Ces douces plumes

Ce matin a fleuri
De plumes
Pour achever le nid
Où mon sentiment fleuri

comme tes lèvres
Qui ruisselaient
D’un désir brûlant
Elles jouaient
Avec mon souffle

Tout le jour
Ces plumes
M’ont caressée
J’ai frissonné
Sous mon corsage

Et ce soir
Je suis trop sage
Ma main fébrile
Aimerait caresser
Sous ta chemise glisser...

Ce matin a fleuri
De plumes
Qui caressent mon envie
Mais je n’ai que ma plume
Ce soir pour l’Amour
Crier...Crier...crier....


Sarah
Mer 11 Avril 2012, 20:33 par Sarah1 sur L'amour en vrac

Gourmandise (des maux d'amour conjugués)

Sur ton visage, un air complètement réjoui
À l’idée que tu te fais de l’agréable découverte
Ta bouche impatiente légèrement entrouverte
Des lèvres , telles pulpe d’un fruit
Forment un sourire étrange qui attend....
Belles, telles des orchidées rouges et charnues,
Exquises messagères des promesses convenues
Entre deux tendres amants passionnés
Comme un bonbon au curieux goût acidulé
Dont on aime pourtant la singulière saveur ingrate
Délicieusement humide et particulièrement délicate,
La sucrerie de cette bouche pulpeuse te tente...
Comme un aimant dont tu ne peux maîtriser l’effet
Tu ne sauras résister longtemps à son attrait

Un fougueux baiser tu poses
Plein d’amoureux sentiment
Et plus loin encore tu oses...
Tu recherches le "craquant" !
Les yeux fermés pour mieux savourer;
Le fondant sous les tours, et contours.
Ta langue s’est attardée sur tous les alentours;
Pour, le délice de cet instant, sublimer
Un baiser comme une douce friandise,
De mon corps, tel un gâteau, la cerise...
Tu cherches, trouves ou devines;
Caramel, vanille ou fraise des bois
Tu aimes ce petit goût de sucre en moi ;
Ta gourmandise divine. © Marilyn
[/b]
Jeu 23 Fév 2012, 15:06 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Effluves de confidences

Effluves de confidences


Une myriade de lettres, des milliers de sons
Des centaines de paroles, une cascade de mots
Un torrent de sensations déversant avec douceur
Les élans et les sentiments de mon cœur
Et voyageant jusqu’au contact de ton tympan
Venant acheminer tout au creux de ton oreille
Tout un monde d’intenses émotions
Que mon âme te chuchote avec ferveur

Voyage astral intemporel que je fais avec ma voix
à travers cet appel qui transporte ma passion jusqu’à toi
Caressant doucement le contour du lobe de tes oreilles
Te contant affectueusement monts et merveilles
Laissant dériver le sillage d’une agréable saveur groseille
Dans ce berceau qui accueille mes effusions confidentielles
Et se libère de tous ces tourments bien pesants
D’un cœur qui, tel un saule pleureur se confiera

Tel un petit oiseau perdu, elle écoute en silence
Ce flots de mots ininterrompu qui lui conte romance
Elle s’enivre voluptueusement de toute cette fragrance
Qui se déverse de ses paroles et denses
Et qui badigeonnent d’une douceur de miel
Ses épaules lourdes de trop d’absence
Elle sentira son doux parfum,et ses embruns
L’envelopper dans un doux cocon de tendres mots
Elle en oubliera ses ennuis et ses maux
Dans l’odeur douce d’un tendre bonbon pourpre
Jeu 03 Nov 2011, 20:37 par caressedesyeux sur Mille choses

Pensées

Mon amour, mon amant
Nous jouons un jeu dangereux, imprudent
Une erreur, nous y laisserons notre coeur
Profitons des moments de grand bonheur.

S’embrasser et oser se dire je t’aime
On fait l’amour, on se quitte quand même
Nouveau rendez-vous, on s’aime plus fort
Demain, je te laisserais à ton triste sort.

Sur cette terre, je voyagerai en pensant à toi
Images bercent mon coeur en émoi
Triste vie pour les femmes amoureuses
Qui vivent une liaison dangereuse.

Qu’elle excitation quand nos regards se croisent
Nos rencontres cachées ont la couleur turquoise
C’est toi, qui m’a fait découvrir l’amour volage
Celui que je préfère quand tu n’es pas sage.

Ch0c0latine
Jeu 27 Oct 2011, 09:16 par Ch0c0latine sur Les liaisons sulfureuses

Le baume cicatrisant


Venez près de moi, mon tendre ami,
Déposez votre tête au creux de mon épaule
Mon bras vous servant de douce étole
Entourant votre taille de sa vigueur
Vous entendrez les battements de mon cœur,
Vous chuchoter ces tendres réconforts...
Qui cicatriseront ces "plaies"
Enfermées dans votre âme
Apaisant ces angoisses
Qui parfois ressurgissent..
Ces démons,envahissants,et tourmenteurs
Que je chasserai, juste en posant mes mains
Sur ces blessures ouvertes
Qui te causent tant de chagrin

Elles te feront tant de bien...
Car je serai caresse,sur ces cicatrices
Qui sont invisibles ,
Qui sont indélébiles,
Comme d’autres sont volubiles ...
Je serai le baume réparateur
De ces maux qui causent pleurs
Telle une amie,...
Je les aromatiserai de saveurs miellés
Tel un pansement régénérant
Mar 27 Sep 2011, 20:21 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Quand une femme se fait chatte

Je me lave du bout des doigts
Une vraie toilette de chat
J’ai juste enlevé le bas
Et te voilà déjà en émoi
Je garde un petit haut
Car trop ne faut dévoiler
Sinon où serait le plaisir
Que tu prendrais à enlever
Pour le reste découvrir....

Je suis émoustillée, mon corps dénudé
Te rend, de désir, tout excité
Partager ce moment d’intimité
Est un rêve que j’ai souvent fait
J’ai fait couler doucement un bain
Le filet d’eau glisse sur mes seins
Toi qui remontes jusqu’à mes reins
Un massage vraiment divin

Des bulles de savon éclatent en mousse
Et toi tout heureux qui rit aux éclats
Des bulles de champagne se trémoussent
Parmi les galets aux senteurs de chocolat
Tu te régales de mon corps, me donnes envie
Tes caresses me mettent en appétit
De finir ce petit jeu amoureux dans un lit
Être à jamais ta petite chatte pour la vie


timide grin
Lun 15 Août 2011, 19:29 par caressedesyeux sur Mille choses

Loin de toi...

Je sens ta présence
Perçue en silence
Au creux de l’absence...
Images de vie,
Douces rêveries,
En gouttes de pluie...
Dim 07 Août 2011, 20:32 par poucinella sur Mille choses

Petit traité de vulgairisation scientifesse 2 ( fessebook)

1. La politique mon cul !
Ben oui! Qu’on le veuille ou non, ce n’est jamais qu’une histoire de fesses. Intéressons-nous d’abord à notre Président de la république. Pour que sa majorité de droite décolle, il faut bien qu’il joue un peu de la fesse. Aussi il caresse doucement la partie de gauche (dans le sens du poil) puis la soulève et " allume un pet "(à l’UMP), les idées n’étant pas que du vent, on sait comment polluer l’entendement de ses adversaires! En politique il est bon de protéger ses arrières. Un cul n’est jamais posé lourdement sur deux fesses quand il trône sur son siège. Un coup tu reposes sur la fesse de droite et demain prout!...le vent tourne à gauche. De ce fait, Il en va des idées qui fusent sur les deux bords de droite comme de gauche et il faut composer pour garder sa place bien au chaud. La démocratie en politique est un exutoire: c’est la chasse d’eau dans les toilettes pour montrer que l’on est propret sur soi. On fait mine de chasser les mauvaises odeurs mais " des mots crasses y " s’en balancent dans l’hémicycle de la cuvette. Les faux-culs sont nombreux, on en voit serrer les fesses, bien " centrés " assis sur leur banc. Pourtant ils ne sont jamais que des trous du cul qui viennent foutre la merde, pour parler poliment. D’autres faux-culs n’ont pas le courage de leur politique et ils font dans leur froc car pour aller de droite à gauche, tu passes irrémédiablement par le centre...
Mais regardons plus loin jusqu’en Europe maintenant. On constatera que l’air n’est guère mieux respirable: les " tire au cul " sont nombreux parmi les députés européens. Comme ils siègent à Bruxelles ils font choux gras et chacun apporte alors... sa petite commission!!!
Et le président du FMI, encore une histoire de fesse puisqu’il a fourré sa main au panier!
Mais alors me direz-vous une idée saine en politique c’est quoi? Ben, de fesse sûre c’est beau comme un clair de pleine lune. Une vérité qui luit et ne " nuit " à personne en faisant tache à l’obscurantisme!

2. Septembre c’est la saison des vendages. En " nœud-ô-lofesse " (on parle aussi de nœud-au-logis) ]on sait qu’il faut des grappes bien mûres et un cep bien ferme pour tirer le bon jus. Pour cela il doit bien entendu pousser sur de jolis coteaux inclinés. L’excellence de " chattes’ eaux "qui plus est dans le " mille s’y met " requiert un savoir-faire et pour tester le produit, tout l’art est de rouler dans son palais le breuvage pour en apprécier au mieux ses saveurs. Il faut alors le garder un certain temps en bouche, jouer des papilles avec sa langue et inspirer par le nez pour évaluer son bouquet avant de le recracher ou l’avaler....
Ah! Que vivement novembre quand coulera à flot le " Beau jeune lait " nouveau. Je me demande bien quel petit goût il aura: sera-ce la framboise, la fraise ou la banane?

3. Et la lumière déchue!
Aujourd’hui je suis nostalgique. J’ai le nez au plafond où pendouille une ampoule basse consommation. Si j’en juge par son éclat, elle porte bien son nom!...ça ressemble à rien, pas même à une bite. Nos vieilles ampoules avaient l’avantage d’être profilées comme un cul et montraient fière allure. Tout y préfigurait, passant du gaz inerte jusqu’au petit filament qui dessinait l’entre cuisse en son delta fuyant. Quand le flux électrique le portait à incandescence, il chauffait le cul de l’ampoule. Alors comme une sainte divinité, on la voyait s’auréoler dans un halo de lumière. C’était de l’amour en poésie et en réminiscence à ce " Beau derrière en l’air " je clame haut ses " verres "....

" Mon ange, mon cœur! Songe de douceur,
Nous vibrerons plus ensemble.
Là! Tout n’est plus qu’ordre sans beauté,
Lux?...certes! Mais sans âme ni volupté! "

C’est ce qu’on appelle la versification ampoulée.

4. En entomolofesse (et non en entr’mollofesse qui en vertu de la fesse concède vous le conviendrez à la vulgarité et non à la vulgairistion) donc en entomolofesse dis-je, il est un spécimen remarquable et ô combien intéressant: la coccyxfesse appelée encore " la fesse à bon Dieu "; car plaise à Dieu, nulle fesse pareille est si joliment rosée et potelée. Et ce qui la caractérise en dehors de sa pigmentation surprenante c’est ses grains de beauté épars en gros points noirs. La coccyxfesse n’est pas nuisible à l’homme, bien au contraire, elle s’accommode à tous les biotypes, jouant même le rôle d’insecticide naturel. Capable à elle seule d’avaler tous les vilains morpions indésirables qui " la bite " en son séant. L’heureux chanceux qui approcherait la coccyxfesse, naturaliste mordu dans le bon sens du terme, ne pourra que s’émerveiller au froissement de ses rondes parties. Et, si peu qu’elle daigne s’ouvrir, alors il vivra le vol nuptial car foi de coccyxfesse on sait de source sûre que: le " col obtempère " si aux fesses tu portes " bon heurt "!....

5. En scientifesse, il est un phénomène remarquable l’acoufesse. Rien à voir avec l’acouphène qui est cette sensation désagréable quand ça vous siffle dans les oreilles. Ici, ce serait plutôt lorsque l’on vous siffle dans le cul que ça vous cogne dans les fesses!

6. En spéléofesse, dans les substructions intra-utérine, la concrétion clitoridienne est excitée par l’inoculation du corps caverneux qui n’est autre que la " staillabite ": nom scientifesse pour bien le différencier de la stalactite et de la stalagmite car un coup il monte et un coup il descend!

7. En soufflerie aérodynamique, la fesse réagit comme une voile en vent arrière. Elle est d’autant mieux rebondie si on y va " gréement " sur la mâture! Dans le cas contraire, la fesse est plate. Elle fasèye le long du mat. Résultat, la propulsion est poussive. Il faut alors jouer de la godille avec souplesse dans le poignet pour activer le train arrière!

8. En électricité, la fesse produit deux sortes de courant:
- Le courant électrostatique: créer par frottement à l’aide d’un bâton sur le tissu plastico-fessier. Un frissonnement électro sensoriel se propage alors sur tout le corps.
- le courant électrochimique: créé par électrolyse, le bâton joue ici le rôle de cathode. Trempé dans le récipient fessier, en milieu " à-queue ", il fait naître par électrochoc un plaisir jouissif. Comme toujours quand lui fait le moins (il en n’a que foutre) la fesse fait le plus avec l’anode. Pas si anodine pour autant quand on pense que son côté pile lui permettra de recharger son « à-cul ».Quand la fesse est rebondie, on parle de pile « dure-à-selle » (l’effet de charge dure plus longtemps.

9. Parlons du programme scientifesse de " rase-muse ". C’est en quelque sorte l’idylle des jeunes pour vivre l’amour à " l’heure hop! ". Le jouvenceau ou jouvencelle en quête de cet amour sans frontière devra d’abord faire table rase de ses peurs sur le " pue-bien "; viendra ensuite l’enseignement de l’art au plaisir qui est de caresser sa " muse " sans avoir un poil dans la main!

10. Intéressons-nous un peu à l’airbag comme dispositif de sécurifesse. Au-delà de son incontestable effet pare-chocs, il serait prétentieux de croire que chez la femme il est plus développé seulement pour absorber les secousses du mâle en rut. Le malheureux, s’il savait, est bien souvent en-deçà de nos espérances et c’est à peine si la culbute nous ébranle! Plus sérieusement, il y a deux raisons essentielles à ce gonflement de l’airbag fessier. La première, c’est qu’il joue un rôle réparateur pour la future femme enceinte. Il rétablit son centre de gravité vers l’arrière pour une marche plus sûre et l’aide à compenser son balancement vers l’avant suite à son gros ventre. De plus, il sert d’amortisseur à d’éventuelles chutes. Mais la deuxième raison que l’on ignore c’est que toute femme, susceptible d’être un jour plaquée par son mec, si elle se relève non sans mal psychologiquement, sera toujours bien prémunie physiquement quand bien même la malheureuse en tomberait sur son cul. Comme quoi la nature est bien faîte !

11. le trou du cul se refermera-t-il un jour ?
Ici les gaz CFC (chlorofluorocarbone) ne sont pas les responsables du trou dont il est question qui, s’il doit se refermer un jour, se fera plutôt par absence de gaz. Oh ! Comme la vie sera moins « gay » pour certains. Triste aussi pour les autres, la vie de « fessoyeur »étant à proscrire par la perte du trou, ils devront se rabattre sur une vie plus « con-sensuelle ».Bien sûr, il y a du bon quand on pense que tous les « trou-balourds »ne seront plus à la fête. Reste un chant d’amour à réinventer pour autres poètes « trou-vers ». Une chose est certaine cependant, les petits trous du cul ne pulluleront plus à la surface de la terre et, par là même, ne pollueront plus notre existence. Il fera alors bon vivre le renouveau de la musique dans l’Art de faire du vent. Réentendre les violons des amours sous la main caressante de l’homme qui fait vibrer son âme. Car comme l’écrit Simon Leys en citant un personnage de Mario Vargas Llosa : « la vie n’est jamais qu’une tornade de merde dans laquelle l’Art demeure notre seul parapluie ! »

12. Du cerveau à la fesse et vice versa.
La fesse et le cerveau présentent des similitudes physiques. Deux lobes et un sillon qui les séparent. La tête contient le cerveau et le cul le muscle fessier, cependant les deux parties sont interchangeables. On connaît par exemple l’expression « avoir la tête dans le cul » ou « un cul à la place du cerveau ». Sans compter que l’on peut tomber sur le cul comme sur la tête et aussi se renverser le cul par-dessus tête. On voit alors comment ils sont complémentaires. De même quand il arrive à l’un de péter plus haut que son cul, il peut arriver à l’autre de péter un plomb. La complémentarité s’explique par le fait que si le premier ne manque pas d’air, le deuxième joint son « cervo-lant » pour tirer les ficelles.
Une chose établie, c’est que le cerveau reste en haut mais il est moins bien irrigué que les fesses situées en bas ; si tant que parfois se produit des fuites qui ne sont pas assimilables aux fuites de cerveaux. Toutefois une mauvaise irrigation du cerveau et c’est le trou noir qui se différencie de la fesse ; car si l’un induit l’AVC l’autre conduit aux WC… ce qui n’est pas tout à fait pareil !
Il existe aussi des zones du langage du cerveau, itou chez la fesse. Enfin, le cerveau est l’organe central de l’endocrinologie. Pour la fesse, c’est quand l’organe est centré dans le dos que l’on crie et l’on jouit.
Outre ces rapprochements, le cerveau et la fesse divergent aussi dans leur fonctionnalité.
Exemple : 1. Quand le cerveau se fait siège de la pensée. On dit parfois que l’on est dans la lune. C’est tout différent si aux fesses tu ressens un mal de « panse, et » hop ! Tu files au siège mais sur la lunette ! On comprend que l’approche métaphysique n’est pas la même.
2. On parle aussi du cerveau pour son effet placébo. Rien de tel pour la fesse qui, quand elle est plate, n’est jamais belle.

13. Vous avez tous entendu parler du pendule de « faux-cul ». Un brillant physicien a prouvé que le cul n’était pas une masse inerte mais bien un organe animé. Il vérifia ses dires en promenant un petit pendule au-dessus d’un faux-cul qui reproduisait un mouvement de vague en ondoyant sur deux belles fesses en gélatine. Il remarqua aussitôt l’oscillation du pendule. Conformément au principe d’inertie stipulant que le mouvement des objets est figé si aucune force s’exerce sur eux, l’expérimentation du pendule vérifia que la rotondité des fesses et ses fluctuations épidermiques exerçaient un réel pouvoir d’attraction, susceptibles de réveiller la flexion périodique d’un pendule. Attention ! Le pendule de « faux-cul » dont je vous parle ne se trouve pas au Panthéon mais bien dans le pantalon !

14. Un autre génie en physique, c’est Einstein avec sa célèbre équation sur la relativité E=mc2. Mais en vérité, cette formule lui fut inspirée par une belle paire de fesses. Eh oui !c’est dans un état de relativité somme toute foudroyante surgit par réaction de « fession »(le passage d’une beauté sculpturale et inattendue de fesses entraîne la réaction en chaîne atonique) que c’est manifesté sa torpeur soudaine, accompagnée d’une chaleur intense fusionnelle sur tout son corps et l’extinction soudaine de sa voix suivie d’une formidable envie de niquer : c’est l’action atonique ! Dans cette subite exaltation, le physicien balbutia alors son fameux E=mc2, qui décrypté dans sa formulation mathématique n’est autre qu’une élucubration astronomique signifiant. Einstein(E) aime(m) c’est deux(C2), en rapport bien sûr avec les voluptueuses fesses !...

15. Révélations symptomatiques inavouées sur la propagation du virus de la grippe A (grippe porcine) :
Les messages de prévention pour se prémunir contre le virus de la grippe A sont légions en ce moment. Il ne faut pas éternuer, se moucher de préférence dans un mouchoir en papier et veiller à bien le jeter à la poubelle en se lavant les mains après pour ne pas contracter le virus. Mais ce que l’on ne vous a pas dit, c’est que le virus est transmissible surtout par le pet ! Sans qu’il soit mentionné de rapports plus approfondis en scatolofesse, on a vérifié tout de même que, si un malade vous mitraille de la fesse, il lâche du « H1N1 ». C’est-à-dire en clair qu’il lâche une à une sa caisse. Sachant que le virus est très volatil, le port du masque à gaz homologué (voir mes phots pour plus de détails) est plus qu’indispensable : le porteur du virus étant malgré lui un vieux porc, le malheureux pète plus que de raison ! Alors un bon conseil, pour échapper à la pandémie porter le masque et tenez-vous à l’écart de toute pétarade intempestive. Défiez-vous aussi du partenaire un peu trop discret qui étoufferait son dégazage. Il y a un vieux truc pour le démasquer : le goret a forcément les fesses bien roses et comble de ridicule… il a la queue en tire-bouchon !

16. En historiofesse, on se doit de «comm’amore » la chute du « gland mûr » (prendre l’accent de Salvador Dali). Quand, de part et d’autre de la porte de « Branle-bourre », seul passage ouvert mais bien gardé, il s’érige toujours et encore sans jamais réussir à percer le « raie-dos »de deux fesses hystériques qui, « guère froides », n’en demeurent pas moins symboles d’ouverture et de pets !...

17. En économico-scientifesse, il faut se référer à l’illustre " Montes-coït " qui dans son livre " l’esprit de bon aloi " insistait sur les pratiques aux mœurs pour faciliter les échanges; insistant sur la valeur du billet doux ainsi que le côté " monnaie taire " pour jouer de la fesse et boursicoter malin.

18. En glaciolofesse, on note un phénomène qui est contraire à la glaciologie. En effet, si on prélève une carotte glaciaire, la plus vieille qui soit, un phénomène remarquable peut se produire si on ne prend pas toutes les précautions : à savoir qu’elle est susceptible de s’enflammer à l’air libre par la présence du méthane avec l’oxygène! Or, en glaciolofesse, c’est aussi une vulgaire affaire de carotte. Les femmes, on le sait, ont généralement les pieds glacés ; les fesses moins. Mais le mécanisme de glaciologie est inversé ici en ce sens que c’est seulement si on vient à lui plonger une jolie carotte, qu’elle sentira monter le feu aux fesses ! A-postériori, on peut rapprocher à cette observation, la réaction de « cri-au-logis ». Elle intervient à chaud et, n’a rien de commun avec la cryologie qui elle se produit à froid.
Lun 04 Juil 2011, 19:25 par Fessue de Naz'arête sur Articles

Encore, ou quand l'amitié évolue.

Tembrasser encore. Ne jamais s’arrêter. Menfoncer sur tes lèvres tendres et . Membarquer avec toi dans ces moments privilégies. Sentir ta bienveillante main dans ma nuque. Qui fouille mes cheveux. Être au cœur de ta générosité. Encore. Longtemps. Notre espace temps a nous. Un jardin qui fleurit toujours un peu plus mes nuits. Un jardin qui bénéficie de la beauté du secret, de l’ombre du qu’en dira t on. La fluidité , la pudeur dans laquelle nous nous prions de nous aimer manque au plus grand nombre. A tâtons nous effleurons l’envie de l’autre. Nos tâtonnements saffirment. S’unissent. Le contact de ma peau avec la tienne. La plus banale parcelle de peau devient une promesse. Un chant. Une alliée. Une amie. Une amante. Tes soupirs se fondent au rythme de nos corps. Tandis que sur ton cou je dépose le souffle de lerotisme. Encore.  
Dim 03 Juil 2011, 15:27 par Colombine sur Les liaisons sulfureuses

Sentiment d'un coup de foudre

J’ai comme une envie de poser ma vie sur le confort de ses lèvres. Ces lèvres, qui, un peu humide, rafraîchiraient mon existence si sèche et sans saveur. Si seulement, elle pouvait savoir ce que je ressens à son égard. Une certitude, une confiance inouïe. Ce genre d’Amour que rien ne corrompt. En un seul regard, elle m’a transpercé le cœur. Elle a su mettre toute ma vision sinistre de l’Amour en un avis contraire. En un seul mouvement de cette femme, j’ai eu le cœur étoilé. Tel une nuit magnifique. Je ne l’ai ni touchée, ni sentie. Je ne l’ai pas approchée pourtant je me sens si proche d’elle. Elle est belle, faites de courbes sensuelles et d’une classe inébranlable. Cette inconnue, me fait vivre dans mes battements de cœur. Ce que je n’ai pas pu faire depuis des années déjà. Ce coup de foudre m’a fait comprendre que : " L’amour, existe vraiment". Tous ces coups de tonnerre au creux de mon Âme viennent de me mettre au courant. Je crois que je l’aime déjà trop, pour prétendre pouvoir l’aimer plus encore. Pas besoin de connaître pour aimer. L’amour n’est pas du Savoir. L’amour est un ressenti. On le perçoit. Face à elle qui s’éloigne dans la rue d’à côté, je l’ai compris ! Je la retrouverai, Elle seule m’a permis en 2 secondes de ne pas me perdre pour l’Éternité. "Je la veux, elle m’aura", se disait-il.
Ven 24 Juin 2011, 10:43 par Authentik sur L'amour en vrac

Une femme ,un homme

Il venait du sud,elle du nord. Ils s’étaient donnés rendez-vous ,à une terrasse fleuries, où les chèvrefeuilles embaumaient, le quartier...Un fameux "gouter" les attendaient. De part sa notoriété, cette pâtisserie valait les autres, mais il y avait de délicieux chocolats chauds, dont ils se gardaient bien de la divulguer la recette. Une touche de cannelle, aux puissants arôme d’un chocolat brésilien, et de merveilleuses mignardises accompagnaient ce breuvage si onctueux. Ils allaient enfin se voir, pour la première fois.
Leur yeux pétillants, leurs sourires, comme si ils se connaissaient depuis toujours...
A se demander lequel allait commencer la conversation, car troublés, ils l’étaient. Elle rougissait, et lui n’osait pas trop la regarder de face. Elle le trouva "captivant" par sa gentillesse, son humour et son bel esprit. Il la trouva charmante, pleine d’esprit, belle, avec cette fragilité qui le bouleversa. Un petit grain de folie vivifiant le charmait. Il aimait aussi ces mimiques et remarquait ses rides d’expression, ses taches de rousseur, et surtout son grain de beauté au coin de sa lèvre. Elle avait souligné ses paupières d’un trait, et mit sur sa bouche un gloss. Elle portait quelque chose de " frais". Il devinait, qu’elle avait bon goût par sa façon de s’habiller et de se mouvoir...
La confiance s’installa tout naturellement. Il y avait de belles choses qui commençaient à germer dans son esprit. Quant à elle, elle imaginait les mêmes choses. C’était une puissante attirance, et leurs corps étaient à fleur de peau...
Il lui proposa une ballade, en lui demandant sa main, ce qu’elle accepta. Puis il osa caresser avec son pouce, son poignet, mais elle ne disait rien, et pour lui, c"était un signe révélateur. Elle aimait cela et l’encourageait à continuer. Ils arrivèrent devant un beau bâtiment, un hôtel très réputé. Ils se regardèrent en ayant la même idée, et la même soif intense qui les poussaient vers l’entrée....
Ils explorèrent, avec une frénésie inhabituelle, les lieux, et décidèrent finalement de prendre un bain.
Pudiques, et respectueux, malgré tout il lui permit de monter la première ,en mettant une main sur ses yeux.
Elle entra dans cette mousse onctueuse, puis a son tour; il y "pénétra"...
Leurs corps s’approchèrent, et il commença, avec sa main, à lui prodiguer de caresses, tout en la lavant.
Elle commença a gémir. Il descendit dans le trésor de sa moiteur, en "titillant son pistil rose, et gonflée.
Il haletait si fort, que son ardeur se fit sentir. Elle osa y mettre sa main, et l’entourant avec délicatesse, elle commença des va et vient...
Puis il la prit soudainement dans ses bras, et l’emmena sur le lit. Elle décida de prendre l’initiative, d’un sourire coquin, et très sure d’elle. Un foulard attaché autour de ses yeux, puis improvisant, elle trouva quelque chose qui servirait d’un doux lien à attacher ses poignets, afin qu’il soit dans l’incapacité de faire quoi que ce soit.
Il commença à aimer ce petit jeu, très doux, très subtil de part ses effleurages de baisers sur tout son corps,
et sentir sa langue chaude, s’insérer dans les moindres recoins. Elle joua très longtemps, en prenant bien soin de ne rien oublier. En le "mordant", léchant, caressant.... la jouissance n’était pas loin.
Puis elle "s"empala" dessus, et ondula de ses belles hanches dans des mouvements tantôt lents, tantôt rapides...!e déferlement d’un puissant raz de marée les secoua tout les deux, et leurs corps se lâchèrent subitement...
Elle avait encore cette fièvre. L’embrasser encore et encore et il était bouleversé de voir ce "petit" bout de femme avec cette fièvre de tendresse et d’affection, à son égard. Ce besoin intense, que cela ne se termine pas.
Mais ils savaient qu’ils en passeraient fatalement par là...La séparation fut-elle douloureuse pour elle comme pour lui, même si ils n’en parlaient pas? Un dernier regard chargé d’amour, un baiser torride, et elle disparut .
Mer 16 Fév 2011, 20:15 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

Gourmandise

Sur ta bouche entrouverte
Un sourire dérange attend....
Lèvres , pulpe de fruit
Charnue et rouge,
Comme un bonbon acidulé et humide, délicat, la sucrerie te tente....
Un baiser tu as posé
Plus loin tu oses.... tu cherches le "craquant".
Les yeux fermés pour mieux savourer.
Ta langue s’est attardée sur tous les alentours
Le fondant sous les tours, et contours.
Tu cherches et devines
Caramel, ou fraise des bois
J’aime le gout de toi.
Un baiser comme une friandise,
Une cerise sous le chapeau,
La guimauve rose de notre soirée. caressedesyeux
Sam 15 Jan 2011, 09:31 par caressedesyeux sur Mille choses

Amour fou

Sombrer dans la folie ? je le pourrais sans aucun doute. Je passerais mon temps à errer dans la ville ou la forêt, passant d’un monde à l’autre. Les arbres me caresseraient de leurs feuilles commes des plumes, le béton m’asborberait pour me lover dans les entrailles de la terre, et les écureuils me conteraient des histoires fantastiques dont eux seuls auraient le secret.
Ah ce que j’aimerais être folle et ne plus me soucier de ce monde oppressant, sans cesse dans la demande d’une perfection futile dénuée de charme. C’est dans les défauts et les différences que l’on devient productif, puisqu’il s’agit là de "gommer" en nous ce qui dérangerait l’autre, afin d’être apprécié de lui. Ou alors, au contraire, assumer sa différence pour s’affirmer et se démarquer.
Sornettes que tout cela ! Heureux le simple d’esprit qui s’émerveille en regardant ses doigts, persuadé qu’il converse avec son meilleur ami à propos d’extraordirnaires théories visant à un monde meilleur.
La limite entre la folie et la normalité n’est pas grande et son équilibre ne tient qu’à un fil. On pourrait croire certains fous normaux et l’on passe son temps à rencontrer des gens normaux complètement fous. Qu’importe ! On ne cautionne ni l’un ni l’autre. Le fou est surement plus à même que nous, d’accepter l’autre tel qu’il est. Notre état de conscience se démélant sans cesse du bien et du mal, de l’amour et de la haine, fait de nous des êtres de jugement complètement inconscients. Le fou lui, ne se posera pas la question.
La folie n’empêche pas la souffrance bien au contraire, puisque c’est bien cela que les soignants passent leur temps à combattre. Mais peut être l’aténue t’elle ou lui donne t’elle un tout autre sens dans ce monde spécial sans limite.
J’aimerais pouvoir franchir cette barrière qui nous sépare injustement et te regarder avec les yeux d’un fou.
Dim 09 Jan 2011, 00:22 par Atina sur L'amour en vrac

Gourmandise

Sur ta bouche entrouverte
Un sourire dérange attend....
Lèvres , pulpe de fruit
Charnue et rouge,
Comme un bonbon acidulé et humide, délicat, la sucrerie te tente....
Un baiser tu as posé.
Plus loin tu oses, tu cherches le "craquant".
Les yeux fermés pour mieux savourer.
Ta langue s’est attardée sur tout les alentours.
Le fondant sous les tours, et contours.
Tu cherches et devines
Caramel, ou fraise des bois
J’aime le gout de toi.
Un baiser comme une friandise,
Une cerise sous le chapeau,
La guimauve rose de notre soirée. caressedesyeux
Jeu 06 Jan 2011, 19:24 par caressedesyeux sur Mille choses

Une mise en bouche

Une exquise femme,
A la peau diaphane.
Peau de pêche velouté
Peau de pêche à croquer..............
Deux mirabelles fermes et juteuses à souhait
pour des palais
Au gout de fruit sucrés
"Éplucher" ce qui lui reste
Et lui prodiguer de caresses.
La garder un moment dans ses mains
Et en faire de tendre jeu coquin.....................

CARESSEDESYEUX
Jeu 01 Avril 2010, 14:23 par caressedesyeux sur Mille choses
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La citation d'amour

Qui t'aime te fait pleurer ; qui te hait te fait rire.

Proverbe espagnol.

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