Morphine [Yaoi]

3. Dans le bain, Second Rituel

Bill dégoulinait toujours de lait et en répandait un peu partout pendant que lui et Tom montaient à l’étage.
Ils allèrent à la salle de bain, où Bill mit l’eau à couler dans la baignoire. Tom l’enlaça dans le dos et passait ses mains sur son étoile. Bill avait relevé la tête et l’avait fait basculé sur l’épaule de son grand frère, les yeux vers le plafond. Puis il se mit à lécher les joues de Tom, qui lui tourner son index dans le nombril de Bill. Bill pouvait sentir dans le bas de son dos la légère excitation que ressentait Tom.
Soudain, un peu plus violemment que tous ses autres gestes, Tom retourna son petit frère vers lui, prit son visage dans ses mains puis l’embrassa. Les mains du petit frère se perdaient dans les dreadlocks attachées de Tom. Puis ils s’arrêtèrent et se regardèrent dans le miroir. Chacun regardait le reflet de l’autre et se souriaient, se tenant la main. Ils étaient si beaux qu’on aurait pu leur attacher de longues ailes de plumes blanches dans le dos. Mais leurs intentions s’apparentaient plus à une tendance démoniaque qu’angélique.
Quand le bain fût près, ils y entrèrent en même temps. Puis ils s’assirent chacun d’un côté. Bill avait ramené ses jambes contre son torse et Tom s’était installé en tailleur. Celui-ci sourit et Bill comprit ce qu’il allait lui faire. Il allait tout simplement le laver.
Tom s’empara du flacon de shampoing et en fit couler sur les longs cheveux plein de lait de son petit frère. Bill ferma les yeux et laissa couler le liquide épais et parfumé sur son visage. Il souriait, il se sentait lavé de tous ses péchés. Il s’allongea dans l’eau tiède et Tom, maintenant penché à califourchon sur lui, commença à le frotter et à le masser. Il lava ses cheveux, puis son torse. Il joua un peu avec son sexe, mais pas trop, il laissait Bill le désirer encore un peu. Celui-ci se redressa et repoussa doucement Tom de son corps, le faisant glisser à l’autre bout de la baignoire. Puis il disparut sous la mousse. Quelques secondes plus tard, Tom poussa un petit cri. Il s’adossa sur la baignoire, se retenant aux rebords de celle-ci. Il écarta un peu les jambes et, sous l’effet du plaisir, poussa les côtés de la baignoire, comme s’il voulait les enlever. Il se mordait la lèvre. Il allait jouir quand Bill refit surface, tout essoufflé, et s’allongea sur lui. Mais celui-ci continua de caresser le sexe de son frère, et Tom finit par lâcher un long soupire remplit de plaisirs. Bill lâcha enfin le membre de son jumeau et lécha l’eau qui briller sa poitrine. Puis, un peu fatigués même s’il était tout juste midi, ils somnolèrent ainsi, Bill sur Tom, Tom entourant Bill de ses bras dans son rôle de grand frère.
Ils étaient comme des rois, agissants comme ils le souhaitaient. Ils savaient qu’à la fin de la journée, ça serait terminé et qu’ils devraient se dire la pire des choses qu’on pourrait prononcer à son jumeau. Mais, ils iront jusqu’à bout, ne pouvant revenir en arrière. La fin, Bill la connaissait déjà, mais il n’en parlerait pas à son frère. Ça gâcherait cette journée, cette unique journée tant attendu. Cette dernière journée à passer à deux dans la plus profonde et scellé des intimités.
Sam 24 Mars 2007, 14:12 par Lyra sur Les liaisons sulfureuses

Morphine [Yaoi]

2. La face innocente du Premier Rituel

Tom se leva le premier du lit, puis enleva la couette qui tenait son petit frère au chaud. Il découvrit un corps identique au sien, d’une beauté qu’on ne peut jamais égaler. Bill s’étira et Tom toucha la petite étoile que son jumeau avait sur la hanche. Il caressait sensuellement le bas du ventre de son frère, égarant ses doigts sur son nombril et sur son sexe. Bill riait car ça le chatouillait. Il se redressa pour se retrouver assit. Il croisa les bras en se frottant le torse: il avait un peu froid. Mais plus que jamais il était heureux. Tom lui tendit la main pour l’aider à se lever.
Ils se retrouvèrent face à face à se contempler. Et là, il n’y avait plus que leur coupe de cheveux pour les différencier, ainsi que les tatouages du petit frère. Ce dernier s’approcha et colla son corps à celui de son frère. Il nicha sa tête dans son cou et mordilla le lobe de son oreille. Puis, sans qu’ils ne communiquent par mots, ils s’écartèrent l’un de l’autre, puis Tom prit la main de son frère. Ils sortirent de la chambre, Tom devant, son petit frère sur les talons. Ils descendirent les escaliers et, après que Tom s’eut assuré qu’il n’y avait vraiment plus personne dans la maison, ils se dirigèrent vers la cuisine.
Là, Bill resta debout au milieu de la pièce, sur le carrelage à carreaux noirs et blancs. Il avait un peu peur, mais il laisserait son frère s’occuper de lui. Tom caressa son frère pour le mettre en confiance, épousant les formes de son corps de ses paumes de mains. Il déposa furtivement un baiser sur les lèvres de son petit frère, puis se sépara de lui. Il ouvrit le frigidaire et en sortit une bouteille de lait non entamé. Le liquide était alors pur. Tom ouvrit la bouteille et laissa le bouchon rouler à terre. Puis, sachant totalement que faire cela était un jeu interdit, revînt vers Bill qui se tenait toujours immobile au centre de la cuisine. Ce dernier leva la tête et ouvrit la bouche. Tom versa doucement un filet de lait dans la bouche de son frère qui, dans cette position, ne pouvait pas avaler. Mais c’était le but. Bientôt le liquide blanc déborda, Bill toussa, puis le lait ruissela tout le long de son corps. Tom continua à renverser la bouteille jusqu’à ce qu’elle soit totalement vide. Puis, quand la dernière goutte de lait fût tomber sur la peau blanche de son frère, il laissa la bouteille tomber à terre. Bill rabaissa la tête et avala l’unique gorgée qu’il aura pu boire. Le lait recouvrait tout le sol à présent.
Tom se rapprocha alors de son jumeau et commença à lécher sa peau imprégnée de lait. Il commença par le visage, puis descendit sa langue dans le cou de Bill, puis sur sa poitrine, dans son nombril, sur son aine, sur son sexe sur lequel il s’attarda un peu plus. Bill se laissait totalement explorer sans bouger, souriant et gémissant de plaisir au contact chaud de la langue de son jumeau. Il se sentait entier, complet. Il caressait les cheveux de son frère qui s’affairait toujours sur ses parties intimes. Puis, ne tenant plus debout tellement le plaisir devenait grand, il s’allongea par terre dans la flaque de lait. Ce qu’il n’aurait pas dû faire, car Tom arrêta de lui procurer ce plaisir. En revanche, il se positionna à quatre pattes au dessus de lui et, tout en le caressant, l’embrassait amoureusement. Il frottait doucement son corps sur le sien, leurs peaux glissaient l’une sur l’autre grâce au lait. Les cheveux de Bill se trempaient dans la flaque blanche. Celui-ci avait totalement décollé de la planète, comme son frère d’ailleurs, et errait dans l’espace, un espace si grand qu’il eut presque peur en le voyant. Mais en fait, ça le rire. Il ne savait pas pourquoi, mais il riait. Il se sentait si bien, éprit d’une ivresse de bonheur. Tom, lui, souriait tout en recommençant à lécher la peau de son petit frère.
Ils s’étaient promis une histoire unique et belle, que personne ni rien ne les séparerait. Que pour toujours, ils erreraient dans cet espace sans fond ni plafond. Ils s’étaient jurés de braver les interdits, de vivre comme bon leur semblerait, à deux et rien qu’à deux, sans personne pour les juger. Ils n’en n’avaient pas besoin. Ils savaient qu’ils ne s’en sortiraient pas indemne de cette aventure, mais ils voulaient la vivre et la mordre à pleine dent. A deux, ils ne formaient qu’une seule et unique âme, séparément, ils mourraient de solitude et de peur.
Tom se releva et aida Bill à faire de même. Ce rituel, plutôt inoffensif, n’était pas terminé. Mais ils le laisseraient un moment de côté pour réaliser le second.
Ils remontèrent à l’étage, dans la salle de bain.
Sam 24 Mars 2007, 14:11 par Lyra sur Les liaisons sulfureuses

Morphine [Yaoi]

Petite fiction bisard en 5 petits chapitres!
Attention toutefois, ce sont des relations homosexuelles, et la fin peut choquer.

1. Révélations

Ils avaient attendu d’être totalement seuls, que la maison soit abandonnée d’individus susceptibles de les juger pour ce qu’ils feront. Ils n’étaient pas anormales, simplement différents des autres. Ce qu’ils feront serait à jamais leur secret. Depuis toujours ils en rêvaient, mais jamais ils n’avaient osé s’en parler l’un à l’autre. Mais, ce jour-ci, sans prévenir, ils s’étaient révélé leur amour. Et tous leurs deux avaient été surpris par l’autre. Sans parler, ils s’étaient mis d’accord pour ne jamais révéler ce sentiment à personne. Maintenant, plus rien ne les retiendrait.
Bill était sous la couette, tout nu dans le lit, et regardait son frère qui lui souriait, assit à côté. Tom était complètement dévêtu, lui aussi. Et tous les deux, ils attendaient que la voie soit libre. Tom caressait les longs cheveux noirs de son petit frère, petit frère d’à peine dix minutes, mais petit frère quand même. Il sentait qu’il devait le protéger, s’occuper de lui. Il voulait l’aimer plus qu’on aime son frère jumeau. Bill, lui, avait sortit sa main de dessous la couette et tirait son frère pour qu’il s’allonge sur son corps. Tom se mit sur le ventre, et seul leurs visages pouvaient se toucher car la couette empêcher le reste de leurs corps d’être en contact. Tom parcourait le visage de Bill en l’effleurant du bout des lèvres. L’androgyne aux cheveux corbeau passa sa main dans la nuque de son frère et tira doucement pour ramener le visage de Tom encore plus près du sien. Leurs lèvres se touchèrent définitivement. Chacun jouissait d’un bonheur si longtemps attendu et désiré. Ils avaient tellement voulu que cet instant devienne réalité, sans savoir que l’autre le voulait aussi.
Tom prit le visage de son frère dans les mains, et Bill entoura le cou de son jumeau de ses bras. Ce fût Bill qui demanda à débuter la danse. Il fit délicatement passer sa langue percée entre les lèvres désirantes de son frère. Tom laissa sa cavalière pénétrer dans son domaine et l’accueillit en s’enroulant autour. Ce baiser dura on ne sait combien de temps. Leurs langues dansèrent ensemble sans jamais vouloir se reposer. Bill arrêta la danse qu’il avait demandé. Mais Tom ne semblait pas vouloir suivre cet ordre. Aussi, quand son frère resserra les lèvres, il continua à les lécher. Bill aller et venir sa main sur les flancs de son frère, pendant que celui-ci passait sa langue sur son nez, puis sur ses paupières closes. Ils sentaient le désire grimper. Mais ce désir était loin d’arriver au bout du chemin. Ils s’étaient promis d’aller… loin.
Quand ils entendirent la porte de la maison claquer, ils surent qu’ils étaient enfin seuls. Rien que eux deux. Alors, ils descendirent dans la cuisine pour accomplir ce qu’on pourrait définir comme le Premier Rituel.
Sam 24 Mars 2007, 14:09 par Lyra sur Les liaisons sulfureuses

Rendez-vous

Jeanne enfila son manteau, prit les clefs sur la console et virevolta sur le palier. L’amour lui donnait des ailes.
Elle traversa le jardin innondé, enjambant les flaques d’eau qui creusaient l’allée. Près de l’appentis les roses hachées par la pluie pendaient lamentablement. Elle en fut attristée.
Jeanne ouvrit le portail et se retrouva sur le trottoir.
Montmartre était à ses pieds. Le spectre d’un arc-en-ciel offrait ses couleurs dans une arcade parfaite qui semblait naître de la terre.
Jeanne dévala les escaliers de la butte en se disant que c’était un bonheur de posséder un jardin dans la ville.
A dix neuf heures, elle traversait le Boulevard St Germain.
Depuis plusieurs mois, Louis lui donnait rendez-vous à l’hôtel St Charles, rue de la Huchette.
Ils s’étaient rencontrés en Normandie. Dès le premier regard, ils étaient tombés amoureux.
Elle arrivait toujours la première à l’hôtel, prenait la clef à la réception agacée par le sourire narquois de l’employé.
Elle attendait l’ascenceur, toujours avec la même impatience et trouvait çà interminable.
A peine entrée dans la chambre, elle glisser sa robe sur le parquet et s’engouffrait dans la salle de bain.
Après sa douche, elle aimait sentir ses cheveux humides lui caresser les reins.
Le corps enveloppé d’un voile de talc parfumé, elle s’allongeait, espérant que son amant s’engloutirait dans cette subtilité évanescente répandue dans l’air.
Blanche et nue, elle attendait, abandonnant son corps à l’étreinte, la jambe gauche allongée et la droite repliée, dévoilant le sillon de son sexe humide.
Lorsque Louis entra dans la chambre, elle s’était assoupie.
Grand, mince, les cheveux bruns et les yeux noirs, il ressemblait à un prince arabe.
Il s’approcha pour chuchoter à son oreille des mots qu’elle ne comprenait pas, mais elle lui offrit son corps sans pudeur.
Louis caressa le sexe ouvert, prit entre ses doigts le petit bouton charnu, elle laissa son plaisir l’envahir.
Louis la satis toujours dans son étreinte et voulait s’endormir en elle, aprés avoir vu dans le miroir leurs corps parcourus d’ondes frémissantes.
Ils ne faisaient plus qu’un seul être, une seule âme, avant de sombrer dans cette petite mort qu’ils voulaient éternelle.
Lun 12 Fév 2007, 19:31 par lavinadiere sur Histoires d'amour

Des lieux, une époque...

Mon petit coin de mer face à Alger
Appelé Alger-Plage, entouré de rochers
Résidences secondaires, tout l’hiver désertées
Nous étions isolés, solitude appréciée
Ruines de Rusgunium, présence des Romains
Berbères conquis, pax romana sans lendemain
Plus que des murs solides, carreaux de mosaïque
Le Tementfoust décrit quand devenu Arabique
Et sous l’eau mêmes dalles envahies par les algues
Charles Quint a mouillé sur ce port sous les vagues
Plus au nord les falaises les mêmes depuis toujours
y ont brisé des rêves de conquêtes du pourtour
Ven 26 Jan 2007, 15:02 par jan goure sur Mille choses

L'enfant et la mer..

Ensuite ce fut la mer, je la voyais de près
Côte désertée l’hiver, envahie tout l’été
Baignant sable et rochers, miroir liquide ou vagues
Regards vers l’Infini, la pensée s’extravague

La maison des parents et l’eau au robinet
Un peu plus de confort, fée électricité
Sorties à l’aviron avec une barcasse
Parties de pêches en mer : lignes de fond et nasses

Nous n’avions plus de chien, mais adoption des chats
Encore un poulailler : éviter trop d’achats
Le Papa retraité cultivait ses légumes
Faisait pousser les arbres : fruits doux et des agrumes

De longues années d’école sans surmonter ma peur
Un groupe monolithique régnait par la terreur
Mon « Défi permanent » jusqu’à la peur vaincue :
Courir, sauter, boxer, une volonté têtue…

Jan
Jeu 25 Jan 2007, 15:38 par jan goure sur Mille choses

Un enfant à la mer...

Ensuite ce fut la mer, je la voyais de près
Côte désertée l’hiver, envahie tout l’été
Baignant sable et rochers, miroir liquide ou vagues
Regards vers l’Infini, la pensée s’extravague

La maison des parents, et l’eau au robinet
Un peu plus de confort, fée électricité
Sorties à l’aviron avec une barcasse
Parties de pêches en mer : Lignes de fond et nasses

Nous n’avions plus de chien, mais adoptions des chats
Encore un poulailler : éviter trop d’achats
Le Papa retraité cultivait ses légumes
Faisait pousser les arbres : fruits doux et des agrumes

De longues années d’école sans surmonter ma peur
Un groupe monolithique régnait par la terreur
Mon « Défi permanent » jusqu’à la peur vaincue :
Courir, sauter, boxer, une volonté têtue…

Jan
Jeu 25 Jan 2007, 15:27 par jan goure sur Articles

Tapis rouge

Tapis rouge.

Elle savait ce qu’elle . Elle savait ce qu’il allait se produire. Ce soir était un soir où la nuit lui appartenait. Précieusement, charnue de désirs elle s’était glissée dans un bain chaud et impudique. Avec précaution elle avait parfumé son corps de crème. Elle savait que ce soir elle mettrait toutes ses valeurs dans le tiroir de sa mémoire.
Nez de clown, rouge.
Elle l’avait appelé. Un café ? Il avait répondu oui, il savait ce qu’il . Deux adultes. Deux adultes mais si enfantins, tellement seuls. Personne ne saurait. Tuer le temps ensemble, ballon rouge.
Ils ne s’aimaient pas vraiment d’amour, ils aimaient être ensemble et partager des joies, des peines et soulager leurs désirs charnels. Rien de plus, tristement.
Chez lui, un café, des paroles, un café, des silences. Des flots de paroles inutiles pour combler tout regard. Pour fuir des désirs, des envies. Un café. Des secrets confiés, échangés. Banal. Nez rouge, un soir fugace.
Il est l’heure de se séparer. Lui, offre un cadeau. Elle, sensible sent qu’une tension monte. Il la raccompagne. Et dans la voiture une phrase « j’ai envie de t’embrasser » déclenche un torrent de passion, de permission. Trop longtemps retenu. Pas de tapis rouge. Avidement les lèvres se rencontrent, avidement des mains s’évadent. Une chaleur se dégage. Lui, plein de désirs sous des mains câlines, elle, pleine de désirs sous des mains fouilleuse. Plus rien ne les retient, la nuit les drape. La nuit les couvre. Une jupe est remontée à la hâte. Dans cette folie, une seule jambe de collant est enlevée pour offrir un sexe gonflé de désir, une main glisse à l’intérieur des cuisses chaudes de promesses. Ballon rouge. Plus rien ne les arrête. Le siége de la voiture se couche. Puis lentement, délicieusement chacune des quatre mains déshabille l’autre. Des baisers avides déchaînent deux corps en demande. Puis, les deux corps s’unissent, s’accouplent. Tendrement, il pénètre en elle. Tendrement il la pénètre. Elle se cabre, l’invitant à rester, l’invitant à se donner. Sans amour. Tout devient vivant. Tout devient douleur. De légers tressaillement envahissent les corps des deux amants. Impudique dans leurs chairs, ils s’abandonne l’un dans l’autre. Ils se donnent sans compter. Ils prennent, ils donnent. Ils prennent. Fulgurant de haine envers elle, elle joue à l’épanouie. Le pastique du ballon rouge grince.
Ballon rouge éclaté, tapis rouge enroulé, nez rouge de clown.
C’est fini la tempête des sentiments charnels. Chacun se rhabille mine de rien, mine de tout. Pas un mot. Pas une promesse, pas un mot d’amour. Que soulager des envies. La voiture démarre. Tout est fini. Ne rien dire.
Ballon rouge et vide grenier.
Un au revoir, lancé à la hâte.
Demain elle reprendra un bain pour un amant lointain…Miroir ne triche pas, l’odeur qu’elle regarde pue. Elle sait…le jeu est dégueulant de tristesse. Une nouvelle histoire courte d’un jour, pour ne pas croire. Mais dans un ventre trop lourd de secret, elle continuer son chemin vers une fin sans parole. Mais ballon rouge va éclater…

fille du peuple.
Mar 02 Jan 2007, 17:28 par Fille du peuple sur Parler d'amour

Les larmes d’une rose...

Elle l’aimait tant et tant... Il avait vécu. Comme d’autres. Il avait souffert. Il avait décidé de se taire... Savait-il ce qu’il ? Ce qu’il lui ? La souffrance dans son cœur ? Savait-il bien ? Ecris-moi tout ce que tu veux, tous tes mots d’amour, disait-il... La rose puisait dans sa sève, elle se mourait de lui... Mais silencieuses comme la glace les lèvres restaient serrées... Le silence répondait seul à ses mots d’amour.
But you don’t really care for roses do you ?
Le temps semblait si long à la rose, elle manquait de la lumière de son regard, de la chaleur de son être, de l’eau de son amour... Elle s’épuisait... J’ai mal, lui disait-elle.. Mais l’entendait-il ? Pourquoi ? Et des larmes de rosée perlaient à ses pétales... Il humait son parfum. Les regards ailleurs...
But you don’t really care for roses do you?
Ecris-moi disait-il... Et pour ne pas mourir du manque qu’elle ressentait elle écrivait, elle écrivait... Elle chantait comme chantent les roses dans le souffle du vent. Elle chantait comme on vit. Elle tournait ses regards vers lui mais il ne la voyait pas...
But you don’t really care for roses do you ?
Le vent a emporté les derniers pétales de la rose. Il marchait dans la rue, le vent lui jeta sur la poitrine ce frêle trophet. Il les porta à ses regards, puis quand il comprit de quoi il s’agissait, les froissa et les lança à la nuit qui tombait. Il épousseta son pardessus. Il passa son chemin...
But you don’t really care for roses do you ?
Sam 16 Déc 2006, 16:55 par dolce vita sur L'amour en vrac

Petite histoire

J’étais appuyée contre la porte du bahut. Il avait plus d’une demi-heure de retard. Je soupirai. C’était habituel… Puis je le vis arriver. Toujours l’air décontracté, comme avant… Les larmes me montèrent aux yeux. Mon cœur se noua. Ma gorge se noua. Je me sentis oppressée. Je voulus lui sourire, je grimaçao. Je voulus lui faire signe mais mon bras ne bougea pas, comme si une force extérieure lui avait interdit. Que m’arrivait-il ? Je baissai la tête. Il s’avança vers moi et voulut me faire la bise. Je me laissai embrasser sans rien faire et lui demandai où il comptait m’emmener.. « Où ? Eh bien, où tu veux… ». Comment lui expliquer ? Comment lui dire que tous les endroits me conviendrait, s’il m’aimait comme je l’aimait ? Il souriait. Il avait l’air heureux… Comme s’il avait oublié ce qui s’était passé. Il me prit par la main, me souria et me demanda si j’allais bien, comme deux amoureux… Que nous étions. Je fis un petit sourire et lui parlai. Il m’emmena au jardin du sacré cœur. Comme la première fois. On s’assit au même endroit… Je retrouva le A+J entouré d’un cœur que j’avais tracé pendant qu’il était allé me chercher une glace. Il me demanda si j’avais rencontré quelqu’un. Je mis du temps à répondre. Il aurait rencontré quelqu’un ? Non… Je ne le croyais pas. Et puis… Pourquoi n’aurait-il pas d’autres aventures désormais ? J’avais l’insouciance d’une gamine… Et le cœur donné à un garçon qui ne s’en rendait pas compte. Je lui répondis par la négative et lui retournai la question. J’avais peur de la réponse. Il me répondit tranquillement, comme s’il m’eut raconté son dernier rêve… « Eh bien… Oui. » Il rougit légèrement et poursuivit. « Une fille… ». Comme si je ne m’en doutais pas ! Eh puis quoi encore ? Un dinosaure ? « Elle est dans ma classe et… ça va plutôt bien. ». Je n’en peux plus. Les larmes montèrent aux yeux. Je baissai la tête en signe de désespoir. Des larmes coulèrent sur mes yeux. Je les laissai couler. Je ne cherchai plus à les essuyer. C’était inutile. Il mit sa main sur mon épaule. Il me demanda gentiment quel était le problème. Je le regardais et émis un faible sourire. Il ne comprenait pas que c’était lui le problème… Il voulait comprendre. Je lui expliquai… « Je t’aime. ». Ce n’était pas bien long comme explication. Trois mots… Mais ces trois mots sont les plus difficiles à prononcer. Il fit une drôle de tête. Son visage devint blême. Il s’écarta un peu et me regarda bizarrement.
- Vraiment ? demanda-t-il.
Je ne répondis même pas. Il comprit.
-désolée, Alicia…
Il rouvrit la bouche pour parler mais je lui mit la main devant. « Inutile. Vas–t-en. ».
Il ne contesta pas comme à son habitude et s’en alla. Je le regardais partir, ses cheveux bruns au vent… Il se retourna. Ses yeux noisettes croisèrent les miens. J’eu l’impression que mon âme était reliée à la sienne, l’espace d’un instant. J’eu l’impression qu’un jet de lumières invisibles reliait nos regards. Puis il cligna des yeux et tout s’arrêta. Je baissais la tête. Je ne pouvais continuer à le voir. Il partit du jardin… Et de mon cœur en même temps. Mon amour pour lui partit au fur et à mesure qu’il s’éloignait... Ce fut comme s’il avait prit tout ce que j’avais de lui en moi…
Il m’avait dit qu’il m’aimait. Je lui avait dit que je l’aimais. Et puis un jour il m‘a quittée…Je n’ai pas compris pourquoi. Et je ne comprendrai sans soute jamais. Il m’avait dit qu’on resterait amis. J’avais approuvé. Mais j’espérais au fond de moi que tout redevienne comme avant. Puis il est parti du collège… Il était revenu me voir. Et maintenant il est parti de ma vie. Pour toujours.
Quelle est cette force que l’on appelle l’amour ? Quelle est cette chose mystérieuse qu’aucun de nos cinq sens ne peut interpréter ? Elle nous remplit de joie aussi vite qu’elle nous remplit de haine. Elle nous trouve… Et ne nous quitte plus. Elle nous harcèle jusqu’à qu’on perde tout ce qui nous vivre. Elle peut nous démoraliser lors de nos jours les plus heureux comme nous faire vivre les jours où on pense que tout est fini.
Mer 29 Nov 2006, 17:11 par Gabouloo sur Mille choses

Je l'aimais

Bon ben c’est mon premier texte enjoy it or not.


C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.

Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.


Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.

Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.

I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.

I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
Mar 10 Oct 2006, 20:50 par Evidance sur Histoires d'amour

C'est divin ! C'est magique ! ça s'appelle l'Amour !

L’Amour c’est un magifique feu d’artifice qui explose dans le fond des yeux,
Comme mille étincelles de couleurs sur la voûte céleste.
C’est ce sourire si radieux, quand vous vous regardez droit dans les yeux.
C’est la tendre complicité de ces moments à deux, que l’on ne peut comprendre qu’en étant intimement amoureux.
Ce sont ces petits riens qui font le quotidien, mais qui hissent pour vous une écharpe de liens.
C’est la joie d’ être ensemble, chaque jour, chaque instant.
C’est d’aimer, recevoir, partager sans mélange, et se sentir touchés par la grace des anges.
C’est construire son nid, pour s’y mettre à l’abri.
C’est vivre à deux les joies, autant que les soucis.
C’est d’avoir un rocher ou pouvoir s’appuyer, si un vent ennemi vous trébucher.
C’est trouvé chaque soir le chemin de ses bras, pour pouvoir ronronner comme un chat.
C’est divin ! C’est magique ! ça s’appelle l’Amour !
Pour vous comme pour moi, ça rime avec toujours ....


(poème inspiré par un prince) ;-)
Sam 23 Sep 2006, 03:43 par joullia sur Parler d'amour

Quelle est cette femme, seule sur ce pénible chemin?

Quelle est cette femme, seule sur ce pénible chemin ?
A-t-elle perdu sa famille en ce beau matin?
Elle semble perdue dans ses pensées sombres
Dont elle est la seule à détenir les clés.
Qui pourrait, à ces yeux rêveurs d’un bleu envoûtant ?

Soudain je sens qu’il y manque l’étincelle du printemps.
Où est passé le feu qui les briller d’un éclat sans pareil ?
Et cette chaleur bienfaisante qui animait son corps la veille?

À présent elle marche, errant sans but, toujours rêvant
À ce passé balayé par un simple coup de vent dévastateur.
Ses lèvres, ses hanches portent encore la trace de ces moments d’abandon et de souffrance.

Mais cet espoir s’est noyé dans un flot de haine
Sans ses anges, elle n’a plus de rêves, plus de songes.
Alors, elle plonge
Plonge dans une mer hostile et ballottée
Où personne maintenant ne veut me sauver.
Par peur de sombrer avec mon radeau de fortune.
Pour m’aider à revenir sur la plage de sable blanc.
Et songer à nouveau à fonder une autre famille.
Sam 26 Août 2006, 14:04 par joullia sur Mille choses

Un coq.

C’était un coq qui le paon devant des poules...
Il se rengorgeait lorsqu’il les voyait pour lui se plumer...
Et il se rengorgeait : sont-elles bêtes !
Il fallait le voir faire et comme il paradait !

C’était un vieux coq, tout tremblant et chenu.
La vie a passé et de lui, il ne reste plus,
Qu’un vieux tas de grimace, qu’un vieux tas et c’est tout
Seul et las, le coeur vide, las ! son temps n’est plus.

Un coq est mort et nul ne l’a pleuré.
Dans un coin de basse-cour on voit à volonté,
Un amas de plumes tout crotté, oublié,
Un bon coup de balais et le voilà passé.
Sam 12 Août 2006, 09:14 par dolce vita sur Un monde parfait

Re: RETROUVER MON EX QUE J'AIME ENCORE !!!

Thierry,

Tout d’abord, le fait de ne pas aimer les disputes au sein d’un couple est plutôt honorable. Pourquoi ne pas en avoir parlé à votre amie ? Pourquoi ne pas lui expliquer aujourd’hui, les raisons de votre départ ? Pouvez-vous discutter avec elle de ce qui vous vous mettre en colère tous deux ? Parfois, malgré tout l’amour que l’on peut éprouver l’un pour l’autre, on peut avoir des modes de communication différents et ne pas être compatibles... Il faut voir avec elle comment vous pouvez élaborer déjà les bases d’une saine amitié. Ne pas se précipiter... En prenant le temps de vous re-découvrir, en laissant chacun libre de penser différemment de l’autre : s’aimer ne signifie pas être toujours sur la même longueur d’onde. Mais il convient d’exprimer en douceur son point de vue. Elle a été blessée, à vous de montrer votre bonne volonté à contruire quelque chose de fort et de durable avec elle, en actes et en paroles. Et bien sûr, si vous êtes deux à être de bonne volonté, votre couple ne peut être que solide et paisible... Encore faut-il que vous soyez deux à le vouloir : vous devez respecter son ressenti.
Courage, Thierry, quoiqu’il advienne, ne pensez pas que l’amour ne peut se vivre qu’avec une seule personne. Laissez le temps au temps... Il cicatrise bien des blessures. Surtout, il faut le temps pour qu’un enfant grandisse il faut le temps aussi pour qu’un amour puisse s’enraciner...
Sam 05 Août 2006, 14:19 par dolce vita sur Parler d'amour
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