Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur espoir - Page 6 sur 6
Jolie petite histoire...
Il y a quelques jours, un rayon de Soleye a traversé ma petite ville. Il en est reparti séduit... par la ville mais bien plus...
Voici ce qu’il a écrit et que je vous fais suivre, le Soleye est timide dans mon plat pays :
Déambulant dans la rue principale,
De ta petite ville provinciale
J’ai cherché, espérant t’entrevoir
Marchant sur les trottoirs fleuris
De ton petit paradis
J’ai vu s’approcher au loin un espoir
Rêvassant sous le ciel ensoleillé
De ta Belgique ignorée
Elle semblait effleurer le sol tel le jaguar
M’envolant dans un autre temps
Quelque part dans ton royaume enivrant
Elle était légère, douce, ses cheveux moires
Croisant son regard une fraction de seconde
Dans ton domaine, ton monde
Ses yeux se sont gravés dans ma mémoire
Me retournant une dernière fois
Dans cette rue, pas loin de chez toi
Je la vis s’éloigner vers d’autres regards
Dans ta petite ville provinciale,
Dans ton petit paradis,
Dans ta Belgique ignorée,
Dans ton royaume enivrant,
Dans ton domaine, ton monde,
Dans cette rue, pas loin de chez toi,
Le temps d’un regard, d’une étoile
Mon coeur éteint s’est surpris
A revivre et à espérer
Qu’encore je pouvais aimer, être amant
Qu’un instant la vie serait féconde
Et tout cela, je l’ai vécu près de chez toi...
la Marquise, plume du Soleye ...
Voici ce qu’il a écrit et que je vous fais suivre, le Soleye est timide dans mon plat pays :
Déambulant dans la rue principale,
De ta petite ville provinciale
J’ai cherché, espérant t’entrevoir
Marchant sur les trottoirs fleuris
De ton petit paradis
J’ai vu s’approcher au loin un espoir
Rêvassant sous le ciel ensoleillé
De ta Belgique ignorée
Elle semblait effleurer le sol tel le jaguar
M’envolant dans un autre temps
Quelque part dans ton royaume enivrant
Elle était légère, douce, ses cheveux moires
Croisant son regard une fraction de seconde
Dans ton domaine, ton monde
Ses yeux se sont gravés dans ma mémoire
Me retournant une dernière fois
Dans cette rue, pas loin de chez toi
Je la vis s’éloigner vers d’autres regards
Dans ta petite ville provinciale,
Dans ton petit paradis,
Dans ta Belgique ignorée,
Dans ton royaume enivrant,
Dans ton domaine, ton monde,
Dans cette rue, pas loin de chez toi,
Le temps d’un regard, d’une étoile
Mon coeur éteint s’est surpris
A revivre et à espérer
Qu’encore je pouvais aimer, être amant
Qu’un instant la vie serait féconde
Et tout cela, je l’ai vécu près de chez toi...
la Marquise, plume du Soleye ...
Dim 04 Juil 2004, 13:55 par
la marquise de sade sur La séduction
Coeur


Cœur tourmenté
Vie dérisoire
Cœur trompé
Espoir en fumée
Cœur trahi
Confiance volée
Cœur blessé
Sécurité dispersée
Où poser son regard pour trouver la paix ?
Cœur Léger
Enfin la Vie
Cœur aimé
Source de joie
Cœur compris
Espoir devant soi
Cœur consolé
Lumière dans les ténèbres
Offrez-moi donc le repos tant désiré !
Mar 20 Avril 2004, 08:09 par
Mout sur L'amour en vrac
Chemin pavé...
PetitPrince a écrit: |
Elle aidera peut être chacun à trouver la voie de son juste milieu. |
Se trouver est un combat de tous les jours, se comprendre une question d’affaire.
Ainsi Hermès Trismégiste, alchimiste et non penseur, dévoila il y a fort longtemps son secret de la compréhension : Distingue clairement qu’il y a deux consciences en toi. Celle de la dense matière de ta chair et celle de ton être essentiel qui a la faculté d’être attentif à cette chair. Voilà où se situe le centre de ton attention où tu dois installer ton vouloir ardent.
Etre bien flasque seul... Etre bien dur dans une relation duettiste... N’y voyez pas là d’idée bien déplacée ! Simplement, qu’il faut être bien seul pour perdre espoir, et au contraire, bien fort pour supporter la main d’un(e) compagnon. Faut-il donc penser, selon les Fables, qu’une relation libertine et vivante a plus de chance de vivre qu’une relation bétonnée par sa structure ?
Voila, un point bien ambigu...
Bertrand Vac a écrit: |
On a beau blâmer les libertins, ils restent quand même les seuls à avoir employé les moyens de retenir celles qui leur plaisent. |
Un monde parfait disait-il ... laissez moi rire
Il est 3h30, les murs blancs qui m’entourent me glacent.
Mes vieux fantômes sont réveillés, m’envahissent, prennent toute la place.
J’ai ressorti mon vieux cd des jours noirs
Je me laisse aller, j’arrête le combat, c’est sans espoir.
L’incompréhension s’est emparée de moi,
J’ai réfléchi, cherché où j’avais fait le mauvais choix.
Vivre libre est interdit
Une condamnation à la solitude, au mépris.
Un cafard s’est installé, il m’aura quitté demain
Tout cela sera oublié au petit matin
A moins que... quelque part, dans une plaie béante
Camouflé sous les rires et la partie insouciante.
La douceur est une denrée rare
A ne pas exposer sous un avatar
Soyez vos mots, souffrez leurs maux
Eteigniez vous si vous brillez trop haut
Ne pas faire d’ombre, rêver petit
Taisez-vous, c’est le succès garantit
Effacer celle que vous êtes, jouer le rôle
Offusquez-vous, contenez-vous, même si c’est moins drôle
Ne jamais se dévoiler, mentir, se cacher
Jouer, respecter, suivre les règles imposées
Ne jamais être soi, au risque d’être condamnée
Rentrer dans le rang, remercier, ... et s’étouffer...
La marquise... qui suffoque...
Mes vieux fantômes sont réveillés, m’envahissent, prennent toute la place.
J’ai ressorti mon vieux cd des jours noirs
Je me laisse aller, j’arrête le combat, c’est sans espoir.
L’incompréhension s’est emparée de moi,
J’ai réfléchi, cherché où j’avais fait le mauvais choix.
Vivre libre est interdit
Une condamnation à la solitude, au mépris.
Un cafard s’est installé, il m’aura quitté demain
Tout cela sera oublié au petit matin
A moins que... quelque part, dans une plaie béante
Camouflé sous les rires et la partie insouciante.
La douceur est une denrée rare
A ne pas exposer sous un avatar
Soyez vos mots, souffrez leurs maux
Eteigniez vous si vous brillez trop haut
Ne pas faire d’ombre, rêver petit
Taisez-vous, c’est le succès garantit
Effacer celle que vous êtes, jouer le rôle
Offusquez-vous, contenez-vous, même si c’est moins drôle
Ne jamais se dévoiler, mentir, se cacher
Jouer, respecter, suivre les règles imposées
Ne jamais être soi, au risque d’être condamnée
Rentrer dans le rang, remercier, ... et s’étouffer...
La marquise... qui suffoque...
Sam 03 Avril 2004, 02:50 par
la marquise de sade sur Un monde parfait
Sur un air de Miossec...
Tu t’en vas bien avant l’heure,
Tu t’en vas en me laissant m’enfoncer dans mes pleurs,
Tu t’en vas m’abandonnant avec toutes ces questions
Tu t’en vas sans même qu’en face nous en parlions
Tu t’en vas quand tant de doutes à présent me parcourent
Tu t’en vas sans que je puisse répondre à ton amour...
Tu n’as aimé que moi
Sans jamais me dire quoique ce soit
Tu m’embrasses jusqu’à en mourir
Ces mois de silence, je vais te maudire.
Tu t’en vas fuyant devant les sentiments qui te sont interdits
Tu t’en vas sans m’avoir même demandé si moi j’en avais envie
Tu t’en vas décidant de ce qui est le mieux pour toi
Tu t’en vas refusant d’écouter quel sera mon combat
Tu t’en vas pour aller vivre à moins que ce soit pour mieux mourir
Tu t’en vas après tout ce temps sans aucun espoir à construire...
Tu n’as aimé que moi
Sans jamais me dire quoique ce soit
Tu m’embrasses jusqu’à en mourir
Ces mois de silence, je vais te maudire
Tu t’en vas parce que je suis ta souffrance
Tu t’en vas m’infligeant une lourde sentence
Tu t’en vas me laissant pour seuls souvenirs tes regrets
Tu t’en vas alors que nous aurions pu être si prés
Tu t’en vas et je n’avais jamais osé
Tu t’en vas alors que je n’osais t’aimer
Tu n’as aimé que moi
Sans jamais me dire quoique ce soit
Tu m’embrasses jusqu’à en mourir
Ces mois de silence, je vais te maudire
Isabelle... conscience de la marquise...
Tu t’en vas en me laissant m’enfoncer dans mes pleurs,
Tu t’en vas m’abandonnant avec toutes ces questions
Tu t’en vas sans même qu’en face nous en parlions
Tu t’en vas quand tant de doutes à présent me parcourent
Tu t’en vas sans que je puisse répondre à ton amour...
Tu n’as aimé que moi
Sans jamais me dire quoique ce soit
Tu m’embrasses jusqu’à en mourir
Ces mois de silence, je vais te maudire.
Tu t’en vas fuyant devant les sentiments qui te sont interdits
Tu t’en vas sans m’avoir même demandé si moi j’en avais envie
Tu t’en vas décidant de ce qui est le mieux pour toi
Tu t’en vas refusant d’écouter quel sera mon combat
Tu t’en vas pour aller vivre à moins que ce soit pour mieux mourir
Tu t’en vas après tout ce temps sans aucun espoir à construire...
Tu n’as aimé que moi
Sans jamais me dire quoique ce soit
Tu m’embrasses jusqu’à en mourir
Ces mois de silence, je vais te maudire
Tu t’en vas parce que je suis ta souffrance
Tu t’en vas m’infligeant une lourde sentence
Tu t’en vas me laissant pour seuls souvenirs tes regrets
Tu t’en vas alors que nous aurions pu être si prés
Tu t’en vas et je n’avais jamais osé
Tu t’en vas alors que je n’osais t’aimer
Tu n’as aimé que moi
Sans jamais me dire quoique ce soit
Tu m’embrasses jusqu’à en mourir
Ces mois de silence, je vais te maudire
Isabelle... conscience de la marquise...
Jeu 25 Mars 2004, 20:03 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
Contre un mur - Fin
En t’embrassant, je t’ai poussé contre le mur de cette vielle maison. La folie de l’instant ne nous fit pas doux comme de tendres amants, mais fous comme des animaux assoiffés, et maladroit comme des adolescents tourmentés.
Je sens tes mains balbutier dans mon dos et ma nuque, et tes mollets se sertir dans mes reins. Je ne sais plus trop qui lave l’autre avec sa langue. Nous nous sommes donné rendez-vous ici pour péter un boulon. Je suis excité comme un fou, mes mains sont déjà sous ta jupe, ayant délaissé les premiers appâts de ton buste, livré désormais au regard anonyme du ciel de Paris. Avec bonheur, je caresse la dentelle de tes bas, augurant de l’aspect pratique qui n’aurait point existé avec ces collants que je te soupçonnais.
Un instant je m’arrête. Nous sommes au bord de tout, et en galant homme je tiens encore à ton accord, même si je ne te connais pas. Tu as compris, et ton regard ne fit qu’accompagner tes mains fébriles qui me déboutonnerent au coin de cette rue inespérée.
Mon orgueil de male ainsi libéré, je me sentais de t’investir brusquement contre le mur de notre fortune, mais tu ne l’entendais pas ainsi. Un coup d’œil à droite, un coup d’œil à gauche. Personne. A ton regard mutin, qui rend inconscient le plus droit des hommes, et je compris ton envie de pousser cet instant incertain aux limites du jeu et de l’interdit.
Tes mains enserrent mon sexe dressé, tandis que je sens ton haleine, promesse de mille caresses, annoncer un plaisir dont je suis plus que friand. Et tu prends ton temps, coquine, à me faire tourment de ces lèvres que l’on croirait sans dent. Je savoure un instant, jouant le jeu de l’extrême en posant les mains sur ce mur, ah ce mur, en baissant la tête pour admirer impudique et ébahi ton œuvre, et ton regard insolent.
Stop. C’est toi que je veux. Je te redresse et te plaque contre ce mur, la bite à l’air. Je te regarde avec insolence et ferveur, comme tu me regardais quelques secondes auparavant. Je déboutonne lentement, ce qu’il reste de deboutonnable sur ton chemisier, et prends mon temps, toujours mon regard dans le tien, de caresser des seins durcis de désir.
Je retrousse ta jupe, et me plaque contre toi qui est dos à ce mur, compagnon de fortune, et désormais ami pour toujours. Je pénètre avec douceur, la chambre de tes plaisirs, accueillante et moelleuse, contrastant avec cette fin de journée d’hiver. Je suis heureux.
Notre fougue s’est calmée, et laisse place à une douceur et une tendresse inespérée. Les animaux sont-ils domptés à l’heure ou ils se repaissent à la mare de leurs souhaits ? Je ne sais. Nous avons pris notre temps toi et moi de savourer cet instant, d’arrêter le temps, comme je dis si souvent …Juste un léger cri, la tête penchée sur le coté, et les yeux fermés, tu m’as invité à te rejoindre dans l’aboutissement de cette étreinte, et je t’ai dit oui dans le creux de l’oreille, et au fond de ton corps.
Ne plus bouger, revenir sur terre. Je sors a regret, et il fait froid. Nos regards s’évitent, la magie commence à cesser. Je te vois rebaisser ta jupe, tandis que je me rembraille doucement en te regardant. Tu te reboutonnes, puis redescends cette jupe que j’ai tant suivie, et enfin te recoiffes avec les mains. Tu es belle. Oui, tu es belle.
Rhabillés, nous prenons le temps de nous regarder encore, en silence. La beauté d’un instant ne souffre aucun mot, aucun espoir ni aucun regret. Un léger sourire, un regard qui disait "jamais je ne t’oublierai" seront nos seuls mots d’amour, avec ce texte que je te dédie, en hommage à ta royale féminité.
Je sens tes mains balbutier dans mon dos et ma nuque, et tes mollets se sertir dans mes reins. Je ne sais plus trop qui lave l’autre avec sa langue. Nous nous sommes donné rendez-vous ici pour péter un boulon. Je suis excité comme un fou, mes mains sont déjà sous ta jupe, ayant délaissé les premiers appâts de ton buste, livré désormais au regard anonyme du ciel de Paris. Avec bonheur, je caresse la dentelle de tes bas, augurant de l’aspect pratique qui n’aurait point existé avec ces collants que je te soupçonnais.
Un instant je m’arrête. Nous sommes au bord de tout, et en galant homme je tiens encore à ton accord, même si je ne te connais pas. Tu as compris, et ton regard ne fit qu’accompagner tes mains fébriles qui me déboutonnerent au coin de cette rue inespérée.
Mon orgueil de male ainsi libéré, je me sentais de t’investir brusquement contre le mur de notre fortune, mais tu ne l’entendais pas ainsi. Un coup d’œil à droite, un coup d’œil à gauche. Personne. A ton regard mutin, qui rend inconscient le plus droit des hommes, et je compris ton envie de pousser cet instant incertain aux limites du jeu et de l’interdit.
Tes mains enserrent mon sexe dressé, tandis que je sens ton haleine, promesse de mille caresses, annoncer un plaisir dont je suis plus que friand. Et tu prends ton temps, coquine, à me faire tourment de ces lèvres que l’on croirait sans dent. Je savoure un instant, jouant le jeu de l’extrême en posant les mains sur ce mur, ah ce mur, en baissant la tête pour admirer impudique et ébahi ton œuvre, et ton regard insolent.
Stop. C’est toi que je veux. Je te redresse et te plaque contre ce mur, la bite à l’air. Je te regarde avec insolence et ferveur, comme tu me regardais quelques secondes auparavant. Je déboutonne lentement, ce qu’il reste de deboutonnable sur ton chemisier, et prends mon temps, toujours mon regard dans le tien, de caresser des seins durcis de désir.
Je retrousse ta jupe, et me plaque contre toi qui est dos à ce mur, compagnon de fortune, et désormais ami pour toujours. Je pénètre avec douceur, la chambre de tes plaisirs, accueillante et moelleuse, contrastant avec cette fin de journée d’hiver. Je suis heureux.
Notre fougue s’est calmée, et laisse place à une douceur et une tendresse inespérée. Les animaux sont-ils domptés à l’heure ou ils se repaissent à la mare de leurs souhaits ? Je ne sais. Nous avons pris notre temps toi et moi de savourer cet instant, d’arrêter le temps, comme je dis si souvent …Juste un léger cri, la tête penchée sur le coté, et les yeux fermés, tu m’as invité à te rejoindre dans l’aboutissement de cette étreinte, et je t’ai dit oui dans le creux de l’oreille, et au fond de ton corps.
Ne plus bouger, revenir sur terre. Je sors a regret, et il fait froid. Nos regards s’évitent, la magie commence à cesser. Je te vois rebaisser ta jupe, tandis que je me rembraille doucement en te regardant. Tu te reboutonnes, puis redescends cette jupe que j’ai tant suivie, et enfin te recoiffes avec les mains. Tu es belle. Oui, tu es belle.
Rhabillés, nous prenons le temps de nous regarder encore, en silence. La beauté d’un instant ne souffre aucun mot, aucun espoir ni aucun regret. Un léger sourire, un regard qui disait "jamais je ne t’oublierai" seront nos seuls mots d’amour, avec ce texte que je te dédie, en hommage à ta royale féminité.
Jeu 15 Jan 2004, 22:25 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
Je sais pas, un peu tout et rien doit etre une déception
Bonjour, je me lance............. Il est joli ce site !!
Rien ne doit etre une deception... Et pourquoi pas ... Pourquoi a-t-on inventé le mot déception, si rien ne doit etre une déception.
Peut être que c’est un idéal de dire qu’on est jamais décu, une facon de dire qu’on a aimé et que rien n’y peut changer. Mais pourtant qui n’a jamais été décu ?
Qui n’a jamais cru et a finalement été cuit ...
Finalement peut etre oui, que comme dit le poete "je garde des séquelles et je sais qu’elle sait que le silence est d’or, alors je me tais"...
J’aimerais me taire mais je n’y arrive pas, combien j’admire ces gens qui ne regrettent ni ne sont décus, quelle force ou quelle liberté renferment-ils, quelle vérité ont ils compris que je n’ai pas encore touché du doigt.
Parfois je me demande si je souffre plus que d’autres ou si les autres souffrent autant. Sommes tous tous égaux devant l’amour ? Sommes nous si libres que cela ? Je sais pas.
L’amour enfant de bohème nous balade au gré du vent sans nous demander notre avis, il nous pénétre et s’échappe, oh le vilain !!
Courant de vie, courant d’air, courant de rien et pourtant courant de tout qui part parfois en courant ...
Et si je pouvais décider que j’aime ou pas, si je maitrisais ce zigoto qui viens et qui s’en va ... Courant d’air, parts pas par la !! A quoi servirais de pouvoir cela.
L’amour c’est une fleur, un arbre, le fruit d’une graine qui germe... Une pulsion de vie, la lumière d’un jour clair. Il égaie l’existance et demande ardemment d’être arrosé. Deux arrosoirs a amour s’échinent alors a l’entretenir, a le faire pousser tantot au goutte a goutte, tantot a grande eau quand la sécheresse survient. Deux arrosoirs qui s’usent, que l’on raccomode, que l’on essaie tant bien que mal de garder étanches. Deux arrosoirs de tailles différentes, de débits différents, deux arrosoirs qui se vident petit à petit, vivement l’aide de la pluie.
Bon et le net !!! Journal d’un poilu
: Dans leurs complets bleus sur le front, blottis dans le terrier humide d’une tranchée certains soldats écrivaient. Ils écrivaient a une bien aimée, une personne qu’ils aimaient a travers un courrier. J’ai entendu dire que certaines de ces couples épistolaires ne s’étaient jamais vus. Que leurs lettres avaient été un lien vital, un espoir, une source de vie. Pourtant la rencontre, la confrontation avec la réalité parfois remettait tout en question. De ce coté Internet, n’a rien inventé... Pourquoi je pense à ca
.
Et oui !! Ce qui manque dans tout ces paragraphes c’est plaisir. Je n’y voit que la peur de l’éphèmère, la peur du vivant, du début, de la fin... L’amour est vivant !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
L’amour c’est du plaisir. C’est un miroir arrangeant qui nous dit je t’aime !!!!!!! Parfois plus que ce que nous nous le disons. Mais notre amour aussi est un miroir pour l’autre dans lequel, espérons-le ils se sent aimé. Bon All We Need Is Love. PAPADAM PADAM...















Sam 15 Nov 2003, 23:49 par
Calimero,Steph & Cie sur Amour internet
Ecrire sur espoir

Il y a 82 textes utilisant le mot espoir. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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