Polychromes (3)

Elle s’était laissée aller à plonger délibérément dans le monde des rêves comme Sophie et BFG (Big Friendly Giant), comme eux à capturer les rêves joyeux des enfants sages, lorsqu’un coup de téléphone la sortit de sa torpeur et d’un bond elle fut hors du lit, la main sur le combiné.
- « Qui est en ligne ? » demanda-t-elle.
- « Je te réveille ? supposa la voix à l’autre bout du fil.
- « Non, non, j’étais en train de faire un jogging, plaisanta Alma qui avait reconnu la voix de son amie, Lindsey. « Qu’y a-t-il, Lindsey, rien de grave ? »..
- « Non, rassure-toi, juste un petit coup de déprime. Un coup de blues... »
- « C’est Jim ? »
- « Oui, c’est Jim, il a été odieux aujourd’hui encore, il m’a dit qu’il ferait ses bagages, chuchota-t-elle, mais au lieu de ça, il tourne en rond, il bougonne »... « Il est jaloux, il me surveille et quand je suis auprès de lui, on dirait que je n‘existe plus, ou au contraire il semble que ma présence le contrarie... Il ne cesse de montrer sa mauvaise humeur. D’être odieux. Je t’assure j’envie ta solitude. »
- « Pourquoi ne part-il pas ? Il devrait prendre un peu de temps pour lui, pour faire le point, savoir où il en est... A moins qu’il n’ait peur de reconnaître qu’il s’est trompé, que le courant ne passe plus ? Peur de l’échec ? Et puis, tu sais il y a des gens qui ne savent pas rire, il en fait peut-être partie... Je ne sais pas si c’est acquis ou génétique mais il y a des familles de ch... »
- « Vraiment, j’en ai assez, arrête de rire et de prendre tout à la légère... »
- « Ne crois pas ça, moi c’est ma solitude qui me pèse et je me demande parfois si je en suis pas une extraterrestre, un E.T. qui n’existe qu’à un seul exemplaire... J’attire les hommes qui ne sont pas libres. Ils me tournent autour, m’appâtent, fantasment 5mn et pof, soudain se souviennent qu’ils ont des obligations ou que leur cœur ne bat pas pour moi et s’en vont... Je voudrais être sans cœur, sans cœur on ne souffre pas. Qu’en dis-tu ? »
- « Sans cœur ? Toi ? Autant demander à un four de fabriquer des glaçons ! »
- « Ah, je vois que tu vas mieux ! Ton sens de l’humour revient... »
- « A propos et John ? »
- « Quoi, « John » ? »
- « Tu l’as revu ? »
- « Je ne parlerais qu’en présence de mon avocat. »
- « Ce soir, tu as mangé avec lui ? Il... Il est là ? »
- « S’il était là tu crois que je t’aurais répondu ? Qu’est-ce que tu imagines, Lindsey, que l’amour va s’arrêter chez moi ? Tu rêves ! Pour cela il faut savoir séduire, se faire désirer, etc. Je ne sais pas faire. Tu le sais bien. Non, moi je ne sais qu’aimer et cela ça n’intéresse pas les hommes. Enfin, il y en a peut-être un quelque part qui me correspond, promis, acheva-t-elle en un bâillement, si je le rencontre, je te laisse le scoop. »
- « Bon, je vois que ma conversation te passionne, je vais te laisser, de plus, mon cerf est en train de bramer et le bois n’est pas assez lointain pour que je ne l’entende... Bye. Buena notte ».
- « Buena notte, ragazza ».
Elle tituba jusqu’à son lit qu’elle chercha à tâtons dans le noir, elle ressentit le désir d’être dans les bras de John mais elle chassa ce désir importun et sombra derechef dans ceux de Morphée.
Mer 17 Mai 2006, 19:39 par dolce vita sur Histoires d'amour

Mon aventure

Comme je vous l’ai dit, les matins qui suivirent furent beaucoup moins difficiles à supporter que les précédents, et tout particulièrement celui de ce mercredi, où je décidais donc de mettre en pratique tout ce que j’avais imaginé la veille. Une fois les tâches du matin accomplies (avec un entrain qui m’était inhabituel !), je pris donc le chemin de la gare. En réalité, je me questionnais encore, cherchant à savoir si je trouverais assez de courage pour livrer bataille à la morosité des habitants du train. Et c’est un fait qu’il me fallut attendre deux stations avant de pouvoir me lever et leur dire :
« Je vous souhaite le bonjour gentes gens ». La plupart des personnes qui n’avaient pas de walkman levèrent la tête, mais à voir leur visage où se mêlaient la curiosité, la peur et déjà quelques traces de pitié, je me sentis obligé de les rassurer rapidement :
« Ne craignez rien, mon père n’est pas parti, ma mère n’est pas malade, et je n’ai pas huit frères et six sœurs ! Non madame, laissez ce porte-monnaie dans votre sac. Je vous promets de ne pas vous demander d’argent, ce qui ne veut pas dire que je ne vous demanderai rien... Mais tout d’abord, laissez-moi me présenter : je m’appelle Renaud ; mais faites comme tout le monde, appelez-moi "No". J’ai dix-huit ans, je suis en bonne santé, merci, et tous les matins je vous croise sur le chemin de l’université. Je suis sûr que vous ne l’aviez jamais remarqué, mais ça fait déjà trois ans que je voyage chaque matin à vos côtés ! A partir de là on pourrait presque dire qu’on est de vieilles connaissances, non ? ».
Ceux qui n’avaient pas encore relevé la tête l’avaient fait à présent, ainsi que certaines personnes qui venaient d’éteindre leur walkman. Désormais, tout le wagon me regardait d’un oeil interrogateur, ne sachant pas s’il devait se débarrasser de son sentiment craintif envers mon humble personne. De toutes façons, dans la situation qui était mienne, je n’aurais pu leur faire bien mal. En effet, si j’avais relâché mon attention ne serait ce qu’une petite seconde, je ne pense pas que ma petite nature, d’habitude si timide (si ! si !), aurait pu encaisser le fait de voir tous ces visages tournés vers moi. Je serais vite aller me planquer sous un siège, ou j’aurais bien trouvé une fenêtre ouverte afin de m’éjecter. Au lieu de tout cela, emporté par mon élan et mon culot spontanés, je continuais mon improvisation (car j’avais bien sûr tout oublié de mes plans de la veille !) :
« Figurez-vous que pendant ces trois ans, je n’ai pas cessé de vous observer, et croyez-moi, si vous étiez à ma place, vous seriez arrivés à la même conclusion que moi ! Faut les sortir de là !! que j’me suis dit hier matin. Je m’explique. Ah, attendez, il y a de nouvelles personnes qui montent. Bonjour ! Entrez, je vous en prie, je n’ai encore détroussé personne ! Non, non je rigole, je ne vous emprunterai que quelques instants et quelques paroles (on peut toujours rêver) ».
Les quelques sourires (cinq ou six, mais c’est toujours un bon début !) que je vis en écho à mes plaisanteries eurent un effet double : tout d’abord, ils rassurèrent les passagers qui n’osaient toujours pas rentrer dans le wagon, et d’autre part… Ben, je dois avouer, ça m’a fait vachement plaisir quand même !
J’enchaînais donc :
- « J’étais justement en train d’expliquer à tous ces gens pourquoi je suis debout, à parler comme un détraqué, au lieu d’être assis et d’attendre patiemment que je sois arrivé. Où j’en étais d’ailleurs ? ... Ah, ouais ! Je disais que ça faisait trois ans que je vous observais et que ce que je vois tous les jours, c’est une somme d’individualités, au sein de laquelle aucune communication n’existe. C’est vrai quoi, à vous regarder, on vous croirait tous sous hypnose ! Au fait, je dis vous, mais avant ce matin j’étais encore sous le même effet hypnotique ! Enfin, en gros, voilà les raisons qui m’ont poussé à vous parler ce matin. En fait, ... Oups, bonjour messieurs dames, entrez donc vous asseoir au chaud avec nous, on était justement en train de parler de vous ! Non, je vous fais marcher, excusez-moi. Mais c’est vrai qu’on discute un peu et si vous écoutez ce que je raconte, vous verrez que je ne mentais pas totalement quand je disais que vous faisiez partie de la conversation ; on en fait tous un peu partie en réalité. En fait donc, mon but est que le matin lorsque vous prendrez le train, vous ne ressentiez plus cette étrange impression que tout le monde autour de vous représente un ennemi potentiel. Ce que je veux dire, c’est qu’on sent souvent dans les transports en commun une certaine gêne. On se retrouve entouré d’inconnus et le malaise s’installe immédiatement. Alors, en réfléchissant, vous comprendrez que pour éliminer cette gêne, il suffit que toutes ces mêmes personnes cessent d’être des inconnus. On est d’accord jusque là ? »
(aucune réponse, faut pas pousser non plus)
« Et pour ça, il suffit d’un petit bonjour, d’une poignée de main pour commencer, et puis au fur et mesure, les discussions commenceront peut-être, non ? Enfin vous me direz, je rêve sûrement un peu trop, mais si la situation n’était si désespérée, croyez bien que je ne vous aurais pas interpellé ce matin ».
Mon petit monologue avait réduit au silence quatre-vingt-dix-neuf pourcents des passagers. Sachant que j’étais le petit pourcent qui restait, autant dire que tout le monde se taisait. J’étais même persuadé que la plupart des gens m’écoutaient avec attention. Bien entendu, j’avais remarqué que quelques personnes avaient quitté le train avant leur arrêt habituel, mais la plupart des passagers était encore là, et m’écoutait patiemment, me faisant redoubler d’ardeur :
« Et comme je suis tout de même un minimum réaliste, j’avais prévu que les discussions ne seraient pas très très vives aujourd’hui. Ce qui m’oblige donc à parler tout seul. Mais ne vous inquiétez pas, je suis persuadé que dès demain matin, vous aurez plein de sujets de conversation à offrir à tous vos voisins ! Ah ouais, j’avais oublié de vous prévenir, dorénavant, si vous choisissez ce wagon, préparez vos répliques, parce qu’ici, on va discuter un brin. Enfin moi, je vous oblige pas hein ?! Si vous voulez continuer de garder le masque de cire que je viens de vous décrire, libre à vous ! ».
C’est alors qu’un vieux monsieur se leva, l’air furibond, se dirigeant vers l’autre wagon en marmonnant une phrase dont l’intonation me laissait supposer qu’il n’était pas forcément en accord avec ma manière d’agir. De cette phrase, je ne retins que la dernière partie :
- ... cet de clown ! ».
« Exactement monsieur, vous n’avez qu’à me considérer comme un clown qui se donne pour mission de rendre vos voyages matinaux plus agréables. Ainsi que les miens, je vous assure ! ».
Et ben, c’est triste à dire, mais il n’était pas convaincu !
Ven 02 Déc 2005, 15:34 par l'homme de sable sur Un monde parfait

Vint si...

19 : 35

… Quelques caresses
Du bout des lèvres
Parsèment les souffrances
D’un après hier

Deux de la même
Cachés sous Sèvres
Brillante attirance
Au lit d’une rizière

Supplier sézig
D’abandonner le combat
Chercher dans ton minois
The way of nothing

… …
Lun 24 Jan 2005, 19:35 par Rose sur L'amour en vrac

La sorcellerie dans le mot

Il y a, dans le mot, dans le verbe, quelque chose de sacré qui nous défend d’en faire un jeu de hasard. Manier savamment une langue, c’est pratiquer une de sorcellerie évocatoire.


Charles Baudelaire, L’Art romantique, XVII, Théophile Gautier
Ven 03 Sep 2004, 22:05 par PetitPrince sur Citations

J'ai renoncé à vous séduire, de Pierre Sansot

Le dragueur est une en voie de disparition. Le philosophe Pierre Sansot retrace à travers de courtes fictions son parcours de séducteur, avant de déclarer forfait et d’aborder un autre rivage : le mystère de l’autre dans la tendresse et la générosité.

Un livre souriant et caustique, écrit d’une très belle plume par un amoureux des femmes et de la vie.

Pour plus d’informations, une interview de Pierre Sansot est disponible ici



Source : http://www.psychologies.com/
Mar 31 Août 2004, 20:46 par PetitPrince sur Articles

Souvenir d'empire...

La Marquise de Sade a écrit:
Quelle chose la plus incongrue vous a le plus séduit chez une femme/ un homme?


La chose la plus déplacée... La moins conforme aux us et coutumes... La plus délirante face au savoir-vivre...

Pour ma part... Quelque chose de voletant... Bien plus que des mots poétiques, qu’un pas de danse classique, qu’un sourire magique, qu’un regard subjectif...

Quelque chose qui nous prend tous pour la savourer à travers les temps... La capacité de s’évader, de s’envoler loin d’un monde emprunt de règles, quelque chose qui m’emporte pour ne jamais plus me poser.

En un mot... le bonheur de rêver et de satisfaire ses rêves. Emporter avec soi, dans son monde, toutes les personnes trop terre à terre pour se rappeler qu’elles ont été jeunes, qu’elles ont lu les contes de fées, qu’elles ont espérer avant de vivre comme des machines... La possibilité de se sortir de la terrible vie du "5 à 7" !

Pouvoir se croire ange, ou fée, ou princesse, ou roi, enfin... Se créer un monde et le mener à terme, faire naître ses ailes et se poser la nuit sur une île déserte...

Elle peut ne pas paraître incongrue cette chose que je trouve charmante... Mais de ce que l’on me dit quand on regarde la vie de rêves de quelqu’un... J’ai bien l’impression qu’il s’agit d’une menacée, juger de haut simplement car elle applique les règles de ses envies, et non plus celles du monde...

Peut être finalement... Est-ce tout simplement... Une personne utopiste qui me charme... ahmoui En tout cas... Une chose est sure... C’est qu’elle doit être fort incongrue pour agir de manière non conforme...
Lun 12 Avril 2004, 16:35 par Rose sur La séduction

Le recueil, opus II

Nous ne tarissons pas, nos membres sont grands et forts ,avec ou sans jeux de mots...
Nous vous proposons le deuxieme opus du forum des âmes tendres, à deguster sans chichis ni aucune espece de modération.

Vous pouvez au choix :
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Sam 27 Mars 2004, 18:31 par PetitPrince sur Parutions

Pizzeria La Roma, bonsoir! ... suite

Je suivis donc mon bel italien, non sans jeter un regard à la tablée de mes amis. Ceux-ci déjà blaguaient et riaient de cette situation, surtout de celle de me voir partir ainsi suivant celui qui, ils avaient déjà compris, m’avait charmée.
D’un haussement d’épaule, je leur envoyai alors un baiser de connivence et suivi mon hidalgo.
Où donc m’emmenait-il d’un pas si pressé ?
Nous arrivâmes dans les cuisines, tout y était bien rangé, propre et calme, les lumières étaient presque toutes éteintes. Une fois devant l’évier, il s’arrêta, de son regard enjôleur il me regarda, ce même regard qui descendit sur ma jupe, il me dit :
- Il n’y a pas trente six solutions ?
- C’est la machine assurément qui résoudra au mieux le problème.
- Enlève ta jupe, je vais la passer sous l’eau très chaude, sans la tremper complètement pour que tu puisses la remettre.
Sans donner l’impression d’être surprise, je descendis la fermeture éclair qui maintenait ma jupe sur mes hanches et laissais glisser le bout de tissu le long de mes jambes nues.
De ses yeux il suivit tout le cheminement de celle-ci. Je me retrouvais ainsi, presque nu au bout milieu de la cuisine, avec mon seul string dernier rempart de ma féminité.
Il se baissa, la ramassa, et soigneusement passa un jet d’eau qui semblait très chaud sur la tâche qui semblait partir. Il la déposa sur le bord de l’évier en aluminium, se retourna, me toisa de haut en bas, me pris par la main et m’emmena vers une porte au fond de la cuisine. Sans hésitation, sans crainte je le suivis, trop curieuse et impatiente de ce qui pourrait alors suivre.
Derrière la porte se trouvait un de cagibi réserve alimentaire. Il éclaira la pièce, et me fit rentrer.
D’un geste doux il s’est alors collé à moi, et ses mains vinrent alors visiter mon corps. Je ne pouvais faire autrement que sentir son envie sur mon ventre, son sexe était dur et j’aimais sentir l’envie que je pouvais générer alors.
Il prit mes poignets dans ses mains, désireux semblait-il de vouloir garder la maîtrise de la situation, les dirigea au dessus de ma tête. Il embrassa mon cou, me lécha les oreilles, revint vers ma bouche pour me caresser de ses lèvres, de sa langue puis m’embrassa d’un baiser langoureux. M’étant laissée aller au plaisir de ces caresses buccales, j’avais fermé mes yeux que je rouvris pour constater que ses yeux ne perdaient rien du plaisir qui montait en moi. Une de ses mains descendit alors de mon poignet, sur ma poitrine au travers du tissu de ma chemise, sur mon ventre, sur ma fleur encore cachée. Entre mes jambes sa main vint se glisser, légère, effleurant à peine mon string, ce fut délicieux de recevoir ses gestes sans précipitation, de tendresse et de sensualité, je brûlais déjà au-dedans de mon ventre et je pouvais sentir mon sexe se libérer de sa sève d’excitation. Un doigt s’égara légèrement sous le tissu, ses yeux toujours dans mes yeux il avait l’air d’épier chacune de mes réactions, les sensations que je pouvais ressentir sous ses caresses. Ce doigt m’électrisa, doucement il l’appliqua sur ma vulve, la caressa, puis l’ôta pour le porter à sa bouche et le lécha, nos regards ne se lâchaient pas comme si en cet instant nous n’étions déjà plus qu’un, son plaisir devenait déjà mien et le mien sien. Il s’empara de ma bouche non sans s’être collé suffisamment à moi pour me faire ressentir à nouveau son excitation, s’écarta et amena une de mes mains sur son sexe. Tout en la tenant il me fit le caresser, toujours avec autant de douceur, je le vis se raidir de tout son corps, sentir son sexe tressauter sous cette caresse qu’il dirigeait pourtant. Il me lâcha et me dit :
- On y retourne ?
Bien qu’abasourdie de cette réaction si directe, je lui répondis «oui» .
Nous avons alors récupéré ma jupe, il ferma lui-même la fermeture dans mon dos, pour finir d’une caresse sur mes fesses et nous retournâmes dans la salle rejoindre la table de mes amis.
Il me laissa m’asseoir et repris, à mon bout de table la même place que celle de l’apéritif, mais cette fois ci plus directement, il vint coller sa jambe à la mienne et glisser sa main sur ma cuisse juste sous le tissu de ma jupe.
Sam 24 Jan 2004, 03:15 par Nébuleuse sur Les liaisons sulfureuses
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La citation d'amour

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Proverbe chinois.

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