Délivrance( suite du texte je m'en vais)

Enfin la mort est venue me chercher; Un 23 décembre, 2015, au petit matin Mais avant, elle m’a fait un cadeau M’a montré, comme un film au ralenti Mon enfance, entourée de ma mère, mon père, et mes trois frères. Les rires, les nombreux Noëls, les vacances au soleil, à la neige Puis à 16 ans, ou je suis partis en Inde Et les autres voyages que j’ai faits... Puis, les sorties avec les plus belles filles À boire, à fumer, à séduire... à coucher... Mon fils qui a aujourd’hui 23 ans D’une première union Ma fille qui a aujourd’hui 16 ans D’une deuxième union Et qui continue sa vie auprès de sa mère... Ma foi, j’ai eu une enfance heureuse; Une adolescence, pleine de rebondissement Une vie d’adulte avec ses hauts comme ses bas! Mais je serais toujours là! dans le coeur et l’esprit de ma famille Et de mes amis... La mort est enfin venue me libérer Tel un pansement cicatrisant mes ... Je n’ai plus peur... De mourir... Je vous aime tant aussi....

caressedesyeux
Mer 11 Déc 2019, 14:29 par caressedesyeux sur Mille choses

Je rêve

Je rêve, je rêve d’être sous un ciel étoilé, pour déserter mes chagrins, mes peines, mes , je suis certaine que les étoiles seront un baume pour mon cœur amorcé.
Et mes sens succombent.
- le silence m’accompagna,
une légère brise souffla alors,
faisant virevolter mes cheveux
- et m’imprégna de cette odeur de quiétude,
-Le ciel m’ouvre ses bras et me cueille.
Je caresse du bout de mes doigts fins ce souvenir, une chose qui me ramène sans cesse à cette accablante réalité et m’arrache à ma rêverie,
- Mais Sirius est là, dominante avec sa lumière, qui m’éclaire, me donnant espoir et vie.
Je souris, mon cœur s’enflamme, s’anime sous ce ciel étoilé.
Et j’ai su que je connus une certaine petite éternité.


© K.S
Lun 09 Mai 2016, 21:22 par Iona sur L'amour en vrac

Délivrance



Délivrance...

Enfin la mort est venue me chercher;
Un 23 décembre, 2015, au petit matin
Mais avant, elle m’a fait un cadeau
M’a montré, comme un film au ralenti
Mon enfance, entourée de ma mère, mon père, et mes trois frères.
Les rires, les nombreux Noëls, les vacances au soleil, à la neige
Puis à 16 ans, ou je suis partis en Inde
Et les autres voyages que j’ai faits...
Puis, les sorties avec les plus belles filles
À boire, à fumer, à séduire... à coucher...
Mon fils qui a aujourd’hui 23 ans
D’une première union
Ma fille qui a aujourd’hui 16 ans
D’une deuxième union
Et qui continue sa vie auprès de sa mère...
Ma foi, j’ai eu une enfance heureuse;
Une adolescence, pleine de rebondissement
Une vie d’adulte avec ses hauts comme ses bas!
Mais je serais toujours là! dans le cœur et l’esprit de ma famille
Et de mes amis...
La mort est enfin venue me libérer
Tel un pansement cicatrisant mes ...
Je n’ai plus peur... De mourir...
Je vous aime tant aussi....
Jeu 24 Déc 2015, 11:47 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

L'amour est-il un crime ? chapitre 5

Eh bien, bonjour à tous, me voila avec le chapitre 5, j’espère que cela vous plaira ^^ et merci à inlove ton dernier commentaire ma beaucoup touché merci :)

Chapitre 5 : Un anniversaire inoubliable

Point de vue Narrateur.

Point de vue Narrateur.

Depuis que le devoir de l’exposé est passé une semaine venais de s’écouler et les vacance de la Toussain est enfin arrivé. Aujourd’hui nous sommes le 21 octobre, jour ou notre petite Michi passe dans la cour des grands. Nous nous retrouvons devant l’appartement d’Haruka, et si nous tendions un peut plus l’oreille, on pouvais entendre du bruit.

Haruka – Michi, tu viens !
Michiru – oui oui j’arive.

Cette dernière après quelques minutes d’attente interminable celon Haruka fit enfin son entré devant les escaliers. La jeune femme blonde eu un tendre sourire en voyant sa cher et tendre habillé ainsi. Elle lui dis alors :


Haruka – je comprend mieux pourquoi tu mettait autant de temps … Alala je vous jure ses filles.
Michiru – dois-je te rappeller que tu en est une aussi !
Haruka – peut être, mais je ne passe pas des heures devant le miroir.
Michiru – c’est un peut normal, puisque toi, tu est belle au naturelle, tu n’as nulle besoin de rajouter des babioles car tu est déjà ravissante.

Haruka touché de ses propos monte les escaliers, et comme Michiru était toujours sous béquilles, elle la porta tel une princesse. Arrivé en-bas elle la dépose sur le sol, et la dévisage avec douceur.

Michiru bien que le temps se soit un peut rafraîchit, avait opté pour une jolie robe bleu vert, il y avait 4 petits boutons bleu marine sur le haut. Ses cheveux qui habituellement son lâchés sont retenue par une couette basse sur le côté gauche. Elle était vraiment très jolie aux yeux d’Haruka qui ne cesser de la dévorer du regard.

Haruka – tu est vraiment très jolie.
Michiru – merci !

Elle lui caresse sa joue, et la jeune femme blonde lui déposa un léger baiser. Un petit instant bien à elles, voilà maintenant 3 semaines qu’elle partagées leurs vies à deux, et elles étaient très épanouie ensemble.

Après ce petit échange, les deux jeunes femmes sortir de l’appartement.

Michiru – ah bonheur, je vais peut être me débarrasser de ses foutue béquilles.
Haruka – ah ah, mais sa dépendra de comment est ta hanche !
Michiru – Haru … Ne casse pas mon rêve !

Cette dernière ce met à rire, et toutes deux entames leur marche dans le long couloir de la résidence. Arrivé au bord de la première marche Haruka prit Michiru dans ses bras, et descend les quatre étages prudemment. Quand elle furent arrivées jusqu’au parking, la jeune blonde déverrouillé l’alarme, et ouvrant la porte passager posa sa jeune protégé sur le siège.

Michiru – merci !
Haruka – de rien chaton.

Elle lui dépose un léger baiser, et à son tour monte dans sa voiture. Allumant le conteur de cette dernière, Haruka fit une marche arrière, et partie enfin direction le médecin.

Point de vue Haruka.

Ah … Je me demande par quoi je vais commencer aujourd’hui, car étant donné que c’est son anniversaire, j’avais quelques surprises en réservation, mais je ne sais pas par laquel commencer.


Michiru – au faite Haru …
Moi – oui qui y’a t-il ?
Michiru – c’est quand que le directeur envoie nos bulletin de premier trimestre ?
Moi – dans la semaine qui va suivre tout au plus.
Michiru – eh bien, j’espère juste de ne pas encore avoir baisser de niveau !
Moi – comment sa baisser de niveau ?

Je fut surprise de ses mots car de toute la classe, elle est la meilleur, c’est elle qui tiens la meilleure moyenne et pas que dans mes cours.

Michiru – bah tu sais je n’aie jamais était supère forte en cour, je me rappelle encore se que sa donné au collège !
Moi – j’ai du mal à te croire, car ce n’aie pas du tout le cas depuis la rentrée.
Michiru – ah mais sa, c’est parce ce que j’ai un supère professeur !

Je me suis mise à sourire, et voulant jouer la curieuse je lui demande :

Moi – ah … Et comment est ce professeur si particulier ?

Je voie un petit sourire apparaître sur son visage, ses yeux fixent l’horizon et sa voix que j’aime tant entendre résonne.

Michiru – eh bien … Par ou commencer, il y a tellement de choses à dire sur ce professeur. Depuis ma rencontre avec elle, je ne sais pas, mais la vie est devenue nettement plus agréable, je l’admir beaucoup, et en plus d’être mon professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géo, elle est avant tout la femme que j’aime. Sans la regarder, je connais les moindre petites chose qui la rende si belle. De magnifique yeux vert émeraude, un regard qui m’envoûte à chaque fois, une chevelure doré, une taille fine et élancé, et puis elle a ce petit quelque chose qui m’attire encore plus que tout ses détails, son côté masculin que je trouve vraiment attirant, sa la rend si belle … Et en fin de compte, cette femme qui fait tant chavirer mon cœur à deux personnalité, en cour, c’est le professeur sur d’elle qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, alors qu’à la maison c’est tout autre, j’ai pue découvrir avec joie qu’elle était en fin de compte très douce, gentil, aimable et très câline, se que j’aprécie car étant moi même très câline, j’aime ses câlins, me retrouver dans ses bras tout contre elle et son cœur. Non vraiment ce professeur je l’aime et l’admir !

À plusieurs reprise mon cœur loupe plusieurs battements, je suis heureuse vraiment heureuse de constater qu’elle tiens autant à moi que moi je tiens à elle. Je m’arrête à un feu rouge, et vint lui prendre la main.

Moi – et ce professeur qu’est t-il ?
Michiru – elle est la moitié de mon cœur, et … Elle est ma partenaire, ma petite femme à moi.

Je sourit tendrement, et m’approche de son visage, je lui prend délicatement le menton, et lui caresse la joue.

Moi – je t’aime !
Michiru – moi aussi Haru je t’aime.

On se sourit, et pour quelques secondes nos lèvres s’unirent dans un doux et long baiser. Je sens sa main se poser sur ma cuisse, ses doigts caresse le fin tissu qui sépare ma peau. Sa langue qui se mêle tendrement à la mienne, c’est un véritable bonheur pour moi, c’est la première fois en 23 ans que je me sens véritablement aimé, et en 23 ans c’est la première fois que je suis autant amoureuse.

On se détachent doucement, et je vint faire frotter mon nez tendrement contre le sien. Elle avait le sourire, un sourire magnifique que j’aime et que je ne me lacerais jamais de regarder. Je lui embrasse le nez et lui murmure avant de reprendre la route :

Moi – quand arrêteras tu de me rendre folle ?
Michiru – folle ? Et de quoi ?
Moi – folle et éperdument amoureuse.
Michiru – je ne le fait pas exprès, mais toi aussi, tu me rend folle chaque jours, chaque minutes et chaque seconde … Ma douce et jolie blonde.

Je lui sourit, un sourire prête à m’en décrocher la mâchoire, je l’embrasse avec douceur, et repris la route direction le parking souterrain. Après quelques minutes de recherche, je rentre dans le parking, essayant de trouver une place.

Michiru- Haru, la tu en a une !

Elle me montre du doigt une place effectivement vide, je sourit et partit me garer.

Moi – merci princesse.

J’éteins le moteur, et sortie de la voiture, remetant ma chemise noire en place. Je me dirige vers la porte passager de Michi, ouvre cette dernière, et vint l’aider à sortir.

Michiru – merci.

Je ferme la porte, pose ses béquilles contre la Porshe, et vint l’enlacer tendrement dans mes bras. Ses bras s’allonge sur mes épaules, et ses mains se mettent à caresser ma nuque. Alors que les miennes descendait le long de son dos. Posant de tant à autre mes lèvres sur son cou.

Moi – quoiqu’il arrive promet moi une chose !
Michiru – tout se que tu veux.

Je lui soulève le menton et lui murmure en caressant sa joue :

Moi – promet moi, que … Que quoiqu’il advienne rien ne pourra se mettre entre nous Michi.
Michiru – je ne sais pas se que va nous reserver l’avenir, mais je te fais la promesse de te garder auprès de moi ma chérie et sa quoiqu’il arrive.
Moi – je t’aime.
Michiru – plus que tout !

Je lui sourit tendrement, et ses lèvres prirent possession des miennes. Ses mains se posent sur mes joues, et ses doigts me caresse. Je laisse mes mains crée une sensation de douceur sur son dos m’approchant doucement d’elle afin d’être serrer contre son cœur. A cet instant j’étais vraiment la plus heureuse.

Je me décolle doucement, écarte quelques mèches bleutée de ses yeux, et lui embrasse le nez. Je lui tend ses béquilles, et c’est en discutant que nous nous avançons vers la sortie du parking.

Michiru – rah lala, j’ai hâte de pouvoir quitter ses chose.
Moi – ah ah, tu est bien impatiente dis moi !
Michiru – oh mais tu c’est je peut me montrer très patiente et coopérente quand t-il le faut.
Moi – ah et dans quoi par exemple ?
Michiru – je c’est me montrer patiente lorsqu’il s’agit de construir un avenir à deux.

Je sourit, continuant de marcher, on prit l’assenceur, et une fois en-bas on se dirige vers le cabinet du médecin qui n’était plus très loin.

Moi – au faite Michi, tu as prit ton roman ?
Michiru – oui oui ne t’inquiète pas, bien que je me demande pourquoi !
Moi – tu verra bien.

Je lui fit un clin d’oeil, et une fois arriver au cabinet je pousse la porte et la laisse rentrer. Je passe à mon tour et parti m’asseoir sur une chaise juste à sa droite. Sa tête se pose sur mon épaule, et ma main prit la sienne. Nos doigts s’entrelacent automatiquement, et je vint lui caresser à l’aide de mon pouce.

Médecin – mademoiselle Kaio ?
Michiru – oui c’est moi !
Médecin – bonjour, vous venez ?

Je me lève, et suivit Michi à l’intérieur du bureau, j’allai prendre place sur une chaise à la gauche de ma douce, et le médecin ce mit à parler.

Médecin – alors comment te sent tu ?
Michiru – ben, nettement mieux, même si parfois j’ai des qui me lance !
Médecin – me permet tu que je jette un œil ?
Michiru – euh … Oui !
Médecin – suis moi alors.

Son regard se pose sur moi, je lui tapote le nez et lui fit un clin d’oeil. Elle parti donc derrière un rideau, et je vint attendre.

Médecin – ou mais c’est que sa c’est grandement améliorer, on ne voie quasiment plus rien. Donc je suggère que nous te retirons les béquilles.
Michiru – oh bonheur … Si vous savait comme je suis contente de me séparer de ses choses.
Médecin – ah ah, aller viens, je vais tout de même te préscrire une pomade qu’il faudra appliquer sur la cicatrice et sa pendant deux semaine tout les soir.
Michiru – d’accord !

Je la voie revenir, et elle reprend place, m’adressant un grand sourire signe qu’elle était heureuse et soulagé de se débarrasser des béquilles et cela me fait bien rire. Après que le médecin m’est remis l’ordonnance, je sort de mon sac mon porte feuille et en sort ma carte vital, ayant mis Michi dessus pour qu’elle soit couverte et qu’elle est droit aux soins depuis son accident. Je met la carte dans la machine et laissa cette dernière faire les manipulations.

Médecin – merci. Aller je vous liber !
Moi – merci docteur, au revoir !
Michiru – merci encore.
Médecin – mais je vous en prie. Passez une bonne journée mesdames !

Ah, je croix que c’est le premier à remarquer que je suis une femme, due à ma masculinité je suis souvent prise pour un homme.

Quand on fut dehors, je me tourne vers Michi qui souriait.


Michiru – ah … Bonheur je vais enfin pouvoir faire ce que j’avais envie de faire sans les béquilles.
Moi – ah, et quoi donc ?
Michiru – bah déjà pouvoir prendre la main de celle que j’aime sans difficulté !

Je sourit, elle est vraiment adorable. Je lui prend sa main, et ses doigts s’emmêlent avec les miens, je mit mes lunettes de soleil sur le nez, et commence à marcher avec elle. Librement comme un vrai couple.

Michiru – dis moi Haru, on pourrais passer à la banque ?
Moi – oui pas de souci trésor.

On se sourit, et parti direction la banque. Une fois arrivé devant cette dernière j’en profite pour sortir un peut de liquide car je compter bien lui faire quelques cadeaux. Bien que les deux premiers soit gros.

Je me dirige vers elle, et me place à ses côtés.


Michiru – excusez moi, j’aimerais savoir combien me reste t-il se ma carte.
Conseiller – oui bien sur mademoiselle, quel est votre nom ?
Michiru – Kaio !
Conseiller – un instant je vous prit.

Pendant que l’homme cherché les informations souhaiter par Michi, nos yeux se croisent, je lui écarte quelques mèches, et lui offre un doux sourire.

Conseiller – mademoiselle Kaio !
Michiru – oui ?
Conseiller – voilà vous disposé d’un total de 20 876 €.

C’est énorme, Michi n’a pas l’air surprise.

Michiru – et vous savez si mon compte est encore en suspension ? Sachant que je viens d’atteindre ma majorité.
Conseiller – non nous avons réussi à vous débloquer !
Michiru – je vous remercie, passé une bonne journée.
Conseiller – mais je vous en prit.

Et après sa, nous sortîmes de la banque. Je remis mes lunettes de soleil, prit sa main dans la mienne, et commence à marcher avec elle.

Michiru – eh bien, je n’aurais jamais crue posséder une tel sommes.
Moi – c’est tout de même énorme … et comment se fait t-il que tu en est accumulé autant ?
Michiru – en faite, ma mère avant sa mort vivez dans un milieu très aisé, c’est pour sa que mon père a tant voulu sa mort pour pouvoir récupérer ses biens pas la suite. Quand je me suis retrouvait en famille d’accueil cette dernière disant que j’étais trop jeune pour avoir une tel sommes à fermé mon compte. Mais bon maintenant que j’ai 18 ans, j’ai le droit d’y toucher !
Moi – je comprend mieux … Aller tu me suis ?
Michiru – où sa ?
Moi – ah ah.

Je lui sourit, et la traina avec moi jusqu’à un bâtiment qu’elle connaissait que trop bien. Arrivé devant ce dernier, Michi fut surprise, elle se tourne vers moi et dit :

Michiru – Haru mais pourquoi on est devant l’édition Tomoé ?
Moi – et si on entré ?
Michiru – d’accord !

Et après ses quelques mots, on entrâmes à l’intérieur de l’édition.

Point de vue Michiru.

Je me demande se qu’elle a en tête. Je m’approche, et voie un homme de vieil âge avec une femme assez grande, un tailleur noir et blanc la couvrait.

Monsieur Tomoé – ah vous devez être mademoiselle Tenoh et mademoiselle Kaio ?
Haruka – c’est exact, bonjour monsieur Tomoé ! Bonjour madame.
Madame Tomoé – bonjour, venez assayez-vous.

Sans que je ne comprenne la tournure des événement qui défilent devant mes yeux, je prend place sur une chaise, à la gauche de ma jolie blonde.

Monsieur T – alors qui est mademoiselle Kaio ?
Moi – euh … C’est moi monsieur.
Monsieur T – bonjour à toi, alors je supose que tu te demande se que tu fait ici !
Moi – oui !

L’homme me passe un calpin avec une feuille dessus. J’observe cette dernière et remarque que c’est un contrat … Un contrat ? Mais bien que je connaisse parfaitement cet édition, je n’aie jamais envoyer mon roman, du moins je n’ose pas l’envoyer de peur que cela ne soit pas à la hauteur de leur attentes. Je regarde Haruka qui me souriait tendrement. Ce pourrait t-il que …

Monsieur T – en fait ton ami nous a contacté il y a quelques semaines et nous a fait comprendre que tu aimer écrire, et que tu avait par la même occasion terminé ton roman …
Madame T – elle nous la envoyée par mail … Et sa nous a beaucoup plus. Donc si tu es d’accord, nous pouvons le publier. Et je serait ton agent.


Je … Je n’arrive pas à y croire. Je retiens mes larmes qui son prête à couler, je suis tellement heureuse, un bonheur immense m’enivre, et je regarde Haruka le sourire aux lèvres.


Moi – euh … Je ne sais pas quoi dire, sa fait longtemps que je rêve du jour ou je pourrais me faire connaître dans ce domaine, mais je suis encore lycéenne.
Monsieur T – oui nous le savons, et comme tout a déjà était réglé, nous avons réfléchit ma femme et moi afin de te construire un emploi du temps adapter à ton statut scolaire. Donc serait tu d’accord pour faire de ton roman une première parution ?
Moi – oui.

Dans peut de temps j’allais exploser de joie, c’est elle qui a fait sa pour moi, car elle c’est que c’est ma passion. Je retiens au maximum mes larmes qui me menace, Haruka ainsi que moi signons, car il ne faut pas oublier que c’est aussi ma tutrice.

Les minutes s’écoulent et après avoir sérieusement parlé de ce futur projet, Haru et moi sortons du bâtiment.


Je me tourne, et sauta littéralement dans ses bras, laissant mes larmes de bonheur couler.

Moi – oh merci … Merci beaucoup pour ce que tu viens de faire. Si tu savais à quel point je suis heureuse !
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !

J’arrive pas à le croire, c’est pour mon anniversaire qu’elle a fait sa. C’est le plus beau cadeaux que l’ont puisse me faire.

Moi – merci infiniment mon amour … Tu est vraiment génial.

Et sans me retenir je dépose mes lèvres sur les sienne. Heureuse et décidément éperdument amoureuse.

Point de vue Haruka.

Je suis vraiment heureuse, ma surprise la rendu heureuse, et sa me faisait beaucoup de bien, de la voir ainsi. Je lui caresse la joue et répond à son baiser . Tout se que je voulais c’est la voir heureuse et épanoui.

On se décolent doucement, et je lui écarte une mèche de ses yeux.


Moi – je suis heureuse que cela te plaise !
Michiru – merci beaucoup Haruka, tu viens de me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà !
Moi – contente de l’apprendre … Aller ont continue ?
Michiru – oui.

J’allonge mon bras droit sur ses épaule, alors que son bras gauche se pose sur mon dos. Nous continuons notre chemin, ignorant le regard des autres. Sa tête se pose sur mon épaule, et ses doigts se mirent à caresser ma hanche. On arrivent devant un magasin de vêtements féminin, Michi se tourne vers moi et me demande :

Michiru – dis Haru, on peut y aller ?
Moi – bien sur mon ange, aller je te suis.


Ses lèvres se pose sur ma joue, elle me sourit, et je la suivit à l’intérieur du petit commerce. Je la voie se diriger vers les robes, se qui me fait sourire. Alors qu’elle me fait signe qu’elle allait dans une cabine d’essayage. Je lui fit un clin d’oeil et me dirige vers un petit stand de bijou et fantaisie féminin. Je regarde et aperçut une paire de boucle d’oreille argenter en forme de goûte de pluie, accompagné de petits diamants plus brillant les uns que les autre. Je sourit et vint prendre le bijou en main.

Je sent soudain mon téléphone vibrer, je prend se dernier en main, et le déverrouille et consulte ma messagerie. C’est un message de Michi qui me demande de venir la voir. Je souris, range mon cellulaire dans la poche de mon pantalon noir, et me dirige vers le font, la ou se trouve les cabines.


Moi – je suis la Michi.

Je voie le rideau se tirer vers la gauche, et fut ébloui de la voir aussi jolie. La robe qu’elle portée est de couleur noire, il y avait un petit cœur ou l’ont pouvais voir sa peau, relié par une large ficelle noire au cou. Le contour du cœur est de couleur argenter.

Elle est tellement belle, elle fait plus femme dans cette robe et cela me fait encore plus chavirer.


Moi – tu est vraiment très belle dans cette robe Michi !
Michiru – c’est vrai ? Merci … C’est gentil. Donc allait je la prend.

Elle me sourit, et tire le rideau pour se couvrir afin de se changer. Je ne sais vraiment plus quoi dire … Tant de chose se sont passé depuis notre rencontre, et je voulais à tout prit la garder prêt de moi et pouvoir la chérir tendrement chaque jours.

Quelques petites minutes après, ma douce revint vers moi avec la robe noire, je lui prit, et vint saisir sa main.


Michiru – attend, j’ai vue des chaussures qui vont avec la robe !

Je sourit et la suivit à travers le magasin. Arriver prêt de ses fameuse chaussures, je jette un œil à ses dernière et effectivement elles étaient assortie à la robe, ouverte sur le dessus un fin talon et le contour de l’ouverture en argent.

Moi – quel pointure fais tu ?
Michiru – du 38.

Je me baisse, et chercha la taille 38. J’en trouve une, je vint doucement prendre le carton en faisant attention de ne pas faire tomber les autres. Je me tourne vers Michi, et ouvre le carton, prend une des paire, et vint lui prendre doucement le pied droit. Je lui retire sa ballerine, et lui passa la chaussure noire au pied. Je lève mes yeux vers elle et lui sourit tendrement.

Moi – comment tu te sent ?
Michiru – ça va oui, je ne suis pas sérré dedant !
Moi – dans ce cas.

Je remet la chaussure dans le carton, lui remis la balerine, me lève, prit sa main, et je nous dirige vers la caisse.

Moi – tu m’attend dehors ?
Michiru – mais Haru … Tu, tu en as déjà asse …
Moi – chuut … C’est ton anniversaire non ? Alors laisse moi te faire plaisir ma chérie d’accord ?
Michiru – tu est trop … C’est d’accord, je t’attend dehors.

Je lui tapote le nez, lui pose un délicat baiser, et la laissa filer. Je l’observe pendant quelques minutes, heureuse qu’elle soit devenue mienne qu’elle soit devenue … Ma petite femme à moi.

Quand ce fut mon tour, je passe les articles, et vint payer ce qu’il falait. Puis enfin je sorti avec une poche et les boucles d’oreilles que je garde en main. Arrivé à l’extérieur, je la vit en train de regarder le ciel. Je sourit, et me dirige vers elle.


Moi – c’est bon, je suis là !
Michiru – merci, tu est vraiment gentil, jusque là personne n’en avait fait autant pour moi !
Moi – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que je fait tout sa car …

Je vint la prendre dans mes bras, et dit en caressant sa joue :

Moi – pour toi rien n’est trop beau !
Michiru – je t’aime tu sais … Je t’aime de tout mon cœur.
Moi – moi aussi Michi je t’aime et te désir plus que tout.

Je la regarde dans les yeux et déposa mes lèvres sur les siennes, lui offrant un doux baiser. Ses mains se posent sur mes épaules, et les miennes reste sur ses joues. Mon cœur bat tellement fort … Je suis si heureuse.

Nos lèvres se détachent, et je la dévisage avec tendresse. Je prend les petite boucles, retire le plastique, enlève les attaches et vint doucement lui mettre les boucles. Je met les fermoirs pour ne pas qu’elle les perde. Je lui caresse la joue, et vint la prendre par les épaules. Sa main se place sur ma hanche gauche, et sa tête se pose sur mon épaule.


Michiru – merci …
Moi – ce n’aie rien, sa ma fait plaisir.

On se sourit, et nous continuâmes de marcher dans la rue marchande. Après quelques heures de promenade, nous étions enfin rentrée à la maison. Je me trouver face à ma douce, mes mains dans son dos, et mon front contre le sien. Ses bras s’allongent sur mes épaules et son nez se met à caresser le mien.

Michiru – merci pour cette journée, elle a était magnifique passé à tes côtés.
Moi – mais ce n’est pas fini.
Michiru – alors, si ce n’est pas fini … Haru fait moi goûtter au bonheur !
Moi – tes désirs son des ordre mon amour.

Et d’une manière très amoureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse et mon amour. Je laisse mes mains la serrer contre moi, mes doigts caressant le tissu qui couvrait sa peau si douce. Ses mains attrape le haut de ma chemise, et elle me tire vers elle. Ma jambe gauche se met entre ses jambes, mon corps est préssé contre le sien, et mes mains montent afin de se poser sur ses joues.

Je me sent tellement bien, ce que je ressent est indescriptible, tout mes sens s’affolent, et mon cœur bat de plus en plus vite. Nos langue se trouvent, et se chamaillent tendrement entre elles, je pouvais rester des heures à savourer ce bonheur qui m’est à présent offert. Et je ne suis pas prête à le laisser filer. Nos lèvres se détachent doucement, nos front se caresse, et je vint lui caresser la joue, plongeant mes yeux dans les siens.

Michiru – je n’aurais jamais crue … Que la vie puisse m’offrir ce cadeau, je remercie de tout mon cœur le ciel de m’avoir offert ce bonheur qui m’enivre de plus en plus …

Sa main se met à caresser ma joue, et je continue de l’admirer avec avec douceur un petit sourire au coin des lèvres.

Michiru – malgré mon jeune âge, je ne veux pas faire se que font les filles de mon âge, à se dévêtir pour les plaisirs d’autrui, à ruiner ma santé avec des subtance chimique, parce ce que ce que je désir plus que tout je le tiens dans mes bras, j’ai 18 ans et bien que je pense sérieusement à mes études, j’aimerais de tout mon être construir un futur avec la femme que j’aime et désir plus que tout, je veux pouvoir me réveiller chaque matins dans ses bras, pouvoir partager ma vie mes secrets et rêves avec elle, pouvoir … Me voir vieillir à ses côté, et lui porter tout l’amour que je ressent pour elle. Car là … Maintenant je c’est qu’elle est la femme de ma vie.

Je sourit, l’envie de pleurer de joie me tiens, mon cœur bat tellement fort, je ne contrôle plus les pulsassions de ce dernier, je me sent mourir, ses paroles résonne dans ma tête, et s’enferme à l’intérieur de mon cœur, je lui caresse la joue, et la dévisage avec douceur, je ne voyais rien mais je savait que mes yeux brillait de bonheur, je lui sourit et elle aussi.

Je vint la prendre dans mes bras, et tout en la regardant avec tendresse, monta les escaliers et me dirige vers ma chambre … Enfin je veux dire notre chambre. Arrivé dans cette dernière je ferme la porte, et vint l’allonger sur le lit, me mettant doucement au dessus d’elle. Je plaque tendrement mes mains sur ses oreilles et caresse ses tempes, ses mains caressent mes joues, et mon front caresse le sien.

Moi – alors … Construisons notre futur toute les deux maintenant … Afin de se crée de merveilleux souvenirs mon trésor … Je ne souhaite que pouvoir vivre et t’aimer sincèrement tout au long de notre vie.

Elle ma sourit, et dans un accord harmonieux nos lèvres se scellèrent amoureusement. Partageant avec délice et tendresse notre petit bout de bonheur qui grandissait à chaque instant passer ensemble. Je laisse mes mains prendre soin de son corps, lui offrant diverses caresse plus douce les unes que les autres.

Nos langues, après un petit moment de recherche finissent par se trouver, et une bataille tendre et câline commencent entre ses dernières. Je sent ses mains m’approcher encore plus d’elle, cela me fit sourire laissant mes mains se livrer à son dos, je remonte doucement afin d’être à sa hauteur et continue de l’embrasser avec toute ma passion et ma tendresse.


Je sent un léger courant d’aire sur ma poitrine, et je sent ses mains retirer ma chemise. Laissant mes mains dénuder doucement son corps. Ma chemise ainsi que sa robe se retrouvent sur le sol, et nos lèvres continuent de se goûter avec amour se découvrant un peut plus chaque seconde.

Au bout de quelques minutes entre nos câlins et baisers enflammés nous étions à présent sous la couette, nue et toujours enlacé l’une contre l’autre. Je me trouvais toujours au dessus d’elle, et jouer tendrement avec ses lèvres qui s’amuser à me mordre, se qui me faisait bien rire. Nos yeux se rencontrent et se caressent tendrement, laissant doucement mes lèvres embrasser son nez.


Moi – si tu savais, à quel point je me sent bien avec toi, je n’est pas de mots assez fort pour te dire ce que je ressent, mais se que je peux te dire c’est que tu est la femme de ma vie, que tu est celle qui enflame mon cœur … Que tu es celle avec qui je veux partager ma vie.
Michiru – moi aussi … Ma si jolie blonde, je t’aime d’un amour sincère et véritable.
Moi – moi aussi mon ange, l’amour que j’éprouve à ton égard est sincère.

On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un tendre baiser. Ainsi enlacé tendrement dans les bras de l’être aimé nous nous échangions avec amour notre bonheur et quoi de plus doux que de faire passer ce bonheur dans un doux et long baiser suivit d’une longue étreinte amoureuse. Ah … Décidément je suis véritablement [i]la plus heureuse et amoureuse.

Quelques heures plus tard. Après ce moment très agréable passé avec elle, je me trouvait dans la cuisine en train de préparer à manger. Pour ce soir j’ai prévue de faire son plat préféré qui est du riz avec des quenelles. Logeant au quatrième étages donc au dernier, je possède un balcon bien étrange pour un appartement me diriez-vous. Mais tout de même agréable quand j’avais besoin de me vider l’esprit. Je prit les couverts nécessaires, et pendant que le riz cuisez et les quenelles réchauffer, j’allais dresser la table dehors, quoi de beau pour un anniversaire que de le terminer par un dîner en tête à tête. Michi devait sûrement se trouver dans la salle de bain en train de prendre sa douche. J’espère qu’elle verra le petit mot que je lui est laisser sur le lit là ou j’avais prit soin de mettre la robe noire que je lui avait offert il y a quelques heures plus tôt. [/i]

Ah … Si un jour ont m’aurait dit que je serait au petit soin de quelqu’un je ne l’aurais jamais crue.

Point de vue Michiru.

Ah … Sa fait du bien une bonne douche. Je vint rapidement m’enrouler dans une serviette sentant le froid me gagner. Je commence à me sécher de toute part, je met le bout de la serviette entre ma poitrine pour que la serviette puisse tenir. Je prend le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement.

Je regarde mon reflet dans le miroir, et aperçoit un sourire … Un sourire heureux, tout se qui c’est passé aujourd’hui j’ai encore du mal à y croire, surtout au sujet de l’édition, quand je pense que j’allais me faire connaître pour de vrai. Je suis tellement heureuse, et ma relation avec ma jolie blonde me rend encore plus heureuse de savoir que nous désirons la même chose, construire et fonder notre vie ensemble, cette journée avec elle ma permis une bonne fois pour toute de mettre mes sentiments dans l’ordre, car à présent, je sais que je veux terminer ma vie à ses côtés, et sa quelque soit le prix à payer.

Quand j’eu terminé, je sort de la salle de bain et me dirige vers notre petit nid d’amour, et m’enferme à l’intérieur. Je remarque la robe noire sur le lit, il y avait un petit mot dessus, je m’approche et prend ce dernier en main et le lue silencieusement.


« s’il te plait met cette robe ma chérie »

je sourit tendrement, je pose le mot sur la petite table de chevet, et alla chercher ma lingerie dans l’armoire. Sa fait bizarre tout de même de se retrouver dans ce genre de situation, un vrai petit couple sommes nous, car en y repensant, on partage tous, nos rire on mangent ensemble on fait des chose ensemble que se soit en public ou en toute intimité, bien que j’avais une préférence pour nos petit moments intime, tel que tout à l’heure, je n’aurais jamais crue pouvoir dépasser ma peur depuis que père m’est fait des attouchements. Mais sa prouver que je grandissait et que j’avais vraiment l’ambition de ne pas laisser cette perle rare s’échaper.

Quand je fut totalement habiller et maquillé, je me dirige vers le miroir, et me regarde longuement. J’avais du mal à me reconnaître. J’avait enfiler la robe qu’elle ma offerte, des collants noir couvrait mes jambes, les boucles aussi je les aie mise, j’avais laisser mes cheveux détacher, les tirant juste vers le côté gauche, et une rose noir trônait dans ma chevelure. Comme maquillage j’avais choisi simple, du laïner noir et d’un rouge à lèvres rouge. Et m’étais légèrement parfumer avec une eau de parfum portant le nom de « Intime » de Arno Sorel.

Je me demande tout de même pourquoi Haru ma demander de porter la robe. Avant de descendre, j’enfile les chaussures noir qui se marie avec ma robe, et le cœur battant à la chamade je sort de la pièce. Je remarque que tout est éteins, il y a juste de la lumière provenant du balcon, donc doucement je descend les marche.

Hm, sa sent délicieusement bon, je me rend au balcon, et mon cœur se serra en voyant la scène qui s’offrait à moi. Un … Un dîner en tête à tête, au milieu du balcon est dresser une petite table ronde couverte par une soyeuse nappe blanche, sur cette dernière se tient les couverts, il y a deux cloches argentés sur les assiettes gardant les aliments chaud, et au milieu de la table se trouvé un bougeoir avec trois bougies. C’est vraiment magnifique, en plus avec un ciel noir parsemé d’étoiles c’est encore plus magique.


Moi – c’est vraiment magnifique. Dis-je en m’avançant

je voie Haruka se tourner, et elle eu un doux sourire accroché aux lèvres en me voyant. Je m’approche d’elle, et vint caresser ses yeux avec les miens.

Haruka – c’est toi qui est magnifique ce soir mon trésor.
Moi – merci et … Tu est aussi vraiment très belle ce soir Haruka !

Mon cœur battait à mille à l’heures, et je n’arriver pas à contrôler mes pulsions. Sa main c’est posée sur ma joue et ses doigts crée une douce sensation de légèreter. Je m’approche, et pose mes mains sur sa poitrine, plongeant mes yeux azur de le sien, lui souriant avec tendresse.

Haruka – cette robe te va à ravir, et ce maquillage te rend tellement belle.

Je sourit, je m’approche et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Ses mains vinrent me serrer contre elle, allant caresser mon dos, une légère brise se fait sentir, et mes cheveux virevolte donnant à cette instant, un aspect romantique et magique. Nos lèvres se détachent doucement, et sa main monte à ma joue gauche et ce met à la caresser. Je porte ma main droite à son visage et lui écarte quelques mèches blonde de ses yeux descendant mes doigts en une caresse vers sa joue.

Haruka – et si … On allaient manger ?
Moi – d’accord.

Je te pose un petit baiser sur le nez, et alla prendre place sur l’une des chaises face à toi. Mes yeux te fixaient intensément depuis tout à l’heure, n’en revenant toujours pas de se que tu as fait pour moi tout au long de cette journée.

En prenant ma main droite dans la sienne, Haru à soulevé nos cloches, et un tendre sourire apparue sur mes lèvres, elle avait donc déjà tout prévue, cela me remplissait de joie et de bonheur. Je lève mes yeux et lui dis avec un doux sourire :


Moi – tu y a pensé … Merci, merci ma chérie.
Haruka – bien sûr, après tout c’est un jour important.

Je t’aime … Je n’arrête pas de sourire tant le bonheur frappe mon cœur. Je nous serre de l’eau, et tout en la regardant je me suis dit « tu as vraiment de la chance de l’avoir à tes côtés. »

Haruka – bonne appétit mon ange.
Moi – à toi aussi … Ma jolie blonde !

On c’est sourit, et nous avons commencés à manger. Hm que c’est bon, en plus d’être la femme parfaite à mes yeux, c’est un vrai cordon bleu. J’enlace mes doigts avec les siens, et la dévisage avec le sourire, tout sa … J’avais l’impression de vivre un véritable compte de fée comme Cendrillon.

Moi – si un jour on m’aurais dit que je serait heureuse … Je ne l’aurais jamais crue, merci beaucoup pour tout se que tu as fait, c’est … C’est vraiment beaucoup et sa représente tant pour moi.
Haruka – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que j’ai fait tout sa.

Je lui sourit, prête à verser mes larmes qui depuis le début de la soirée me menace de couler. Puis quand ont eu fini, Haru c’est levé et sous mon regard doux et surpris elle c’est dirigé vers moi.

Se mettant derrière moi, je lève mes yeux et lui sourit tendrement. Je voie sa main piocher dans unes de ses poches de pantalon, et elle sortie une petite boîte marron, qu’elle me mit devant les yeux. Je me demande bien se que sa peut être, mon cœur bat tellement vite.

Doucement elle a ouvert la petite boîte, et mon cœur se mit à tanguer fortement dans ma poitrine. A l’intérieur de l’étui se trouvé un petit cœur en argent, sur ce dernier, il y avait des lettres qui formé le mot « Je t’aime » je touche doucement le bijou, me demandant ce que cela pouvais être.

Haruka enlève le bijou de la boîte et je remarque que c’est une petite chaîne argenté, elle est magnifique, vraiment je ne sais quoi dire. Ma jolie blonde me le passe au tour du cou, et sa voix résonne au creux de mon oreille.

Haruka – joyeux anniversaire mon trésor.

J’ai levé mes yeux, et heureuse, j’ai déposé mes lèvres sur les siennes. Lui offrant un long et doux baiser. Caressant sa cheveulure, mêlant tendrement mes doigts à l’intérieur. Ses bras à elle entourés mon cou, et ses mains caresser ce dernier.

Jusqu’à présent personne n’avait fait sa pour moi, jamais on m’avait t’émoigner autant de tendresse et d’amour. Et cela me rendait éperdument heureuse.

Doucement ont se détachent, mais nos yeux continuent de se caresser, chacune habitant un sourire heureux.


Moi – il est magnifique … Merci mon amour.
Haruka – chuut … Pour toi, rien est trop beau !

Elle est vraiment adorable, puis doucement, elle ma prit la main et me conduit jusqu’à sa chaise. Elle prit place sur cette dernière, et me prit dans ses bras. Je me retrouve assise sur ses jambes, mes bras s’allongent sur ses épaules, et les siens s’avanturent dans mon dos. Un vent léger souffle et fait virevolté nos cheveux, elle est tellement belle, j’emène ma main gauche à sa joue et la caresse.

Moi – cette journée … Je ne l’oublierais jamais, merci Haruka !
Haruka – tu sais … Il est évident que pour toi, je serait prête à tout pour te rendre heureuse et te voir sourire tu … Tu compte tellement à mes yeux Michi.
Moi – toi aussi … Tu compte beaucoup pour moi, et pour rien au monde je ne t’échangerais pour voir de simple sourire de satisfaction.

Elle ma sourit et ma doucement embrassé. Je répond délicatement à sa douceur, posant mes mains sur ses joues et caressant sa peau avec mes pouce. Sans que je m’en rende compte Haru me mit des écouteurs aux oreilles, suivit d’un petit mp3, nos lèvres jouaient toujours ensemble, et une voix … Sa voix résonne dans la petite machine.

« Michi, je te souhaite un très joyeux anniversaire. Voila maintenant un mois que je vis un véritable bonheur à tes côtés, depuis que mes yeux ont croisé les tiens, je me suis demandé ce qui se passer pour que je soit autant subjugé. Le simple fait qu’en même pas un mois tu est devenu importante à mes yeux, je vais être honnete, mais je n’aie jamais pue connaître le véritable amour … Avant de tomber sur toi, se que je souhaite plus que tout ma chérie et qu’un jour tu devienne ma femme, quand j’ai appris ce qui tes arrivé, j’ai tout fait pour le cacher, mais voilà je t’aime et suis profondément amoureuse de toi. L’autre jour, tu m’as posé une question, tu m’as posé se dont je rêvé, et bien maintenant je peux te répondre, se que je rêve c’est de construir un futur avec toi, pouvoir un jour fonder notre propre famille ainsi que de te voir en robe blanche. Il n’y a que toi qui me rende ainsi, il n’y a que toi avec qui je veux terminer ma vie. Mon trésor, je t’aime je t’aime et je t’aime, tu est la femme de ma vie, et je ne veux pas te perdre. Je te souhaite un très bon anniversaire et te fait mille gros baisers, je t’aime ma chérie, ne l’oublie jamais. »

Alors que mes yeux la dévisagent, des larmes roule le long de mes joues, je … Je suis si heureuse, je pose le mp3 sur la table, et la regarde en pleurant de joie, mon cœur battait tellement vite, je ferme mes yeux et respire profondément, mordant ma lèvres inférieur et lâchant un petit rire.

Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !

Je lui prend les mains, tourne ma tête vers la droite et mes yeux encore embués de larmes fixent les étoiles.

Moi – moi aussi … Ce que je souhaite plus que tout et de construir un futur à tes côtés, je rêve chaque jour de ma vie avec toi, je n’aie jamais ressentie de tel émotions avant de te connaître, mais je t’aime d’un amour sincère et profond, je souhaite de tout mon cœur pouvoir un jour devenir ta femme et porter ton nom, je souhaite plus que tout te rendre heureuse, et te chérir tendrement chaque jours de notre vie …

je tourne ma tête, et la regarde les larmes aux yeux, elle me sourit, effaçant de sa main douce mes larmes.

Haruka – alors … Je souhaite plus que tout pouvoir unir mon cœur au tien mon trésor. Je t’aime tu sais.
Moi – moi aussi Haru je t’aime … Je t’aime bien plus qu’il ne le faut !

On c’est sourit, et nos lèvres se sont unies. Je me sentit soulever, mais je ne fait rien pour me débattre, juste à continuer de l’embrasser avec tendresse. J’entends une porte se fermer, et me sentit allonger. Nous étions dans notre chambre, et je sentait son souffle chaud sur ma peau, elle se trouvée au dessus de moi, et malgré la pénombre je pouvais voir ses magnifique yeux pétiller.

Haruka – ma chérie … Pour ce jour si exceptionnelle, me laisserais tu te faire goûter au bonheur ?
Moi – oui … Je suis toute à toi ma jolie blonde.

Elle me sourit, et nos lèvres se scellèrent amoureusement. Je vint doucement la dévêtir, laissant tomber sa chemise sur le sol, je laisse mes main parcourir son corps, sa peau qui est douce et chaude à la fois.

Je me retrouver à présent nue sous les draps mon corps frissonnant de plaisir. Pour la première fois, je me sentait bien, et je n’avais pas peur. Je dirige mes lèvres vers son cou et lui embrasse longuement. Ses mains parcourent mon être, et ses lèvres se perdent dans mon cou. Jusqu’à ma poitrine, le désir prenait de plus en plus d’ampleur, et j’avais irrésistiblement envie d’elle.


Moi – oh Haru … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon ange !

Elle a caresser ma joue, et ses lèvres ont repris les miennes en otage. Cette nuit pour la première fois fut la plus magique de toutes, pour la première fois depuis 18 ans je me laisser envahir par le plaisir que l’ont ressent à deux. Cette nuit, elle ma rendu heureuse, cette nuit elle a prit définitivement prit possession de mon cœur. Cette nuit ou Haruka me fit tendrement l’amour. Cette nuit ou je suis réellement tombé encore plus amoureuse.

Et voila la fin de ce chapitre ^^ à la prochaine :)
Dim 20 Oct 2013, 13:50 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 3

Coucou, merci à toi inlove pour ton commentaire ^^ donc voici le chapitre 3, bonne lecture.

Chapitre 3 : Attirance et amour

Point de vue Narrateur.

Depuis l’accident de Michiru 1 mois venais de s’écouler, nous sommes au mois d’octobre mois ou l’été s’estompte et laisse place à l’automne saison ou les feuille multicolor virevolte au gré du vent. Aujourd’hui c’est mercredi, et tout les élèves trépigne d’impatience à ce que midi arrive.

Haruka – bon alors est ce que quelqu’un peut me dire quel est le coeficient de ce tableau ?

Bien sûr le professeur savait parfaitement que personne hormis sa petite protégée allait répondre.

Haruka – bon … Puisque personne na l’air de vouloir répondre , je peux en prendre quelque uns pour rester avec moi cet après-midi !
Elève – pff et à quoi cela vous servirez ?
Haruka -déjà à t’apprendre à mieux parler à un professeur jeune fille … Et puisque tu semble vouloir prendre la parole, peut tu répondre à ma question ?

Haruka d’un air sévère, se dirige vers la table de son élève et les sourcils froncés elle déclare :

Haruka – alors, mademoiselle Jolie, j’attend votre réponse !
Jolie – vous n’avais cas demander à cette petite trainé au cheveux bleu !

La s’en fut trop, la jeune femme claque violemment ses mains sur la table de Jolie, et dit d’un ton sec :

Haruka – bon sa suffit !!! j’en est plus qu’assez de tes propos, maintenant tu prend tes affaires et tu file chez le directeur, et tu restera avec moi en salle de retenue cette après-midi !
Jolie – mais …
Haruka – il n’y a pas de mais, quand je donne un ordre il faut qu’il soit exécuté !

Plusieurs soufflements se fait entendre de mademoiselle Jolie qui prit ses affaires et fila rouge de honte vers la sortie.

Haruka – maintenant que j’en surprêne un seul à faire des réflexions et ce sera le même sort compris ?
Tous – oui professeur !!!!

Michiru se met discrètement à sourire, eh bien c’est que Haruka a beaucoup de caractère pense la jeune fille en écrivant son cour. Puis viens enfin l’heure tant attendue des élèves, midi. Chacun se hâte à ranger ses affaires et de sortir aussitôt de la sale de cour. Seul Michiru resté en retrait en prenant tout son temps pour ranger ses affaires.

La jeune femme blonde efface le tableau et se met à soupirer d’ennui. Se qui fit rire sa jeune élève qui venais de mettre son sac sur l’épaule et descend doucement chaque marche avec ses béquilles.


En effet depuis son accident Michiru avait reçu pour ordre d’être mis sous béquille et ceci jusqu’à la guérison total de sa hanche droite qui avait reçu un choc et donc lui avait valut six points de sutures.

Michiru – rappel moi de ne jamais te mettre en colère !

Dit elle en riant. Haruka eu un petit sourire, elle prend ses affaires et dit en se dirigeant vers la sortie :

Haruka – je te fait peur à ce point ? Se met aussi à rire
Michiru – tu as tout de même une forte voix … Donc je préfère éviter.

Elle s’échangent un doux sourire ainsi qu’un petit regard amoureux, et c’est avec le cœur léger qu’elles entament toutes les deux leur marche à travers le couloir.

Michiru – dis … Tu vas vraiment rester ici cet après-midi ?
Haruka – oui, et puis il serait tant que je donne une petite correction à cette fille qui commence sérieusement à m’énerver.
Michiru – bon, ok !
Haruka – mais ne t’inquiète pas, je serait de retour à la maison dès qu’elle aura l’obligeance de venir s’excuser.
Michiru – ok, bah moi vue que je suis dispensé de sport cette année, je vais rester à la maison et peut être commencer à faire mes devoirs comme sa je serait tranquille toute la journée !
Haruka- sage dessision.

Toute deux se sourirent, puis arrivé à l’entrée du couloir, la jeune femme blonde se penche et vint tendrement embrasser le front de Michiru qui se sentait mourir par ses gestes de tendresse. Elle lui embrasse tendrement la joue, et parti direction les casiers des filles afin de poser ses affaires.

PDV Michiru.

Après avoir quittée la salle de cour, je me suis directement dirigé vers les casier afin d’y déposer mes affaires. Tout en marchant mes cahiers à la main je ne cesser de penser à Haruka. Cette si belle femme blonde aux charmes masculin faisait fondre mon cœur, même si ce que nous faisons est interdit je suis si heureuse de l’avoir à mes côtés et pas que en tant que professeur non, surtout en tant que la femme que j’aime et désir plus que quiconque. Soudain mon portable se met à vibrer, étonné je sort ce dernier de ma poche et consulte l’appareil.

C’était un message … D’Haruka, je me met à sourire bêtement, comme une fille qui reçoit un sms du plus beau garçon du campus. Sauf que moi c’est de loin être le plus beau play boy non non … Moi c’est beaucoup mieux, puisqu’il s’agit de la femme que j’aime. Sans perdre un instant j’ouvre ma messagerie et vint lire le message :


« Fais attention quand tu rentres »

je reste plusieurs minutes à relir le message, un petit sourire en coin, vraiment elle est adorable peut être plus vieille que moi mais elle est vraiment la femme parfaite à mes yeux, depuis mon premier jour dans ce lycée et même quand mon accident est venue subitement elle a était la première à être la, elle ne ma pas juger non elle ma accepté tel que je suis et c’est bien sa qui me rend le plus heureuse.

Je décide donc de lui répondre.

« et toi fait attention de ne pas sortir tes crocs lol ! Oui ne t’inquiète pas dès que je suis arrivé je t’envoie un sms »

et je lui envoya. Je ferme mon casier à l’aide du cadenas et parti manger. Après une attente interminable, je réussi à entrer dans le refectoire, et Cléo une fille supère gentil qui m’aide de tant à autre depuis mon accident me porte le plateau, elle mangea même avec moi.

Cléo – alors Michi sa va mieux ?
Moi – bof, j’ai encore des au niveau de la hanche, et sa s’arrange pas avec le traitement que je suis qui est tout bonnement imonde.
Cléo – ah ah ma pauvre.
Moi – et toi sinon ça va ?
Cléo – bah comme d’hab quoi Emma qui me pourri l’existance avec ses vues sur le professeur Tenoh.

Qu … Quoi ?? cette petite ingrate est amoureuse de … Haruka ? Même si je sais que cela est impossible j’eu vraiment mal au cœur, je n’aie aucune envie de perdre cette si jolie blonde qui est la cause de mes battements violent de mon cœur, qui est la cause de tout ses petit sourire innocant ou chargé de sous entendu, non il est absolument hors de question que je lui laisse je l’aime sincèrement même si je ne lui jamais dit j’en suis éperdument amoureuse et ferais tout pour la voir sourire, rire et heureuse.

Moi – bah viens en cours, et tu verra que c’est pas l’amour fou !
Cléo – je veux bien te croire, je connais Emma depuis l’enfance et je c’est qu’elle est prête à tout pour obtenir se qu’elle veux. Enfin bon personne ne pourra la changer !
Moi - sa c’est sur.
Cléo – et sinon toi les amours sa rool ?

À cette question, je me met violemment à rougir, je prend mon verre, et le porte à ma bouche afin d’éviter d’y répondre.

Cléo – alors es ce qu’il y a un beau garçon qui t’interesse.
Moi – si je te le dis, tu promet de garder sa pour toi de ne le dire à personne, et de ne pas me juger ?
Cléo – houa c’est tout de même pas une affaire d’état rassure moi ?
Moi – non non … Enfin, il y a bien quelqu’un qui m’interesse et très fortement !
Cléo – ah … Que c’est beau l’amour, alors dis moi c’est qui c’est qui c’est qui ?
Moi – je suis très amoureuse du professeur Tenoh.

À sa tête, je remarque la surprise ainsi que la décomposition. Avais-je bien fait de lui dire ?

Cléo – quoi ? Mais tu c’est que c’est interdit !
Moi – merci de me faire redescendre sur terre.
Cléo – oups désolé, c’est juste que sa ma surprise sur le moment, mais sérieux tu aimes c’te prof ?
Moi – oui, j’en suis même éperdument amoureuse.

Elle ne dis rien, juste à me lancer plusieurs regards surpris et intérogateur. A la fin de mon repas, Cléo m’aida à porter mon plateau, en passant dans l’allé central j’eu droit à des sifflements et cela m’irriter. Une fois dehors, je me tourne vers mon ami et lui dit :

Moi – bon je rentre à demain !
Cléo – oui à demain Michi !!

on s’échangent un rapide sourire, et je parti chercher mes affaires afin de rentré pour de bon à la maison. J’ouvre mon casier, prend mon sac, le met sur mon épaule, referme la petite porte à clé, et parti direction la sortie du lycée.

Ah … Sérieusement je me demande comment va se passer cette année, en plus dans pas très longtemps je serait majeur et vacciné, se qui veux dire que même en dehors des cours je pourrais enfin être librement avec elle. Après quelques minutes de trajet à pied du moins en béquilles, je sort une petite clé argenter de mon sac, l’infiltre dans la serrure tourne trois fois vers la droite, et rentra enfin à l’intérieur.

Comme je ne pouvais pas monter à l’étage, je pose mon sac de cour à côté de la table basse du salon et allai prendre place sur un des poufs qui trônais dans la pièce.

En y repensant, j’ai promis à Haruka de lui envoyer un sms lui disant que j’étais enfin rentré. Je prend mon cellulaire, et d’une main vif je tapote sur le clavier, et lui envoya.

En attendant, je déboutonne ma veste et la retire me retrouvant en chemisier blanc. Je retire l’élastique de mes cheveux, et donne trois petit coups de tête vers la droite puis la gauche, je prend mon sac sort mes cahiers, met en place mes petites lunettes rectangulaire noir et commence par réviser mon français. Matière ou je ne suis pas sous les feux des projecteurs.

Pff j’y comprend absolument rien, je préfère largement un cours de math qu’un cour de français, je n’aie jamais était brillante dans cette matière, en plus je dois travailler sur un exposé qui à pour thème la liberté d’expression concernant les relations entre deux hommes ou deux femmes, j’ai le choix mais bon, je n’aie jamais ressenti ce genre de chose et sa s’avère être plus compliquer que prévue.


Vite que Haruka revienne de la retenu de cette peste, rah cella-là si j’avais assez de courage je lui dirais ses quatre vérité croyez moi. Bon aller assez traîner, je vais faire un peu de nettoyage, je lui dois bien sa après tout. Je ferme mon cahier avec bonheur et je m’attaquerais ensuite par la langue vivante.

Je commence à ramasser quelques vêtements qui jonche le sol par ci par là. Je les conduit en machine à laver, jette un œil à l’étiquetage, et commence à remplir la machine. Après avoir mis cette dernière en route je me dirige vers la cuisine en essayant de ne pas forcer sur ma hanche car je n’aie pas prit mes béquilles. Je commence à mettre la vaisselle sale dans le lave vaisselle, et range les quelques magasine et livre de cuisine à leurs place. Je retourne dans le salon et alla ouvrir la fenêtre tout en fermant à moitié les volets. Pour je ne sais quel raison j’avais envie de déployer mes ailes prendre mon courage à deux main et avouer avec fierté les sentiments que j’éprouve à son égard, j’avais envie que les choses change, je l’aime et sa je le sais je ne peux pas me le cacher.

Après quelques heures Haruka était enfin de retour, et moi je m’étais remis au travail. Sa main douce vient ébouriffer ma chevelure se qui me fit rougir, je la regarde s’éloigner et mes yeux la détail de plus prêt.

Moi – dites moi professeur si un nombre fini par 0 je dois le multiplier par x ou y ?

Bien sur je connais la réponse mais j’avais envie de l’embêter un peux. Je sent mon visage se soulever, et mes yeux azur croise son regard émeraude. Il est tellement beau emprunt d’une petite étincelle magique. Elle me retire les lunettes, et sa voix douce que j’aimais entendre résonne dans l’aire que nous partagions toute deux.

Haruka – il me semble que je te l’ai déjà enseigner non ?
Moi – oui mais beaucoup de chose c’est produit depuis, un petit rafraichissement de mémoire serait la bienvenue.
Haruka – hm je voie sa, mais à une seule condition !
Moi – mais c’est que j’ai le droit à du chantage en plus ? Hm … Que désirez-vous ?
Haruka – arrête donc de m’appeller ainsi à la maison.
Moi – et comment voudriez-vous que je vous appelle pro.fe.ss.eur !

Elle me sourit, un petit sourire coquin qu’elle me fait souvent quand ont s’emportent dans l’un de ses petits amusements. Et cela me fait bien rire. Je porte ma main à sa joue et la caresse doucement.

Haruka – appelle moi juste Haruka !
Moi – entendue Ha.ru.ka.

Je me suis levé doucement en faisant attention à ma hanche et je me suis mise dans ses bras. Allongeant mes bras sur ses épaules, et rapprochant doucement mon visage du sien.

Moi – Haruka … Je … J’ai … Enfin, j’ai quel … Que chose à te dire !
Haruka – d’accord mais avant laisse moi te dire une chose importante.
Moi – ou … Oui vas y je … Je t’écoute !

Je ne contrôler plus mes rougeurs qui se multipliés à vue d’oeil. Je sent ses bras descendre à mon dos, et sa mains me pousse afin que je me retrouve contre elle. Dans peut de temps je sent que je ne vais plus tenir, mon cœur s’accelaire de plus en plus et son sourire qui m’éblouit, vraiment pourquoi est tu si cruelle jolie blonde de mon cœur ?

Haruka – Michiru, ce que je vais te dire, je ne les jamais dis à personne !
Moi – tu commence à me faire peur !
Haruka – Michiru bien que tu sois mon élève en cours, depuis que tes yeux … Tes si jolie yeux ont rencontré les miens je … Je t’avoue que tu fait tourner mon cœur.

Haruka … Qu’essai tu de me dire exactement ? Bien que j’en est une vague idée, je me refusé d’y croire, sa serait tellement beau.

Haruka – Ma tendre et cher Michiru … Je t’aime !

Je n’eue le temps de répondre que ces lèvres s’emparent tendrement des miennes. Je … Je n’arrive pas à le croire, alors ces sentiments son égaux au miens, je me sent légère et heureuse. Je m’approche d’elle et répond amoureusement à son baiser.

Mes mains descendent et se mettent au niveaux de son cou, mes doigts l’agrippent, et mes pouces crée un léger et doux frottement, alors que je désespérer à lever la pointe des pied afin d’être à sa hauteur. Ses mains réchauffes mon corps, et notre baiser prend un peut plus d’ampleur.

Je laisse doucement ma langue glisser dans sa bouche et alla rejoindre la sienne, c’est un rêve … Oui c’est sa un rêve un magnifique rêve que je suis en train de faire, et je ne veux pas me réveiller. Pourtant je me rappelle de ma discussion avec Cléo du renvoi de cette pimbêche aux cheveux prune.


Je me senti soulever, mais je n’ose pas ouvrir mes yeux de peur que tout s’arrête, ce moment ou je me retrouve contre elle en train de l’embrasser, j’en rêve depuis un mois, alors mieux vaut être heureuse et continuer à dormir en faisant ce doux rêve exotique.

Je sent mon corps s’allonger sur quelques chose, sûrement le canapé, et une agréable chaleur envahie mon être, des mains … Ses mains qui caresse mes joues et descendent jusqu’à mes hanches. Une décharge me parvient au cœur quand je ressentit la douleur de ma hanche droite, alors, je ne rêvé pas ? Haruka était bel et bien en train de m’embrasser, j’entoure sa nuque et la rapproche de moi afin d’être au comble du bonheur. Nos lèvres se détachent, et nos yeux se rencontrent, son corps s’allonge sur le mien et son front caresse son partenaire. Voila un petit côté d’elle que j’ignorais, mais cela ne me déplais pas pour autant.


Haruka – Je t’aime Michiru.

Je lui caresse le visage, un énorme sourire aux lèvres et l’envie de pleurer de joie. Et sans la faire attendre je l’embrasse de nouveau avec amour et passion. Voulant graver ce moment dans mon cœur.

Nous avons passer le reste du temps à nous chamailler et à nous faire des câlins quel bonheur, mais va vraiment falloir que j’arrive à lui dire.


Et voila la fin de ce troisième chapitre ^^

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Sam 19 Oct 2013, 12:24 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

La colombe ou la liberté, en destinée

L’amour en vrac? c’est le mot clé de ce texte, l’amour, notre amour est en vrac.
On vit dans un monde de putes, je suis bien d’accord avec ce concept.
Et car on vit dans un monde de putes, l’argent régit le cœur de plus vils d’entre nous.
Pauvre riche, l’argent nous a séparé.
c’est ce qui m’a fait pleurer.
je n’ai pas pleuré de te perdre ou de déception, ça j’en ai l’habitude et je ne pleure plus pour personne car je me suis fortifiée.
Ce fut une obligation dans mon cursus, et mon parcours me l’a permis.
J’ai donc un cœur tendre, sensible, ouvert, tout le temps amoureux, mais désormais bien accroché.
J’ai été programmée pour aimer, programmée pour ne plus sombrer.
Je ne ferais aucune polémique ni aucun débat sur le sujet, ni sur nous deux.
Si je t’écris ce soir je ne sais pas vraiment pourquoi ni ce que j’en attends, ou si je sais, juste me soulager de ces qui nous ont gagnées.
des malentendus, des discordes, tout ce qui tue l’amour.
Tout ce qui a tué mes sentiments.
Maintenant la haine a remplacé mon amour pour toi, et ce n’est plus de l’amour mais du mépris, de la colère, de la rancune aussi.
Me venger n’est pas au programme, mais combien tu vas payer, ça je sais que tu vas le regretter, tandis que je n’aurais aucun regret.
Un jour tu te diras "ah oui elle avait raison, je réagis trop tard et ne comprends que maintenant, et je regrette: elle me manque etc."
et tu ne seras pas le premier, car dans le genre talent précurseur, j’ai le premier prix et j’ai de l’avance sur toi.
je sais avant toi, ce qui advient, sans ne savoir l’avenir pour autant.
quand je te lis, je n’y comprends rien, ton style est dépareillé, tes mots sont dé-variés, ton cœur avarié...
tu parles d’amour comme on parle du malheur et ça me donne la nausée avant même d’avoir goûté au plat...
tu pourras me rendre tout l’argent que tu me dois ça n’achètera jamais l’effacement de ma peine.
de la peine oui que du matériel nous sépare mais pas étonnant quand je vois que tu me prends pour ton objet.
moi je n’ai qu’un objet c’est les droits de l’homme, les droits de la femme, le droit des enfants, le droit des victimes, et le droit des malades à la dignité.
je me rassemble à quelques bénévoles pour venir en aide à des pauvres gens que cette société a voulu réduire à néant et au silence des plus humiliants.
Humiliation oui, quand au silence se réduit la peur, et quant à la peur se substitue l’angoisse aux tripes.
Trop de salopes courent les rues, font les trottoirs à la recherche du malheur perdu.
Stérile est ce désir suspendu au fil des désillusions.
Puérile est le caprice de l’enfant sous couvert de souffrance donne l’illusion à l’adulte devenu grand qu’il existe.
Je déteste ce que tu fais de moi: je t’insulte à tout va, je t’en veux ou pas, plus ou moins, peu importe il est trop tard pour discuter.
Raccrocher au mieux, parler à un répondeur, pour se déverser des ses non-dits.
Quelle arme brise l’indifférence?
à l’indifférence répondre par l’indifférence et surtout ne jamais verser une larme.
si je pleure ce sera pour la juste cause, pour la noble cause, pour ce monde pourri, qui donne le dégoût, même les rats n’aiment plus cette vie.
avant on parlait d’avenir, pour cette terre, ce jour on ne parle plus que de la sauver...
notre planète, ô terre-mère, pardonne les humains de leur débilité.
pardonne l’humanité d’être aussi stupide que la stupidité.
pardonne nous d’être si petits, si fragiles, si insolents et pour les pires si ingrats.
pardonne nous, car nous sommes foutus.
nous ne sommes plus de ce monde, nous errons, nous traversons notre temps, nous tuons le temps, nous bouffons la vie, nous sombrons...lentement dans ce noir...
dans cette guerre qui nous assaillit, dans la haine, non dans l’erreur mais dans la faute.
la faute de ne plus être solidaires, la faute aux égoïstes, à l’égocentrisme, qui laisse l’autre crever pour ne pas l’aider.
volontairement, certains nuisent à autrui, juste par méchanceté gratuite, et ça, c’est encore pire que la malhonnêteté.
C’est lâche et sournois.
voilà tout ce que tu m’inspires, du noir, et du noir, et encore du noir.
un peu de rouge mais juste pour le sang.
la sang du christ, le sang de ces enfants assassinés au nom d’une religion, le sang dans ton assiette, quand ta viande est saignante...
le sang, voilà ta seule couleur.

Les larmes elles n’ont pas de couleur, elles sont transparentes.
Elles sont translucides, on y voit à travers.
On y voit quoi, du cinéma ou ce qu’on a dans les veines.
Pleure un bon coup, une bonne fois pour toutes, une bonne dépression et après ça ira mieux, crois moi tu ne pleureras plus pour rien.
ah oui, pourquoi pleurais-tu déjà?
car selon toi je te devais quelque chose?
ah bon depuis quand l’amour se doit?
on peut devoir de l’argent mais devoir de l’amour, j’ai jamais vu ça.
à part dans un mariage ou à la limite dans un couple et encore, l’amour n’est pas un devoir mais un état incontrôlable et jamais acquis oui je sais tu n’aimes pas quand je dis ça mais c’est vrai.
oui je sais tu n’aimes pas la vérité.
alors tu veux que je t’en balance un peu de réalité? histoire de réveiller tes neurones qui sont fatiguées mais tiennent des nerfs?
la réalité c’est que j’étais en train de tomber amoureuse de toi, je t’ai aimé, puis après ça me passait un peu tel un coup d’amour éphémère car cela ne marchait pas.
Puis tu revenais, donc à nouveau j’espérais.
à chaque fois je t’aimais un peu plus, je te découvrais, et tu me surprenais.
tu étais comme j’attendais, tu faisais ce que je voulais, enfin à peu près car comme je viens de le souligner du début de notre rencontre à la fin il y a eu des hauts et des bas.
et ce n’est pas parce que je me suis libérée que deux mois après non, c’est car, cela n’allait pas.
tu ne faisais pas ce que je souhaitais, alors je me dispersais j’allais voir ailleurs sans vraiment aller voir ailleurs, mais comprends que mon ressenti partait dans tous les sens.
j’étais perdue et déstabilisée et tu sais pourquoi?
parce que tu n’étais pas là près de moi.
tu étais là, tu me montrais indirectement ton attention et intérêt mais pas vraiment.
tu attendais tout de moi, que je fasse tout, tu me laissais tout te donner, sans lâcher ne serait-ce qu’un aveu.
Tu ne me disais pas que tu m’aimais, tu ne me montrais pas tes sentiments et je souffrais.
tu me laissais seule, le soir, la nuit, le jour, aux repas.
tu me laissais tout faire toute seule, faisant mine de me soutenir mais me laissant bien galérer.
tu te foutais de si j’avais à manger, si j’arrivais à manger, tu te foutais de moi.
tu ne te rendais pas compte de mon mal-être avec toi, du malaise, et du manquement.
je n’étais pas heureuse, et dans la durée.
tu voulais limite que je dorme par terre, tu te moquais que je dorme dans un lit ou dans un canapé comme une pauvre fille.
tu te foutais de m’envoyer au bagne, de me rabaisser car tu te sens toi même dans l’infériorité intellectuelle et que tu peines à comprendre mes collègues et moi.
tu voulais que je supporte tes enfants alors que déjà toi je ne te supporte pas.
je t’ai dit de rester avec tes gosses, et ce n’est pas méchant, mais je ne me vois pas avec tes gosses et toi vu les conflits entre nous deux.
déjà qu’à deux on se dispute alors former une famille harmonieuse est carrément impossible.
il n’y a aucune crédibilité à notre union et pourtant si je t’écris là encore c’est bien que j’étais sincère et que je t’aimais
car pourquoi écrire autant à quelqu’un dont on se fiche?
à ce point, tous ces mots là, ils veulent bien dire quelque chose même si ce n’est pas la quantité qui signifie tout?
pourquoi autant, de choses à te dire et toujours rien à te dire.
car te dire c’est parler à un mur, et ne rien dire, c’est impossible après tout ce qui s’est passé
mes potes me disent de ne pas me prendre la tête, mais c’est dur, de ne pas se prendre la tête, avec tout ce que tu me fais subir
tu m’as martyrisé et je le maintiens encore devant témoins.
tu voudrais que j’oublie que je pardonne et te laisse une seconde chance
que je te dise que tu es prêt.
je sais que ton père t’a manqué enfant et que tu as eu des remontées de souvenirs à ce sujet quant on s’est connus mais ce n’est pas une excuse à tes mauvais gestes à mon égard
le pardon n’a pas de prix, le pardon n’a pas de prix
pour te pardonner il me faudrait des milliers de mots doux réparateurs dont tu es bien incapable
tu ne comprends même pas mon rejet
tu crois que je me suis foutue de toi, que j’ai juste voulu profiter ou du moins me moquer de toi sans rien partager de réciproque alors que c’est totalement faux et c’est pourquoi je te dis que tu te trompes
j’étais vraiment prête à m’investir et à construire
à aller jusqu’au bout des choses avec toi
j’avais envie de toi
j’étais dans mon lit allongée vulnérable à tes formes, à tes lèvres et à tes mains
j’étais sous ton emprise et je t’attendais
j’étais heureuse de t’avoir trouvé
je te pensais mature, et avenant, attentionné, sensible, gentils...
je te pensais quelqu’un de bien.
je n’attendais qu’une chose que tu me rejoignes que je te donne la clé, de chez moi, ou bien que tu me la demandes donnée par avance
je n’attendais qu’une chose, que tu viennes, que tu me prennes dans tes bras
que tu me parles, avec ton corps si ta voix avait un bug
avec tes lèvres pour me dire je t’aime
je voulais que tu viennes là me rassurer, me sentir en sécurité contre toi quand je m’endors
je voulais me mettre en boule sous nos draps et ne plus jamais te quitter
je voulais faire un monde autour de toi, telle une protection, un bonheur entretenu, je me voulais parfaite pour toi, je voulais tout faire et tout le temps pour toi
je me levais le matin j’allais travailler pour toi
je voulais gagner beaucoup d’argent et toujours plus pour que tu sois heureuse car même si l’argent ne fait pas le bonheur je voulais pas que tu te soucies pour tes enfants et les nôtres ( j’en voulais avec toi ) de l’aspect financier
je voulais que si l’on ne travaille pas pour la gloire, qu’on travaille pour être riches, et la gloire viendra avec ou inversement
je voulais te couvrir d’or, et surtout d’amour, pour ne jamais que tu pleures
j’ai sans doute voulu trop te gâter mais je ne peux m’en vouloir si tu en as fait un caprice
je voulais que tu sois fier de moi, que nos enfants soient fiers de leurs parents, de leurs métiers, car comment me sentir une bonne mère si mes enfants ne sont pas fiers de moi?
je ne voulais pas d’un père ou d’une mère ni pauvres ni malheureux
je voulais le bonheur, tout simplement apprendre à s’aimer au fil du temps un peu plus chaque jour
une vie simple, sans préjugés, sans jugements, sans jalousies, sans envies déplacées...
et au lieu de ça la vulgarité a remplacé la douceur, et le langage soutenu
on n’a plus que le mot pute à la bouche quant on a les boules
on sent la violence nous envahir et on a envie de tout casser
de prendre un objet et de le briser
et ça, c’est bien le signe de la fin d’une relation selon moi
quand on a envie de prendre un objet et de l’exploser
puis qu’on se dit pour se rassurer jamais je ne te toucherai toi.
certes jamais je ne te toucherai mais c’est pas l’envie qui m’a manqué donc je préfère tout arrêter oui
je ne suis pas de celle qui reste dans ces conditions.
tu me rends mauvaise, mais vraiment quoi et encore je me retiens et heureusement que d’une part ça ne me fait pas ça sans causalité, d’autre part je sais que je ne suis pas comme ça quand je suis amoureuse
je ne suis plus amoureuse par malheur
je ressens encore des restes
des restes néfastes
une pilule mal digérée...
je ne me sens pas en sécurité avec toi, ni dans une relation avec toi.
tu me fais peur car tu as peur et c’est contagieux la peur.
tu as peur donc j’ai peur.
( face à toi pas les autres c’est pour ça que je vais voir ailleurs enfin que j’aimerais aller voir ailleurs car je ne cherche pas non plus )
j’aurais pu choisir n’importe qui pour te faire mourir de jalousie et je ne l’ai pas fait mais la maladie s’en est chargée et t’as fait mourir de jalousie sans que j’ai besoin d’agir
je pourrais me venger sur plein de points et facilement mais ce n’est pas mes méthodes, j’ai des techniques bien plus au point; je veux juste que justice soit faite, et surtout la paix, que tu me fiches la paix
je ne sais même pas pourquoi on se sépare ni pourquoi tu t’es énervé ainsi quand c’est parti en live entre nous, en premier lieu, car depuis je suis énervée aussi dans une certaine mesure que je tempère beaucoup malgré tout, car je sais que malgré ma colère à toute épreuve et mes forces, je suis plus calme que toi
je suis une fausse calme et toi un faux nerveux
tu t’énerves là mais c’est du cinéma ça aussi comme tes larmes.
c’est pas de la colère mais de l’hystérie
et pas de l’hystérie de conversion et l’hystérie tout court.
c’est pourquoi je n’ai plus aucune compassion envers toi
tu ne souffres pas, tu n’es pas malade physiquement, tu es juste pervers et malade sans doute oui, mais pas d’une maladie qui fait souffrir
tu es bien comme ça dans ta vie, tu te relèves aussi vite que tu tombes car tu voles bien bas...
la voilà la vérité!
je deviendrais cynique si je continue trop à dire ce que je pense de toi et sans vouloir te vexer encore une fois je ne dis que ce que je pense en bien comme en mal
toi tu me crois quand je dis du mal mais pas quand je dis du bien.
c’est ça qui est fou.
non?
moi je voulais sortir avec toi, voilà faut être clair, enfin je ne disais pas non car je ne savais pas clairement si un partage était possible tu sais maintenant que ce qui compte n’est pas le désir mais le partage donc l’amour, et que l’amour sans partage n’en est pas, enfin j’espère qu’au moins tu as compris ça.
si je t’ai appris au moins une chose, j’en suis ravie.
voilà je t’ai écrit un roman qui ne changera rien à notre sort désespéré;
je voulais sortir avec toi et au dernier moment tu m’as dégagé mais tu prétends que tu avais une bonne raison ou que c’est moi qui me suis défilée ou je ne sais pas quoi
je ne t’ai jamais dit que tu étais qu’un ami pour moi, jamais, ça aussi tu l’as inventé
j’ai peut être employé ce terme une fois à ton égard car je ne pouvais pas te dire mieux que ça sur ta ligne professionnelle comme ça.
je voulais te dire mon amour en face et en tête à tête donc seule à seul.
je ne voulais pas de tous ces gens dont tu nous entourais
je ne comprenais pas pourquoi tu avais besoin de parler de moi à tout le monde alors que je suis la première et seule concernée
et tout le monde sait mieux que moi ce que tu ressens pour moi car à moi tu ne dis jamais rien
tu es ce silence qui m’exaspère, pas celui des églises, pas celui des églises...
tu ne dis rien ou que de la merde, tu ne fais rien ou que de la merde, je ne sais même plus quand tu as fait un truc bien pour moi, ça doit faire si longtemps.
j’ai mal de voir à quel point je ne te comprends pas, de a à z, et sans parler de normal, je ne trouve pas ça bien
je sais pas tu as cru que je voulais aller voir quelqu’un d’autre alors que je n’ai eu personne d’autre depuis toute cette histoire
je ne sais pas ce que tu croyais
que je pensais qu’à mon travail, mais il me faut bien travailler pour te satisfaire, voudrais tu d’une femme sans profession?
c’est ça pour mère de tes enfants que tu veux? ou tu veux que nos enfants soient fiers de moi et de mon travail?
c’est pas pour moi et t’oublier que je faisais tout ça c’était pour nous et notre avenir
pour que notre couple soit stable comme nos emplois
je ne voulais pas faire passer le travail avant ni le reste avant mais tout passait comme priorités pour moi
car si je suis mal dans mon travail comment je pourrais être bien avec toi ou dans ma vie?
c’est mon épanouissement.
je voulais travailler avec toi en couple en plus donc bon je pense justement que je sacrifiais une partie de mon travail pour toi et pour tout partager et travailler avec toi
qui a fait des efforts et sacrifices pour me rapprocher de toi
qui a renoncé à une partie presque majeure de son emploi du temps
qui s’est rendue libre et sans jamais te faire sentir que tu étais de trop dans ma vie
qui a fait une place pour toi à mes côtés
qui bordel qui?
je ne trouve plus les mots non avec toi, et je n’y capte rien et vu que tu ne t’expliques cela restera un malentendu dans ce bas monde où l’on n’a plus de facilités à détruire qu’à construire...
c’est ce qui est triste, je suis en vrac, comme notre amour, tout part en vrille, ça part en couille, mes textes donnent la gerbe car c’est la merde....
comment te dire hein que toi sans moi ça veut dire quoi?
putain pourquoi on complique toujours tout dans cette putain de vie de merde, hein pourquoi?
ce serait si simple de se boire un petit café, de se dire ce qu’on pense et de se réconcilier, même si l’on doit en venir aux faits et donc soit se mettre ensemble soit oublier cette idée.
je n’arrive plus à aimer, enfin, je n’arrive plus à t’aimer
tu dis que tu m’aimes mais tu me maltraites alors je me dis que ta vision n’est pas la mienne
que nous ne sommes pas sur la même longueur d’ondes
un jour d’ailleurs le jour où tout s’est effondré, tu m’as dit nous n’avons pas les mêmes attentes et je n’ai pas compris pourquoi
maintenant je me dis que tu pensais que je ne voulais pas de toi
et je ne sais pas pourquoi tu pensais ça
ensuite concernant la fidélité, il y a bien longtemps que je suis fidèle, et ça aussi j’ai appris à gérer une situation sans tomber dans ce panneau, dans lequel on peut facilement s’adonner quant on n’a pas eu le bon coach à un moment dans sa vie.
c’est pour ça que je suis célibataire, entre autres, car je ne me vois pas encore fidèle à quelqu’un alors que je n’ai personne forcément comment pourrais-je être fidèle célibataire?
je ne trompe personne forcément car je n’ai personne
je suis seule et par choix, j’ai quitté mon conjoint car ça n’allait plus et je n’ai aucun regret
vaut mieux être seule que mal accompagnée, je dis non merci à la banalité
je dis non merci aux mensonges
je dis non merci aux enfers, et aux cauchemars, je dis non merci à tout ça
alors je suis seule oui, seule pour être libre de m’ouvrir enfin à la bonne personne un jour ou l’autre
demain, ou un peu plus loin, devant, l’horizon n’est pas tracé, l’horizon nous attend vierge et disposé à nous combler
je suis amnésique du futur, car je ne me souviendrai que du bon, que de celui que je garderai pour toujours.
ce ne fut pas toi, dommage, j’aurais bien aimé ne pas me tromper, ne pas nous tromper, ne pas se tromper, en ce sens là oui je te l’accorde nous nous sommes bien trompés.
nous avons cru changer le monde, nous avons cru trouver en l’autre ce qu’on cherchait, et en revanche nous avons souffert...
si dieu existait, il ne laisserait pas ça se passer, ou bien alors il existe et forme le destin.
tu n’es donc peut être pas destiné.
la liberté, je la concède contre un mari,

je marie ma liberté à mon futur mari.
que j’aime par avance forcément.
comment pourrais-je ne pas l’aimer?
on ne se marie pas pour se marier, enfin pas de nos jours, et pas lorsqu’on est normalement constitué
on se marie par amour, par engagement, car on pense avoir trouvé la bonne personne, et surtout car on se sent prêt
voilà la vérité
je n’ai pas d’enfants et que dieu m’en préserve tant que l’amour ne sera pas au rendez-vous et tant que la haine avortera mes enfants.
Ven 20 Juil 2012, 23:53 par inlove sur L'amour en vrac

Cours avant la tempête

Pourquoi tu es la ? Dis moi ce que tu fait. S’il te plais qu’est ce qui ne va pas ? Tu es la , a essayé d’oublier le passée douloureux. Tu l’aimais et tu l’aime encore alors que fais tu la avec elle? Tu sais qu’elle aurai tout fait pour toi, elle restait ta meilleure amie même si tout le monde te tournait le dos. Elle te croyait toujours , ta vraie seule amie, et tu ne lui a jamais dit. Elle va quitter ce monde, sa maladie c’est aggravé, et tu reste là. Mais sache que tu ne pourra pas guérir d’elle, ni l’oublier avec une autre. Tu l’as laissé seule contre sa maladie et sa peur de la mort, tu ne lui as pas dis que tu l’aimais et elle va partir. Mais tu n’arrive pas à l’oublier, tu n’y arriveras jamais. Ton amour est profond, il t’as déjà blessé, il risque de te tuer. Elle voudrait t’avoir près d’elle, toi son ami, toi elle voudrait que tu la serre contre toi, mais tu la fuis. Pour elle, pour toi, pour la vie, rejoins la , je t’en pris, pardonne lui ses silences, ses faux pas, ses erreurs, ses absences. Pardonne lui ta souffrance, va la voir, avant que le passée t’emprisonne. Si tu continue tu seras ton propre prisonnier, comme bloquer dans le couleur de la mort. Tes regret, tes remord, tes ne la ramènera jamais, ne fais pas ça, ne te détruis pas, rejoins la. Cours.... Tu as eu peur de ses chaînes, alors que tu avis aussi les tiennes. Tout ce que tu as écris c’est son sourire qui te la dictée. Alors cours ! Avant qu’il ne soit trop tard, son cœur va cesser , alors vas je t’en pris. Vas lui dire ce que tu ressens pour elle, surmonte ta peur, cour, si tu n’osais pas , il va falloir le changer. Ton absence doit lui faire plus mal qu’une chute du haut de son toit. Je t’en pris va la voir ….
Te voilà sous la pluie, tu cours, vite, plus vite. Derrière toi, une ombre, des cris un passée, et même si elle quitte ce monde elle restera ton ombre, elle gardera ta vie, comme quand tu tombait et que le monde t’abandonnais, la main qui te manquai elle te l’offrait. Elle restera ton monde a jamais. Tu continue ta course, vite, le plus vite possible, une pluie ne cesse de tombait, on pourrait dire qu’elle tombe pour toi et pour elle, a la place de l’écume dans vos yeux. Tout en courant tu te questionne est ce que tu aura la même valeur que tu lui trouvais dans les yeux d’une autre. Sous le maquillage que dessine l’amour, auras tu le courage de la guider sur son dernier voyage ?Tu aurais voulu trouver les mots pour lui parler. Tu voulais tellement lui dire ce que veut ton cœur mais tu ne trouvais plus les mots.
La pluie coule, et coule. Ce sont les larmes du ciel, de la mort , de la vie. Le temps creuse cette vie. L’eau divine du ciel ne peut cesser, le vent souffle et murmure un air calme. Les rêve ne peuvent être brisée, ce qui dise que l’amour meurt on tord. Le mon de calme, un calme tempête et te voilà qui doucement sort de l’hôpital. Tu titube, appuyer contre le mur. Elle t’aimait, et elle n’est plus. Tu l’aime et a ne changeras pas, tu ne l’effaceras pas. Cette sensation te dévore, comme si la moitié de toi venez de mourir avec elle , tes yeux coule comme la pluie autour. Elle reste avec toi quoi qu’il en coûte, elle est dans ton cœur. Ton cœur se noie mais écoute moi : l’orage a éclaté , tu veut l’effacer retourner en arrière, mais ce n’est possible, la pluie ne cesseras pas même si le ciel se dégage, continue ton chemin et n’oublie jamais que son amour est comme le vent tu ne peut plus le voir mais tu peut le sentir et cela à jamais alors laisse l’orage éclater dans ton cœur et la pluie couler car elle t’aimera.
Mar 01 Mai 2012, 22:56 par murmuran sur L'amour en vrac

Toi

Mes larmes,
Mes joies,
Mes vies,
Mes morts
Ce n’est rien.
Ce qui m’importe
C’est toi,
Ton sourire,
Et le son
De ta voix.
Ce qui me tue
C’est tes larmes,
Tes souffrances,
Et ta vie
Sans moi.
Ma vie,
Ma mort,
Mes
Ce n’est rien.
Quand tu souffres
C’est mon cœur
Qui saigne.
Ce qui est grave
C’est toi,
Tes
Et ton cœur
Qui ne bat pas.
Ce qui est bien
C’est toi,
Tes idées,
Et ton amour...
Ce qui m’importe
C’est toi,
Ton sourire,
Et le son
De ta voix.
Ce qui me tue
C’est tes larmes,
Tes souffrances,
Et ta vie
Sans moi.
Ce qui fait mal
C’est ces armes
Qui sont braquée sur toi.Toi
Ce qui me déchire
C’est l’océan
Dans tes yeux à toi.
Et ce qui me rassure,
Dans tout ça,
C’est quand ton regard
Ce pose sur moi.
Mer 15 Fév 2012, 14:24 par murmuran sur L'amour en vrac

Voici une fleur

laisse-moi le temps de t’offrir une fleur, de te dire Que c’est l’heure d’effacer toutes les .
Jeu 12 Nov 2009, 09:21 par Radski sur Parler d'amour

Qu'il doit être doux...

Qu’il doit être doux d’aimer
Lorsqu’on se sait aimé,
De pouvoir partager
Les moments d’innocence ;
Quand plane la confiance.
Que l’on se sent léger
Lorsque l’on aime
Et que l’on est aimé !
Et tout ce que l’on fait
Prend de nouveaux attraits :
Le ciel est bien plus bleu,
La terre, le vent, la pluie,
Tout se pare soudain
de tendre poésie !
Savoir que nos caresses,
Nos pensées, nos sourires
Et toutes les actions
Que notre coeur inspire
Auront un réceptacle
Et aucun interdit,
Puisqu’un autre
Les espère
Et puisqu’ils lui sourient.
Quand l’autre vient à vous
Sans fard et sans mentir,
Avec ses , avec son passé,
Les plus grands des bonheurs
Et ses rêves avortés.
Sans vouloir dominer,
Sans être votre esclave,
Sans chercher à juger
Ni à rendre minable
Ce qui reste secret.
Main dans la main
Avancer sans entrave
Pour devancer demain
Rien qu’en aimant et en étant aimé.
Vraiment, qu’il doit être doux, l’amour,
Lorsque à deux il peut se conjuguer.
Dim 17 Mai 2009, 15:53 par dolce vita sur L'amour en vrac

Qu'est-ce [...] ?

Qu’est-ce qui dilate l’âme ?
Qu’est-ce qui fait trembler, frémir, soupirer, espérer ?
Qu’est-ce qui pousse le plus sage à commettre des folies ?
Qu’est qui fait que l’homme, la femme s’oublient au profit de l’autre ?
Qu’est-ce qui fait pleurer parfois, rire d’autres ?
Qu’est-ce qui dans les de l’enfantement amène la femme à exhulter ?
Qu’est-ce qui fait couler des larmes sur les joues du plus brave ?

Cette joie, d’aucuns diraient "cette faiblesse", d’où vient-elle ?

C’est l’amour qui fait affronter la mort, la honte et la désolation !
L’amour fait du plus petit un héros, un soldat, un guerrier !
C’est l’amour qui nous tient debout, qui nous tient vivant !
C’est l’amour qui relève et réchauffe.

L’amour veut vivre dans ton coeur ? Ne le méprise pas...
Ne le renie pas.
Ne l’évite pas.

Que ton corps soit son archer...
Et ton âme son souffle...
Soies-lui fidèle
et intègre à toi-même.
Ven 12 Déc 2008, 19:07 par dolce vita sur Parler d'amour

Femmes (poèmes érotiques)

Femmes aux formes généreuses,
Invite aux caresses délicieuses,
Du bout des doigts j’effleure ton visage,
Si près du mien, tu es si sage.

Femmes aux rondeurs mystérieuses,
Passant la main sur tes courbes onctueuses,
De la tête jusqu’aux pieds,
Tout cela à merveille me sied.

Femmes pudiques et si exquises,
Un simple souffle de simples bises,
Te fais frissonner sous la chaleur,
De mes doigts avec tant de douceur.

Femmes belles j’imagine tes contours
Aphrodite, déesse de l’amour,
Parcourant ton corps avec délices,
Acceptant à présent les prémices.

Femmes aimantes et si caressantes,
J’aime ces si oppressantes,
Effleurant de ma main ton cubitus,
Avec ma langue ton Mont de Vénus.

De tes seins laiteux,
De ces plaisirs crémeux
De ma bouche qui est tienne
De ta courbe qui est mienne.

Femme que j’aime et que j’adore
Femmes que j’aime et que j’implore,
Aimant titiller ton clitoris,
Approuvant quand tu absorbes mon pénis,

Femmes femmes femmes
De la liaison coquine
A la botte Florentine
De la caresse d’une cuisse
Et de ma main qui ne glisse

Femmes, femmes femmes
Je vous aime

Poème de Sylvia de corneillan extrait de son livre Méli-Mélo
Lun 27 Oct 2008, 14:35 par titine12 sur Les liaisons sulfureuses

Un ami

Mon ami Amédée, tu es parti en ce jour
Tout seul, pour un voyage sans retour
Sans rien dire, sans amertume, sans un mot
Sans une larme, sans une plainte, sans un adieu
La camarde cette mégère
Que tant de gens espèrent
Pour abréger leurs souffrances, leurs
À frappé a ta porte rentrant à l’intérieur
Elle a fauché ta vie dans la force de l’âge
T’invitant à faire avec elle un ultime voyage
Tu laisses ici bas ta femme tes enfants
Avec qui tu partageais
Tant de merveilleux moments
J’aurais tant voulu te parler te revoir
Avant que tu partes te serrer dans mes bras
Reparler de notre amitié
De nos bêtises de gamins
Jusqu’au jour ou un beau matin
On a suivi notre route, notre destin
Les souvenirs me reviennent
Ont du mal à sortir pêle-mêle
J’ai mal pour les tiens
J’ai mal au fond de moi
Quand on perd un ami
Quoi de plus normal
Je ne te dis pas adieu
Je te dis au revoir
Car je sais au fond de moi
Que bientôt on se reverra
Ven 03 Août 2007, 04:43 par pierre de la carolina sur Mille choses

L'écriture

Quand je me mets à écrire, mon esprit s’évade, je libère mes pensées, et mes émotions ressortent. Je suis cet homme au coeur de pierre qui pourtant laisse ses sentiments se propager...au travers de la plume.
Ecriture, tu es ma confidente, ma bien-aimée, sans toi je ne peux avancer, tu me soulages de poids et de terribles, tu es toujours à mes côtés, et tu m’aides à me sentir mieux au sein de la société.
Je t’ai découverte adolescent en quête de repères et j’ai senti que tu me portais et m’aidais à traverser les étapes difficiles de ma vie. Je sais que je peux compter sur toi, et je ne te laisserai plus jamais filer.
Tu connais toute ma vie, tous mes problèmes, tout ce que j’ai pu subir mais aussi mes moments heureux, tu prends une grande place dans ma vie, et je sais bien que je suis dépendant de toi.
Mais je pense que tu es la plus douce dépendance que je n’ai jamais rencontrée...


Jérôme
Lun 02 Juil 2007, 23:56 par jejefofo sur Mille choses

Petit brin de muguet (2 )...

Il est 23 heures 30...

Petit brin de muguet
Petit brin de bonheur
Tu es enfin venu à moi
Merci ma Sophie
D’avoir pensé à moi....

Tu as mis du baume à mon coeur
Et je vais m’endormir avec moins de ...

Douces pensées à mes 3 enfants
Sophie, Caroline, François


Marie rose
Mar 01 Mai 2007, 22:33 par Satine sur Mille choses
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Ecrire sur douleurs

Ecrire sur douleurs Délivrance( suite du texte je m'en vais), Je rêve, Délivrance, L'amour est-il un crime ? chapitre 5, L'amour est-il un crime ? chapitre 3, La colombe ou la liberté, en destinée, Cours avant la tempête, Toi, Voici une fleur, Qu'il doit être doux..., Qu'est-ce [...] ?, Femmes (poèmes érotiques), Un ami, L'écriture, Petit brin de muguet (2 )...,
Il y a 41 textes utilisant le mot douleurs. Ces pages présentent les textes correspondant.

Bonne lecture !

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Le feu le plus couvert est le plus ardent.

Ovide.

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