Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur cris
De ta bouche à moi
J’étais allongée dans le noir.
Je dormais.
Soudainement je sentais ta chaleur réveiller mes rêves.
Mes yeux d’un coup ouverts dans le noir de la nuit, tu étais là dans mon lit introduit sous les draps à me caresser tes lèvres contre mes lèvres.
Je te serra très fort dans mes bras quand tes mains m’entouraient tendrement.
INSISTANT à me montrer que tu m’aimais,
j’ai imaginé tes traits et j’ai imaginé en premier lieu quel serait pour moi le visage de l’amour, même si je devais me tromper.
J’en devins aveugle.
DEVIN DE TOI.
DE VIN DE TOI.
QUI? QUI pour moi aurait le sourire idéal de l’amour de ma vie?
Tel un nuage entre mes songes des idées me viennent, un nom aussi, un seul d’abord, celui qui pour moi était celui désiré.
Pour me surprendre, tu retournes mes pensées.
Tu criais tout ton amour comme pour réveiller les sourds et j’ai aimé Tes cris D’amour fou.
T’écris d’amour fou.
Tu avais envie et tu me faisais craquer.
Tu m’excitais volontairement, souhaitant me charmer, me séduire et tu faisais tout pour ça.
Tu faisais tout pour et tu y arrivais extatique.
Je devais deviner ton visage dans les pénombres de ma chambre à présent.
Je devais sentir ton odeur, reconnaître ton parfum parmi mille, celui que tu laisses sur mon cœur, celui qui est tien, celui qui est ta trace.
Mon corps et mon cœur s’emballaient au fur et à mesure.
Au contact de tes gestes, au contact de tes formes, de tes muscles à présent contractés, de ton cœur palpitant si fort qu’il dressait en moi une musique, un battement.
Il battait de plein bruit et je colla mon oreille pour l’entendre comme tu envahissais mes pensées désormais.
Rien ne comptait plus dans ma vie que tes mots murmurés qui m’épousaient.
RIEN ne comptait plus que ce que tu chantais en mon âme enchantée de toi.
Tu fredonnais notre vie, tu l’inventais en un souffle imaginé, et tu la nommais désir.
Nos cœurs battaient tellement forts que la peur ressemblait à l’amour, que l’amour, que notre amour était notre VIE.
Nous ne pouvions plus laisser quoi que ce soit nous séparer.
De ta bouche tu glissais dans la mienne ta langue douce et sauvage, et j’embrassais ta lumière.
Tu dessinais au plafond un ciel, une galaxie, une voie lactée d’étoiles où nous pouvions nous reposer en paix, où l’ardeur était le signe que nous tombions d’amour.
Je sentais ton être de plus en plus, révélé au grand jour,
et je t’ai aimé.
J’ai appris à te lire, j’ai appris à t’aimer,
J’ai appris toi, je t’ai appris,
j’ai appris qui tu es.
Je ne peux l’oublier.
On n’oublie pas, on avance avec nos souvenirs,
et nos bonheurs.
Je dormais.
Soudainement je sentais ta chaleur réveiller mes rêves.
Mes yeux d’un coup ouverts dans le noir de la nuit, tu étais là dans mon lit introduit sous les draps à me caresser tes lèvres contre mes lèvres.
Je te serra très fort dans mes bras quand tes mains m’entouraient tendrement.
INSISTANT à me montrer que tu m’aimais,
j’ai imaginé tes traits et j’ai imaginé en premier lieu quel serait pour moi le visage de l’amour, même si je devais me tromper.
J’en devins aveugle.
DEVIN DE TOI.
DE VIN DE TOI.
QUI? QUI pour moi aurait le sourire idéal de l’amour de ma vie?
Tel un nuage entre mes songes des idées me viennent, un nom aussi, un seul d’abord, celui qui pour moi était celui désiré.
Pour me surprendre, tu retournes mes pensées.
Tu criais tout ton amour comme pour réveiller les sourds et j’ai aimé Tes cris D’amour fou.
T’écris d’amour fou.
Tu avais envie et tu me faisais craquer.
Tu m’excitais volontairement, souhaitant me charmer, me séduire et tu faisais tout pour ça.
Tu faisais tout pour et tu y arrivais extatique.
Je devais deviner ton visage dans les pénombres de ma chambre à présent.
Je devais sentir ton odeur, reconnaître ton parfum parmi mille, celui que tu laisses sur mon cœur, celui qui est tien, celui qui est ta trace.
Mon corps et mon cœur s’emballaient au fur et à mesure.
Au contact de tes gestes, au contact de tes formes, de tes muscles à présent contractés, de ton cœur palpitant si fort qu’il dressait en moi une musique, un battement.
Il battait de plein bruit et je colla mon oreille pour l’entendre comme tu envahissais mes pensées désormais.
Rien ne comptait plus dans ma vie que tes mots murmurés qui m’épousaient.
RIEN ne comptait plus que ce que tu chantais en mon âme enchantée de toi.
Tu fredonnais notre vie, tu l’inventais en un souffle imaginé, et tu la nommais désir.
Nos cœurs battaient tellement forts que la peur ressemblait à l’amour, que l’amour, que notre amour était notre VIE.
Nous ne pouvions plus laisser quoi que ce soit nous séparer.
De ta bouche tu glissais dans la mienne ta langue douce et sauvage, et j’embrassais ta lumière.
Tu dessinais au plafond un ciel, une galaxie, une voie lactée d’étoiles où nous pouvions nous reposer en paix, où l’ardeur était le signe que nous tombions d’amour.
Je sentais ton être de plus en plus, révélé au grand jour,
et je t’ai aimé.
J’ai appris à te lire, j’ai appris à t’aimer,
J’ai appris toi, je t’ai appris,
j’ai appris qui tu es.
Je ne peux l’oublier.
On n’oublie pas, on avance avec nos souvenirs,
et nos bonheurs.
Dim 08 Déc 2013, 14:24 par
inlove sur Parler d'amour
En passant au bord de seine
Version libre et moderne de en passant par la Lorraine...
En passant au bord de Seine
Avec mes croquenots
J’ai vu une Marie Madeleine
Nue sous son chapeau
Qui exposait au soleil
Ses rondeurs et sa merveille
Suis passé devant
En la saluant
M’appela alors d’un geste
Avec mes croquenots
M’approchais à grand pas lestes
Vers ce corps si beau
Elle me dit as tu du temps
Pour t’occuper d’moi gentiment
Ce que je fis, sans perdre un instant
Je la besognais hardi
Avec mes croquenots
Encouragé par ses cris
Je m’en démis le dos
En voulant lui faire brouette
Par je ne sais quelle pirouette
Me suis coincé
Entre ses deux pieds
Point la belle s’en aperçu
Avec mes croquenots
Frémissant de tout son cul
Sans pitié pour mon dos
Avec rage elle me cria
Ne n’arrête surtout pas mon gars
Je sens venir, le plaisir en moi
Je finis dans la douleur
Avec mes croquenots
Dégoulinant de sueur
D’avoir fait comme il faut
Pour satisfaire la donzelle
Entre ses parties charnelles
Ne pu me relever
Sur le dos allongé
La belle me voyant comme ça
Avec mes croquenots
Voulu une seconde fois
Retourner aux travaux
Lui soufflais dans un soupir
Que je souffrais le martyr
Et dans les larmes
Que je rendais les armes
La belle n’eut pitié de moi
Avec mes croquenots
Qu’elle se rejeta sur moi
S’empalant à nouveau
Accroupie de bas en haut
Elle coulissait sur mon poireau
Gémissant Ah et Oh !
A chacun de ses sauts
Sa jouissance fut totale
Avec mes croquenots
Quand elle mit mon godiveau
Au fond de son trou de balle
Hurlant son bonheur extrême
D’sentir son fion rempli d’ma crème
Elle demanda, pour une troisième
Inlassable la coquine
Avec mes croquenots
Du pourtant cette partie fine
Arrêter illico
Le bâton était repu
D’avoir trop visité son cul
Qu’il s’écroula
Pour une nouvelle fois
Elle me quittant en riant
Avec mes croquenots
Me traitant de nonchalant
Ah mon dieu quel culot
Me laissant le dos brisé
Qu’à quatre pattes je dus rentrer
Péniblement, quand la nuit fut tombée
Je ne la revis jamais
Avec mes croquenots
Non pas faute d’être retourné
Là-bas au bord de l’eau
Mais la fille a disparu
Pour d’autres à du offrir vertu
Pour peu qu’ils eut
Chance à la croiser nue.
En passant au bord de Seine
Avec mes croquenots
J’ai vu une Marie Madeleine
Nue sous son chapeau
Qui exposait au soleil
Ses rondeurs et sa merveille
Suis passé devant
En la saluant
M’appela alors d’un geste
Avec mes croquenots
M’approchais à grand pas lestes
Vers ce corps si beau
Elle me dit as tu du temps
Pour t’occuper d’moi gentiment
Ce que je fis, sans perdre un instant
Je la besognais hardi
Avec mes croquenots
Encouragé par ses cris
Je m’en démis le dos
En voulant lui faire brouette
Par je ne sais quelle pirouette
Me suis coincé
Entre ses deux pieds
Point la belle s’en aperçu
Avec mes croquenots
Frémissant de tout son cul
Sans pitié pour mon dos
Avec rage elle me cria
Ne n’arrête surtout pas mon gars
Je sens venir, le plaisir en moi
Je finis dans la douleur
Avec mes croquenots
Dégoulinant de sueur
D’avoir fait comme il faut
Pour satisfaire la donzelle
Entre ses parties charnelles
Ne pu me relever
Sur le dos allongé
La belle me voyant comme ça
Avec mes croquenots
Voulu une seconde fois
Retourner aux travaux
Lui soufflais dans un soupir
Que je souffrais le martyr
Et dans les larmes
Que je rendais les armes
La belle n’eut pitié de moi
Avec mes croquenots
Qu’elle se rejeta sur moi
S’empalant à nouveau
Accroupie de bas en haut
Elle coulissait sur mon poireau
Gémissant Ah et Oh !
A chacun de ses sauts
Sa jouissance fut totale
Avec mes croquenots
Quand elle mit mon godiveau
Au fond de son trou de balle
Hurlant son bonheur extrême
D’sentir son fion rempli d’ma crème
Elle demanda, pour une troisième
Inlassable la coquine
Avec mes croquenots
Du pourtant cette partie fine
Arrêter illico
Le bâton était repu
D’avoir trop visité son cul
Qu’il s’écroula
Pour une nouvelle fois
Elle me quittant en riant
Avec mes croquenots
Me traitant de nonchalant
Ah mon dieu quel culot
Me laissant le dos brisé
Qu’à quatre pattes je dus rentrer
Péniblement, quand la nuit fut tombée
Je ne la revis jamais
Avec mes croquenots
Non pas faute d’être retourné
Là-bas au bord de l’eau
Mais la fille a disparu
Pour d’autres à du offrir vertu
Pour peu qu’ils eut
Chance à la croiser nue.
Ven 20 Juil 2012, 13:32 par
Jime sur Les liaisons sulfureuses
Fashion love moderne
Tous ces amours modernes
Délavés, couleurs ternes
Qui trainent cyber gravés
Dans l’hyper société
Trop grands et mal taillés
Ça dépend, ça dépasse
Et on attend que ça se passe
Un sourire mou sur la face
Des sentiments clonés
Sur nos pâles séries télé
Fin de soirée
On pense qu’à hygièner
Toutes ces filles arithmétiques
Aux faux seins aux faux nez
Et qui fondent quand on les nique
D’un pieu entre leurs jambes qui s’évasent
Fin de soirée
Belles tape à l’œil pour nazes
Fin de soirée
Ces endroits privilèges
Lieux qui leur somment de paraitre
Tous ces rancards du vomi
Sont des toiles d’araignées
Où s’accouplent déchainés
Dans des cris de corbeaux enroués
Yeux hagards de nausée
Des mutants extasés
Fin de soirées
Mater en vidéo
Des amours hédonistiques
Faire en sorte de glisser
Vers des penchants porno
Se détendre la quille
Comme on va faire ses commissions
En allant se payer
De l’amour place Clichy
Faut plus se fier à l’amour
Il y a bien mieux maintenant
Devenir égocentrique,
Divorcé à plein temps,
Meetiqué, speedaté,
Comme le cœur hélas tique
Jime
Délavés, couleurs ternes
Qui trainent cyber gravés
Dans l’hyper société
Trop grands et mal taillés
Ça dépend, ça dépasse
Et on attend que ça se passe
Un sourire mou sur la face
Des sentiments clonés
Sur nos pâles séries télé
Fin de soirée
On pense qu’à hygièner
Toutes ces filles arithmétiques
Aux faux seins aux faux nez
Et qui fondent quand on les nique
D’un pieu entre leurs jambes qui s’évasent
Fin de soirée
Belles tape à l’œil pour nazes
Fin de soirée
Ces endroits privilèges
Lieux qui leur somment de paraitre
Tous ces rancards du vomi
Sont des toiles d’araignées
Où s’accouplent déchainés
Dans des cris de corbeaux enroués
Yeux hagards de nausée
Des mutants extasés
Fin de soirées
Mater en vidéo
Des amours hédonistiques
Faire en sorte de glisser
Vers des penchants porno
Se détendre la quille
Comme on va faire ses commissions
En allant se payer
De l’amour place Clichy
Faut plus se fier à l’amour
Il y a bien mieux maintenant
Devenir égocentrique,
Divorcé à plein temps,
Meetiqué, speedaté,
Comme le cœur hélas tique
Jime
Lun 18 Juin 2012, 13:37 par
Jime sur L'amour en vrac
Cours avant la tempête
Pourquoi tu es la ? Dis moi ce que tu fait. S’il te plais qu’est ce qui ne va pas ? Tu es la , a essayé d’oublier le passée douloureux. Tu l’aimais et tu l’aime encore alors que fais tu la avec elle? Tu sais qu’elle aurai tout fait pour toi, elle restait ta meilleure amie même si tout le monde te tournait le dos. Elle te croyait toujours , ta vraie seule amie, et tu ne lui a jamais dit. Elle va quitter ce monde, sa maladie c’est aggravé, et tu reste là. Mais sache que tu ne pourra pas guérir d’elle, ni l’oublier avec une autre. Tu l’as laissé seule contre sa maladie et sa peur de la mort, tu ne lui as pas dis que tu l’aimais et elle va partir. Mais tu n’arrive pas à l’oublier, tu n’y arriveras jamais. Ton amour est profond, il t’as déjà blessé, il risque de te tuer. Elle voudrait t’avoir près d’elle, toi son ami, toi elle voudrait que tu la serre contre toi, mais tu la fuis. Pour elle, pour toi, pour la vie, rejoins la , je t’en pris, pardonne lui ses silences, ses faux pas, ses erreurs, ses absences. Pardonne lui ta souffrance, va la voir, avant que le passée t’emprisonne. Si tu continue tu seras ton propre prisonnier, comme bloquer dans le couleur de la mort. Tes regret, tes remord, tes douleurs ne la ramènera jamais, ne fais pas ça, ne te détruis pas, rejoins la. Cours.... Tu as eu peur de ses chaînes, alors que tu avis aussi les tiennes. Tout ce que tu as écris c’est son sourire qui te la dictée. Alors cours ! Avant qu’il ne soit trop tard, son cœur va cesser , alors vas je t’en pris. Vas lui dire ce que tu ressens pour elle, surmonte ta peur, cour, si tu n’osais pas , il va falloir le changer. Ton absence doit lui faire plus mal qu’une chute du haut de son toit. Je t’en pris va la voir ….
Te voilà sous la pluie, tu cours, vite, plus vite. Derrière toi, une ombre, des cris un passée, et même si elle quitte ce monde elle restera ton ombre, elle gardera ta vie, comme quand tu tombait et que le monde t’abandonnais, la main qui te manquai elle te l’offrait. Elle restera ton monde a jamais. Tu continue ta course, vite, le plus vite possible, une pluie ne cesse de tombait, on pourrait dire qu’elle tombe pour toi et pour elle, a la place de l’écume dans vos yeux. Tout en courant tu te questionne est ce que tu aura la même valeur que tu lui trouvais dans les yeux d’une autre. Sous le maquillage que dessine l’amour, auras tu le courage de la guider sur son dernier voyage ?Tu aurais voulu trouver les mots pour lui parler. Tu voulais tellement lui dire ce que veut ton cœur mais tu ne trouvais plus les mots.
La pluie coule, et coule. Ce sont les larmes du ciel, de la mort , de la vie. Le temps creuse cette vie. L’eau divine du ciel ne peut cesser, le vent souffle et murmure un air calme. Les rêve ne peuvent être brisée, ce qui dise que l’amour meurt on tord. Le mon de calme, un calme tempête et te voilà qui doucement sort de l’hôpital. Tu titube, appuyer contre le mur. Elle t’aimait, et elle n’est plus. Tu l’aime et a ne changeras pas, tu ne l’effaceras pas. Cette sensation te dévore, comme si la moitié de toi venez de mourir avec elle , tes yeux coule comme la pluie autour. Elle reste avec toi quoi qu’il en coûte, elle est dans ton cœur. Ton cœur se noie mais écoute moi : l’orage a éclaté , tu veut l’effacer retourner en arrière, mais ce n’est possible, la pluie ne cesseras pas même si le ciel se dégage, continue ton chemin et n’oublie jamais que son amour est comme le vent tu ne peut plus le voir mais tu peut le sentir et cela à jamais alors laisse l’orage éclater dans ton cœur et la pluie couler car elle t’aimera.
Te voilà sous la pluie, tu cours, vite, plus vite. Derrière toi, une ombre, des cris un passée, et même si elle quitte ce monde elle restera ton ombre, elle gardera ta vie, comme quand tu tombait et que le monde t’abandonnais, la main qui te manquai elle te l’offrait. Elle restera ton monde a jamais. Tu continue ta course, vite, le plus vite possible, une pluie ne cesse de tombait, on pourrait dire qu’elle tombe pour toi et pour elle, a la place de l’écume dans vos yeux. Tout en courant tu te questionne est ce que tu aura la même valeur que tu lui trouvais dans les yeux d’une autre. Sous le maquillage que dessine l’amour, auras tu le courage de la guider sur son dernier voyage ?Tu aurais voulu trouver les mots pour lui parler. Tu voulais tellement lui dire ce que veut ton cœur mais tu ne trouvais plus les mots.
La pluie coule, et coule. Ce sont les larmes du ciel, de la mort , de la vie. Le temps creuse cette vie. L’eau divine du ciel ne peut cesser, le vent souffle et murmure un air calme. Les rêve ne peuvent être brisée, ce qui dise que l’amour meurt on tord. Le mon de calme, un calme tempête et te voilà qui doucement sort de l’hôpital. Tu titube, appuyer contre le mur. Elle t’aimait, et elle n’est plus. Tu l’aime et a ne changeras pas, tu ne l’effaceras pas. Cette sensation te dévore, comme si la moitié de toi venez de mourir avec elle , tes yeux coule comme la pluie autour. Elle reste avec toi quoi qu’il en coûte, elle est dans ton cœur. Ton cœur se noie mais écoute moi : l’orage a éclaté , tu veut l’effacer retourner en arrière, mais ce n’est possible, la pluie ne cesseras pas même si le ciel se dégage, continue ton chemin et n’oublie jamais que son amour est comme le vent tu ne peut plus le voir mais tu peut le sentir et cela à jamais alors laisse l’orage éclater dans ton cœur et la pluie couler car elle t’aimera.
Mar 01 Mai 2012, 22:56 par
murmuran sur L'amour en vrac
Le cercle des poètes
Comme chaque année, Oasis organisait la traditionnelle rencontre de ses membres. Prolonger les beaux et bons moments passés sur le site, les amitiés nouées et les débuts d’idylles. Et partager tous ces mots qui formaient de si belles compositions. Des bouquets de mots aurait dit Douceur3. Une trentaine de poètes avaient répondu à l’appel, record historique, pas évident de rassembler en un lieu des personnes si dispersées.
Cette année la fête s’annonçait unique, le lieu choisit étant un vieux manoir style anglais, perdu dans la campagne et évocateur du plus pur romantisme. Et comme chaque fois, les règles de la rencontre lui donnaient un caractère de mystère tout à fait passionnant. Un thème, l’époque Victorienne anglaise pour les costumes et l’ambiance, et comme d’habitude, un souci de conserver l’anonymat de chacun pour garder les conditions de ces rencontres virtuelles sur le net. Donc pas de signes distinctifs, et port du masque obligatoire en plus du costume adéquat. Bien sûr certains se connaissaient déjà et pouvaient se reconnaître facilement, mais chacun jouait le jeu...
Seule indication, la liste des invités était fournie, pour augmenter l’envie de découvrir nos amis. Pour moi c’était la première fois, et j’avais hâte de vivre de bons moments avec tous les contacts sympathiques qui accompagnaient mon quotidien depuis plusieurs mois. Le site m’avait relancé et permis de m’exprimer, ce que je ne faisais pas si facilement, et la sensibilité de la plupart était un régal et un appel à la confidence. Franchement j’avais envie envie de côtoyer Capricorne pour son talent, Chibani pour son humour, Rainbownight pour sa fraîcheur et tant d’autres, surtout des femmes, pour la sympathie qu’ils dégageaient. Ecouter une nouvelle de Lesmotions, oui je le voulais...
Mais surtout, je venais pour l’élue, la fleur du site, mon amie, ma confidente et mon alter ego, celle avec qui je partageais au delà de l’espace des moments délicieux et de pure douceur. Un mélange de toutes les qualités, celles qui chauffent le cœur, celles qui enflamment le corps...
Comment se reconnaître? Je faisais confiance à notre intuition, et aux phéromones, ces petites molécules que nous émettons et qui transmettent les messages secrets de notre corps. J’étais sûr que la magie et la chimie ferait battre nos cœurs plus intensément quand viendrait l’heure de la proximité. J’avais confiance...
Les invités arrivaient petit à petit, belles femmes en robes blanches et petites ombrelles, beaux messieurs dans leurs costumes d’un autre temps. Et bien sûr le masque blanc pour garder le mystère. Un peu intimidé, je me mêlais aux personnes qui se tenaient autour d’un buffet dressé sur une grande table blanche au soleil. Et j’essayais de deviner qui était qui, par le souvenir du style de chacun. Oh cet homme qui déclamait des vers, d’une belle assurance et d’un talent certain , j’aurais juré que c’était Ratatouille! Et cette petite dame, qui allait de l’un à l’autre pour offrir sa gentillesse et ses mots si doux, si ce n’est pas Cyrael …
Tout le monde était là, la petite dame (j’avais raison) fit un petit discours de bienvenue et nous rappela les grands principes, passer une bonne journée, partager nos dernières œuvres (quelques petites estrades parsemaient les jardins) et se fabriquer de doux souvenirs de rencontres et d’amitié...
Je passais d’un groupe à l’autre, écoutant les poèmes, échangeant des idées sur le monde, et sur tout ce qui faisait notre vie de poètes. Un petit orchestre égayait nos oreilles. J’étais bien, ne me manquait que sa présence. J’avais bien quelques petites idées, mais encore un petit doute sur l’identité de ma chérie...
Oh mais c’est sûrement Isabelle59 qui nous enchante par sa douceur et sa sensualité. J’écoutais tendrement, mon esprit vagabondait, quand je sentis une petite main se glisser dans la mienne. Mon dieu, ce contact fit en moi l’effet d’un rayonnement soudain, et mon corps fût parcouru de frissons, doux et électriques...
ELLE M’AVAIT TROUVE
Mon cœur se mis à battre, ma voix bloquée dans ma gorge, des petits picotements dans la nuque. Pas de doute, vu l’effet sur moi, c’était bien ma douce. Sans rien dire elle prit mon bras et m’entraîna pour marcher un peu dans les allées du jardin. C’était la fin de l’après-midi, soleil bas et lumière tendre, pas besoin de parler, j’étais bien (et encore sous le coup de l’émotion) et nos pas s’accordaient comme des amis de toujours...
Sous une tonnelle, et entourés de merveilleuses roses aux senteurs enivrantes, nous nous faisions face à face. Sentant qu’elle devait prendre l’initiative, elle entoura mon cou de ses doux bras et approcha ses lèvres des miennes. Oh douceur exquise, saveur fruitée de l’été, sa bouche avait le goût d’une pêche qui éclate au palais et déverse son jus. Nos langues commencèrent leur danse et le temps se figea. Enlacés nos mains cherchaient la bonne prise, pour minimiser l’espace entre nos corps avides de contact...
Ces minutes furent une éternité, et me revenais le poème qu’elle m’avait inspiré sur cette seconde unique de bonheur quand tout s’accorde. Ses lèvres, ses joues, ses mains, étaient douceur extrême et comme une invite à découvrir le reste. Ses mains exploratrices commençaient à découvrir mon corps et ne semblaient pas avoir de limites imposées. Quand l’une d’elle se posa sur mon pantalon, elle constata que je n’étais pas insensible aux charmes de son corps. Notre étreinte m’avait comblé de joie pure et tendre, mais avais également réveillé mon désir. A travers le tissu, elle sentait et palpait la tension extrême qui ne demandait qu’à s’épanouir. Je crus défaillir quand sa caresse plus pressante fit sortir de sa cachette le bout déjà trempé de mon sexe...
Mais ce n’était pas le lieu de découvertes plus poussées. Je repris mon souffle et sa main et nous repartîmes vers des lieux plus fréquentés. Devant la grande demeure, certains s’activaient déjà pour préparer le grand dîner du soir. Belles assiettes et bougies nous promettaient un régal pour les yeux et raffinement de cuisine. Mais pour l’instant ma belle avait une autre idée en tête et comptait plutôt terminer son exploration à peine entamée …
Elle m’entraîna donc vers la maison à la recherche d’un endroit propice et discret. Les nombreuses pièces du bas étaient trop lumineuses et spacieuses, elle m’attira alors vers un escalier qui menait vers des recoins plus adaptés à sa mission. Là-haut, plus de calme et de pénombre. Et peu de chances d’être dérangés. Contre une porte elle me poussa et entrepris de libérer l’objet de son émoi. Le pantalon de toile tomba rapidement sur mes chaussures, et sa main agrippa à travers le fin coton qui me préservait encore, mon sexe tout tremblant et d’une vigueur de circonstance. Approchant ses lèvres, elle engloba le tout, tissu et chair et mordit doucement. Mes mains sur sa tête j’appréciais à sa juste valeur l’application qu’elle mettait dans cette mise en bouche...
Une main à même mes fesses, l’autre jouant avec mes bourses, elle entreprit de visiter sur toute sa longueur le dur bâton qui ne demandait que cela. Sa langue sentait à travers l’étoffe, la veine gonflée qui palpitait intensément. L’idée même que c’était mon petit cœur qui me procurait ces délices décuplait l’intensité du plaisir. Doucement sa tête montait et descendait, entraînant sa bouche, langue sortie, le long de ma verge qui commençait à entrevoir le moment où tout explose. Sa main vînt compléter l’action de sa bouche et accéléra le mouvement. Sentant l’instant ultime arriver, elle arracha mon dernier vêtement et me prit dans sa bouche, ses lèvres serrant fermement, elle engloutit au maximum, et en quelques mouvements bien contrôlés elle me fit atteindre l’extase. Ma semence jaillit accompagnée d’un petit cri de jouissance, tandis que ses ongles griffait ma fesse. Ne voulant rien laisser, elle avala le tout et lécha soigneusement ce qui coulait lentement le long de mon sexe bouillant...
J’avais rarement connu telle intensité, et un bien-être m’envahit, des frissons achevèrent mon contentement. Sous son masque je devinais le sourire de la bien-aimée fière d’avoir fait jouir son homme. Elle m’enlaça et je déposais sur sa bouche encore humide un doux baiser comme elle les aime. Reprenant mes esprits je remis un peu d’ordre dans mes vêtements et nous partîmes pour le dîner main dans la main...
Une telle journée m’avait mis en joie et en appétit, et c’est tout sourire que je pris place pour le repas à côté de ma sensuelle compagne. Ce fût régal, les plats raffinés défilaient, et l’ambiance était des plus conviviales, chacun y allant de son meilleur texte ou de ses bons mots. Le champagne nous montait à la tête, et ma petite qui est chamboulée à partir d’une demi-coupe commençait à montrer des joues rosies par l’alcool, la joie et certaines idées qui lui venaient en tête...
Sous la nappe je sentis sa main sur ma cuisse. La mienne vint l’y rejoindre et doigts enlacés nous étions comme deux amoureux tout neufs! D’un même mouvement, l’ensemble passa d’une cuisse à l’autre et j’entrai en contact avec la douce chaleur de sa peau. La coquine avait remonté sa robe pour permettre un accès plus aisé à certaines parties de son corps qu’elle souhaitait m’offrir en cadeau. Puis sa main rejoignit le dessus de la table, laissant la mienne seule, mais invitée à pousser plus loin l’exploration...
Douceur, chaleur, ces mots étaient trop faibles pour décrire la sensation que me procurait d’être entre ses cuisses. Ma main droite, paume sur sa peau, doigts vers le bas, remonta lentement, savourant le grain velouté de son épiderme. Elle atteignit alors l’infime dentelle qui recouvrait sa toison si fine. A plat sur le pubis, doigts écartés au maximum pour profiter de tout , je fis tendre pression pour assurer à ma voisine que j’avais bien compris le message...
Pendant ce temps, les conversations continuaient, les rires fusaient, et la coquine n’était pas la dernière à montrer sa joie. Que tous prirent bien sûr comme manifestation du bonheur de se retrouver tous ensemble. Mais autre chose était en partie responsable de cet état. Sous la table, mes doigts par petits cercles, avaient entrouverts les petites portes protégeant, pour peu de temps encore, la caverne aux mille trésors. Mon majeur poussa plus loin et commença à frotter le tissu blanc sur les chairs roses et humides. Parmi ses rires, des petits cris partaient, que tous prenaient pour les manifestations de la boisson. Oh coquine!!!
Repliant mes doigts, j’accrochais le bord de sa culotte mouillée de plaisir, et je les fis passer par dessous pour sentir les palpitations de sa peau. Il n’était plus l’heure de perdre du temps vu l’état de la belle qui riait et se secouait sous l’effet de tous les plaisirs réunis. Alors mes deux doigts enserrèrent comme une pince, le clitoris tout dur et gorgé de désir. L’humidité ambiante facilita le travail des deux artistes, pression, pincements, roulements, tout contribua à faire vibrer le corps de ma chérie qui m’envoyait des regards plein de tendresse et de gratitude. ..
Les mouvements maintenant profonds et appuyés faisaient leur effet, et la pauvre semblait s’enfoncer sous la table. Sentant que l’explosion serait imminente, je décidais de lui venir en aide et je sortais d’une voix puissante ma plus grosse blague (pourrie mais bien marrante). Ce fut un tonnerre de rires et d’applaudissements. Un tel bruit que ma coquine arriva à jouir bruyamment sous les derniers effets de ma main en folie, sans que personne ne remarque cette situation plutôt délicate. Secouée par les rires et les spasmes de l’orgasme, tout son corps bougeait et je la regardais avec un évident bonheur. A peine apaisée elle se jeta à mon cou et devant les sourires de l’assistance elle me fît le plus tendre baiser qu’il soit permis de donner...
Vous pensez bien que le retour vers nos régions respectives fut un voyage empli de bons souvenirs, de marques d’amitié, de promesses de se revoir et de rendez-vous futurs sur le site. Pour nous ce fut bien plus, nos corps avaient gardé l’empreinte de l’autre et dans nos têtes il y aurait pour longtemps ces instants délicieux où plus rien ne comptait que de donner et de s’aimer.
Cette année la fête s’annonçait unique, le lieu choisit étant un vieux manoir style anglais, perdu dans la campagne et évocateur du plus pur romantisme. Et comme chaque fois, les règles de la rencontre lui donnaient un caractère de mystère tout à fait passionnant. Un thème, l’époque Victorienne anglaise pour les costumes et l’ambiance, et comme d’habitude, un souci de conserver l’anonymat de chacun pour garder les conditions de ces rencontres virtuelles sur le net. Donc pas de signes distinctifs, et port du masque obligatoire en plus du costume adéquat. Bien sûr certains se connaissaient déjà et pouvaient se reconnaître facilement, mais chacun jouait le jeu...
Seule indication, la liste des invités était fournie, pour augmenter l’envie de découvrir nos amis. Pour moi c’était la première fois, et j’avais hâte de vivre de bons moments avec tous les contacts sympathiques qui accompagnaient mon quotidien depuis plusieurs mois. Le site m’avait relancé et permis de m’exprimer, ce que je ne faisais pas si facilement, et la sensibilité de la plupart était un régal et un appel à la confidence. Franchement j’avais envie envie de côtoyer Capricorne pour son talent, Chibani pour son humour, Rainbownight pour sa fraîcheur et tant d’autres, surtout des femmes, pour la sympathie qu’ils dégageaient. Ecouter une nouvelle de Lesmotions, oui je le voulais...
Mais surtout, je venais pour l’élue, la fleur du site, mon amie, ma confidente et mon alter ego, celle avec qui je partageais au delà de l’espace des moments délicieux et de pure douceur. Un mélange de toutes les qualités, celles qui chauffent le cœur, celles qui enflamment le corps...
Comment se reconnaître? Je faisais confiance à notre intuition, et aux phéromones, ces petites molécules que nous émettons et qui transmettent les messages secrets de notre corps. J’étais sûr que la magie et la chimie ferait battre nos cœurs plus intensément quand viendrait l’heure de la proximité. J’avais confiance...
Les invités arrivaient petit à petit, belles femmes en robes blanches et petites ombrelles, beaux messieurs dans leurs costumes d’un autre temps. Et bien sûr le masque blanc pour garder le mystère. Un peu intimidé, je me mêlais aux personnes qui se tenaient autour d’un buffet dressé sur une grande table blanche au soleil. Et j’essayais de deviner qui était qui, par le souvenir du style de chacun. Oh cet homme qui déclamait des vers, d’une belle assurance et d’un talent certain , j’aurais juré que c’était Ratatouille! Et cette petite dame, qui allait de l’un à l’autre pour offrir sa gentillesse et ses mots si doux, si ce n’est pas Cyrael …
Tout le monde était là, la petite dame (j’avais raison) fit un petit discours de bienvenue et nous rappela les grands principes, passer une bonne journée, partager nos dernières œuvres (quelques petites estrades parsemaient les jardins) et se fabriquer de doux souvenirs de rencontres et d’amitié...
Je passais d’un groupe à l’autre, écoutant les poèmes, échangeant des idées sur le monde, et sur tout ce qui faisait notre vie de poètes. Un petit orchestre égayait nos oreilles. J’étais bien, ne me manquait que sa présence. J’avais bien quelques petites idées, mais encore un petit doute sur l’identité de ma chérie...
Oh mais c’est sûrement Isabelle59 qui nous enchante par sa douceur et sa sensualité. J’écoutais tendrement, mon esprit vagabondait, quand je sentis une petite main se glisser dans la mienne. Mon dieu, ce contact fit en moi l’effet d’un rayonnement soudain, et mon corps fût parcouru de frissons, doux et électriques...
ELLE M’AVAIT TROUVE
Mon cœur se mis à battre, ma voix bloquée dans ma gorge, des petits picotements dans la nuque. Pas de doute, vu l’effet sur moi, c’était bien ma douce. Sans rien dire elle prit mon bras et m’entraîna pour marcher un peu dans les allées du jardin. C’était la fin de l’après-midi, soleil bas et lumière tendre, pas besoin de parler, j’étais bien (et encore sous le coup de l’émotion) et nos pas s’accordaient comme des amis de toujours...
Sous une tonnelle, et entourés de merveilleuses roses aux senteurs enivrantes, nous nous faisions face à face. Sentant qu’elle devait prendre l’initiative, elle entoura mon cou de ses doux bras et approcha ses lèvres des miennes. Oh douceur exquise, saveur fruitée de l’été, sa bouche avait le goût d’une pêche qui éclate au palais et déverse son jus. Nos langues commencèrent leur danse et le temps se figea. Enlacés nos mains cherchaient la bonne prise, pour minimiser l’espace entre nos corps avides de contact...
Ces minutes furent une éternité, et me revenais le poème qu’elle m’avait inspiré sur cette seconde unique de bonheur quand tout s’accorde. Ses lèvres, ses joues, ses mains, étaient douceur extrême et comme une invite à découvrir le reste. Ses mains exploratrices commençaient à découvrir mon corps et ne semblaient pas avoir de limites imposées. Quand l’une d’elle se posa sur mon pantalon, elle constata que je n’étais pas insensible aux charmes de son corps. Notre étreinte m’avait comblé de joie pure et tendre, mais avais également réveillé mon désir. A travers le tissu, elle sentait et palpait la tension extrême qui ne demandait qu’à s’épanouir. Je crus défaillir quand sa caresse plus pressante fit sortir de sa cachette le bout déjà trempé de mon sexe...
Mais ce n’était pas le lieu de découvertes plus poussées. Je repris mon souffle et sa main et nous repartîmes vers des lieux plus fréquentés. Devant la grande demeure, certains s’activaient déjà pour préparer le grand dîner du soir. Belles assiettes et bougies nous promettaient un régal pour les yeux et raffinement de cuisine. Mais pour l’instant ma belle avait une autre idée en tête et comptait plutôt terminer son exploration à peine entamée …
Elle m’entraîna donc vers la maison à la recherche d’un endroit propice et discret. Les nombreuses pièces du bas étaient trop lumineuses et spacieuses, elle m’attira alors vers un escalier qui menait vers des recoins plus adaptés à sa mission. Là-haut, plus de calme et de pénombre. Et peu de chances d’être dérangés. Contre une porte elle me poussa et entrepris de libérer l’objet de son émoi. Le pantalon de toile tomba rapidement sur mes chaussures, et sa main agrippa à travers le fin coton qui me préservait encore, mon sexe tout tremblant et d’une vigueur de circonstance. Approchant ses lèvres, elle engloba le tout, tissu et chair et mordit doucement. Mes mains sur sa tête j’appréciais à sa juste valeur l’application qu’elle mettait dans cette mise en bouche...
Une main à même mes fesses, l’autre jouant avec mes bourses, elle entreprit de visiter sur toute sa longueur le dur bâton qui ne demandait que cela. Sa langue sentait à travers l’étoffe, la veine gonflée qui palpitait intensément. L’idée même que c’était mon petit cœur qui me procurait ces délices décuplait l’intensité du plaisir. Doucement sa tête montait et descendait, entraînant sa bouche, langue sortie, le long de ma verge qui commençait à entrevoir le moment où tout explose. Sa main vînt compléter l’action de sa bouche et accéléra le mouvement. Sentant l’instant ultime arriver, elle arracha mon dernier vêtement et me prit dans sa bouche, ses lèvres serrant fermement, elle engloutit au maximum, et en quelques mouvements bien contrôlés elle me fit atteindre l’extase. Ma semence jaillit accompagnée d’un petit cri de jouissance, tandis que ses ongles griffait ma fesse. Ne voulant rien laisser, elle avala le tout et lécha soigneusement ce qui coulait lentement le long de mon sexe bouillant...
J’avais rarement connu telle intensité, et un bien-être m’envahit, des frissons achevèrent mon contentement. Sous son masque je devinais le sourire de la bien-aimée fière d’avoir fait jouir son homme. Elle m’enlaça et je déposais sur sa bouche encore humide un doux baiser comme elle les aime. Reprenant mes esprits je remis un peu d’ordre dans mes vêtements et nous partîmes pour le dîner main dans la main...
Une telle journée m’avait mis en joie et en appétit, et c’est tout sourire que je pris place pour le repas à côté de ma sensuelle compagne. Ce fût régal, les plats raffinés défilaient, et l’ambiance était des plus conviviales, chacun y allant de son meilleur texte ou de ses bons mots. Le champagne nous montait à la tête, et ma petite qui est chamboulée à partir d’une demi-coupe commençait à montrer des joues rosies par l’alcool, la joie et certaines idées qui lui venaient en tête...
Sous la nappe je sentis sa main sur ma cuisse. La mienne vint l’y rejoindre et doigts enlacés nous étions comme deux amoureux tout neufs! D’un même mouvement, l’ensemble passa d’une cuisse à l’autre et j’entrai en contact avec la douce chaleur de sa peau. La coquine avait remonté sa robe pour permettre un accès plus aisé à certaines parties de son corps qu’elle souhaitait m’offrir en cadeau. Puis sa main rejoignit le dessus de la table, laissant la mienne seule, mais invitée à pousser plus loin l’exploration...
Douceur, chaleur, ces mots étaient trop faibles pour décrire la sensation que me procurait d’être entre ses cuisses. Ma main droite, paume sur sa peau, doigts vers le bas, remonta lentement, savourant le grain velouté de son épiderme. Elle atteignit alors l’infime dentelle qui recouvrait sa toison si fine. A plat sur le pubis, doigts écartés au maximum pour profiter de tout , je fis tendre pression pour assurer à ma voisine que j’avais bien compris le message...
Pendant ce temps, les conversations continuaient, les rires fusaient, et la coquine n’était pas la dernière à montrer sa joie. Que tous prirent bien sûr comme manifestation du bonheur de se retrouver tous ensemble. Mais autre chose était en partie responsable de cet état. Sous la table, mes doigts par petits cercles, avaient entrouverts les petites portes protégeant, pour peu de temps encore, la caverne aux mille trésors. Mon majeur poussa plus loin et commença à frotter le tissu blanc sur les chairs roses et humides. Parmi ses rires, des petits cris partaient, que tous prenaient pour les manifestations de la boisson. Oh coquine!!!
Repliant mes doigts, j’accrochais le bord de sa culotte mouillée de plaisir, et je les fis passer par dessous pour sentir les palpitations de sa peau. Il n’était plus l’heure de perdre du temps vu l’état de la belle qui riait et se secouait sous l’effet de tous les plaisirs réunis. Alors mes deux doigts enserrèrent comme une pince, le clitoris tout dur et gorgé de désir. L’humidité ambiante facilita le travail des deux artistes, pression, pincements, roulements, tout contribua à faire vibrer le corps de ma chérie qui m’envoyait des regards plein de tendresse et de gratitude. ..
Les mouvements maintenant profonds et appuyés faisaient leur effet, et la pauvre semblait s’enfoncer sous la table. Sentant que l’explosion serait imminente, je décidais de lui venir en aide et je sortais d’une voix puissante ma plus grosse blague (pourrie mais bien marrante). Ce fut un tonnerre de rires et d’applaudissements. Un tel bruit que ma coquine arriva à jouir bruyamment sous les derniers effets de ma main en folie, sans que personne ne remarque cette situation plutôt délicate. Secouée par les rires et les spasmes de l’orgasme, tout son corps bougeait et je la regardais avec un évident bonheur. A peine apaisée elle se jeta à mon cou et devant les sourires de l’assistance elle me fît le plus tendre baiser qu’il soit permis de donner...
Vous pensez bien que le retour vers nos régions respectives fut un voyage empli de bons souvenirs, de marques d’amitié, de promesses de se revoir et de rendez-vous futurs sur le site. Pour nous ce fut bien plus, nos corps avaient gardé l’empreinte de l’autre et dans nos têtes il y aurait pour longtemps ces instants délicieux où plus rien ne comptait que de donner et de s’aimer.
Lun 16 Avril 2012, 12:16 par
cocoeur sur Les liaisons sulfureuses
Scène
Le cœur froid tel la glace, je ressent ce vide en ton absence , je sais que je n’en ai pas le droit et je te hais pour ça et pour les mille larmes que j’ai versé dans le silence d’une nuit. Mais toi, tu ne vois pas ma douleur, tu n’entends pas mes cris et mon âme se fissure. Je m’éloigne des rives sur une embarcation qui coule déjà si loin de toi et les paroles de nos chanson sont susurré par le vent:
"On sait qu’on ne peut avoir confiance
Je défis le vide,
Et tente l’absence
De m"emporté...."
Mais tu as changer... Tu m’as oublié.... Et tu me déteste, mais je t’en pris souviens toi de l’amour, même si il vient avec la douleur. J’ai besoin de toi , écoute s’il te plais... Ce soir sans toi sur scène, je ne chanterais pas, je ne chanterais plus, oubliez moi car toi tu n’es plus la.
"On sait qu’on ne peut avoir confiance
Je défis le vide,
Et tente l’absence
De m"emporté...."
Mais tu as changer... Tu m’as oublié.... Et tu me déteste, mais je t’en pris souviens toi de l’amour, même si il vient avec la douleur. J’ai besoin de toi , écoute s’il te plais... Ce soir sans toi sur scène, je ne chanterais pas, je ne chanterais plus, oubliez moi car toi tu n’es plus la.
Mer 15 Fév 2012, 14:27 par
murmuran sur L'amour en vrac
Ma dame
Ma dame,
D’habitude je vous vouvoie, et j’entrevois ici toute la sensibilité que vous masquez par votre sourire farceur au quotidien!
Voue moi ta vie!!!
Je vous vois rire à l’avance de mes propos, mes mots milliardaires et inestimables, ceux que vous attendiez tant et depuis tout ce temps?
Je resta silencieux tout ce temps.
J’observa la cour, les poules et les coqs, sans rien dire, sans rien écrire, juste avec mes yeux d’aveugle vertébré.
Ma dame en ce soir de bonheur formel, je vous attends, et je vais vous tutoyer.
Je vais vous dire tu, tue l’espace et le temps qui nous sépare.
Je te demande un peu de ton planning contre un peu de mon précieux emploi du temps!!!
Je te donne mon sourire contre tes yeux, mes mains contre tes lèvres, mes mots contre ta voix, mes cris contre tes silences, et j’hausse un peu le volume si tu le permets:
je te donne moi contre toi!!!!
bel échange non?
D’habitude je vous vouvoie, et j’entrevois ici toute la sensibilité que vous masquez par votre sourire farceur au quotidien!
Voue moi ta vie!!!
Je vous vois rire à l’avance de mes propos, mes mots milliardaires et inestimables, ceux que vous attendiez tant et depuis tout ce temps?
Je resta silencieux tout ce temps.
J’observa la cour, les poules et les coqs, sans rien dire, sans rien écrire, juste avec mes yeux d’aveugle vertébré.
Ma dame en ce soir de bonheur formel, je vous attends, et je vais vous tutoyer.
Je vais vous dire tu, tue l’espace et le temps qui nous sépare.
Je te demande un peu de ton planning contre un peu de mon précieux emploi du temps!!!
Je te donne mon sourire contre tes yeux, mes mains contre tes lèvres, mes mots contre ta voix, mes cris contre tes silences, et j’hausse un peu le volume si tu le permets:
je te donne moi contre toi!!!!
bel échange non?
Jeu 09 Fév 2012, 03:59 par
volcanique sur La séduction
Des mots courageux pour toi,
Si je t’écris aujourd’hui c’est parc que je n’ai pas trouvé l’occasion de te dire les choses en face et même en étant caché derrière ce bout de papier, j’ai l’impression que j’aurai du mal à m’exprimer et à trouver les mots justes pout te signifier toute ma sincérité et ma volonté à ce que tout soit clair, je te vois déjà surprise en lisant ces premiers lignes qui ressemblent à un aveux d’un homme envers une veille connaissance alors que ce n’est pas le cas, mais rassure toi, cette lettre ne t’apportera que du bien parc que je l’ai souhaité subtile et courtoise et avant de toucher à l’essentiel, j’aimerai que tu respect l’ordre des lignes et que tu t’impatientera pas à découvrir les mots de la fin, j’aimerai que tu apprécie mon effort à vouloir te présenter des propos agréables à parcourir, je le sais, le début te parait un peu long mais comprend moi c’est peut être la ma seule et unique chance de te faire part de mon ressentiment de la meilleure manière qui soit. Voila, j’ai presque terminé sans vraiment commencer et il est temps que je me lance dans mon véritable discours en espérant être le moins maladroit et le plus court possible.
Cela fait maintenant quelques temps que je t’observe derrière mon visage imperturbable et mes yeux ne cessent de s’intéressés à toi et au moindre de tes gestes, ton petit sourire exquis, ton charmant visage et l’indescriptible beauté de tes yeux me font plonger dans une ivresse infinie, mais face à toute la splendeur du paysage que tu m’offre généreusement tous les jours je me sent pourtant démunie à cause de la distance et le silence qui m’empêchent de tout savourer pleinement, alors et pour ne plus faire perdurer mon impatiente et avant que ces plaisirs ne se transforment en des tourments, j’ai décidé et avec beaucoup de courage d’aller au delà de ma timidité et de t’adresser ces quelques mots pour que tu sache que je pense à toi et que j’aimerai tellement te connaitre.
Je reste convaincu que tu es une personne formidable et que tu mérite toute l’attention du monde et même si j’ignore ce que tu ressens pour moi, ma démarche vers toi était un devoir et je ne terminerai pas cette lettre sans t’offrir ce petit poème dont tu es la source d’inspiration.
Je t’ai aperçu un beau jour de printemps
Déjà mon cœur te devins dépendant
C’était sans doute le jour le plus important
Quand le temps c’est arrêté pendant un instant
Ton visage parfait te donnait l’allure d’un enfant
Le regarder n’était plus une envie mais une obsession
Après, ma vie s’est transformée en un feuilleton
Toujours la même image, toujours la même passion
Quand tu parle, moi je cris pour que tu m’entendes
Quand tu marche, moi je cours interminablement
Rien que pour sentir ton odeur de femme charmant
Je serai ton esclave enchaîné dans ton rêve insolant
Avec ton regarde aussi vaste que l’océan
Ainsi que ton sourire brodé comme un feston
Tu m’as fait renaître de ce corps de charbon
Et avec tes flammes tu l’as brûlé tel un volcan
Le vent d’été souffle et me prive de la belle saison
Ou jadis te revoir était ma seule raison
Aujourd’hui ta présence me manque terriblement
Et le charme de ton visage rayonnant
Sache que mon cœur t’appartient éternellement
Toi qui l’as libéré de tous ses tourments
Cela fait maintenant quelques temps que je t’observe derrière mon visage imperturbable et mes yeux ne cessent de s’intéressés à toi et au moindre de tes gestes, ton petit sourire exquis, ton charmant visage et l’indescriptible beauté de tes yeux me font plonger dans une ivresse infinie, mais face à toute la splendeur du paysage que tu m’offre généreusement tous les jours je me sent pourtant démunie à cause de la distance et le silence qui m’empêchent de tout savourer pleinement, alors et pour ne plus faire perdurer mon impatiente et avant que ces plaisirs ne se transforment en des tourments, j’ai décidé et avec beaucoup de courage d’aller au delà de ma timidité et de t’adresser ces quelques mots pour que tu sache que je pense à toi et que j’aimerai tellement te connaitre.
Je reste convaincu que tu es une personne formidable et que tu mérite toute l’attention du monde et même si j’ignore ce que tu ressens pour moi, ma démarche vers toi était un devoir et je ne terminerai pas cette lettre sans t’offrir ce petit poème dont tu es la source d’inspiration.
Je t’ai aperçu un beau jour de printemps
Déjà mon cœur te devins dépendant
C’était sans doute le jour le plus important
Quand le temps c’est arrêté pendant un instant
Ton visage parfait te donnait l’allure d’un enfant
Le regarder n’était plus une envie mais une obsession
Après, ma vie s’est transformée en un feuilleton
Toujours la même image, toujours la même passion
Quand tu parle, moi je cris pour que tu m’entendes
Quand tu marche, moi je cours interminablement
Rien que pour sentir ton odeur de femme charmant
Je serai ton esclave enchaîné dans ton rêve insolant
Avec ton regarde aussi vaste que l’océan
Ainsi que ton sourire brodé comme un feston
Tu m’as fait renaître de ce corps de charbon
Et avec tes flammes tu l’as brûlé tel un volcan
Le vent d’été souffle et me prive de la belle saison
Ou jadis te revoir était ma seule raison
Aujourd’hui ta présence me manque terriblement
Et le charme de ton visage rayonnant
Sache que mon cœur t’appartient éternellement
Toi qui l’as libéré de tous ses tourments
Mer 30 Nov 2011, 11:28 par
Radski sur La déclaration d'amour
Marilyn
MARILYN
S’avance et s’assied à son pupitre
Elle va écrire un nouveau chapitre
Dès que le show a commencé
Marilyn change d’identité.
Elle entre dans la peau de son personnage
S’exhibe et montre son plus beau plumage
Se faisant effrontée libertine et habile racoleuse
Sa voix douce et langoureuse se fera amoureuse.
Son déhanchement en troublera quelques uns
Dont les yeux colleront à la courbe des seins
D’autres seront accros à sa robe moulante
Son dos nu et ses dessous chics.
D’autres la trouveront bien attrayante
Très sûre d’elle, un brin sexy
En porte-jarretelle, gambettes gainées d’un bas noir
Affolant la libido de ces messieurs au comptoir.
Coiffure bien ordonnée d’un noir lumineux
Rehaussant le soyeux de ses cheveux
Bouche voluptueuse, de rouge, laquée
Démarche lascive à l’allure appuyée
Parfum aux flagrances d’un nuage parfumé
Madame Chanel n’aura qu’à bien se tenir
Le parterre en sera entièrement subjugué
Car elle sait comment susciter le désir.
Ce soir la salle sera encore pleine
Elle les tiendra suspendus, en haleine
Tous ces beaux messieurs aux costumes hors de prix
Elle croulera sous leurs applaudissements, leurs cris.
Et les bouquets de fleurs jetés à ses pieds
La musique ralentit, le rideau va bientôt se refermer..
Le public applaudit, le spectacle est terminé
Elle sort doucement de scène et va se démaquiller
Loin de l’effervescence, elle passera un peignoir
Se regardera tristement dans le grand miroir
Constatera les dégâts de ces mirages
Et mettant brusquement ses mains sur son visage.
Laissant tomber son masque d’invincibilité
Nous montrera sa grande vulnérabilité
Dans le secret feutré de sa cabine
Quelques perles d’eau roulent sur sa pommette.
Marilyn, si fragile, si douce et si câline
Femme bien seule jouant la starlette
Dans le silence de son petit logement
Rêve qu’on l’aime encore longtemps
S’avance et s’assied à son pupitre
Elle va écrire un nouveau chapitre
Dès que le show a commencé
Marilyn change d’identité.
Elle entre dans la peau de son personnage
S’exhibe et montre son plus beau plumage
Se faisant effrontée libertine et habile racoleuse
Sa voix douce et langoureuse se fera amoureuse.
Son déhanchement en troublera quelques uns
Dont les yeux colleront à la courbe des seins
D’autres seront accros à sa robe moulante
Son dos nu et ses dessous chics.
D’autres la trouveront bien attrayante
Très sûre d’elle, un brin sexy
En porte-jarretelle, gambettes gainées d’un bas noir
Affolant la libido de ces messieurs au comptoir.
Coiffure bien ordonnée d’un noir lumineux
Rehaussant le soyeux de ses cheveux
Bouche voluptueuse, de rouge, laquée
Démarche lascive à l’allure appuyée
Parfum aux flagrances d’un nuage parfumé
Madame Chanel n’aura qu’à bien se tenir
Le parterre en sera entièrement subjugué
Car elle sait comment susciter le désir.
Ce soir la salle sera encore pleine
Elle les tiendra suspendus, en haleine
Tous ces beaux messieurs aux costumes hors de prix
Elle croulera sous leurs applaudissements, leurs cris.
Et les bouquets de fleurs jetés à ses pieds
La musique ralentit, le rideau va bientôt se refermer..
Le public applaudit, le spectacle est terminé
Elle sort doucement de scène et va se démaquiller
Loin de l’effervescence, elle passera un peignoir
Se regardera tristement dans le grand miroir
Constatera les dégâts de ces mirages
Et mettant brusquement ses mains sur son visage.
Laissant tomber son masque d’invincibilité
Nous montrera sa grande vulnérabilité
Dans le secret feutré de sa cabine
Quelques perles d’eau roulent sur sa pommette.
Marilyn, si fragile, si douce et si câline
Femme bien seule jouant la starlette
Dans le silence de son petit logement
Rêve qu’on l’aime encore longtemps
Mar 22 Nov 2011, 20:25 par
caressedesyeux sur Mille choses
Petit rat
Tic tac , tic , tac
Le réveil ne sonne toujours pas
Et l’aiguille tourne à l’envers.
Me voila ,projetée dans le passée,
Danseuse à l’opéra, ou petit rat.
Les entrechats , je ne connaissais que cela.
Rigueur, régime, et discipline, encore et encore...
Mon corps, "machine" infernale, ou vous n’avez pas le droit à l’erreur.
Cette peur au ventre,parfois
Devant tout un public,l’adrénaline, montant subitement.
Jetées de fleurs, à nos pieds.
Effervescence, et agitation régnaient.
Applaudissement et cris,
Reconnaissance d’un travail bien fait.
je riais, d’un travail bien fait.
Je riais d’euphorie,
Et surtout de retrouver mon lit...
caressedesyeux
ET SURTOUT DE RETROUVER MON LIT................
Le réveil ne sonne toujours pas
Et l’aiguille tourne à l’envers.
Me voila ,projetée dans le passée,
Danseuse à l’opéra, ou petit rat.
Les entrechats , je ne connaissais que cela.
Rigueur, régime, et discipline, encore et encore...
Mon corps, "machine" infernale, ou vous n’avez pas le droit à l’erreur.
Cette peur au ventre,parfois
Devant tout un public,l’adrénaline, montant subitement.
Jetées de fleurs, à nos pieds.
Effervescence, et agitation régnaient.
Applaudissement et cris,
Reconnaissance d’un travail bien fait.
je riais, d’un travail bien fait.
Je riais d’euphorie,
Et surtout de retrouver mon lit...
caressedesyeux
ET SURTOUT DE RETROUVER MON LIT................
Ven 04 Fév 2011, 11:04 par
caressedesyeux sur Mille choses
Une ballade , tes bisous (chapitre trois)
Margaux se réveille, Philippe lui apporte son café noir, et un croissant, qu’ elle mange avec lui, au lit, tant pis pour les miettes. Ils prennent une douche ensemble, et font l’amour "sauvagement"...
Main dans la main, il l’emmène dans un grand parc, il fait beau, il y a foule. Ils se promènent, et n’arrêtent pas de s’embrasser, des bisous par- ci, des bisous par- la. Plus loin , un banc les attend, ils s’embrassent encore, il aime ça , elle aussi, parfaite osmose, qu’ils partagent, avec tendresse... Leurs corps se rapprochent, se plaquent
,elle sent son ardeur, et elle descend discrètement sa main derrière ses reins, l’enlace davantage.
Ils sont seuls au monde, ils se «lâchent", tellement qu’ils entendront les cris d’un enfant raisonner soudainement .Surpris, ils jettent un coup d’œil, ce n’est rien les parents le consolent. Ils se regardent, et rigolent comme des adolescents.
Sam 05 Juin 2010, 16:28 par
caressedesyeux sur Parler d'amour
Cette chose
Je sens cette Chose voler au-dessus de moi.
Son ombre plane et survole mon être,
tel un vautour décrivant ces mortels cercles autour de sa cible,
cherchant le moment de faiblesse pour plonger,
Et ainsi achever sa victime….
Je sens cette Chose m’entourer.
Ce faible brouillard devenir un parfait écran de fumée,
m’empêchant de voir, et m’embrouillant les sens.
J’inspire et j’expire ce noir gaz qui me donne des vertiges.
Étourdissements, exaltation, ivresse des sens,
Je perds les pédales, la réalité vacille….
Je sens cette Chose sur moi.
Ces bras m’enveloppent dans une tendre volupté.
Dans son doux linceul elle m’enferme.
Sa main, telle un serpent haineux, monte sur mon bras.
Son étreinte sur mon corps est tenace, mais tendre et succulente.
Sa caresse est totale, douloureuse mais indolore,
Agréable mais amer…
Je sens cette Chose en moi,
Tel un suave vin âcre et acide.
Suite à la morsure du serpent, le poison m’emplit et se répand,
Comme une délicieuse bile, qui en moi fait son chemin.
La Chose fait refuge dans mes entrailles,
Et y plante à souhait ses violentes morsures.
Mes pacifiques cris percent le silence de mon âme!
Que dois-je faire; Résister ou succomber?
Je sens cette Chose devenir moi.
Et j’hurle : « Et toi, cher Insensible, pourquoi donc m’attaques-tu?
Te délectes-tu de ma paisible souffrance?
Toi qui t’attaques à l’Être, cet Être que l’on nomme homme,
Es-tu amoureuse de notre amertume silencieuse?
Moi je te dédaigne, cher ennemi amical,
Tu mènes au désespoir de l’âme et au déchirement de l’esprit!
Tu rends tout si beau, et tout si désirable.
Ô Désir! Pourquoi ne te laisses-tu point mourir... »
Son ombre plane et survole mon être,
tel un vautour décrivant ces mortels cercles autour de sa cible,
cherchant le moment de faiblesse pour plonger,
Et ainsi achever sa victime….
Je sens cette Chose m’entourer.
Ce faible brouillard devenir un parfait écran de fumée,
m’empêchant de voir, et m’embrouillant les sens.
J’inspire et j’expire ce noir gaz qui me donne des vertiges.
Étourdissements, exaltation, ivresse des sens,
Je perds les pédales, la réalité vacille….
Je sens cette Chose sur moi.
Ces bras m’enveloppent dans une tendre volupté.
Dans son doux linceul elle m’enferme.
Sa main, telle un serpent haineux, monte sur mon bras.
Son étreinte sur mon corps est tenace, mais tendre et succulente.
Sa caresse est totale, douloureuse mais indolore,
Agréable mais amer…
Je sens cette Chose en moi,
Tel un suave vin âcre et acide.
Suite à la morsure du serpent, le poison m’emplit et se répand,
Comme une délicieuse bile, qui en moi fait son chemin.
La Chose fait refuge dans mes entrailles,
Et y plante à souhait ses violentes morsures.
Mes pacifiques cris percent le silence de mon âme!
Que dois-je faire; Résister ou succomber?
Je sens cette Chose devenir moi.
Et j’hurle : « Et toi, cher Insensible, pourquoi donc m’attaques-tu?
Te délectes-tu de ma paisible souffrance?
Toi qui t’attaques à l’Être, cet Être que l’on nomme homme,
Es-tu amoureuse de notre amertume silencieuse?
Moi je te dédaigne, cher ennemi amical,
Tu mènes au désespoir de l’âme et au déchirement de l’esprit!
Tu rends tout si beau, et tout si désirable.
Ô Désir! Pourquoi ne te laisses-tu point mourir... »
Dim 28 Fév 2010, 04:37 par
Someone01 sur La séduction
L'écrire à fleur de vie
Ecrire. Ecrire à en perdre le souffle. Ecrire et se noyer dans le flot tumultueux des mots moutonneux, riches, doux, âpres, aigres, violents, tendres, accidentés, fleuris, turbulents, bouillonnants, venant et repartant au gré des lignes, sac et ressac de la mer d’encre que l’on fait naître au cœur de nos désirs inassouvis, de nos pleurs trop tôt étouffés, de nos cris ravalés, de nos larmes ensanglantées. Ecrire avec les restes déchirés de nos cœurs qui palpitent encor entre les becs d’acier à l’éclair glacé de leur indifférence.
Ecrire. Aimer. Quelle différence ?! Que la pulsation de nos êtres donne vie à ces textes assassins vivant de substantifique sève. Ecrire et les en repaître. Les deviner fébriles, léchant leurs doigts trempés de nos vies mises à nu. Ecrire et disparaître peu à peu, au fil des lignes, se dévoiler, imperceptiblement se mêler aux fibres de la toile sans que nul n’en soupçonne l’impalpable tragédie… Jusqu’à n’être plus rien qui s’offre à leur regard qu’une ombre furtive à l’écran.
Mourir d’écrire.
Ecrire. Aimer. Quelle différence ?! Que la pulsation de nos êtres donne vie à ces textes assassins vivant de substantifique sève. Ecrire et les en repaître. Les deviner fébriles, léchant leurs doigts trempés de nos vies mises à nu. Ecrire et disparaître peu à peu, au fil des lignes, se dévoiler, imperceptiblement se mêler aux fibres de la toile sans que nul n’en soupçonne l’impalpable tragédie… Jusqu’à n’être plus rien qui s’offre à leur regard qu’une ombre furtive à l’écran.
Mourir d’écrire.
Dim 07 Fév 2010, 16:28 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Un bon saint...
Finie la fête de beaux nénés, il est bientôt l’heure de voir ce que les seins valent en teint. Aucun jeu de maux ce jour-ci il ne faudra faire, pas plus que de jeux de mot laids, avec des gens bêtes.
Je préconise plutôt les jeux de mollets, avec des jambettes ! Et vos cris, mesdames, vos soupirs de plaisir dans cette nuit aux cloisons de papier.
Je préconise plutôt les jeux de mollets, avec des jambettes ! Et vos cris, mesdames, vos soupirs de plaisir dans cette nuit aux cloisons de papier.
Dim 31 Jan 2010, 19:44 par
PetitPrince sur Edito
Un mot, un sourire
Il aimait son silence. Il aimait ses regards. Pourquoi était-il touché ? il ne le savait pas. Qui était-il ? il ne savait rien sur lui. Il ne connaissait de lui que ses silences et ses cris. Son cri déchirait son coeur car il lui parlait.
Quand son coeur pleurait, il savait trouver le mot qui pansait. Un mot. Comment faisait-il ? Comment pouvait-il le comprendre sans le connaître ?
Cet homme savait aussi lui sourire. Un sourire simple. Dans ce sourire, il savait s’oublier.
Quand son coeur pleurait, il savait trouver le mot qui pansait. Un mot. Comment faisait-il ? Comment pouvait-il le comprendre sans le connaître ?
Cet homme savait aussi lui sourire. Un sourire simple. Dans ce sourire, il savait s’oublier.
Lun 23 Nov 2009, 04:18 par
Solina sur Un monde parfait
Ecrire sur cris
De ta bouche à moi, En passant au bord de seine, Fashion love moderne, Cours avant la tempête, Le cercle des poètes, Scène, Ma dame, Des mots courageux pour toi,, Marilyn, Petit rat, Une ballade , tes bisous (chapitre trois), Cette chose, L'écrire à fleur de vie, Un bon saint..., Un mot, un sourire,Il y a 74 textes utilisant le mot cris. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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