Complicité...

Toi Homme tu as ta part de féminité
Moi Femme j’ai ma part de masculinité
Nous sommes pour la complémentarité

Nos effleurements tentés
Nos gestes hasardés
Nos caresses osées

Nous font vivre la Complicité
De Deux Etres désirés....
Jeu 08 Sep 2005, 15:53 par Satine sur Parler d'amour

Un rêve.

Je vis dans ce rêve insolent d’une relation qui me comble, celle qui investit mes sens sans les altérer, qui me rend fou de sagesse, me transporte et me pose. Dans une compréhension confortable constellée d’élans de grandeur, une passion veloutée, une tendresse charnelle. Je vois son corps aux hanches pleines sous sa taille fine et sans plis, la générosité de ses seins lourds et ronds, le goût exotique de ses tétons bruns, les courbes déstabilisantes de ses fesses sous la cambrure de son dos, ses mains sures et délicates et ses chevilles dessinées par un orfèvre donnant naissance à ses pieds menus et bien . Et mes mains qui toujours l’effleurent, comme on aime effleurer une œuvre d’art qui nous captive. Dans ses yeux noisettes, je lis la paix et la grandeur de son âme qu’épaule toujours son sourire simple et clair. Des heures sous une véranda à goûter les moments du jour qui donnent faim et savourer ceux du soir qui calment la soif. Je vois ces matins simples qui nous cueillent content de vivre encore une journée sans nuages. Des discussions interminables qui polissent l’âme, comme ces mots que l’on chuchote au moment de la sieste. Je la vois marcher sur son chemin, cherchant ma main quand celui-ci n’est pas sur et je la vois dans mon dos, m’encourager sur ma voie qu’elle visite comme un jardin que j’aurai fait pour elle. Je rêve de moments de vie de voyages sans peurs et d’enfants conçus sur les plages d’ailleurs. Je vois des accords de silence, des arpèges qui sautillent sur une portée pleine d’entrain loin du bruit confus et sans saveur des égarés de l’amour. Je vis dans ce rêve insolent d’une relation qui me comble, cette bulle d’harmonie.
Jeu 09 Juin 2005, 13:39 par PetitPrince sur La vie à deux

Une histoire d'amour

Martin ferma la porte de sa boutique. La journée avait été longue et chaude. Il s’appuya le dos sur la porte. Il n’avait pas envie d’entrer chez lui. Depuis quelques mois, ça n’allait pas bien entre lui et sa femme. Elle était froide et distante envers lui. Il avait essayé de lui parlé mais elle lui répondait qu’il se trompait, elle l aimait tout comme avant. Qu’il s’en faisait pour rien. "Peut-être que c’est moi qui ne tourne pas rond ?" "Qu’est ce que je ressens envers elle ?" "Suis-je encore amoureux d’elle" "Peut-être ai-je peur de répondre a mes propres questions".

Les voitures passaient dans la rue soulevant la poussière. Des papiers virevoltaient ici et là. Il se sentait bien seul. Il n’arrêtait pas de chercher pourquoi il n’était plus heureux. Une petite voix au fond de lui savait pourquoi. Mais il refusait de l’écouter. Il finit par faire quelques pas. Il passa devant les autres boutiques qui fermaient. Le soleil déclinait à l’horizon. Même ce spectacle merveilleux ne réussissait a lui donner un sourire. Les gens passaient autour de lui si pressés d’entrer chez eux. Il vit un café au coin de la rue. Il décida d’y entrer.

Le café était sombre et enfumé. Les toiles avaient été tirées pour empêcher le soleil d’y entrer. Des ventilateurs projetaient avec peine une fraîcheur. Quelques clients étaient assit aux tables. Ils semblaient tous fatigués. Une chanson de Joe Dassin roulait dans le juke-box. Il reconnu le titre ! Et si tu n’existait pas" Il s’approcha du comptoir service pour commander.

Quand il leva les yeux et rencontra des yeux si verts et profond que son coeur se mit a battre.

- Que puis-je pour vous ?

Il était suspendu, comme si il était dans un autre monde. Incapable de répondre. Il elle regardait, ses cheveux châtain descendant sur ses épaules entourant son visage ovale. Sa petite bouche semblait attendre de nombreux baisers. Il la dévisageait comme un adolescent. Des frissons électriques lui parcouraient le corps. Il n’avait pas ressentit chose de pareil depuis, depuis....si longtemps qu’il ne savait quoi en faire sauf qu il ne pouvait détacher son regard de cette inconnue......

-Monsieur ? Elle lui tendit une tasse de café.

-Oui ? finit-il par dire.

Pendant qu’elle lui versait le breuvage. Il se mit à rêver qu’il lui demandait à quelle heure elle finissait son travail et s’il elle pourrait envisagé d’aller marché avec lui ou prendre un verre quelque part.

-Dans 30 minutes monsieur et ca me ferait plaisir fit elle avec sourire.
-Quoi ? fit-il ne sachant de quoi elle parlait.
-Vous ne semblez pas être dans votre assiette. Je m appelle Sandra fit le jeune femme.
-Martin fit-il en attendant la main. Heu vous disiez ?
-Vous venez de me demandez si je voulais aller marcher avec vous et oui ça me plairait pourquoi pas !

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Il attendait à la sortie des employés se demandant qu’es qu il faisait là.
"Mais a quoi je pensais bordel " Il s’apprêtait a partir quand la porte s’ouvrit. Elle était la. Belle comme un lever de soleil. Son coeur battait à la folie. Il pouvait sentir son parfum qui lui enivrait le corps.
-Bonsoir fit-elle de sa voix chaude.

Il murmura un bonsoir. Il regardait ses lèvres avec un envie folle des les couvrir. Puis leva lentement les yeux pour se perdre dans l océan vert.

Elle fit un mouvement de tête ce qui le tira de sa stupeur.
-Un café où nous marchons fit il d’une voix mal assurée.
-Marchons un peu, ça va me faire du bien après une journée dans ce bar.

Ils marchèrent cote à cote. Dans un silence chacun dans ses pensées. "Elle est tellement belle Je me demande qui est-elle "
-Vous faites quoi dans la vie demande t-elle
Martin ce tourna vers elle
-Conseillé en orientation de la clientèle. "je ne peux quand même pas lui dire vendeur"
-Vous êtes marié ?
Martin détourna la tête et répondit
-Non et vous

-Non, j’ai pas rencontré celui qui fera battre mon coeur.
"Tant mieux" se dit-il
-Cela m’étonne vous êtes fort jolie Sandra. J’ai du mal a concevoir que vous n’ayez pas de petit ami.

-Les gens de mon age ne m intéresse pas. Il ne pense qu’à vous sauter en premier. Et vous Martin ?

-Moi, c’est une longue histoire qui n’est pas intéressante.

Ils arrivent à la marina. Quelques vagues remuaient sur le lac poussé par une brise chaude. Il regarda Sandra dont les cheveux volaient au vent. Elle avait fermé les yeux et semblait être presque en transe. Il n’osait faire de geste. Une pulsation lui montait à l’esprit. Il voulait l’embrasser. Il s approcha quand son téléphone cellulaire sonna. Tous les deux faillir mourir.

-Allo fit il avec une certaine rage.


**************************************
La soupe mijotait. Il préparait un boeuf a l ancien. Une recette qui venait de sa mère. La table était mise. Une jolie nappe de dentelle, des bougies. Il avait mise de la musique douce. Tout, lui paraissait parfait il ne manquait plus qu’elle.
"19h45 dans quelques minutes elle sera la. Juste le temps de prendre une douche." Il se dirigea vers la salle de bain quand le téléphone sonna. Une appréhension lui vint a l’esprit. Il secoua la tête en se disant qu’il devenait parano.

-Oui ? fit-il
-Chéri ! Je vais entrer tard, Nancy et moi, avons des petits problèmes à régler au bureau. Alors ne m’attend pas.
"Salope" pensa t-il
-Tu es là ? demanda t-elle
-Oui oui ok je vais lire un peu et me coucher fit-il
-Bye et elle raccrocha sans dire un seul mot d’amour ou autre chose.

"Putain de salope j’en ai rien a faire moi de ton crisss de bureau à la con, je t’emmerde puis tiens ton souper de merde" Il tira le boeuf et la soupe dans l’évier. Eteignit les chandelles et les foutu à la poubelle, prit la nappe la déchira. Quand il fut calmé il regarde la désastre.
"Qu’est qui m’arrive suis-je en train de devenir fou ?"

Il s’écrasa sur la chaise et pleura....

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Sandra prit son service à 20h00 comme d’habitude le café était bondé à cette heure la. Les filles étaient sur les genoux. Il avait fait très encore aujourd’hui. L’intérieur du café était confortable. Elle travaillait depuis 2 ans dans ce café enfin de payé ses études. Elle rêvait de devenir enseigne au primaire et de voyager a travers le monde. Les gens qui la côtoyait disait d’elle que c’était une bonne personne, aimable toujours prête a aider.

Depuis quelques jours Sandra avait l’esprit tourmenté par sa rencontre avec cet inconnu. Si bref fut-elle, avait éveillé une émotion en elle. Elle guettait chaque client qui entrait espérant secrètement que ce serait lui. Elle regarde par la grande vitrine qui donnait sur la rue principale. Des travailleurs étaient à finir l installation du terrain de volley-ball. Bientôt il y aurait une grande foule. Cette année la ville avait décidé de tenir un tournoi sur le boulevard principal de la municipalité. Du sable avait été déposé en grande quantité au centre de la place.

"Je ne connais que son nom. Je suis vraiment idiote d’attendre comme ça. Et j’attends quoi et qui ?"La petite clochette d’entrée la ramena de ses pensées. Elle se retourna pour voir qui venant d’entrer. Hélas, la déception ce n’est pas celui qu’elle attendait. Elle ragea un peu contre elle-même et reprit son travail avec plus de vigueur.

La clochette raisonna encore. Sandra leva la tête ne pouvant résisté. "Grrr" fit-elle dans un murmure.
Une femme venait d’entrer. En , on aurait pu dire des yeux venait d entrée tant le bleu était pur azur. Ses cheveux noirs et longs semblaient voler autour de son visage rond. Un petit nez retroussé deux petites pommettes et une bouche tout a fait exacte avec des lèvres pulpeuses. Cette femme devait faire des ravages sur son passage.

Elle se dirigea vers le coin le plus sombre du café. Sa démarche montrait une certain classe. Elle faisait contraste avec les clients habituels. Si elle voulait passer inaperçu, elle avait très mal choisis l’endroit. Ce genre de femme sophistiquée n’était pas coutume. Elle s’assit et d un mouvement de la main nettoya la table. Déjà Sandra ne l aimait pas sans même la connaître. Elle s approcha d’elle.

-Vous désirez ! lui demanda Sandra

La femme prit tout son temps pour dévisager Sandra. C’était comme-ci elle la mettais à nue. Avec un haussement d épaule qui signifiait qu elle l avait mesuré pesé et jugé insignifiante.

-J’attends quelqu’un, alors je commanderai qu’a son arrivé. Mais avant serait-elle trop d’avoir un verre d’eau propre dit elle d’une voix sec et perché.

"Pétasse " pensa Sandra

-Bien sur madame fit Sandra en souriant de toutes ses dents.

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Mar 07 Juin 2005, 22:52 par JonPeters sur Histoires d'amour

Les croissants au beurre

Ce matin, je suis allé à la boulangerie pour m’acheter deux croissants au beurre, et un pain au chocolat. En général, je fais ces choses là le Dimanche, lorsque je suis avec une belle qui partage ma vie. Ca a beau être le B.A.B.A, l’incontournable décrié par quelques rebelles apathiques, déguster des viennoiseries le matin reste un plaisir sur lequel le temps n’a pas de prise.

Il faut tout d’abord se lever. Bien entendu, c’est à l’homme d’aller faire les emplettes. La tache est rude si la malicieuse copine a décidé que ce moment où nous sommes à moitié endormi est propice a une gaudriole cotonneuse. Soit. Le projet viennois est alors remis à plus tard de toute façon, les ébats du matin donnant faim.

Un dernier baiser à la belle qui s’est enfin levée, sa peau tiède glisse sur sa tenue de nuit, à moins que ce ne soit l’inverse, ou qu’elle soit nue.

Ces prémisses constituent les plus savoureux instants de ces matins. Lorsque vous sortez dans la fraîcheur matinale, que la rue n’est rien qu’à vous et deux trois autres courageux, vous vous sentez incroyablement fort et heureux.Ca en fait du bonheur depuis que vous vous êtes réveillé! En approchant de la boulangerie, l’odeur du four ou cuisent les délices vous émoustille. La commande est rapide, parce que finalement elle manque de beauté, elle casse la magie que vous, grand magicien du matin, êtes en train de créer. Merci et au revoir, vous partez avec le fruit de votre chasse rejoindre votre cocon et votre louloute.

Si en rentrant la belle s’est faite une petite toilette, qu’elle sort de la douche par exemple, embaumant le petit nid douillet de l’odeur de shampoing, ou de gel douche, les choses de la table risquent de prendre encore un peu de retard. Car quand l’homme revient de la chasse, il a bien souvent deux appétits .

Bien entendu, les choses peuvent aller tout autrement de ce que je viens de vous décrire. Mais quels que soient les écarts que vous aurez durant cette matinée, les étapes incontournables possédent leur potentiel de bonheur. Je suis sur que vous y penserez, en croquant la première bouchée de votre croissant au beurre.
Mer 01 Sep 2004, 08:58 par PetitPrince sur La vie à deux

Trop belle pour être aimée.

Il paraît que je suis une bombe. Moi, je ne sais pas très bien ce que les hommes veulent dire par « bombe ». Ils m’offrent un verre, un restaurant, une soirée, des fois une semaine en vacances. Ils me racontent toutes sortes de choses sur la vie et je ne les comprends pas très bien en fait. Mais à un moment, ils arrivent toujours à m’attendrir, je me fais avoir et je me retrouve au lit avec eux.

Et là, c’est toujours pareil, à peine ai-je eu le temps d’enlever ma robe, ou ma jupe, qu’ils restent sans voix en me regardant nue. Ca me gêne un peu d’ailleurs. Ce sont soit mes seins, « énormes et bien », soit mon ventre « très plat et délicieux », soit mes jambes qui « vont jusqu’à terre ». Ils trouvent toujours une explication à leur hébétude. Et puis, ils me sautent dessus, comme des hystériques. Ils me possèdent soudainement et soudainement ils jouissent. Après un regard plein d’amour, qui me fait penser à celui de mon cocker, ils s’affalent, et ils ronflent.

Le sexe, moi, ça me fait pas grand-chose. Et dire que j’ai des amies, leur copain leur font l’amour pendant au moins une heure. C’est peut être qu’elles sont pas aussi jolies que moi et que leur copain a besoin de plus de temps pour s’exciter. Je sais pas. Moi les hommes, ils me roulent dessus à grande vitesse. Tous.

L’autre fois, alors que mon amant d’un soir venait de me faire le coup de « Ah que c’était bon » je téléphonais et racontais ça à David, un vieux copain. Il s’est proposé de venir me faire l’amour, me montrer ce que c’était que d’avoir du plaisir. En tout bien tout honneur. J’étais toute contente, lui il me connaissait depuis longtemps, il serait peut être moins excité que les autres en me voyant.

Quand j’ai enlevé mon haut, il a joui dans son pantalon …
Jeu 26 Août 2004, 13:15 par PetitPrince sur Exercices de style

Quand l'amour nous attend ...

Je me lance à mon tour.....

Depuis le temps que je tchat sur le net, jamais je n’avais encore rencontré quelqu’un à qui j’aurais pu m’attacher amoureusement... Je trouvais même ça complètement idiot moi aussi

Et puis vlan ! Ca m’est tombé dessus sans prévenir !... Ca fait deux mois que ça dure. Oh! c’est pas bien vieux, mais j’ai vraiment le sentiment d’avoir enfin rencontré "l’âme soeur"...
Oui , je sais qu’il faut être prudent, ne pas se lier trop vite. Prudents, nous le sommes et liés aussi aime

Notre première rencontre se fera dans 15 jours. Nous sommes nous aussi passés par le doute, la peur du lendemain, la peur de se tromper encore une fois et souffrir pour une énième fois. Maintenant, la peur nous tenaille un peu moins et l’impatience de se voir enfin se fait de plus en plus sentir...

L’amour, je dois le vivre à fond ou pas du tout, donc ces quelques jours de bonheur seront très intenses...

Le lendemain ? L’éloignement géographique ?
J’ai envie de dire que ce n’est rien tout ça ! Si nous sommes l’un pour l’autre, les choses se feront sans précipitation et tout naturellement... De toute façon, je ne crois pas aux coïncidences ni au hasard...

Et Odyyyy, ton histoire ressemble tant à la mienne que ça m’encourage !!! Merci clin

Je viendrai vous dire si vraiment "Il" est l’homme de la suite de ma vie bientôt...

Bises à toutes et tous, ce forum est merveilleux, thanks Petit Prince !
Mer 24 Mars 2004, 02:05 par Mout sur Amour internet

La parution

En fouinant à droite à gauche, j’ai appris que le plus difficile pour un écrivain, était de soumettre ses textes à la lecture des autres. La pudeur, la peur de la critique, la peur de devoir corriger quelque chose qui est relié directement à ses tripes, je ne sais pas trop comment définir cette angoisse.

Déjà, le forum en lui-même nous permet à tous, je parle des membres, de créer et de soumettre tyranniquement nos créations à la lecture de tous et toutes. Quelque fois un commentaire s’échappe par messagerie privée, rien de plus, et c’est confortable.

Nous franchissons un pas de plus, en regroupant toutes nos créations dans de jolis documents imprimables, mis en page avec amour, corrigés avec tendresse, et résolument pour séduire.

Ma seule peine réside dans la correction des fautes d’orthograhe, qui reste un travail de titan sur des documents de plus de 100 pages. J’ai fait pour le mieux, pardonnez aux posteurs ainsi qu’à moi-même, nos quelques erreurs.
Lun 26 Jan 2004, 09:23 par PetitPrince sur Parutions
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