Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur faites - Page 4 sur 4
Nouvelle présentation
Et bien voilà, c’est chose faite et la belle s’est faite belle !
Comme promis, je vous présente le nouveau design du site des âmes tendres, assouvissant ainsi le désir d’avancer dans l’esthetisme et dans la clarté.
Faites attention, vous allez passer des heures à redécouvrir des textes que vous n’aviez pas lu auparavant. Emotion garantie.
Saluons aussi, l’arrivée de Syolann qui nous montre son talent aussi prolixe que prometteur.
Comme promis, je vous présente le nouveau design du site des âmes tendres, assouvissant ainsi le désir d’avancer dans l’esthetisme et dans la clarté.
Faites attention, vous allez passer des heures à redécouvrir des textes que vous n’aviez pas lu auparavant. Emotion garantie.
Saluons aussi, l’arrivée de Syolann qui nous montre son talent aussi prolixe que prometteur.
Ven 06 Août 2004, 18:52 par
PetitPrince sur Edito
Recette
Prenez deux tourtereaux ou deux lapereaux, ou même éventuellement un de chaque
Mais prenez les bien jeunes et bien tendres
Traitez séparément couvrez d’eau salée pour attendrir encore mais pas trop pour ne pas laisser d’amertume
Puis faites revenir à feu vif
Sans brûler mais tout juste !
Poursuivre la cuisson à couvert ensemble
En couvrant de miel et de piment à votre goût
Après quelques temps entourez de quelques fruits
Laissez mijoter le plus longtemps possible
Mais en surveillant attentivement et en ajoutant
Si nécessaire régulièrement du miel et du piment
On peut agrémenter aussi de temps à autre de quelques pétales de roses
Mais prenez les bien jeunes et bien tendres
Traitez séparément couvrez d’eau salée pour attendrir encore mais pas trop pour ne pas laisser d’amertume
Puis faites revenir à feu vif
Sans brûler mais tout juste !
Poursuivre la cuisson à couvert ensemble
En couvrant de miel et de piment à votre goût
Après quelques temps entourez de quelques fruits
Laissez mijoter le plus longtemps possible
Mais en surveillant attentivement et en ajoutant
Si nécessaire régulièrement du miel et du piment
On peut agrémenter aussi de temps à autre de quelques pétales de roses
Lun 02 Août 2004, 21:16 par
virtuelle sur Le grimoire d'amour
Non...
Comment avait-elle fait ça. Alors qu’elle rêvait d’îles paradisiaques, alors qu’elle n’aspirait qu’à la tendresse, alors qu’elle n’était que douceur, elle avait joué ce rôle de pute, cette salope sans nom, et elle avait aimé. Oh oui, elle avait aimé. Elle avait joui comme jamais. Ses mains en tremblaient encore. Son coeur battait à tout rompre. Un sourire était figé sur ses lèvres. Son esprit était à mille lieux. Le goût de son sperme lui restait sur la langue. Il avait déjà remonté son pantalon, lui disait quelques banalités qu’elle ne comprenait pas, ça le faisait rire. Comment avait-elle pu dire oui! Elle ne l’avait pas dit d’ailleurs. Elle avait dit non. Non. Il n’avait pas entendu, ou n’avait pas obéi du moins. Il lui avait baissé sa jupe, arraché son slip, plaquée contre le mur et l’avait prise de force. Du moins au début.
Il était arrivé depuis peu dans l’agence. Sûr de lui, pas très grand, brun, les cheveux un peu longs, une mèche qui semblait se rebeller constamment et glisser devant ses yeux. Ses yeux foncés. Presque noirs. Pas presque... ils étaient noirs quand il la regardait avaler son sexe, le regard du démon. Il avait séduit toutes les femmes les unes après les autres dans la boite. Angèle, la première qui était sortie de son bureau, les joues empourprées en reboutonnant son chemisier. Puis Corine qu’il avait invité à déjeuner... le déjeuner avait duré 3h, elle était revenue au bureau avec un grand sourire, vantant ses mérites, combien il était beau. Ensuite, ce fut Morgane. Là, c’est elle qui l’a invité, un soir au ciné. Elle n’a pas pu nous raconter le film, ils ne sont jamais descendus de sa voiture. Sarah, Bénédicte, Valérie, même Mireille, la secrétaire du patron. Elle a 52 ans. Mariée, 3 enfants, une femme exemplaire. Elle aussi, il l’a rabaissée au rang de pute. Et puis elle aujourd’hui. Elle qui le haissait déjà le premier jour où elle l’a vu.
Il a frappé à sa porte, il est entré avec un nouveau projet qu’ils devaient étudier ensemble. Bien sur qu’elle a refusé de le faire ce week-end chez lui pour être plus tranquille. Elle n’est pas stupide! Elle ne voulait pas travailler avec lui, mais si elle s’y mettait de suite, ça limiterait le temps à passer en sa compagnie. Il fallait se dépêcher, régler ça de façon méthodique, claire, propre et vite. Ils travaillèrent jusqu’à 21h sans s’arrêter. Même pas une pause pour le diner. Ils avaient bien avancé. Deux ou trois jours comme cela, et tout serait bouclé, elle n’aurait plus à partager son bureau avec lui. Elle le détestait, mais elle devait avouer qu’il était compétent. Très. Même plus qu’elle. Il sentait la suffisance, il se savait le meilleur et se donnait le droit de mettre tout le monde à ses pieds.
Quand il referma bruyamment le dossier et lui dit "A toi maintenant, un autre dossier brulant à conclure rapidement ", elle prit peur. Il s’avança vers elle. Elle tenait la carafe d’eau dans une main, un verre à moitié plein dans l’autre. Il passa ses mains autour de sa taille en souriant, son exécrable air de vainqueur sur le visage. Elle lui jeta son verre à la figure. Il la gifla instantanément. Elle l’a sentie celle-là! Il lui prit soigneusement le verre et la carafe des mains. Elle aurait pu s’enfuir, crier, mais non, elle ne bougea pas. Paralysée.
Il lui ota son pull, et palpa ses seins. Les soupesant, les jaugeant. Comme si déjà ils étaient à lui. " Non, arrêtez." Il n’arrêta pas bien sur, avait-il seulement entendu. Il posa ses lèvres sur sa peau. Elles étaient chaudes, moelleuses. Il lui mordit les tétons à travers la dentelle de son soutien-gorge. Fort. Elle sentit la douleur jusque dans son ventre. Ses mains prirent sa tête, pour l’enlever, mais il les saisit et les écarta. Il la colla contre le mur, la retourna, emprisonnant ses mains dans son dos. Elle entendait son souffle sur son oreille, sa langue qui en léchait le lobe, son torse contre son dos nu, son sexe en érection contre ses fesses. "Non, ne faites pas ça..." Il lacha ses mains, fit descendre sa jupe le long de ses jambes. Sa main glissa sur son dos, puis sur ses fesses. De nouveau, il tata, jugeant la marchandise, comme à la foire agricole. Il lui fit écarter les cuisses, passa sa main entre, frola son sexe.
Elle ne savait que faire. Hurler? Se débattre? Se réjouir? Etait-elle encore là, ou n’était-ce que son enveloppe corporelle? Ses doigts à présent la fouillaient. Sa langue passait sur ses fesses, il s’en délectait. Elle aurait voulu retenir ce soupir, ne pas lui montrer qu’elle y prenait un certain plaisir. Il se redressa, et là où ses doigts s’étaient frayés un chemin, il y glissa son sexe. Lentement. Il avait au moins cette délicatesse. Du moins elle le croyait. Il ne tarda pas à se montrer plus violent. Ses coups de reins la déchiraient. Poussait-elle des cris de douleurs? ... ou de plaisir. Ses doigts pétrissaient à tour de rôle ses hanches et puis ses seins. De larges marques rouges restaient imprimées sur sa peau blanche. Elles se transformeraient sans doute en hématomes dans quelques heures. Son sexe lui pilait le bas du ventre. Il lui faisait mal, elle ne le désirait pas, elle le haïssait même, et pourtant il allait la faire jouir. Elle se détestait de pousser ainsi des râles de plaisir, s’accordant aux siens. Il la sentait prête à s’effondrer, prête à tout lui concéder, prête à se donner entièrement à lui. Il se retira, la retourna et la fit mettre à genoux. Il lui présenta son sexe qu’elle engloutit avidement. Elle l’aspirait, le léchait, le suçait comme si on lui avait présenté une fontaine de jouvence. Elle en voulait l’élixir et l’aurait. Et elle l’eut.
Comment avait-elle pu ? Il venait de sortir du bureau sans un mot. Le visage satisfait. Son air vainqueur qu’elle lui avait vu tant de fois. Elle se rhabilla, prit son sac à main, éteignit toutes les lampes et sortit à son tour. Demain il faudrait recommencer, encore... oui...
Encore...
Il était arrivé depuis peu dans l’agence. Sûr de lui, pas très grand, brun, les cheveux un peu longs, une mèche qui semblait se rebeller constamment et glisser devant ses yeux. Ses yeux foncés. Presque noirs. Pas presque... ils étaient noirs quand il la regardait avaler son sexe, le regard du démon. Il avait séduit toutes les femmes les unes après les autres dans la boite. Angèle, la première qui était sortie de son bureau, les joues empourprées en reboutonnant son chemisier. Puis Corine qu’il avait invité à déjeuner... le déjeuner avait duré 3h, elle était revenue au bureau avec un grand sourire, vantant ses mérites, combien il était beau. Ensuite, ce fut Morgane. Là, c’est elle qui l’a invité, un soir au ciné. Elle n’a pas pu nous raconter le film, ils ne sont jamais descendus de sa voiture. Sarah, Bénédicte, Valérie, même Mireille, la secrétaire du patron. Elle a 52 ans. Mariée, 3 enfants, une femme exemplaire. Elle aussi, il l’a rabaissée au rang de pute. Et puis elle aujourd’hui. Elle qui le haissait déjà le premier jour où elle l’a vu.
Il a frappé à sa porte, il est entré avec un nouveau projet qu’ils devaient étudier ensemble. Bien sur qu’elle a refusé de le faire ce week-end chez lui pour être plus tranquille. Elle n’est pas stupide! Elle ne voulait pas travailler avec lui, mais si elle s’y mettait de suite, ça limiterait le temps à passer en sa compagnie. Il fallait se dépêcher, régler ça de façon méthodique, claire, propre et vite. Ils travaillèrent jusqu’à 21h sans s’arrêter. Même pas une pause pour le diner. Ils avaient bien avancé. Deux ou trois jours comme cela, et tout serait bouclé, elle n’aurait plus à partager son bureau avec lui. Elle le détestait, mais elle devait avouer qu’il était compétent. Très. Même plus qu’elle. Il sentait la suffisance, il se savait le meilleur et se donnait le droit de mettre tout le monde à ses pieds.
Quand il referma bruyamment le dossier et lui dit "A toi maintenant, un autre dossier brulant à conclure rapidement ", elle prit peur. Il s’avança vers elle. Elle tenait la carafe d’eau dans une main, un verre à moitié plein dans l’autre. Il passa ses mains autour de sa taille en souriant, son exécrable air de vainqueur sur le visage. Elle lui jeta son verre à la figure. Il la gifla instantanément. Elle l’a sentie celle-là! Il lui prit soigneusement le verre et la carafe des mains. Elle aurait pu s’enfuir, crier, mais non, elle ne bougea pas. Paralysée.
Il lui ota son pull, et palpa ses seins. Les soupesant, les jaugeant. Comme si déjà ils étaient à lui. " Non, arrêtez." Il n’arrêta pas bien sur, avait-il seulement entendu. Il posa ses lèvres sur sa peau. Elles étaient chaudes, moelleuses. Il lui mordit les tétons à travers la dentelle de son soutien-gorge. Fort. Elle sentit la douleur jusque dans son ventre. Ses mains prirent sa tête, pour l’enlever, mais il les saisit et les écarta. Il la colla contre le mur, la retourna, emprisonnant ses mains dans son dos. Elle entendait son souffle sur son oreille, sa langue qui en léchait le lobe, son torse contre son dos nu, son sexe en érection contre ses fesses. "Non, ne faites pas ça..." Il lacha ses mains, fit descendre sa jupe le long de ses jambes. Sa main glissa sur son dos, puis sur ses fesses. De nouveau, il tata, jugeant la marchandise, comme à la foire agricole. Il lui fit écarter les cuisses, passa sa main entre, frola son sexe.
Elle ne savait que faire. Hurler? Se débattre? Se réjouir? Etait-elle encore là, ou n’était-ce que son enveloppe corporelle? Ses doigts à présent la fouillaient. Sa langue passait sur ses fesses, il s’en délectait. Elle aurait voulu retenir ce soupir, ne pas lui montrer qu’elle y prenait un certain plaisir. Il se redressa, et là où ses doigts s’étaient frayés un chemin, il y glissa son sexe. Lentement. Il avait au moins cette délicatesse. Du moins elle le croyait. Il ne tarda pas à se montrer plus violent. Ses coups de reins la déchiraient. Poussait-elle des cris de douleurs? ... ou de plaisir. Ses doigts pétrissaient à tour de rôle ses hanches et puis ses seins. De larges marques rouges restaient imprimées sur sa peau blanche. Elles se transformeraient sans doute en hématomes dans quelques heures. Son sexe lui pilait le bas du ventre. Il lui faisait mal, elle ne le désirait pas, elle le haïssait même, et pourtant il allait la faire jouir. Elle se détestait de pousser ainsi des râles de plaisir, s’accordant aux siens. Il la sentait prête à s’effondrer, prête à tout lui concéder, prête à se donner entièrement à lui. Il se retira, la retourna et la fit mettre à genoux. Il lui présenta son sexe qu’elle engloutit avidement. Elle l’aspirait, le léchait, le suçait comme si on lui avait présenté une fontaine de jouvence. Elle en voulait l’élixir et l’aurait. Et elle l’eut.
Comment avait-elle pu ? Il venait de sortir du bureau sans un mot. Le visage satisfait. Son air vainqueur qu’elle lui avait vu tant de fois. Elle se rhabilla, prit son sac à main, éteignit toutes les lampes et sortit à son tour. Demain il faudrait recommencer, encore... oui...
Encore...
Ven 30 Juil 2004, 02:02 par
la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses
De grace, mentez moi !
De grace, mentez moi !
Ne me dites pas la vérité, faites-moi esperer et bercez-moi d’illusions.
Je vous en prie, faites taire mon esprit,
ne me permettez pas de vous aimer, mais invitez-moi à vous desirer.
Pour être mon amant, il faut me faire succomber. Flattez-moi, rassurez-moi !
Sous vos yeux je veux me sentir rayonnante.
Je veux croire que toutes les autres n’existent plus pour vous.
Je veux être la seule qui compte pour vous,
je veux être l’unique objet de vos préoccupations.
Faites-le moi croire, et vous commencerez à me plaire.
Car en homme du monde, je le sais, je le sens,
vous ne commettrez pas l’erreur de confondre
séduire, et aimer.
Ne me dites pas la vérité, faites-moi esperer et bercez-moi d’illusions.
Je vous en prie, faites taire mon esprit,
ne me permettez pas de vous aimer, mais invitez-moi à vous desirer.
Pour être mon amant, il faut me faire succomber. Flattez-moi, rassurez-moi !
Sous vos yeux je veux me sentir rayonnante.
Je veux croire que toutes les autres n’existent plus pour vous.
Je veux être la seule qui compte pour vous,
je veux être l’unique objet de vos préoccupations.
Faites-le moi croire, et vous commencerez à me plaire.
Car en homme du monde, je le sais, je le sens,
vous ne commettrez pas l’erreur de confondre
séduire, et aimer.
Lun 19 Juil 2004, 14:07 par
PetitPrince sur L'amour en vrac
Week-end de Pentecôte...
Pascale et Adrien
Nul ne sait si vous faîtes bien
Unis par un même lien
Faut-il que le ciel se grise,
Faut-il que la vie l’ait permise,
Faut-il que vous aimiez les bêtises,
Pour qu’avec tant de grâce
Vous marchiez sur les traces
De Nike et Adidas ?
Et sans même une trêve
Vous voilà quitter le rêve
Pour marcher sur les pas d’Eve…
Et sans même en douter
Nous voilà vous féliciter
Allons, c’est l’heure d’aller bouffer...
Nul ne sait si vous faîtes bien
Unis par un même lien
Faut-il que le ciel se grise,
Faut-il que la vie l’ait permise,
Faut-il que vous aimiez les bêtises,
Pour qu’avec tant de grâce
Vous marchiez sur les traces
De Nike et Adidas ?
Et sans même une trêve
Vous voilà quitter le rêve
Pour marcher sur les pas d’Eve…
Et sans même en douter
Nous voilà vous féliciter
Allons, c’est l’heure d’aller bouffer...
Dim 13 Juin 2004, 17:59 par
Rose sur Un monde parfait
Rougeur...
Est-ce le soleil,
Ou les mots timides
De ce coquin Soleye
Qui sur mes joues humides
Laisse une trace vermeille?
Si les rayons du soleil
éclairent le jour
Ce sont les vers du Soleye
qui frôlent mes contours.
Soleil, Soleye,
Un pour le jour, un pour la nuit
Soleil, Soleye,
Un tout là-haut, un pas loin, ici
Soleil, Soleye,
Vous faites des merveilles...
La marquise... écran total
Ou les mots timides
De ce coquin Soleye
Qui sur mes joues humides
Laisse une trace vermeille?

Si les rayons du soleil
éclairent le jour
Ce sont les vers du Soleye
qui frôlent mes contours.
Soleil, Soleye,
Un pour le jour, un pour la nuit
Soleil, Soleye,
Un tout là-haut, un pas loin, ici
Soleil, Soleye,
Vous faites des merveilles...
La marquise... écran total

Dim 23 Mai 2004, 13:12 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
Les dix commandements ( version moins officielle ... )
Si dans la vie d’un couple, il est important d’établir tacitement certains comportements ou attitudes à avoir, ou au contraire à ne pas avoir si l’on veut éviter le fiasco ( dixit notre cher administrateur bien aimé ), il y a toute une série de petits gestes que nous posons tous les jours et qui peuvent très vite se transformer en LA goutte qui fait déborder le vase si nous n’y prenons pas garde.
Les 10 commandements secondaires version IL :
1.Ton évier tu rinceras après t’être rasé, coiffé, lavé et brossé les dents.
2. Tes blagues sexistes sur les femmes au volant tu oublieras
3. Les diners imprévus avec tes amis tu eviteras les jours où ta douce t’a téléphoné pour te demander une soirée en amoureux
4. Tes vêtements sales tu porteras chaque jour au panier de linge sale
5. De tes exploits sexuels avec tes ex à tes amis tu ne te vanteras pas devant ta compagne
6. La porte des WC tu fermeras
7. Les tâches ménageres tu accompliras avec ta douce
8. Les poubelles tu descendras spontanément au bout d’un maximum de 3 rappels
9. Des larmes qu’elle verse devant les téléfilms américains tu ne te moqueras pas
10. De petits cadeaux de temps en temps tu lui offriras
Les 10 commandements secondaires version ELLE :
1. Tes produits de beauté tu rangeras dans leur trousse après utilisation
2. Les ragots de tes amies tu ne diffuseras à la maison
3. Ta mère tu n’inviteras pas systématiquement à venir déjeuner les dimanches à la maison
4. Tes protections hygiéniques tu ne laisseras pas trainer dans la salle de bain
5. Les exploits sexuels de ton tendre tu ne divulgueras point à tes meilleures amies
6. La porte de la douche tu ouvriras
7. Les tâches ménagères mal faites sans cesse tu ne reprocheras à ton tendre
8. De lui acheter son magasine sportif tu n’oublieras volontairement d’acheter pas plus d’une fois par mois
9. Des cris sauvages qu’il pousse devant les émissions sportives tu ne t’offusqueras point
10. De petits cadeaux de temps en temps tu lui offriras :aime:
La marquise... celibataire de plus en plus endurcie
Les 10 commandements secondaires version IL :
1.Ton évier tu rinceras après t’être rasé, coiffé, lavé et brossé les dents.

2. Tes blagues sexistes sur les femmes au volant tu oublieras

3. Les diners imprévus avec tes amis tu eviteras les jours où ta douce t’a téléphoné pour te demander une soirée en amoureux

4. Tes vêtements sales tu porteras chaque jour au panier de linge sale

5. De tes exploits sexuels avec tes ex à tes amis tu ne te vanteras pas devant ta compagne

6. La porte des WC tu fermeras

7. Les tâches ménageres tu accompliras avec ta douce

8. Les poubelles tu descendras spontanément au bout d’un maximum de 3 rappels

9. Des larmes qu’elle verse devant les téléfilms américains tu ne te moqueras pas

10. De petits cadeaux de temps en temps tu lui offriras

Les 10 commandements secondaires version ELLE :
1. Tes produits de beauté tu rangeras dans leur trousse après utilisation

2. Les ragots de tes amies tu ne diffuseras à la maison

3. Ta mère tu n’inviteras pas systématiquement à venir déjeuner les dimanches à la maison

4. Tes protections hygiéniques tu ne laisseras pas trainer dans la salle de bain

5. Les exploits sexuels de ton tendre tu ne divulgueras point à tes meilleures amies

6. La porte de la douche tu ouvriras

7. Les tâches ménagères mal faites sans cesse tu ne reprocheras à ton tendre

8. De lui acheter son magasine sportif tu n’oublieras volontairement d’acheter pas plus d’une fois par mois

9. Des cris sauvages qu’il pousse devant les émissions sportives tu ne t’offusqueras point

10. De petits cadeaux de temps en temps tu lui offriras :aime:
La marquise... celibataire de plus en plus endurcie

Mar 13 Avril 2004, 02:16 par
la marquise de sade sur La vie à deux
Se refuser pour mieux se donner...
Entrez. Prenez place… un peu de silence siouplé !!
Allons, allons messieurs, calmez-vous que le cours puisse commencer !
Puisque certains d’entre vous semblent intéressés par ce que nous aimons, nous les femmes, ou sur ce qui éveille en nous certains désirs ou nous donne beaucoup de plaisir, le cours d’aujourd’hui portera sur les jeux érotiques, et plus précisément sur « comment se refuser pour mieux s’offrir »
… ( le petit prince là bas, près du radiateur, avancez au premier banc et arrêtez de rire bêtement ! )
Avant de commencer, je vous prierai de noter que les techniques qui vont suivre n’engagent que moi, pour la simple et bonne raison, que je ne les ai jamais testées avec mes congénères de même sexe … (notez également mesdemoiselles, que je serais ravie d’avoir vos commentaires ou impressions sur mes techniques … ).
Donc, commençons…
Se refuser pour mieux s’offrir… chacun a en soi une part de dominant et une part de dominé qu’il aime, tour à tour, selon son humeur mettre plus ou moins en avant. Malgré le nom que j’ai choisi, je ne suis en rien pratiquante des théories de mon prédécesseur, Donatien pour le citer, mais certaines douleurs peuvent apporter tant de plaisir… Je vous démontre cela de suite.
Imaginer : un sujet femme, soit Moi ( ben, oui, pourquoi allez chercher ailleurs quand on a quelqu’un sous la main !
) et un sujet homme … vous là, à gauche, oui, oui, vous avec vos cheveux foncés, et votre sweat vert, approchez … Votre nom ?
Tulipe … Allongez vous sur ce lit… (tu vas voir les aventures trépiDANTES
)
1) Commencez par attacher solidement votre partenaire, avec un lien doux, tendre, qui lui fera comprendre de suite que vos intentions sont pures et tout à fait honnêtes : un bas ( non Soleye, rangez cette chaussette,
je parlais d’un bas « nylon » ! ) , un ruban, un foulard, un morceau de dentelle, … ( évitez mesdames le fil barbelé et les élastiques qui rendraient le jeu beaucoup moins sensuel ! ) Vous noterez le regard intrigué de la Tulipe, qui commence déjà à se faire un scénario de la mort !
2) Déshabillez-le, en n’oubliant pas de passer la pointe de votre langue sur sa peau au fur et à mesure de l’effeuillage. Plus vous serez lentes, plus l’excitation montera, grandira, euh… enfin..
mieux c’est, quoi !! Les ongles passés délicatement, quelques morsures légères, les cheveux qui chatouillent, etc, n’agrémenteront que plus le supplice votre partenaire !
3) Le voilà nu devant vous, vous qui êtes encore vêtue, debout devant lui, conquérante devant votre « objet »
… asseyez-vous sur lui, laisser la chaleur de votre corps se diffuser sur le sien, imbibez-vous de son odeur, de ses frémissements, de ses formes. Penchez vous vers lui… regardez-le tendre les lèvres, prêt à dévorer votre bouche… refusez-lui ! Ne lui accordez pas ce baiser, ne le laissez pas partager votre langue, mais passez-la sur sa joue, frôlez son oreille, avant de revenir près de ses lèvres pour les caresser à peine de votre langue… Regardez-le tenter de relever la tête pour se rapprocher de vous, tenter de desserrer un peu ses liens pour que son corps soit plus libre ! Reculez un peu, juste assez pour que votre bouche arrive à quelques millimètres de la sienne…
4) Déboutonnez votre chemisier, les premiers boutons seulement, juste assez pour glisser VOTRE main sur vos seins. Laisse-le deviner les caresses que vous vous prodiguez sans qu’il puisse y participer. Cambrez-vous, laissez glisser votre bassin, faites monter son excitation par quelques déhanchements, puis poursuivez le déboutonnage. Laissez malencontreusement tomber votre vêtement sur son visage.. cachez lui encore quelques secondes ses seins fermes et durs qu’il espère tant palper… laissez-les lui deviner en passant votre buste contre son torse, partez à la recherche de ses lèvres camouflées par ce morceau de tissu. Dégagez son visage peu à peu… et redressez vous.
5) Relevez-vous, glisser votre main le long de votre ventre, plus bas encore, voilà… faites les gestes qu’il aurait aimé faire. Dégrafez votre pantalon, laissez-le glisser le long de vos cuisses, et n’hésitez pas à frôler cet endroit qu’il n’aurait pas hésité à caresser s’il vous avait déshabillée…
6) Vous êtes en sous-vêtements, vous vous agenouillez au-dessus de lui, au-dessus de son cou, à proximité de sa bouche… pas trop près, attention, il ne doit pas pouvoir vous toucher … ( euh.. Tulipe ? ça va ? tu dis rien là …
) glissez votre main entre vos cuisses, osez vous caresser devant lui, osez lui donner ce que chaque homme aime regarder. Laissez-le s’imprégner de vos effluves, laisse-le espérer goûter votre sexe, laisse-le vous désirer, envier vos mains, laisse-le..
et ne lui donnez rien… pas encore… Approchez-vous suffisamment de sa bouche pour que sa langue puisse toucher la dentelle de vos dessous, laissez-le espérer avant de vous reculez, de redescendre sur son corps, de vous caresser avec sa peau, avec ses muscles, avec son sexe, de le frôler, le caresser, le lécher, le griffer, le mordre,.. Faites-le tressaillir, gémir, frissonner, agoniser de ne pas encore avoir pu goûter une seule parcelle de vous, utilisez votre bouche, votre langue, vos mains pour que son excitation devienne insupportable puis…
7) Donnez-vous.. lentement, par petits morceaux… d’abord un baiser tendre, puis un peu plus profond. Offrez-lui vos seins à portée de sa bouche, votre peau à découvrir, votre sexe pour qu’il se repaisse. Profitez du plaisir qu’il vous offre et de celui qu’il se donne, et détachez-le, laissez-le à son tour profiter de vous, laissez-le vous utiliser, laissez-le combler les frustrations que vous venez de lui imposer..
Variante : vous pouvez aussi décider de ne pas le détacher et continuer ainsi jusqu’à la fin…
Voilà… il est l’heure, rangez vos stylos, essuyez le filet de bave au coin de vos lèvres
et interro au prochain cours… !!
La marquise … pro fesseuse …


Puisque certains d’entre vous semblent intéressés par ce que nous aimons, nous les femmes, ou sur ce qui éveille en nous certains désirs ou nous donne beaucoup de plaisir, le cours d’aujourd’hui portera sur les jeux érotiques, et plus précisément sur « comment se refuser pour mieux s’offrir »


Avant de commencer, je vous prierai de noter que les techniques qui vont suivre n’engagent que moi, pour la simple et bonne raison, que je ne les ai jamais testées avec mes congénères de même sexe … (notez également mesdemoiselles, que je serais ravie d’avoir vos commentaires ou impressions sur mes techniques … ).
Donc, commençons…
Se refuser pour mieux s’offrir… chacun a en soi une part de dominant et une part de dominé qu’il aime, tour à tour, selon son humeur mettre plus ou moins en avant. Malgré le nom que j’ai choisi, je ne suis en rien pratiquante des théories de mon prédécesseur, Donatien pour le citer, mais certaines douleurs peuvent apporter tant de plaisir… Je vous démontre cela de suite.
Imaginer : un sujet femme, soit Moi ( ben, oui, pourquoi allez chercher ailleurs quand on a quelqu’un sous la main !



1) Commencez par attacher solidement votre partenaire, avec un lien doux, tendre, qui lui fera comprendre de suite que vos intentions sont pures et tout à fait honnêtes : un bas ( non Soleye, rangez cette chaussette,


2) Déshabillez-le, en n’oubliant pas de passer la pointe de votre langue sur sa peau au fur et à mesure de l’effeuillage. Plus vous serez lentes, plus l’excitation montera, grandira, euh… enfin..

3) Le voilà nu devant vous, vous qui êtes encore vêtue, debout devant lui, conquérante devant votre « objet »

4) Déboutonnez votre chemisier, les premiers boutons seulement, juste assez pour glisser VOTRE main sur vos seins. Laisse-le deviner les caresses que vous vous prodiguez sans qu’il puisse y participer. Cambrez-vous, laissez glisser votre bassin, faites monter son excitation par quelques déhanchements, puis poursuivez le déboutonnage. Laissez malencontreusement tomber votre vêtement sur son visage.. cachez lui encore quelques secondes ses seins fermes et durs qu’il espère tant palper… laissez-les lui deviner en passant votre buste contre son torse, partez à la recherche de ses lèvres camouflées par ce morceau de tissu. Dégagez son visage peu à peu… et redressez vous.
5) Relevez-vous, glisser votre main le long de votre ventre, plus bas encore, voilà… faites les gestes qu’il aurait aimé faire. Dégrafez votre pantalon, laissez-le glisser le long de vos cuisses, et n’hésitez pas à frôler cet endroit qu’il n’aurait pas hésité à caresser s’il vous avait déshabillée…
6) Vous êtes en sous-vêtements, vous vous agenouillez au-dessus de lui, au-dessus de son cou, à proximité de sa bouche… pas trop près, attention, il ne doit pas pouvoir vous toucher … ( euh.. Tulipe ? ça va ? tu dis rien là …


7) Donnez-vous.. lentement, par petits morceaux… d’abord un baiser tendre, puis un peu plus profond. Offrez-lui vos seins à portée de sa bouche, votre peau à découvrir, votre sexe pour qu’il se repaisse. Profitez du plaisir qu’il vous offre et de celui qu’il se donne, et détachez-le, laissez-le à son tour profiter de vous, laissez-le vous utiliser, laissez-le combler les frustrations que vous venez de lui imposer..

Variante : vous pouvez aussi décider de ne pas le détacher et continuer ainsi jusqu’à la fin…

Voilà… il est l’heure, rangez vos stylos, essuyez le filet de bave au coin de vos lèvres

La marquise … pro fesseuse …
Mer 21 Jan 2004, 15:21 par
la marquise de sade sur Le grimoire d'amour
De quoi donc?
Grande question qui ne pourra être résolue par l’intervention que d’une seule et unique personne, mais qui peut effectivement ouvrir un débat avec l’avis que chacun, chacune, pourra donner sur le sujet.
Ceci ne sera certes pas plus une démonstration quant à une réponse certaine à cette question, trop de critères étant à prendre en considération.
Que puis je en dire, étant pour ma part, une fi-fille, depuis ma naissance hé oui!!!!
Suivant diverses circonstances, ce contact peut se faire, mais de manières différentes?
Cette prise de contact revêtra une forme totalement différente suivant qu’elle aura lieu :
Les concernés adapteront, immanquablement, leur attitude suivant l’un ou l’autre des cas.
Je prendrais pour exemple, en tout premier lieu, un contact sur tchate.
Première chose à faire Messieurs, afin de vous rendre compte, inscrivez vous sous un pseudo FEMININ, vous comprendrez dès lors beaucoup de choses.
Ensuite, par pitié, faites preuve d’imagination, votre pseudo, cassez vous un peu la tête, faite dans l’originalité, la recherche, le commun déplait fortement.
Pour ma part, j’ai TRES RAREMENT pris des contacts directs auprès des pseudos en liste sur les tchates, en tant que "nana", pas le temps tant on est submergées de messages. Mais il m’est arrivé de prendre le temps de visualiser la liste des connectés. Toujours s’en sont suivi des prises de contact sur des pseudos TRES HORS DU COMMUN (clin d’oeil à qui sera se souvenir.....). De l’accroche des mots sont nés, parfois, des dialogues très interressants, mais surtout pas du genre :
Messieurs, faites preuve d’originalité, d’immagination, d’inattendu. Etonnez, surprenez, et peut être les choses suivront elles alors un cours plus interessant.
Ceci ne sera certes pas plus une démonstration quant à une réponse certaine à cette question, trop de critères étant à prendre en considération.
Que puis je en dire, étant pour ma part, une fi-fille, depuis ma naissance hé oui!!!!
- • Qui ouvre le contact en premier, tout d’abord ?
• Comment le contact se fait il ?
• Dans quelles circonstances le contact a-t-il lieu?
Suivant diverses circonstances, ce contact peut se faire, mais de manières différentes?
Cette prise de contact revêtra une forme totalement différente suivant qu’elle aura lieu :
- • en boîte de nuit
• sur un tchate
• lors d’une soirée chez des amis
Les concernés adapteront, immanquablement, leur attitude suivant l’un ou l’autre des cas.
Je prendrais pour exemple, en tout premier lieu, un contact sur tchate.
Première chose à faire Messieurs, afin de vous rendre compte, inscrivez vous sous un pseudo FEMININ, vous comprendrez dès lors beaucoup de choses.
- • Tout d’abord la lassitude des messages que l’on peut dire "BATEAU"
• le "zapping" incontournable de ces dames
• quels sont les premiers mots à ne pas avoir
Ensuite, par pitié, faites preuve d’imagination, votre pseudo, cassez vous un peu la tête, faite dans l’originalité, la recherche, le commun déplait fortement.
Pour ma part, j’ai TRES RAREMENT pris des contacts directs auprès des pseudos en liste sur les tchates, en tant que "nana", pas le temps tant on est submergées de messages. Mais il m’est arrivé de prendre le temps de visualiser la liste des connectés. Toujours s’en sont suivi des prises de contact sur des pseudos TRES HORS DU COMMUN (clin d’oeil à qui sera se souvenir.....). De l’accroche des mots sont nés, parfois, des dialogues très interressants, mais surtout pas du genre :
- • "tu fais quoi dans la vie?"
• "t’es mariée?"
• "ASV"
• "un scenario?"
• "tu baises?"
• "etc...?"
Messieurs, faites preuve d’originalité, d’immagination, d’inattendu. Etonnez, surprenez, et peut être les choses suivront elles alors un cours plus interessant.
Jeu 15 Jan 2004, 01:41 par
Ri1kedesBêtises sur Le grimoire d'amour
Houlaaaa
C’est vrai qu’en ouvrant cette rubrique, nous prenons un risque de sombrer dans la vulgarité, la grossiéreté gratuite, l’obscénité malsaine
. Ca serait complètement décalé par rapport à l’ambiance générale du site, qui est fondée sur l’évocation, l’élégance, la poesie.
Ainsi marquise, tes posts sur la pipe à dent, ainsi que sur les massages culinaires sont à mon sens dans le ton exact de ce qu’il faut écrire dans les liaisons sulfureuses. Rappelons qu’il faut séduire, donner envie, et que comme chacun sait, une femme nue est bien moins attirante que celle qui est encore habillée ne fusse qu’un tout petit peu. Il en va de meme avec les posts je pense.
Mais alors, comment décrire cette scéne de nain qui chevauche le dogue allemand de Soeur Marie Therese pendant que cette derniere flatte le fabuleux gourdin de son voisin aux cheveux rouges et bleus
? Et surtout, où es-tu toi, dans cette fantastique allégorie
? Dessus
? Dessous
? Sans dessus dessous
? Sans dessous
?
Le mot d’ordre : restez beaux dans ce que vous faites, beaux dans ce que vous dites. Distillez avec art les mots qui offusquent, et mettez encore plus de talent à évoquer ceux que la grossièreté pourrait rendre laids.

Ainsi marquise, tes posts sur la pipe à dent, ainsi que sur les massages culinaires sont à mon sens dans le ton exact de ce qu’il faut écrire dans les liaisons sulfureuses. Rappelons qu’il faut séduire, donner envie, et que comme chacun sait, une femme nue est bien moins attirante que celle qui est encore habillée ne fusse qu’un tout petit peu. Il en va de meme avec les posts je pense.
Mais alors, comment décrire cette scéne de nain qui chevauche le dogue allemand de Soeur Marie Therese pendant que cette derniere flatte le fabuleux gourdin de son voisin aux cheveux rouges et bleus






Le mot d’ordre : restez beaux dans ce que vous faites, beaux dans ce que vous dites. Distillez avec art les mots qui offusquent, et mettez encore plus de talent à évoquer ceux que la grossièreté pourrait rendre laids.
Mar 13 Jan 2004, 12:33 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
Ecrire sur faites

Il y a 55 textes utilisant le mot faites. Ces pages présentent les textes correspondant.
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