Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur encre
Port d'attache
Tu es celui pour qui je parcours,
Mon encre, se jette à tes pieds.
Et je "vogue"sans cesse ,pour te retrouver
Et m’arrête la ou tu es passé.
Je m’ imprègne de tes passages si courts...
Mais tu nages vers d’autres rivages
A savoir si un jour tu t’arrêtera de" flotter"
Je te suis malgré tout silencieusement
Sentant comme un parfum ,se diffuser
Algues marines,épices boisées,
Le dernier flacon, entamé...
Je jette la bouteille à la mer.
Papier glissé, de mots enflammés
Pour te dire que je suis bien arrivée.
Et que je t’attends toujours caressedesyeux
Mon encre, se jette à tes pieds.
Et je "vogue"sans cesse ,pour te retrouver
Et m’arrête la ou tu es passé.
Je m’ imprègne de tes passages si courts...
Mais tu nages vers d’autres rivages
A savoir si un jour tu t’arrêtera de" flotter"
Je te suis malgré tout silencieusement
Sentant comme un parfum ,se diffuser
Algues marines,épices boisées,
Le dernier flacon, entamé...
Je jette la bouteille à la mer.
Papier glissé, de mots enflammés
Pour te dire que je suis bien arrivée.
Et que je t’attends toujours caressedesyeux
Jeu 06 Jan 2011, 19:19 par
caressedesyeux sur Mille choses
Stylo
J’aimerais vous offrir un stylo a encre de modèle que l’on appelait à pompe, pour que vous puissiez écrire votre poème sur une grande feuille de format aigle.
Lorsque vous prendrez le stylo dans vos doigts il sera brûlant, dans votre tête vos mots seront prêts, et lorsque le stylo touchera le papier, pleins et déliés se couvriront de l’encre blanche et chaude qui coulera du bonheur de vos mots, le réservoir sera vite a sec et il faudra se reprendre en plusieurs fois pour couvrir cet aigle du bonheur de vos écrits.
Lorsque vous prendrez le stylo dans vos doigts il sera brûlant, dans votre tête vos mots seront prêts, et lorsque le stylo touchera le papier, pleins et déliés se couvriront de l’encre blanche et chaude qui coulera du bonheur de vos mots, le réservoir sera vite a sec et il faudra se reprendre en plusieurs fois pour couvrir cet aigle du bonheur de vos écrits.
Mar 04 Jan 2011, 00:18 par
antoine sur Les liaisons sulfureuses
Ainsi font font font les petits bateaux
Ils naviguent sur l’eau,
A la queue, leu leu
Et regardent avec leurs yeux
De merveilleux paysages
ou on leur apprend à être sage en écoutant les mages
Leur narrer de belles histoires....
L’espoir de croire qu’il existe encore de beaux pays
De l’Italie en Syrie
De Tombouctou à Mandchou ...
Ainsi font font font les petits bateaux qui ne prennent jamais l’eau
Qui nous bercent de leur nonchalance, et nous balance de bâbord, à tribord.
Avec nos hauts du cœur.
Ils jettent leur encre,pour quelques temps
Et s’endorment,avec le vent ...
Le chant des sirènes les interpelle
Ces belles qui les ensorcelle,
Et dont ils s’échouent à jamais....
Ainsi font ,font font les petits bateaux, qui naviguent sur l’eau
Sans jamais se quitter.
caressedesyeux
Mar 05 Oct 2010, 11:14 par
caressedesyeux sur Mille choses
Port d'attache
Tu es celui pour qui je parcours,
Mon encre, se jette à tes pieds.
Et je "vogue"sans cesse ,pour te retrouver
Et m’arrête la ou tu es passé.
Je m’ imprègne de tes passages si courts...
Mais tu nages vers d’autres rivages
A savoir si un jour tu t’arrêtera de" flotter".
Je te suis malgré tout silencieusement
Sentant comme un parfum ,se diffuser.
Algues marines,épices boisées,
Le dernier flacon, entamé...
Je jette la bouteille à la mer
Papier glissé, de mots enflammés.
Pour te dire que je suis bien arrivée
Et que je t’attends toujours .
caressedesyeux
Mon encre, se jette à tes pieds.
Et je "vogue"sans cesse ,pour te retrouver
Et m’arrête la ou tu es passé.
Je m’ imprègne de tes passages si courts...
Mais tu nages vers d’autres rivages
A savoir si un jour tu t’arrêtera de" flotter".
Je te suis malgré tout silencieusement
Sentant comme un parfum ,se diffuser.
Algues marines,épices boisées,
Le dernier flacon, entamé...
Je jette la bouteille à la mer
Papier glissé, de mots enflammés.
Pour te dire que je suis bien arrivée
Et que je t’attends toujours .
caressedesyeux
Sam 02 Oct 2010, 14:24 par
caressedesyeux sur Mille choses
Une croisiere
Une croisière sur notre voilier
Sur les cotes de la méditerranée
Nous sommes enfin seuls.
J’ai attendu des semaines
Pour t’emmener.
Et nous voila tous les deux
Et très amoureux.
Plus les jours passent , plus je m’attache.
TU es mon encre bien attachée à mon coeur
Toi qui à tant de douceur.
je me sens pousser des ailes
Et je décrocherai pour toi le soleil.
Si ,il le fallait
De ces rayons qui bruleraient, nos peaux
Et de nos cœurs battant à l’unisson.
caressedesyeux

Dim 18 Avril 2010, 20:15 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Elles sont rares les journées normales ...
Elles sont rares les journées normales dans la vie d’un homme. Les jours où il sort de sa cage d’humanité… pour devenir un oiseau.
Une journée… ou une demi-journée… peut-être… dans toute sa vie où il sort de sa rivière étroite, pour pratiquer sa liberté, pour dire ce qu’il veut… pour faire ce qu’il veut… pour aimer qui il veut quand il le veut.
Il est rare qu’un homme arrive au top de sa liberté, qu’il sorte du coffre fermé à clef qui représente, en réalité, la monotonie de sa vie régulière combinée aux relations sociétaires qu’il entretient pour… pour aimer tout simplement.
L’homme est plein de liberté, mais il n’est pas aussi libre qu’il le pense. Il n’est même pas libre dans sa prière avec ses mains, ses lèvres, ses vêtements, ses paroles et ses discussions régulières.
Si je t’écris à propos de ce jour anormal c’est que je ne sens pas que je me suis libéré, en ce jour, de mon encre et de mon sang… que je me suis évadé du coffre de la société et de la tanière du passé pour vivre ma liberté comme la vit n’importe quel oiseau sauvage dans la nature.
J’aimerais monter avec toi, même pour une seule fois, le train de la folie… Un train qui oublie ses quais, ses rails et les noms de ses passagers.
Quand je t’écris je me sens libre… je me sens léger comme un oiseau mythique qui n’aurait pas de poids… Quand je t’écris je me sépare du temps… je me sépare de l’attraction terrestre et je m’envole… je m’envole et je gravite comme un astre dans la galaxie, dans l’univers de tes yeux.
De l’espace, l’homme perçoit ses sentiments d’une autre manière. Les sentiments se libèrent de la poussière de la terre, de sa gravité, de ses lois… L’amour devient une balle de coton sans masse.
Ah ! L’amour, quel sentiment étrange. Ce papillon incroyablement beau qui s’installe sur nos épaules, ce poisson doré qui sort de la mer, cette étoile toute bleue qui nous tend les bras.
Avant de te parler j’étais daltonien, mais maintenant je commence à distinguer les couleurs de la vie. Mes sentiments sont arrivés à un point de non retour. Je suis en train de brûler vif, tu m’as crucifié avec ton regard, tu m’as pendu avec ton sourire...
Excuse ma franchise mais je ne peux plus garder ces mots à l’intérieur de mon cœur, mon pauvre cœur qui n’arrête pas de battre exclusivement pour toi.
Tu me demandes ce que j’ai fais dans ton absence, mais tu n’as jamais été absente, tu n’as jamais quitter mon esprit et mon cœur.
Te téléphoner est devenu le seul plaisir que je m’accorde dans ma vie si monotone et si pleine de tristesse, mais te voir, alors là, c’est l’orgasme total.
Je suis parti parler de toi, de mon amour pour toi, à la mer qui, pour la première fois de ma vie, est restée muette comme si elle était jalouse de toi.
J’aimerais avoir des pouvoirs magiques pour figer les courts instants pendant lesquels on se rencontre, pendant lesquels on discute, pendant lesquels je me sens vivant…
Les anges doivent se prosterner devant toi, même l’ange de la mort a peur de croiser ton regard brûlant, ce regard qui a brûlé les veines de mon corps sur le bûché de l’amour.
Je sais qu’on ne se connaît que depuis peu mais cette complicité m’étonne. On dirait que le destin nous a réservé cette rencontre pour rappeler, à chacun de nous que la vie vaut la peine d’être vécue.
Pour moi t’es un ange du destin qui a croisé ma route pour sauver mon âme.
Une journée… ou une demi-journée… peut-être… dans toute sa vie où il sort de sa rivière étroite, pour pratiquer sa liberté, pour dire ce qu’il veut… pour faire ce qu’il veut… pour aimer qui il veut quand il le veut.
Il est rare qu’un homme arrive au top de sa liberté, qu’il sorte du coffre fermé à clef qui représente, en réalité, la monotonie de sa vie régulière combinée aux relations sociétaires qu’il entretient pour… pour aimer tout simplement.
L’homme est plein de liberté, mais il n’est pas aussi libre qu’il le pense. Il n’est même pas libre dans sa prière avec ses mains, ses lèvres, ses vêtements, ses paroles et ses discussions régulières.
Si je t’écris à propos de ce jour anormal c’est que je ne sens pas que je me suis libéré, en ce jour, de mon encre et de mon sang… que je me suis évadé du coffre de la société et de la tanière du passé pour vivre ma liberté comme la vit n’importe quel oiseau sauvage dans la nature.
J’aimerais monter avec toi, même pour une seule fois, le train de la folie… Un train qui oublie ses quais, ses rails et les noms de ses passagers.
Quand je t’écris je me sens libre… je me sens léger comme un oiseau mythique qui n’aurait pas de poids… Quand je t’écris je me sépare du temps… je me sépare de l’attraction terrestre et je m’envole… je m’envole et je gravite comme un astre dans la galaxie, dans l’univers de tes yeux.
De l’espace, l’homme perçoit ses sentiments d’une autre manière. Les sentiments se libèrent de la poussière de la terre, de sa gravité, de ses lois… L’amour devient une balle de coton sans masse.
Ah ! L’amour, quel sentiment étrange. Ce papillon incroyablement beau qui s’installe sur nos épaules, ce poisson doré qui sort de la mer, cette étoile toute bleue qui nous tend les bras.
Avant de te parler j’étais daltonien, mais maintenant je commence à distinguer les couleurs de la vie. Mes sentiments sont arrivés à un point de non retour. Je suis en train de brûler vif, tu m’as crucifié avec ton regard, tu m’as pendu avec ton sourire...
Excuse ma franchise mais je ne peux plus garder ces mots à l’intérieur de mon cœur, mon pauvre cœur qui n’arrête pas de battre exclusivement pour toi.
Tu me demandes ce que j’ai fais dans ton absence, mais tu n’as jamais été absente, tu n’as jamais quitter mon esprit et mon cœur.
Te téléphoner est devenu le seul plaisir que je m’accorde dans ma vie si monotone et si pleine de tristesse, mais te voir, alors là, c’est l’orgasme total.
Je suis parti parler de toi, de mon amour pour toi, à la mer qui, pour la première fois de ma vie, est restée muette comme si elle était jalouse de toi.
J’aimerais avoir des pouvoirs magiques pour figer les courts instants pendant lesquels on se rencontre, pendant lesquels on discute, pendant lesquels je me sens vivant…
Les anges doivent se prosterner devant toi, même l’ange de la mort a peur de croiser ton regard brûlant, ce regard qui a brûlé les veines de mon corps sur le bûché de l’amour.
Je sais qu’on ne se connaît que depuis peu mais cette complicité m’étonne. On dirait que le destin nous a réservé cette rencontre pour rappeler, à chacun de nous que la vie vaut la peine d’être vécue.
Pour moi t’es un ange du destin qui a croisé ma route pour sauver mon âme.
Lun 18 Mai 2009, 12:16 par
AsmodeE sur Parler d'amour
L'envie.
Noire est cette encre fluide qui coule comme un ruisseau
Sur le lit de ces lignes qui attendent mes mots.
Noires sont les pensées qui désormais me hantent,
Mon cerveau est un château et ses fantômes chantent.
Noirs sont leurs requiems et leurs draps de velours,
Elle flotte la douleur et jamais ne fait demi-tour.
Noir est le sable de mon temps qui s’écoule,
Seul dans un désert enfoui au milieu de la foule.
Je suis le loup-garou accro
A vos yeux "quarts de lune".
Et, j’en ferais mes runes,
Si je n’y risquais pas ma peau.
Appeler une invocation
Apaiserait mon tourment :
Cette balle en argent
Dont vous gérez l’explosion.
Non, vous n’êtes pas fautive,
Et je mérite ce sort :
J’aime vos trésors
Et aussi votre aura vive.
Le lycanthrope veut la Lune,
Il n’y aboutira point.
Elle n’est faite pour les siens,
Juste pour leur désir... Quelle fortune!
Sur le lit de ces lignes qui attendent mes mots.
Noires sont les pensées qui désormais me hantent,
Mon cerveau est un château et ses fantômes chantent.
Noirs sont leurs requiems et leurs draps de velours,
Elle flotte la douleur et jamais ne fait demi-tour.
Noir est le sable de mon temps qui s’écoule,
Seul dans un désert enfoui au milieu de la foule.
Je suis le loup-garou accro
A vos yeux "quarts de lune".
Et, j’en ferais mes runes,
Si je n’y risquais pas ma peau.
Appeler une invocation
Apaiserait mon tourment :
Cette balle en argent
Dont vous gérez l’explosion.
Non, vous n’êtes pas fautive,
Et je mérite ce sort :
J’aime vos trésors
Et aussi votre aura vive.
Le lycanthrope veut la Lune,
Il n’y aboutira point.
Elle n’est faite pour les siens,
Juste pour leur désir... Quelle fortune!
Lun 09 Mars 2009, 18:49 par
Le pétale noir sur L'amour en vrac
Sans Mon Coeur
Je meurs et je ris
Je pleure et je vis
Encre noire qui coule dans mes veines
Sang qui innonde mes sens
Perdu dans l’infini
De la nuit sans pluie
Ou brûle mes désirs
Au souvenir de la mort
Je pleure et je vis
Encre noire qui coule dans mes veines
Sang qui innonde mes sens
Perdu dans l’infini
De la nuit sans pluie
Ou brûle mes désirs
Au souvenir de la mort
Jeu 26 Oct 2006, 19:24 par
coupdecoeur sur Mille choses
Subtil, précis, extrême.
Ma douce âme, ma vie
dans l’art de t’écrire je me défends,
dans l’art de te dire j’apprends,
dans l’art de te faire l’amour je reste humble.
Ma douce âme, ma vie
je t’écris souvent,
je te dis quelquefois,
je te fais l’amour parfois.
Ma douce âme, ma vie
le désir en encre bleue sur fond blanc
en pleins et en déliés, subtils,
le désir du souffle de ma bouche
au creux de ton oreille, précis,
le désir de mon corps tendu
accroché à ton désir, extrême;
ma douce âme, ma vie
au fond des miens, tenir tes yeux
et regarder ton plaisir s’y perdre.
dans l’art de t’écrire je me défends,
dans l’art de te dire j’apprends,
dans l’art de te faire l’amour je reste humble.
Ma douce âme, ma vie
je t’écris souvent,
je te dis quelquefois,
je te fais l’amour parfois.
Ma douce âme, ma vie
le désir en encre bleue sur fond blanc
en pleins et en déliés, subtils,
le désir du souffle de ma bouche
au creux de ton oreille, précis,
le désir de mon corps tendu
accroché à ton désir, extrême;
ma douce âme, ma vie
au fond des miens, tenir tes yeux
et regarder ton plaisir s’y perdre.
Mar 21 Fév 2006, 23:42 par
Lou sur Les liaisons sulfureuses
La joie en vagues pures...
Ce matin, j’ai senti comme une onde d’énergie se déversant en moi en une pluie bienheureuse. Des vagues successives enveloppent mon être et irradient bien au delà peut-être : je ne puis contenir les flots de ce vin là qui me grise et m’enchante. D’où vient-il ? Quel est-il ? Ma foi, je ne le sais pas. Ma vie était si grise qu’une fine poussière me couvrait toute entière. Et me voilà debout et la vie me sourit et de quelle magie, sans doute universelle ! ! ! J’ai envie de chanter, j’ai envie de danser, j’ai envie de laisser en moi cette joie emporter tous les flots de grisaille de mon récent passé. Je ne cessais de dire : quand verrais-je le bout ? Quand sortirais-je enfin, n’y a-t-il pas de fin ? Et quand n’y croyant plus, quand de guerre lasse, j’ai laissé les mots couler leur encre épaisse et noire, me voilà relevée et marchant tout en haut !
Ô matinée divine, ô éternels cieux, voilà que s’illumine le chemin qui m’entraîne comme un souffle glorieux...
Mais que m’arrive-t-il et quelle cohorte de sentiments soudains ; c’est comme si trop longtemps contenus ils se poussent du coude et sortent à qui mieux mieux ! ! ! Qu’importe les dérives et les débordements : je sens monter la vie en flots éblouissants ! ! ! Sur la route, en chemin, je saurais reconnaître celui qui seul m’attend et tous deux de l’amour nous ferons la conquête, buvant à la fontaine comme deux coeurs d’enfants...
Ô matinée divine, ô éternels cieux, voilà que s’illumine le chemin qui m’entraîne comme un souffle glorieux...
Mais que m’arrive-t-il et quelle cohorte de sentiments soudains ; c’est comme si trop longtemps contenus ils se poussent du coude et sortent à qui mieux mieux ! ! ! Qu’importe les dérives et les débordements : je sens monter la vie en flots éblouissants ! ! ! Sur la route, en chemin, je saurais reconnaître celui qui seul m’attend et tous deux de l’amour nous ferons la conquête, buvant à la fontaine comme deux coeurs d’enfants...
Sam 10 Déc 2005, 14:04 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Ecrire sur encre

Il y a 10 textes utilisant le mot encre. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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