Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur ensemble - Page 6 sur 13
Histoires d'eaux...
Au lac de tes yeux
Par un jour d’été orageux,
Larguant les amarres et nos vêtements
A l’appel de l’eau claire dans tes yeux,
Nous plongeons, libres amants,
Dans un lac aussi lisse et calme
Que ton corps et ton âme.
Nos peaux nues saisies de fraîcheur
Se collent ensemble, pur bonheur.
Tes seins raidis par le froid
Glissent à mon torse, pur émoi.
Mes mains entourent ta tête,
Ton regard plonge dans le mien
M’invitant sans détour à la fête
Des sens, à se faire du bien.
Alors commençe un tendre tumulte,
Des envies de cambrures exaltées,
Des rires, des chahuts, des insultes,
Des corps à corps attirés, chavirés, repoussés...
Jeux libres, sans contraintes,
De désirs et d’ardeurs non feintes
Pour parvenir enfin à l’union de la chair,
A ce plaisir chaud qui nous est si cher...
Lèvres charnues et langues tièdes,
Ma bouche touche tes seins ronds,
Ta main saisi ma verge soudain si raide
Et l’agite abilement d’une tension féconde !
Gonflement sensible, comblant ta paume,
Envies subites et féroces en ce lieu sauvage !
Nous sommes rejoins par l’orage
Qui couvre le ciel de son dôme.
Au lac de tes yeux je m’abreuve -
Tentation tentaculaire,
Mon sexe se glisse telle une pieuvre
Au creux de tes cuisses,
Torsion spectaculaire,
Je m’invite en ta matrice...
Chemins sous-marins -
Tu ouvres tes reins.
Remoux, vagues d’extase,
Plus besoin des phrases
Tout s’achève en eaux
En spasmes doux et chauds...
Copyright Cyr
www.poesie-erotique.net
Venez lire ou contribuer aux histoires d’eaux pendant tout l’été sur poesie-erotique.net
Par un jour d’été orageux,
Larguant les amarres et nos vêtements
A l’appel de l’eau claire dans tes yeux,
Nous plongeons, libres amants,
Dans un lac aussi lisse et calme
Que ton corps et ton âme.
Nos peaux nues saisies de fraîcheur
Se collent ensemble, pur bonheur.
Tes seins raidis par le froid
Glissent à mon torse, pur émoi.
Mes mains entourent ta tête,
Ton regard plonge dans le mien
M’invitant sans détour à la fête
Des sens, à se faire du bien.
Alors commençe un tendre tumulte,
Des envies de cambrures exaltées,
Des rires, des chahuts, des insultes,
Des corps à corps attirés, chavirés, repoussés...
Jeux libres, sans contraintes,
De désirs et d’ardeurs non feintes
Pour parvenir enfin à l’union de la chair,
A ce plaisir chaud qui nous est si cher...
Lèvres charnues et langues tièdes,
Ma bouche touche tes seins ronds,
Ta main saisi ma verge soudain si raide
Et l’agite abilement d’une tension féconde !
Gonflement sensible, comblant ta paume,
Envies subites et féroces en ce lieu sauvage !
Nous sommes rejoins par l’orage
Qui couvre le ciel de son dôme.
Au lac de tes yeux je m’abreuve -
Tentation tentaculaire,
Mon sexe se glisse telle une pieuvre
Au creux de tes cuisses,
Torsion spectaculaire,
Je m’invite en ta matrice...
Chemins sous-marins -
Tu ouvres tes reins.
Remoux, vagues d’extase,
Plus besoin des phrases
Tout s’achève en eaux
En spasmes doux et chauds...
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Mar 17 Juil 2007, 13:35 par
cyrpoete sur Les liaisons sulfureuses
Parfait mais à 2
L’homme et la femme sont deux êtres humains
Faits pour être ensemble, ils sont différents.
De leurs différences naît l’attrait et les sentiments
Mais aussi la discorde...
Un savant dosage permet le bonheur
Mais de là à arriver à une parfaite symbiose...
Nous restons humains...
Faits pour être ensemble, ils sont différents.
De leurs différences naît l’attrait et les sentiments
Mais aussi la discorde...
Un savant dosage permet le bonheur
Mais de là à arriver à une parfaite symbiose...
Nous restons humains...
Dim 01 Juil 2007, 20:00 par
Loyd sur Un monde parfait
Un monde parfait...
Dans un monde parfait, nous serions ensemble
A la fois, amis partageant nos confidences
Et amants baignant dans une folle passion
Refaisant le monde dans nos débats
Et déchirant la nuit de nos ébats
Où le jour illustrerait notre bonheur
Et nos nuits en seraient la preuve
Mais voilà,
Le monde n’est pas parfait...
A la fois, amis partageant nos confidences
Et amants baignant dans une folle passion
Refaisant le monde dans nos débats
Et déchirant la nuit de nos ébats
Où le jour illustrerait notre bonheur
Et nos nuits en seraient la preuve
Mais voilà,
Le monde n’est pas parfait...
Sam 30 Juin 2007, 22:50 par
Loyd sur Un monde parfait
Quelques années, et quelques siècles...
Comme aujourd’hui, elle avait d’abord caressé tout son corps, longtemps, lentement.
Comme aujourd’hui, bien après qu’il se soit abandonné à elle, il osait encore à peine la toucher.
Comme aujourd’hui, il n’avait d’abord cédé qu’au besoin de laisser ses doigts découvrir le grain de sa peau, de permettre à ses mains, enfin, d’apprendre son corps.
Comme aujourd’hui, bientôt il s’était laissé gagner par le désir jusque là réprimé de la découvrir autrement, et s’était étonné de l’harmonie de leurs souffles.
Comme aujourd’hui, leurs corps enfin s’étaient unis, s’enflammant ensemble, se consumant l’un l’autre, s’épuisant presque, jusqu’à atteindre la crête de l’ultime déferlante qui les avait laissés comme échoués dans les bras l’un de l’autre.
Comme aujourd’hui, elle était restée lovée contre lui de tout son corps, les yeux fermés, pendant qu’il la regardait en continuant à la caresser doucement, et il sait que de même que cette autre fois, l’aube sera là déjà qu’ils seront encore éveillés du bonheur d’être ensemble.
Il sait, aussi, que le petit matin, cette fois, ne les séparera pas.
Aeryn
Sláinte agus saol agaibh...
Comme aujourd’hui, bien après qu’il se soit abandonné à elle, il osait encore à peine la toucher.
Comme aujourd’hui, il n’avait d’abord cédé qu’au besoin de laisser ses doigts découvrir le grain de sa peau, de permettre à ses mains, enfin, d’apprendre son corps.
Comme aujourd’hui, bientôt il s’était laissé gagner par le désir jusque là réprimé de la découvrir autrement, et s’était étonné de l’harmonie de leurs souffles.
Comme aujourd’hui, leurs corps enfin s’étaient unis, s’enflammant ensemble, se consumant l’un l’autre, s’épuisant presque, jusqu’à atteindre la crête de l’ultime déferlante qui les avait laissés comme échoués dans les bras l’un de l’autre.
Comme aujourd’hui, elle était restée lovée contre lui de tout son corps, les yeux fermés, pendant qu’il la regardait en continuant à la caresser doucement, et il sait que de même que cette autre fois, l’aube sera là déjà qu’ils seront encore éveillés du bonheur d’être ensemble.
Il sait, aussi, que le petit matin, cette fois, ne les séparera pas.
Aeryn
Sláinte agus saol agaibh...
Ven 29 Juin 2007, 16:48 par
Aeryn sur La première fois
Éternel Duo
Nous nous sommes Souvenus
Retrouvés et Reconnus encore
Je ne sais combien de fois déjà
Les siècles, les Océans, le Vent
La Tempête, la folie des Hommes
Entre nous se dressent puis s’effacent
Nous nous sommes déjà joués
Des dieux et de leurs guerres
Des Mers, de tous les Ouragans
Ici ou Ailleurs, en un autre Temps
Peu importe l’endroit, l’époque
Nos Rêves toujours Renaissent
Et si demain le courant t’emporte
Je serai cette Sirène te guidant
Jusqu’à la Rive et jusqu’à moi
Et si tu sombres, si tu meurs
J’enverrai un Ange pour souffler
Sur Toi et te reprendre à la mort
Et l’Amour trouvera encore
Son Chemin dans ton Coeur
Comme autrefois te rendra Vie
Nos Rêves toujours survivent
Et ils le feront cette fois encore
Et autant de fois qu’il le faudra
Jusqu’à rejoindre cet Instant
Qui quelque part nous attend
Pour qu’Ensemble Nous vivions
Jusqu’à atteindre le Moment
Où Nous pourrons découvrir
Ensemble chaque Lendemain
Retrouvés et Reconnus encore
Je ne sais combien de fois déjà
Les siècles, les Océans, le Vent
La Tempête, la folie des Hommes
Entre nous se dressent puis s’effacent
Nous nous sommes déjà joués
Des dieux et de leurs guerres
Des Mers, de tous les Ouragans
Ici ou Ailleurs, en un autre Temps
Peu importe l’endroit, l’époque
Nos Rêves toujours Renaissent
Et si demain le courant t’emporte
Je serai cette Sirène te guidant
Jusqu’à la Rive et jusqu’à moi
Et si tu sombres, si tu meurs
J’enverrai un Ange pour souffler
Sur Toi et te reprendre à la mort
Et l’Amour trouvera encore
Son Chemin dans ton Coeur
Comme autrefois te rendra Vie
Nos Rêves toujours survivent
Et ils le feront cette fois encore
Et autant de fois qu’il le faudra
Jusqu’à rejoindre cet Instant
Qui quelque part nous attend
Pour qu’Ensemble Nous vivions
Jusqu’à atteindre le Moment
Où Nous pourrons découvrir
Ensemble chaque Lendemain
Jeu 28 Juin 2007, 08:27 par
Aeryn sur L'amour en vrac
J'aurais voulu que tu sois comme un " frère "...
On s’est rencontrés, on avait tout juste dix huit ans
On était jeunes, trop jeunes sans doute.
On a grandi ensemble comme un frère et une soeur.
Il y avait tellement de ressemblances dans notre histoire...
Nos parents n’ont pas su nous aimer
Tous deux, nous étions des " écorchés vifs ".
Ensemble, on a passé des soirées et des nuits
A vouloir refaire le monde.
Mais on a vite compris
Que le monde tournerait sans nous
Et que nos idéaux resteraient vains.
On s’est aimé comme des fous...
Tu as été mon mentor
Mon " Dieu " en qui j’ai eu la foi,
Tu as été mon tout, mon toit
Je me suis tant réfugiée contre toi
Pour trouver de l’apaisement à mes détresses
Je ne pouvais vivre sans toi
Ma propre existence ne m’ayant jamais intéressé.
On a continué à " grandir ".
Tu es devenu homme et moi femme, certes
Mais mon âme d’enfant est resté si présente en moi
Que je suis, par définition une femme-enfant.
On a apppris à se découvrir.
La vie a passé...
On a fait un bébé, puis un deuxième et un troisième.
C’est de toi que j’ai voulu nos trois enfants.
Au cours de notre vie
Peines et joies se sont entremêlées
On a continué à " mûrir " dans notre vie d’adulte
Toi toujours plus vite que moi.
On a évolué...
Le temps des incompréhensions est venu
J’ai fini par souffrir de tes colères
Qui devenaient parfois violentes
Et qui ont fini par me faire peur.
Mes " silences " que tu as pris pour des mensonges
Tu ne les a pas supportés.
La mélancolie qui m’habite
a fini par t’être " pesante ".
On a fini par ne plus " se comprendre "
Alors un matin j’ai voulu que cela cesse.
J’ai pris une décison qui t’a " blessé.
Je porte " sur mes épaules " la responsabilité de notre séparation
Puisque cela a été mon choix.
Sur le chemin de ma vie
J’ai rencontré un homme
Auquel je me suis attachée.
J’ai " tu " cette relation.
Non pas que je voulais te mentir
Mais te connaissant d’un tempérament jaloux
J’ai voulu la vivre et lui donner une existence...
Un jour tu m’as dit avoir rencontré une femme
Avec laquelle tu as vécu quelques mois
Tu m’as dit l’avoir fait
Pensant me " rendre " jalouse "
En vain...
La vie a continué...
En octobre, ma vie a basculé.
Tu t’es mêlé de ma vie sentimentale.
Tu pensais que cela allait mettre fin à cette relation...
Et que tu allais me " retrouver ".
En vain...
Je pensais être forte et
Ma fragilité est revenue.
Depuis j’ai sombré dans le désespoir.
Pourquoi , je ne sais pas...
Tu sais que je suis de
Ces femmes que l’on n’oublie pas.
J’ai tant à donner... et sans doute
pour cela que je " peux venir à manquer ".
T’aurais pu être comme un frère
A qui on dit tout
Puisque à un frère
On n’a pas de raison de mentir
Alors j’aurai parlé...
Avec honnêteté
Mais je ne veux pas
Qu’elle se " retourne " contre moi.
Je suis si mal...
La vie est un combat
Pour tout à chacun
Mais chaque jour, je perds un peu de ces forces...
Qui font que l’on " reprend le dessus ".
T’aurais pu être comme un frère
Dont les liens sont inneffaçables
Puisque que tu aurais été un " frère de sang "...
Marie
On était jeunes, trop jeunes sans doute.
On a grandi ensemble comme un frère et une soeur.
Il y avait tellement de ressemblances dans notre histoire...
Nos parents n’ont pas su nous aimer
Tous deux, nous étions des " écorchés vifs ".
Ensemble, on a passé des soirées et des nuits
A vouloir refaire le monde.
Mais on a vite compris
Que le monde tournerait sans nous
Et que nos idéaux resteraient vains.
On s’est aimé comme des fous...
Tu as été mon mentor
Mon " Dieu " en qui j’ai eu la foi,
Tu as été mon tout, mon toit
Je me suis tant réfugiée contre toi
Pour trouver de l’apaisement à mes détresses
Je ne pouvais vivre sans toi
Ma propre existence ne m’ayant jamais intéressé.
On a continué à " grandir ".
Tu es devenu homme et moi femme, certes
Mais mon âme d’enfant est resté si présente en moi
Que je suis, par définition une femme-enfant.
On a apppris à se découvrir.
La vie a passé...
On a fait un bébé, puis un deuxième et un troisième.
C’est de toi que j’ai voulu nos trois enfants.
Au cours de notre vie
Peines et joies se sont entremêlées
On a continué à " mûrir " dans notre vie d’adulte
Toi toujours plus vite que moi.
On a évolué...
Le temps des incompréhensions est venu
J’ai fini par souffrir de tes colères
Qui devenaient parfois violentes
Et qui ont fini par me faire peur.
Mes " silences " que tu as pris pour des mensonges
Tu ne les a pas supportés.
La mélancolie qui m’habite
a fini par t’être " pesante ".
On a fini par ne plus " se comprendre "
Alors un matin j’ai voulu que cela cesse.
J’ai pris une décison qui t’a " blessé.
Je porte " sur mes épaules " la responsabilité de notre séparation
Puisque cela a été mon choix.
Sur le chemin de ma vie
J’ai rencontré un homme
Auquel je me suis attachée.
J’ai " tu " cette relation.
Non pas que je voulais te mentir
Mais te connaissant d’un tempérament jaloux
J’ai voulu la vivre et lui donner une existence...
Un jour tu m’as dit avoir rencontré une femme
Avec laquelle tu as vécu quelques mois
Tu m’as dit l’avoir fait
Pensant me " rendre " jalouse "
En vain...
La vie a continué...
En octobre, ma vie a basculé.
Tu t’es mêlé de ma vie sentimentale.
Tu pensais que cela allait mettre fin à cette relation...
Et que tu allais me " retrouver ".
En vain...
Je pensais être forte et
Ma fragilité est revenue.
Depuis j’ai sombré dans le désespoir.
Pourquoi , je ne sais pas...
Tu sais que je suis de
Ces femmes que l’on n’oublie pas.
J’ai tant à donner... et sans doute
pour cela que je " peux venir à manquer ".
T’aurais pu être comme un frère
A qui on dit tout
Puisque à un frère
On n’a pas de raison de mentir
Alors j’aurai parlé...
Avec honnêteté
Mais je ne veux pas
Qu’elle se " retourne " contre moi.
Je suis si mal...
La vie est un combat
Pour tout à chacun
Mais chaque jour, je perds un peu de ces forces...
Qui font que l’on " reprend le dessus ".
T’aurais pu être comme un frère
Dont les liens sont inneffaçables
Puisque que tu aurais été un " frère de sang "...
Marie
Mer 06 Juin 2007, 13:28 par
Satine sur Histoires d'amour
Une lettre d'amour
Chéri,
La brise se retient, le ciel s’assombris, il est chargé, bientôt il va pleuvoir et… il faut que je parte.
Déjà cela me manque, l’atmosphère chaleureuse de l’appart, l’odeur de la cuisine, le divan lit du salon, témoins de tant de nos acrobaties. Déjà, oui mon amour, la nostalgie de ces années passées ensemble, de ces années de joie et de peine, ces années euphoriques un peu propriétaires peut-être de notre vie, celle-la même qu’on ne partagera plus…jamais… Hélas !
Que je t’aime ! Que je t’aime ! Que je t’aime ! Cet amour que ces années n’ont pas réussit à ternir l’éclat, au contraire ils l’ont agrandit, mûrit, l’assagit et est-ce peut-être à cause de cela qu’aujourd’hui j’ai la force de te dire au revoir?… Adieu?
Depuis des années que je voulais te le dire mais depuis des années que ma lâcheté, mon égoïsme m’en empêchait. Oh mon chéri ! Pardonne moi ces temps perdus ; ces rêves jamais réalisés, rangés parce que soudain notre vie ne les permettait plus. Oui chéri, excuse-moi ces aventures que tu aurais voulu vivre, ces amours qui te fantasmaient…forts et si différents de moi.
Aujourd’hui c’est différent, j’ai compris, l’amour ce sentiment que je croyais connaître se relève enfin en moi et tout cela grâce à toi. Il est d’une telle simplicité, d’une telle beauté et d’une telle finesse que ce que je vivais jadis, oui me parait-il soudain, n’était qu’un vulgaire narcissisme.
Merci pour tout ; pour notre histoire, si elle n’avait pas été, je l’aurais inventé. Merci pour cette amitié qui me fut nécessaire en un moment où je ne savais comment résister aux vicissitudes de la vie ; merci de m’avoir aider à être heureuse, moi qui croyais que le bonheur est pure invention des poètes ; oh oui chéri, merci de m’éloigner à jamais cette peur qui me paralysait et paralysait mon existence. Avec toi j’appris à vivre et de croire en ma valeur, je connue le pardon à une dimension qui m’affranchit.
J’imagine combien cela a dû te coûter même si je feignais les naïves quand des fois je surprenais sur ton visage la lassitude d’une vie faite désormais de routine et d’habitude. Oui je fermais les yeux, quand tes attitudes notaient cet abattement, cet air désabusé d’un destin non réalisé, ou, quand ton regard partait loin, là bas, chercher des choses que je n’arrivais pas à te donner. Tu vois que je n’étais pas dupe quand quelquefois dans une gaîté à peine forcée tu me disais « je t’aime » tu le disais tellement fort comme pour t’en convaincre toi-même plus que moi. Alors dans ma lâcheté, oui je me convie, je te caressais le visage, tes doigts fins et je m’enfuyais dans tes bras, seulement préoccupée de mon seul bien-être. Pardonne moi chéri…j’étais faible.
Si il arrivait de nous chamailler pour des banalités en apparence, je sais maintenant que c’était parce que je t’en voulais de ne pas être totalement mien, ou parce que tu me reprochais de ne pas pouvoir te donner ce qui te manque.
Je l’ai compris depuis que pour toi mon amour, sont devenu authentiques mes sentiments. Je n’ai plus le droit de te freiner dans ta quête. Je ne le peux même plus.
Quand tu rentreras ce soir je ne serais plus là. Désormais la moitié de notre armoire restera vide, on ne se chamaillera plus pour une rangée de plus ou de moins, et cela me manquera. Dans la salle de bain j’ai volé un peu de ton gel douche, j’ai eu peur d’oublier un jour ton odeur, ne m’en veux pas. Notre photo sur la vieille commode du salon, je l’ai pris également cela t’aidera d’aller plus vite de l’avant et elle m’aidera de continuer à croire encore au bonheur. Mais sur le lit, il y’ aura ta vielle chemise qui depuis de années me sert de robe de nuit, je ne l’ai pas prit, s’aurait été pour moi un souvenir de trop.
Quand tu liras cette lettre, chéri, tu comprendras sans doute que c’est parce que je t’aime que, je dois partir. Ne soit pas très triste, au contraire soit heureux, ce départ n’est pas une trahison, ni une rupture, juste une nécessité, tu t’en apercevras plu tard; ne me déteste pas non plus, je ne le supporterais pas, néanmoins tu pourras m’oublier si cela peut t’aider à te construire une vie meilleure…mais ne doute jamais que c’est parce que je t’aime que je suis parti.
Ta chérie.
Lun 28 Mai 2007, 23:00 par
agna sur La vie à deux
Ma sœur d'âme
à conjugaison sans inceste
en moi ta robe est taillée d’éternité.
Glisse-toi en moi et tu seras parée
approche-toi, ne crains pas le palimpseste
Elle ne sera pas de vair, fraîche du matin
minuit ne sonnera jamais à notre cadran
ni fées ni souris pour gâcher notre printemps
ni bois ni prince ni charmant entre nos mains
A l’impossible nul n’est tenu, j’y suis lié
la corde est longue, j’ai marché, j’ai plié.
Tu restes mon port d’attache, comment le nier?
Tu m’aimeras à en devenir ma sœur d’inceste,
et par une nuit lassée de mes craintes d’ultime geste,
tu me secoueras par le tréfonds de l’espoir tu
et sans compter ni rimes ni syllabes faux impromptu :
bizarre animal
aux reflets d’opale à demi métal,
qui es-tu? On te fréquente
tu nous hantes
Tes rêves se déchirent entre fleurs et éboulis, apparence commune.
On te regarde, autre fortune
tu prends garde, sous la même lune.
Tes espoirs sont ces rochers usés de ressac
Quand nous t’ouvrirons bras coeurs et maisons
y trouveras-tu tes saisons?
On t’attend
tu attends
Que crois-tu?
Qu’attends-tu?
Ensemble, un jour, le long d’un léger ressac
les liserons pâlis cesseront de s’agripper aux pins du lac.
en moi ta robe est taillée d’éternité.
Glisse-toi en moi et tu seras parée
approche-toi, ne crains pas le palimpseste
Elle ne sera pas de vair, fraîche du matin
minuit ne sonnera jamais à notre cadran
ni fées ni souris pour gâcher notre printemps
ni bois ni prince ni charmant entre nos mains
A l’impossible nul n’est tenu, j’y suis lié
la corde est longue, j’ai marché, j’ai plié.
Tu restes mon port d’attache, comment le nier?
Tu m’aimeras à en devenir ma sœur d’inceste,
et par une nuit lassée de mes craintes d’ultime geste,
tu me secoueras par le tréfonds de l’espoir tu
et sans compter ni rimes ni syllabes faux impromptu :
bizarre animal
aux reflets d’opale à demi métal,
qui es-tu? On te fréquente
tu nous hantes
Tes rêves se déchirent entre fleurs et éboulis, apparence commune.
On te regarde, autre fortune
tu prends garde, sous la même lune.
Tes espoirs sont ces rochers usés de ressac
Quand nous t’ouvrirons bras coeurs et maisons
y trouveras-tu tes saisons?
On t’attend
tu attends
Que crois-tu?
Qu’attends-tu?
Ensemble, un jour, le long d’un léger ressac
les liserons pâlis cesseront de s’agripper aux pins du lac.
Dim 27 Mai 2007, 06:45 par
René Cendre sur Parler d'amour
Morphine [Yaoi]
5. Aiguille
Ils se levèrent sans se lâcher et retournèrent à deux dans la cuisine. Ils ouvrirent le frigidaire une seconde fois. Ils prirent alors tout l’alcool qu’ils purent y trouver. Bière, vodka, whisky, passoa, smirnoff. Tout. Ils débouchèrent toutes les bouteilles, pataugeant dans la flaque de lait qui trempait toujours le carrelage. Puis, les bouteilles dans les bras, ils retournèrent au salon. Là allait commencer la dernière partie. La plus dangereuse. Mais seul Bill savait. Il savait ce qu’il ferait, car après ça, il savait comment ils réagiraient tout les deux. Il avait soigneusement caché le couteau sous les coussins du canapé.
Tom prit une première bouteille, sans regarder ce que c’était, et la fit boire à Bill, presque d’une traite. Celui-ci toussa car l’alcool lui brûlait la gorge: whisky, le plus fort. Il prit à son tour n’importe quelle bouteille et soumit Tom à la boire. Ça pétillait et c’était sucrée: smirnoff, le plus léger. Puis Tom s’aggripa à Bill et le fit s’allonger de force. Celui-ci gémissait déjà. Tom lécha son sexe, le mordilla, le suça, fit comme s’il aspirait une paille. Bill griffait les coussins du canapé et soupirait très fort, si fort que ça ressemblait à des cris. Il se griffait même tout seul jusqu’au sang. Tom s’arrêta un instant pour boire, puis cloua le goulot de la bouteille dans la bouche de son petit frère, qui étouffait à moitié, toujours allongé. Il y avait de la boisson partout. Tom reversa le reste de la bouteille sur tout le corps de Bill et le lécha. Puis il reprit son affaire. Bill s’arrêta de respirer au moment de l’orgasme, fermant les yeux, serrant les dents, enfonçant ses ongles dans sa peau. Tom avala la semence de son frère avait de remonter à ses lèvres qu’il mordit, les faisait saigner. Bill faisait de même en mordant sa langue et en griffant son dos.
Puis Tom passa à la vitesse supérieur, car le temps les pressait. Après avoir vider une autre bouteille avec son frère, il le retourna et lui fit écarter les jambes jusqu’à ce qu’il est mal. Puis il mordit ses petites fesses, tout en passant son doigt sur l’orifice. Bill gémissait de plaisir, il croulait. Malgré tout, il pleurait, car l’aiguille s’approchait de la fin à une vitesse trop alarmante. Sans prévenir, Tom enfonça son index, Bill tressaillit. Il remua son doigt, le faisait aller et venir, le tournant puis ajouta son majeur. Le petit frère n’en pouvait plus de soupirer, il attrapa une nouvelle bouteille, qu’il tendit à Tom à moitié vide. Tom retira ses doigts et pénétra son frère avec son sexe. Bill avait mal, c’était sa première fois. Le grand frère ne bougea pas vraiment au début, laissant le petit frère s’habituer à son intrusion tout en caressant ses côtes. Puis il se mit en route, allant et venant, partant et revenant, accélérant et ralentissant, tournant à gauche ou à droite. Bill… se mordait tellement c’était intense. Puis il sentit les violentes pulsions du sexe de Tom qui venait d’atteindre le septième ciel. Lequel se retira.
Puis ils finirent les bouteilles, devenant vraiment ivres. Mais ils restaient étonnement maître d’eux. Bill, par pure volonté, se jeta sur Tom, le faisant tomber et le claquant sur le sol. Il le mordait sauvagement, enfonçant ses dents, sur sa poitrine, dans son cou, sur ses joues. Tom saignait beaucoup et commençait à se demander pourquoi Bill faisait ça. Ce dernier se rattrapa en s’introduisant en lui, le faisant jouir et couiner, tout en jouant avec son sexe en même temps. Tom ne se rendait pas compte une seule seconde que la fin approchait, et Bill cachait soigneusement ses larmes. Le sent se mêlait à l’alcool par terre et Tom baignait dedans. Il ne voyait pas Bill sangloter. Il le sentait juste s’activer en lui, jusqu’à ce qu’il s’arrête, épuisé. Lui aussi saignait. Il embrassa follement son frère. Tous les deux avaient du sang sur les lèvres. Bill plantait ses ongles partout sur le torse du pauvre Tom qui commençait à se débattre. Il ne voulait plus, Bill était fou, trop ivre. Mais en fait non, Bill n’était pas si ivre que ça et, assit à califourchon sur le bassin de son frère, il le coinçait entre la table de salon et le canapé. Tom commença à avoir peur et repoussa son frère. Mais celui-ci résista. Il continua de l’embrasser, de morde ses lèvres et sa langue. Tom criait et s’agitait.
Bill s’arrêta soudainement se redressant un peu. Il regardait Tom en souriant. Lui il ne souriait pas du tout. Il souffrait, mais Bill aussi avait mal. Mais c’était fait exprès. Bill ne prit pa le temps de lui expliquait, l’heure redoutée sonnait. Il prit le couteau caché entre les coussins tout en restant assit sur Tom. Ce dernier s’apeura à sa vue. Mais Bill ne lui laissa pas le temps de paniquer. Il enfonça résolument la lame dans la poitrine de son frère, lequel le regardait sans vraiment comprendre. Là, il fallait faire vite pour qu’il voit que Bill ne le trahit pas. L’androgyne retira le lame du corps encore vivant de son frère puis l’enfonça dans sa propre poitrine. Tom comprit, il sourit. Bill retira la lame et s’allongea sur lui. Ils eurent simplement le temps de s’enlacer et de se serrer ensemble avant que leurs deux cœurs de s’arrêtent exactement au même moment. Ils étaient partit tout les deux vers un autre monde pour une nouvelle aventure qui pourrait durer.
Dans le salon, l’aiguille était arrêtée. Elle sonnait toute seule, ça faisait des années que sa sonnerie ne marchait plus. Elle pleurait, la petite aiguille, elle se serrait en bas du cadran avec sa grande sœur.
Les âmes habitant le corps des jumeaux s’extirpèrent, enlacées, des ailes dans le dos, voguant pour une autre vie, quelque part, à deux, rien qu’à deux. Leur amour continuerait là haut, que les anges le veuillent ou non.
Le temps s’était arrêté, mais pour eux, tout allait continuer…
Fin
Lyra
Ils se levèrent sans se lâcher et retournèrent à deux dans la cuisine. Ils ouvrirent le frigidaire une seconde fois. Ils prirent alors tout l’alcool qu’ils purent y trouver. Bière, vodka, whisky, passoa, smirnoff. Tout. Ils débouchèrent toutes les bouteilles, pataugeant dans la flaque de lait qui trempait toujours le carrelage. Puis, les bouteilles dans les bras, ils retournèrent au salon. Là allait commencer la dernière partie. La plus dangereuse. Mais seul Bill savait. Il savait ce qu’il ferait, car après ça, il savait comment ils réagiraient tout les deux. Il avait soigneusement caché le couteau sous les coussins du canapé.
Tom prit une première bouteille, sans regarder ce que c’était, et la fit boire à Bill, presque d’une traite. Celui-ci toussa car l’alcool lui brûlait la gorge: whisky, le plus fort. Il prit à son tour n’importe quelle bouteille et soumit Tom à la boire. Ça pétillait et c’était sucrée: smirnoff, le plus léger. Puis Tom s’aggripa à Bill et le fit s’allonger de force. Celui-ci gémissait déjà. Tom lécha son sexe, le mordilla, le suça, fit comme s’il aspirait une paille. Bill griffait les coussins du canapé et soupirait très fort, si fort que ça ressemblait à des cris. Il se griffait même tout seul jusqu’au sang. Tom s’arrêta un instant pour boire, puis cloua le goulot de la bouteille dans la bouche de son petit frère, qui étouffait à moitié, toujours allongé. Il y avait de la boisson partout. Tom reversa le reste de la bouteille sur tout le corps de Bill et le lécha. Puis il reprit son affaire. Bill s’arrêta de respirer au moment de l’orgasme, fermant les yeux, serrant les dents, enfonçant ses ongles dans sa peau. Tom avala la semence de son frère avait de remonter à ses lèvres qu’il mordit, les faisait saigner. Bill faisait de même en mordant sa langue et en griffant son dos.
Puis Tom passa à la vitesse supérieur, car le temps les pressait. Après avoir vider une autre bouteille avec son frère, il le retourna et lui fit écarter les jambes jusqu’à ce qu’il est mal. Puis il mordit ses petites fesses, tout en passant son doigt sur l’orifice. Bill gémissait de plaisir, il croulait. Malgré tout, il pleurait, car l’aiguille s’approchait de la fin à une vitesse trop alarmante. Sans prévenir, Tom enfonça son index, Bill tressaillit. Il remua son doigt, le faisait aller et venir, le tournant puis ajouta son majeur. Le petit frère n’en pouvait plus de soupirer, il attrapa une nouvelle bouteille, qu’il tendit à Tom à moitié vide. Tom retira ses doigts et pénétra son frère avec son sexe. Bill avait mal, c’était sa première fois. Le grand frère ne bougea pas vraiment au début, laissant le petit frère s’habituer à son intrusion tout en caressant ses côtes. Puis il se mit en route, allant et venant, partant et revenant, accélérant et ralentissant, tournant à gauche ou à droite. Bill… se mordait tellement c’était intense. Puis il sentit les violentes pulsions du sexe de Tom qui venait d’atteindre le septième ciel. Lequel se retira.
Puis ils finirent les bouteilles, devenant vraiment ivres. Mais ils restaient étonnement maître d’eux. Bill, par pure volonté, se jeta sur Tom, le faisant tomber et le claquant sur le sol. Il le mordait sauvagement, enfonçant ses dents, sur sa poitrine, dans son cou, sur ses joues. Tom saignait beaucoup et commençait à se demander pourquoi Bill faisait ça. Ce dernier se rattrapa en s’introduisant en lui, le faisant jouir et couiner, tout en jouant avec son sexe en même temps. Tom ne se rendait pas compte une seule seconde que la fin approchait, et Bill cachait soigneusement ses larmes. Le sent se mêlait à l’alcool par terre et Tom baignait dedans. Il ne voyait pas Bill sangloter. Il le sentait juste s’activer en lui, jusqu’à ce qu’il s’arrête, épuisé. Lui aussi saignait. Il embrassa follement son frère. Tous les deux avaient du sang sur les lèvres. Bill plantait ses ongles partout sur le torse du pauvre Tom qui commençait à se débattre. Il ne voulait plus, Bill était fou, trop ivre. Mais en fait non, Bill n’était pas si ivre que ça et, assit à califourchon sur le bassin de son frère, il le coinçait entre la table de salon et le canapé. Tom commença à avoir peur et repoussa son frère. Mais celui-ci résista. Il continua de l’embrasser, de morde ses lèvres et sa langue. Tom criait et s’agitait.
Bill s’arrêta soudainement se redressant un peu. Il regardait Tom en souriant. Lui il ne souriait pas du tout. Il souffrait, mais Bill aussi avait mal. Mais c’était fait exprès. Bill ne prit pa le temps de lui expliquait, l’heure redoutée sonnait. Il prit le couteau caché entre les coussins tout en restant assit sur Tom. Ce dernier s’apeura à sa vue. Mais Bill ne lui laissa pas le temps de paniquer. Il enfonça résolument la lame dans la poitrine de son frère, lequel le regardait sans vraiment comprendre. Là, il fallait faire vite pour qu’il voit que Bill ne le trahit pas. L’androgyne retira le lame du corps encore vivant de son frère puis l’enfonça dans sa propre poitrine. Tom comprit, il sourit. Bill retira la lame et s’allongea sur lui. Ils eurent simplement le temps de s’enlacer et de se serrer ensemble avant que leurs deux cœurs de s’arrêtent exactement au même moment. Ils étaient partit tout les deux vers un autre monde pour une nouvelle aventure qui pourrait durer.
Dans le salon, l’aiguille était arrêtée. Elle sonnait toute seule, ça faisait des années que sa sonnerie ne marchait plus. Elle pleurait, la petite aiguille, elle se serrait en bas du cadran avec sa grande sœur.
Les âmes habitant le corps des jumeaux s’extirpèrent, enlacées, des ailes dans le dos, voguant pour une autre vie, quelque part, à deux, rien qu’à deux. Leur amour continuerait là haut, que les anges le veuillent ou non.
Le temps s’était arrêté, mais pour eux, tout allait continuer…
Fin
Lyra
Sam 24 Mars 2007, 14:14 par
Lyra sur Les liaisons sulfureuses
Morphine [Yaoi]
Petite fiction bisard en 5 petits chapitres!
Attention toutefois, ce sont des relations homosexuelles, et la fin peut choquer.
1. Révélations
Ils avaient attendu d’être totalement seuls, que la maison soit abandonnée d’individus susceptibles de les juger pour ce qu’ils feront. Ils n’étaient pas anormales, simplement différents des autres. Ce qu’ils feront serait à jamais leur secret. Depuis toujours ils en rêvaient, mais jamais ils n’avaient osé s’en parler l’un à l’autre. Mais, ce jour-ci, sans prévenir, ils s’étaient révélé leur amour. Et tous leurs deux avaient été surpris par l’autre. Sans parler, ils s’étaient mis d’accord pour ne jamais révéler ce sentiment à personne. Maintenant, plus rien ne les retiendrait.
Bill était sous la couette, tout nu dans le lit, et regardait son frère qui lui souriait, assit à côté. Tom était complètement dévêtu, lui aussi. Et tous les deux, ils attendaient que la voie soit libre. Tom caressait les longs cheveux noirs de son petit frère, petit frère d’à peine dix minutes, mais petit frère quand même. Il sentait qu’il devait le protéger, s’occuper de lui. Il voulait l’aimer plus qu’on aime son frère jumeau. Bill, lui, avait sortit sa main de dessous la couette et tirait son frère pour qu’il s’allonge sur son corps. Tom se mit sur le ventre, et seul leurs visages pouvaient se toucher car la couette empêcher le reste de leurs corps d’être en contact. Tom parcourait le visage de Bill en l’effleurant du bout des lèvres. L’androgyne aux cheveux corbeau passa sa main dans la nuque de son frère et tira doucement pour ramener le visage de Tom encore plus près du sien. Leurs lèvres se touchèrent définitivement. Chacun jouissait d’un bonheur si longtemps attendu et désiré. Ils avaient tellement voulu que cet instant devienne réalité, sans savoir que l’autre le voulait aussi.
Tom prit le visage de son frère dans les mains, et Bill entoura le cou de son jumeau de ses bras. Ce fût Bill qui demanda à débuter la danse. Il fit délicatement passer sa langue percée entre les lèvres désirantes de son frère. Tom laissa sa cavalière pénétrer dans son domaine et l’accueillit en s’enroulant autour. Ce baiser dura on ne sait combien de temps. Leurs langues dansèrent ensemble sans jamais vouloir se reposer. Bill arrêta la danse qu’il avait demandé. Mais Tom ne semblait pas vouloir suivre cet ordre. Aussi, quand son frère resserra les lèvres, il continua à les lécher. Bill faisait aller et venir sa main sur les flancs de son frère, pendant que celui-ci passait sa langue sur son nez, puis sur ses paupières closes. Ils sentaient le désire grimper. Mais ce désir était loin d’arriver au bout du chemin. Ils s’étaient promis d’aller… loin.
Quand ils entendirent la porte de la maison claquer, ils surent qu’ils étaient enfin seuls. Rien que eux deux. Alors, ils descendirent dans la cuisine pour accomplir ce qu’on pourrait définir comme le Premier Rituel.
Attention toutefois, ce sont des relations homosexuelles, et la fin peut choquer.
1. Révélations
Ils avaient attendu d’être totalement seuls, que la maison soit abandonnée d’individus susceptibles de les juger pour ce qu’ils feront. Ils n’étaient pas anormales, simplement différents des autres. Ce qu’ils feront serait à jamais leur secret. Depuis toujours ils en rêvaient, mais jamais ils n’avaient osé s’en parler l’un à l’autre. Mais, ce jour-ci, sans prévenir, ils s’étaient révélé leur amour. Et tous leurs deux avaient été surpris par l’autre. Sans parler, ils s’étaient mis d’accord pour ne jamais révéler ce sentiment à personne. Maintenant, plus rien ne les retiendrait.
Bill était sous la couette, tout nu dans le lit, et regardait son frère qui lui souriait, assit à côté. Tom était complètement dévêtu, lui aussi. Et tous les deux, ils attendaient que la voie soit libre. Tom caressait les longs cheveux noirs de son petit frère, petit frère d’à peine dix minutes, mais petit frère quand même. Il sentait qu’il devait le protéger, s’occuper de lui. Il voulait l’aimer plus qu’on aime son frère jumeau. Bill, lui, avait sortit sa main de dessous la couette et tirait son frère pour qu’il s’allonge sur son corps. Tom se mit sur le ventre, et seul leurs visages pouvaient se toucher car la couette empêcher le reste de leurs corps d’être en contact. Tom parcourait le visage de Bill en l’effleurant du bout des lèvres. L’androgyne aux cheveux corbeau passa sa main dans la nuque de son frère et tira doucement pour ramener le visage de Tom encore plus près du sien. Leurs lèvres se touchèrent définitivement. Chacun jouissait d’un bonheur si longtemps attendu et désiré. Ils avaient tellement voulu que cet instant devienne réalité, sans savoir que l’autre le voulait aussi.
Tom prit le visage de son frère dans les mains, et Bill entoura le cou de son jumeau de ses bras. Ce fût Bill qui demanda à débuter la danse. Il fit délicatement passer sa langue percée entre les lèvres désirantes de son frère. Tom laissa sa cavalière pénétrer dans son domaine et l’accueillit en s’enroulant autour. Ce baiser dura on ne sait combien de temps. Leurs langues dansèrent ensemble sans jamais vouloir se reposer. Bill arrêta la danse qu’il avait demandé. Mais Tom ne semblait pas vouloir suivre cet ordre. Aussi, quand son frère resserra les lèvres, il continua à les lécher. Bill faisait aller et venir sa main sur les flancs de son frère, pendant que celui-ci passait sa langue sur son nez, puis sur ses paupières closes. Ils sentaient le désire grimper. Mais ce désir était loin d’arriver au bout du chemin. Ils s’étaient promis d’aller… loin.
Quand ils entendirent la porte de la maison claquer, ils surent qu’ils étaient enfin seuls. Rien que eux deux. Alors, ils descendirent dans la cuisine pour accomplir ce qu’on pourrait définir comme le Premier Rituel.
Sam 24 Mars 2007, 14:09 par
Lyra sur Les liaisons sulfureuses
Don de soi
L’idéal dans un cas comme dans l’autre c’est de s’être rencontré soi-même et de connaître ses travers pour pouvoir s’en délester afin de ne pas les faire porter à l’autre. Seuls l’amour de la vie, le don de soi et la générosité permettront à certains d’entre nous de faire un chemin ensemble, à côté, sans perdre sa liberté. :

Tapis rouge
Tapis rouge.
Elle savait ce qu’elle faisait. Elle savait ce qu’il allait se produire. Ce soir était un soir où la nuit lui appartenait. Précieusement, charnue de désirs elle s’était glissée dans un bain chaud et impudique. Avec précaution elle avait parfumé son corps de crème. Elle savait que ce soir elle mettrait toutes ses valeurs dans le tiroir de sa mémoire.
Nez de clown, rouge.
Elle l’avait appelé. Un café ? Il avait répondu oui, il savait ce qu’il faisait. Deux adultes. Deux adultes mais si enfantins, tellement seuls. Personne ne saurait. Tuer le temps ensemble, ballon rouge.
Ils ne s’aimaient pas vraiment d’amour, ils aimaient être ensemble et partager des joies, des peines et soulager leurs désirs charnels. Rien de plus, tristement.
Chez lui, un café, des paroles, un café, des silences. Des flots de paroles inutiles pour combler tout regard. Pour fuir des désirs, des envies. Un café. Des secrets confiés, échangés. Banal. Nez rouge, un soir fugace.
Il est l’heure de se séparer. Lui, offre un cadeau. Elle, sensible sent qu’une tension monte. Il la raccompagne. Et dans la voiture une phrase « j’ai envie de t’embrasser » déclenche un torrent de passion, de permission. Trop longtemps retenu. Pas de tapis rouge. Avidement les lèvres se rencontrent, avidement des mains s’évadent. Une chaleur se dégage. Lui, plein de désirs sous des mains câlines, elle, pleine de désirs sous des mains fouilleuse. Plus rien ne les retient, la nuit les drape. La nuit les couvre. Une jupe est remontée à la hâte. Dans cette folie, une seule jambe de collant est enlevée pour offrir un sexe gonflé de désir, une main glisse à l’intérieur des cuisses chaudes de promesses. Ballon rouge. Plus rien ne les arrête. Le siége de la voiture se couche. Puis lentement, délicieusement chacune des quatre mains déshabille l’autre. Des baisers avides déchaînent deux corps en demande. Puis, les deux corps s’unissent, s’accouplent. Tendrement, il pénètre en elle. Tendrement il la pénètre. Elle se cabre, l’invitant à rester, l’invitant à se donner. Sans amour. Tout devient vivant. Tout devient douleur. De légers tressaillement envahissent les corps des deux amants. Impudique dans leurs chairs, ils s’abandonne l’un dans l’autre. Ils se donnent sans compter. Ils prennent, ils donnent. Ils prennent. Fulgurant de haine envers elle, elle joue à l’épanouie. Le pastique du ballon rouge grince.
Ballon rouge éclaté, tapis rouge enroulé, nez rouge de clown.
C’est fini la tempête des sentiments charnels. Chacun se rhabille mine de rien, mine de tout. Pas un mot. Pas une promesse, pas un mot d’amour. Que soulager des envies. La voiture démarre. Tout est fini. Ne rien dire.
Ballon rouge et vide grenier.
Un au revoir, lancé à la hâte.
Demain elle reprendra un bain pour un amant lointain…Miroir ne triche pas, l’odeur qu’elle regarde pue. Elle sait…le jeu est dégueulant de tristesse. Une nouvelle histoire courte d’un jour, pour ne pas croire. Mais dans un ventre trop lourd de secret, elle continuer son chemin vers une fin sans parole. Mais ballon rouge va éclater…
fille du peuple.
Elle savait ce qu’elle faisait. Elle savait ce qu’il allait se produire. Ce soir était un soir où la nuit lui appartenait. Précieusement, charnue de désirs elle s’était glissée dans un bain chaud et impudique. Avec précaution elle avait parfumé son corps de crème. Elle savait que ce soir elle mettrait toutes ses valeurs dans le tiroir de sa mémoire.
Nez de clown, rouge.
Elle l’avait appelé. Un café ? Il avait répondu oui, il savait ce qu’il faisait. Deux adultes. Deux adultes mais si enfantins, tellement seuls. Personne ne saurait. Tuer le temps ensemble, ballon rouge.
Ils ne s’aimaient pas vraiment d’amour, ils aimaient être ensemble et partager des joies, des peines et soulager leurs désirs charnels. Rien de plus, tristement.
Chez lui, un café, des paroles, un café, des silences. Des flots de paroles inutiles pour combler tout regard. Pour fuir des désirs, des envies. Un café. Des secrets confiés, échangés. Banal. Nez rouge, un soir fugace.
Il est l’heure de se séparer. Lui, offre un cadeau. Elle, sensible sent qu’une tension monte. Il la raccompagne. Et dans la voiture une phrase « j’ai envie de t’embrasser » déclenche un torrent de passion, de permission. Trop longtemps retenu. Pas de tapis rouge. Avidement les lèvres se rencontrent, avidement des mains s’évadent. Une chaleur se dégage. Lui, plein de désirs sous des mains câlines, elle, pleine de désirs sous des mains fouilleuse. Plus rien ne les retient, la nuit les drape. La nuit les couvre. Une jupe est remontée à la hâte. Dans cette folie, une seule jambe de collant est enlevée pour offrir un sexe gonflé de désir, une main glisse à l’intérieur des cuisses chaudes de promesses. Ballon rouge. Plus rien ne les arrête. Le siége de la voiture se couche. Puis lentement, délicieusement chacune des quatre mains déshabille l’autre. Des baisers avides déchaînent deux corps en demande. Puis, les deux corps s’unissent, s’accouplent. Tendrement, il pénètre en elle. Tendrement il la pénètre. Elle se cabre, l’invitant à rester, l’invitant à se donner. Sans amour. Tout devient vivant. Tout devient douleur. De légers tressaillement envahissent les corps des deux amants. Impudique dans leurs chairs, ils s’abandonne l’un dans l’autre. Ils se donnent sans compter. Ils prennent, ils donnent. Ils prennent. Fulgurant de haine envers elle, elle joue à l’épanouie. Le pastique du ballon rouge grince.
Ballon rouge éclaté, tapis rouge enroulé, nez rouge de clown.
C’est fini la tempête des sentiments charnels. Chacun se rhabille mine de rien, mine de tout. Pas un mot. Pas une promesse, pas un mot d’amour. Que soulager des envies. La voiture démarre. Tout est fini. Ne rien dire.
Ballon rouge et vide grenier.
Un au revoir, lancé à la hâte.
Demain elle reprendra un bain pour un amant lointain…Miroir ne triche pas, l’odeur qu’elle regarde pue. Elle sait…le jeu est dégueulant de tristesse. Une nouvelle histoire courte d’un jour, pour ne pas croire. Mais dans un ventre trop lourd de secret, elle continuer son chemin vers une fin sans parole. Mais ballon rouge va éclater…
fille du peuple.
Mar 02 Jan 2007, 17:28 par
Fille du peuple sur Parler d'amour
L'écoute de l'autre
Être bien, se parler. Sentir ton bras contre le mien. Le respirer. Le vivre. Percevoir ton regard chercher le mien, pour entrevoir mon émoi. Se parler. Se raconter. Se livrer. Se murmurer. Être bien, se parler. Être là, ensemble, rien que nous deux. Se découvrir sans se mentir. Poser un doigt sur tes lèvres juste pour en saisir le contour les yeux fermés. Toucher ton bras pour chercher le grain de peau plus sensible aux touchés, celui qui te fera frémir. Te regarder frissonner. Te sourire. Dessiner sur ton visage une sensation de repos, de douceur. Se chuchoter. Avoir besoin de rapprocher nos mains pour entendre des émotions partagées. Goûter l’instant. Avoir soif de ton odeur. Avoir faim de ta voix. Murmures qui obligent à se rapprocher, à se rencontrer. Des cheveux qui se mélangent pour entendre des confidences. Des lèvres qui se cherchent pour déchiffrer des paroles qui restent muettes. Plus que deux dans un monde plein de monde. S’isoler pour parfaire un rêve. Laisser libre les mains. Chiner ton regard, pour saisir un souffle. Se blottir l’un contre l’autre pour cueillir un moment. Figer une lenteur. Prendre le temps de caresser l’instant. Effleurer ton bras pour capter une émotion subtile. Mettre de la couleur à cet instant, sans le barioler, sans le divulguer. Se taire pour mieux s’entendre. Donner. Recevoir. Partager. Un soupir. Faire de cet instant, une épopée. Être là, à côté, être bien. Complices. D’un temps, d’un instant. Laisser nos jambes s’enrouler, se dévoiler, se confondre. Savourer ce duel, cette étreinte sans lendemain. Tendresse charnelle qui réveille des sens endormis, des sentiments égarés. Tendresse charnelle, pour satisfaire des mots posés chaque jour. Tendresse charnelle pour se dire combien notre rencontre est belle, sans promesse. Sentir encore une fraîcheur de désirs sur nos corps. Être là, ensemble, être bien, calée contre toi pour te murmurer un voyage de parfum que l’on touche de sa main... S’oublier...
Fille du peuple.
Fille du peuple.
Mar 02 Jan 2007, 15:56 par
Fille du peuple sur Parler d'amour
Qu' est Elle ???
J’ ai eu un Homme qui cherchait son lieu de Taï Chi Parmi les Arbres que je lui avait promis...
Je souffrais beaucoup au Hilton, mais avais mon étincelle,
De caractère
D’ Amour
De Respect.
J’ adorrais l’ Engueuler, pour qu’ Ensemble, On dérange les voisins qui sont mes potes maintenant
QUE L’on fasse 1000 notes, 1000 choses.
Des Baisers Tendres Au Proprio!!!
Baisers.
Pour Mon Babou qui a snobé la Marque...
Je T’ Aime.
Et...
Chausse comme Moi des bonnes chaussures pour que l’ on vive la Massane, ou la Plage, ou nos délires chant pour éteindre ton angoisse, parce que je t’ aimais.
Pour mon FIFIX.
Je souffrais beaucoup au Hilton, mais avais mon étincelle,
De caractère
D’ Amour
De Respect.
J’ adorrais l’ Engueuler, pour qu’ Ensemble, On dérange les voisins qui sont mes potes maintenant
QUE L’on fasse 1000 notes, 1000 choses.
Des Baisers Tendres Au Proprio!!!
Baisers.
Pour Mon Babou qui a snobé la Marque...
Je T’ Aime.
Et...
Chausse comme Moi des bonnes chaussures pour que l’ on vive la Massane, ou la Plage, ou nos délires chant pour éteindre ton angoisse, parce que je t’ aimais.
Pour mon FIFIX.
Dim 22 Oct 2006, 22:13 par
Chogokinette sur La vie à deux
C'est divin ! C'est magique ! ça s'appelle l'Amour !
L’Amour c’est un magifique feu d’artifice qui explose dans le fond des yeux,
Comme mille étincelles de couleurs sur la voûte céleste.
C’est ce sourire si radieux, quand vous vous regardez droit dans les yeux.
C’est la tendre complicité de ces moments à deux, que l’on ne peut comprendre qu’en étant intimement amoureux.
Ce sont ces petits riens qui font le quotidien, mais qui hissent pour vous une écharpe de liens.
C’est la joie d’ être ensemble, chaque jour, chaque instant.
C’est d’aimer, recevoir, partager sans mélange, et se sentir touchés par la grace des anges.
C’est construire son nid, pour s’y mettre à l’abri.
C’est vivre à deux les joies, autant que les soucis.
C’est d’avoir un rocher ou pouvoir s’appuyer, si un vent ennemi vous faisait trébucher.
C’est trouvé chaque soir le chemin de ses bras, pour pouvoir ronronner comme un chat.
C’est divin ! C’est magique ! ça s’appelle l’Amour !
Pour vous comme pour moi, ça rime avec toujours ....
(poème inspiré par un prince) ;-)
Comme mille étincelles de couleurs sur la voûte céleste.
C’est ce sourire si radieux, quand vous vous regardez droit dans les yeux.
C’est la tendre complicité de ces moments à deux, que l’on ne peut comprendre qu’en étant intimement amoureux.
Ce sont ces petits riens qui font le quotidien, mais qui hissent pour vous une écharpe de liens.
C’est la joie d’ être ensemble, chaque jour, chaque instant.
C’est d’aimer, recevoir, partager sans mélange, et se sentir touchés par la grace des anges.
C’est construire son nid, pour s’y mettre à l’abri.
C’est vivre à deux les joies, autant que les soucis.
C’est d’avoir un rocher ou pouvoir s’appuyer, si un vent ennemi vous faisait trébucher.
C’est trouvé chaque soir le chemin de ses bras, pour pouvoir ronronner comme un chat.
C’est divin ! C’est magique ! ça s’appelle l’Amour !
Pour vous comme pour moi, ça rime avec toujours ....
(poème inspiré par un prince) ;-)
Sam 23 Sep 2006, 03:43 par
joullia sur Parler d'amour
Ecrire sur ensemble

Il y a 191 textes utilisant le mot ensemble. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Proverbe espagnol.
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