc, je l’avoue. Il est de ces hommes qui me touchent, me rendent malade de désir. Je suffoque d’appétit pour ce corps qu’il offre à mon regard. Il est de ces hommes qui atteignent mon cœur, émerveillent mon imagination et me remplissent d’illusions. Il est de ces hommes qui me rendent belle, qui me font rire. Rire d’amour et de sexe. Il est mon adoration érotique. Il est ma sentence à cette obsession des hommes qui m’envoute depuis toujours. Mais surtout, il est cet homme que je nommerai « Monsieur » . . .
Dim 12 Juin 2011, 21:22 par Betty B. sur Les liaisons sulfureuses

Sourire

Le rire n’est pas le propre de l’Homme. Dis-moi pourquoi tu tiens tellement à ce que l’homme soit supérieur aux autres espèces animales ? Nos moyens ne nous permettent pas encore de savoir comment fonctionne le cerveau des autres animaux, j’entends au niveau du sub, a priori, pour autant que je sache mais je ne suis cependant pas spécialiste du domaine : il faudrait poser la question à un cognitiviste. Quoiqu’il en soit, est-ce si important ? Les théories évolutionnistes et une étude diachronique de l’Homme permettent de voir qu’il fait partie d’un même tout y compris la fameuse molécule de Dieu (comme l’appellent certains scientifiques), l’ADN est là pour nous le rappeler, nous ne sommes pas différents du reste de l’univers, un être vivant parmi d’autres et qui a trop souvent tendance à voir ses droits et moins ses devoirs... Pourquoi vouloir se distinguer et refuser d’être ce que l’on est un animal pensant, un animal , spirituel aussi parfois, mais un animal tout de même.
Jeu 28 Jan 2010, 18:08 par dolce vita sur Un monde parfait

Sondage : que veut dire "aimer"

Tu aimes lorsque tu sens ton coeur battre plus fort en voyant l’autre
Lorsque tu as envie
Lorsque tu as besoin de sa présence
Que tu sens que désormais ta vie ne peut plus se conjuguer seule
Tu aimes lorsque tu te réveilles en pleine nuit avec le manque de l’autre
Tu aimes lorsque ton coeur est plein de son image
Lorsque tu te surprends grisé comme un adolescent lorsque l’autre répond à cet amour
Tu aimes lorsque tout soudain se pare de saveurs nouvelles
Lorsque l’objet de ta flamme répond à ce que tu ressents et que tu donnes à tes gestes d’amour une signification nouvelle, une dimension jusque là esquissée.
Tu aimes lorsque tu trouves en l’autre celui, celle que confusément tu attendais et tu sais que ta vie ne sera plus jamais pareille...
Tu aimes lorsque tu ne l’idolâtres pas lorsque de ce qui le la constitue tu continues de dire "oui"...
Dim 04 Oct 2009, 02:54 par dolce vita sur L'amour en vrac

Arrêtons!

Oh ! Oui, qu’il n’est guère de charme en ces lignes, ni de parfum sur les pétales de roses de ces lettres. Non rien de tout cela, juste un cœur qui fond au bout de mes doigts, une larme surprise par la flamme timide d’une bougie.
Désespoir, tristesse et amertume ; voici l’héritage que j’ai reçu pour avoir répondu aux vibrations ou plutôt aux pulsions de mon cœur. Mon Dieu, je n’ai pas demandé à me réveiller au milieu de la nuit parce que le sommeil que mes yeux cherchent, je le retrouve sur ses lèvres, au milieu de la nuit, assis sur mon lit. Non, je ne l’ai pas demandé je crois. Je me suis juste surpris d’être vide de moi et trop plein de toi. Je ne retrouve plus qui je suis, ni ce que j’ai toujours été ; c’est comme si j’étais né juste au moment où je t’ai rencontrée, car toutes les années de ma vie se résument à cette courte période, où tu m’as fait du mal et où je t’ai faite pleurer. A nos dépends, on l’a appris ; apprendre que l’amour n’est pas un recueil de belles phrases et de pensées que l’on n’a ni dites ni pensées. Comme il est "lui et elle", il a été "toi et moi", mais on était bien trop superficiels, bien trop faux pour ne l’avoir pas remarqué. Je crois que j’ai trop rêvé à ce que tu n’es pas et trop espéré en ce que tu pourrais être et que tu te refusais d’être. Si le simple fait de vouloir nous donne une minime chance de pouvoir, alors c’est que toi et moi on n’a pas su la saisir. C’est surement qu’on ne l’a pas assez voulu. Mais chaque instant de ma vie, chaque moment où mes narines ont volé de l’air à la vie, j’ai volé un jour de plus auprès de toi et un désir nouveau avec toi, même si je demeurais bien que tu n’étais pas là. Pourquoi nous sommes-nous mentis ? Pourquoi avons-nous aussi longtemps fait semblant d’être ce qu’on n’était pas et ce qu’on ne devrait pas être ? Pourquoi m’as-tu laissé suivre chaque trace de ton sourire ? Pourquoi ne m’as-tu pas fait retrouver mon chemin quand je me suis perdu sur le chemin de tes yeux ? On a tellement voulu imiter les autres, ceux qu’on faisait semblant d’être, sauf qu’eux étaient réels.
Jeu 28 Mai 2009, 17:43 par jarel sur Parler d'amour

Lettre à un inconnu

Monsieur,

Je repense à votre appel et à son contenu et il me vient à l’esprit deux analyses :
- soit effectivement votre besoin de reconnaissance et d’affection a trouvé son compte dans l’unilatéralité fréquente de nos échanges et ce tant que vous n’aviez pas besoin de vous impliquer réellement (la distance, etc. - et je préfère ne pas entrer en certaines considérations comme : à quel point était-ce de votre part et jusqu’où pouvais-je me fier à vos paroles : il faut rendre à César ce qui lui appartient et à vous vos intentions). Quoiqu’il en soit, si cette hypothèse est la bonne, merci de m’avoir prévenue de votre indifférence [un mot qui vous déplaît] avant que je ne me trouve comme une idiote dans la capitale à attendre Godot ! Si cela est, je regrette juste, au vue de mes finances, que vous n’ayez pas poussé la délicatesse jusqu’à me dire : « you may think in booking your ticket someday» plutôt que : « you CAN book your ticket » qui a un caractère on ne peut plus certain comme vous ne l’ignorez pas (c’est le prix de la confiance, n’est-ce pas : "je parle peu mais quand je dis quelque chose je le pense").
- soit c’est une échappatoire parce que vous aviez peur et votre appel aurait été dicté par cette peur. Cette hypothèse est sans doute une façon d’être plus charitable envers vous comme envers moi. Un reste d’illusion sans doute ! Le refus de voir la réalité en face ! Pour ne pas rendre plus noire qu’elle ne l’est devenue la fleur qui m’occupait.
Je vous laisse face à vous-même, je ne tiens pas à déméler le vrai du faux, l’idée même me soulève le coeur : heureuse de ne pas voir ce qui se cache dans le coeur de l’homme.
En ce qui me concerne, je voudrais que cette expérience me serve de leçon et qu’à l’avenir je soies moins naïve quant au destinataire de mon affection, mais de cela rien n’est moins sûr ! On ne voit qu’avec les yeux de son coeur et non ceux du voisin, n’est-ce pas ? !
Je vous salue,

Dolce
Ven 12 Jan 2007, 14:26 par dolce vita sur L'amour en vrac

J'ai oublié...

J’ai oublié....
Les doux moments passés ensemble...
Les doux instants où l’on se confiait...
Ceux où on ne pensait même pas à se mentir...
Croire que l’autre pourrait tout comprendre...

Mais les rêves s’achèvent toujours un jour... et ce jour est arrivé,
Trop tôt, trop vite, trop à l’improviste...
Tu chantes une chanson triste
Comme pour te persuader que tu as arrêté...
Arrêté de l’aimer,
Facile de se persuader,
Plus simple quand elle y met du sien
Qu’elle te ment, quand tu es

Au fond on voulait tous la même chose,
Une douce princesse à nos côtés,
Une qui marquerait nos journées,
Comme de la drogue à petite dose,

"Sans abus, la chute est moins dure",
Telles sont les phrases réparatrices,
D’un frère qui en a connue des cures,
Il sait bien que ce sont des actrices,

"Alors n’oublie pas ce discours
Elles nous mentent par pitié, par envie,
Mais jamais par amour,
Habitue toi mec car c’est ça la vie"

"Ce sont tous ces moments qui marquent la vie d’un homme...
Définis par la distance qui sépare l’opinion de l’opinel...."
Jeu 20 Oct 2005, 18:42 par leoz sur L'amour en vrac

Toc toc toc

Toc toc toc, qui cogne à la porte de mon coeur ? Bonjour ! Tu es jolie , à vrai dire je ne t’attendais pas, enfin pas tout de suite. Mais entre, entre je te sers quelque chose ? Attends, je vais te débarrasser. Voilà, installe toi mets toi à l’aise. Il te va bien ce petit haut, j’aime beaucoup. J’ai toujours aimé les decolleté carré, c’est vrai. Mais là, c’est toi qui le porte, alors c’est encore mieux, c’est plus ... enfin c’est ... bref, j’aime bien, j’aime beaucoup bien. Ah là là je parle, je parle et je ne t’ai toujours pas servi. Un sirop de framboise ? Ok c’est parti. Tu sais, j’aime bien la framboise, mais j’adore à outrance le sirop de peche. Bon j’en ai pas, mais j’irai en chercher, parce que ca, c’est trop bon. Tiens, ton sirop.

Je lui tend son verre et arrête un instant mon babillage excité pour l’observer. Mes yeux dévorent discrètement tout son être. Je la regarde porter le verre à ses lèvres, détaille ses mains, ses poignets, ses avant bras. Je cesse un instant, de la gêne que cela provoquerait si elle tournait les yeux et me grillait dans ma contemplation. Mes yeux se posent alors sur ses chaussures, remontent rapidement sur son mollet, son genou, le haut de sa cuisse, pour finir dans les plis de son pantalon de son aisne. Une fois encore je m’arrache à ma contemplation et détourne mon regard. Quand cette fois il revient, c’est pour se poser dans le bleu intense de ses yeux. Qui sourrient. Calmement. Ca dure une seconde de mille ans, dans un boucan d’enfer à en faire exploser ma poitrine et brûler mon tee shirt.

Elle pose alors tranquillement son verre et se lève, avec son petit sourire toujours accroché dans l’éclat des ses yeux.

Sans un mot elle s’est approchée de moi, incapable de bouger complètement pétrifié que j’étais.

Et elle a pris ma main.

Puis le reste.
Jeu 02 Juin 2005, 16:42 par PetitPrince sur Parler d'amour

Trop vite ou pas...

Je ne sais pas, je ne sais plus... Si c’est le mieux ou le pire... Laisser libre cours à ses envies, à ses mots ou bien reflechir et agir prudement.
L’Amour doit se vivre comme une passion continue, et qui doit s’entretenir tout les jours. L’Amour, la passion, nous donne des élans de folies heureuses, des tourbillons de douceurs, des déferlantes de tendresses, des tourbillons de pensées... Et quoi de plus naturel que de vouloir se livrer entièrement à la personne aimée! Ce début de relation si doux et si fort a fait tomber toutes mes défenses et lui faisant part de mes sentiments passionnés, de mes envies les plus folles, après quelques jours, je lui donnait mon coeur.
Ainsi, nous avons commencé à vivre ensemble... Je me demande même si c’était car ne vivant que pour ses caresses, dans l’attente de la revoir, de pouvoir caresser son corps, nous avons simplement laissé libre cours à nos envies!
Ce sont des semaines passées dans un tourbillon de douceur, à vivre d’amour et d’eau fraiche...
Et puis le temps fait son affreux travail: la fatigue, l’absence des amis, de la famille, les habitudes (aussi triste que cela puisse paraitre) de liberté et de façon de vivre... La passion s’entretien plus difficilement et les "besoins d’air" apparaissent. Puis vient le doute et les questions...
J’ai toujours cette envie de vivre, cette envie passionnée d’elle, mais si je m’oublie trop, j’ai peur de perdre certains à côté qui font partie de ma vie individuelle.
Nous continuons ensemble à construire mais plus lentement, plus réfléchit afin de continuer à nous apprendre. Et de temps en temps nous regardons avec regret ces premières semaines passées ensembles en se disant qu’elles reviendront! On dit que le plus beau c’est le début mais si c’est Elle, le plus beau reste à venir...

Alors, vivre ensemble trop vite ou pas ?
Adolescents, quand nous étions "chez nos parents", le problème ne se posait pas. Interdiction de découcher, à quelle heure tu rentres, où vas tu? Un couple était obligé de se séparer par obligation et il cherchait le moment où il pourrait se retrouver avec impatience. Ces temps d’attente permettaient malgré tout de respirer et de s’apprendre sans s’imposer à l’autre tel quel. La construction et l’harmonisation du couple se faisait ainsi naturellement.
Désormais adultes, nous pouvons vivre ces passions imméditement mais n’est ce pas au détriment d’un apprentissage de couple, de tuer des envies qui autrefois étaient entretenues par nos obligations?
Ne faut il pas "laisser le temps au temps"?

Enfin, la question subsidiaire serait: doit on exprimer ses sentiments dès qu’on les ressent ou bien est il préférable d’attendre... mais jusqu’à quand?
Lun 09 Mai 2005, 12:47 par Loyd sur La vie à deux

La conquéte

Il y a deux choses que je souhaite mettre en lumière, la première, concernant l’amertume que j’interpretais en tes lignes :

Une marquise a écrit:
Il sait écouter... surtout lorsqu’il parle
Il sait consoler... surtout quand il a mal
Il sait rigoler... toujours aux dépens des autres
Il aime vous embrasser... si vous aimez vous agenouiller
Il peut s’émouvoir... devant ses exploits
Il aime se confier... pour raconter ses anciennes conquêtes
Il a le sens critique... mais il est parfait
Il a plein de rêves... principalement celui d’être le premier


Je ne vois aucune equivoque quant au sens à donner à ces lignes.

Le deuxième point que je souhaite éclaircir, c’est le rapport entre la séduction et l’amour qui semble encore confus dans tes propos.

Ma même marquise a écrit:
Dans l’amour, le plus beau moment est celui de la séduction.Non pas celui où nous nous fardons, cachés derrière de jolies voitures, de gros salaires, des dessous affriolants ou des séances d’esthéticienne, mais celui où peu à peu, nous nous effeuillons, laissant apparaitre l’émotion qui nous envahit, la douceur qui nous habite, la fragilité qui nous possède, la passion qui nous obsède (..)..


Milles mondes bondiront d’éffroi, en lisant la première phrase, mais c’est sur la suite que je souhaite intervenir. Dans mon discours, la séduction est un acte intentionnel, c’est une chasse, c’est un jeu. Agréable, flatteur mais qui n’a rien de fondamentalement beau. Juste une comédie amusante que font des don juan ou des messalines avec plus ou moins de talent. Ce n’est pas du tout ce que tu décris dans la fin de ce paragraphe, qui s’apparente plus à une relation saine et normale . Les moments ou les murs tombent, et les émotions naissent, ne sont pas du ressort de la séduction, mais rejoignent les façons naturelles de fusionner avec un être cher. En d’autres termes, il n’est pas nécessaire de passer par un savant jeu de séduction pour vivre ces moments beaux et fragiles que tu evoque.

Séduire, ca rime avec conquérir, ca sent l’artifice, et ca utilise la finesse. Un seducteur est par essence même, un menteur, qu’il en soit ou non. Ses mensonges et tromperies lui permettront de conclure peut-être avec l’être convoité. Mais si par la suite amour il doit y avoir, alors les masques chaussés devront tomber. D’ou la difficulté et les déconvennues. Me comprends-tu maintenant ?

Peut-être que mes propos déplaisent aux seductrices et aux seducteurs. Il faut malgré tout être juste et faire la part des choses entre le jeu de la séduction , que j’apprecie beaucoup, et l’amour qui me semble infiniment plus subtil et nettement moins facilement definissable. Séduire, tout le monde sait faire, aimer ...
Mar 31 Août 2004, 11:17 par PetitPrince sur La séduction

Clin d'oeil d'une promeneuse.

Le Prince Charmant n’existe pas!

Je m’en suis rendue compte très vite, non sans une certaine amertume. Mes rêves d’amour éternel et de fusion absolue venaient de partir en fumée en même temps que mon deuxième amoureux. Je me sentais un peu tristounette, et presque trahie. J’étais dans le même état que le jour de mes six ans, où j’avais compris toute-seule-comme-une-grande que le Père Noël était une légende! Pouquoi ce mensonge? Mais, à cette époque, mes parents m’avaient entourée et consolée, m’expliquant que si ce mythe était là pour embellir le quotidien et faire rêver, les cadeaux et le réveillon, eux, étaient bien réels. Et que l’on en profiterait encore longtemps!

J’ai tenté alors d’appliquer cette réalité à l’amour. J’ai décidé d’en garder les surprises et l’ivresse sans systématiquement vouloir y croire à long terme. J’ai accueilli chaque nouvelle rencontre comme un cadeau, savourant les instants partagés avec fougue, me donnant avec sincérité et recevant des témoignages d’affection très touchants. Bien sûr, on m’a traitée de "coeur d’artichaud", d’"instable" et autres joyeux synonymes. Bien sûr ce comportement taxé de "léger", surtout pour une femme (ben voyons!), ne m’a pas attiré que des sympathies...Et après? Toutes ces heures de plaisir, tout ce bonheur à l’état pur, personne ne peut me le reprendre. C’est ma richesse et tant pis pour ceux que ça dérange!

Il n’y a pas de recette miracle pour être heureux sentimentalement mais la "promeneuse" que je suis vous dirait d’écouter votre coeur, d’être de la fragilité et de la préciosité de l’amour. Tout au long de votre parcours, soyez réceptifs mais exigeants, n’allez surtout pas vous galvauder. Le meilleur est au bout de la ballade!

A bons "baroudeurs"....salut! clin


Syolann
Lun 23 Août 2004, 09:36 par syolann sur Le grimoire d'amour

Manon

Manon se tenait devant moi, et nous étions aussi surpris l’un que l’autre. Parti me promener sur les collines du Mont Struc, je marchais depuis le début de l’après-midi a me repaître des saveurs et des paysages enchanteurs de ces vieilles terres. Tantôt longeant des collines ou se rangeait des pieds de vigne soigneusement entretenu, tantôt gravissant les sentiers de pierres grises et plates, je m’étais finalement retrouvé dans l’ancienne foret domaniale.

Les odeurs de feuillus se succédaient aux quelques pins épars, et au milieu de ses fragrances, celles d’un buisson de mures vers lequel je me dirigeais pour faire bombance de ces délices.

Manon, c’est un peu l’enfant sauvage de notre pays. Elle ne dit jamais rien, mais elle fait énormément parler d’elle. Il court beaucoup de légendes sur elles, des plus tristes aux plus fantaisistes. Certains prétendent que Manon a toujours vécu dans cette foret depuis des temps immémoriaux, que son immortalité a pour prix son silence. Personne n’a jamais entendu parler Manon, ni entendu quelqu’un dire avoir entendu parler Manon. C’est peut être ce mystère qui façonna toutes ces légendes. Il est dit aussi que Manon est d’une beauté sauvage a rendre fou les hommes qui la regarde. Ceci, maintenant, je peux en attester. J’avais devant moi la plus belle, la plus affolante, la plus divine de toutes les femmes que je n’ai jamais eu l’occasion de voir.

Sa chevelure noire en bataille encadrait un visage mat, peut être un peu sale, duquel perçait une paire de grands yeux noirs.
Sa bouche bien que large, était dessinée avec finesse, s’entrouvrant légèrement en son centre. Vêtue d’une robe de chiffon, elle dégageait quelque chose d’animal et de gracieux. Je devinais la naissance de ses seins dans l’échancrure de sa robe, comme elle se tenait de biais. Mon regard descendit malgré moi le long de ses reins, puis de ses hanches, tandis que ma bouche s’ouvrait tellement j’étais ébahi et stupéfait devant la perfection de ce corps. Ses jambes, musclées avec élégance étaient le socle de cette vestale vivante.
Je déglutis tant je n’arrivais pas à me faire un raison de ce que j’avais sous les yeux. Et là, j’entendis un rire cristallin percer l’air chargé de senteur. Manon visiblement se moquait de moi et de ma surprise à la vue de son corps. Elle s’arrêta, me regarda d’un air mutin et reprit de rire de plus belle. Conscient de l’absurdité de mon comportement, je me mis a rire aussi de bon coeur, sortant en même temps un mouchoir pour m’éponger le front.

Nous nous observâmes un long moment. Je devais l’intriguer, j’imagine. Peut être que tout les hommes qu’elle avait rencontré par hasard dans les bois lui avait couru après dans le but de l’étreindre, et que mon comportement l’intriguait. Célibataire, je n’étais pas spécialement porté sur les femmes en ce moment. Je savourais cette solitude intense, cette liberté sans nom que de na pas être à l’emprise ni de ses sens ni de ceux d’une ravissante compagne. Mais je pense que même sans cette période de calme, je ne me serai jamais jeté sur une femme comme un animal, fut elle aussi jolie que Manon. Finalement, nous ceuillâmes des mures en silence sans cesser de nous observer à la dérobée. Je passais ainsi une bonne heure en compagnie de notre légende locale, dans le ravissement le plus absolu. De temps en temps, Manon me regardait m’escrimer à ramasser les mures et faisait sonner son rire enfantin pour se moquer de ma gaucherie dans les mûriers. Elle, elle avait l’air d’éviter les ronces. Ses mains courraient avec agilité dans les branchages et ramenaient les baies par poignées entières. Son panier d’osier fut bientôt rempli à ras bords, tandis que j’avais a peine de quoi remplir mon chapeau.

Elle m’invita avec forces gestes de la main à venir manger ses mures sur un coin d’herbe a l’ombre d’un arbre. Je m’assis a coté d’elle et me servit doucement dans son panier. Elle était a quelques centimètre de moi, et ne semblait pas avoir peur. C’est un situation particulière, que d’être a coté d’une femme aussi belle, sans lui échanger un seul mot. Communiquer se fait alors autrement, par le regard, par l’attitude.

Décidément heureux de cette après-midi merveilleuse, je me mis à contempler la colline de vigne qui faisait fasse a celle que nous occupions avec Manon.

Ma contemplation s’arrêta comme j’entendais un léger bruit a coté de moi. La robe de Manon, venait de tomber doucement sur l’herbe souple, et le corps halé de soleil comme aucun sculpteur n’eut jamais contemplé s’offrait fièrement à ma vue. Manon me regardait intensément, une sorte de fièvre semblant la gagner comme ses mains caressaient avec insistance le devant de ses cuisses. Ses seins semblaient gorgés d’un nectar lourd et épais. Sa beauté me paralysait littéralement.
Puis je sentis le désir sourdre. Ca me prit en bas du dos et me transperça le ventre. Une boule de feu descendit au plus profond de mon corps, reveillant avec fureur une érection dont je ne me croyais pas capable. Manon se rendit compte de ce changement, et voyant la turgescence orner mon pantalon, me regarda avec tant d’amour que j’en fut paralysé. Elle se jeta sur moi, et m’embrassa a pleine bouche.

Je ne me souviens que de très peu de choses ensuite. Nous arrachâmes ensemble ma chemise,tandis qu’elle se tenait a califourchon sur moi, ses seins durcis d’envie frôlant et caressant ma poitrine. Elle me couvrit le haut du corps de baisers frénétiques, frottant son bassin sur mon pantalon bossu, et attrapant mes épaules et mon dos de ses mains fiévreuses.
Manon avait le diable au corps. Et elle me le communiqua. Je me cambrai pour enlever mon pantalon ainsi que mes sous vêtements, et nous roulâmes nus tout les deux sur ce coin d’herbes ensoleillé. Sa peau était plus douce que celle d’une pêche, et ma bouche en butinait chaque parcelle. Mon sexe frottant contre le sien, je devinais qu’elle était prête a m’accueillir, sans qu’une quelconque stimulation ne fut nécessaire. Ma main sur un de ces seins chaud et doux, je tempèrais un instant mon agitation pour regarder dans les yeux de Manon.Il y brillait une supplication, un besoin d’absolu, quelque chose de déraisonnable. Manon m’implorai de l’aimer. Je reculais, tout en la regardant, et la pénétrai doucement, lentement. Elle ferma les yeux devant cette intrusion et plaqua ses mains sur mes fesses comme pour me confirmer qu’elle désirait impérativement cet instant. Nos corps s’harmonisèrent dans une douce cadence, elle devinant mes limites, moi forçant les siennes. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, ce fut pour les planter dans les miens, alors que notre plaisir commençait à s’approcher de l’insupportable.
Nous basculâmes sur l’herbe, Manon me chevaucha d’abord avec douceur et profondeur, puis avec un acharnement non pas mu par sa volonté, mais plutôt par le plaisir qui prenait entièrement possession d’elle. Elle cria tout en imprimant de violent et sensuels coups de bassin, tandis qu’elle restait droite et fière. Ses seins bien que de taille généreuse, ne s’agitaient pas dans tout les sens, et restaient dans le mouvement de son corps. Sa tête était penchées sur la droite et ses yeux clos devaient vraisemblablement regarder cet intérieur que je pouvais deviner. Elle jouit, ses petits cris résonnèrent dans la foret, comme la musique d’un matin qui se lève.
Par miracle, j’avais reussi à me retenir. Doucement, je la soulevais. Alors que nous nous desemboitames, elle me regarda avec un petit sourire coquin, puis s’avança à genou face à l’arbre qui abritai nos ébats. Tout doucement elle se cambra, m’invitant à étreindre le plus beau derrière féminin que je n’ai jamais vu. Tandis que je m’approchais, elle me jeta un regard lascif, comme si le simple fait de deviner ce qui allait se passer lui procurait déjà un plaisir fiévreux. J’attrapai le haut de ses hanches comme pour m’aggriper et prendre un appui solide, et me réintroduisît en elle. Je vis ses mains agripper le tronc avec un force telle que ses articulations en devenait blanches. Sa croupe se mit a onduler sous mon regard émerveillé, caressant mon sexe qui était en elle avec ferveur. J’imprimais quelques coups de reins pour ne pas la perdre dans sa danse, mais ce fut là ma seule contribution à cette etreinte contre l’arbre.
Ma déesse me rendait le plaisir que je lui avais donné auparavant, et m’arracha un orgasme suffoquant d’intensité. Je m’écroulais sur l’herbe. Ma compagne se rapprocha de moi et m’enlaça avec tendresse, posant sa joue sur ma poitrine essoufflée.

Je me réveillais au petit matin, seul. J’étais habillé, bien que plutôt débraillé. Je m’étais endormi contre l’arbre sous lequel j’avais aimé Manon. Mais de Manon aucune trace, a part peut être mon chapeau qui contenait plus de mures que je ne me rappelai en avoir mis la veille.
Jeu 08 Juil 2004, 18:20 par PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses

L'avorton à la plage !!!!

Se poster, rester aux aguets, tel le prédateur,
Oter, une à une, les épines invisibles du coeur.
Observer silencieusement, tel le renard,
Se protéger, éviter de tomber dans le traquenard.

Puis reprendre le rythme parsemé,
Cueillir au passage, distraitement,
Des poussières d’étoiles illuminées,
Et les conserver précieusement.

Ensuite, étonnés de cette farandole effrénée,
Prendre le temps de l’apprivoiser.
En douceur, l’apprendre par coeur, la respecter.
Etre de ce bonheur jusqu’à en être aveuglés.
Mer 21 Avril 2004, 06:57 par à mon étoile sur L'amour en vrac

Désirs...

Désirs
J’aurais voulu, avec mes mains,
Nous composer un long demain ;
J’aurais aimé, avec mon cœur,
Nous offrir une constellation de bonheur ;
J’aurais osé, avec ma conviction,
Nous octroyer une longue et belle Passion.

Passion.
Faire frémir ton corps,
D’interminables frissons.
Te jeter un sort
Et que ton âme, j’en prenne Possession.

Possession.
Te tenir par mon cœur,
A bout de souffle, rire.
Te choyer, te chérir,
Te porter en Vainqueur.

Vainqueur.
Te déclarer toi, le Seul et l’Unique,
En musique, symphonie fantastique.
Nous, les meilleurs accords du monde,
Puis, épuisés, les pires ennemis, Immondes.

Immonde.
Symphonie dramatique se consumant peu à peu,
Doucement remplacée… puis viennent des larmes de feu.
Petit à petit, ce goût amer, presque insipide et pathétique,
Laisse place à une mort lente, belle et Sarcastique….

Sarcastique.
Triste constat,
Je m’étais offerte à toi,
Entière soumise et puissante,
Regarde moi, ose ! Je suis incandescente.
J’ai brûlé dans ton âme,
J’ai crié, supplié, une seule arme,
Afin que cette douleur puisse cesser,
Enfin, taire en moi cet incendie ravageur,
Oublier mon âme meurtrie, blessée
L’abandonner à tous ces carnassiers du cœur.
J’ai vainement tenté,
Essayé de réconcilier,
Nos sentiments égarés,
Puis, dans ton long silence aux griffes acérées,
Tu m’as enfermée,
Murée vivante,
Non consentante.
Pourtant, j’ai imploré,
Que sur moi s’abatte ton jugement,
Pourtant, j’avoue, du verbe aimer,
Personne autour de nous n’était ,
De sa fougue, de sa puissance,
De son éloquence à la limite de l’impertinence…
Je croyais avoir trouvé mon reflet,
J’avais espéré qu’il nous conviendrait…
Ses contours fébrilement dessinés,
Nos deux mains ne semblaient qu’une à les tracer….

Maintenant, une longue tâche je dois exécuter,
De tous tes envoûtements, avec acharnement, méticuleusement :
Ton image, ta voix, ta chaleur, je dois les exorciser.

J’effleure le pire,
J’effeuille tes rires,
Ta voix je prends,
Ta chaleur, j’entends.
Tes délires, un moment… j’attends.
Puis, doucement,
Les range consciencieusement
Dans mon tiroir secrètement,
Tout au fond, bien gardés,
Ils resteront à jamais gravés...
Mar 20 Avril 2004, 14:33 par à mon étoile sur L'amour en vrac

Les dix commandements du couple

Comme dirait ma compagne, "la vie à deux, c’est chaud !". Outre l’attirance réciproque des amants, il s’avère toujours délicat de régler nos comportements afin que l’aventure formidable ne se transforme pas en fiasco retentissant.

Je crois que c’est déja une énorme avancée d’en être : amour et raison, un mariage intelligent.

Je vous propose dans ce topic, de regarder ce qui a fait que dans vos histoires de couples les choses ont fonctionné ou ont capoté, et d’en dresser une liste sous le nom aussi pompeux qu’ironique des dix commandements du couple, ou "Tu" désignes "l’autre" sans distinction de sexe !

J’ouvre le bal, sur le ton du docte !

    01 - Tu lui parleras sincérement, sans tout lui dire, ni tout lui cacher
    02 - Tu lui donneras, sans que cela nécessite un retour
    03 - Tu lui feras confiance
    04 - Tu le respecteras, sans tout lui autoriser
    05 - Tu ne confondras pas aimer et posséder
    06 - Tu veilleras à ce qu’il ait sa vie
    07 - Tu n’essaieras pas de le faire à ton image
    08 - Tu resteras toi, tu ne deviendra pas lui
    09 - Tu le guideras lorsque son pas chancèle
    10 - Tu feras les efforts nécessaires pour maintenir ton couple en vie.
Sam 03 Avril 2004, 13:52 par PetitPrince sur La vie à deux
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Ecrire sur conscient

Ecrire sur conscient Notes, résultats d'essais à l'amour., Monsieur., Sourire, Sondage : que veut dire "aimer", Arrêtons!, Lettre à un inconnu, J'ai oublié..., Toc toc toc, Trop vite ou pas..., La conquéte, Clin d'oeil d'une promeneuse., Manon, L'avorton à la plage !!!!, Désirs..., Les dix commandements du couple,
Il y a 15 textes utilisant le mot conscient. Ces pages présentent les textes correspondant.

Bonne lecture !

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La citation d'amour

Un amour peut être guéri par un autre amour, comme un poison est souvent chassé par un autre poison.

J. Dryden.

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