Tchat

Il était une fois une Femme sans joie
Qui se prit au jeu d’aller tchater un peu.
Au hasard des pseudos, il en fût un beau
Qui de tâtonnements en questionnements
Devint son prince charmant
Lui murmurant à l’oreille
D’une voix sans pareille
Mill monts et merveilles
Et réveillant soudain à ses sens éteins
Le feu de l’Essence du Divin
Elle se prit à jouer, par cette voix, charmée
De délicieux orgasmes, de ses sens en extases
Pour un jour enfin le rencontrer
Il a su jouer d’elle, et elle de lui
Jouer de ces accords dans le temps d’un aprés-midi
Et le temps s’enfuyant, il en devint distant
Pour qu’un jour, à bout de recours
Il en vint à provoquer son secours
Méfiante, mais généreuse, elle tint sa promesse
Sans être dispendieuse, souriante et amoureuse
Il fût heureux de ses largesses
Mais le doute installé, de mots venimeux distillés
Et par la distance séparés, elle eut pu croire à l’arnaque
Et a pleuré des larmes au goût âcre
Mais de passion en , de tendresse sans caresses
Et de complicité en amitié, sans faiblesse
Elle garde pour lui l’amour d’une diablesse
La patience d’une lionne, et l’espérance de la reconnaissance
Jeu 13 Jan 2011, 19:49 par orev02 sur Amour internet

Et tu me demandes qui je suis ?

Je suis cette flamme qui brûle et te consume
Le coeur des doigts
Je suis cette violence qui est ta
Je suis cheval fougueux
Et le vent sur les crêtes

Et tu me demandes
Qui je suis ?

Je suis de tempête et éclats dans tes yeux
Je suis la lumière ronde
Et blanche de tes nuits
Je suis l’ouragan
Qui dévaste nos vies

Et tu me demandes
Qui je suis ?

Je suis la vie qui jaillit des cieux
De l’onde claire
La vague qui réveille tes cris
Et danse qui martèle le sol
Et épuise son agonie

Et tu me demandes
Qui je suis ?

Je suis cette impatience
La forêt qui se dresse
Des larmes de sève
Qui perlent sur ma peau
Le corps Lissé par les mains de l’amour.

Et tu me demandes
Qui je suis ?

Je suis l’insolence
Et l’insoumission
Je suis née du désert
Ce fruit de ta passion
Source du désir à ton front...
Dim 22 Oct 2006, 10:36 par dolce vita sur La séduction

Je ne goûterai plus de ta vie

Ton prénom a refusé de caresser mes jours et bercer mes nuits.
Tes mains ont repoussé mon coeur par désamour.
Ton âme a repoussé mon être par .
La gomme de ton âme veut rayer mon souvenir.
Ma vie s’essouffle, mon visage disparaît.

Mon jour a perdu tous ses pétales vermeil.
L’azur m’abandonne et engloutit mon soleil.
Par ta défiance, ma passion devient honteuse ;
Pourtant, mon image était fière et fougueuse.

Ton silence détruit l’amour qu’on a construit.
C’est dans tes yeux que toutes mes larmes s’enfuient.
Tant d’heures si douces ont délaissé mon coeur.
Tant d’amour aurait dû connaître ta douceur.

Je ne goûterai plus de ta vie les délices.
Le sablier du temps a rendu son terrible office.
Les mois deviennent trop courts ; l’hiver m’envahit.
Où sont passées les saisons, que les dieux m’ont pris ?
Les quatres saisons ne sont plus qu’une à mes yeux.

T’avouer ma passion et ne pas être aimée.
La flamme de mon amour ne peut te blâmer.
Je t’ai perdu ; peux-tu entendre mes soupirs ?
Mon voyage se termine seule, sans tes désirs.

Mon coeur tombe en cendres du feu de ton dédain ;
Je dépose ces reliques entre tes mains.
Ma belle âme s’étouffe dans ton infini.
Dans l’avenir, mes jours ne seront qu’avanis.

Je ne garde pour tout soleil que ton étoile.
Dans l’Au-delà, les nuages seront mes toiles.
Jamais une femme n’a pu et ne pourra te dire
Tous les mots d’amour que mon coeur a pu t’écrire.
Et seule ma toile a le privilège de lire les mots.

L’amour reprend ce que je n’ai pas mérité.
Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ?
Mer 16 Août 2006, 22:21 par joullia sur L'amour en vrac

Mon âme et mon toi

O mon prince du désert, mon toi, mon âme,
On a mis en mémoire des rêves qui nous ressemblent,
On arrêtait le temps quelquefois,
Sans demander comment ni pourquoi,
On se retrouvait là sur ce chat.
Est-ce que toi aussi tu trembles ?
Parce que l’avenir te fait peur,
Est-ce que nos vies se ressemblent ?
Sommes-nous à côté de nos coeurs

O mon prince du désert, mon âme, mon toi,
J’aimerais qu’on soit ensemble
Pour partager nos joies et douleur
Est ce que je compte pour toi ?
Je ne suis qu’une écorce toute gravée de toi,
O mon prince,
Même loin, rien ne me soigne,
Mon coeur éteint ses cendres,
Au coeur de tes bras.
O mon prince,
Je perds mon âme,
Je meurs de ton absence,
Délivre-moi,
De ma prison de verre,
De ma tour,
Enchaîne ma vie a la tienne.
Avant que mon sang ne se mélange,
Aux larmes tombées à nos pieds,
Je meurs de ton indifférence,
Aime-moi !
O mon prince,
J’ai peur de tes silences,
Mon coeur, tout bas, se meurt de froid.

O mon prince, mon toi et mon âme,
Je parle à moi qui ne vis plus,
Avant de perdre la mémoire,
Pourquoi faut il toujours s’enfuir ?
C’est pas normal de tant souffrir,
Je ne peux plus me taire,
La liberté se meurt,
A coup de trahison.
A coup de .
Alors je crie plus fort,
A m’arracher le coeur,
Pour dire combien je t’Aime
Pour dire combien j’ai Peur.
Je parle à moi qui rend les armes,
Ouvre les yeux,
Sors de ta bulle,
Sors de ta solitude,
Sors de tes peurs,
Pourquoi faut il bâtir des murs pour ce guérir ?
C’est pas normal de tant souffrir,
Je ne veux plus me taire,
Face à ce monde de guerre et de haine,
Face à ces hommes abominables,
Face à ce manque d’Amour dans le monde....

O mon prince, mon âme soeur, mon toi
Loin de toi je n’ai plus d’ailleurs
Partout où que je sois,
Il me manque tout puisqu’il me manque toi.
Je voudrais être à cette place différence,
Celle de l’âme soeur qui comprend tout,
Celle qui sait porter secours,
Celle qui remplit ton coeur.
Je voudrais être ta femme, ta maîtresse, ton amie, ta confidente et la mère de tes enfants.
Viens jusqu’à moi.
Ven 04 Août 2006, 10:38 par joullia sur Parler d'amour

Faire l'amour avec l'éternité

Un coeur douloureux, lourd de larmes et triste.
Dedans la colère gronde
Où est-il ?
Où est l’amour après lequel tu soupires ?
A quoi sert de marcher encore et encore ?
De croire, de toujours y croire ?
D’où vient cette ?
D’où vient cette innocence ?
Pourquoi n’es tu pas tiède comme tous le sont ?
Pourquoi ne pas promettre et ne rien tenir ?
Pourquoi ?
Pourquoi ne pas séduire ?
Pourquoi ne pas mentir ?
Pourquoi es-tu si différent des autres ?
Pourquoi cette envie de donner en toi ?
Pourquoi est-ce que tu soupires après l’amour ?
A quoi sert d’aimer ?
A quoi sert de souffrir ?
A quoi sert d’espérer ?
Et en toi la femme, l’homme libre se révolte,
L’indomptable lève le poing :
Ne plus croire à ces boniments
De forains,
Partir, partir et faire l’amour avec l’éternité
Ven 28 Avril 2006, 08:18 par dolce vita sur L'amour en vrac

songe d'une nuit

Où suis je pauvre fou?
Celui qui pensait n’être que pour vous...
Et me perdant dans vos bras,
Je ne veux plus en rester là!
Croquant la vie à pleine dents,
Je veux ni ne peux plus.
Trouver ces endroits charmants,
Où encore je ne veux être vu,
Que dans vos bras perdus.

Et souhaiter en mon âme et conscience,
Etre votre serviteur jusqu’à ma décadence.
Comment pourrais-je être patient,
Accepter la mort est un doux sort,
Si avant il existe encore une aurore!
Idée profonde et romantique,
Paraissant à certain pathétique,
Sous ces lumières naissantes,
Vous demander aimante...

Et si cela n’est point possible,
Peu importe mon étincelle,
Car je ne pourrais vivre pareil!
Tenter de me résoudre est un crime!
Je me fondrais dans l’âbime.
Car quand on aime avec passion,
On meurt avec ...

Donnez moi le souffle qui me manque,
Modérez la folie qui me ronge,
Osez me souffler cet "ensemble",
Nous finirons ce merveilleux songe...
Ven 25 Nov 2005, 03:00 par Loyd sur Parler d'amour

Un...

Et si nous arrêtions notre lutte,
Fini les concessions pour plaire,
Fini les envies opposées,
Et si nous ne devenions plus qu’un...
Voyons nous dans un tout,
Laissons la passion et la ,
Laissons nous guider par notre envie,
Voyons nous comme un...
Ainsi nous grandirons,
Il n’y a plus de toi, de moi,
Il n’y a plus que toi et moi,
Ainsi nous nous unirons...
Mer 21 Sep 2005, 00:02 par Loyd sur Parler d'amour

Pardon...

Je t’ai voulu, pour l’oublier.
Je l’ai attendu, tu l’as devancé.

Je t’ai séduit, par .
Tu m’as dit "oui", sans condition.

Je ne t’ai aimé qu’avec mon corps,
j’ai longtemps cru, que tu étais d’accord.

Je ne t’ai pas donné la clef de mon coeur,
je ne vais pas nier que je rêvais d’ailleurs...

Je t’ai menti, par omission,
je n’ai rien dit de son prénom.

Je ne t’ai pas promis de tendres liens,
mais dans ta tête, tu te faisais mien...

Par repentir, je dois te quitter.
Faut pas souffrir, faut pas m’aimer!
Mer 17 Août 2005, 09:15 par syolann sur Parler d'amour

L'amour, encore.

J’aimerais vous parler du tout autre cette essence dont j’ai parlé au départ, l’élan vers cette inaccessible étoile qui se trouve en chacun de nous, au coeur de chacun de nous, et vers laquelle, de façon consciente ou inconsciente, tout notre être aspire. Je mets l’accent sur l’inaccessibilité, sur la distance, sur le tout autre, parce que dans cette relation-là, la véritable unité ne peut se réaliser que dans la conscience d’une transcendance. Ecoutons, par exemple Rûmi, le saint de Konya, parler de ce passage de la dualité à l’unité. L’Amour s’exprime vraiment lorsque l’Amant, l’Aimé et l’Amour lui-même ne font plus qu’un : « Quand l’homme et la femme deviennent un, tu es cet un. Quand les unités sont effacées, tu es cette unité. Tu as façonné ce "je" et ce "nous" afin de pouvoir jouer au jeu de l’adoration avec toi-même, afin que tous les "je", les "tu" deviennent une seule âme, et soient à la fin submergés dans le Bien-Aimé ». Cet amour-là est , cet amour-là est folie, cet amour-là va à l’encontre de tous les critères habituels par lesquels notre être individuel reconstitue autour de lui un univers, un environnement. Il s’inscrit en opposition ou en contrepoint, ou à contre-courant de ce qu’on appelle habituellement amour - et ce qui n’est en fait que l’une des multiples façons de s’aimer soi-même. On aime ceux qu’on aime parce que généralement, ils nous renvoient une image de notre propre amour pour nous-mêmes. C’est par exemple l’amour pour les proches, pour les enfants qui nous perpétuent, tout ce qui nous renvoie à cet univers que nous avons tissé et qui nous fait exister. C’est là un amour raisonnable. Quant à l’amour de , c’est un amour pour quelque chose qui ne renvoie plus à nous-mêmes, mais qui, de plus, nous révèle dans le miroir des autres, le miroir de l’altérité, une présence, une essence spirituelle.

Ecoutons cet autre poème de Rûmi : « Si je cherche mon coeur, je le trouve dans ton quartier. Si je cherche mon âme, je la trouve dans tes cheveux. Lorsque, assoiffé, je bois de l’eau, dans l’eau je vois l’image de ton visage ». Pour ne plus retrouver dans l’amour de l’autre le reflet de sa propre image, mais retrouver l’image de son essence spirituelle, il faut qu’il y ait cette distance, cette inaccessibilité. Il faut qu’il y ait cette soif, cette nostalgie. Il faut qu’il y ait cette maladie d’amour, cette douleur d’amour, ce désir intense qui devient ce qui nous nourrit. Il faut qu’il y ait ce que dans toutes les poésies amoureuses du monde, on appelle le chagrin d’amour. Ce chagrin dont aucun amoureux ne souhaiterait, pour tout l’or du monde, être délivré. Dans le Cantique des Cantiques, j’ai relevé ces quelques vers : « Je vous en conjure, filles de Jérusalem, si vous trouvez mon bien-aimé, que lui déclarerez-vous ? Que je suis malade d’amour. » Il faut que s’allume dans notre coeur cette flamme sacrée. Il faut s’embraser, comme d’ailleurs Rûmi le dit lui-même de son cheminement, de toute sa vie. Il dit que cela se résume en trois choses : « J’ai été vert, j’ai été ensuite cuit, et maintenant je suis consumé »

C’est l’asservissement à cet amour, l’asservissement à ce mystère qui s’est exprimé dans des multiples poésies sur cet esclavage, sur ces malheurs de l’amour. Un poète dit : « Si le malheur doit être le prix de mon amour, je suis prêt à l’accepter. Eprouve-moi, éprouve-moi de toutes façons, que tu saches que je t’aime de toutes les façons ».

Voici cet homme, au faîte de sa réalisation, considéré de son vivant comme l’un des plus grands maîtres du soufisme pour certains, qui parle de cette femme en des termes absolument extraordinaires et brûlants d’amour. Il écrira d’ailleurs à son propos un recueil de poèmes magnifique, intitulé « L’interprète des désirs », où il parle de Nizhâm en des termes qui font à la fois l’éloge de sa beauté et de sa spiritualité. Ibn ’Arabi, devant le scandale suscité par ces textes, dut commenter ces poèmes, ce qui d’ailleurs ne résolut rien, le commentaire portant l’ambiguïté à son _expression ultime.

Il faut dire cependant que l’inaccessibilité, en l’occurrence, ne signifie pas irréalité, car ce qui est en jeu, ce qui s’exprime à travers cette dimension de l’amour, c’est le fait que même si nos relations sont les plus proches possible, même s’il s’agit de relations de proximité directe, il y a en chaque être avec lequel nous sommes en relation dans cette dimension-là, une dimension du mystère, une dimension de l’inaccessible divin qui constitue le secret qui nous lie à lui. La proximité extérieure la plus grande possible ne doit en aucune façon épuiser cette part d’inaccessibilité, cette part de secret divin qu’il y a en l’autre. D’où cette tradition qui s’est traduite par l’amour de la "dame de la tour", dans la culture occidentale, et par toutes les formes de la poésie courtoise spirituelle, dans la culture orientale. Dans cette tradition, l’Amant est soumis à des épreuves qui établissent clairement que ce qu’il aime chez l’autre, ce n’est pas simplement un reflet de lui-même, mais son essence spirituelle qui l’attire au-delà de lui-même. Ecoutons ce poème de ricko:«
J’ai atteint l’ivresse et nul de mes amis n’a perçu par quel vin je les ai distancés ? Mon ivresse n’était fruit d’aucun nectar Seules les vertus de l’Aimé m’enivrent le saviez-vous ? S’il en est qui au soir s’abreuvent de vin vieux, Je m’abreuve moi de vos attraits radieux. Ainsi les voyez-vous s’émouvoir un instant, Là où je m’émeus moi à longueur de temps. Lorsque le cri de l’âme, exprime en vers, rythmé et accordé, la poésie se fait chant. Et lorsque ce cri, élan nostalgique de l’âme, est accompagné par des instruments, on parle alors de musique. Vous êtes une invitation à cette écoute. C’est à travers le cœur que l’audition intérieure s’opère et c’est par la pratique du " Toi " et du " Moi " afin que tous les "Je", les "Tu" deviennent une seule âme, et que mon moi-même réalise que tout dans l’univers n’est que vous. Car n’est-il pas dit dans vos mots, que votre beauté d’âme chante les louanges du Bien Aimée ? »

Lorsque l’Amour s’adresse d’une façon spécifique, profonde, à celui qui la reçoit. Et il ne peut pas y avoir là de subterfuge. Tout se sait, tout se sent. Qu’importent les actes extérieurs, ce qui importe se sont les actes intérieurs et leur signification. Et c’est cette signification-là qui guide comme un souffle de sincérité nos pensées, nos sentiments et nos actes.
Mer 19 Jan 2005, 10:05 par ricko sur Parler d'amour

Mon amante virtuelle

A ma Laurinne, mon histoire sans fin...

Mon corps nu
Gît, immobile
Etendu de tout son long
Détendu et serein
Mais toujours à l’affût!
Mon sexe reclame
Ce que je n’ai plus la force
De lui offrir
Bien que tiraillée par le désir.
J’aspire au calme...
Au repos.
Il faut que cesse
La valse humide
Où Elle me transporte
Par un seul de ses mots...
Là je ne l’entends plus
Et pourtant
Sa voix est un tel appel
A mon exitation
Que, par simple imagination
Je monte...Ah!jusqu’à la deraison.
Son souffle est tel...
Son souffle est Elle
Provocation charnelle!
Et, bien que jamais
Elle ne m’ait touchée
Je me tords, et toute entière
La laisse entrer.

Il me faut dormir
Je le sais,
Mais chaque pensée
Malgrè moi à la "Petite Mort"
Risque de me mener
Si je ne me contrains pas
A garder les mains liées...
Mais si je ne me touche pas
Je meurs!


Elle est mon secret
Ses carresses juste fantasmées
Exitent mon corps brulant...
Mon secret virtuel
Est cette demoiselle
Et de moi Elle
Tire étire et revele
Un language sexuel
Elle sait etre crue, Elle!
Sa voix m’ensorcelle
Avec son timbre sexe Elle
Ecxelle
A me rendre folle d’Elle
Et je sais qu’Elle
Me laissera en sequelles
Des fantasmes en "bord d’Elle"
Et si j’ai des remords
Ils vont deja en s’en allant
Car c’est un peu plus fort
Que mes doigts je remords
En suppliant
Encore! Encore!

Elle rattrappe alors
Mes envies,
Les enduit de son corps
Et me les rend
Plus sensuelles encore.
C’est la que je sens
Qu’il me faut m’arretter
Si je ne veux me noyer
En inspirations osées
Car Laurinne
Ma muse
Divine
M’amuse!
Et Elle, mon secret
Fait qu’en moi il se créee
L’envie déjà de recommencer!"

...Et Alex
La main sur son sexe
S’apprete à jouir sans complexe
Sam 06 Nov 2004, 16:08 par ptite solo sur L'amour en vrac

You ain't the first, you've been the worst

Je n’avais pas encore écrit dans cette rubrique ...et bien voilà qui est fait...comme dirait didier barbelivien "à toutes les femmes que j’ai aimé avant....pom pom....pompom" grin bon allez la suite est moins drôle mais on s’accroche hein tsur


Eve et les autres

A réver, vous m’avez aidé
A murmurer, vous m’avez troublé
A écouter, vous m’avez initié
A aimer, vous m’avez résigné
A regretter, vous m’avez fragilisé
A oublier, vous m’avez apaisé
A pleurer, vous m’avez forcé
A un autre ...vous m’avez préféré

Vos influences, vous m’avez réveillé
Vos évidences, vous m’avez subjugué
Vos impertinences, vous m’avez agacé
Vos apparences, vous m’avez trompé
Vos différences, vous m’avez charmé
Vos confidences, vous m’avez livré
Vos défaillances, vous m’avez avoué
Vos absences ....vous m’avez blessé

Ma méfiance, vous avez dépassée
Ma peur, vous avez combattue
Ma présence, vous avez appréciée
Ma douleur, vous avez soignée
Ma confiance, vous avez obtenue
Mon coeur, vous avez décroché
Mon innocence, vous avez enterré
Mon bonheur ...vous n’obtiendrez jamais

De la vie, vous m’avez tout appris
Du respect? vous le méritez
De la tendresse ? voulez vous que je vous blesse ?
De l’amitié ? offrez-moi votre complicité !
De l’amour ? je fuis et crie au secours
De la passion, vous vouloir à la
De l’amertume, jusqu’à ce que je me consume
De la fidélité ...tout ça pourrait durer
Mar 20 Jan 2004, 09:51 par la_tulipe_noire sur L'amour en vrac
Page 1 sur 1

Ecrire sur déraison

Ecrire sur déraison Tchat, Et tu me demandes qui je suis ?, Je ne goûterai plus de ta vie, Mon âme et mon toi, Faire l'amour avec l'éternité, songe d'une nuit, Un..., Pardon..., L'amour, encore., Mon amante virtuelle, You ain't the first, you've been the worst,
Il y a 11 textes utilisant le mot déraison. Ces pages présentent les textes correspondant.

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La citation d'amour

Qui t'aime te fait pleurer ; qui te hait te fait rire.

Proverbe espagnol.

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