Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur fallait
Et caroline la blonde en polo
et qui était l’ex épouse de
Tavarès écrivais ceci.
Martin Tavarès je suis
amoureuse de vous et je
vais faire annuler le divorce.
Et Milou disais ceci.
Quand nous étions dans le désert de
sable tu ne portais pas ton coat d’hiver
mais un chemisier et tu lisait le livre des
Tableaux de Laurel.
C’était un autre délire Milou...
Oui et nous avons délirer parce ce que je
te parlais.
Mais si je portais mon chemisier ou
es mon coat de pluie ou ma veste d’été,
automne, et mon coat d’hiver...
Ils sont rester dans ton armoire
ou il y a tes livres une machine a
écrire et Tes feuilles ou il y des dessins,
et paysages avec textes.
On rentre a l’appartement.
Maggie va nous chicaner
parce ce qu’on est mouillée.
Et ils retournèrent a
l’appartement ou la blonde
de Maggie les chicanais.
Ou étiez-vous...
Nous étions sur une
autre planète ou il y
avais du sable et il
fallait trouver un
vortex pour retourner
sur terre Maggie.
Cesser de délirer il n’y a pas de
planète ou il y a du sable.
Et on sais retrouver
sur une terre en ruine
avec une psychiatre
en veston.
Est-ce que c’est cette
femme la qui porte
un veston...
Oui c’est elle Maggie.
Docteur que faites-vous ici...
C’est votre Maggie qui m’a
appeler pour vous soigner
de vos délires.
Mais docteur vous étiez
dans les ruines.
Mademoiselle Maggie votre
fiancée délires.
Mais Maggie elle se trouvais sur une planète en ruine et
sur une planète ou il y avait du sable et je portais mon chemisier.
Ton chemisier est tous mouillée.
Ambulanciers faites le entrez dans l’ambulance et emmenez-le
a l’asile pour le soigner de ses délires.
Oui docteur.
Et Milou sauta sur la blonde au veston...
Espèce de sale cabot je vais t’envoyez a la fourrière.
Docteur il ne fais pas ca mordre les gens.
Vous devriez l’envoyez a la fourrière ce
cabot.
Caroline tu ne va pas envoyez Milou a la
fourrière et Tavarès a l’asile.
Non Steffy mais tu peut poursuivre ce
texte.
Steffy écrivais ceci...
Tavarès s’évadais de l’asile et il retournais
au Lycée pour causer Avec Karine la blonde de Smorgue.
Karine.
Qu’est-ce que ce tu fais ici et qui t’a fais évader de ma
planète et ou es la psychiatre qui devait te garder dans
le désert de sable.
Ta psychiatre est ici dans un asile ou je me suis évader
parce ce qu’elle voulais me droguer.
Et Milou ou est-il.
Si Maggie est a mon
appartement elle a dû
l’envoyez a la fourrière
ou il y a d’autres animaux.
Et Milou s’évadais et il
retournais en forêt et demandais
ceci aux autres animaux.
Est-ce que Maggie, la psychiatre, Karine,
la blonde étudiante est passée par la piste
cyclable...
Non mais il y a Tavarès est passer ici et il est
allez au Lycée ou il y a des étudiants en polo.
Au Lycée...
Karine pour quelle raison que tu ne nous pas
donner une tente pour nous refroidir avec Milou.
Mon père déteste les terriens et si je t’avais donner une tente
il aurais envoyez ses soldats pour te capturer et il m’aurais
envoyez dans le donjon en polo et il fais très froid.
Mais je voudrais savoir qui écris cette histoire de la fuite de
Milou et de Noel...
C’est Caroline et Steffy dans un Lycée, qui écris cette histoire de Noel, de la fuite de Milou et Steffy écrivain. Karine...
et qui était l’ex épouse de
Tavarès écrivais ceci.
Martin Tavarès je suis
amoureuse de vous et je
vais faire annuler le divorce.
Et Milou disais ceci.
Quand nous étions dans le désert de
sable tu ne portais pas ton coat d’hiver
mais un chemisier et tu lisait le livre des
Tableaux de Laurel.
C’était un autre délire Milou...
Oui et nous avons délirer parce ce que je
te parlais.
Mais si je portais mon chemisier ou
es mon coat de pluie ou ma veste d’été,
automne, et mon coat d’hiver...
Ils sont rester dans ton armoire
ou il y a tes livres une machine a
écrire et Tes feuilles ou il y des dessins,
et paysages avec textes.
On rentre a l’appartement.
Maggie va nous chicaner
parce ce qu’on est mouillée.
Et ils retournèrent a
l’appartement ou la blonde
de Maggie les chicanais.
Ou étiez-vous...
Nous étions sur une
autre planète ou il y
avais du sable et il
fallait trouver un
vortex pour retourner
sur terre Maggie.
Cesser de délirer il n’y a pas de
planète ou il y a du sable.
Et on sais retrouver
sur une terre en ruine
avec une psychiatre
en veston.
Est-ce que c’est cette
femme la qui porte
un veston...
Oui c’est elle Maggie.
Docteur que faites-vous ici...
C’est votre Maggie qui m’a
appeler pour vous soigner
de vos délires.
Mais docteur vous étiez
dans les ruines.
Mademoiselle Maggie votre
fiancée délires.
Mais Maggie elle se trouvais sur une planète en ruine et
sur une planète ou il y avait du sable et je portais mon chemisier.
Ton chemisier est tous mouillée.
Ambulanciers faites le entrez dans l’ambulance et emmenez-le
a l’asile pour le soigner de ses délires.
Oui docteur.
Et Milou sauta sur la blonde au veston...
Espèce de sale cabot je vais t’envoyez a la fourrière.
Docteur il ne fais pas ca mordre les gens.
Vous devriez l’envoyez a la fourrière ce
cabot.
Caroline tu ne va pas envoyez Milou a la
fourrière et Tavarès a l’asile.
Non Steffy mais tu peut poursuivre ce
texte.
Steffy écrivais ceci...
Tavarès s’évadais de l’asile et il retournais
au Lycée pour causer Avec Karine la blonde de Smorgue.
Karine.
Qu’est-ce que ce tu fais ici et qui t’a fais évader de ma
planète et ou es la psychiatre qui devait te garder dans
le désert de sable.
Ta psychiatre est ici dans un asile ou je me suis évader
parce ce qu’elle voulais me droguer.
Et Milou ou est-il.
Si Maggie est a mon
appartement elle a dû
l’envoyez a la fourrière
ou il y a d’autres animaux.
Et Milou s’évadais et il
retournais en forêt et demandais
ceci aux autres animaux.
Est-ce que Maggie, la psychiatre, Karine,
la blonde étudiante est passée par la piste
cyclable...
Non mais il y a Tavarès est passer ici et il est
allez au Lycée ou il y a des étudiants en polo.
Au Lycée...
Karine pour quelle raison que tu ne nous pas
donner une tente pour nous refroidir avec Milou.
Mon père déteste les terriens et si je t’avais donner une tente
il aurais envoyez ses soldats pour te capturer et il m’aurais
envoyez dans le donjon en polo et il fais très froid.
Mais je voudrais savoir qui écris cette histoire de la fuite de
Milou et de Noel...
C’est Caroline et Steffy dans un Lycée, qui écris cette histoire de Noel, de la fuite de Milou et Steffy écrivain. Karine...
Sade's girls
Au 69 de la rue des roses, la discussion était animée entre Bridget et ses deux amies, kate et Mary.
- Mais tu n’y penses pas,moi,en club libertin, tu es complétement folle!
- Oh si,j’y pense, et même je fais plus que ça,j’ai déjà commencé les préparatifs avec Kate,et en accord avec ton futur mari,qui soit dit en passant,à trouvé l’idée d’enterrer ta vie de jeune fille au "Sade" excellente!
- Quoi? Ca m’étonnerait fort que Pete accepte que je me rende dans un endroit pareil, rien que le nom me donne la chair de poule!
- Oh tu me fais rire vierge Mary, oui ça s’appelle "Le Sade", en référence au Marquis,précurseur du libertinage,et dont le mot sadique vient de son nom,mais personne ne va être torturé,ni assassiner,tout se passe entre adultes consentants,et nul n’est obligé de faire quoi que ce soit!
- C’ est vrai,je ne vois pas pourquoi tu en fais toute une histoire,tu ne nous connais pas encore aprés toutes ces années,tu crois que l’on t’emmenerait dans un lieu où il y aurait un risque pour ta santé ou pour ta vie,et la nôtre aussi soit dit en passant, la confiance régne!
- Mais non,je ne doute pas de vous deux,mais seulement je suis quelqu’un de très pudique,alors qu’est ce que j’irai faire dans ce lieu de débauche,ce n’est pas pour moi!
- Bon stop mère Thérésa,samedi en huit,nous irons enterrer ta vie de jeune fille au "Sade", un point c’est tout,et on va s’éclater,fin de la discussion!
Sur ces mots,Kate et Bridget se retirèrent en laissant Mary à ses réflexions. Elles avaient encore du pain sur la planche pour faire de cette soirée un moment mémorable.
Le samedi suivant,nos trois amies se mirent en route pour "Le Sade",qui se trouvait à Fallusbourg,un petit village isolé,à 50 kilométres de Petite Pucelle. Elles étaient très excitées à l’idée de connaître enfin ce lieu en vrai,car une brochure peut donner une idée,certes,mais y entrer est une toute autre chose. Même Mary,avec qui ça avait été la croix et la bannière pour lui faire accepter de porter la tenue très sexy que Kate et bridget lui avait choisi. Il faut dire qu’elles s’étaient toutes trois transformées en vamps.
Kate arborait une robe bleue ultra courte,cintrée à la taille,au dos nu vertigineux s’arrêtant à la naissance de ses fesses,des bas résille au bord de dentelle bleue et des escarpins de la même couleur.
Bridget quant à elle,portait une mini robe en latex noire lacée dans le dos,des bas avec une couture à l’arrière, ajoutant une note de charme à ses jambes au galbe parfait. Ses longs cheveux blonds formaient une couronne de tresses autour de son doux visage,cette coiffure sage contrastait avec le côté trash de sa tenue.
Et Mary,avait une robe blanche,transparente aux endroits stratégiques,très courte aussi,des bas blancs avec des flots rouges sur la jarretière,et des chaussures à talons blanches bordées de rouge.
Ses deux amies avaient éclater de rire devant sa mine horrifiée quand elle s’était vue dans le miroir,et avaient lever les yeux au ciel en disant " nonne un jour,nonne toujours".
Elles n’eurent pas de mal à trouver le club qui se trouvait dans une impasse appelée "chemin luxuriant",éclairée par des ampoules rouges plantées sur des lampadaires en forme de fourches.
Il fallait ouvrir la vitre de la voiture pour appuyer sur un bouton,et deux portes sculptées s’ouvraient tel le battement des ailes d’un ange prêt pour l’envol.
Elles pénétrèrent dans l’antre du mâle. Le propriétaire de l’établissement, François Xavier Delamol,les reçut,trop heureux de compter trois superbes créatures parmi sa clientéle,et leur fit visiter son domaine.
Dés l’entrée,le décor était planté,semi obscurité,lampes amovibles aux murs,simulant les bougies des châteaux des temps jadis, en fond sonore,"Sadeness" d’énigma.
Tout le personnel était habillé de la même façon,perruqueblanche coiffée en queue de cheval basse,attachée par un flot noir,frac gris serti d’un liseré bleu à la marquis de Sade.
La partie bar était,elle un peu plus éclairée,il y avait une piste de danse avec au milieu une cage à l’intérieur de laquelle se trouvait une femme en guêpière rouge,qui dansait de façon lascive mais avec classe,elle était d’une grande beauté,un corps parfait,de longs cheveux noirs,mais c’est surtout son visage qui interpellait,car elle avait un regard envoutant dans lequel on plongeait comme dans un abîme de sensualité où on pouvait y lire une promesse d’allégresse.
Au plafond,des miroirs qui donnaient une impression d’être dédoublés quelque peu déroutante,mais excitante après tout.
Au fond de la pièce,un petit escalier menait à un couloir aux multiples portes.
Chaque espace avait sa fonction,et un nom ou une devise écrits sur la porte,il y avait donc,la salle Homo,"les nuits de Sodome", la salle SM,"à l’est de Gomore",équipée de tout ce dont on peut imaginer: Croix de Saint André,carcan,fouets,cravaches,cannes,pinces tétons,menottes,lanières,plumeaux,etc...,la salle entre filles,"love be tender",la salle par douze"plus on est de fous,plus on jouit",et la salle "speed sexting",où des hommes en érection constante étaient à la disposition de ces messieurs,dames,pour assouvir tous leurs désirs.
Il leur présenta les habitués,et parmi eux,Coco Siredi,impuissant depuis qu’il s’était fait suçer par une bombe sexuelle qui s"était avérée être un transexuel,Henry Lenuck,monté à faire palir Rocco Siffredi de jalousie,et contre attente,Jésus Latté,un curé qui venait ici dans le but de sauver les âmes pécheresses des affres de la luxure.
On le laissait entrer car cela amusait les clients et attirait les curieux qui voulaient se rendre compte par eux mêmes,et vérifier si c’était un vrai curé ou un client déguisé,ou un membre du personnel payé pour amuser la galerie. Il y avait aussi une cliente qui aimait se grimer en nonne délurée,et qui se faisait appeler "soeur tebaise.com"
Nos trois amies étaient émerveillées,cet endroit suintait la sensualité et l’érotisme de toutes ses portes,tout était fait pour vous inciter à l’allégresse.
Elles se dirigèrent vers le bar,et s’assirent sur les sièges disposés devant,qui formaient des mains,l’assise étant la paume,et le dossier les doigts,ils étaient très confortable et diffusaient une douce chaleur qui vous détendait instantanément.
Le barman leur présenta la carte des cocktails,et elles choisirent un "sex on the bitch" pour Bridget,un"pine collamoi" pour Kate,et un"virgin moridio" pour Mary.
Après deux verres,il était temps de commencer la fête et elles se dirigèrent vers la piste de danse,dansèrent de façon sensuelle au milieu des habitués qui se délectaient de ce spectacle. Soeur Tebaise.com leur fit son numéro ,exhibant un vibromasseur,disant "Gode n’est jamais loin de moi" en éclatant de rire.
Le curé,quant à lui,tentait toujours de convaincre les libertins de renoncer au vice et de retrouver des comportements plus sains,autant vous dire qu’il prêchait dans le désert.
Bridget tourna la tête et cru être frappée par la foudre quand son regard croisa celui de l’homme qui venait d’arriver,il était très beau,un corps sans défaut dans son pantalon noir,sa chemise blanche et son petit gilet ajusté par dessus,son visage à moitié dissimulé par un masque vénitien qui laissait filtrer ses yeux pénétrants était époustouflant,ses cheveux qui lui tombaient en boucles sur la nuque donnaient envie d’y enfoncer les doigts.Il s’avança sur la piste sans quitter Bridget des yeux,alla droit vers elle,la prit par la taille et ils entamèrent une danse très sensuelle comme s’ils étaient amants depuis longtemps alors qu’ils se voyaient pour la première fois,c’étaité electrique entre eux. Il lui tendit la main,elle y mit la sienne et ils quittèrent la piste pour rejoindre la salle SM.
Il l’attira à lui et ils échangèrent un baiser torride,il embrassa son cou,ses épaules et fit glisser les bretelles de sa robe,lui prit es poignets qu’il attacha avec une lanière de cuir,fit descendre une barre de suspension du plafond et y fixa l’ attache. Bridget se retrouva les bras attachés au dessus de la tête. Il lui banda les yeux,sortit son I pod,lui mit les écouteurs sur les oreilles et la chanson"crazy in love" de Beyoncé se fit entendre.
Il lui ôta sa robe et son string,admira le spectacle de sa silhouette parfaite,mince et ferme,se plaça derrière elle,déposa de petits baisers sur sa nuque,attrapa un plumeauet parcouru tout son corps avec,la faisant frissonner,puis il s’empara d’un fouet aux lanières surmontées de petites perles,il s’amusa à alterner caresses et petits coups de fouet,veillant à garder ce lien ténu entre plaisir et douleur. Bridget n’avait jamais connu de telles sensations auparavant,et tandis que dans ses oreilles résonnait"haunted" de la même beyoncé,son bel inconnu se délectait de ce que sa prisonnière soit aussi réceptive. Il prit son visage entre ses mains et écrasa sa bouche sur la sienne en un baiser sauvage,puis du bout de la langue parcouru son cou,descendit jusqu’à la naissance de ses seins,en suçota alternativement ses tétons,les mordilla,la faisant gémir et se contorsionner. l’excitation étant à son paroxysme,elle émit un râle qui se voulait uns supplique pour qu’il la prenne enfin. Il se recula,saisit une cravache, en cingla ses fesses,puis la fit remonter le long de sa colonne vertébrale,descendit jusqu’à son ventre qu’il frappa doucement,effleura son clitoris,provoquant un soubresaut chez sa soumise qui n’en pouvait plus de désir.Il jeta la cravache à terre,enleva son pantalon et son caleçon,mit un préservatif,la saisit par les cuisses et la pénétra d’un coup sec,lui arrachant un cri de surprise,puis se mit à la pilonner en des mouvements de va et vient de plus en plus rapides jusqu’à ce que l’orgasme la submerge tel un ras de marée emportant tout sur son passage. Bridget était dans un état second tant la jouissance fut intense,il la détacha,la prit dans ses bras,et la porta sur le lit à baldaquin qui se trouvait dans un coin de la pièce,prit un flacon de décontractant musculaire,en appliqua sur ses mains et lui frictionna les épaules et les bras,puis s’en alla.
Quand elle se réveilla,Bridget était sur un nuage de volupté. Elle s’assit sur le lit,se remémorant son torride interlude,et fut déçue de ne pas retrouver son bel inconnu à ses côtés.
Reprenant ses esprits,elle prit ses vêtements,se rhabilla,et trouva une carte où il était écrit "merci pour cet intense moment,signé Sacha Dudémond". Elle le mit dans sa pochette et sortit de la pièce.
Pendant ce temps,ses deux amies n’étaient pas en reste,elles s’étaient attaquées au pauvre curé,avec comme objectif de lui faire découvrir les plaisirs du sexe.
Ce n’était pas une mince affaire, mais elles ne manquaient pas de persévérance ni d’arguments. Si bien qu’après plusieurs verres et minauderies,elles l’entraînèrent dans la salle SM,qui décidément attirait les foules ce soir, croisèrent Bridget qui en sortait,et lui lancèrent un regard complice.
Et ainsi,ce bon vieux Jésus Latté se trouva attaché sur la croix de Saint André avec Mary qui lui suçotait les lobes d’oreilles,et Kate qui tentait de lui faire une fellation,mais sur un sexe mou,c’est comme souffler dans un ballon crevé,il reste plat. Ceci leur inspira une chanson:
"un vieux cu, un vieux cu"
"un vieux curé de campagne"
"a retiré sa soutane"
"pour une courtisane"
"ce fut un feu de paille"
"car notre pauvre petit cureton"
"n’ayant jamais ôté son caleçon"
"ne fit pas ripaille"
"car son fusil trop chargé"
"tira avant d’avoir visé"
"dépitée notre séductrice"
"resserrant les cuisses"
"jura de ne plus jamais"
"vouloir dévergonder un curé"
Bien sûr cette ritournelle n’était pas au goût de notre prêcheur du désert,qui parvenant à se détacher,se saisit d’une cravache pour punir ces polissonnes,qui en le voyant s’exclamèrent :
- Punissez moi mon père car j’ai pêcher!
tout en relevant leurs robes,et en se penchant en avant afin d’offrir leurs fessiers à la morsure du cuir du bâton de ce pélerin de la luxure. Le cureton s’en donna à coeur joie,et les flagella à tour de rôle,leur arrachant des râles très érotiques qui le rendirent fou,et,jetant l’objet du désir,il attrapa Kate par les hanches,et la pénétra sauvagement,elle était tellement excitée qu’elle joui en criant comme une damnée pendant qu’il la pilonnait en redoublant de rudesse.
Mary,qui en avait marre de jouer les figurantes,s’écria :
-Eh Jésus,viens voir ma crêche!
en s’allongeant de manière très suggestive sur le lit,alors celui ci s’approcha,attrapa ses jambes qu’il posa de chaque côtéde ses épaules,et l’empala sans autre forme de procés en des mouvements de va et vient très lents,puis de plus en plus rythmés,de nouveau plus lents,puis plus rapides,et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il explose en elle comme l’éruption d’un volcan endormi depuis des années,et qui se réveille soudain.
La sonnerie du téléphone tira Bridget d’un sommeil lourd,elle décrocha :
-Bridget,c’est Kate,ça fait dix minutes que je suis devant ta porte,tu n’as quand même pas oublié qu’on a rendez vous chez le coiffeur,
on enterre la vie de jeune fille de Mary ce soir!
-Mais qu’est ce que tu racontes,c’était hier,on est allées au "Sade"!
-Mais c’est toi qui débloques,tu as du rêver,allez viens m’ouvrir au lieu de raconter des bêtises!
Quand Bridget mit son trench,elle glissa machinalement ses mains dans les poches,et sentit quelque chose dans l’une d’elles,et l’en sortit,c’était une carte avec côté recto"Le Sade" écrit en lettres gothiques rouge sang,et côté verso"Merci pour cet intense moment,signé Sacha Dudémond"
- Mais tu n’y penses pas,moi,en club libertin, tu es complétement folle!
- Oh si,j’y pense, et même je fais plus que ça,j’ai déjà commencé les préparatifs avec Kate,et en accord avec ton futur mari,qui soit dit en passant,à trouvé l’idée d’enterrer ta vie de jeune fille au "Sade" excellente!
- Quoi? Ca m’étonnerait fort que Pete accepte que je me rende dans un endroit pareil, rien que le nom me donne la chair de poule!
- Oh tu me fais rire vierge Mary, oui ça s’appelle "Le Sade", en référence au Marquis,précurseur du libertinage,et dont le mot sadique vient de son nom,mais personne ne va être torturé,ni assassiner,tout se passe entre adultes consentants,et nul n’est obligé de faire quoi que ce soit!
- C’ est vrai,je ne vois pas pourquoi tu en fais toute une histoire,tu ne nous connais pas encore aprés toutes ces années,tu crois que l’on t’emmenerait dans un lieu où il y aurait un risque pour ta santé ou pour ta vie,et la nôtre aussi soit dit en passant, la confiance régne!
- Mais non,je ne doute pas de vous deux,mais seulement je suis quelqu’un de très pudique,alors qu’est ce que j’irai faire dans ce lieu de débauche,ce n’est pas pour moi!
- Bon stop mère Thérésa,samedi en huit,nous irons enterrer ta vie de jeune fille au "Sade", un point c’est tout,et on va s’éclater,fin de la discussion!
Sur ces mots,Kate et Bridget se retirèrent en laissant Mary à ses réflexions. Elles avaient encore du pain sur la planche pour faire de cette soirée un moment mémorable.
Le samedi suivant,nos trois amies se mirent en route pour "Le Sade",qui se trouvait à Fallusbourg,un petit village isolé,à 50 kilométres de Petite Pucelle. Elles étaient très excitées à l’idée de connaître enfin ce lieu en vrai,car une brochure peut donner une idée,certes,mais y entrer est une toute autre chose. Même Mary,avec qui ça avait été la croix et la bannière pour lui faire accepter de porter la tenue très sexy que Kate et bridget lui avait choisi. Il faut dire qu’elles s’étaient toutes trois transformées en vamps.
Kate arborait une robe bleue ultra courte,cintrée à la taille,au dos nu vertigineux s’arrêtant à la naissance de ses fesses,des bas résille au bord de dentelle bleue et des escarpins de la même couleur.
Bridget quant à elle,portait une mini robe en latex noire lacée dans le dos,des bas avec une couture à l’arrière, ajoutant une note de charme à ses jambes au galbe parfait. Ses longs cheveux blonds formaient une couronne de tresses autour de son doux visage,cette coiffure sage contrastait avec le côté trash de sa tenue.
Et Mary,avait une robe blanche,transparente aux endroits stratégiques,très courte aussi,des bas blancs avec des flots rouges sur la jarretière,et des chaussures à talons blanches bordées de rouge.
Ses deux amies avaient éclater de rire devant sa mine horrifiée quand elle s’était vue dans le miroir,et avaient lever les yeux au ciel en disant " nonne un jour,nonne toujours".
Elles n’eurent pas de mal à trouver le club qui se trouvait dans une impasse appelée "chemin luxuriant",éclairée par des ampoules rouges plantées sur des lampadaires en forme de fourches.
Il fallait ouvrir la vitre de la voiture pour appuyer sur un bouton,et deux portes sculptées s’ouvraient tel le battement des ailes d’un ange prêt pour l’envol.
Elles pénétrèrent dans l’antre du mâle. Le propriétaire de l’établissement, François Xavier Delamol,les reçut,trop heureux de compter trois superbes créatures parmi sa clientéle,et leur fit visiter son domaine.
Dés l’entrée,le décor était planté,semi obscurité,lampes amovibles aux murs,simulant les bougies des châteaux des temps jadis, en fond sonore,"Sadeness" d’énigma.
Tout le personnel était habillé de la même façon,perruqueblanche coiffée en queue de cheval basse,attachée par un flot noir,frac gris serti d’un liseré bleu à la marquis de Sade.
La partie bar était,elle un peu plus éclairée,il y avait une piste de danse avec au milieu une cage à l’intérieur de laquelle se trouvait une femme en guêpière rouge,qui dansait de façon lascive mais avec classe,elle était d’une grande beauté,un corps parfait,de longs cheveux noirs,mais c’est surtout son visage qui interpellait,car elle avait un regard envoutant dans lequel on plongeait comme dans un abîme de sensualité où on pouvait y lire une promesse d’allégresse.
Au plafond,des miroirs qui donnaient une impression d’être dédoublés quelque peu déroutante,mais excitante après tout.
Au fond de la pièce,un petit escalier menait à un couloir aux multiples portes.
Chaque espace avait sa fonction,et un nom ou une devise écrits sur la porte,il y avait donc,la salle Homo,"les nuits de Sodome", la salle SM,"à l’est de Gomore",équipée de tout ce dont on peut imaginer: Croix de Saint André,carcan,fouets,cravaches,cannes,pinces tétons,menottes,lanières,plumeaux,etc...,la salle entre filles,"love be tender",la salle par douze"plus on est de fous,plus on jouit",et la salle "speed sexting",où des hommes en érection constante étaient à la disposition de ces messieurs,dames,pour assouvir tous leurs désirs.
Il leur présenta les habitués,et parmi eux,Coco Siredi,impuissant depuis qu’il s’était fait suçer par une bombe sexuelle qui s"était avérée être un transexuel,Henry Lenuck,monté à faire palir Rocco Siffredi de jalousie,et contre attente,Jésus Latté,un curé qui venait ici dans le but de sauver les âmes pécheresses des affres de la luxure.
On le laissait entrer car cela amusait les clients et attirait les curieux qui voulaient se rendre compte par eux mêmes,et vérifier si c’était un vrai curé ou un client déguisé,ou un membre du personnel payé pour amuser la galerie. Il y avait aussi une cliente qui aimait se grimer en nonne délurée,et qui se faisait appeler "soeur tebaise.com"
Nos trois amies étaient émerveillées,cet endroit suintait la sensualité et l’érotisme de toutes ses portes,tout était fait pour vous inciter à l’allégresse.
Elles se dirigèrent vers le bar,et s’assirent sur les sièges disposés devant,qui formaient des mains,l’assise étant la paume,et le dossier les doigts,ils étaient très confortable et diffusaient une douce chaleur qui vous détendait instantanément.
Le barman leur présenta la carte des cocktails,et elles choisirent un "sex on the bitch" pour Bridget,un"pine collamoi" pour Kate,et un"virgin moridio" pour Mary.
Après deux verres,il était temps de commencer la fête et elles se dirigèrent vers la piste de danse,dansèrent de façon sensuelle au milieu des habitués qui se délectaient de ce spectacle. Soeur Tebaise.com leur fit son numéro ,exhibant un vibromasseur,disant "Gode n’est jamais loin de moi" en éclatant de rire.
Le curé,quant à lui,tentait toujours de convaincre les libertins de renoncer au vice et de retrouver des comportements plus sains,autant vous dire qu’il prêchait dans le désert.
Bridget tourna la tête et cru être frappée par la foudre quand son regard croisa celui de l’homme qui venait d’arriver,il était très beau,un corps sans défaut dans son pantalon noir,sa chemise blanche et son petit gilet ajusté par dessus,son visage à moitié dissimulé par un masque vénitien qui laissait filtrer ses yeux pénétrants était époustouflant,ses cheveux qui lui tombaient en boucles sur la nuque donnaient envie d’y enfoncer les doigts.Il s’avança sur la piste sans quitter Bridget des yeux,alla droit vers elle,la prit par la taille et ils entamèrent une danse très sensuelle comme s’ils étaient amants depuis longtemps alors qu’ils se voyaient pour la première fois,c’étaité electrique entre eux. Il lui tendit la main,elle y mit la sienne et ils quittèrent la piste pour rejoindre la salle SM.
Il l’attira à lui et ils échangèrent un baiser torride,il embrassa son cou,ses épaules et fit glisser les bretelles de sa robe,lui prit es poignets qu’il attacha avec une lanière de cuir,fit descendre une barre de suspension du plafond et y fixa l’ attache. Bridget se retrouva les bras attachés au dessus de la tête. Il lui banda les yeux,sortit son I pod,lui mit les écouteurs sur les oreilles et la chanson"crazy in love" de Beyoncé se fit entendre.
Il lui ôta sa robe et son string,admira le spectacle de sa silhouette parfaite,mince et ferme,se plaça derrière elle,déposa de petits baisers sur sa nuque,attrapa un plumeauet parcouru tout son corps avec,la faisant frissonner,puis il s’empara d’un fouet aux lanières surmontées de petites perles,il s’amusa à alterner caresses et petits coups de fouet,veillant à garder ce lien ténu entre plaisir et douleur. Bridget n’avait jamais connu de telles sensations auparavant,et tandis que dans ses oreilles résonnait"haunted" de la même beyoncé,son bel inconnu se délectait de ce que sa prisonnière soit aussi réceptive. Il prit son visage entre ses mains et écrasa sa bouche sur la sienne en un baiser sauvage,puis du bout de la langue parcouru son cou,descendit jusqu’à la naissance de ses seins,en suçota alternativement ses tétons,les mordilla,la faisant gémir et se contorsionner. l’excitation étant à son paroxysme,elle émit un râle qui se voulait uns supplique pour qu’il la prenne enfin. Il se recula,saisit une cravache, en cingla ses fesses,puis la fit remonter le long de sa colonne vertébrale,descendit jusqu’à son ventre qu’il frappa doucement,effleura son clitoris,provoquant un soubresaut chez sa soumise qui n’en pouvait plus de désir.Il jeta la cravache à terre,enleva son pantalon et son caleçon,mit un préservatif,la saisit par les cuisses et la pénétra d’un coup sec,lui arrachant un cri de surprise,puis se mit à la pilonner en des mouvements de va et vient de plus en plus rapides jusqu’à ce que l’orgasme la submerge tel un ras de marée emportant tout sur son passage. Bridget était dans un état second tant la jouissance fut intense,il la détacha,la prit dans ses bras,et la porta sur le lit à baldaquin qui se trouvait dans un coin de la pièce,prit un flacon de décontractant musculaire,en appliqua sur ses mains et lui frictionna les épaules et les bras,puis s’en alla.
Quand elle se réveilla,Bridget était sur un nuage de volupté. Elle s’assit sur le lit,se remémorant son torride interlude,et fut déçue de ne pas retrouver son bel inconnu à ses côtés.
Reprenant ses esprits,elle prit ses vêtements,se rhabilla,et trouva une carte où il était écrit "merci pour cet intense moment,signé Sacha Dudémond". Elle le mit dans sa pochette et sortit de la pièce.
Pendant ce temps,ses deux amies n’étaient pas en reste,elles s’étaient attaquées au pauvre curé,avec comme objectif de lui faire découvrir les plaisirs du sexe.
Ce n’était pas une mince affaire, mais elles ne manquaient pas de persévérance ni d’arguments. Si bien qu’après plusieurs verres et minauderies,elles l’entraînèrent dans la salle SM,qui décidément attirait les foules ce soir, croisèrent Bridget qui en sortait,et lui lancèrent un regard complice.
Et ainsi,ce bon vieux Jésus Latté se trouva attaché sur la croix de Saint André avec Mary qui lui suçotait les lobes d’oreilles,et Kate qui tentait de lui faire une fellation,mais sur un sexe mou,c’est comme souffler dans un ballon crevé,il reste plat. Ceci leur inspira une chanson:
"un vieux cu, un vieux cu"
"un vieux curé de campagne"
"a retiré sa soutane"
"pour une courtisane"
"ce fut un feu de paille"
"car notre pauvre petit cureton"
"n’ayant jamais ôté son caleçon"
"ne fit pas ripaille"
"car son fusil trop chargé"
"tira avant d’avoir visé"
"dépitée notre séductrice"
"resserrant les cuisses"
"jura de ne plus jamais"
"vouloir dévergonder un curé"
Bien sûr cette ritournelle n’était pas au goût de notre prêcheur du désert,qui parvenant à se détacher,se saisit d’une cravache pour punir ces polissonnes,qui en le voyant s’exclamèrent :
- Punissez moi mon père car j’ai pêcher!
tout en relevant leurs robes,et en se penchant en avant afin d’offrir leurs fessiers à la morsure du cuir du bâton de ce pélerin de la luxure. Le cureton s’en donna à coeur joie,et les flagella à tour de rôle,leur arrachant des râles très érotiques qui le rendirent fou,et,jetant l’objet du désir,il attrapa Kate par les hanches,et la pénétra sauvagement,elle était tellement excitée qu’elle joui en criant comme une damnée pendant qu’il la pilonnait en redoublant de rudesse.
Mary,qui en avait marre de jouer les figurantes,s’écria :
-Eh Jésus,viens voir ma crêche!
en s’allongeant de manière très suggestive sur le lit,alors celui ci s’approcha,attrapa ses jambes qu’il posa de chaque côtéde ses épaules,et l’empala sans autre forme de procés en des mouvements de va et vient très lents,puis de plus en plus rythmés,de nouveau plus lents,puis plus rapides,et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il explose en elle comme l’éruption d’un volcan endormi depuis des années,et qui se réveille soudain.
La sonnerie du téléphone tira Bridget d’un sommeil lourd,elle décrocha :
-Bridget,c’est Kate,ça fait dix minutes que je suis devant ta porte,tu n’as quand même pas oublié qu’on a rendez vous chez le coiffeur,
on enterre la vie de jeune fille de Mary ce soir!
-Mais qu’est ce que tu racontes,c’était hier,on est allées au "Sade"!
-Mais c’est toi qui débloques,tu as du rêver,allez viens m’ouvrir au lieu de raconter des bêtises!
Quand Bridget mit son trench,elle glissa machinalement ses mains dans les poches,et sentit quelque chose dans l’une d’elles,et l’en sortit,c’était une carte avec côté recto"Le Sade" écrit en lettres gothiques rouge sang,et côté verso"Merci pour cet intense moment,signé Sacha Dudémond"
Mer 30 Mai 2018, 21:45 par
Bridget sur Les liaisons sulfureuses
Rouge-bouteille
Elle était là, posée devant moi. Elle était là, sur la table, aux trois-quarts vide de son liquide translucide dans lequel allaient cogner les rayons du soleil pénétrant par ma fenêtre pour s’y réfléchir et se pâmer sur le plafond blanc avec des allures de fantômes.
Je la regardais, amorphe, la vue trouble, la tête ballante, la bouche mollement ouverte et pâteuse, affalé sur mon lit, dos au mur, une canette à la main au bout d’un bras pendant dans le vide. Je la contemplais, je l’admirais, je la vénérais comme une déesse.
Pour que je puisse y goûter, pour que je puisse me prosterner, fallait que je termine l’autre. C’était mon rituel, c’était mon culte : alterner. J’alternais, je ne faisais que passer le temps à permuter entre l’une et l’une des autres. J’alternais entre le verre translucide et les petites bouteilles vertes. Je permutais jusqu’à ne plus pouvoir continuer, jusqu’à m’écrouler.
Mais je préférais encore ne pas sombrer dans ce sommeil terrible où il n’y a plus que les cauchemars pour te ramener à la réalité. Ce que je préférais, c’était en venir là où j’allais devoir m’exprimer. Je le sentais venir ce moment, je le sentais monter en moi comme une plainte de mon corps, un rejet, un dernier sursaut de désespoir où il repousse l’ennemi, lui, mon corps, de toutes les forces qu’il lui reste, qu’il parvient à réunir. Ça s’annonçait quelque part au fond de ma sale gueule, là où s’articulent les mâchoires, à la base de la langue, sous la naissance des oreilles. Ça sécrétait, ça avait un goût amer. Ça venait à ce moment où tu peux plus fermer les yeux, où tu peux plus non plus les ouvrir, où tu peux pas fixer un point quelque part sans que cela soit pire encore. Alors tu les balades, tu les bouges tes yeux, tu te forces à ne pas les croiser, tu cherches des parallèles. Tu ouvres très fort tes paupières, tu les fermes très fort, tu te les frottes, mais plus rien n’y fait. Et puis ça sécrète encore plus, ça devient encore plus amer, et là faut que tu bouges.
Alors je bouge. Je bouge un bras, je le traîne. Je bouge une jambe, je la tire. Pour pas changer, je me ramasse sur le sol, la gueule par terre, l’esprit embrumé, étalé sur la moquette parmi les canettes sur lesquelles je roule. Je roule et je les repousse. Je les repousse au loin, d’un grand geste circulaire, au ras du sol. Y’a leurs cliquetis inénarrables quand elles s’entrechoquent, ce putain de bruit qui te vrille le crâne au moment où tu commences à baver, où tu retiens le volcan.
Et je me traîne. Je rampe. Y’a plus que mes bras qui soient encore capables de me tirer. Alors je me tire. Je me tire et je retiens. Et ça dure, sur des distances interminables, et c’est long.
Mais enfin j’y arrive, j’atteins l’endroit. Je m’y porte. Je m’y porte et c’est crâde. C’est crâde et ça monte pire encore. Y’a des restes de bouffe, des petits morceaux collés un peu partout, qui y ont séché. Et puis j’ai pas mal pissé à côté aussi ; la bière ça fait pisser. Et la pisse, ça colle aussi. Ça laisse des traces jaunâtres sur lesquelles vient se coller la poussière. Y’a le tartre, mais le tartre c’est rien. Et y’a le pire. Y’a ces traces de merde, de merde liquide qui a séché aussi. Ça sèche aussi. C’était liquide et puis ça a séché. C’était liquide parce que je bois beaucoup plus que je ne mange.
Et puis ça pue aussi. Ça pue parce que je fais exprès de pas toujours la tirer, la chasse.
Et puis c’est là. Ça s’accélère d’un seul coup. Alors je tire sur mes bras, je tire sur mon cou, je plonge la tête. Et c’est là.
Ça part avec un bruit horrible, un truc inimitable. Ça a un goût dégueulasse aussi, surtout sur la fin parce qu’à la rigueur c’est jouissif au début. Là, j’y mets toute ma haine, j’en ai les yeux pleins de larmes. Je gémis, je crache, je racle, je crie, je hurle.
Et ça se calme, par petits spasmes. Je sens qu’il y en a encore. Je me fous le doigt dans la gorge et je l’appelle, je l’attire, je l’extirpe, j’emmène des bouts de peau avec. Je vomis.
Et puis je m’affale, je m’écroule encore, une fois de plus.
* * *
Mais là, ce beau jour ensoleillé, je n’y étais pas encore. Pourtant, c’était proche. C’était très proche.
Alors je la fixais, elle, posée devant moi. Elle était là, sur la table, aux trois-quarts vide de son putain de liquide translucide dans lequel cognaient les rayons du soleil pénétrant par ma fenêtre pour s’y réfléchir et se pâmer sur le plafond blanc avec des semblants d’éternité.
J’ai balancé la canette terminée en travers de la pièce. J’avais encore cette force-là. J’avais encore cette force-là parce que ce n’était pas encore le bon moment, le moment d’aller vider ma haine... et le reste. Pourtant, ça tournait. Ça tournait, et ça y mettait de l’ardeur.
J’ai réussi à décoller et à l’atteindre, du bout de mon lit. Du bout de mon lit j’avais juste qu’à tendre le bras. Je me suis versé sa merde incolore, son poison obscur, et j’ai regagné le mur pour m’y adosser. Il était presque l’heure. Fallait encore résister. Ces putains de gorgées à m’imbiber ça allait m’aider. Il le fallait.
J’ai reconnu son pas. J’ai reconnu le bruit de ses pas dans le couloir, ce pas régulier, décidé. C’était sa signature.
Y’a eu le bruit de la clé dans la serrure, les deux tours, comme au ralenti, la poignée appuyée, la porte qui s’ouvre. Y’a eu les clés retirées puis posées sur le meuble à côté.
J’ai entendu le sac laissé tombé à terre puis le manteau accroché.
Et j’ai souri.
Y’a eu encore deux pas, puis elle.
Car elle était là, debout devant moi. Elle était là, en face, aux trois-quarts habillée de ses fringues ridicules sur lesquels allaient cogner les rayons du soleil pénétrant par ma fenêtre pour y être absorbés par sa graisse et lui donner des reflets de bibindom à se pâmer sur une piste de danse avec des allures de grandes dames qu’elle ne serait jamais.
Je la regardais, amorphe, la vue trouble, la tête ballante, la bouche mollement ouverte et pâteuse, affalé sur mon lit, dos au mur, les mains moites au bout des bras pendant dans le vide. Je la détestais, je la haïssais, je la maudissais comme l’enfer.
Elle m’a fixé.
Elle a posé sur moi son regard de dédain, son putain de regard de dédain.
Je savais, j’étais qu’une merde, qu’une putain de merde. Peu m’importait...
- T’as encore bu ? elle s’est confirmée toute seule.
La merde.
- T’es qu’une merde ! elle a ajouté tout bas.
Le dédain.
- Tu me dégouttes ! Tu me répugnes !
Et la haine.
Ils étaient loin les "Bonsoir mon bébé" !
Elle est repartie chercher son sac. Elle est revenue. Pendant qu’elle y furetait après ses cigarettes, elle a encore posé sur moi son putain de dédain, ses pauvres yeux verts maquillés de son ridicule bleu à deux francs, un vert bouteille et un bleu sac poubelle. Sa sale gueule... Ses sales lèvres... Son putain de parfum au patchouli qui me faisait encore plus tourner la tête que toute la merde que j’avais jamais ingurgité.
Son petit jeu allait commencer.
Elle s’est tiré une chaise et y a posé ses grosses fesses. Elle s’est allumée une cigarette qu’elle s’est mise à fumer tranquillement, à la manière des grandes dames qu’elle ne serait jamais, un coude posé dans une main, avec le bras en l’air, en suspend, toute à réfléchir, toute à se creuser le crâne à ne me trouver ce que de toute façon elle ne faisait que répéter jour après jour, immuablement, égale à elle même, fidèle à ses sales habitudes.
- Alors, bitte molle, t’as fait qu’ça toute la journée ? T’as pleuré ta maman en buvant un bon petit coup ? T’as encore tellement bu que tu pourras plus bander ?
J’exécrais sa voix, sa pauvre voix nasillarde de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché de pauvre petit quartier dans lequel elle m’avait ramassé.
- Il est malheureux le petit chéri ! Faut pas t’arrêter ! Faut pas te gêner parce que je suis revenue ! Allez ! elle s’est énervée en grinçant des dents.
Et puis elle m’a balancé la bouteille. Une fois je me la suis prise en pleine gueule. Ça l’a fait rire. Ça l’a fait rire de son putain de sale rire de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché qui rit quand son gros plat de lard de grosse vache de patron vient lui peloter ses grosses fesses quand elle fait exprès de bien se pencher en avant parce que Mademoiselle, Mademoiselle la pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché espère de l’avancement, une promotion, monter en grade.
"Tu peux toujours aller te faire baiser, grosse merde !" j’ai pensé en souriant en débouchant l’objet. Elle a cru que je souriais pour la remercier pour la bouteille. Elle était conne en plus !
J’ai bu, j’ai avalé une grande gorgée.
- Elle est contente ma petite bitte molle ? Elle a bu son petit coup ?
Et là, son regard qui se transforme, ses petits yeux méchants. Et puis elle a chopé une canette vide qui traînait sur la table. Et puis elle me l’a lancée en pleine face. Et puis la bouteille m’a cogné la tête en même temps que ma tête a cogné le mur derrière. Putain que ça faisait du bien ! Ça m’a arraché un gémissement à éjaculer tout de suite et lui en foutre plein sur sa sale gueule.
- Espèce de petit enculé ! elle a craché.
Et puis son visage s’est éclairé.
- Et peut-être même que c’est ça qui te plaît ! Peut-être que c’est ça que tu aimes : te faire enculer ! T’es peut-être qu’un sale petit pédé ? Hein ? T’es qu’un pédé, hein ? C’est ça, hein ? T’aime te faire enculer ?
Et puis elle a éclaté de rire comme une grosse vache. Ça faisait trembler toute sa graisse, ça la faisait vibrer comme son vibromasseur qu’elle s’enfonçait tous les soirs les jambes écartées en face de moi en gémissant, en bavant comme une grosse truie qu’on n’aurait jamais voulue bouffer tellement elle ressemblait plus à rien.
Et puis elle s’est levée. Elle s’est levée poussant de ses gros bras aussi gros que mes pauvres jambes. Elle s’est approchée de moi, les mains sur les hanches, la haine dans les yeux. J’ai senti son odeur, sa putain d’odeur âcre de sueur, sa putain d’odeur âcre de transpiration que son putain de patchouli venait sucrer à me faire vomir. Elle a approché son visage du mien.
- Tu me dégouttes ! Tu me répugnes !
J’ai eu un haut le coeur. Elle l’a remarqué. Ça l’a énervé. Je l’ai vu pivoter sur la droite, tendre son bras, prendre son élan et revenir très vite sur la gauche, ouvrir sa main, sa grosse main de sale petite caissière de sale petit supermarché qui s’est abattue sur moi, sur le côté de mon visage, m’envoyant voler au bord du lit, avec le vide en dessous et pas une seule prise dans l’air.
Je me suis étalé sur le sol, la tête en avant, les pieds encore sur le lit.
- Sale petit merdeux !
Elle a chopé mes jambes et les a envoyées rejoindre le reste.
- Sale petit pédé !
Et puis elle y est allée du pied, frappant de son escarpin de Cendrillon dans lequel elle débordait, où la chair semblait vouloir s’écouler sur les côtés comme si, moins conne qu’elle, elle voulait d’elle-même quitter ce corps de merde et essayer de former quelque chose de moins ridicule à côté.
Elle a frappé, elle a frappé encore, visant mon ventre. Elle y allait gaiement de ses coups de pieds et de ses insultes, frappant mes bras repliés pour un tant soit peu me protéger : pur réflexe !
Et j’ai eu des hauts le coeur encore, en plus de chaque gémissement à chaque coup.
- Sale petit merdeux !
Et j’y étais. C’était là. C’est monté avec une vitesse hallucinante. C’est parti directe sur la moquette avec un bruit horrible, un truc inimitable. Ça a eu un goût dégueulasse aussi. Et j’y ai mis toute ma haine, j’en avais les yeux pleins de larmes. Et plus elle frappait, plus je gémissais, plus je crachais, plus je raclais, plus je criais, plus je hurlais.
Elle m’a poussé dedans. Elle s’est baissée, pliée sur ses jambonneaux. Elle m’a pris la tête par les cheveux, elle me l’a mise dedans. Elle a frotté la gerbe avec ma tête.
- Vas-y espèce de sale merdeux ! Bouffe là, ta gerbe ! Bouffe là !
Et puis elle a commencé à cogner ma tête contre le sol, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ma tête entre mes mains. J’avais l’odeur de la gerbe. Je voulais encore vomir, vomir et jouir à ne plus en finir.
Et puis elle m’a lâché. Elle s’est calmée sous mes hurlements. Elle s’est levée. Elle s’est levée poussant de ses gros bras aussi gros que mes pauvres jambes, poussant de ses grosses mains sur ses gros jambonneaux, hennissant comme un cheval.
Elle est retournée lentement vers la chaise.
Je me suis retourné lentement vers elle.
Elle a atteint la chaise.
J’ai vu la bouteille.
Elle s’est essuyé les mains sur sa sale blouse ridicule de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché.
J’ai pris la bouteille.
Elle a pris une cigarette.
Je me suis levé, poussant de mes petits bras.
Elle l’a allumée.
Je me suis approché d’elle.
Elle s’est lentement retournée.
J’ai pivoté sur moi, tendant le bras, la bouteille à la main.
Alors qu’elle allait s’asseoir, alors qu’elle allait poser ses grosses fesses de sale petite caissière de sale petit supermarché, j’ai vu le doute dans ses yeux, puis l’horreur.
J’ai abattu la bouteille sur le sommet de son crâne, sur sa tête, sur ses sales cheveux gras.
Ça a fait un joli bruit mat un peu creux, un truc inimitable.
Et puis il y a eu le bruit du verre brisé aussi, éparpillé dans les airs.
Et puis il y a eu son corps qui est tombé, mollement, qui s’est affalé sur le sol.
Et j’y suis allé gaiement de mes insultes et de mes coups de pieds.
- Grosse merde ! Grosse salope ! Tu vas payer.
Et j’ai frappé, j’ai frappé, j’ai frappé.
Et puis je me suis baissé, plié sur mes petites jambes.
J’ai pris sa tête par ses cheveux où poissait déjà le sang, je l’y ai mise dedans. J’ai frotté les bouts de verre éparpillés avec sa tête.
- Vas-y espèce de grosse vache ! Bouffe-les, les bouts de verre ! Bouffe-les !
Le verre en était rouge de sang !
Je la regardais, amorphe, la vue trouble, la tête ballante, la bouche mollement ouverte et pâteuse, affalé sur mon lit, dos au mur, une canette à la main au bout d’un bras pendant dans le vide. Je la contemplais, je l’admirais, je la vénérais comme une déesse.
Pour que je puisse y goûter, pour que je puisse me prosterner, fallait que je termine l’autre. C’était mon rituel, c’était mon culte : alterner. J’alternais, je ne faisais que passer le temps à permuter entre l’une et l’une des autres. J’alternais entre le verre translucide et les petites bouteilles vertes. Je permutais jusqu’à ne plus pouvoir continuer, jusqu’à m’écrouler.
Mais je préférais encore ne pas sombrer dans ce sommeil terrible où il n’y a plus que les cauchemars pour te ramener à la réalité. Ce que je préférais, c’était en venir là où j’allais devoir m’exprimer. Je le sentais venir ce moment, je le sentais monter en moi comme une plainte de mon corps, un rejet, un dernier sursaut de désespoir où il repousse l’ennemi, lui, mon corps, de toutes les forces qu’il lui reste, qu’il parvient à réunir. Ça s’annonçait quelque part au fond de ma sale gueule, là où s’articulent les mâchoires, à la base de la langue, sous la naissance des oreilles. Ça sécrétait, ça avait un goût amer. Ça venait à ce moment où tu peux plus fermer les yeux, où tu peux plus non plus les ouvrir, où tu peux pas fixer un point quelque part sans que cela soit pire encore. Alors tu les balades, tu les bouges tes yeux, tu te forces à ne pas les croiser, tu cherches des parallèles. Tu ouvres très fort tes paupières, tu les fermes très fort, tu te les frottes, mais plus rien n’y fait. Et puis ça sécrète encore plus, ça devient encore plus amer, et là faut que tu bouges.
Alors je bouge. Je bouge un bras, je le traîne. Je bouge une jambe, je la tire. Pour pas changer, je me ramasse sur le sol, la gueule par terre, l’esprit embrumé, étalé sur la moquette parmi les canettes sur lesquelles je roule. Je roule et je les repousse. Je les repousse au loin, d’un grand geste circulaire, au ras du sol. Y’a leurs cliquetis inénarrables quand elles s’entrechoquent, ce putain de bruit qui te vrille le crâne au moment où tu commences à baver, où tu retiens le volcan.
Et je me traîne. Je rampe. Y’a plus que mes bras qui soient encore capables de me tirer. Alors je me tire. Je me tire et je retiens. Et ça dure, sur des distances interminables, et c’est long.
Mais enfin j’y arrive, j’atteins l’endroit. Je m’y porte. Je m’y porte et c’est crâde. C’est crâde et ça monte pire encore. Y’a des restes de bouffe, des petits morceaux collés un peu partout, qui y ont séché. Et puis j’ai pas mal pissé à côté aussi ; la bière ça fait pisser. Et la pisse, ça colle aussi. Ça laisse des traces jaunâtres sur lesquelles vient se coller la poussière. Y’a le tartre, mais le tartre c’est rien. Et y’a le pire. Y’a ces traces de merde, de merde liquide qui a séché aussi. Ça sèche aussi. C’était liquide et puis ça a séché. C’était liquide parce que je bois beaucoup plus que je ne mange.
Et puis ça pue aussi. Ça pue parce que je fais exprès de pas toujours la tirer, la chasse.
Et puis c’est là. Ça s’accélère d’un seul coup. Alors je tire sur mes bras, je tire sur mon cou, je plonge la tête. Et c’est là.
Ça part avec un bruit horrible, un truc inimitable. Ça a un goût dégueulasse aussi, surtout sur la fin parce qu’à la rigueur c’est jouissif au début. Là, j’y mets toute ma haine, j’en ai les yeux pleins de larmes. Je gémis, je crache, je racle, je crie, je hurle.
Et ça se calme, par petits spasmes. Je sens qu’il y en a encore. Je me fous le doigt dans la gorge et je l’appelle, je l’attire, je l’extirpe, j’emmène des bouts de peau avec. Je vomis.
Et puis je m’affale, je m’écroule encore, une fois de plus.
* * *
Mais là, ce beau jour ensoleillé, je n’y étais pas encore. Pourtant, c’était proche. C’était très proche.
Alors je la fixais, elle, posée devant moi. Elle était là, sur la table, aux trois-quarts vide de son putain de liquide translucide dans lequel cognaient les rayons du soleil pénétrant par ma fenêtre pour s’y réfléchir et se pâmer sur le plafond blanc avec des semblants d’éternité.
J’ai balancé la canette terminée en travers de la pièce. J’avais encore cette force-là. J’avais encore cette force-là parce que ce n’était pas encore le bon moment, le moment d’aller vider ma haine... et le reste. Pourtant, ça tournait. Ça tournait, et ça y mettait de l’ardeur.
J’ai réussi à décoller et à l’atteindre, du bout de mon lit. Du bout de mon lit j’avais juste qu’à tendre le bras. Je me suis versé sa merde incolore, son poison obscur, et j’ai regagné le mur pour m’y adosser. Il était presque l’heure. Fallait encore résister. Ces putains de gorgées à m’imbiber ça allait m’aider. Il le fallait.
J’ai reconnu son pas. J’ai reconnu le bruit de ses pas dans le couloir, ce pas régulier, décidé. C’était sa signature.
Y’a eu le bruit de la clé dans la serrure, les deux tours, comme au ralenti, la poignée appuyée, la porte qui s’ouvre. Y’a eu les clés retirées puis posées sur le meuble à côté.
J’ai entendu le sac laissé tombé à terre puis le manteau accroché.
Et j’ai souri.
Y’a eu encore deux pas, puis elle.
Car elle était là, debout devant moi. Elle était là, en face, aux trois-quarts habillée de ses fringues ridicules sur lesquels allaient cogner les rayons du soleil pénétrant par ma fenêtre pour y être absorbés par sa graisse et lui donner des reflets de bibindom à se pâmer sur une piste de danse avec des allures de grandes dames qu’elle ne serait jamais.
Je la regardais, amorphe, la vue trouble, la tête ballante, la bouche mollement ouverte et pâteuse, affalé sur mon lit, dos au mur, les mains moites au bout des bras pendant dans le vide. Je la détestais, je la haïssais, je la maudissais comme l’enfer.
Elle m’a fixé.
Elle a posé sur moi son regard de dédain, son putain de regard de dédain.
Je savais, j’étais qu’une merde, qu’une putain de merde. Peu m’importait...
- T’as encore bu ? elle s’est confirmée toute seule.
La merde.
- T’es qu’une merde ! elle a ajouté tout bas.
Le dédain.
- Tu me dégouttes ! Tu me répugnes !
Et la haine.
Ils étaient loin les "Bonsoir mon bébé" !
Elle est repartie chercher son sac. Elle est revenue. Pendant qu’elle y furetait après ses cigarettes, elle a encore posé sur moi son putain de dédain, ses pauvres yeux verts maquillés de son ridicule bleu à deux francs, un vert bouteille et un bleu sac poubelle. Sa sale gueule... Ses sales lèvres... Son putain de parfum au patchouli qui me faisait encore plus tourner la tête que toute la merde que j’avais jamais ingurgité.
Son petit jeu allait commencer.
Elle s’est tiré une chaise et y a posé ses grosses fesses. Elle s’est allumée une cigarette qu’elle s’est mise à fumer tranquillement, à la manière des grandes dames qu’elle ne serait jamais, un coude posé dans une main, avec le bras en l’air, en suspend, toute à réfléchir, toute à se creuser le crâne à ne me trouver ce que de toute façon elle ne faisait que répéter jour après jour, immuablement, égale à elle même, fidèle à ses sales habitudes.
- Alors, bitte molle, t’as fait qu’ça toute la journée ? T’as pleuré ta maman en buvant un bon petit coup ? T’as encore tellement bu que tu pourras plus bander ?
J’exécrais sa voix, sa pauvre voix nasillarde de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché de pauvre petit quartier dans lequel elle m’avait ramassé.
- Il est malheureux le petit chéri ! Faut pas t’arrêter ! Faut pas te gêner parce que je suis revenue ! Allez ! elle s’est énervée en grinçant des dents.
Et puis elle m’a balancé la bouteille. Une fois je me la suis prise en pleine gueule. Ça l’a fait rire. Ça l’a fait rire de son putain de sale rire de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché qui rit quand son gros plat de lard de grosse vache de patron vient lui peloter ses grosses fesses quand elle fait exprès de bien se pencher en avant parce que Mademoiselle, Mademoiselle la pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché espère de l’avancement, une promotion, monter en grade.
"Tu peux toujours aller te faire baiser, grosse merde !" j’ai pensé en souriant en débouchant l’objet. Elle a cru que je souriais pour la remercier pour la bouteille. Elle était conne en plus !
J’ai bu, j’ai avalé une grande gorgée.
- Elle est contente ma petite bitte molle ? Elle a bu son petit coup ?
Et là, son regard qui se transforme, ses petits yeux méchants. Et puis elle a chopé une canette vide qui traînait sur la table. Et puis elle me l’a lancée en pleine face. Et puis la bouteille m’a cogné la tête en même temps que ma tête a cogné le mur derrière. Putain que ça faisait du bien ! Ça m’a arraché un gémissement à éjaculer tout de suite et lui en foutre plein sur sa sale gueule.
- Espèce de petit enculé ! elle a craché.
Et puis son visage s’est éclairé.
- Et peut-être même que c’est ça qui te plaît ! Peut-être que c’est ça que tu aimes : te faire enculer ! T’es peut-être qu’un sale petit pédé ? Hein ? T’es qu’un pédé, hein ? C’est ça, hein ? T’aime te faire enculer ?
Et puis elle a éclaté de rire comme une grosse vache. Ça faisait trembler toute sa graisse, ça la faisait vibrer comme son vibromasseur qu’elle s’enfonçait tous les soirs les jambes écartées en face de moi en gémissant, en bavant comme une grosse truie qu’on n’aurait jamais voulue bouffer tellement elle ressemblait plus à rien.
Et puis elle s’est levée. Elle s’est levée poussant de ses gros bras aussi gros que mes pauvres jambes. Elle s’est approchée de moi, les mains sur les hanches, la haine dans les yeux. J’ai senti son odeur, sa putain d’odeur âcre de sueur, sa putain d’odeur âcre de transpiration que son putain de patchouli venait sucrer à me faire vomir. Elle a approché son visage du mien.
- Tu me dégouttes ! Tu me répugnes !
J’ai eu un haut le coeur. Elle l’a remarqué. Ça l’a énervé. Je l’ai vu pivoter sur la droite, tendre son bras, prendre son élan et revenir très vite sur la gauche, ouvrir sa main, sa grosse main de sale petite caissière de sale petit supermarché qui s’est abattue sur moi, sur le côté de mon visage, m’envoyant voler au bord du lit, avec le vide en dessous et pas une seule prise dans l’air.
Je me suis étalé sur le sol, la tête en avant, les pieds encore sur le lit.
- Sale petit merdeux !
Elle a chopé mes jambes et les a envoyées rejoindre le reste.
- Sale petit pédé !
Et puis elle y est allée du pied, frappant de son escarpin de Cendrillon dans lequel elle débordait, où la chair semblait vouloir s’écouler sur les côtés comme si, moins conne qu’elle, elle voulait d’elle-même quitter ce corps de merde et essayer de former quelque chose de moins ridicule à côté.
Elle a frappé, elle a frappé encore, visant mon ventre. Elle y allait gaiement de ses coups de pieds et de ses insultes, frappant mes bras repliés pour un tant soit peu me protéger : pur réflexe !
Et j’ai eu des hauts le coeur encore, en plus de chaque gémissement à chaque coup.
- Sale petit merdeux !
Et j’y étais. C’était là. C’est monté avec une vitesse hallucinante. C’est parti directe sur la moquette avec un bruit horrible, un truc inimitable. Ça a eu un goût dégueulasse aussi. Et j’y ai mis toute ma haine, j’en avais les yeux pleins de larmes. Et plus elle frappait, plus je gémissais, plus je crachais, plus je raclais, plus je criais, plus je hurlais.
Elle m’a poussé dedans. Elle s’est baissée, pliée sur ses jambonneaux. Elle m’a pris la tête par les cheveux, elle me l’a mise dedans. Elle a frotté la gerbe avec ma tête.
- Vas-y espèce de sale merdeux ! Bouffe là, ta gerbe ! Bouffe là !
Et puis elle a commencé à cogner ma tête contre le sol, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ma tête entre mes mains. J’avais l’odeur de la gerbe. Je voulais encore vomir, vomir et jouir à ne plus en finir.
Et puis elle m’a lâché. Elle s’est calmée sous mes hurlements. Elle s’est levée. Elle s’est levée poussant de ses gros bras aussi gros que mes pauvres jambes, poussant de ses grosses mains sur ses gros jambonneaux, hennissant comme un cheval.
Elle est retournée lentement vers la chaise.
Je me suis retourné lentement vers elle.
Elle a atteint la chaise.
J’ai vu la bouteille.
Elle s’est essuyé les mains sur sa sale blouse ridicule de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché.
J’ai pris la bouteille.
Elle a pris une cigarette.
Je me suis levé, poussant de mes petits bras.
Elle l’a allumée.
Je me suis approché d’elle.
Elle s’est lentement retournée.
J’ai pivoté sur moi, tendant le bras, la bouteille à la main.
Alors qu’elle allait s’asseoir, alors qu’elle allait poser ses grosses fesses de sale petite caissière de sale petit supermarché, j’ai vu le doute dans ses yeux, puis l’horreur.
J’ai abattu la bouteille sur le sommet de son crâne, sur sa tête, sur ses sales cheveux gras.
Ça a fait un joli bruit mat un peu creux, un truc inimitable.
Et puis il y a eu le bruit du verre brisé aussi, éparpillé dans les airs.
Et puis il y a eu son corps qui est tombé, mollement, qui s’est affalé sur le sol.
Et j’y suis allé gaiement de mes insultes et de mes coups de pieds.
- Grosse merde ! Grosse salope ! Tu vas payer.
Et j’ai frappé, j’ai frappé, j’ai frappé.
Et puis je me suis baissé, plié sur mes petites jambes.
J’ai pris sa tête par ses cheveux où poissait déjà le sang, je l’y ai mise dedans. J’ai frotté les bouts de verre éparpillés avec sa tête.
- Vas-y espèce de grosse vache ! Bouffe-les, les bouts de verre ! Bouffe-les !
Le verre en était rouge de sang !
Mar 16 Fév 2016, 18:43 par
B-Lolo sur L'amour en vrac
Aventure de vacances...
_____________________________
Bonjour
Chaque samedi, je viendrais relater les anecdotes de mes dernières vacances en Ecosse avec mon mari écossais.
Les superbes vacances avec mon mari, en cet été 2015.
Chaque texte sera posté à la suite du précédent.
Ainsi il sera très simple au lecteur d’avoir le repaire facilitant sa recherche.
Ce premier récit est donc le début d’une série qui, je l’espère, saura vous séduire et vous entraîner dans mes troublants excès.
Bonne découverte et bonne lecture.
Juillet à St Andrew
Cette soirée de juillet, après la visite des ruines magnifiques de la cathédrale de Saint-Andrew, nous sommes allés dans un petit restaurant.
Assis à la terrasse arrière d’un établissement plein de ce charme désuet et intemporel, la vue sur le château était de toute beauté.
Mon compagnon et moi profitions de ce climat extraordinaire et de cette lumière diaphane particulière à l’ Ecosse.
Il était vingt et une heure. Parmi les clients, il y avait trois couples, deux jeunes femmes et un monsieur seul.
Tout en mangeant, mon mari et moi bavardions. Nous avions réussi à ne pas passer la soirée dans sa famille qui le sollicite beaucoup.
Lors de nos échanges, machinalement, je regardais dans la direction du mangeur solitaire. Il portait la belle chevelure grise du quadragénaire,
Nos regards se croisèrent à quelques reprises. J’en fis pars à mon compagnon qui me fit remarquer qu’il y avait peut-être là une opportunité.
Regardant autour de moi, certaine de n’être vue que par l’inconnu, sous la table, j’écartais doucement les cuisses. Mon cœur battait fort.
J’aime être vêtue d’une jupe. Surtout en été. Je peux ainsi me sentir libre de toutes entraves vestimentaires. Ce soir-là, c’était le cas.
Une jupe courte et plissée. Sous mon T-shirt, mes tous petits seins évoluent dans une totale liberté, n’ayant pas besoin d’être soutenus.
Chaussée de baskets, je propose la silhouette de la dilettante en vacances. Mes cheveux noués en une longue natte participent encore de tout cela.
Le monsieur, lors d’un de ces mouvements de tête, se rendit rapidement compte du spectacle qui lui était offert. Cessant sa lecture.
Je croisais et décroisais mes jambes avec une exagération qui attira son attention. A présent, il louchait sous ma table tout en mangeant.
Je faisais évidemment comme si je ne me rendais compte de rien. Au bout d’une dizaine de minutes, je me levais pour aller aux toilettes.
Je voulais retirer ma culotte afin de pouvoir apprécier la satisfaction de cette situation. Opportunité qui m’excitait de plus en plus.
J’en profitais pour faire mon pissou. Quelle ne fut pas ma surprise, en sortant de la cabine, de voir l’inconnu debout devant un des deux lavabos.
En lavant mes mains, je découvris que le monsieur avait son sexe posé sur la faïence du lavabo. Avec un air des plus naturels. J’étais amusée.
Il prononça quelques mots dans un mauvais Anglais. Je fis semblant de ne rien comprendre en haussant les épaules. Sans répondre.
Je me dépêchais de me laver les mains avant de sortir des toilettes. Je revins m’asseoir pour raconter mon aventure à mon mari.
J’avais ma petite culotte coincée dans la ceinture de ma jupe, je la rangeais dans notre petit sac à dos. L’inconnu revint s’asseoir.
Les cuisses bien écartées, le monsieur pouvait admirer ma toison pubienne de brune, épaisse et fournie. Un autre couple était arrivé.
Il me fallait ruser pour n’être vue que du monsieur. Ce dernier, faisant semblant d’être absorbé dans la lecture d’un magazine, observait avec attention.
Discrètement, je passe une main sous la table. Je commence à me toucher. L’inconnu, dont le trouble devient apparent, regarde mon manège.
Du doigt, il me montre la porte des toilettes. Je comprends l’invitation. J’en fais part à mon mari qui m’encourage à créer une nouvelle situation.
Je vous propose donc de découvrir la suite de cette étonnante aventure, dans mon récit du week-end prochain, pour ma nouvelle visite sur le forum.
A bientôt et bonne semaine.
Bises.
Isa
_____________________
Tous droits réservés - © - 2015 -
Bonjour
Chaque samedi, je viendrais relater les anecdotes de mes dernières vacances en Ecosse avec mon mari écossais.
Les superbes vacances avec mon mari, en cet été 2015.
Chaque texte sera posté à la suite du précédent.
Ainsi il sera très simple au lecteur d’avoir le repaire facilitant sa recherche.
Ce premier récit est donc le début d’une série qui, je l’espère, saura vous séduire et vous entraîner dans mes troublants excès.
Bonne découverte et bonne lecture.
Juillet à St Andrew
Cette soirée de juillet, après la visite des ruines magnifiques de la cathédrale de Saint-Andrew, nous sommes allés dans un petit restaurant.
Assis à la terrasse arrière d’un établissement plein de ce charme désuet et intemporel, la vue sur le château était de toute beauté.
Mon compagnon et moi profitions de ce climat extraordinaire et de cette lumière diaphane particulière à l’ Ecosse.
Il était vingt et une heure. Parmi les clients, il y avait trois couples, deux jeunes femmes et un monsieur seul.
Tout en mangeant, mon mari et moi bavardions. Nous avions réussi à ne pas passer la soirée dans sa famille qui le sollicite beaucoup.
Lors de nos échanges, machinalement, je regardais dans la direction du mangeur solitaire. Il portait la belle chevelure grise du quadragénaire,
Nos regards se croisèrent à quelques reprises. J’en fis pars à mon compagnon qui me fit remarquer qu’il y avait peut-être là une opportunité.
Regardant autour de moi, certaine de n’être vue que par l’inconnu, sous la table, j’écartais doucement les cuisses. Mon cœur battait fort.
J’aime être vêtue d’une jupe. Surtout en été. Je peux ainsi me sentir libre de toutes entraves vestimentaires. Ce soir-là, c’était le cas.
Une jupe courte et plissée. Sous mon T-shirt, mes tous petits seins évoluent dans une totale liberté, n’ayant pas besoin d’être soutenus.
Chaussée de baskets, je propose la silhouette de la dilettante en vacances. Mes cheveux noués en une longue natte participent encore de tout cela.
Le monsieur, lors d’un de ces mouvements de tête, se rendit rapidement compte du spectacle qui lui était offert. Cessant sa lecture.
Je croisais et décroisais mes jambes avec une exagération qui attira son attention. A présent, il louchait sous ma table tout en mangeant.
Je faisais évidemment comme si je ne me rendais compte de rien. Au bout d’une dizaine de minutes, je me levais pour aller aux toilettes.
Je voulais retirer ma culotte afin de pouvoir apprécier la satisfaction de cette situation. Opportunité qui m’excitait de plus en plus.
J’en profitais pour faire mon pissou. Quelle ne fut pas ma surprise, en sortant de la cabine, de voir l’inconnu debout devant un des deux lavabos.
En lavant mes mains, je découvris que le monsieur avait son sexe posé sur la faïence du lavabo. Avec un air des plus naturels. J’étais amusée.
Il prononça quelques mots dans un mauvais Anglais. Je fis semblant de ne rien comprendre en haussant les épaules. Sans répondre.
Je me dépêchais de me laver les mains avant de sortir des toilettes. Je revins m’asseoir pour raconter mon aventure à mon mari.
J’avais ma petite culotte coincée dans la ceinture de ma jupe, je la rangeais dans notre petit sac à dos. L’inconnu revint s’asseoir.
Les cuisses bien écartées, le monsieur pouvait admirer ma toison pubienne de brune, épaisse et fournie. Un autre couple était arrivé.
Il me fallait ruser pour n’être vue que du monsieur. Ce dernier, faisant semblant d’être absorbé dans la lecture d’un magazine, observait avec attention.
Discrètement, je passe une main sous la table. Je commence à me toucher. L’inconnu, dont le trouble devient apparent, regarde mon manège.
Du doigt, il me montre la porte des toilettes. Je comprends l’invitation. J’en fais part à mon mari qui m’encourage à créer une nouvelle situation.
Je vous propose donc de découvrir la suite de cette étonnante aventure, dans mon récit du week-end prochain, pour ma nouvelle visite sur le forum.
A bientôt et bonne semaine.
Bises.
Isa
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Tous droits réservés - © - 2015 -
Dim 07 Fév 2016, 13:18 par
Isa-Belle sur Les liaisons sulfureuses
ToRename
Bonjour à toutes, bonjour à tous,
Auteur, j’écris des histoires teintées de sensualité, de découvertes, de poésie et d’érotisme.
Mais aussi et surtout, j’explore des sujets tabous, des thèmes réputés troublants, voire dérangeants.
Je vous propose la lecture de « En attendant d’être grande », saga littéraire en cinq parties. Je vous propose la diffusion de la première partie sur ce post, bout par bout, jour après jour. (Je verrais bien sûr en fonction des réactions… J’ignore si ce texte vous plaira ou non, si jamais il ne prend pas ce n’est pas grave, j’en cesserais la diffusion sans me vexer). J’espère que ma démarche n’est pas en contradiction avec ce forum ! Pour moi cela correspond à un forum d’écriture, ceci dit je vois davantage de poésie, pensées et histoires vraies que de récits fictifs, qui plus est à rallonge. Merci de m’avertir si jamais je suis trop "hors sujet".
« En attendant d’être grande » conte l’histoire de Chloé, son éveil, ses questionnements, ses expériences, de sa naissance jusqu’à son âge adulte. Le récit se poursuit sur deux temporalités : des souvenirs d’enfance agrémentés de souvenirs de vie d’adulte.
(Nota Bene : je rassure les lecteurs qui auraient un doute : cette saga ne comporte pas de rapports enfant-adulte. Non pas que ce thème soit à mon sens interdit, car bien des œuvres ont exploré ce thème en littérature, le plus célèbre étant le Lolita de Nabokov. Simplement ce n’est pas un thème qui me parle).
Prêts à partir à l’aventure à mes côtés ? Eh bien, commençons.
«
Avertissement
Ceci est le récit de mon enfance.
Attention lecteur. Prends garde, lectrice !
Tu t’apprêtes à faire ton entrée dans un univers troublant. Ton esprit, tes émotions, tes sentiments… tout cela va être titillé, chatouillé, dérangé.
Au cours de ces lignes, je ne me suis jamais censurée. Pas même une seule fois. Tu pourrais m’en vouloir, ou au contraire m’en être reconnaissant(e).
Il t’est conseillé de lire cette histoire par petits bouts, à tête reposée. Une lecture trop intensive risquerait de te faire perdre certaines notions, de t’échauffer, de te mettre en surdose. Naturellement, je te laisse gérer… Sache juste que ce qui suit n’a pas été conçu pour être dévoré d’un trait.
Prends quelques grandes inspirations, cramponne-toi et embarque avec moi dans cette aventure pour un saut sans filet…
Préambule – Le jour où j’ai pris ma décision
Un « S », un « A », un « L »... Ce mot, je l’avais souvent entendu. C’est la première fois que je le voyais écrit. Mais que pouvait-il bien vouloir dire ? Les grands l’employaient entre eux, les grandes ça arrivait aussi, quoique plus rarement. J’ai toujours eu l’oreille fine... Jamais ce terme ne m’avait été adressé. Tant mieux, tant pis, je l’ignorais. Difficile de savoir à l’époque où on commence tout juste à savoir lire. Il avait fallu décortiquer chaque lettre et prononcer à haute voix pour être bien certaine d’être dans le vrai. Plus de doute, c’était bien ce mot-là que j’avais entendu. Un mot curieux. Ambigu. Sale, peut-être ? Je le pressentais, à voir la mine grivoise et grimaçante de chaque homme le prononçant. Il en est ainsi des mots interdits, on ne les dit jamais normalement. La dernière fois qu’il était parvenu à mes oreilles c’était dans la rue, lorsque cette jeune fille si jolie avec sa jupe écossaise courte était passée devant un homme, très vieux, pas loin de la quarantaine dirais-je. En la fixant, celui-ci murmura entre ses dents grises le fameux mot en « S ». Le terme était cassant, bien que lancé à voix basse il m’avait comme abîmé les tympans.
Lorsque le mot est revenu, c’était couché sur du papier dans un magazine People à propos de ce qu’aurait balancé Willy J. Adams sur son ex, Jennyfer, pourtant mère de ses enfants. Bien que Jennyfer soit une charmante chanteuse et la fille à la jupe une charmante jeune fille, le terme ne résonnait décidément pas comme un compliment.
Des mots dont j’ignorais le sens, en ce temps-là j’en entendais matin, midi et soir. Trop souvent, il fallait deviner. Celui-là me rendait particulièrement curieuse. J’y supposais un sous-entendu plus ou moins sexuel, ce qui le rendait d’autant plus attractif.
Plus tard, bien plus tard, j’appris à l’entendre tantôt comme la pire des insultes, tantôt comme le plus beau des compliments. Mais ceci est une autre histoire car c’est uniquement mon enfance que je suis venue te conter aujourd’hui.
À la maison on avait qu’un seul dictionnaire. Un tout esquinté, édition de mille neuf cent dix que grand-père nous avait légué et qui restait dans la poussière, tout en haut de l’armoire. Non, on ne connaissait pas tous les mots du dico à la maison. Simplement quand les parents ne savaient pas, ils faisaient comme moi : ils devinaient. Ce qui était pardonnable à mon âge l’était moins au leur. Quant au gros livre, non seulement la poussière m’a toujours donné des crises d’éternuements, mais me hisser en haut de l’armoire était expédition périlleuse. Autant par le risque de chuter que par la rouste qui m’attendait si je me faisais prendre.
Dans ces cas-là, le dernier recours est de demander à papa. Comme dictionnaire sur pattes, on a vu mieux... On fait avec ce qu’on a. Quand il lisait les actualités papa n’aimait pas des masses que l’on vienne l’embêter. Hormis les rares fois où maman l’invitait dans la chambre pour « classer le courrier ». Là, il délaissait sa feuille de chou même si la Une titrait sur le foot et trottinait derrière maman comme un gamin, en se dandinant d’un pied sur l’autre, tout guilleret. Je n’ai jamais saisis comment on pouvait avoir si hâte d’exécuter une tâche aussi barbante, ni pourquoi il fallait fermer la porte à clé pour ça. Et surtout, pourquoi je n’avais pas le droit de classer le courrier avec eux ni de venir frapper à la porte. J’étais même chargée de répondre au téléphone. Au moins leur courrier ne prenait jamais longtemps à être classé, en cinq minutes c’était réglé, dix à tout casser.
Aujourd’hui, pas de maman pour lui proposer quoi que ce soit mais un journal qui titrait sur le résultat de la coupe du monde : je le dérangeais. Tant pis, j’étais trop impatiente de savoir.
— Dis papa, c’est quoi une salope ?
— Une salope ? Mmmm... Comment te dire… ben une salope par exemple, c’est ta cousine Estelle, marmonna-t-il sans se détacher de son canard. Et une belle salope qui plus est !
Ce fut sa seule réponse. Son air me fit comprendre qu’il faudrait m’en contenter. Estelle ! Estelle mon modèle, Estelle ma grande cousine, aînée et aimée. Dès lors, le terme résonnera en moi tel une qualité. Durant une bonne partie de mon enfance, « Salope » est et restera à mon cœur synonyme de « princesse ». Plus tard, l’amant me faisant l’amour en me traitant de « salope » aura toujours mon estime. Les autres noms d’oiseau auront un jugement différent... qui pourra être positif ou non, selon les cas. M’y complaire et lui en redemander, ou bien lui fermer son clapet voire le laisser en plan. Enfin, tout a donc commencé en ce jour, lorsque j’ai demandé la signification du mot défendu. Si papa avait répondu autrement mon destin aurait été tout autre, qui sait. Car tout de même, Estelle... Estelle que j’admirais tant, la fille à laquelle j’essayais toujours de ressembler. Estelle ma presque grande sœur, pleine de vie, d’amour et d’humour, que j’étouffais de câlins et de baisers dès que nous avions l’occasion de nous voir. Une fille qui avait tout. Le look, la beauté, l’intelligence et les formes. J’en déduisis que les salopes étaient des jeunes filles classes, élégantes, jolies, gentilles comme tout, pleines de grâce, et pris dès ce jour la résolution de tout faire pour en devenir une moi aussi. »[/u]
Auteur, j’écris des histoires teintées de sensualité, de découvertes, de poésie et d’érotisme.
Mais aussi et surtout, j’explore des sujets tabous, des thèmes réputés troublants, voire dérangeants.
Je vous propose la lecture de « En attendant d’être grande », saga littéraire en cinq parties. Je vous propose la diffusion de la première partie sur ce post, bout par bout, jour après jour. (Je verrais bien sûr en fonction des réactions… J’ignore si ce texte vous plaira ou non, si jamais il ne prend pas ce n’est pas grave, j’en cesserais la diffusion sans me vexer). J’espère que ma démarche n’est pas en contradiction avec ce forum ! Pour moi cela correspond à un forum d’écriture, ceci dit je vois davantage de poésie, pensées et histoires vraies que de récits fictifs, qui plus est à rallonge. Merci de m’avertir si jamais je suis trop "hors sujet".
« En attendant d’être grande » conte l’histoire de Chloé, son éveil, ses questionnements, ses expériences, de sa naissance jusqu’à son âge adulte. Le récit se poursuit sur deux temporalités : des souvenirs d’enfance agrémentés de souvenirs de vie d’adulte.
(Nota Bene : je rassure les lecteurs qui auraient un doute : cette saga ne comporte pas de rapports enfant-adulte. Non pas que ce thème soit à mon sens interdit, car bien des œuvres ont exploré ce thème en littérature, le plus célèbre étant le Lolita de Nabokov. Simplement ce n’est pas un thème qui me parle).
Prêts à partir à l’aventure à mes côtés ? Eh bien, commençons.
«
Avertissement
Ceci est le récit de mon enfance.
Attention lecteur. Prends garde, lectrice !
Tu t’apprêtes à faire ton entrée dans un univers troublant. Ton esprit, tes émotions, tes sentiments… tout cela va être titillé, chatouillé, dérangé.
Au cours de ces lignes, je ne me suis jamais censurée. Pas même une seule fois. Tu pourrais m’en vouloir, ou au contraire m’en être reconnaissant(e).
Il t’est conseillé de lire cette histoire par petits bouts, à tête reposée. Une lecture trop intensive risquerait de te faire perdre certaines notions, de t’échauffer, de te mettre en surdose. Naturellement, je te laisse gérer… Sache juste que ce qui suit n’a pas été conçu pour être dévoré d’un trait.
Prends quelques grandes inspirations, cramponne-toi et embarque avec moi dans cette aventure pour un saut sans filet…
Préambule – Le jour où j’ai pris ma décision
Un « S », un « A », un « L »... Ce mot, je l’avais souvent entendu. C’est la première fois que je le voyais écrit. Mais que pouvait-il bien vouloir dire ? Les grands l’employaient entre eux, les grandes ça arrivait aussi, quoique plus rarement. J’ai toujours eu l’oreille fine... Jamais ce terme ne m’avait été adressé. Tant mieux, tant pis, je l’ignorais. Difficile de savoir à l’époque où on commence tout juste à savoir lire. Il avait fallu décortiquer chaque lettre et prononcer à haute voix pour être bien certaine d’être dans le vrai. Plus de doute, c’était bien ce mot-là que j’avais entendu. Un mot curieux. Ambigu. Sale, peut-être ? Je le pressentais, à voir la mine grivoise et grimaçante de chaque homme le prononçant. Il en est ainsi des mots interdits, on ne les dit jamais normalement. La dernière fois qu’il était parvenu à mes oreilles c’était dans la rue, lorsque cette jeune fille si jolie avec sa jupe écossaise courte était passée devant un homme, très vieux, pas loin de la quarantaine dirais-je. En la fixant, celui-ci murmura entre ses dents grises le fameux mot en « S ». Le terme était cassant, bien que lancé à voix basse il m’avait comme abîmé les tympans.
Lorsque le mot est revenu, c’était couché sur du papier dans un magazine People à propos de ce qu’aurait balancé Willy J. Adams sur son ex, Jennyfer, pourtant mère de ses enfants. Bien que Jennyfer soit une charmante chanteuse et la fille à la jupe une charmante jeune fille, le terme ne résonnait décidément pas comme un compliment.
Des mots dont j’ignorais le sens, en ce temps-là j’en entendais matin, midi et soir. Trop souvent, il fallait deviner. Celui-là me rendait particulièrement curieuse. J’y supposais un sous-entendu plus ou moins sexuel, ce qui le rendait d’autant plus attractif.
Plus tard, bien plus tard, j’appris à l’entendre tantôt comme la pire des insultes, tantôt comme le plus beau des compliments. Mais ceci est une autre histoire car c’est uniquement mon enfance que je suis venue te conter aujourd’hui.
À la maison on avait qu’un seul dictionnaire. Un tout esquinté, édition de mille neuf cent dix que grand-père nous avait légué et qui restait dans la poussière, tout en haut de l’armoire. Non, on ne connaissait pas tous les mots du dico à la maison. Simplement quand les parents ne savaient pas, ils faisaient comme moi : ils devinaient. Ce qui était pardonnable à mon âge l’était moins au leur. Quant au gros livre, non seulement la poussière m’a toujours donné des crises d’éternuements, mais me hisser en haut de l’armoire était expédition périlleuse. Autant par le risque de chuter que par la rouste qui m’attendait si je me faisais prendre.
Dans ces cas-là, le dernier recours est de demander à papa. Comme dictionnaire sur pattes, on a vu mieux... On fait avec ce qu’on a. Quand il lisait les actualités papa n’aimait pas des masses que l’on vienne l’embêter. Hormis les rares fois où maman l’invitait dans la chambre pour « classer le courrier ». Là, il délaissait sa feuille de chou même si la Une titrait sur le foot et trottinait derrière maman comme un gamin, en se dandinant d’un pied sur l’autre, tout guilleret. Je n’ai jamais saisis comment on pouvait avoir si hâte d’exécuter une tâche aussi barbante, ni pourquoi il fallait fermer la porte à clé pour ça. Et surtout, pourquoi je n’avais pas le droit de classer le courrier avec eux ni de venir frapper à la porte. J’étais même chargée de répondre au téléphone. Au moins leur courrier ne prenait jamais longtemps à être classé, en cinq minutes c’était réglé, dix à tout casser.
Aujourd’hui, pas de maman pour lui proposer quoi que ce soit mais un journal qui titrait sur le résultat de la coupe du monde : je le dérangeais. Tant pis, j’étais trop impatiente de savoir.
— Dis papa, c’est quoi une salope ?
— Une salope ? Mmmm... Comment te dire… ben une salope par exemple, c’est ta cousine Estelle, marmonna-t-il sans se détacher de son canard. Et une belle salope qui plus est !
Ce fut sa seule réponse. Son air me fit comprendre qu’il faudrait m’en contenter. Estelle ! Estelle mon modèle, Estelle ma grande cousine, aînée et aimée. Dès lors, le terme résonnera en moi tel une qualité. Durant une bonne partie de mon enfance, « Salope » est et restera à mon cœur synonyme de « princesse ». Plus tard, l’amant me faisant l’amour en me traitant de « salope » aura toujours mon estime. Les autres noms d’oiseau auront un jugement différent... qui pourra être positif ou non, selon les cas. M’y complaire et lui en redemander, ou bien lui fermer son clapet voire le laisser en plan. Enfin, tout a donc commencé en ce jour, lorsque j’ai demandé la signification du mot défendu. Si papa avait répondu autrement mon destin aurait été tout autre, qui sait. Car tout de même, Estelle... Estelle que j’admirais tant, la fille à laquelle j’essayais toujours de ressembler. Estelle ma presque grande sœur, pleine de vie, d’amour et d’humour, que j’étouffais de câlins et de baisers dès que nous avions l’occasion de nous voir. Une fille qui avait tout. Le look, la beauté, l’intelligence et les formes. J’en déduisis que les salopes étaient des jeunes filles classes, élégantes, jolies, gentilles comme tout, pleines de grâce, et pris dès ce jour la résolution de tout faire pour en devenir une moi aussi. »[/u]
Ven 25 Déc 2015, 12:05 par
theokosma sur Mille choses
L'amour est-il un crime ? chapitre 8
coucou, voici pour vous le chapitre 8, en espérant de ne pas avoir fait de fautes ^^ bonne lecture :
Chapitre 8 : Révélation et rencontre
Point de vue Narrateur.
Au cour de l’après midi nous retrouvons notre petit couple au centre commercial faisant leur courses et cadeaux pour noël. Haruka fidèle à elle même avait opter pour un pantalon noir, un chemisier blanc qui pour une fois n’était pas rentré dans son bas. Une veste noir surmonter sa chemise. Elle attiré beaucoup de regard sur elles que se soit femme ou homme. Michiru bien que le froid était présent c’était habillé d’une robe bleu à manche longue. Ses cheveux tiré vers la gauche, elle portée des petite chaussure noir à fin talon, et un petit cache cœur bleu écume reposé sur ses épaules.
Toutes deux discuté de chose et d’autre et se lancé des petits sourires amoureux de tant à autre. Au bout de quelques minutes Haruka emmène sa douce à l’intérieur d’une bijouterie, mettant son cadi sur le côté, un homme se dirige vers les deux jeune femmes.
Bijoutier – bonjour monsieur, mademoiselle, que puis-je pour vous ?
La jeune blonde se met à sourire apparemment son charme masculin refesait surface.
Haruka – bonjour monsieur, nous sommes à la recherche d’une bague de fiancaille.
L’homme ce met à sourire, il regarde le couple qu’il trouvait bien assortie et mignon. Il se dirige vers une vitrine et à l’aide d’une petite clés ouvre l’une d’elle sortant une petite plate forme ou disposé plusieurs bagues en argent dédié à cet effet. Il se dirige de nouveau vers les deux jeunes femmes et dis :
Bijoutier – voici un assortiment de bague prévue pour ce genre d’évènement, puis-je vous demader pour qui c’est ?
Haruka – c’est pour cette petite demoiselle.
La jeune blonde met ses mains sur les épaule de Michiru et dit en s’approchant de son oreille.
Haruka – alors … Laquel te plairait.
Michiru sentait son cœur battre à tout rompre, devenant soudainement timide, elle s’exclame d’une voix douce :
Michiru – celle là, elle est vraiment très jolie.
Dit elle en montrant une bague argenter surmonté d’un petit diamant argenter aussi. Haruka se met à sourire et demande à l’homme si il est possible de l’essayer, ce que ce dernier accepta de bon cœur. Haruka prend la petite bague, saisit tendrement la main de sa cher et tendre, et vint lui glisser l’anneau à son annulaire gauche. Les deux jeunes femmes se sourirent amoureusement, Haruka lui caresse la main et demande :
Haruka – elle te plais ?
Michiru – oui … Elle est vraiment magnifique.
Dis la jeune fille en admirant le bijou à son doigt.
Haruka – dans ce cas … Nous allons prendre celle-ci.
Bijoutier – c’est un très bon choix.
Michiru, retire la bague et la passe au bijoutier qui parti remettre la plate forme dans la vitrine. Il ferme cette dernière, et se dirige vers la caisse. Haruka et Michiru se prirent la main, et se dirigent à leur tour vers l’homme qui rangé soigneusement le bijou dans un écrin bleu nuit. Il vint tendre cette dernière à Haruka qui la rangea soigneusement dans son sac et sortie par la suite son porte feuille.
Bijoutier – voilà sera vous fera un totale de 189 € monsieur.
Michiru avait envie de rire, le bijoutier prenait réellement sa femme pour un homme. La jeune blonde souriait elle aussi, et elle vint payer se qu’il fallait.
Bijoutier – je vous remercie, et tout mes vœux de bonheur !
Haruka – merci !
Puis les deux jeunes femmes sortirent et devant les yeux tendre de l’homme Michiru vint étreindre sa bien aimée.
Michiru – merci ma chérie.
Haruka – tout le plaisir était pour moi trésor.
Elles se sourirent et se posent un délicat baiser avant de continuer leurs petites affaires. L’homme ayant suivit la conversation fut surpris de constater que c’était en fin de compte deux femmes, et se senti honteux en pensant qu’il avait confondue la jeune femme blonde pour un homme.
Point de vue Michiru.
Mon cœur bat tellement vite, et dire que j’ai essayer ma bague pour notre future union, j’étais vraiment très hereuse, j’étais accroché à son bras, lorsque je vis le directeur devant une boutique de fleurs. Haru aussi l’avait remarqué. On se sourit, et voulant surmonter notre peur on s’approche de l’homme.
Moi – bonjour monsieur !
Directeur – tiens Michiru, Haruka, quel bonne surprise, comment allez vous ?
Haruka – bien ety vous ?
Directeur – tout vas bien oui !
Ils nous serre la main, et me demande :
Directeur - alors Michiru comment c’est passé ton stage ?
Moi – eh bien il c’est très bien passé, c’était une expérience très enrichissante.
Directeur – dans ce cas, c’est parfait … Mais dites moi Haruka, vous … Vous êtes fiancée ?
Demande t-il en voyant la bague à son doigt. Haru se met à sourire, elle me regarde tendrement avec un petit sourire. Je lui rendit avec douceur, et d’un simple regard on se mit d’accord pour enfin révéler la vérité au directeur.
Haruka – oui, effectivement je suis fiancée.
Directeur – mais enfin c’est une très bonne nouvelle sa … Et qui es ?
Allé Michi assume et prend ton courage à deux mains. Je me serre contre elle et m’exclame le cœur prêt à bondir :
Moi – c’est moi monsieur !
Ce dernier fut surpris de mes parole, il affichait une mine décomposé, qu’allai t-il nous dire ?
Directeur – je vous demande pardon ?
Haruka – oui effectivement je suis fiancée avec Michiru !
Directeur – mais enfin, vous êtes son professeur ?
Haruka – certes, mais …
Moi – en dehors de l’enseignement nous sommes deux citoyennes tout se qu’il y a de plus normal.
Directeur – je suis tout à fait d’accord avec sa, mais depuis quand ?
Haruka – cela va faire un peut plus de 4 mois que nous sommes ensemble !
Moi – bien entendu, nous avons sue nous montrer discrète quand nous étions au lycée !
Directeur – eh bien je … Je ne sais pas quoi dire, mais pourrais t-on aller en parler dans un endroit plus calme ?
Haruka – bien entendu monsieur.
Et ainsi nous suivons le directeur qui se diriger vers un restaurant.
Moi – dis ma chérie, et si on allait d’abord ranger nos courses dans la voiture ?
Haruka – ok !
Elle me tapote le nez, préviens le directeur, et nous nous dirigeâmes vers le parking.
Haruka – je pense qu’au bout d’un moment il devait le savoir !
Moi – oui, et malgré se qui va se suivre, je ne compte pas démordre, et assumerais.
Haruka – dans ce cas … Nous sommes deux.
Je t’aime … Si tu savais comme je t’aime, je continue de la suivre jusqu’à la voiture, et une fois prêt de cette dernière, Haru déverrouille l’alarme, et j’ouvre le coffre.
Je prend des sac vide, les ouvrent, et commence à ranger se que nous avions acheter. Mettant en premier le sapin au font de la malle. C’est quand je me voie faire des chose comme sa avec elle, que je me voie réellement être une vrai famille, un vrai couple et sa me rendait si heureuse.
Quand ont eu terminé, Haru alla remettre le cadi, j’enclenche l’alarme, et une fois qu’elle fut prêt de moi, on se posent un petit baiser, elle me fit un clin d’oeil, et main dans la main on se dirige vers le restaurant ou se trouvais le directeur.
On entre à l’intérieur de ce dernier, et une fois avoir trouvé le petit homme, on allai s’asseoir. Je prend place à la droite de ma petite femme, et un serveur se dirige vers nous.
Serveur – mesdames monsieur, que puis-je pour vous ?
Ah … Enfin un sur cette terre qui remarque que Haru est une femme pas trop tôt.
Directeur – je prendrais un thé glacé.
Haruka – pour moi se sera un café s’il vous plais !
Moi – et moi j’aimerais un chocolat chaud s’il vous plais.
Serveur – très bien, je vous apporte sa dans quelques minutes.
Et le serveur parti. Le directeur nous regarde toutes les deux comme si il était choqué de la nouvelle. Es parce ce que nous sommes élève/professeur ou bien deux femmes ?
Directeur – bon, alors si j’ai bien suivit, vous êtes ensemble, qui plus est fiancées depuis 4 mois !
Moi – nous sommes ensemble depuis 4 mois oui, mais cela ne fait que quelques semaines que nous sommes fiancée.
Directeur – et … Qui a fait la demande ?
Moi – c’est moi monsieur.
Haruka – vous savez, je ne vais pas vous mentir, mais sa a commencé depuis son accident, lorsque vous m’aviez demander d’aller la voire. Par la suite, lorsque Michiru est venue s’installer chez moi, j’ai trouvais la vie beaucoup plus sereine et agréable, durant ses 4 mois j’ai appris à la connaître et à l’aimer, nous nous sommes aidée à plusieurs reprise, moi pour se qui est de son passé et elle à me faire oublier que la vie elle même est dur et cruelle. Mais monsieur le directeur bien que vous soyez mon supérieur, et que je soit son professeur j’éprouve de très fort sentiments à son égard, et ferait tout mon possible pour pouvoir la rendre heureuse.
Haruka … Si … Si tu savais comme tes mots son doux à mes oreilles, moi aussi je t’aime, et suis éperdument amoureuse de toi.
Moi – monsieur le directeur, rappelez vous se que vous m’aviez demander lorsque vous m’aviez convoquer ?
Directeur – euh … Je … Oui, oui je m’en rappelle, je t’aie demander se que tu souhaite pour te voir heureuse.
Moi – maintenant je peut vous répondre …
Je prend les mains de l’homme et dis en le regardant :
Moi – monsieur, sachez que je suis profondément épris pour Haruka, je l’aime vraiment plus que tout, plus que quiconque sur cette terre. A plusieurs reprise, elle ma aidée à me sentir mieux, elle ma permis de savoir la vérité sur mon passé, et même si je suis encore perdu, je l’aime et ne souhaite que la voir heureuse, la voir sourire et mon seul bonheur. Alors s’il vous plais laissez moi être avec elle, même si notre statue nous éloignent, nous somme avant tout deux femmes tout se qu’il y a de plus normal, alors laissez moi être avec elle, je vous en conjure, je ne veux pas être séparer d’elle parce ce que …
Je me tourne vers ma jolie blonde, qui me sourit tendrement, je lui prit ses mains et dis sincèrement :
Moi – parce ce que malgré mon jeune âge, je souhaite plus que tout bâtir un futur dans ses bras, elle est … La femme de ma vie, elle est … Ma plus belle histoire d’amour.
Haruka – et de tout mon cœur je ne souhaite que la rendre heureuse, car pour moi … Elle est tout, elle est, la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle est … Mon rayon de soleil.
Je lui sourit, prend doucement ses joues et lui déposa un tendre et long baiser. Avec bonheur elle y répondit, en allant tendrement caresser ma joue, alors que moi, je lui caresser les paumettes de mes pouces.
On se détachent doucement, et nos regards se croisent se caressent.
Moi – je t’aime ma jolie blonde !
Haruka – moi aussi trésor je t’aime et plus que tout.
On se sourit, je lui écarte quelques mèches de ses yeux, et caresse sa joue. Quelques minutes après le serveur nous apporte à chacun notre collation, et c’est Haru qui paya … Encore une fois.
Directeur – je ne sais pas quoi dire, je n’aurais jamais crue que cela puisse arriver, mais … Es vraiment se que vous voulais ? Car si c’est oui, je vais devoir modifier certaine choses dans vos dossiers.
Moi – car … Vous … Vous n’êtes pas fâché ?
Directeur – pourquoi le serait-je ? Après tout vous êtes avant tout des êtres humains, alors non, je suis même pour, pour que vous puissiez être ensemble, il va juste falloir que je face des modifications dans vos dossier à chacune.
Haruka – merci infiniment monsieur le directeur, je suis tellement heureuse.
Moi – merci, merci beaucoup monsieur !
Je me tourne vers elle, et heureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse. Après sa, nous avons quitté le directeur en le remerciant, et nous avons continuer nos courses plus heureuse que jamais. Quelques heures plus tard, après avoir quitté le directeur, je me retrouvé à la maison avec ma jolie blonde en train de faire le sapin.
Moi – c’est la première fois que j’en fait un !
Haruka – moi aussi.
Puis doucement elle ma soulevé afin que j’accroche l’étoile tout en haut. Doucement Haru me pose sur le sol et je vint enrouler son cou, m’approchant un peu plus d’elle et son cœur. Ses mains s’aventurent dans mon dos, et je laisse mes yeux caresser les siens.
Moi – je suis si heureuse d’avoir eu le courage d’avoir fait face au directeur. Nous allons enfin pouvoir être réellement ensemble que se soit au lycée ou à la maison.
Haruka – oui moi aussi, je suis fière de toi mon cœur, et à partir de maintenant, je ne te laisserais plus filer … Car c’est avec bonheur que je t’offre mon cœur.
Moi – alors j’y prendrais grand soin et le chérirrais le plus tendrement possible tout comme sa propriétaire à qui je promet de l’aimer et la rendre éperdument heureuse !
Haruka – oh Michi … Deviens mienne, à tout jamais.
Moi – à tout jamais mon amour. Je t’aime !
Haruka – moi aussi et plus que tout ma petite femme à moi.
Moi – et toi la mienne !
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un long et délicieux baiser. Je suis vraiment la plus heureuse, je vais enfin pouvoir être librement dans ses bras. Oh Haruka, ma si jolie blonde je t’aime je t’aime je t’aime et je t’aime, toi seule fais mon bonheur dans ce monde noir et sans couleurs.
Point de vue Haruka.
Que demander de plus ? Mon bonheur est enfin complet, je vais enfin pouvoir être avec elle en toute liberté, je vint la serrer tendrement dans mes bras, allant caresser sauvagement sa langue avec la mienne. La serrant amoureusement dans mes bras, et laissant mon cœur s’exprimer le plus tendrement qu’il soit.
voila la fin de ce chapitre, j’espère qu’il vous a plus :) un peut court mais toujours autant de douceur entre Michi et Haru
Chapitre 8 : Révélation et rencontre
Point de vue Narrateur.
Au cour de l’après midi nous retrouvons notre petit couple au centre commercial faisant leur courses et cadeaux pour noël. Haruka fidèle à elle même avait opter pour un pantalon noir, un chemisier blanc qui pour une fois n’était pas rentré dans son bas. Une veste noir surmonter sa chemise. Elle attiré beaucoup de regard sur elles que se soit femme ou homme. Michiru bien que le froid était présent c’était habillé d’une robe bleu à manche longue. Ses cheveux tiré vers la gauche, elle portée des petite chaussure noir à fin talon, et un petit cache cœur bleu écume reposé sur ses épaules.
Toutes deux discuté de chose et d’autre et se lancé des petits sourires amoureux de tant à autre. Au bout de quelques minutes Haruka emmène sa douce à l’intérieur d’une bijouterie, mettant son cadi sur le côté, un homme se dirige vers les deux jeune femmes.
Bijoutier – bonjour monsieur, mademoiselle, que puis-je pour vous ?
La jeune blonde se met à sourire apparemment son charme masculin refesait surface.
Haruka – bonjour monsieur, nous sommes à la recherche d’une bague de fiancaille.
L’homme ce met à sourire, il regarde le couple qu’il trouvait bien assortie et mignon. Il se dirige vers une vitrine et à l’aide d’une petite clés ouvre l’une d’elle sortant une petite plate forme ou disposé plusieurs bagues en argent dédié à cet effet. Il se dirige de nouveau vers les deux jeunes femmes et dis :
Bijoutier – voici un assortiment de bague prévue pour ce genre d’évènement, puis-je vous demader pour qui c’est ?
Haruka – c’est pour cette petite demoiselle.
La jeune blonde met ses mains sur les épaule de Michiru et dit en s’approchant de son oreille.
Haruka – alors … Laquel te plairait.
Michiru sentait son cœur battre à tout rompre, devenant soudainement timide, elle s’exclame d’une voix douce :
Michiru – celle là, elle est vraiment très jolie.
Dit elle en montrant une bague argenter surmonté d’un petit diamant argenter aussi. Haruka se met à sourire et demande à l’homme si il est possible de l’essayer, ce que ce dernier accepta de bon cœur. Haruka prend la petite bague, saisit tendrement la main de sa cher et tendre, et vint lui glisser l’anneau à son annulaire gauche. Les deux jeunes femmes se sourirent amoureusement, Haruka lui caresse la main et demande :
Haruka – elle te plais ?
Michiru – oui … Elle est vraiment magnifique.
Dis la jeune fille en admirant le bijou à son doigt.
Haruka – dans ce cas … Nous allons prendre celle-ci.
Bijoutier – c’est un très bon choix.
Michiru, retire la bague et la passe au bijoutier qui parti remettre la plate forme dans la vitrine. Il ferme cette dernière, et se dirige vers la caisse. Haruka et Michiru se prirent la main, et se dirigent à leur tour vers l’homme qui rangé soigneusement le bijou dans un écrin bleu nuit. Il vint tendre cette dernière à Haruka qui la rangea soigneusement dans son sac et sortie par la suite son porte feuille.
Bijoutier – voilà sera vous fera un totale de 189 € monsieur.
Michiru avait envie de rire, le bijoutier prenait réellement sa femme pour un homme. La jeune blonde souriait elle aussi, et elle vint payer se qu’il fallait.
Bijoutier – je vous remercie, et tout mes vœux de bonheur !
Haruka – merci !
Puis les deux jeunes femmes sortirent et devant les yeux tendre de l’homme Michiru vint étreindre sa bien aimée.
Michiru – merci ma chérie.
Haruka – tout le plaisir était pour moi trésor.
Elles se sourirent et se posent un délicat baiser avant de continuer leurs petites affaires. L’homme ayant suivit la conversation fut surpris de constater que c’était en fin de compte deux femmes, et se senti honteux en pensant qu’il avait confondue la jeune femme blonde pour un homme.
Point de vue Michiru.
Mon cœur bat tellement vite, et dire que j’ai essayer ma bague pour notre future union, j’étais vraiment très hereuse, j’étais accroché à son bras, lorsque je vis le directeur devant une boutique de fleurs. Haru aussi l’avait remarqué. On se sourit, et voulant surmonter notre peur on s’approche de l’homme.
Moi – bonjour monsieur !
Directeur – tiens Michiru, Haruka, quel bonne surprise, comment allez vous ?
Haruka – bien ety vous ?
Directeur – tout vas bien oui !
Ils nous serre la main, et me demande :
Directeur - alors Michiru comment c’est passé ton stage ?
Moi – eh bien il c’est très bien passé, c’était une expérience très enrichissante.
Directeur – dans ce cas, c’est parfait … Mais dites moi Haruka, vous … Vous êtes fiancée ?
Demande t-il en voyant la bague à son doigt. Haru se met à sourire, elle me regarde tendrement avec un petit sourire. Je lui rendit avec douceur, et d’un simple regard on se mit d’accord pour enfin révéler la vérité au directeur.
Haruka – oui, effectivement je suis fiancée.
Directeur – mais enfin c’est une très bonne nouvelle sa … Et qui es ?
Allé Michi assume et prend ton courage à deux mains. Je me serre contre elle et m’exclame le cœur prêt à bondir :
Moi – c’est moi monsieur !
Ce dernier fut surpris de mes parole, il affichait une mine décomposé, qu’allai t-il nous dire ?
Directeur – je vous demande pardon ?
Haruka – oui effectivement je suis fiancée avec Michiru !
Directeur – mais enfin, vous êtes son professeur ?
Haruka – certes, mais …
Moi – en dehors de l’enseignement nous sommes deux citoyennes tout se qu’il y a de plus normal.
Directeur – je suis tout à fait d’accord avec sa, mais depuis quand ?
Haruka – cela va faire un peut plus de 4 mois que nous sommes ensemble !
Moi – bien entendu, nous avons sue nous montrer discrète quand nous étions au lycée !
Directeur – eh bien je … Je ne sais pas quoi dire, mais pourrais t-on aller en parler dans un endroit plus calme ?
Haruka – bien entendu monsieur.
Et ainsi nous suivons le directeur qui se diriger vers un restaurant.
Moi – dis ma chérie, et si on allait d’abord ranger nos courses dans la voiture ?
Haruka – ok !
Elle me tapote le nez, préviens le directeur, et nous nous dirigeâmes vers le parking.
Haruka – je pense qu’au bout d’un moment il devait le savoir !
Moi – oui, et malgré se qui va se suivre, je ne compte pas démordre, et assumerais.
Haruka – dans ce cas … Nous sommes deux.
Je t’aime … Si tu savais comme je t’aime, je continue de la suivre jusqu’à la voiture, et une fois prêt de cette dernière, Haru déverrouille l’alarme, et j’ouvre le coffre.
Je prend des sac vide, les ouvrent, et commence à ranger se que nous avions acheter. Mettant en premier le sapin au font de la malle. C’est quand je me voie faire des chose comme sa avec elle, que je me voie réellement être une vrai famille, un vrai couple et sa me rendait si heureuse.
Quand ont eu terminé, Haru alla remettre le cadi, j’enclenche l’alarme, et une fois qu’elle fut prêt de moi, on se posent un petit baiser, elle me fit un clin d’oeil, et main dans la main on se dirige vers le restaurant ou se trouvais le directeur.
On entre à l’intérieur de ce dernier, et une fois avoir trouvé le petit homme, on allai s’asseoir. Je prend place à la droite de ma petite femme, et un serveur se dirige vers nous.
Serveur – mesdames monsieur, que puis-je pour vous ?
Ah … Enfin un sur cette terre qui remarque que Haru est une femme pas trop tôt.
Directeur – je prendrais un thé glacé.
Haruka – pour moi se sera un café s’il vous plais !
Moi – et moi j’aimerais un chocolat chaud s’il vous plais.
Serveur – très bien, je vous apporte sa dans quelques minutes.
Et le serveur parti. Le directeur nous regarde toutes les deux comme si il était choqué de la nouvelle. Es parce ce que nous sommes élève/professeur ou bien deux femmes ?
Directeur – bon, alors si j’ai bien suivit, vous êtes ensemble, qui plus est fiancées depuis 4 mois !
Moi – nous sommes ensemble depuis 4 mois oui, mais cela ne fait que quelques semaines que nous sommes fiancée.
Directeur – et … Qui a fait la demande ?
Moi – c’est moi monsieur.
Haruka – vous savez, je ne vais pas vous mentir, mais sa a commencé depuis son accident, lorsque vous m’aviez demander d’aller la voire. Par la suite, lorsque Michiru est venue s’installer chez moi, j’ai trouvais la vie beaucoup plus sereine et agréable, durant ses 4 mois j’ai appris à la connaître et à l’aimer, nous nous sommes aidée à plusieurs reprise, moi pour se qui est de son passé et elle à me faire oublier que la vie elle même est dur et cruelle. Mais monsieur le directeur bien que vous soyez mon supérieur, et que je soit son professeur j’éprouve de très fort sentiments à son égard, et ferait tout mon possible pour pouvoir la rendre heureuse.
Haruka … Si … Si tu savais comme tes mots son doux à mes oreilles, moi aussi je t’aime, et suis éperdument amoureuse de toi.
Moi – monsieur le directeur, rappelez vous se que vous m’aviez demander lorsque vous m’aviez convoquer ?
Directeur – euh … Je … Oui, oui je m’en rappelle, je t’aie demander se que tu souhaite pour te voir heureuse.
Moi – maintenant je peut vous répondre …
Je prend les mains de l’homme et dis en le regardant :
Moi – monsieur, sachez que je suis profondément épris pour Haruka, je l’aime vraiment plus que tout, plus que quiconque sur cette terre. A plusieurs reprise, elle ma aidée à me sentir mieux, elle ma permis de savoir la vérité sur mon passé, et même si je suis encore perdu, je l’aime et ne souhaite que la voir heureuse, la voir sourire et mon seul bonheur. Alors s’il vous plais laissez moi être avec elle, même si notre statue nous éloignent, nous somme avant tout deux femmes tout se qu’il y a de plus normal, alors laissez moi être avec elle, je vous en conjure, je ne veux pas être séparer d’elle parce ce que …
Je me tourne vers ma jolie blonde, qui me sourit tendrement, je lui prit ses mains et dis sincèrement :
Moi – parce ce que malgré mon jeune âge, je souhaite plus que tout bâtir un futur dans ses bras, elle est … La femme de ma vie, elle est … Ma plus belle histoire d’amour.
Haruka – et de tout mon cœur je ne souhaite que la rendre heureuse, car pour moi … Elle est tout, elle est, la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle est … Mon rayon de soleil.
Je lui sourit, prend doucement ses joues et lui déposa un tendre et long baiser. Avec bonheur elle y répondit, en allant tendrement caresser ma joue, alors que moi, je lui caresser les paumettes de mes pouces.
On se détachent doucement, et nos regards se croisent se caressent.
Moi – je t’aime ma jolie blonde !
Haruka – moi aussi trésor je t’aime et plus que tout.
On se sourit, je lui écarte quelques mèches de ses yeux, et caresse sa joue. Quelques minutes après le serveur nous apporte à chacun notre collation, et c’est Haru qui paya … Encore une fois.
Directeur – je ne sais pas quoi dire, je n’aurais jamais crue que cela puisse arriver, mais … Es vraiment se que vous voulais ? Car si c’est oui, je vais devoir modifier certaine choses dans vos dossiers.
Moi – car … Vous … Vous n’êtes pas fâché ?
Directeur – pourquoi le serait-je ? Après tout vous êtes avant tout des êtres humains, alors non, je suis même pour, pour que vous puissiez être ensemble, il va juste falloir que je face des modifications dans vos dossier à chacune.
Haruka – merci infiniment monsieur le directeur, je suis tellement heureuse.
Moi – merci, merci beaucoup monsieur !
Je me tourne vers elle, et heureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse. Après sa, nous avons quitté le directeur en le remerciant, et nous avons continuer nos courses plus heureuse que jamais. Quelques heures plus tard, après avoir quitté le directeur, je me retrouvé à la maison avec ma jolie blonde en train de faire le sapin.
Moi – c’est la première fois que j’en fait un !
Haruka – moi aussi.
Puis doucement elle ma soulevé afin que j’accroche l’étoile tout en haut. Doucement Haru me pose sur le sol et je vint enrouler son cou, m’approchant un peu plus d’elle et son cœur. Ses mains s’aventurent dans mon dos, et je laisse mes yeux caresser les siens.
Moi – je suis si heureuse d’avoir eu le courage d’avoir fait face au directeur. Nous allons enfin pouvoir être réellement ensemble que se soit au lycée ou à la maison.
Haruka – oui moi aussi, je suis fière de toi mon cœur, et à partir de maintenant, je ne te laisserais plus filer … Car c’est avec bonheur que je t’offre mon cœur.
Moi – alors j’y prendrais grand soin et le chérirrais le plus tendrement possible tout comme sa propriétaire à qui je promet de l’aimer et la rendre éperdument heureuse !
Haruka – oh Michi … Deviens mienne, à tout jamais.
Moi – à tout jamais mon amour. Je t’aime !
Haruka – moi aussi et plus que tout ma petite femme à moi.
Moi – et toi la mienne !
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un long et délicieux baiser. Je suis vraiment la plus heureuse, je vais enfin pouvoir être librement dans ses bras. Oh Haruka, ma si jolie blonde je t’aime je t’aime je t’aime et je t’aime, toi seule fais mon bonheur dans ce monde noir et sans couleurs.
Point de vue Haruka.
Que demander de plus ? Mon bonheur est enfin complet, je vais enfin pouvoir être avec elle en toute liberté, je vint la serrer tendrement dans mes bras, allant caresser sauvagement sa langue avec la mienne. La serrant amoureusement dans mes bras, et laissant mon cœur s’exprimer le plus tendrement qu’il soit.
voila la fin de ce chapitre, j’espère qu’il vous a plus :) un peut court mais toujours autant de douceur entre Michi et Haru
Mer 23 Oct 2013, 17:42 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
L'amour est-il un crime ? chapitre 2
Bonsoir ^^ je remercie inlove pour son commentaire qui ma fait très plaisir :) donc voila le chapitre 2.
Chapitre 2 : Accident et sentiment
Point de vue Michiru.
Brr, qu’es ce qu’il peut faire froid ce matin, je me réveille, et me redresse avec un mal de dos horrible, je me lève, et secou ma tenue qui était plein d’herbe. Je me cache afin que personne ne me voie, et m’habille en vitesse, il ne fallait pas que je soit en retard. Je prend mon sac, et une fois chaussée, je parti direction le lycée.
Ah... Mais qu’es ce qui m’arrive ? Je me sens bizarre d’un coup ma tête me fait atrocement mal, et ma vision se trouble, il faut que j’arrive à tenir sinon je....
Voix off.
Vite emmener la au bloc, il faut d’urgence l’opérer !
Très bien !!!!
Point de vue Haruka.
Alors que je m’installe à mon bureau, j’attends les élèves, tout en repensant à Michiru que j’ai vue hier sous ce pont, je comprend pourquoi elle n’a rien voulut me dire hier, mais tout de même cette histoire m’intrigue, comme il me resté encore quelques minutes je décide d’assouvir ce savoir que je voulais comprendre, je sort le dossier de Michiru que Betty ma passé hier. Je pose ce dernier sur la table, et l’ouvre.
Mes yeux commencent à longer le long des lignes buvant avec effroi les quelques phrases, concernant Michiru qui était assez sanglant.
Moi * Alors que Katsuke Kaio sort tout juste de prison, il revint à la charge chez lui menaçant sa femme de la tuer si elle ne lui remettait pas la petite Michiru qui n’a que 2 ans. La pauvre petite c’est vue aller dans plusieurs famille d’accueil, mais à chaque fois elle se faisait rejeter. Le 11 décembre Katsuke commis un second meurtre celui de Takana Kaio la mère de Michiru...
Tout au long de ma lecture, je sent soudainement les larmes me monter aux yeux, ma main se plaque sur ma bouche, et je continue de lire le cœur serrer.
Moi * Michiru vint voir la police municipal de la ville portant plainte contre son père qui la maltraiter lui offrant plusieurs coups de ceintures, et de gifle. Le 23 janvier : Katsuke fut arrêté pour avoir violé sa propre fille après l’avoir drogué *
Non... Sa... Sa ne peux pas être vraie... je ne peux pas y croir, la pauvre ... Mon cœur cogne violemment dans ma poitrine, j’ai mal à l’estomac, et mes larmes me menace de couler. Mon corps se met à trembler, pourquoi cacher un si lourd secret en soie ... Je savais qu’hier j’aurais dû aller la voir sous ce pont. Des images ou je la voie hurler de douleur sous les coups violent de ce monstre défile dans ma tête. Des voix se fait retentir, les élèves commencent à arriver.
J’essuie une petite larme, et repris mon sang froid. Je me lève, et commence à écrire sur le tableau. Écrivant des exercices sur cet immense rectangle blanc.
Moi : bon eh bien ... Veuillez me recopier ce que j’ai écrit en silence ... Aller au travail !
Je reprend place sur ma chaise, et je vint parcourir le dossier, je voulais en savoir plus sur elle, en savoir plus pour pouvoir l’aider et la soutenir du mieux que je peux même si je ne suis que son professeur et sa tutrice, je voulais à ce moment là être avec elle.
Soudain la porte s’ouvre, laissant place au directeur. Sous mon ordre, tous se lève afin de le saluer.
Directeur : merci, reprenait votre travaille !
Le directeur m’emmène dans le couloir, il ferme la porte gardant sa main sur la poignet, il avait un air grave et affolé à la fois, je me demande se qui se passe.
Directeur – Haruka, un terrible accident viens de se produir !
Moi – de quel accident parlez-vous ?
Il commence vraiment à m’inquiéter. Sa voix est tremblante, et ses yeux trahis toute ses émotions.
Directeur – l’hôpital ma appelé la petite Michiru c’est fait renverser par un camion, le conducteur apparemment ivre. Elle est entrée en bloc opératoire c’est ignoble, tout se qui lui est arrivé, je me demande si cette petite sera un jour heureuse.
Non ... Pas sa, je respire un grand coup et retiens mes larmes qui se font de plus en plus nombreuse et prenante. Je voie les mains du directeur prendre les miennes, et sa voix encore plus tremblante que tout à l’heure résonne.
Directeur – Haruka s’il vous plais, rendez moi cet immense service et allait la voir, Michiru a besoin dès à présent de soutien, et de personne qui l’aime. Je vous met en congé pendant quelques jours afin que vous puissiez vous occuper d’elle.
Je ne le laisse pas poursuivre, que je m’élance vers la sortie en courant. Sprintant à toute allure vers la sortie du lycée. Une fois dehors, je me dirige vers ma voiture, enfonce la clés dans la petite fente, m’attache, et après avoir fait une marche arrière rapide faisant crisper les roues, je parti direction l’hôpital. Pourquoi cela dois lui arriver ? Je ne la connais que depuis hier certe, mais j’ai cette envie de la protéger et l’aimer. L’amour, ce sentiment que j’avais banni pour des raisons personnelle a refait surface, me diriez-vous, mais c’est impossible de tomber amoureuse dès le premier jour, je suis tout à fait d’accord avec sa, mais je ne sais pas, il y a ce quelque chose en moi qui fait que je me sens attirer par Michiru. Serait-je en train de ... De tomber amoureuse ? Je ne sais pas et cela m’effraie un peu. Arrivé à l’hôpital, je me gare, me détache rapidement, et sort du bolide et enclenche l’alarme. Je me dirige donc et toujours en courant, vers l’entrée de l’établissement. Une fois à l’intérieur, je me dirige vers l’accueil et demande :
Moi – bonjour, seriez-vous où je pourrais trouver la chambre de Michiru Kaio s’il vous plais !
Secrétaire – vous êtes ?
Moi – son professeur ainsi que sa tutrice.
Secrétaire – euh... Oui vous monté au troisième étage, c’est la chambre 378 !
Moi – merci bien !
Et dans le calme cette fois ci je me dirige vers l’ascenseur. Une fois à l’intérieur, je presse le bouton 3, et la machine se mit à monter. Rah bon sang, pourquoi aie-je cette peur qu’elle soit ... Je ne pensait pas tenir autant à elle alors que sa ne fait que deux jours seulement que nous nous connaissons, ce n’est pas logique. Quand enfin j’arrive au troisième étage, d’un pat rapide, je longe le couloir et cherche le numéro de chambre de Michiru.
Je la trouve enfin, je souffle un bon coup, et vint pénétrer dans la pièce. Je ferme la porte, et regarde autour de moi. La pièce est grande et vide, il y a juste un lit ou repose Michiru enveloppé dans des couvertures blanche. A sa droite il y a un tabouret et une commode avec un téléphone et un verre d’eau. En hauteur, il y a une télévision, et juste en face prêt de la fenêtre une armoire, et une porte à droite menant sûrement à la salle de bain.
Je m’avance doucement vers le lit, et la regarde quelques minutes. J’approche ma main de son visage, et écarte quelques mèches de ses yeux, laissant mon index descendre le long de sa joue. Sa tête se tourne et ses yeux bleu croisent les miens qui son triste. Un petit sourire naquis ses lèvres, comme si... Comme si elle était heureuse de me voir.
Je n’ose détourner mes yeux des siens, elle est tellement belle, mon cœur s’emporte violemment dans ma poitrine, je ne sais quoi dire, je continue juste de la regarder avec douceur.
Moi – tu sais que tu m’as fait peur !
Michiru – désolé professeur, je ... Je ne le voulais pas.
Moi - ce n’est rien, le principal, est que tu aille bien, mais tu c’est, tu vas devoir me dire se qui c’est passé !
Michiru – oui je sais, mais ... Si c’est à vous que je dois tout avouer, sa ne me dérange pas.
Je lui sourit, et continue de caresser sa joue, je vint faire descendre la barrière qui nous séparent, et vint prendre place sur le tabouret. Je lui prend délicatement la main, et la caresse comme pour la rassurer, que tout est fini et qu’avec moi, elle ne craint rien.
Michiru – je ... Je suis heureuse que se soit vous et pas quelqu’un d’autre !
Moi – chuut ... Ne dis rien, tout se qui m’importe maintenant c’est que tu te repose !
Michiru – oui je comprend, mais ... Mais sa fait tellement de bien de se sentir importante pour quelqu’un, depuis que je suis petite, père et mère ne m’ont jamais transmit un seul geste d’amour, mon père passait le plus clair de son temps à m’enfermer dans le placard, et mère me donner juste du pain et de l’eau comme si j’étais en prison. Sa fait longtemps que je garde se secret en moi, car à chaque fois j’ai peur que l’ont me juge et que ...
Ses yeux se son encrés dans les miens, et sa main à prit la mienne, ses doigts me serrant contre les siens.
Michiru – et que je soit torturer que soit physiquement ou verbalement. Je n’aie jamais eu d’amis, je ne sais pas se que l’ont peux ressentir quand on aime quelqu’un, je ne sais pas ce que c’est d’être heureuse, et cela me rend triste et me fait perdre tout sens de la vie. Mon père voulais à tout prix avoir ma garde car mes parents après six ans de vie commune se sont séparé, malgré tout le mal que ma infliger mère elle a voulut me garder, mais elle a ...
Quelques larmes roulent le long de ses joues, mon cœur se serre en la voyant dans cet état, je me lève, et à l’aide d’une petite télécommande qui suspend le long de son lit, je remonte ce dernier, afin que Michiru soit assise. Je pousse le tabouret, et m’assoie sur le matelas, lui prenant le visage entre mes mains et écarte quelques larmes.
Moi – chuut, c’est fini maintenant, tu est en sécurité ici ... Je comprend ta douleur, et je dois avouer que tu as beaucoup de courage pour avoir surmonter tout sa toute seule, mais dit toi une chose, c’est que qu’importe les choix que tu fera, les professeurs et moi-même seront là pour toi et t’épauler, alors si tu as le moindre souci, l’envie de pleurer, ou tout simplement l’envie de te confier viens nous voir nous t’écouterons .... Moi la première.
Michiru – professeur ...
Et sans que je ne dise quoique se soit, Michiru enroule ma nuque et lova sa tête dans mon cou. Bien que surprise du geste, je répond à son étreinte et entoure son dos le caressant doucement. Mon rythme cardiaque s’accelaire de plus en plus, l’odeur qu’émane sa chevelure me parvint aux narine, ils sentent si bon, à cet instant, je fut prise de désir et de tendresse pour elle, je voulais rester à ses côtés la protéger, la voir sourire et heureuse. Je me défait doucement de ses bras, et plonge mon regard émeraude dans ses yeux azure qui son magnifique. Je lui écarte quelques mèches bleutés de ses yeux et lui offre un sourire chaleureux.
Moi – avec nous tu sera en sécurité, je te le promet ma petite Michiru.
Michiru – vous êtes si gentille professeur, vraiment je ...
Moi – chuut ...
Je lui caresse la joue, et descend jusqu’à ses lèvres qui son rose et douce au toucher. Je passe plusieurs fois mon pouce sur sa bouche, créant un geste doux et régulier. Son regard s’attache au mien, et un petit claquement se fait sentir entre mon pouce et ses lèvres. Je ne fait rien, juste à lui sourire tendrement, je n’avait aucune envie de la brusquer ou quoique se soit d’autre, sans que je puisse retenir mes gestes qui étaient un peu déplacer vis à vis d’elle, mon front se colle contre le sien, mes mains prennent son visage, et mes pouces caressent ses joues. Je sent ses mains se poser sur ma poitrine, et ses yeux se ferment, un petit sourire sur ses lèvres. Mon regard s’adouci, et je m’approche un peut plus de son visage. Je sais que ce que je fait est interdit, mais les pulsassions de mon cœur son de plus en plus violent, et ce nœud dans mon estomac reviens, c’en est presque agréable, cette envie de vouloir franchir ce cap entre elle et moi me torture inlassablement. Et sans que je ne me retienne, mes lèvres s’unirent aux siennes.
Je lui caresse les joues, et m’approche un peu plus d’elle. Laissant mon cœur s’exprimer au grès de ses envies. Ce dernier fit un bon dans ma poitrine quand je sentit ses lèvres répondre tendrement à mon baiser. Mon corps tremblait de désir, c’est si agréable, tellement bon, je n’aie pas envie que sa s’arrête, je continue de lui caresser ses joues, et vint mêler tendrement ma langue à la sienne.
Cela fait tellement longtemps que je n’avais plus ressentit ce genre d’émotion, sa fait si longtemps que je ne mettait pas senti aussi bien et libre. Je sent sa langue répondre aux caresses que lui faisait la miennes, non décidément je me sent réellement attiré par elle, et avec une grande douceur je l’embrasse le plus tendrement possible. Mêlant mes doigts dans ses cheveux.
On se décollent doucement, et je la voie rougir, se qui m’adoucie encore une fois. Je lui soulève le menton, et la dévisage longuement.
Moi – n’est pas honte de se que tu est ... D’accord !
Je lui caresse la joue, et vint lui embrasser le front.
Moi – tu devrait te reposer !
Michiru – ne ... Ne partez pas.
Moi – je ne vais pas partir, je vais rester avec toi !
Michiru – merci ...
Je lui sourit et repris place sur le tabouret prenant sa main dans la mienne. Ah ... Je peux encore sentir ses lèvres douce contre les mienne, mon cœur est sur le point de flamber, cela faisait longtemps que je n’avais plus ressentit sa ... Car depuis la séparation de mes parents qui ne mon fourni aucun geste de tendresse j’ai renier ce sentiment si pur et tendre, c’est pour sa que je comprend la douleur de Michru car mon passé équivaut un peu au sien. Sans lui lâcher la main, je prend mon téléphone qui sonnait depuis quelques minutes maintenant.
Moi – oui allo !
Directeur – Haruka, c’est le directeur.
Moi – ah monsieur que désirez-vous ?
Directeur – eh bien je voulais savoir comment aller Michiru !
Moi – elle va bien ne vous inquiétez pas, une infirmière va passer dans quelques minutes, mais je pense qu’il vont la garder en observation pour la nuit.
Directeur – d’accord, et euh ... Après en avoir parler avec les professeurs nous nous sommes mis d’accord que vous pourriez l’heberger ! Vue que vous êtes sa tutrice, bien entendue si cela ne vous dérange pas Haruka.
Je sourit, et la regarde quelques minutes avec douceur, je vint doucement entrecroiser mes doigts avec les siens, et répond avec un léger sourire :
Moi – non absolument pas, donc c’est d’accord.
Directeur – je suis heureux de vous l’entendre dire, sur ceux j’ai une réunion, tenez moi au courant si il y a le moindre changement !
Moi – bien monsieur.
Et sur cette dernière parole, la communication se coupa. Je range mon cellulaire dans ma poche, et vint tourner ma tête vers Michiru afin de la regarder.
Michiru – que ... Voulais monsieur le directeur ?
Moi – rien qui puisse être désagréable, non il ma juste demander si je pouvais t’heberger !
Michiru – quoi mais je ... Je ne veux pas déranger, je c’est que je suis un poids pour tout le monde ...
Je m’approche d’elle, et caresse sa joue, lui faisant comprendre par le regard qu’elle ne me déranger pas le moins du monde ... Et puis, j’ai le sentiment que si je ne fait rien je pourrais la perdre à n’importe qu’elle moment, et c’est quelques chose que je ne souhaite pas connaître.
Moi – tu ne me dérange pas voyons, au contraire Michiru sa me fait plaisir, j’ai donc accepter de m’occuper de toi.
Michiru – merci professeur !
Moi – on va faire une chose.
Michiru – ah oui ? Quoi donc ?
Qu’es ce qu’elle est jolie quand elle est surprise, vraiment.
Moi – au lycée nous seront juste Michiru et le professeur Tenoh, mais une fois à la maison, tu peux m’appeler Haruka.
Michiru – vous ... Vous êtes sur ?
Moi – absolument certaine !
Michiru – merci pour tout se que vous faite pour moi, c’est vraiment gentil.
Et sans que je ne dise quoique se soit, Michiru c’est redresser et ma embrassé. Je sourit, heureuse de se contact que nous avons crée toute les deux. A présent je compter tout faire pour la garder auprès de moi la protéger l’aimer tendrement et la rendre heureuse.
En fin d’après midi une infirmière est passé comme prévu, et nous a affirmé que Michiru resterais en observation pour ce soir et qu’elle ne pourrais sortir que d’ici quelques jours.
Moi – bon eh bien, je vais te tenir compagnie pendant ses quelques jours !
Michiru – merci professeur !
Moi – ce n’est rien voyons.
Je lui embrasse tendrement le front, et resta à ses côtés lui tenant compagnie jusqu’à ce qu’elle puisse sortir.
Bon eh bien voila ce second chapitre est terminé, si cela vous plais toujours laisser vos avis bon ou mauvais.
Chapitre 2 : Accident et sentiment
Point de vue Michiru.
Brr, qu’es ce qu’il peut faire froid ce matin, je me réveille, et me redresse avec un mal de dos horrible, je me lève, et secou ma tenue qui était plein d’herbe. Je me cache afin que personne ne me voie, et m’habille en vitesse, il ne fallait pas que je soit en retard. Je prend mon sac, et une fois chaussée, je parti direction le lycée.
Ah... Mais qu’es ce qui m’arrive ? Je me sens bizarre d’un coup ma tête me fait atrocement mal, et ma vision se trouble, il faut que j’arrive à tenir sinon je....
Voix off.
Vite emmener la au bloc, il faut d’urgence l’opérer !
Très bien !!!!
Point de vue Haruka.
Alors que je m’installe à mon bureau, j’attends les élèves, tout en repensant à Michiru que j’ai vue hier sous ce pont, je comprend pourquoi elle n’a rien voulut me dire hier, mais tout de même cette histoire m’intrigue, comme il me resté encore quelques minutes je décide d’assouvir ce savoir que je voulais comprendre, je sort le dossier de Michiru que Betty ma passé hier. Je pose ce dernier sur la table, et l’ouvre.
Mes yeux commencent à longer le long des lignes buvant avec effroi les quelques phrases, concernant Michiru qui était assez sanglant.
Moi * Alors que Katsuke Kaio sort tout juste de prison, il revint à la charge chez lui menaçant sa femme de la tuer si elle ne lui remettait pas la petite Michiru qui n’a que 2 ans. La pauvre petite c’est vue aller dans plusieurs famille d’accueil, mais à chaque fois elle se faisait rejeter. Le 11 décembre Katsuke commis un second meurtre celui de Takana Kaio la mère de Michiru...
Tout au long de ma lecture, je sent soudainement les larmes me monter aux yeux, ma main se plaque sur ma bouche, et je continue de lire le cœur serrer.
Moi * Michiru vint voir la police municipal de la ville portant plainte contre son père qui la maltraiter lui offrant plusieurs coups de ceintures, et de gifle. Le 23 janvier : Katsuke fut arrêté pour avoir violé sa propre fille après l’avoir drogué *
Non... Sa... Sa ne peux pas être vraie... je ne peux pas y croir, la pauvre ... Mon cœur cogne violemment dans ma poitrine, j’ai mal à l’estomac, et mes larmes me menace de couler. Mon corps se met à trembler, pourquoi cacher un si lourd secret en soie ... Je savais qu’hier j’aurais dû aller la voir sous ce pont. Des images ou je la voie hurler de douleur sous les coups violent de ce monstre défile dans ma tête. Des voix se fait retentir, les élèves commencent à arriver.
J’essuie une petite larme, et repris mon sang froid. Je me lève, et commence à écrire sur le tableau. Écrivant des exercices sur cet immense rectangle blanc.
Moi : bon eh bien ... Veuillez me recopier ce que j’ai écrit en silence ... Aller au travail !
Je reprend place sur ma chaise, et je vint parcourir le dossier, je voulais en savoir plus sur elle, en savoir plus pour pouvoir l’aider et la soutenir du mieux que je peux même si je ne suis que son professeur et sa tutrice, je voulais à ce moment là être avec elle.
Soudain la porte s’ouvre, laissant place au directeur. Sous mon ordre, tous se lève afin de le saluer.
Directeur : merci, reprenait votre travaille !
Le directeur m’emmène dans le couloir, il ferme la porte gardant sa main sur la poignet, il avait un air grave et affolé à la fois, je me demande se qui se passe.
Directeur – Haruka, un terrible accident viens de se produir !
Moi – de quel accident parlez-vous ?
Il commence vraiment à m’inquiéter. Sa voix est tremblante, et ses yeux trahis toute ses émotions.
Directeur – l’hôpital ma appelé la petite Michiru c’est fait renverser par un camion, le conducteur apparemment ivre. Elle est entrée en bloc opératoire c’est ignoble, tout se qui lui est arrivé, je me demande si cette petite sera un jour heureuse.
Non ... Pas sa, je respire un grand coup et retiens mes larmes qui se font de plus en plus nombreuse et prenante. Je voie les mains du directeur prendre les miennes, et sa voix encore plus tremblante que tout à l’heure résonne.
Directeur – Haruka s’il vous plais, rendez moi cet immense service et allait la voir, Michiru a besoin dès à présent de soutien, et de personne qui l’aime. Je vous met en congé pendant quelques jours afin que vous puissiez vous occuper d’elle.
Je ne le laisse pas poursuivre, que je m’élance vers la sortie en courant. Sprintant à toute allure vers la sortie du lycée. Une fois dehors, je me dirige vers ma voiture, enfonce la clés dans la petite fente, m’attache, et après avoir fait une marche arrière rapide faisant crisper les roues, je parti direction l’hôpital. Pourquoi cela dois lui arriver ? Je ne la connais que depuis hier certe, mais j’ai cette envie de la protéger et l’aimer. L’amour, ce sentiment que j’avais banni pour des raisons personnelle a refait surface, me diriez-vous, mais c’est impossible de tomber amoureuse dès le premier jour, je suis tout à fait d’accord avec sa, mais je ne sais pas, il y a ce quelque chose en moi qui fait que je me sens attirer par Michiru. Serait-je en train de ... De tomber amoureuse ? Je ne sais pas et cela m’effraie un peu. Arrivé à l’hôpital, je me gare, me détache rapidement, et sort du bolide et enclenche l’alarme. Je me dirige donc et toujours en courant, vers l’entrée de l’établissement. Une fois à l’intérieur, je me dirige vers l’accueil et demande :
Moi – bonjour, seriez-vous où je pourrais trouver la chambre de Michiru Kaio s’il vous plais !
Secrétaire – vous êtes ?
Moi – son professeur ainsi que sa tutrice.
Secrétaire – euh... Oui vous monté au troisième étage, c’est la chambre 378 !
Moi – merci bien !
Et dans le calme cette fois ci je me dirige vers l’ascenseur. Une fois à l’intérieur, je presse le bouton 3, et la machine se mit à monter. Rah bon sang, pourquoi aie-je cette peur qu’elle soit ... Je ne pensait pas tenir autant à elle alors que sa ne fait que deux jours seulement que nous nous connaissons, ce n’est pas logique. Quand enfin j’arrive au troisième étage, d’un pat rapide, je longe le couloir et cherche le numéro de chambre de Michiru.
Je la trouve enfin, je souffle un bon coup, et vint pénétrer dans la pièce. Je ferme la porte, et regarde autour de moi. La pièce est grande et vide, il y a juste un lit ou repose Michiru enveloppé dans des couvertures blanche. A sa droite il y a un tabouret et une commode avec un téléphone et un verre d’eau. En hauteur, il y a une télévision, et juste en face prêt de la fenêtre une armoire, et une porte à droite menant sûrement à la salle de bain.
Je m’avance doucement vers le lit, et la regarde quelques minutes. J’approche ma main de son visage, et écarte quelques mèches de ses yeux, laissant mon index descendre le long de sa joue. Sa tête se tourne et ses yeux bleu croisent les miens qui son triste. Un petit sourire naquis ses lèvres, comme si... Comme si elle était heureuse de me voir.
Je n’ose détourner mes yeux des siens, elle est tellement belle, mon cœur s’emporte violemment dans ma poitrine, je ne sais quoi dire, je continue juste de la regarder avec douceur.
Moi – tu sais que tu m’as fait peur !
Michiru – désolé professeur, je ... Je ne le voulais pas.
Moi - ce n’est rien, le principal, est que tu aille bien, mais tu c’est, tu vas devoir me dire se qui c’est passé !
Michiru – oui je sais, mais ... Si c’est à vous que je dois tout avouer, sa ne me dérange pas.
Je lui sourit, et continue de caresser sa joue, je vint faire descendre la barrière qui nous séparent, et vint prendre place sur le tabouret. Je lui prend délicatement la main, et la caresse comme pour la rassurer, que tout est fini et qu’avec moi, elle ne craint rien.
Michiru – je ... Je suis heureuse que se soit vous et pas quelqu’un d’autre !
Moi – chuut ... Ne dis rien, tout se qui m’importe maintenant c’est que tu te repose !
Michiru – oui je comprend, mais ... Mais sa fait tellement de bien de se sentir importante pour quelqu’un, depuis que je suis petite, père et mère ne m’ont jamais transmit un seul geste d’amour, mon père passait le plus clair de son temps à m’enfermer dans le placard, et mère me donner juste du pain et de l’eau comme si j’étais en prison. Sa fait longtemps que je garde se secret en moi, car à chaque fois j’ai peur que l’ont me juge et que ...
Ses yeux se son encrés dans les miens, et sa main à prit la mienne, ses doigts me serrant contre les siens.
Michiru – et que je soit torturer que soit physiquement ou verbalement. Je n’aie jamais eu d’amis, je ne sais pas se que l’ont peux ressentir quand on aime quelqu’un, je ne sais pas ce que c’est d’être heureuse, et cela me rend triste et me fait perdre tout sens de la vie. Mon père voulais à tout prix avoir ma garde car mes parents après six ans de vie commune se sont séparé, malgré tout le mal que ma infliger mère elle a voulut me garder, mais elle a ...
Quelques larmes roulent le long de ses joues, mon cœur se serre en la voyant dans cet état, je me lève, et à l’aide d’une petite télécommande qui suspend le long de son lit, je remonte ce dernier, afin que Michiru soit assise. Je pousse le tabouret, et m’assoie sur le matelas, lui prenant le visage entre mes mains et écarte quelques larmes.
Moi – chuut, c’est fini maintenant, tu est en sécurité ici ... Je comprend ta douleur, et je dois avouer que tu as beaucoup de courage pour avoir surmonter tout sa toute seule, mais dit toi une chose, c’est que qu’importe les choix que tu fera, les professeurs et moi-même seront là pour toi et t’épauler, alors si tu as le moindre souci, l’envie de pleurer, ou tout simplement l’envie de te confier viens nous voir nous t’écouterons .... Moi la première.
Michiru – professeur ...
Et sans que je ne dise quoique se soit, Michiru enroule ma nuque et lova sa tête dans mon cou. Bien que surprise du geste, je répond à son étreinte et entoure son dos le caressant doucement. Mon rythme cardiaque s’accelaire de plus en plus, l’odeur qu’émane sa chevelure me parvint aux narine, ils sentent si bon, à cet instant, je fut prise de désir et de tendresse pour elle, je voulais rester à ses côtés la protéger, la voir sourire et heureuse. Je me défait doucement de ses bras, et plonge mon regard émeraude dans ses yeux azure qui son magnifique. Je lui écarte quelques mèches bleutés de ses yeux et lui offre un sourire chaleureux.
Moi – avec nous tu sera en sécurité, je te le promet ma petite Michiru.
Michiru – vous êtes si gentille professeur, vraiment je ...
Moi – chuut ...
Je lui caresse la joue, et descend jusqu’à ses lèvres qui son rose et douce au toucher. Je passe plusieurs fois mon pouce sur sa bouche, créant un geste doux et régulier. Son regard s’attache au mien, et un petit claquement se fait sentir entre mon pouce et ses lèvres. Je ne fait rien, juste à lui sourire tendrement, je n’avait aucune envie de la brusquer ou quoique se soit d’autre, sans que je puisse retenir mes gestes qui étaient un peu déplacer vis à vis d’elle, mon front se colle contre le sien, mes mains prennent son visage, et mes pouces caressent ses joues. Je sent ses mains se poser sur ma poitrine, et ses yeux se ferment, un petit sourire sur ses lèvres. Mon regard s’adouci, et je m’approche un peut plus de son visage. Je sais que ce que je fait est interdit, mais les pulsassions de mon cœur son de plus en plus violent, et ce nœud dans mon estomac reviens, c’en est presque agréable, cette envie de vouloir franchir ce cap entre elle et moi me torture inlassablement. Et sans que je ne me retienne, mes lèvres s’unirent aux siennes.
Je lui caresse les joues, et m’approche un peu plus d’elle. Laissant mon cœur s’exprimer au grès de ses envies. Ce dernier fit un bon dans ma poitrine quand je sentit ses lèvres répondre tendrement à mon baiser. Mon corps tremblait de désir, c’est si agréable, tellement bon, je n’aie pas envie que sa s’arrête, je continue de lui caresser ses joues, et vint mêler tendrement ma langue à la sienne.
Cela fait tellement longtemps que je n’avais plus ressentit ce genre d’émotion, sa fait si longtemps que je ne mettait pas senti aussi bien et libre. Je sent sa langue répondre aux caresses que lui faisait la miennes, non décidément je me sent réellement attiré par elle, et avec une grande douceur je l’embrasse le plus tendrement possible. Mêlant mes doigts dans ses cheveux.
On se décollent doucement, et je la voie rougir, se qui m’adoucie encore une fois. Je lui soulève le menton, et la dévisage longuement.
Moi – n’est pas honte de se que tu est ... D’accord !
Je lui caresse la joue, et vint lui embrasser le front.
Moi – tu devrait te reposer !
Michiru – ne ... Ne partez pas.
Moi – je ne vais pas partir, je vais rester avec toi !
Michiru – merci ...
Je lui sourit et repris place sur le tabouret prenant sa main dans la mienne. Ah ... Je peux encore sentir ses lèvres douce contre les mienne, mon cœur est sur le point de flamber, cela faisait longtemps que je n’avais plus ressentit sa ... Car depuis la séparation de mes parents qui ne mon fourni aucun geste de tendresse j’ai renier ce sentiment si pur et tendre, c’est pour sa que je comprend la douleur de Michru car mon passé équivaut un peu au sien. Sans lui lâcher la main, je prend mon téléphone qui sonnait depuis quelques minutes maintenant.
Moi – oui allo !
Directeur – Haruka, c’est le directeur.
Moi – ah monsieur que désirez-vous ?
Directeur – eh bien je voulais savoir comment aller Michiru !
Moi – elle va bien ne vous inquiétez pas, une infirmière va passer dans quelques minutes, mais je pense qu’il vont la garder en observation pour la nuit.
Directeur – d’accord, et euh ... Après en avoir parler avec les professeurs nous nous sommes mis d’accord que vous pourriez l’heberger ! Vue que vous êtes sa tutrice, bien entendue si cela ne vous dérange pas Haruka.
Je sourit, et la regarde quelques minutes avec douceur, je vint doucement entrecroiser mes doigts avec les siens, et répond avec un léger sourire :
Moi – non absolument pas, donc c’est d’accord.
Directeur – je suis heureux de vous l’entendre dire, sur ceux j’ai une réunion, tenez moi au courant si il y a le moindre changement !
Moi – bien monsieur.
Et sur cette dernière parole, la communication se coupa. Je range mon cellulaire dans ma poche, et vint tourner ma tête vers Michiru afin de la regarder.
Michiru – que ... Voulais monsieur le directeur ?
Moi – rien qui puisse être désagréable, non il ma juste demander si je pouvais t’heberger !
Michiru – quoi mais je ... Je ne veux pas déranger, je c’est que je suis un poids pour tout le monde ...
Je m’approche d’elle, et caresse sa joue, lui faisant comprendre par le regard qu’elle ne me déranger pas le moins du monde ... Et puis, j’ai le sentiment que si je ne fait rien je pourrais la perdre à n’importe qu’elle moment, et c’est quelques chose que je ne souhaite pas connaître.
Moi – tu ne me dérange pas voyons, au contraire Michiru sa me fait plaisir, j’ai donc accepter de m’occuper de toi.
Michiru – merci professeur !
Moi – on va faire une chose.
Michiru – ah oui ? Quoi donc ?
Qu’es ce qu’elle est jolie quand elle est surprise, vraiment.
Moi – au lycée nous seront juste Michiru et le professeur Tenoh, mais une fois à la maison, tu peux m’appeler Haruka.
Michiru – vous ... Vous êtes sur ?
Moi – absolument certaine !
Michiru – merci pour tout se que vous faite pour moi, c’est vraiment gentil.
Et sans que je ne dise quoique se soit, Michiru c’est redresser et ma embrassé. Je sourit, heureuse de se contact que nous avons crée toute les deux. A présent je compter tout faire pour la garder auprès de moi la protéger l’aimer tendrement et la rendre heureuse.
En fin d’après midi une infirmière est passé comme prévu, et nous a affirmé que Michiru resterais en observation pour ce soir et qu’elle ne pourrais sortir que d’ici quelques jours.
Moi – bon eh bien, je vais te tenir compagnie pendant ses quelques jours !
Michiru – merci professeur !
Moi – ce n’est rien voyons.
Je lui embrasse tendrement le front, et resta à ses côtés lui tenant compagnie jusqu’à ce qu’elle puisse sortir.
Bon eh bien voila ce second chapitre est terminé, si cela vous plais toujours laisser vos avis bon ou mauvais.

Jeu 17 Oct 2013, 22:59 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
Une belle soirée
Elle avait mis l’éphémère d’un chemisier de soie
Transparent, laissant voir une partie de choix
Deux délicats rebonds dans un écrin de dentelles
Qui vinrent d’emblée toquer au fond de mes prunelles.
Cette soirée m’ennuyait, je pensais m’en aller.
Mais son apparition me poussa à rester.
Je ne la lâchais plus, l’observant en détails
Cherchant à chaque endroit où se trouvait la faille
Mais tout était parfait à mon œil tout conquis
Qui la voyait déjà tout au fond de mon lit.
Elle s’aperçu bien vite des regards insistants
Que je tentais discrets mais, maladroitement.
A présent c’était elle qui avait pris la main
Qui me peignait en proie dont elle ferait festin.
J’avais le dos tourné quand j’entendis une voix
Me lancer un «bonsoir, moi c’est Isabella »
Je me retournais donc, comment faire autrement,
Il me fallait faire face à l’objet du tourment.
Deux yeux verts bien plantés hypnotisèrent les miens
« Ne s’est-on déjà vus ? Je ne me souviens pas bien »
« Est-ce qu’on se fait la bise ou se serre-t-on la main ? »
D’une apparente contenance je me fis en galant
« Bonsoir, moi c’est Jime votre prince charmant
Voulez que pour vous je m’enquisse d’un verre
Ou bien préférez-vous que nous sortions prendre l’air ? »
« Quelques bulles volontiers avant d’aller dehors
Car rester enfermés, nous aurions vraiment tort »
Je lui servis sa coupe qu’elle but gracieusement
A la fin de laquelle elle me dit posément
« Je connais un endroit où nous serons tranquilles »
Tout en me dévisageant dans des grands battements de cils.
Nous filâmes à l’anglaise comme si nous faisons le mur
Voilà qui fleurait bon la jolie aventure.
A quelques pas de là elle m’amena dans un square
Pas une âme dans le lieu, il était bien trop tard
La lumière de la lune nous permettait d’y voir
Juste ce qu’il fallait pour que l’on ne s’égare.
Elle s’arrêta d’elle-même à l’endroit de son choix
« C’est là que j’aimerais que tu t’occupes de moi ».
Sa petite jupe zippée sauta en un éclair
Suivi de sa culotte qui la fit fesses à l’air.
S’adossant à un arbre, elle entrouvrit ses jambes,
Tout ça eut pour effet de me mettre la flambe,
Je m’accroupis céans devant sa cicatrice
Afin de quelques langues en gouter le délice
L’affaire la régalait et elle se trémoussait
M’enjoignant par ses mains de ne pas m’arrêter,
Puis se mit à gémir en réclamant mon pieu
S’allongeant sur le sol pour un confort de mieux
« Ah ! J’ai le trou en feu, je veux que tu m’embroche,
Viens vider dans ma niche tes 2 grosses sacoches ».
Nous haletâmes au vent rythmés par mes baloches
Qui dans son entrecuisse jouaient de la ricoche
Jusqu’à ce que portés dans l’extase jouissance
Je la sentis bouillir au jet de ma semence.
Le forfait fort fait taire aussi ne pipa mot
Restant dans son voyage ses ongles dans mon dos.
Reprenant poil de bête elle dit l’envie d’un verre
Nous retournâmes alors à la maison de Pierre
D’où personne n’avait vu notre tendre échappée
Pas de doute me dis-je c’est une belle soirée.
Transparent, laissant voir une partie de choix
Deux délicats rebonds dans un écrin de dentelles
Qui vinrent d’emblée toquer au fond de mes prunelles.
Cette soirée m’ennuyait, je pensais m’en aller.
Mais son apparition me poussa à rester.
Je ne la lâchais plus, l’observant en détails
Cherchant à chaque endroit où se trouvait la faille
Mais tout était parfait à mon œil tout conquis
Qui la voyait déjà tout au fond de mon lit.
Elle s’aperçu bien vite des regards insistants
Que je tentais discrets mais, maladroitement.
A présent c’était elle qui avait pris la main
Qui me peignait en proie dont elle ferait festin.
J’avais le dos tourné quand j’entendis une voix
Me lancer un «bonsoir, moi c’est Isabella »
Je me retournais donc, comment faire autrement,
Il me fallait faire face à l’objet du tourment.
Deux yeux verts bien plantés hypnotisèrent les miens
« Ne s’est-on déjà vus ? Je ne me souviens pas bien »
« Est-ce qu’on se fait la bise ou se serre-t-on la main ? »
D’une apparente contenance je me fis en galant
« Bonsoir, moi c’est Jime votre prince charmant
Voulez que pour vous je m’enquisse d’un verre
Ou bien préférez-vous que nous sortions prendre l’air ? »
« Quelques bulles volontiers avant d’aller dehors
Car rester enfermés, nous aurions vraiment tort »
Je lui servis sa coupe qu’elle but gracieusement
A la fin de laquelle elle me dit posément
« Je connais un endroit où nous serons tranquilles »
Tout en me dévisageant dans des grands battements de cils.
Nous filâmes à l’anglaise comme si nous faisons le mur
Voilà qui fleurait bon la jolie aventure.
A quelques pas de là elle m’amena dans un square
Pas une âme dans le lieu, il était bien trop tard
La lumière de la lune nous permettait d’y voir
Juste ce qu’il fallait pour que l’on ne s’égare.
Elle s’arrêta d’elle-même à l’endroit de son choix
« C’est là que j’aimerais que tu t’occupes de moi ».
Sa petite jupe zippée sauta en un éclair
Suivi de sa culotte qui la fit fesses à l’air.
S’adossant à un arbre, elle entrouvrit ses jambes,
Tout ça eut pour effet de me mettre la flambe,
Je m’accroupis céans devant sa cicatrice
Afin de quelques langues en gouter le délice
L’affaire la régalait et elle se trémoussait
M’enjoignant par ses mains de ne pas m’arrêter,
Puis se mit à gémir en réclamant mon pieu
S’allongeant sur le sol pour un confort de mieux
« Ah ! J’ai le trou en feu, je veux que tu m’embroche,
Viens vider dans ma niche tes 2 grosses sacoches ».
Nous haletâmes au vent rythmés par mes baloches
Qui dans son entrecuisse jouaient de la ricoche
Jusqu’à ce que portés dans l’extase jouissance
Je la sentis bouillir au jet de ma semence.
Le forfait fort fait taire aussi ne pipa mot
Restant dans son voyage ses ongles dans mon dos.
Reprenant poil de bête elle dit l’envie d’un verre
Nous retournâmes alors à la maison de Pierre
D’où personne n’avait vu notre tendre échappée
Pas de doute me dis-je c’est une belle soirée.
Ven 16 Nov 2012, 16:34 par
Jime sur Les liaisons sulfureuses
Album photos
Redécouvrant ces images oubliées depuis si longtemps je m’abandonne à leur contemplation attentive, faisant renaitre celui que j’étais à vingt ans.
Premiers mots, dans le train
Ça, c’est dans le train qui nous conduisait à Marseille. Nous ne nous connaissions pas encore. J’avais remarqué cette fille qui sur le quai m’observait. C’est elle qui m’a adressé la parole en premier. Sa tête me disait bien quelque chose, mais je ne la remettais pas. Je ne me souviens plus des premiers mots que nous avons échangés. Le train était bondé et nous n’avions pas trouvé de places où nous assoir. Debout sur la plateforme, nous nous sommes racontés ; elle souriait tout le temps, faisant comme si elle me trouvait passionnant ; moi, je faisais la roue....Elle a voulu me montrer , un petit reflex argentique autofocus, que son père lui avait offert pour son anniversaire et dont elle était très fière, en le manipulant elle a photographié la porte des toilettes. Le flash s’est déclenché automatiquement..... L’image est remarquablement nette.
Quand à Vienne, le Wagon a commencé à se vider, nous nous sommes installés, côte à côte....Elle me parlait, de sa vie, de ses parents, de ses études....Nous fréquentions la même école. Elle entamait sa première année, moi ma troisième. Je me souviens juste de ses yeux qui brillaient et des reflets roux qui courraient sur le Rhône ce matin de décembre entre neige et soleil.
* * *
Neige de février la nuit.
Ça, c’est une drôle de photo toute floue. La neige tombait à gros flocons. C’était la nuit. Nous avions fait l’amour pendant des heures, probablement plusieurs fois de suite.
C’est elle qui m’a réveillé pour que je voie tomber la neige. Je me souviens m’être dit que c’était un peu idiot... La neige à Lyon en février, ça ne me semblait pas un spectacle inhabituel.
Toute nue, elle regardait la neige qui recouvrait le jardin en contrebas en me disant c’est beau non ? Moi j’étais derrière son dos, et je regardais ses petites fesses qui reflétaient la lumière jaune des lampadaires de la rue. J’ai saisi l’appareil posé sur la table du salon. C’est à cet instant qu’elle s’est retournée pour me sourire. Je n’ai pas interrompu mon geste, et j’ai pris la neige à travers la fenêtre. Elle s’est mise à genoux pour me prendre dans sa bouche. Elle n’avait jamais fait cela. Elle voulait me faire plaisir, elle s’y prenait plutôt mal. Nous avons encore une fois fait l’amour....
La photo est ratée et le labo ne nous l’a pas facturée, si l’on regarde attentivement, encore faut-il le savoir, on distingue vaguement le reflet de son dos..
* * *
Premières vacances à Biarritz
Celle-ci c’est mon frère qui l’a prise. On est au début de l’été sur la promenade qui longe la plage de Biarritz. Le ciel est bleu lumineux. Je me souviens de l’odeur des frites et de l’ambre solaire qui évoquait le temps des vacances. Les couleurs de la photo sont chaudes et saturées.
Le vent rabat ses cheveux vers l’avant, couvrant une partie de son visage. Elle ne pose pas et rit de toutes ses dents.
Nous nous étions baignés, l’eau était encore un peu fraiche. Elle porte une jupe rouge légère qui lui arrive un peu au-dessus des genoux. Prétextant que l’eau était très salée et qu’elle avait oublié emporter de quoi se changer, elle était restée nue sous ses vêtements.
Par jeu ou par défi, et sans que je le lui demande, elle est restée toute la journée dans la même tenue.
C’est la semaine ou elle a voulu emprunter avec moi de nouvelles voies sensuelles.
* * *
Le collier de perles
C’est l’hiver, toujours à Biarritz. Le regard buté et la lèvre tremblante, elle ne veut pas me parler.
Mes parents nous ont invités au restaurant. À la fin du repas, ma mère remarque qu’elle porte le collier en perles que je lui ai offert deux mois plus tôt. C’est à cet instant qu’elle découvre mon mensonge... le premier... en le lui offrant, je lui avais fait croire que je l’avais acheté lors d’une vente aux enchères. Ma mère lui apprend qu’il s’agit du collier de ma grand-mère. Ma mère parle toujours trop. J’aurais voulu qu’elle se taise. J’aurais voulu être ailleurs. Le choc est d’autant plus rude que le cadeau l’avait surprise.
Elle apprendra un an plus tard que ce n’était même pas de vraies perles.
C’est ce soir, je crois qu’elle à appris à ne plus m’aimer autant.
* * *
Festival d’Avignon
Photo de groupe, quelques mois plus tard. Un stage de théâtre à Avignon. Nous assistions à une ou deux représentations par jour et avions droit à l’explication de texte détaillée de l’artiste. Nous ne nous connaissions pas auparavant et ne sommes jamais revus depuis. Je ne parviens pas à mettre un nom ou un prénom sur le moindre visage.
Le cliché a été pris à la terrasse d’un café proche du palais des papes. Nous sommes côte à côte, sans tout à fait me tourner le dos, elle ne semble pas me prêter attention. Elle a sympathisé avec un garçon qui ressemble à un moniteur de ski ou de planche à voile. Il est grand, blond, les yeux clairs, l’allure assurée des hommes que les femmes recherchent ; j’ai l’air d’un môme à ses côtés.
Elle lui propose de venir nous voir à Lyon et insiste pour qu’il note le numéro de téléphone. Je sais que si elle le revoit, ce ne sera pas pour parler théâtre... Nous n’avons jamais évoqué cet épisode par la suite. Je ne suis pas certain qu’elle aurait souhaité m’associer à la réalisation de son fantasme.
* * *
Nouvel An dans le Jura
Sur celle-ci, on la voit, en train de danser. Nous sommes dans un gite dans le Jura et fêtons le Nouvel An avec un groupe d’étudiants que nous connaissons depuis quelques semaines seulement et ne reverrons jamais.
La musique est forte... tout le monde a déjà beaucoup bu. La pièce est enfumée, nous ne pouvons pas ouvrir les fenêtres, dehors il fait -20° ou moins encore.
Je la savais opposée à toute consommation de stupéfiant, mais ce soir-là, elle s’est servi une énorme part de space cake et peut être un cachet d’ectazy également.
Elle est devenue très câline, m’a attiré dans un coin un peu à l’écart, m’a pris la main, dégrafant elle-même un bouton de son jean pour dégager sa taille et m’a demandé de la caresser jusqu’à l’orgasme. Elle me regardait droit dans les yeux, tandis que ma main s’activait... je l’ai sentie se détendre comme un ressort cassé. Elle venait de jouir. Après cela, elle est partie danser, puis je l’ai perdue de vue pendant une heure ou deux jusqu’au moment où elle est venue me chercher, pour que je lui fasse l’amour sous la douche. Son sexe était humide au point que je me demande encore si je n’ai pas confondu son excitation intime avec le sperme d’un autre.
Un mois plus tard, nous étions séparés. Il me semble que c’est à cette occasion que nous avons fait l’amour pour la dernière fois.
* * *
Nuit de féria à Nîmes
Là, c’est moi de nuit, le crâne rasé, l’œil sombre, marchant dans les rues de Nîmes en pleine feria. Je suis militaire, à l’époque on disait bidasse.
Nous sommes séparés depuis plusieurs mois. Nous n’avons plus que quelques rares contacts téléphoniques.
Je sais qu’elle vit à présent dans cette ville.
J’ai l’air préoccupé et sérieux..., je me souviens que j’étais en fait à la fois triste que notre histoire soit terminée et inquiet de la rencontrer accompagnée d’un autre, qui serait forcément plus grand et plus beau que moi.
Mon ami, qui m’a invité se moque de moi.... La rue est en fête. Tout le monde rit et danse autour de nous, tandis que nous marchons en parlant du sens de la vie.
* * *
En revenant de Nîmes, un matin.....
Dans cette photo, prise d’un radar routier, à l’entrée de Nîmes, on me voit seul au volant de ma voiture. Je suis pressé d’arriver à destination.
Elle m’avait invité à venir lui rendre visite dans son deux pièces à Nîmes, pour diner.
Je n’étais plus militaire et nous ne nous étions pas revus depuis une année.
Elle m’attendait chez elle. Je suis venu les mains dans les poches, sans une bouteille ni même un bouquet de fleurs. Elle semblait heureuse de me revoir, me gratifiant de son sourire magnifique.
Tous deux assis à même le tapis de son salon, je l’écoutais me parler de son travail, de sa vie, de sa mère. Le téléphone a sonné. Elle a décroché, j’ai compris qu’elle parlait à son nouvel amoureux. Adossée à un mur, ses talons posés à plat, elle lissait sa jupe et la rajustait en me regardant sans cesser de parler. Elle a légèrement entrouvert ses genoux d’un geste faussement involontaire, me dévoilant un court instant une tache blanche entre ses cuisses.
Après qu’elle ait raccroché sur un mot tendre chargé de promesses érotiques, nous avons repris notre discussion. Il faisait chaud ce soir-là, mais la température était supportable. Elle s’est levée d’un geste nerveux, me déclarant que son string la grattait et lui rentrait dans les fesses, l’a retiré rapidement en me tournant le dos. Sagement installée sur son canapé en toile, elle est nue sous sa jupe. Elle joue, prenant garde à ce que je n’interprète aucune de ses attitudes comme un signal érotique.
J’aurais dû l’embrasser, me jeter sur elle, la prendre, sans même la déshabiller, ramper sous elle pour la dévorer. Mais ce soir, je suis resté assis sur son tapis carré... j’ai continué à parler et à boire ; à parler encore et à boire aussi.
Nous avons dormi ensemble. Je n’étais de toute façon pas en état de reprendre la route. Allongée, dos contre mon ventre dans son lit, elle était nue. J’étais saoul et m’en voulais de ne pas avoir su réfréner ma pulsion alcoolique. Comprenant qu’il ne pouvait désormais plus y avoir que de la tendresse entre nous, elle s’est saisi de ma main droite afin de couvrir son sein gauche et s’est rapidement endormie.
* * *
Photo sur le net
Je ne l’ai plus jamais croisée. Récemment, en tapant son nom sur un moteur de recherche, j’ai vu son visage apparaitre sur une photo qui semblait avoir été scannée à partir d’une pièce d’identité.
Près de trente ans plus tard, elle n’a pas changé. Elle est toujours aussi souriante et ne fait pas son âge.
En revoyant cette image, me revenaient en mémoire les deux années que nous avions passées ensemble. Elle était toujours célibataire et vivait encore dans le sud. Je me suis demandé ce qu’il serait passé si je ne lui avais pas menti à propos du collier de perles. Peut-être aurions-nous prolongé notre histoire. Nous aurions certainement eu des enfants et la séparation n’en aurait été que plus douloureuse. Nous n’étions pas destinés à rester ensemble toute notre vie.
J’ai quelques remords, mais aucun regret. Je conserve un souvenir attendri de ma première histoire d’amour.
* * *
Elle n’a pas tout oublié
Ma mère est passée à la maison hier soir. Après quinze ans de célibat, elle a enfin décidé de refaire sa vie dans une autre ville avec son nouveau compagnon. C’est fou ce que l’on peut jeter quand on déménage. Je lui avais dit que je ne voulais pas qu’elle se débarrasse de quoi que ce soit qui m’appartient sans me le dire. Elle a tenu parole et m’a rapporté hier, une malle pleine de vêtements d’enfants et une surprise. La surprise c’est cette boite en carton qui déborde de vieux souvenirs que je suis en train d’effeuiller, seule, sur la table de mon salon.
Au fond de la boite, une enveloppe rose. Dans l’enveloppe, quelques photos de moi, encore adolescente. Mes sœurs et moi fêtant mes dix-huit ans, mon chat, mes premiers et derniers essais de photographie artistique. Puis retournée, parmi d’autres ; je suis sûr qu’elle a ouvert l’enveloppe, un cliché, ou je m’adonne au plaisir naturiste au bord d’une rivière par une claire journée d’été. Je suis debout, bien sûr toute nue, et la photo a été prise de surplomb. Mon corps est un peu déformé par la perspective plongeante. Je suis bronzée des pieds à la tête, sans la moindre marque de maillot de bain. J’avais encore mes petits seins, qui me complexaient tant, que je me suis fait refaire pour mes trente ans.
J’avais oublié l’existence de cette image, mais je me souviens de cette journée. Je ferme les yeux et elle revit en moi.
Nous avions décidé de nous baigner dans le Gardon. Ma sœur avait voulu nous accompagner avec son petit ami iranien. Lui nous conduisait, dans sa 504 décapotable rouge.
Il faisait très chaud, et nous voulions nous baigner. Il ne supportait pas la promiscuité et refusait toutes les plages que nous lui proposions, nous avons roulé, puis marché longtemps pour trouver un endroit qui ne soit pas envahi de familles.
Il était beau ce jour-là, très brun, ses cheveux bouclés flottaient au vent. Ses lunettes de soleil lui donnaient un air absent. J’avais envie de le toucher, de gouter sa peau que je devinais salée. Lui, conduisait, sans dire un mot le regard fixé sur la route.
C’est moi qui après notre baignade ai pris l’initiative de me débarrasser de mon slip de bain, pour bronzer toute nue. Il ne s’est pas fait prier longtemps et s’est lui aussi complètement dévêtu. Ma sœur était dans l’eau en compagnie de son invité. Visiblement gênés, ils n’osaient plus nous rejoindre.
Allongée sur le ventre, je somnolais, goutant l’odeur des pins, la douceur du soleil et le chant des cigales. Je me sentais bien dans mon corps, j’ai senti sa main huilée d’abord se poser sur mon épaule puis investir le reste de mon corps. J’avais envie qu’il continue sa caresse, qu’il l’a précise et de ses doigts me fasse jouir maintenant.
Je me suis levée et d’un geste de la tête l’ai invitée à me suivre. Sous un arbre, je me suis assise face à lui, tournant le dos à la rivière. Écartant légèrement les genoux, je n’ai pas eu besoin de dire pour qu’il comprenne ce que je désirais. Je voulais me sentir fouillée, caressée, excitée... Je n’ai jamais retrouvé un homme qui sache aussi bien me faire jouir de ces doigts. Il m’a caressée, longuement, lentement, avec la précision et la douceur d’une femme. Je le regardais dans les yeux et sentait son trouble alors que le plaisir rapidement montait de mon ventre d’abord par vagues, puis comme un flot continu. C’est à ce moment que sans cesser sa caresse, il s’est penché vers moi, me soufflant une parole obscène et souriante. J’ai senti mon sexe inondé de plaisir. Un petit cri m’a échappé... Je ne l’ai pas touché. Il n’a pas insisté. Il n’a jamais compris que j’attendais qu’il prenne sans attendre mon autorisation
C’est avec lui que je me suis peu à peu affranchie de mes inhibitions et du poids du regard de ma mère. Un soir, j’ai eu l’impression que je faisais l’amour avec mon frère. Je n’ai plus supporté de voir son visage face à moi. Je me suis retournée, et m’imaginant avec un autre je me suis faite jouir sans attention pour son plaisir. Je savais que notre histoire était finie. Je n’avais plus envie de lui. Il me fallait d’autres corps, d’autres odeurs, ressentir les émotions du début.
Nous nous sommes quittés sans qu’il insiste pour me retenir. Il avait l’air triste des amants révoqués. Je ne l’admirais plus.
Nous nous sommes revus peu après notre séparation. Je voulais qu’il me prenne, qu’il me maltraite et me baise.... mais, il n’a rien compris et a passé toute la soirée à boire et à parler.
Je ne sais plus où il vit. Il a dû vieillir et perdre sa brune beauté juvénile. Peut-être ses cheveux ont-ils blanchi. Peut-être a-t-il pris du ventre ou perdu l’éclat de son regard. Je voudrais ne jamais le recroiser. Et puis que lui dire à présent ?
Premiers mots, dans le train
Ça, c’est dans le train qui nous conduisait à Marseille. Nous ne nous connaissions pas encore. J’avais remarqué cette fille qui sur le quai m’observait. C’est elle qui m’a adressé la parole en premier. Sa tête me disait bien quelque chose, mais je ne la remettais pas. Je ne me souviens plus des premiers mots que nous avons échangés. Le train était bondé et nous n’avions pas trouvé de places où nous assoir. Debout sur la plateforme, nous nous sommes racontés ; elle souriait tout le temps, faisant comme si elle me trouvait passionnant ; moi, je faisais la roue....Elle a voulu me montrer , un petit reflex argentique autofocus, que son père lui avait offert pour son anniversaire et dont elle était très fière, en le manipulant elle a photographié la porte des toilettes. Le flash s’est déclenché automatiquement..... L’image est remarquablement nette.
Quand à Vienne, le Wagon a commencé à se vider, nous nous sommes installés, côte à côte....Elle me parlait, de sa vie, de ses parents, de ses études....Nous fréquentions la même école. Elle entamait sa première année, moi ma troisième. Je me souviens juste de ses yeux qui brillaient et des reflets roux qui courraient sur le Rhône ce matin de décembre entre neige et soleil.
* * *
Neige de février la nuit.
Ça, c’est une drôle de photo toute floue. La neige tombait à gros flocons. C’était la nuit. Nous avions fait l’amour pendant des heures, probablement plusieurs fois de suite.
C’est elle qui m’a réveillé pour que je voie tomber la neige. Je me souviens m’être dit que c’était un peu idiot... La neige à Lyon en février, ça ne me semblait pas un spectacle inhabituel.
Toute nue, elle regardait la neige qui recouvrait le jardin en contrebas en me disant c’est beau non ? Moi j’étais derrière son dos, et je regardais ses petites fesses qui reflétaient la lumière jaune des lampadaires de la rue. J’ai saisi l’appareil posé sur la table du salon. C’est à cet instant qu’elle s’est retournée pour me sourire. Je n’ai pas interrompu mon geste, et j’ai pris la neige à travers la fenêtre. Elle s’est mise à genoux pour me prendre dans sa bouche. Elle n’avait jamais fait cela. Elle voulait me faire plaisir, elle s’y prenait plutôt mal. Nous avons encore une fois fait l’amour....
La photo est ratée et le labo ne nous l’a pas facturée, si l’on regarde attentivement, encore faut-il le savoir, on distingue vaguement le reflet de son dos..
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Premières vacances à Biarritz
Celle-ci c’est mon frère qui l’a prise. On est au début de l’été sur la promenade qui longe la plage de Biarritz. Le ciel est bleu lumineux. Je me souviens de l’odeur des frites et de l’ambre solaire qui évoquait le temps des vacances. Les couleurs de la photo sont chaudes et saturées.
Le vent rabat ses cheveux vers l’avant, couvrant une partie de son visage. Elle ne pose pas et rit de toutes ses dents.
Nous nous étions baignés, l’eau était encore un peu fraiche. Elle porte une jupe rouge légère qui lui arrive un peu au-dessus des genoux. Prétextant que l’eau était très salée et qu’elle avait oublié emporter de quoi se changer, elle était restée nue sous ses vêtements.
Par jeu ou par défi, et sans que je le lui demande, elle est restée toute la journée dans la même tenue.
C’est la semaine ou elle a voulu emprunter avec moi de nouvelles voies sensuelles.
* * *
Le collier de perles
C’est l’hiver, toujours à Biarritz. Le regard buté et la lèvre tremblante, elle ne veut pas me parler.
Mes parents nous ont invités au restaurant. À la fin du repas, ma mère remarque qu’elle porte le collier en perles que je lui ai offert deux mois plus tôt. C’est à cet instant qu’elle découvre mon mensonge... le premier... en le lui offrant, je lui avais fait croire que je l’avais acheté lors d’une vente aux enchères. Ma mère lui apprend qu’il s’agit du collier de ma grand-mère. Ma mère parle toujours trop. J’aurais voulu qu’elle se taise. J’aurais voulu être ailleurs. Le choc est d’autant plus rude que le cadeau l’avait surprise.
Elle apprendra un an plus tard que ce n’était même pas de vraies perles.
C’est ce soir, je crois qu’elle à appris à ne plus m’aimer autant.
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Festival d’Avignon
Photo de groupe, quelques mois plus tard. Un stage de théâtre à Avignon. Nous assistions à une ou deux représentations par jour et avions droit à l’explication de texte détaillée de l’artiste. Nous ne nous connaissions pas auparavant et ne sommes jamais revus depuis. Je ne parviens pas à mettre un nom ou un prénom sur le moindre visage.
Le cliché a été pris à la terrasse d’un café proche du palais des papes. Nous sommes côte à côte, sans tout à fait me tourner le dos, elle ne semble pas me prêter attention. Elle a sympathisé avec un garçon qui ressemble à un moniteur de ski ou de planche à voile. Il est grand, blond, les yeux clairs, l’allure assurée des hommes que les femmes recherchent ; j’ai l’air d’un môme à ses côtés.
Elle lui propose de venir nous voir à Lyon et insiste pour qu’il note le numéro de téléphone. Je sais que si elle le revoit, ce ne sera pas pour parler théâtre... Nous n’avons jamais évoqué cet épisode par la suite. Je ne suis pas certain qu’elle aurait souhaité m’associer à la réalisation de son fantasme.
* * *
Nouvel An dans le Jura
Sur celle-ci, on la voit, en train de danser. Nous sommes dans un gite dans le Jura et fêtons le Nouvel An avec un groupe d’étudiants que nous connaissons depuis quelques semaines seulement et ne reverrons jamais.
La musique est forte... tout le monde a déjà beaucoup bu. La pièce est enfumée, nous ne pouvons pas ouvrir les fenêtres, dehors il fait -20° ou moins encore.
Je la savais opposée à toute consommation de stupéfiant, mais ce soir-là, elle s’est servi une énorme part de space cake et peut être un cachet d’ectazy également.
Elle est devenue très câline, m’a attiré dans un coin un peu à l’écart, m’a pris la main, dégrafant elle-même un bouton de son jean pour dégager sa taille et m’a demandé de la caresser jusqu’à l’orgasme. Elle me regardait droit dans les yeux, tandis que ma main s’activait... je l’ai sentie se détendre comme un ressort cassé. Elle venait de jouir. Après cela, elle est partie danser, puis je l’ai perdue de vue pendant une heure ou deux jusqu’au moment où elle est venue me chercher, pour que je lui fasse l’amour sous la douche. Son sexe était humide au point que je me demande encore si je n’ai pas confondu son excitation intime avec le sperme d’un autre.
Un mois plus tard, nous étions séparés. Il me semble que c’est à cette occasion que nous avons fait l’amour pour la dernière fois.
* * *
Nuit de féria à Nîmes
Là, c’est moi de nuit, le crâne rasé, l’œil sombre, marchant dans les rues de Nîmes en pleine feria. Je suis militaire, à l’époque on disait bidasse.
Nous sommes séparés depuis plusieurs mois. Nous n’avons plus que quelques rares contacts téléphoniques.
Je sais qu’elle vit à présent dans cette ville.
J’ai l’air préoccupé et sérieux..., je me souviens que j’étais en fait à la fois triste que notre histoire soit terminée et inquiet de la rencontrer accompagnée d’un autre, qui serait forcément plus grand et plus beau que moi.
Mon ami, qui m’a invité se moque de moi.... La rue est en fête. Tout le monde rit et danse autour de nous, tandis que nous marchons en parlant du sens de la vie.
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En revenant de Nîmes, un matin.....
Dans cette photo, prise d’un radar routier, à l’entrée de Nîmes, on me voit seul au volant de ma voiture. Je suis pressé d’arriver à destination.
Elle m’avait invité à venir lui rendre visite dans son deux pièces à Nîmes, pour diner.
Je n’étais plus militaire et nous ne nous étions pas revus depuis une année.
Elle m’attendait chez elle. Je suis venu les mains dans les poches, sans une bouteille ni même un bouquet de fleurs. Elle semblait heureuse de me revoir, me gratifiant de son sourire magnifique.
Tous deux assis à même le tapis de son salon, je l’écoutais me parler de son travail, de sa vie, de sa mère. Le téléphone a sonné. Elle a décroché, j’ai compris qu’elle parlait à son nouvel amoureux. Adossée à un mur, ses talons posés à plat, elle lissait sa jupe et la rajustait en me regardant sans cesser de parler. Elle a légèrement entrouvert ses genoux d’un geste faussement involontaire, me dévoilant un court instant une tache blanche entre ses cuisses.
Après qu’elle ait raccroché sur un mot tendre chargé de promesses érotiques, nous avons repris notre discussion. Il faisait chaud ce soir-là, mais la température était supportable. Elle s’est levée d’un geste nerveux, me déclarant que son string la grattait et lui rentrait dans les fesses, l’a retiré rapidement en me tournant le dos. Sagement installée sur son canapé en toile, elle est nue sous sa jupe. Elle joue, prenant garde à ce que je n’interprète aucune de ses attitudes comme un signal érotique.
J’aurais dû l’embrasser, me jeter sur elle, la prendre, sans même la déshabiller, ramper sous elle pour la dévorer. Mais ce soir, je suis resté assis sur son tapis carré... j’ai continué à parler et à boire ; à parler encore et à boire aussi.
Nous avons dormi ensemble. Je n’étais de toute façon pas en état de reprendre la route. Allongée, dos contre mon ventre dans son lit, elle était nue. J’étais saoul et m’en voulais de ne pas avoir su réfréner ma pulsion alcoolique. Comprenant qu’il ne pouvait désormais plus y avoir que de la tendresse entre nous, elle s’est saisi de ma main droite afin de couvrir son sein gauche et s’est rapidement endormie.
* * *
Photo sur le net
Je ne l’ai plus jamais croisée. Récemment, en tapant son nom sur un moteur de recherche, j’ai vu son visage apparaitre sur une photo qui semblait avoir été scannée à partir d’une pièce d’identité.
Près de trente ans plus tard, elle n’a pas changé. Elle est toujours aussi souriante et ne fait pas son âge.
En revoyant cette image, me revenaient en mémoire les deux années que nous avions passées ensemble. Elle était toujours célibataire et vivait encore dans le sud. Je me suis demandé ce qu’il serait passé si je ne lui avais pas menti à propos du collier de perles. Peut-être aurions-nous prolongé notre histoire. Nous aurions certainement eu des enfants et la séparation n’en aurait été que plus douloureuse. Nous n’étions pas destinés à rester ensemble toute notre vie.
J’ai quelques remords, mais aucun regret. Je conserve un souvenir attendri de ma première histoire d’amour.
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Elle n’a pas tout oublié
Ma mère est passée à la maison hier soir. Après quinze ans de célibat, elle a enfin décidé de refaire sa vie dans une autre ville avec son nouveau compagnon. C’est fou ce que l’on peut jeter quand on déménage. Je lui avais dit que je ne voulais pas qu’elle se débarrasse de quoi que ce soit qui m’appartient sans me le dire. Elle a tenu parole et m’a rapporté hier, une malle pleine de vêtements d’enfants et une surprise. La surprise c’est cette boite en carton qui déborde de vieux souvenirs que je suis en train d’effeuiller, seule, sur la table de mon salon.
Au fond de la boite, une enveloppe rose. Dans l’enveloppe, quelques photos de moi, encore adolescente. Mes sœurs et moi fêtant mes dix-huit ans, mon chat, mes premiers et derniers essais de photographie artistique. Puis retournée, parmi d’autres ; je suis sûr qu’elle a ouvert l’enveloppe, un cliché, ou je m’adonne au plaisir naturiste au bord d’une rivière par une claire journée d’été. Je suis debout, bien sûr toute nue, et la photo a été prise de surplomb. Mon corps est un peu déformé par la perspective plongeante. Je suis bronzée des pieds à la tête, sans la moindre marque de maillot de bain. J’avais encore mes petits seins, qui me complexaient tant, que je me suis fait refaire pour mes trente ans.
J’avais oublié l’existence de cette image, mais je me souviens de cette journée. Je ferme les yeux et elle revit en moi.
Nous avions décidé de nous baigner dans le Gardon. Ma sœur avait voulu nous accompagner avec son petit ami iranien. Lui nous conduisait, dans sa 504 décapotable rouge.
Il faisait très chaud, et nous voulions nous baigner. Il ne supportait pas la promiscuité et refusait toutes les plages que nous lui proposions, nous avons roulé, puis marché longtemps pour trouver un endroit qui ne soit pas envahi de familles.
Il était beau ce jour-là, très brun, ses cheveux bouclés flottaient au vent. Ses lunettes de soleil lui donnaient un air absent. J’avais envie de le toucher, de gouter sa peau que je devinais salée. Lui, conduisait, sans dire un mot le regard fixé sur la route.
C’est moi qui après notre baignade ai pris l’initiative de me débarrasser de mon slip de bain, pour bronzer toute nue. Il ne s’est pas fait prier longtemps et s’est lui aussi complètement dévêtu. Ma sœur était dans l’eau en compagnie de son invité. Visiblement gênés, ils n’osaient plus nous rejoindre.
Allongée sur le ventre, je somnolais, goutant l’odeur des pins, la douceur du soleil et le chant des cigales. Je me sentais bien dans mon corps, j’ai senti sa main huilée d’abord se poser sur mon épaule puis investir le reste de mon corps. J’avais envie qu’il continue sa caresse, qu’il l’a précise et de ses doigts me fasse jouir maintenant.
Je me suis levée et d’un geste de la tête l’ai invitée à me suivre. Sous un arbre, je me suis assise face à lui, tournant le dos à la rivière. Écartant légèrement les genoux, je n’ai pas eu besoin de dire pour qu’il comprenne ce que je désirais. Je voulais me sentir fouillée, caressée, excitée... Je n’ai jamais retrouvé un homme qui sache aussi bien me faire jouir de ces doigts. Il m’a caressée, longuement, lentement, avec la précision et la douceur d’une femme. Je le regardais dans les yeux et sentait son trouble alors que le plaisir rapidement montait de mon ventre d’abord par vagues, puis comme un flot continu. C’est à ce moment que sans cesser sa caresse, il s’est penché vers moi, me soufflant une parole obscène et souriante. J’ai senti mon sexe inondé de plaisir. Un petit cri m’a échappé... Je ne l’ai pas touché. Il n’a pas insisté. Il n’a jamais compris que j’attendais qu’il prenne sans attendre mon autorisation
C’est avec lui que je me suis peu à peu affranchie de mes inhibitions et du poids du regard de ma mère. Un soir, j’ai eu l’impression que je faisais l’amour avec mon frère. Je n’ai plus supporté de voir son visage face à moi. Je me suis retournée, et m’imaginant avec un autre je me suis faite jouir sans attention pour son plaisir. Je savais que notre histoire était finie. Je n’avais plus envie de lui. Il me fallait d’autres corps, d’autres odeurs, ressentir les émotions du début.
Nous nous sommes quittés sans qu’il insiste pour me retenir. Il avait l’air triste des amants révoqués. Je ne l’admirais plus.
Nous nous sommes revus peu après notre séparation. Je voulais qu’il me prenne, qu’il me maltraite et me baise.... mais, il n’a rien compris et a passé toute la soirée à boire et à parler.
Je ne sais plus où il vit. Il a dû vieillir et perdre sa brune beauté juvénile. Peut-être ses cheveux ont-ils blanchi. Peut-être a-t-il pris du ventre ou perdu l’éclat de son regard. Je voudrais ne jamais le recroiser. Et puis que lui dire à présent ?
Lun 12 Mars 2012, 22:57 par
francisco varga sur Histoires d'amour
Les hommes aussi veulent de la tendresse
Les hommes ont changé face au plaisir
Aujourd’hui , les hommes veulent toujours du sexe , mais que celui-ci soit accompagné d’amour et de tendresse
Le sexe seul , ça ne les séduit plus tant que ça. Les calins avant et après l’amour , s’endormir dans les bras de l’autre , ils apprécient de plus en plus
L’homme en couple d’aujourd’hui souhaite , pour la grande majorité , que son couple dure , et pour cela , il veut s’en donner les moyens
Comprendre la femme qui partage sa vie , lui semble primordial
Sur le plan sexuel , les hommes ne sont pas toujours entièrement satisfaits , mais ils ne semblent pas être perturbés outre mesure quand ils sont vraiment amoureux
Et puisqu’ils aiment , ils acceptent que sexuellement , la relation ne soit pas aussi intense qu’ils le souhaiteraient
Beaucoup d’hommes aimeraient faire l’amour tous les jours. Mais , il y a les contraintes de la vie quotidienne qui font que cela n’est pas toujours possible. Et puis , et surtout , de plus en plus , les hommes respectent les désirs de leur compagne qui , dans la grande majorité , ne sont pas aussi demandeuses que leur conjoint
Pour les hommes , il s’agit certes d’une frustation , mais ils la considèrent minime par rapport au conflit qui pourrait mettre leur couple à mal
Depuis toujours , dans le couple , l’homme a été considéré comme celui qui devait désirer l’autre
Seulement , au fil des années , les choses ont évolué. Les hommes se rendent compte que le sexe sans l’amour et la tendresse , ça n’a pas la même saveur
Mais , dans le même temps , ils retrouvent en face d’eux , des femmes qui , de plus en plus souvent , ont adopté le comportement des hommes en matière de sexe. C’est un peu déstabilisant. Il faut trouver le moyen de s’accorder
Pour pouvoir évoluer plus encore , les hommes doivent cesser de penser que tout doit passer par eux , y compris le plaisir de leur partenaire , idée que de très nombreux hommes ont en commun
Les hommes commencent à s’interroger et à se parler entre eux. Ainsi , ils confient , avec beaucoup de pudeur toutefois , qu’ils aiment " embrasser " le sexe de leur femme , ce qui témoigne d’une véritable évolution dans leur comportement amoureux
Ils se disent aussi , de plus en plus nombreux adeptes des préliminaires , ce jeu amoureux qui permet de faire monter le désir , de prendre le temps de se regarder , de mieux se connaître. Ces tendres calins , sont un moment de plaisir partagé qui fait monter l’excitation , de part et d’autre , jusqu’à n’en plus pouvoir
Pour ce qui est de la pénétration , aujourd’hui les hommes ne " prennent " plus leur femme , ils se sentent " accueillis " . C’est alors la fusion et la plénitude ( paroles d’hommes ! )
Bien sûr , il existera toujours des machos purs et durs , pour lesquels , leur sexe est , et demeurera un " outil " de domination de la femme
Mais , ce qui ressort vraiment aujourd’hui , c’est que les hommes , de plus en plus , laissent émerger leur part de féminité , sans honte aucune , et c’est tant mieux. Il n’y a rien de plus émouvant et touchant qu’un homme qui pleure. Loin d’être ridicules , ces hommes-là , nous remuent , nous les femmes, au plus profond de nous-mêmes
On sent les hommes avides de tendresse et d’amour vrai , comme nous le sommes, nous les femmes , en grande majorité
Les hommes ont commencé à comprendre que pour être heureux dans son couple , il fallait savoir ouvrir son coeur. Bien ouvrir son coeur , évidemment , suppose de bien se servir de son sexe ( avec tendresse et respect ) . En amour , le coeur et le sexe sont étroitement liés
Aujourd’hui , les hommes veulent toujours du sexe , mais que celui-ci soit accompagné d’amour et de tendresse
Le sexe seul , ça ne les séduit plus tant que ça. Les calins avant et après l’amour , s’endormir dans les bras de l’autre , ils apprécient de plus en plus
L’homme en couple d’aujourd’hui souhaite , pour la grande majorité , que son couple dure , et pour cela , il veut s’en donner les moyens
Comprendre la femme qui partage sa vie , lui semble primordial
Sur le plan sexuel , les hommes ne sont pas toujours entièrement satisfaits , mais ils ne semblent pas être perturbés outre mesure quand ils sont vraiment amoureux
Et puisqu’ils aiment , ils acceptent que sexuellement , la relation ne soit pas aussi intense qu’ils le souhaiteraient
Beaucoup d’hommes aimeraient faire l’amour tous les jours. Mais , il y a les contraintes de la vie quotidienne qui font que cela n’est pas toujours possible. Et puis , et surtout , de plus en plus , les hommes respectent les désirs de leur compagne qui , dans la grande majorité , ne sont pas aussi demandeuses que leur conjoint
Pour les hommes , il s’agit certes d’une frustation , mais ils la considèrent minime par rapport au conflit qui pourrait mettre leur couple à mal
Depuis toujours , dans le couple , l’homme a été considéré comme celui qui devait désirer l’autre
Seulement , au fil des années , les choses ont évolué. Les hommes se rendent compte que le sexe sans l’amour et la tendresse , ça n’a pas la même saveur
Mais , dans le même temps , ils retrouvent en face d’eux , des femmes qui , de plus en plus souvent , ont adopté le comportement des hommes en matière de sexe. C’est un peu déstabilisant. Il faut trouver le moyen de s’accorder
Pour pouvoir évoluer plus encore , les hommes doivent cesser de penser que tout doit passer par eux , y compris le plaisir de leur partenaire , idée que de très nombreux hommes ont en commun
Les hommes commencent à s’interroger et à se parler entre eux. Ainsi , ils confient , avec beaucoup de pudeur toutefois , qu’ils aiment " embrasser " le sexe de leur femme , ce qui témoigne d’une véritable évolution dans leur comportement amoureux
Ils se disent aussi , de plus en plus nombreux adeptes des préliminaires , ce jeu amoureux qui permet de faire monter le désir , de prendre le temps de se regarder , de mieux se connaître. Ces tendres calins , sont un moment de plaisir partagé qui fait monter l’excitation , de part et d’autre , jusqu’à n’en plus pouvoir
Pour ce qui est de la pénétration , aujourd’hui les hommes ne " prennent " plus leur femme , ils se sentent " accueillis " . C’est alors la fusion et la plénitude ( paroles d’hommes ! )
Bien sûr , il existera toujours des machos purs et durs , pour lesquels , leur sexe est , et demeurera un " outil " de domination de la femme
Mais , ce qui ressort vraiment aujourd’hui , c’est que les hommes , de plus en plus , laissent émerger leur part de féminité , sans honte aucune , et c’est tant mieux. Il n’y a rien de plus émouvant et touchant qu’un homme qui pleure. Loin d’être ridicules , ces hommes-là , nous remuent , nous les femmes, au plus profond de nous-mêmes
On sent les hommes avides de tendresse et d’amour vrai , comme nous le sommes, nous les femmes , en grande majorité
Les hommes ont commencé à comprendre que pour être heureux dans son couple , il fallait savoir ouvrir son coeur. Bien ouvrir son coeur , évidemment , suppose de bien se servir de son sexe ( avec tendresse et respect ) . En amour , le coeur et le sexe sont étroitement liés
Sam 25 Fév 2012, 17:01 par
Marhyna sur La vie à deux
Mecano à l'usage des amantes
je n’avais pas d’amour
alors j’en ais fabriqué un de toutes pièces
ce n’est pas bien dur
a faire
un amour
ce n’est pas bien dur
lorsque dans sa tête
naissent des mondes à l’infini
l’arbre bleu
le perroquet vert
le chat mauve
dansent sous deux lunes
pleines
les seins célestes de l’univers
tu le savais
que je courais le monde
a cheval
sur un étalon rouge
toi tu pensais
ordonner le monde
comme un jardin à la française
clôturer les roses
dans une réserve indienne
de terres consenties
mais c’était pas du jeu
ce n’était pas mon jeu
le fou prend la dame
dans le creux de son lit
c’est l’échiquier maboule
de trappes et d’oublis
sans logique
pas de queue
pas de tête
pas d’arrêtes
tu vois
je joue encore
a fabriquer des délires
pratique
il me fallait un amour
aussi
je l’ai bricolé:
des images de toi
et quelques paroles
un peu de sang
non, beaucoup !
rouge comme le suc des grenages trop mûre
des nerfs
je te veux nerveux comme
un enfant
ceux des grandes familles
prodige et maudit
indomptable
comme le vent sur la dune
oui
je te l’avais bien dit
ce n’est pas bien dur
d’être amoureuse
suffit
d’être débrouillarde
et
très méthodique
et puis
surtout
un tout petit peu
têtu
non je ne t’entends pas
non je ne t’entends plus
mon âme en ballon libre
vol sur la plaine
l’amour est ivresse
dansent les lunes rondes
la migration des flamands
pas forcement roses
le chant des baleines
le cri du loup
c’est l’amour qu’on bricole
mon amour.
alors j’en ais fabriqué un de toutes pièces
ce n’est pas bien dur
a faire
un amour
ce n’est pas bien dur
lorsque dans sa tête
naissent des mondes à l’infini
l’arbre bleu
le perroquet vert
le chat mauve
dansent sous deux lunes
pleines
les seins célestes de l’univers
tu le savais
que je courais le monde
a cheval
sur un étalon rouge
toi tu pensais
ordonner le monde
comme un jardin à la française
clôturer les roses
dans une réserve indienne
de terres consenties
mais c’était pas du jeu
ce n’était pas mon jeu
le fou prend la dame
dans le creux de son lit
c’est l’échiquier maboule
de trappes et d’oublis
sans logique
pas de queue
pas de tête
pas d’arrêtes
tu vois
je joue encore
a fabriquer des délires
pratique
il me fallait un amour
aussi
je l’ai bricolé:
des images de toi
et quelques paroles
un peu de sang
non, beaucoup !
rouge comme le suc des grenages trop mûre
des nerfs
je te veux nerveux comme
un enfant
ceux des grandes familles
prodige et maudit
indomptable
comme le vent sur la dune
oui
je te l’avais bien dit
ce n’est pas bien dur
d’être amoureuse
suffit
d’être débrouillarde
et
très méthodique
et puis
surtout
un tout petit peu
têtu
non je ne t’entends pas
non je ne t’entends plus
mon âme en ballon libre
vol sur la plaine
l’amour est ivresse
dansent les lunes rondes
la migration des flamands
pas forcement roses
le chant des baleines
le cri du loup
c’est l’amour qu’on bricole
mon amour.
Mer 15 Fév 2012, 08:59 par
adeleH sur L'amour en vrac
Notre histoire
- Encore une année derrière nous ! C’est inouï !
- Plus que 10 mn et les vacances sont là !
- Oui ! Mais je ne suis pas mécontente, nous avons préparé de bons projets et je suis certaine que cela va être un plus formidable pour eux !
- C’est certain !
[…]
- Allez, allez, le temps passe, pas d’heure sup cette fois et profitez bien de vos vacances !
- Merci, chef, vous aussi !
- Cette manie de m’appeler « chef » !
- Oui, chef, et je trouve que cela vous va bien ! Adios, hihihi, me voy, carissimo jefe !
Je suis de bonne humeur, oui, vraiment, tout se passe à merveille dans ma vie (j’ai bien avancé et bien bossé, c’est sûr !) et au travail, où l’on abat un boulot dingue ! Nos projets aboutissent, le tout avec un super travail d’équipe, du respect et de la bonne humeur ! Nous sommes différents et ce sont nos différences qui constituent une valeur ajoutée formidable ! Nous pallions au pied levé les manques de facto : que demander de plus ? ! Je dois reconnaître que la perspective d’assurer à nouveau les cours pour les primo arrivants à la rentrée et la prépa pour l’évolution de carrière me réjouissent au plus au point ! Je ne suis pas dupe, je sais qu’il faudra encore jouer avec le temps et savoir se montrer persuasifs mais nous formons une super équipe, je suis sûre que nous arriverons à finaliser nos actions collectives et de mon côté, mes propres travaux pas si détachés que ça de l’intérêt général !
Une fois franchies les portes de l’immeuble, un soleil de plomb m’attend mais il n’est pas seul. Une silhouette d’homme se dessine à contre-jour. Mon cœur se met à battre sur un tempo inhabituel ! Toi ! C’est, toi ! Toi, toi, toi ! Tu es là ! Un sourire inonde mon visage ! Je le savais, je sentais que tu viendrais et c’est aujourd’hui… Je devine ton sourire, toujours le même et tes yeux emplis d’amour, de tendresse, de désir dans lesquels je me ressource à chaque fois ! Mais cette fois, pas de fuite pas de faux semblant, on sait bien ce que nous attendons l’un de l’autre. Ce que j’aime chez toi ! Il y a tant de choses que la liste serait sans fin et puis, j’ai rien envie de lister ! Un bien-être infini m’envahit lorsque je suis auprès de toi. J’aime jusqu’à ce que certains nommeraient des défauts et qui font partie de toi, de ton vécu, de tes luttes, de tes victoires ! Et ta douceur, ta persévérance, ton intelligence, ton sens de l’humour… Je n’ai pas le désir de faire le tri. Je te veux tout entier. Tu es celui que j’espérais, que j’ai toujours voulu. Dès ce premier jour, où, nos regards surpris se sont croisés. Un jour je vivrai avec toi, ne me demande pas comment je le sais, c’est ainsi ! Et nous nous épanouirons de ce partage, libres, et de cette confiance ! J’en ai la conviction profonde.
Je marche doucement vers toi, vers ce bonheur infini que tu me donnes déjà.
Avant, il fallait le temps de digérer, de faire la part des choses et d’avancer, de dépasser nos peurs et nos doutes, de cesser de voir en l’autre les ombres du passé. Il fallait le vouloir, vraiment.
Le portail. Les quelques pas qui me séparent de toi. Mais je suis déjà avec toi, je l’ai été depuis ce jour où nos cœurs ont accepté de s’ouvrir à l’autre. Je n’élèverai plus de barricade, craché juré !
C’est si simple de te t’aimer. Oui, je t’aime.
- Plus que 10 mn et les vacances sont là !
- Oui ! Mais je ne suis pas mécontente, nous avons préparé de bons projets et je suis certaine que cela va être un plus formidable pour eux !
- C’est certain !
[…]
- Allez, allez, le temps passe, pas d’heure sup cette fois et profitez bien de vos vacances !
- Merci, chef, vous aussi !
- Cette manie de m’appeler « chef » !
- Oui, chef, et je trouve que cela vous va bien ! Adios, hihihi, me voy, carissimo jefe !
Je suis de bonne humeur, oui, vraiment, tout se passe à merveille dans ma vie (j’ai bien avancé et bien bossé, c’est sûr !) et au travail, où l’on abat un boulot dingue ! Nos projets aboutissent, le tout avec un super travail d’équipe, du respect et de la bonne humeur ! Nous sommes différents et ce sont nos différences qui constituent une valeur ajoutée formidable ! Nous pallions au pied levé les manques de facto : que demander de plus ? ! Je dois reconnaître que la perspective d’assurer à nouveau les cours pour les primo arrivants à la rentrée et la prépa pour l’évolution de carrière me réjouissent au plus au point ! Je ne suis pas dupe, je sais qu’il faudra encore jouer avec le temps et savoir se montrer persuasifs mais nous formons une super équipe, je suis sûre que nous arriverons à finaliser nos actions collectives et de mon côté, mes propres travaux pas si détachés que ça de l’intérêt général !
Une fois franchies les portes de l’immeuble, un soleil de plomb m’attend mais il n’est pas seul. Une silhouette d’homme se dessine à contre-jour. Mon cœur se met à battre sur un tempo inhabituel ! Toi ! C’est, toi ! Toi, toi, toi ! Tu es là ! Un sourire inonde mon visage ! Je le savais, je sentais que tu viendrais et c’est aujourd’hui… Je devine ton sourire, toujours le même et tes yeux emplis d’amour, de tendresse, de désir dans lesquels je me ressource à chaque fois ! Mais cette fois, pas de fuite pas de faux semblant, on sait bien ce que nous attendons l’un de l’autre. Ce que j’aime chez toi ! Il y a tant de choses que la liste serait sans fin et puis, j’ai rien envie de lister ! Un bien-être infini m’envahit lorsque je suis auprès de toi. J’aime jusqu’à ce que certains nommeraient des défauts et qui font partie de toi, de ton vécu, de tes luttes, de tes victoires ! Et ta douceur, ta persévérance, ton intelligence, ton sens de l’humour… Je n’ai pas le désir de faire le tri. Je te veux tout entier. Tu es celui que j’espérais, que j’ai toujours voulu. Dès ce premier jour, où, nos regards surpris se sont croisés. Un jour je vivrai avec toi, ne me demande pas comment je le sais, c’est ainsi ! Et nous nous épanouirons de ce partage, libres, et de cette confiance ! J’en ai la conviction profonde.
Je marche doucement vers toi, vers ce bonheur infini que tu me donnes déjà.
Avant, il fallait le temps de digérer, de faire la part des choses et d’avancer, de dépasser nos peurs et nos doutes, de cesser de voir en l’autre les ombres du passé. Il fallait le vouloir, vraiment.
Le portail. Les quelques pas qui me séparent de toi. Mais je suis déjà avec toi, je l’ai été depuis ce jour où nos cœurs ont accepté de s’ouvrir à l’autre. Je n’élèverai plus de barricade, craché juré !
C’est si simple de te t’aimer. Oui, je t’aime.
Mer 06 Juil 2011, 11:05 par
dolce vita sur Parler d'amour
Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire ii
17 mars 2004 dans son journal intime : "Si à trente ans, je suis encore puceau, j’irai quand même chez les putes"
Découvertes
Notre héros avait 24 ans. Il était toujours puceau. Il avait mis une petite annonce sur un site web : "puceau cherche initiatrice".
La semaine de la mise en ligne de cette annonce, il recevait une lettre d’une lectrice de la bibliothèque dans laquelle il travaillait. Elle avait dix années de moins que lui. Sa lettre était une déclaration d’amour. Cela l’avait touché mais il avait du répondre par la négative à cause de son travail et de son âge. Elle rougissait à sa vue. Il fallut attendre qu’il se décidât à mettre une petite annonce pour qu’il reçoive une déclaration d’amour.
Quelques jours plus tard, il recevait une réponse d’une masseuse d’une ville du Nord. Elle l’invitait à se faire masser dans son salon. C’est comme cela qu’à l’aube de ces 25 ans, il alla chez cette femme. Une femme très belle et en petite tenue. L’ambiance de la chambre était calme, tranquille et tamisé. Il y avait une douce musique de fond, avec le bruit d’une fontaine. Elle l’invita à se déshabiller. Il se mit tout nu et alla se coucher sur le ventre sur la table de massage.
Elle commença à le masser en faisant des cercles de haut en bas et des diagonales sur son dos et en lui effleurant l’anus, puis lui chatouillant les testicules. Elle utilisait une huile chauffée à température du corps, une sensation très agréable. Ils discutèrent de tout et de rien. Elle lui demanda ensuite de se mettre sur le dos. Elle lui massa le ventre et aussi les tétons, et encore les couilles, et puis elle prit son sexe bien en main tout en douceur et commença à le branler de haut en bas. Il éjacula et orgasma, elle continua à le masser et lui essuya le ventre avec un mouchoir. Notre héros était heureux. La masseuse lui offrit ce massage qu’il prit comme un don. Et avant de partir, elle lui avait dit que c’était de dommage de donner sa virginité à une inconnue et de faire l’amour pour la première fois sans sentiment. Elle était la première femme à le faire jouir.
Ses relations
Pour son quart de siècle, ses amis lui avaient offert une poupée gonflable, il utilisa cet objet. Il fut déçu car il s’attendait à trouver une pute. Il testa cette poupée mais n’arriva pas éjaculer dans le trou vaginal, il lubrifia la bouche de la poupée. Il enfila une capote et éjacula dans la bouche de cette femme en plastique.
Notre héros avait un très grand carnets d’adresses. Il avait aussi sa bande d’amis. Des véritables amis qui ne l’avaient jamais jugé sur son célibat. Il avait toujours été invité à leurs repas. Ils avaient fêtés tous leurs anniversaires ensemble. Ils se voyaient en moyenne une fois par mois depuis passé dix années. Ces amis avec qui il était sorti de nombreuses fois ensemble- Ils faisaient la noce dans les campagnes de leur région et les cités de leur pays. Sa bande d’amis, il les connaissait depuis qu’il était tout petit. Il était le seul de la bande à ne pas avoir de copine. Les copines de ses amis étaient pour lui ses sœurs. Ils pouvaient se confier à elle. Il recevait beaucoup de petits câlins de leur part. Leurs présences lui étaient bénéfique. Il en apprenait chaque fois plus sur les femmes. Elles lui donnaient des conseils. Il savait que si il avait besoin d’elles, elles seraient là. Elles disaient de lui qu’il était un homme à marier. Un jour, il viendrait accompagner à ces soirées. Sa copine participerait à leurs soirées de filles.
Notre héros fréquentait aussi la rue. La rue juge contrairement aux amis. Il était traité d’homosexuel, de retardé, de croyant et d’anormal d’être encore puceau à 25 ans. Les beaux discours sur le mariage, ces lascars en avaient rien à foutre. Ils venaient tous de familles mono-parentales. Notre héros avait toujours su se faire respecter des autres mais la pression d’être encore puceau selon son statut social augmentait, de plus il avait aussi envie de découvrir le sexe. C’était des gamins qui lui faisaient la morale. Les femmes étaient inexistantes dans ce milieux et quand un lascars manquait à l’appel. C’était qu’il avait rencontré une go. Une fois en couple, le lascars se rangeait si il découvrait l’amour. Il se donnait comme nouveau but la construction d’un foyer. Souvent certains revenaient à la rue mais c’était blessé, endetté et avec une haine contre le genre féminin. Les femmes causent beaucoup de ravage dans la psychologie d’un homme. Ici le langage est aussi beaucoup plus cru. La femme est une pute mais dans le bon sens du terme. Une femme sert à reproduire et son rôle est de rester à la maison. Les femmes se font tourner. L’amour se résume à un film pornographique. Les petites passent à la casserole. Elles seront traumatisées et blessée à vie. Il faut du pognon pour avoir une belle femme. L’idéal féminin étaient les filles de Playboy. La femme était devenue un objet de consommation. Notre héros fréquentait aussi le monde de la nuit, il y avait les lovers. Ces gars se préparaient aussi longtemps que des femmes. Ils peaufinaient des détails comme les sourcils. et se soignaient comme des acteurs de cinéma. Notre héros savait que ces longues heures derrière le miroir étaient bénéfique en femme. Ceux qui choppaient plusieurs femmes dans une soirée. Ces ginos qui ne lâchaient pas l’affaire. Des men qui se prenaient trente râteaux dans la soirée mais la trente et unième demande était la bonne. Ces casseurs de cœurs finissait toujours la soirée chez une chaudasse. Ces gars persévéraient dans le seul but de se vider les couilles et de raconter leurs exploits le lendemain aux lascars du village.
Les initiatrices
Quelques semaines plus tard à 25 ans révolus, il rencontra via petite annonce, une femme qui était d’accord d’être son initiatrice. Elle avait quelques années de moins que lui. Elle travaillait dans le même milieu professionnel que lui. Elle mesurait un mètre huitante pour un poids de soixante kilos. Elle était très expérimentée. Elle était en couple mais un couple libertin. Elle avait beaucoup de lingerie. Elle avait de petits seins. Son sexe était mi-rasé. Ils parlèrent ensemble durant un mois. Il pourrait tout lui faire sauf la sodomie réservée à son copain. Il était en confiance. Ce jour avait bien été préparé. Un jour, ils prirent rendez-vous. Il loua une chambre d’hôtel dans la capitale. Il alla la chercher à la gare et ils allèrent ensemble dans la chambre. Ils s’assirent sur le lit et ils commencèrent. Ils s’embrassèrent. Ils se déshabillèrent. Il embrassa tous son corps de petits bisous. Il la doigta, il lui lécha la chatte, il la caressa, elle le suça, il la pénétra mais il n avait aucun plaisir à cause de la capote. Il continua jusqu’à ce qu’il transpire et ne puisse plus donner, alors il se coucha et elle commença à le sucer longuement et puis elle le finit en le branlant. Il éjacula. Ils s’endormirent l’un à côté de l’autre. Durant toute la nuit, sa main se balada sur ce grand corps féminin, et il l’embrassa, et lui donna des milliers de bisous. Il put enfin découvrir le corps féminin dans sa profondeur et son entier.
Le lendemain, il était un autre homme. Il lui semblait que toute les femmes le regardaient. Il avait changé. Il n’était plus puceau et ne le serait plus jamais.
Le soir même dans une autre ville, il y avait un concert de rap américain. Il était avec ses amis. Avec l’aide de son meilleur ami de soirée, il abordèrent une fille qu’ils connaissaient déjà de vue. Elle était noiraude. Elle avait la même taille que lui et une grosse poitrine. Elle était vêtue simplement comme il l’aimait. Il s’approcha d’elle. Ils dansèrent ensemble et s’approchèrent. Il se cherchèrent l’un après l’autre et puis leurs lèvres se collèrent ensemble. Ils s’embrassèrent. Notre héros remerciait le seigneur pour tout cela. Ils passèrent la nuit ensemble chez un de ses amis. Il en était à sa deuxième expérience sexuelle. Cette fois ci, il y avait de l’alcool et du THC, mais il lui parut qu’il assura mieux que la première fois. La taille de sa partenaire lui facilitait aussi la tâche. Il n’arriva pas à jouir ce soir là. Ils dormirent ensemble toute la nuit. Le matin au réveil, notre héros, pensait qu’il avait enfin trouvé son oiseau rare et que la quête de l’amour serait finie. De plus, il ne pouvait pas simplement coucher une seule fois avec cette fille. Il était obligé de la respecter à cause des liens qui l’attachaient à certains membres de sa belle famille. Il était une personne avec des principes. Il avait couchait avec cette fille et si cette fille voulait de lui. Il la choisirait et l’aimerait- Elle deviendrai sa femme et la maman de ses enfants. Ce petit trésor pensait qu’il réfléchissait à comment il allait la jeter et elle luit dit quelque chose mais il comprit : « Ce n’était que pour une nuit » Il était très déçu mais en même temps délivré! C’était sur un accord commun. Elle aurait pu devenir sa princesse. Il était mal-entendant.
Après ces deux nuits, il avait mal aux muscles mais découvert un nouveau sport : le sport matelas.
Deux soirs de suite avec deux femmes différentes, c’était pas mal pour une première entrée en matière. Il rentra dans son village natal en héros. Il avait des choses à raconter aux mioches de son village.
L’espagnole
Quelques temps après sur un réseau social, il rencontra une espagnole, de onze ans son ainée. Elle était belle. Elle avait un corps de vénus. C’était un ancien mannequin, une femme magnifique. Elle avait des yeux couleurs de saphirs et des cheveux noirs ! Cette femme se confia à lui et lui raconta plusieurs épisodes de sa vie. Elle n’avait pas eu une vie facile. Elle avait perdu sa mère. Son père la battait. Elle s’était enfuie de la maison et avait vécu dans la rue. Elle avait touché à la drogue et à survivait grâce à de petits jobs. Un jour, elle tomba enceinte et apprit que le père de son enfant la trompait. Elle resta forte pour donner le meilleur d’elle-même à cet ange. Elle cultiva une haine et une méfiance des hommes. Elle n’avait plus confiance en l’Amour. Notre héros tomba amoureux de cette femme. Il l’avait séduite par les mots. Ses histoires l’avaient inspirée et il lui avait écrit des textes. Ses textes l’avaient touchée et séduite. Elle était très cultivée et aimait aussi beaucoup lire et surtout le lire. Ils avaient de grands échanges philosophiques et ésotériques. Quand il la rencontra, il était en période d’examen. C’était plaisant d’avoir une copine avec qui parler de ce qu’il avait fait la journée, qui lui tenait les pouces, qui lui souhaitait une belle journée, qui lui donnait du courage, qui partageait avec lui ses joies et ses soucis.
Un soir alors qu’elle était dans une mauvaise phase, elle l’invita chez elle. Il avait les mots justes et une oreille attentive. Il était ici pour la prendre dans ses bras et la protéger. Elle voulait dormir dans les bras d’un homme.Cette première nuit fut magique, comme toutes celles qui suivirent.
C’étaient des nuits enfumées, avec une douce lumière,une ambiance romantique, des caresses, des massages, des bisous, des baisers, des jeux de langue. Il alla à plusieurs reprises chez elle. C’était toujours merveilleux, dans l’amour, dans une entente parfaite, dans une fusion des corps mais sans aucune pénétration, seulement par des caresses, des léchages, des cunnilingus.
Il tomba amoureux de cette espagnole. Il en devint accroc. Il s’y était attaché comme le petit prince à sa rose. Il insista pour la revoir- Il l avait toujours respectés. Il avait tout fait la pour la séduire- Il lui avait trouvé des objets introuvables. Ils se prirent même la tête car il ne comprenait pas qu’elle ne voulait pas être sa copine, mais juste une amie, mieux qu’une amie ! Un jour, elle lui mentit et elle but au lieu de l’accueillir chez elle. Mais lui ne comprenait plus rien !..elle lui fit tourner la tête...Il s’était trouvé un nouveau but. Il commença à lui écrire des lettres- Elle était sa muse...puis il mélangea tout ! Amitié, amour, tendresse, sexe. Il la blessa suite à une rencontre. Il se blessa et abandonna cette conquête. Il était myope.
Cette femme l’avait marquée. L’amour rend aveugle.
Heureusement, que cette femme le respectait et certainement l’avait aussi aimé car elle aurait pu faire n’importe quoi de lui. C’est comme cela qu’il s’intéressa aux femmes dominatrices. Il avait vu chez elle une paire de menottes. Elle avait bien dressé son chien de combat.
Imaginaire de notre héros
Il aimait lire et écrire. Il adorait les livres. Il travaillait en bibliothèque. Il avait lu beaucoup de livres sur les religions, des textes sacrés, des traités d’angéologie, des discours philosophique, des études psychologique, des manuels d’astrologie, des cours de numérologie et des parchemins ésotériques. Il s’intéressait aussi à l’histoire, la géographie ainsi qu’à tous les domaines du savoir universels. Il croyait en l’univers infini. Il était un individualiste. Il voyait en beaucoup de chose des signes mais ces signes se révélaient souvent faux. Il ne savait pas encore les lire. Il en voyait d’ailleurs toujours. Il lisait énormément donc beaucoup de mots défilaient sous ses yeux. Il voyait des signes toutes les deux pages et se créait des films qui ne se réalisaient jamais. Il tombait souvent de haut mais il savait toujours se relever. Il n’avait jamais rencontré personne ces dernières années parce qu’il pensait que son ange lui tomberait dessus tout seul. Il avait marché des kilomètres dans les campagne, les forêt, les villages et les villes dans l’attente de cette rencontre. Il croyait aux contes pour enfant et aux père noël. Il en avait pourtant rencontré du monde mais jamais cette douce-moitié.
Il cherchait dans la réalité ce qu’il avait lu dans des livres. Il en était déçu. Le chemin pour atteindre le monde merveilleux de l’amour et de la joie était semé d’embuches.
Deux livres le marquèrent s’étaient l’Art d’aimer d’Ovide et Le Manuel du Guerrier de la Lumière de Paulo Coehlo. Ces deux livres vont le suivre jusqu’à la fin de cette histoire.
Il tenait aussi un journal intime depuis ses dix-sept ans. Il adorait écrire. Quand il tombait de passion pour une femme,il ne pouvait s’empêcher de lui écrire des doux messages via mail, sms, des romans, des poèmes mais la plus part du temps elles prenaient peur. Elles n’étaient pas habituées à recevoir un tel flot de mots doux indirectement d’Amour d’un inconnu. Elles s’enfuyaient et il n’avaient plus de nouvelles. Il ne lui restait plus que son journal intime.
Il s’efforçait d’être un Guerrier de la Lumière et de promouvoir la Paix, l’Amour et l’Unité !
Différents mode de sexualité
Notre héros en arrivait à des conclusions dramatiques sur les femmes. Elles étaient toutes des putes, des salopes, des pétasses, des chiennes. Il commença à entretenir une haine de la femme. Il se demanda si les femmes aimaient mieux les profiteurs, les enfoirés, les salopards, les violents à des hommes attentionnés, intelligents, gentils et serviables. Il devait arrêter de mettre la femme sur un piédestal.
La femme est un être humain de sexe féminin pouvant reproduire l’espèce humaine après s’être fait fécondée par un être humain de sexe masculin. C’est de l’ordre biologique. Historiquement, cela fait depuis le début de l’humanité qu’elle se fait dominer. Ce mythe est inscrit dans les gènes de ses semblables comme naturel. Il comprit qu’il était un homme et qu’il avait le droit de profiter des femmes. Ce n’était pas un mal dans cette société. La femme sert a assouvir les pulsions des hommes, s’occuper du foyer et élever les gamins.
Notre petit gars se dit alors faisons comme tout le monde, contrairement aux autres, il savait ce qu’il faisait et y allait en toute connaissance de cause. Après tout, il n avait jamais manqué de respect à une femme et apparemment leur manquer un peu de respect était tout à fait tolérable.
Notre héros s’en alla explorer le monde du sexe taxé.
Le sexe est une drogue et comme toute drogue, il y a un marché. C’est comme cela qu’il partit à la découverte des prostituées. Il utilisa leurs services à trois reprises mais s’y promena très régulièrement dans les quartiers chauds de différentes grandes villes. Il appréciait le fait de pouvoir choisir un être humain et le fait des le payer pour un service. Le service était trop court à son goût. Il aimait vraiment trop les câlins et les préliminaires mais cela lui permettait de passer ses pulsions sexuelles.
Sa première prostituée était une brésilienne habillée tout de blanc. Elle avait un joli cul. C’était une jolie blonde avec un beaux corps. Elle se trouvait sur l’avenue de la route de Genève dans la capitale. Ils étaient ensuite allé dans une chambre à côté de la rue. Elle lui avait demandé l’argent avant, et puis elle s’était déshabillée. Il s’était aussi déshabillé. Elle lui avait nettoyé le sexe et son entres-jambes avec papier humide. Elle l’avait branlé un peu, histoire de faire gonfler son membre et lui avait enfilé une capote...elle l’avait sucé...ensuite elle s’était mise comme une chienne afin qu’il la prenne en levrette. Il n’avait jamais essayé cette position et elle remarqua qu’il était un débutant. Elle se mit alors sur le dos et leva les jambes et il l a pris en position du missionnaire...Il la pénétra mais cela ne venait pas, puis elle a serré son vagin et il est venu d’un coup en elle...Elle lui a enlevé le préservatif et essuyé, son sexe. Elle lui a fait comprendre qu’il pouvait se rhabiller et puis il était sortit et notre héros était rentré chez lui...un billet bleu pour ça ! Il avait découvert le sexe taxé...La prostitution était légale dans son pays. La majorité sexuelle était à seize ans. Ses deux autres expériences eurent lieu dans une capitale européenne dans laquelle les prostituées peuvent louer des vitrines pour mieux se mettre en valeur. Il choisit une petite noiraude, étudiante, d’origine italienne. C’était caillante, un suck & fuck pour 50euros ! Et puis une grande blonde, d’origine portugaise avec qui c’était trop bon...et qui le chauffa grave. Elle lui faisait des envies de bisous, mais sans l’embrasser et fit une toute meilleure entrée en matière que les deux autres. Elle était certainement déjà plus expérimentée ou contente d’avoir un joli jeune homme comme client. C’était sa dernière et meilleure pute. Maintenant, il savait que si il avait de l’argent, il ne serait plus jamais en manque de sexe. Cette expérience lui enlevait un grand poids dans sa vie.
C’est comme cela que par une escapade dans une ville européenne, il se fit entraîner dans un cabaret. Jennifer l’accostât. C’était une normande, une belle femme, une grande blonde, habillée très classe et raffinée, elle portait un immense décolté. Elle l’emmena dans une pièce. C’était une pièce entourée de rideaux rouge et bleu tout en velours. C’était un cadre luxueux rien que pour lui et elle. C’était très classe ! Il n y avait qu’une table et un banc. Ils assirent l’un à coté de l’autre. Ils parlèrent ensemble- Il pouvait la caresser, la toucher, lui faire des bisous...elle lui fit une danse très chaude, ou elle se frotta contre lui et lui prodigua quelques caresses. Il resta trois heures en sa compagnie et il but une bière , elle but un cocktail et ils burent une bouteille de champagne pour 760 euros. Notre petit homme s’était fait roulé. Il s’était fait arnaqué. Il était tombé sous le charme de Jennifer. Les racoleurs ont bien vu qu’il était un naïf touriste, mais un bon touriste se fait toujours arnaquer. Un monde de faux-culs et d’hypocrites qui n’ont d’intérêt que l’argent que vous avez. Un business très bien géré et totalement légal. Il était rentré démoralisé à son hôtel et il était allé se branler dans les toilettes de celui-ci. Après dans la journée, il s’acheta le manuel du guerrier de la lumière et tout alla mieux. Ce n’était pas si grave.
Un soir sur un chat, il discuta avec un pseudo "homme-passif". Notre héros lui demanda : « ce que cela voulait dire ? »il lui écrivit : « Viens chez moi et tu verras » . C’est comme cela qu’il arriva chez ce type, qui était tout nu avec un collier et une laisse. Ce gros balèze lui dit avec une voix de tapette : « Vous êtes le Maître, je suis le chien! »
Heureusement pour notre héros qu’il possédait un chien au foyer familial et qu’il savait comment s’y prendre. Ce soir là, il découvrit le bdsm et expérimenta plusieurs pratiques sm. Il revit une autre fois cette pute mais lui demandant de se travestir. C’était une soumise avec une bite. Le jeux de la domination lui plaisait bien mais il n’aimait pas les hommes. Il se fit lécher l’anus et sucer les couilles- Il a fessé cet esclave avec divers moyens comme une cravache et un martinet. Elle demandait que son nouveau Maître y aille encore plus fort. Enfermé dans cette cave et ayant vu pleins de films de taulards, il sodomisa cette chienne et lui fit une éjaculation faciale. Enfin il adora jouer le rôle de master bdsm et il aima prendre un rôle comme dans une pièce de théâtre. Il aima surtout pouvoir frapper une personne avec son consentement. Il découvrait une nouvelle façon de vivre la sexualité. Il n’a pu embrasser cet homme. Il ne s’est pas laissé mettre un doigt dans le cul. Il n’avait pas d’attirance pour les hommes. Il se décida à ne plus avoir d’expérience homosexuelle mais ne renoncerait pas aux jeux de la domination si il rencontrait une soumise consentante. Il la guiderait volontiers dans un accord commun.
Un après-midi sur un chat, il rencontra une vielle nymphomane de cinquante ans son ainée...Une véritable chienne. Ils se donnèrent rendez-vous dans la gare du Nord. Ils vinrent le chercher à la gare. Elle portait un simple manteau, avec un soutien gorge, un porte-jarretelle et des talons aiguilles- Elle était maquillée. Elle était rousse. Elle s’était parfumée. Ils s’installèrent à l’arrière de la voiture. Son époux conduisait et ils commencèrent à se chauffer dans l’auto. Elle était vielle mais excitante. Ils commencèrent à se toucher, à se caresser, à se faire des petits bisous pendant que la voiture traversait la ville. Notre héros se croyait dans un film de cul. Son cocu de chauffeur s’arrêta dans une clairière en forêt et il sorti...et elle mouillait comme une truie...elle n’avait jamais autant mouillé ce qu’elle lui avoua quelques jours après sur msn. Il la pelota et ensuite elle lui prit le sexe dans la main et il éjacula précocement...cette situation était tellement excitante...il lui mit deux doigts dans le vagin et la doigta activement, le temps que son érection revienne...une fois le gland redevenu dur...il enfila la capote...et baisa cette vielle salope...ensuite il la retourna comme une chienne...il se prenait pour une star du porno...mais il avait peur de la craquer...il jouit de nouveau...putain de salope de vielle...Le sexe hardcore s’était aussi possible pour lui ! Il se rhabilla et ils le ramenèrent à la gare! En trente minute chronos !
Virtualité
N’ayant jamais eu de relation, il s’était un créé un substitut à ce manque par l’utilisation de messagerie instantanée. Le fait de draguer des filles, puis de chatter avec elle dans ce monde virtuel lui permettait d’affiner sa plume et de connaître la psychologie féminine. Il avait souvent répété des même histoires. Il s’était pris de passion pour plusieurs filles. Il était aussi passé par une période ou il pensait que rencontrer une soumise serait l’idéal pour son mode de vie. Il avait créé toute sortes de relations virtuelles. Il avait commencé à utiliser ces plates formes de discussion lorsqu’il était au lycée. Il était devenu un chatteur expert en dix années d’activités. Il avait les bons mots et savait rebondir au bon moment. Ces discussions avec ces inconnues lui procuraient du plaisir tel qu’une drogue. Ces discussions lui comblaient un manque affectif réel. Ces relations virtuelles lui avaient même fait baisser parfois sa consommation de nicotine et de THC. Nous vivons dans une société qui en moins de dix ans, faute de place sur la planète, c’est agrandie sur la toile virtuelle. Les sans adresse électroniques deviennent de plus en plus marginalisé. Ces nombreux échanges sur des chats lui avaient évité des nombreuses consultation chez un psychologue. Les dialogues en direct ont quelques qualités mais aussi des défauts. Le plus grand danger est l’isolement car bien que la personne chatte avec plusieurs personnes. Elle n’utilise pas le sens du toucher mais avec la simple lecture de mots sur un écran, l’autre personne est capable de transmettre des émotions, envoyée dans notre cerveau qui font travailler notre imagination afin de provoquer une simple érection ou un malaise d’angoisse comme devant une fille réelle.
De plus comme beaucoup de ses relations réelles étaient parties depuis le terrain virtuel, souvent quand il chattaient avec une fille, il savait qu’il y avait des chances que cette première étape, se suive par une rencontre si le feeling passait entre les deux personnes. Une rencontre ne signifiait pas forcément une partie de jambe en l’air. Ces discussion avec ces femmes virtuelles lui comblait son manque affectif et les trois heures passées quotidiennement à discuter avec elles lui permettait de se mettre travail ou de gérer son association. Il vivait dans les années 2000, les rencontres sur internet étaient une pratique courante.
Il en passera des heures à écrire sur des forums, à envoyer des e-mails à des inconnues, de discuter sur des dialogues en direct. Certaines de ses relations l’enverront droit dans le trou et il se fit encore du mal tout seul. Il croyait en des relations mais rien du tout. Elles disparaissaient sans laisser de nouvelles. Elles ne venaient pas aux rendez-vous. Il était un passionné et dès qu’il commençait à s’éprendre pour une femme, il y mettait toute son énergie.
Il adorait écrire mais ne s’était jamais plus vraiment emballé dans une conquête avec des mots. Il avait remarqué le pouvoir des mots en écrivant à l’Espagnole. Il savait que sa plume était puissante. Il avait de nouveau peur d’expérimenter le sentiment d’Amour.
Redécouverte de l’amour
Après un long chemin parcouru dans l’obscurité et les ténèbres. Il était prêt à redevenir un gentleman. Il n avait pas eu plus de succès, en traitant les femmes de salopes. Il rencontra une fille qui le marqua et avec qui il passa une nuit ensemble. C’était le premier jour de l’an 2010. Il devaient simplement se voir et aller boire un verre, ils dansèrent toute la nuit et finirent par coucher ensemble
Quelques années avant, elle avait été la première à lui écrire un sms suite à une soirée passée dans un festival. Elle avait été adoptée, suite à la mort de sa mère. Elle n’avait jamais connu sa mère biologique. Son pays d’origine était la terre du peuple tupi-guarani. Elle avait des cheveux noirs, des magnifiques yeux toujours très soigné dans leur maquillage. Elle s’habillait style skateuse. Elle n’avait jamais accepté sa féminité. Quand elle s’habillait en fille, elle devenait encore plus jolie. Elle portait des bijoux avec de jolies pierres turquoise qui rendait son visage lumineux. Elle avait un charme incroyable. Il l’avait rencontré lorsqu’il travaillait dans la vente. Elle était en couple mais cela ne les empêchait pas de se regarder et de se sourire tendrement. Elle le kiffait. Plusieurs fois, ils s’étaient croisé au grès du hasard jusqu’à ce festival. Ils restèrent ensemble toute la soirée. Ils discutèrent- Ils allèrent dans la forêt autour du feux de bois et il la raccompagnât à pied jusqu’à chez elle. Il n’était pas automobiliste. Le sms qu’il reçut le lendemain, avait été compris comme un signe. Ils se revirent pour aller voir une jam de graffiti et passèrent encore toutes la soirée ensemble. Il avait fait des efforts et il l’avait invitée contrairement, aux autres filles. Elle lui avait posé un lapin. Ils se revirent plusieurs fois, mais jamais notre héros lui prenait la main, lui touchait le bras ou essayait un quelque conque signe d’affection. Il était encore puceau au début de ses rencontres avec elle. Elle supportait mieux l’alcool que lui. L’alcool et les sentiments amoureux se mélangeait en lui comme un mauvais cocktail. Ce mélange le rendait malade. Leurs échanges étaient aussi très riches. Ils se confièrent mais jamais il lui dit qu’il éprouvait quelques sentiments pour elle.
Ce n’était pas la première fois qu’il se trouvait dans cette situation. Il se créait des amies. Il cherchait des amantes. Il voulait une copine. Il n’arrivait pas à la rejeter. Il se retrouvait dans des situations ambigüe et ce n’était pas la première fois.
Après, il devint fou de cette fille. Il commençait à s y attacher et plus de nouvelles jusqu’à la soirée du 1er de l’an. Ils firent l’amour. Elle lui dit qu’il était une bête de sexe. Elle le suça. Il lui donna pleins de bisous. Il lui dit : « Je t’aime ». Le lendemain, en partant de chez elle, il s’est dit cette fois, super, il a enfin une copine. Il l’aimait et malgré son caractère et ses sauts d’humeurs entre le noir et le blanc. Il était prêt à s’investir dans une relation à long terme. Il était prêt à aider une femme. La joie fut de courte durée, en retournant chez elle et s’attendant à embrasser sa copine. Elle lui dit qu’elle préférait qu’ils restent ami comme avant. Le choc, coup de poignard, heureusement, il avait une tête de mari-jeanne. Il fuma un gros kéké. Il s’en alla. C’était la vie ! Il acceptait. Le combat devait continuer.
Sexualité alternative dans un sens spirituel
Biographie BDSM de notre héros
Découverte de ce monde en 2007.
Pratiques sur deux soumis et un travestis entre 2007 et 2008. Un peu près cinq session de deux heures de temps, soit une expérience réelle en tout de 10h00 de temps.
L’expérimentation me démangeait trop. Le virtuel me lassait, je voulais du concret mais je ne souhaite plus dominer d’homme tant que je n’aurai pas pu dominer une femme. Je ne connaissais encore rien du tout de ce monde. J’ai eu l’occasion avec ces soumis de tester énormément de techniques mais c’est clair que je ne suis pas expérimenté. Je me suis testé au bondage, cire de bougie, travail des seins, traite du soumis, travail de l’anus, les promener en laisse, crachat, insulte, fessée avec ceinture, cravache, spatule en bois, martinet, paddle, obligation de se travestir.
A la recherche d’une soumise pour vie de couple depuis 2008. J’ai le temps et je n’ai plus eu de pratiques sm depuis 2008.
"A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes."
Depuis 2007, j’ai aussi essayé plusieurs fois la domination virtuelle mais cela n’a jamais duré très longtemps, manque de temps des soumises. J’aime bien diriger la vie de la soumise en accord avec que nous avons décidé ensemble. Je peux aussi faire un programme sur mesure, régime, bien être personnel, aide dans le monde professionnel ou simplement pour que tu te dépasses et que tu découvres la soumise que tu es. Mes soumises sont respectées comme des reines car du moment qu’elles m’appartiennent, je veux le meilleur pour elle et que l’on puisse travailler au mieux le programme établis ensemble pour sa progression dans la voie de la soumission. Les choses qui m’appartiennent sont protégées, adorées, et j’en prends le plus grand soin et respect. Je n’oublie jamais qu’avant d’être une soumise,tu es un être humain, et plus particulièrement une femme.
Depuis 2008, je suis en train d’écrire un roman qui a pour cadre le bdsm. Je me suis beaucoup documenté sur le sujet. Entretien avec des Maîtresses, Maîtres, soumises, soumis, ainsi que de nombreuses lectures de livres, articles, blogs, site web, dialogue en direct.
Au plaisir d’échanger quelques mots avec vous.
Meilleures salutations.
Cette petite annonce qui avait plus de ressemblance à un curriculum vitae déboucha sur quelques relations virtuelles et réelles dont deux qui le marquèrent et d’autres qui lui refirent du mal. Il commençait à comprendre les règles du jeux. Un chemin entre amour et haine, entre plaisir et déceptions mais pour ces quelques moments de plaisir, le temps et la patience en valaient la chandelle. C’était dommage de passer à côté de l’Amour, c’est dans le moment présent et futur que nous vivons.
Il rencontra une hermaphrodite. Il s’agit du troisième genre. Cet être humain a les deux sexe comme les anges. C’est une naissance sur deux cents enfants et pourtant il en avait jamais entendu parlé avant cette rencontre. Il n’y eut qu’une courte correspondance et quelques échanges téléphoniques.
Il rencontra aussi par le biais de cette annonce et fit connaissance d’une soumise qui était devenue par la suite une amie-amante. Elle avait une fausse jambe. Elle mesurait un mètre huitante. Sa rencontre a été entourée de signe. Une relation ambiguë s’en est suivie mais qu’il a très bien géré. Il devenait meilleure dans ses relations avec les femmes.
Femme soumise du Sud
Il la rencontra vers la période de Noël sur un chat. C’est une période difficile pour les femmes célibataires car elles sont seules, sans famille. Ces femmes sont très fragiles et beaucoup plus réceptive au doux mots en cette période de l’année. Notre chasseur la séduisit très facilement. Elle ne parlait pas bien le français. Elle lui téléphona et ils se virent le lendemain. Elle vint chez lui. C’était la première femme qu’il invitait chez lui. Il la sauta, vite fait, bien fait et la raccompagna à la gare. Elle le rappela, et il retournât chez elle durant près de six mois. Elle était parfaite. Elle ne parlait pas. Elle lui préparait à manger. Elle lui faisait sa lessive. Elle lui coulait des bains. Elle était un peu plus petite que lui. Elle avait un petit ventre, mais une fois habillée et bien maquillée. Elle devait craquante. Elle avait vingt années de plus que lui. Elle était mère de deux adolescents. Elle était chômeuse. Elle était veuve de son premier mariage. Elle s’était fait trompée par son deuxième époux. Elle était divorcée. Elle était malade. Il n’avait aucun sentiment pour elle. C’était une bonne soumise. Il l’appelait deux fois par semaine. Il allait se vider les couilles chez elle. Ils dormaient ensemble et puis il repartait le matin au travail en ayant déjeuné. Il put s’entraîner à l’endurance. Il la prenait en levrette et lui mettait des claques sur les fesses. Il lui mettait des doigts dans le cul. Elle le suçait longuement. Il n’utilisa jamais de capotes avec cette femme. Il venait très vite la première fois, et puis pour ses deux prochaines éjaculations le temps était bien plus long...il la faisait jouir. Elle l’adorait. Elle en devenait accroc et elle voulait qu’il vienne habiter chez elle. Elle avait beaucoup de qualités mais il n’était pas satisfait intellectuellement. Elle était trop vieille.
Maman
Sa maman l’avait mis au monde au mois de février. La parole divine qui accompagnait ce jour était la suivante : « L’Éternel est avec moi comme un puissant »Il était du signe du du verseau, ascendant scorpion. Il était du signe astrologique chinois Le chien. Il était l’aîné. Quatre ans plus tard, ils étaient arrivés. Il s’agissait de ses deux petits frères, des jumeaux. Il dut apprendre à partager sa maman, sa chambre. Il était souvent inquiet pour elle. Il voulait toujours savoir ou elle se trouvait. Il avait peur d’être abandonné encore une fois. Il développa une certaine jalousie face à ses frères. Ils rencontrèrent pleins de filles. Ils furent dépucelés avant lui. Ils avaient eu les même parents. Elle lui avait toujours recommandé de faire attention, de toujours bien se protéger et que faire cet acte impliquait d’aimer profondément sa partenaire. Elle leurs avait achetés des livres sur l’éducation sexuelle. Malgré tout cela, elle fut sa plus grande femme. Elle lui a donné la vie. Elle l’a aimé. Elle l a nourris. Elle l a caressé. Elle l’a élevé, Elle l’a soigné. Elle l’a éduqué. Elle lui a donné tout l’amour et tous les atouts dont il avait besoin pour prendre son envol dans le monde des adultes. Elle avait toujours fait des régimes. Elle avait toujours eu quelque kilos en trop. Sa maman était belle parce qu’elle était sa maman. Il ne l’avait pas choisie mais il l’avait aimée. Il aimait sa maman. Il était son premier fils. Il remerciait sa maman pour tout ce qu’elle avait fait pour lui. Il savait qu’elle avait donné le meilleur pour lui.
Conclusion
L’aventure de notre héros se terminera ici. Il croit toujours en l’Amour malgré ses déboires. L’écriture de sa vie lui a permis de relativiser et de se dire que dans ses malheurs. Il avait la chance de ne pas avoir de malheur. Il pensait qu’il n’avait eu aucune expérience mais en relisant ses cahiers intimes. Il se sentait encore plus fort et se disait qu’il devait être normal. Il se trouvait encore plus beaux et se réjouissait de se connaître encore plus. L’écriture de ce texte a été une belle thérapie. C’étaient vingt ans de vie mise sur papier.
Cette histoire a été écrite suite à sa dernière rencontre sur un chat. Elle portait un joli prénom. Elle voulait garder contact avec lui. Elle ne l’avait pas repoussé à la lecture de son pseudo, ni de son prénom. En parlant avec elle, il avait vu énormément de signe comme toujours. Ils s’étaient même rencontrés et elle avait envie de le revoir. Elle était malade et elle avait du aller aux urgences. Notre héros invoquait l’univers pour qu’elle aille mieux et se demandait en marchant pour sa soirée... qu’avait-il fait pour mériter cela? Pour une fois qu’une chatteuse acceptait de le rencontrer, il fallait qu’elle tombe malade le jour et à l’heure de leur rencontre ! Elle était restée hospitalisée une semaine. Ils chattèrent beaucoup ensemble. Notre héros se prit d’affection pour cette femme. Elle s’était confiée à lui. Elle lui avait parlé de sa famille, de sa rupture. Elle était jolie. Elle lui avait même envoyé une photo d’elle. Il ne pouvait s’empêcher de l’ouvrir plusieurs fois dans la journée pour la voir. Elle avait des cheveux couleurs d’or, des yeux couleurs ciel et était un peu plus grande que lui. Elle était intelligente et voulait devenir conductrice de locomotive. Elle s’intéressait à ce qu’il faisait. Il avait déjà peur de la perdre. Il essayait de l’ignorer mais il craquait toujours et ne pouvait s’empêcher de lui dire bonjour. Heureusement pour lui ou pour elle, qu’il n’avait plus de connexion internet à la maison. Cette coupure lui a permis de pondre « les aventure amoureuses et sexuelles d’un presque trentenaire. »
Notre héros avait peur qu’elle s’enfuie à cause de son envie de toujours lui parler, lui écrire. Il ne voulait pas la déranger. Il devait retenir ses pulsions pour lui écrire. Il avait envie de la revoir et peut-être créer quelque chose avec elle. De plus, il redoutait de devoir lui dire qu’il n’était jamais sorti avec une fille. Elle allait aussi comme d’autres fuir à l’annonce de cette vérité ou vouloir devenir son amie. Peu importe, elle lui aurait permis de déballer ses confessions amoureuses, d’aller, de l’avant et de continuer son combat. Il s’est toujours relevé. Il désirait bientôt pouvoir démarrer une expérience de vie à deux et c’était clair qu’il ne ferait plus les même erreurs ! Il savait ce qu’il cherchait maintenant !
Il l’avait rencontrée le lendemain après avoir récité « l’invocation du jeune homme à marier ».
Il ne put s’empêcher de lui envoyer un sms au point final de cette histoire. Sourire.
Fin
Invocation du jeune homme à marier
Seigneur Tout Puissant !
E coutez votre enfant ! ...
Faites-moi trouver femme
Qui vienne calmer ma flamme!
Jolie...je le voudrais bien...
Laide...ça ne me fera rien
Pourvu qu’elle soit gentille
Comme vous Sainte-Pétronille !
Puis, je désire ardemment
Qu’elle ait du tempérament.
Qu’elle soit silencieuse,
Douce, laborieuse ! ...
Bref toutes les qualités
Qui me donneront félicité
Saint-Joseph, Saint Louis, Saint Lazare
Trouvez-moi cet oiseau rare,
Que voudrait chacun de nous,
Et qui doit être chez vous...
Pardon, si je vous dérange...
En somme, je voudrais un ange !
Jeaneck, mai 2011
Découvertes
Notre héros avait 24 ans. Il était toujours puceau. Il avait mis une petite annonce sur un site web : "puceau cherche initiatrice".
La semaine de la mise en ligne de cette annonce, il recevait une lettre d’une lectrice de la bibliothèque dans laquelle il travaillait. Elle avait dix années de moins que lui. Sa lettre était une déclaration d’amour. Cela l’avait touché mais il avait du répondre par la négative à cause de son travail et de son âge. Elle rougissait à sa vue. Il fallut attendre qu’il se décidât à mettre une petite annonce pour qu’il reçoive une déclaration d’amour.
Quelques jours plus tard, il recevait une réponse d’une masseuse d’une ville du Nord. Elle l’invitait à se faire masser dans son salon. C’est comme cela qu’à l’aube de ces 25 ans, il alla chez cette femme. Une femme très belle et en petite tenue. L’ambiance de la chambre était calme, tranquille et tamisé. Il y avait une douce musique de fond, avec le bruit d’une fontaine. Elle l’invita à se déshabiller. Il se mit tout nu et alla se coucher sur le ventre sur la table de massage.
Elle commença à le masser en faisant des cercles de haut en bas et des diagonales sur son dos et en lui effleurant l’anus, puis lui chatouillant les testicules. Elle utilisait une huile chauffée à température du corps, une sensation très agréable. Ils discutèrent de tout et de rien. Elle lui demanda ensuite de se mettre sur le dos. Elle lui massa le ventre et aussi les tétons, et encore les couilles, et puis elle prit son sexe bien en main tout en douceur et commença à le branler de haut en bas. Il éjacula et orgasma, elle continua à le masser et lui essuya le ventre avec un mouchoir. Notre héros était heureux. La masseuse lui offrit ce massage qu’il prit comme un don. Et avant de partir, elle lui avait dit que c’était de dommage de donner sa virginité à une inconnue et de faire l’amour pour la première fois sans sentiment. Elle était la première femme à le faire jouir.
Ses relations
Pour son quart de siècle, ses amis lui avaient offert une poupée gonflable, il utilisa cet objet. Il fut déçu car il s’attendait à trouver une pute. Il testa cette poupée mais n’arriva pas éjaculer dans le trou vaginal, il lubrifia la bouche de la poupée. Il enfila une capote et éjacula dans la bouche de cette femme en plastique.
Notre héros avait un très grand carnets d’adresses. Il avait aussi sa bande d’amis. Des véritables amis qui ne l’avaient jamais jugé sur son célibat. Il avait toujours été invité à leurs repas. Ils avaient fêtés tous leurs anniversaires ensemble. Ils se voyaient en moyenne une fois par mois depuis passé dix années. Ces amis avec qui il était sorti de nombreuses fois ensemble- Ils faisaient la noce dans les campagnes de leur région et les cités de leur pays. Sa bande d’amis, il les connaissait depuis qu’il était tout petit. Il était le seul de la bande à ne pas avoir de copine. Les copines de ses amis étaient pour lui ses sœurs. Ils pouvaient se confier à elle. Il recevait beaucoup de petits câlins de leur part. Leurs présences lui étaient bénéfique. Il en apprenait chaque fois plus sur les femmes. Elles lui donnaient des conseils. Il savait que si il avait besoin d’elles, elles seraient là. Elles disaient de lui qu’il était un homme à marier. Un jour, il viendrait accompagner à ces soirées. Sa copine participerait à leurs soirées de filles.
Notre héros fréquentait aussi la rue. La rue juge contrairement aux amis. Il était traité d’homosexuel, de retardé, de croyant et d’anormal d’être encore puceau à 25 ans. Les beaux discours sur le mariage, ces lascars en avaient rien à foutre. Ils venaient tous de familles mono-parentales. Notre héros avait toujours su se faire respecter des autres mais la pression d’être encore puceau selon son statut social augmentait, de plus il avait aussi envie de découvrir le sexe. C’était des gamins qui lui faisaient la morale. Les femmes étaient inexistantes dans ce milieux et quand un lascars manquait à l’appel. C’était qu’il avait rencontré une go. Une fois en couple, le lascars se rangeait si il découvrait l’amour. Il se donnait comme nouveau but la construction d’un foyer. Souvent certains revenaient à la rue mais c’était blessé, endetté et avec une haine contre le genre féminin. Les femmes causent beaucoup de ravage dans la psychologie d’un homme. Ici le langage est aussi beaucoup plus cru. La femme est une pute mais dans le bon sens du terme. Une femme sert à reproduire et son rôle est de rester à la maison. Les femmes se font tourner. L’amour se résume à un film pornographique. Les petites passent à la casserole. Elles seront traumatisées et blessée à vie. Il faut du pognon pour avoir une belle femme. L’idéal féminin étaient les filles de Playboy. La femme était devenue un objet de consommation. Notre héros fréquentait aussi le monde de la nuit, il y avait les lovers. Ces gars se préparaient aussi longtemps que des femmes. Ils peaufinaient des détails comme les sourcils. et se soignaient comme des acteurs de cinéma. Notre héros savait que ces longues heures derrière le miroir étaient bénéfique en femme. Ceux qui choppaient plusieurs femmes dans une soirée. Ces ginos qui ne lâchaient pas l’affaire. Des men qui se prenaient trente râteaux dans la soirée mais la trente et unième demande était la bonne. Ces casseurs de cœurs finissait toujours la soirée chez une chaudasse. Ces gars persévéraient dans le seul but de se vider les couilles et de raconter leurs exploits le lendemain aux lascars du village.
Les initiatrices
Quelques semaines plus tard à 25 ans révolus, il rencontra via petite annonce, une femme qui était d’accord d’être son initiatrice. Elle avait quelques années de moins que lui. Elle travaillait dans le même milieu professionnel que lui. Elle mesurait un mètre huitante pour un poids de soixante kilos. Elle était très expérimentée. Elle était en couple mais un couple libertin. Elle avait beaucoup de lingerie. Elle avait de petits seins. Son sexe était mi-rasé. Ils parlèrent ensemble durant un mois. Il pourrait tout lui faire sauf la sodomie réservée à son copain. Il était en confiance. Ce jour avait bien été préparé. Un jour, ils prirent rendez-vous. Il loua une chambre d’hôtel dans la capitale. Il alla la chercher à la gare et ils allèrent ensemble dans la chambre. Ils s’assirent sur le lit et ils commencèrent. Ils s’embrassèrent. Ils se déshabillèrent. Il embrassa tous son corps de petits bisous. Il la doigta, il lui lécha la chatte, il la caressa, elle le suça, il la pénétra mais il n avait aucun plaisir à cause de la capote. Il continua jusqu’à ce qu’il transpire et ne puisse plus donner, alors il se coucha et elle commença à le sucer longuement et puis elle le finit en le branlant. Il éjacula. Ils s’endormirent l’un à côté de l’autre. Durant toute la nuit, sa main se balada sur ce grand corps féminin, et il l’embrassa, et lui donna des milliers de bisous. Il put enfin découvrir le corps féminin dans sa profondeur et son entier.
Le lendemain, il était un autre homme. Il lui semblait que toute les femmes le regardaient. Il avait changé. Il n’était plus puceau et ne le serait plus jamais.
Le soir même dans une autre ville, il y avait un concert de rap américain. Il était avec ses amis. Avec l’aide de son meilleur ami de soirée, il abordèrent une fille qu’ils connaissaient déjà de vue. Elle était noiraude. Elle avait la même taille que lui et une grosse poitrine. Elle était vêtue simplement comme il l’aimait. Il s’approcha d’elle. Ils dansèrent ensemble et s’approchèrent. Il se cherchèrent l’un après l’autre et puis leurs lèvres se collèrent ensemble. Ils s’embrassèrent. Notre héros remerciait le seigneur pour tout cela. Ils passèrent la nuit ensemble chez un de ses amis. Il en était à sa deuxième expérience sexuelle. Cette fois ci, il y avait de l’alcool et du THC, mais il lui parut qu’il assura mieux que la première fois. La taille de sa partenaire lui facilitait aussi la tâche. Il n’arriva pas à jouir ce soir là. Ils dormirent ensemble toute la nuit. Le matin au réveil, notre héros, pensait qu’il avait enfin trouvé son oiseau rare et que la quête de l’amour serait finie. De plus, il ne pouvait pas simplement coucher une seule fois avec cette fille. Il était obligé de la respecter à cause des liens qui l’attachaient à certains membres de sa belle famille. Il était une personne avec des principes. Il avait couchait avec cette fille et si cette fille voulait de lui. Il la choisirait et l’aimerait- Elle deviendrai sa femme et la maman de ses enfants. Ce petit trésor pensait qu’il réfléchissait à comment il allait la jeter et elle luit dit quelque chose mais il comprit : « Ce n’était que pour une nuit » Il était très déçu mais en même temps délivré! C’était sur un accord commun. Elle aurait pu devenir sa princesse. Il était mal-entendant.
Après ces deux nuits, il avait mal aux muscles mais découvert un nouveau sport : le sport matelas.
Deux soirs de suite avec deux femmes différentes, c’était pas mal pour une première entrée en matière. Il rentra dans son village natal en héros. Il avait des choses à raconter aux mioches de son village.
L’espagnole
Quelques temps après sur un réseau social, il rencontra une espagnole, de onze ans son ainée. Elle était belle. Elle avait un corps de vénus. C’était un ancien mannequin, une femme magnifique. Elle avait des yeux couleurs de saphirs et des cheveux noirs ! Cette femme se confia à lui et lui raconta plusieurs épisodes de sa vie. Elle n’avait pas eu une vie facile. Elle avait perdu sa mère. Son père la battait. Elle s’était enfuie de la maison et avait vécu dans la rue. Elle avait touché à la drogue et à survivait grâce à de petits jobs. Un jour, elle tomba enceinte et apprit que le père de son enfant la trompait. Elle resta forte pour donner le meilleur d’elle-même à cet ange. Elle cultiva une haine et une méfiance des hommes. Elle n’avait plus confiance en l’Amour. Notre héros tomba amoureux de cette femme. Il l’avait séduite par les mots. Ses histoires l’avaient inspirée et il lui avait écrit des textes. Ses textes l’avaient touchée et séduite. Elle était très cultivée et aimait aussi beaucoup lire et surtout le lire. Ils avaient de grands échanges philosophiques et ésotériques. Quand il la rencontra, il était en période d’examen. C’était plaisant d’avoir une copine avec qui parler de ce qu’il avait fait la journée, qui lui tenait les pouces, qui lui souhaitait une belle journée, qui lui donnait du courage, qui partageait avec lui ses joies et ses soucis.
Un soir alors qu’elle était dans une mauvaise phase, elle l’invita chez elle. Il avait les mots justes et une oreille attentive. Il était ici pour la prendre dans ses bras et la protéger. Elle voulait dormir dans les bras d’un homme.Cette première nuit fut magique, comme toutes celles qui suivirent.
C’étaient des nuits enfumées, avec une douce lumière,une ambiance romantique, des caresses, des massages, des bisous, des baisers, des jeux de langue. Il alla à plusieurs reprises chez elle. C’était toujours merveilleux, dans l’amour, dans une entente parfaite, dans une fusion des corps mais sans aucune pénétration, seulement par des caresses, des léchages, des cunnilingus.
Il tomba amoureux de cette espagnole. Il en devint accroc. Il s’y était attaché comme le petit prince à sa rose. Il insista pour la revoir- Il l avait toujours respectés. Il avait tout fait la pour la séduire- Il lui avait trouvé des objets introuvables. Ils se prirent même la tête car il ne comprenait pas qu’elle ne voulait pas être sa copine, mais juste une amie, mieux qu’une amie ! Un jour, elle lui mentit et elle but au lieu de l’accueillir chez elle. Mais lui ne comprenait plus rien !..elle lui fit tourner la tête...Il s’était trouvé un nouveau but. Il commença à lui écrire des lettres- Elle était sa muse...puis il mélangea tout ! Amitié, amour, tendresse, sexe. Il la blessa suite à une rencontre. Il se blessa et abandonna cette conquête. Il était myope.
Cette femme l’avait marquée. L’amour rend aveugle.
Heureusement, que cette femme le respectait et certainement l’avait aussi aimé car elle aurait pu faire n’importe quoi de lui. C’est comme cela qu’il s’intéressa aux femmes dominatrices. Il avait vu chez elle une paire de menottes. Elle avait bien dressé son chien de combat.
Imaginaire de notre héros
Il aimait lire et écrire. Il adorait les livres. Il travaillait en bibliothèque. Il avait lu beaucoup de livres sur les religions, des textes sacrés, des traités d’angéologie, des discours philosophique, des études psychologique, des manuels d’astrologie, des cours de numérologie et des parchemins ésotériques. Il s’intéressait aussi à l’histoire, la géographie ainsi qu’à tous les domaines du savoir universels. Il croyait en l’univers infini. Il était un individualiste. Il voyait en beaucoup de chose des signes mais ces signes se révélaient souvent faux. Il ne savait pas encore les lire. Il en voyait d’ailleurs toujours. Il lisait énormément donc beaucoup de mots défilaient sous ses yeux. Il voyait des signes toutes les deux pages et se créait des films qui ne se réalisaient jamais. Il tombait souvent de haut mais il savait toujours se relever. Il n’avait jamais rencontré personne ces dernières années parce qu’il pensait que son ange lui tomberait dessus tout seul. Il avait marché des kilomètres dans les campagne, les forêt, les villages et les villes dans l’attente de cette rencontre. Il croyait aux contes pour enfant et aux père noël. Il en avait pourtant rencontré du monde mais jamais cette douce-moitié.
Il cherchait dans la réalité ce qu’il avait lu dans des livres. Il en était déçu. Le chemin pour atteindre le monde merveilleux de l’amour et de la joie était semé d’embuches.
Deux livres le marquèrent s’étaient l’Art d’aimer d’Ovide et Le Manuel du Guerrier de la Lumière de Paulo Coehlo. Ces deux livres vont le suivre jusqu’à la fin de cette histoire.
Il tenait aussi un journal intime depuis ses dix-sept ans. Il adorait écrire. Quand il tombait de passion pour une femme,il ne pouvait s’empêcher de lui écrire des doux messages via mail, sms, des romans, des poèmes mais la plus part du temps elles prenaient peur. Elles n’étaient pas habituées à recevoir un tel flot de mots doux indirectement d’Amour d’un inconnu. Elles s’enfuyaient et il n’avaient plus de nouvelles. Il ne lui restait plus que son journal intime.
Il s’efforçait d’être un Guerrier de la Lumière et de promouvoir la Paix, l’Amour et l’Unité !
Différents mode de sexualité
Notre héros en arrivait à des conclusions dramatiques sur les femmes. Elles étaient toutes des putes, des salopes, des pétasses, des chiennes. Il commença à entretenir une haine de la femme. Il se demanda si les femmes aimaient mieux les profiteurs, les enfoirés, les salopards, les violents à des hommes attentionnés, intelligents, gentils et serviables. Il devait arrêter de mettre la femme sur un piédestal.
La femme est un être humain de sexe féminin pouvant reproduire l’espèce humaine après s’être fait fécondée par un être humain de sexe masculin. C’est de l’ordre biologique. Historiquement, cela fait depuis le début de l’humanité qu’elle se fait dominer. Ce mythe est inscrit dans les gènes de ses semblables comme naturel. Il comprit qu’il était un homme et qu’il avait le droit de profiter des femmes. Ce n’était pas un mal dans cette société. La femme sert a assouvir les pulsions des hommes, s’occuper du foyer et élever les gamins.
Notre petit gars se dit alors faisons comme tout le monde, contrairement aux autres, il savait ce qu’il faisait et y allait en toute connaissance de cause. Après tout, il n avait jamais manqué de respect à une femme et apparemment leur manquer un peu de respect était tout à fait tolérable.
Notre héros s’en alla explorer le monde du sexe taxé.
Le sexe est une drogue et comme toute drogue, il y a un marché. C’est comme cela qu’il partit à la découverte des prostituées. Il utilisa leurs services à trois reprises mais s’y promena très régulièrement dans les quartiers chauds de différentes grandes villes. Il appréciait le fait de pouvoir choisir un être humain et le fait des le payer pour un service. Le service était trop court à son goût. Il aimait vraiment trop les câlins et les préliminaires mais cela lui permettait de passer ses pulsions sexuelles.
Sa première prostituée était une brésilienne habillée tout de blanc. Elle avait un joli cul. C’était une jolie blonde avec un beaux corps. Elle se trouvait sur l’avenue de la route de Genève dans la capitale. Ils étaient ensuite allé dans une chambre à côté de la rue. Elle lui avait demandé l’argent avant, et puis elle s’était déshabillée. Il s’était aussi déshabillé. Elle lui avait nettoyé le sexe et son entres-jambes avec papier humide. Elle l’avait branlé un peu, histoire de faire gonfler son membre et lui avait enfilé une capote...elle l’avait sucé...ensuite elle s’était mise comme une chienne afin qu’il la prenne en levrette. Il n’avait jamais essayé cette position et elle remarqua qu’il était un débutant. Elle se mit alors sur le dos et leva les jambes et il l a pris en position du missionnaire...Il la pénétra mais cela ne venait pas, puis elle a serré son vagin et il est venu d’un coup en elle...Elle lui a enlevé le préservatif et essuyé, son sexe. Elle lui a fait comprendre qu’il pouvait se rhabiller et puis il était sortit et notre héros était rentré chez lui...un billet bleu pour ça ! Il avait découvert le sexe taxé...La prostitution était légale dans son pays. La majorité sexuelle était à seize ans. Ses deux autres expériences eurent lieu dans une capitale européenne dans laquelle les prostituées peuvent louer des vitrines pour mieux se mettre en valeur. Il choisit une petite noiraude, étudiante, d’origine italienne. C’était caillante, un suck & fuck pour 50euros ! Et puis une grande blonde, d’origine portugaise avec qui c’était trop bon...et qui le chauffa grave. Elle lui faisait des envies de bisous, mais sans l’embrasser et fit une toute meilleure entrée en matière que les deux autres. Elle était certainement déjà plus expérimentée ou contente d’avoir un joli jeune homme comme client. C’était sa dernière et meilleure pute. Maintenant, il savait que si il avait de l’argent, il ne serait plus jamais en manque de sexe. Cette expérience lui enlevait un grand poids dans sa vie.
C’est comme cela que par une escapade dans une ville européenne, il se fit entraîner dans un cabaret. Jennifer l’accostât. C’était une normande, une belle femme, une grande blonde, habillée très classe et raffinée, elle portait un immense décolté. Elle l’emmena dans une pièce. C’était une pièce entourée de rideaux rouge et bleu tout en velours. C’était un cadre luxueux rien que pour lui et elle. C’était très classe ! Il n y avait qu’une table et un banc. Ils assirent l’un à coté de l’autre. Ils parlèrent ensemble- Il pouvait la caresser, la toucher, lui faire des bisous...elle lui fit une danse très chaude, ou elle se frotta contre lui et lui prodigua quelques caresses. Il resta trois heures en sa compagnie et il but une bière , elle but un cocktail et ils burent une bouteille de champagne pour 760 euros. Notre petit homme s’était fait roulé. Il s’était fait arnaqué. Il était tombé sous le charme de Jennifer. Les racoleurs ont bien vu qu’il était un naïf touriste, mais un bon touriste se fait toujours arnaquer. Un monde de faux-culs et d’hypocrites qui n’ont d’intérêt que l’argent que vous avez. Un business très bien géré et totalement légal. Il était rentré démoralisé à son hôtel et il était allé se branler dans les toilettes de celui-ci. Après dans la journée, il s’acheta le manuel du guerrier de la lumière et tout alla mieux. Ce n’était pas si grave.
Un soir sur un chat, il discuta avec un pseudo "homme-passif". Notre héros lui demanda : « ce que cela voulait dire ? »il lui écrivit : « Viens chez moi et tu verras » . C’est comme cela qu’il arriva chez ce type, qui était tout nu avec un collier et une laisse. Ce gros balèze lui dit avec une voix de tapette : « Vous êtes le Maître, je suis le chien! »
Heureusement pour notre héros qu’il possédait un chien au foyer familial et qu’il savait comment s’y prendre. Ce soir là, il découvrit le bdsm et expérimenta plusieurs pratiques sm. Il revit une autre fois cette pute mais lui demandant de se travestir. C’était une soumise avec une bite. Le jeux de la domination lui plaisait bien mais il n’aimait pas les hommes. Il se fit lécher l’anus et sucer les couilles- Il a fessé cet esclave avec divers moyens comme une cravache et un martinet. Elle demandait que son nouveau Maître y aille encore plus fort. Enfermé dans cette cave et ayant vu pleins de films de taulards, il sodomisa cette chienne et lui fit une éjaculation faciale. Enfin il adora jouer le rôle de master bdsm et il aima prendre un rôle comme dans une pièce de théâtre. Il aima surtout pouvoir frapper une personne avec son consentement. Il découvrait une nouvelle façon de vivre la sexualité. Il n’a pu embrasser cet homme. Il ne s’est pas laissé mettre un doigt dans le cul. Il n’avait pas d’attirance pour les hommes. Il se décida à ne plus avoir d’expérience homosexuelle mais ne renoncerait pas aux jeux de la domination si il rencontrait une soumise consentante. Il la guiderait volontiers dans un accord commun.
Un après-midi sur un chat, il rencontra une vielle nymphomane de cinquante ans son ainée...Une véritable chienne. Ils se donnèrent rendez-vous dans la gare du Nord. Ils vinrent le chercher à la gare. Elle portait un simple manteau, avec un soutien gorge, un porte-jarretelle et des talons aiguilles- Elle était maquillée. Elle était rousse. Elle s’était parfumée. Ils s’installèrent à l’arrière de la voiture. Son époux conduisait et ils commencèrent à se chauffer dans l’auto. Elle était vielle mais excitante. Ils commencèrent à se toucher, à se caresser, à se faire des petits bisous pendant que la voiture traversait la ville. Notre héros se croyait dans un film de cul. Son cocu de chauffeur s’arrêta dans une clairière en forêt et il sorti...et elle mouillait comme une truie...elle n’avait jamais autant mouillé ce qu’elle lui avoua quelques jours après sur msn. Il la pelota et ensuite elle lui prit le sexe dans la main et il éjacula précocement...cette situation était tellement excitante...il lui mit deux doigts dans le vagin et la doigta activement, le temps que son érection revienne...une fois le gland redevenu dur...il enfila la capote...et baisa cette vielle salope...ensuite il la retourna comme une chienne...il se prenait pour une star du porno...mais il avait peur de la craquer...il jouit de nouveau...putain de salope de vielle...Le sexe hardcore s’était aussi possible pour lui ! Il se rhabilla et ils le ramenèrent à la gare! En trente minute chronos !
Virtualité
N’ayant jamais eu de relation, il s’était un créé un substitut à ce manque par l’utilisation de messagerie instantanée. Le fait de draguer des filles, puis de chatter avec elle dans ce monde virtuel lui permettait d’affiner sa plume et de connaître la psychologie féminine. Il avait souvent répété des même histoires. Il s’était pris de passion pour plusieurs filles. Il était aussi passé par une période ou il pensait que rencontrer une soumise serait l’idéal pour son mode de vie. Il avait créé toute sortes de relations virtuelles. Il avait commencé à utiliser ces plates formes de discussion lorsqu’il était au lycée. Il était devenu un chatteur expert en dix années d’activités. Il avait les bons mots et savait rebondir au bon moment. Ces discussions avec ces inconnues lui procuraient du plaisir tel qu’une drogue. Ces discussions lui comblaient un manque affectif réel. Ces relations virtuelles lui avaient même fait baisser parfois sa consommation de nicotine et de THC. Nous vivons dans une société qui en moins de dix ans, faute de place sur la planète, c’est agrandie sur la toile virtuelle. Les sans adresse électroniques deviennent de plus en plus marginalisé. Ces nombreux échanges sur des chats lui avaient évité des nombreuses consultation chez un psychologue. Les dialogues en direct ont quelques qualités mais aussi des défauts. Le plus grand danger est l’isolement car bien que la personne chatte avec plusieurs personnes. Elle n’utilise pas le sens du toucher mais avec la simple lecture de mots sur un écran, l’autre personne est capable de transmettre des émotions, envoyée dans notre cerveau qui font travailler notre imagination afin de provoquer une simple érection ou un malaise d’angoisse comme devant une fille réelle.
De plus comme beaucoup de ses relations réelles étaient parties depuis le terrain virtuel, souvent quand il chattaient avec une fille, il savait qu’il y avait des chances que cette première étape, se suive par une rencontre si le feeling passait entre les deux personnes. Une rencontre ne signifiait pas forcément une partie de jambe en l’air. Ces discussion avec ces femmes virtuelles lui comblait son manque affectif et les trois heures passées quotidiennement à discuter avec elles lui permettait de se mettre travail ou de gérer son association. Il vivait dans les années 2000, les rencontres sur internet étaient une pratique courante.
Il en passera des heures à écrire sur des forums, à envoyer des e-mails à des inconnues, de discuter sur des dialogues en direct. Certaines de ses relations l’enverront droit dans le trou et il se fit encore du mal tout seul. Il croyait en des relations mais rien du tout. Elles disparaissaient sans laisser de nouvelles. Elles ne venaient pas aux rendez-vous. Il était un passionné et dès qu’il commençait à s’éprendre pour une femme, il y mettait toute son énergie.
Il adorait écrire mais ne s’était jamais plus vraiment emballé dans une conquête avec des mots. Il avait remarqué le pouvoir des mots en écrivant à l’Espagnole. Il savait que sa plume était puissante. Il avait de nouveau peur d’expérimenter le sentiment d’Amour.
Redécouverte de l’amour
Après un long chemin parcouru dans l’obscurité et les ténèbres. Il était prêt à redevenir un gentleman. Il n avait pas eu plus de succès, en traitant les femmes de salopes. Il rencontra une fille qui le marqua et avec qui il passa une nuit ensemble. C’était le premier jour de l’an 2010. Il devaient simplement se voir et aller boire un verre, ils dansèrent toute la nuit et finirent par coucher ensemble
Quelques années avant, elle avait été la première à lui écrire un sms suite à une soirée passée dans un festival. Elle avait été adoptée, suite à la mort de sa mère. Elle n’avait jamais connu sa mère biologique. Son pays d’origine était la terre du peuple tupi-guarani. Elle avait des cheveux noirs, des magnifiques yeux toujours très soigné dans leur maquillage. Elle s’habillait style skateuse. Elle n’avait jamais accepté sa féminité. Quand elle s’habillait en fille, elle devenait encore plus jolie. Elle portait des bijoux avec de jolies pierres turquoise qui rendait son visage lumineux. Elle avait un charme incroyable. Il l’avait rencontré lorsqu’il travaillait dans la vente. Elle était en couple mais cela ne les empêchait pas de se regarder et de se sourire tendrement. Elle le kiffait. Plusieurs fois, ils s’étaient croisé au grès du hasard jusqu’à ce festival. Ils restèrent ensemble toute la soirée. Ils discutèrent- Ils allèrent dans la forêt autour du feux de bois et il la raccompagnât à pied jusqu’à chez elle. Il n’était pas automobiliste. Le sms qu’il reçut le lendemain, avait été compris comme un signe. Ils se revirent pour aller voir une jam de graffiti et passèrent encore toutes la soirée ensemble. Il avait fait des efforts et il l’avait invitée contrairement, aux autres filles. Elle lui avait posé un lapin. Ils se revirent plusieurs fois, mais jamais notre héros lui prenait la main, lui touchait le bras ou essayait un quelque conque signe d’affection. Il était encore puceau au début de ses rencontres avec elle. Elle supportait mieux l’alcool que lui. L’alcool et les sentiments amoureux se mélangeait en lui comme un mauvais cocktail. Ce mélange le rendait malade. Leurs échanges étaient aussi très riches. Ils se confièrent mais jamais il lui dit qu’il éprouvait quelques sentiments pour elle.
Ce n’était pas la première fois qu’il se trouvait dans cette situation. Il se créait des amies. Il cherchait des amantes. Il voulait une copine. Il n’arrivait pas à la rejeter. Il se retrouvait dans des situations ambigüe et ce n’était pas la première fois.
Après, il devint fou de cette fille. Il commençait à s y attacher et plus de nouvelles jusqu’à la soirée du 1er de l’an. Ils firent l’amour. Elle lui dit qu’il était une bête de sexe. Elle le suça. Il lui donna pleins de bisous. Il lui dit : « Je t’aime ». Le lendemain, en partant de chez elle, il s’est dit cette fois, super, il a enfin une copine. Il l’aimait et malgré son caractère et ses sauts d’humeurs entre le noir et le blanc. Il était prêt à s’investir dans une relation à long terme. Il était prêt à aider une femme. La joie fut de courte durée, en retournant chez elle et s’attendant à embrasser sa copine. Elle lui dit qu’elle préférait qu’ils restent ami comme avant. Le choc, coup de poignard, heureusement, il avait une tête de mari-jeanne. Il fuma un gros kéké. Il s’en alla. C’était la vie ! Il acceptait. Le combat devait continuer.
Sexualité alternative dans un sens spirituel
Biographie BDSM de notre héros
Découverte de ce monde en 2007.
Pratiques sur deux soumis et un travestis entre 2007 et 2008. Un peu près cinq session de deux heures de temps, soit une expérience réelle en tout de 10h00 de temps.
L’expérimentation me démangeait trop. Le virtuel me lassait, je voulais du concret mais je ne souhaite plus dominer d’homme tant que je n’aurai pas pu dominer une femme. Je ne connaissais encore rien du tout de ce monde. J’ai eu l’occasion avec ces soumis de tester énormément de techniques mais c’est clair que je ne suis pas expérimenté. Je me suis testé au bondage, cire de bougie, travail des seins, traite du soumis, travail de l’anus, les promener en laisse, crachat, insulte, fessée avec ceinture, cravache, spatule en bois, martinet, paddle, obligation de se travestir.
A la recherche d’une soumise pour vie de couple depuis 2008. J’ai le temps et je n’ai plus eu de pratiques sm depuis 2008.
"A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes."
Depuis 2007, j’ai aussi essayé plusieurs fois la domination virtuelle mais cela n’a jamais duré très longtemps, manque de temps des soumises. J’aime bien diriger la vie de la soumise en accord avec que nous avons décidé ensemble. Je peux aussi faire un programme sur mesure, régime, bien être personnel, aide dans le monde professionnel ou simplement pour que tu te dépasses et que tu découvres la soumise que tu es. Mes soumises sont respectées comme des reines car du moment qu’elles m’appartiennent, je veux le meilleur pour elle et que l’on puisse travailler au mieux le programme établis ensemble pour sa progression dans la voie de la soumission. Les choses qui m’appartiennent sont protégées, adorées, et j’en prends le plus grand soin et respect. Je n’oublie jamais qu’avant d’être une soumise,tu es un être humain, et plus particulièrement une femme.
Depuis 2008, je suis en train d’écrire un roman qui a pour cadre le bdsm. Je me suis beaucoup documenté sur le sujet. Entretien avec des Maîtresses, Maîtres, soumises, soumis, ainsi que de nombreuses lectures de livres, articles, blogs, site web, dialogue en direct.
Au plaisir d’échanger quelques mots avec vous.
Meilleures salutations.
Cette petite annonce qui avait plus de ressemblance à un curriculum vitae déboucha sur quelques relations virtuelles et réelles dont deux qui le marquèrent et d’autres qui lui refirent du mal. Il commençait à comprendre les règles du jeux. Un chemin entre amour et haine, entre plaisir et déceptions mais pour ces quelques moments de plaisir, le temps et la patience en valaient la chandelle. C’était dommage de passer à côté de l’Amour, c’est dans le moment présent et futur que nous vivons.
Il rencontra une hermaphrodite. Il s’agit du troisième genre. Cet être humain a les deux sexe comme les anges. C’est une naissance sur deux cents enfants et pourtant il en avait jamais entendu parlé avant cette rencontre. Il n’y eut qu’une courte correspondance et quelques échanges téléphoniques.
Il rencontra aussi par le biais de cette annonce et fit connaissance d’une soumise qui était devenue par la suite une amie-amante. Elle avait une fausse jambe. Elle mesurait un mètre huitante. Sa rencontre a été entourée de signe. Une relation ambiguë s’en est suivie mais qu’il a très bien géré. Il devenait meilleure dans ses relations avec les femmes.
Femme soumise du Sud
Il la rencontra vers la période de Noël sur un chat. C’est une période difficile pour les femmes célibataires car elles sont seules, sans famille. Ces femmes sont très fragiles et beaucoup plus réceptive au doux mots en cette période de l’année. Notre chasseur la séduisit très facilement. Elle ne parlait pas bien le français. Elle lui téléphona et ils se virent le lendemain. Elle vint chez lui. C’était la première femme qu’il invitait chez lui. Il la sauta, vite fait, bien fait et la raccompagna à la gare. Elle le rappela, et il retournât chez elle durant près de six mois. Elle était parfaite. Elle ne parlait pas. Elle lui préparait à manger. Elle lui faisait sa lessive. Elle lui coulait des bains. Elle était un peu plus petite que lui. Elle avait un petit ventre, mais une fois habillée et bien maquillée. Elle devait craquante. Elle avait vingt années de plus que lui. Elle était mère de deux adolescents. Elle était chômeuse. Elle était veuve de son premier mariage. Elle s’était fait trompée par son deuxième époux. Elle était divorcée. Elle était malade. Il n’avait aucun sentiment pour elle. C’était une bonne soumise. Il l’appelait deux fois par semaine. Il allait se vider les couilles chez elle. Ils dormaient ensemble et puis il repartait le matin au travail en ayant déjeuné. Il put s’entraîner à l’endurance. Il la prenait en levrette et lui mettait des claques sur les fesses. Il lui mettait des doigts dans le cul. Elle le suçait longuement. Il n’utilisa jamais de capotes avec cette femme. Il venait très vite la première fois, et puis pour ses deux prochaines éjaculations le temps était bien plus long...il la faisait jouir. Elle l’adorait. Elle en devenait accroc et elle voulait qu’il vienne habiter chez elle. Elle avait beaucoup de qualités mais il n’était pas satisfait intellectuellement. Elle était trop vieille.
Maman
Sa maman l’avait mis au monde au mois de février. La parole divine qui accompagnait ce jour était la suivante : « L’Éternel est avec moi comme un puissant »Il était du signe du du verseau, ascendant scorpion. Il était du signe astrologique chinois Le chien. Il était l’aîné. Quatre ans plus tard, ils étaient arrivés. Il s’agissait de ses deux petits frères, des jumeaux. Il dut apprendre à partager sa maman, sa chambre. Il était souvent inquiet pour elle. Il voulait toujours savoir ou elle se trouvait. Il avait peur d’être abandonné encore une fois. Il développa une certaine jalousie face à ses frères. Ils rencontrèrent pleins de filles. Ils furent dépucelés avant lui. Ils avaient eu les même parents. Elle lui avait toujours recommandé de faire attention, de toujours bien se protéger et que faire cet acte impliquait d’aimer profondément sa partenaire. Elle leurs avait achetés des livres sur l’éducation sexuelle. Malgré tout cela, elle fut sa plus grande femme. Elle lui a donné la vie. Elle l’a aimé. Elle l a nourris. Elle l a caressé. Elle l’a élevé, Elle l’a soigné. Elle l’a éduqué. Elle lui a donné tout l’amour et tous les atouts dont il avait besoin pour prendre son envol dans le monde des adultes. Elle avait toujours fait des régimes. Elle avait toujours eu quelque kilos en trop. Sa maman était belle parce qu’elle était sa maman. Il ne l’avait pas choisie mais il l’avait aimée. Il aimait sa maman. Il était son premier fils. Il remerciait sa maman pour tout ce qu’elle avait fait pour lui. Il savait qu’elle avait donné le meilleur pour lui.
Conclusion
L’aventure de notre héros se terminera ici. Il croit toujours en l’Amour malgré ses déboires. L’écriture de sa vie lui a permis de relativiser et de se dire que dans ses malheurs. Il avait la chance de ne pas avoir de malheur. Il pensait qu’il n’avait eu aucune expérience mais en relisant ses cahiers intimes. Il se sentait encore plus fort et se disait qu’il devait être normal. Il se trouvait encore plus beaux et se réjouissait de se connaître encore plus. L’écriture de ce texte a été une belle thérapie. C’étaient vingt ans de vie mise sur papier.
Cette histoire a été écrite suite à sa dernière rencontre sur un chat. Elle portait un joli prénom. Elle voulait garder contact avec lui. Elle ne l’avait pas repoussé à la lecture de son pseudo, ni de son prénom. En parlant avec elle, il avait vu énormément de signe comme toujours. Ils s’étaient même rencontrés et elle avait envie de le revoir. Elle était malade et elle avait du aller aux urgences. Notre héros invoquait l’univers pour qu’elle aille mieux et se demandait en marchant pour sa soirée... qu’avait-il fait pour mériter cela? Pour une fois qu’une chatteuse acceptait de le rencontrer, il fallait qu’elle tombe malade le jour et à l’heure de leur rencontre ! Elle était restée hospitalisée une semaine. Ils chattèrent beaucoup ensemble. Notre héros se prit d’affection pour cette femme. Elle s’était confiée à lui. Elle lui avait parlé de sa famille, de sa rupture. Elle était jolie. Elle lui avait même envoyé une photo d’elle. Il ne pouvait s’empêcher de l’ouvrir plusieurs fois dans la journée pour la voir. Elle avait des cheveux couleurs d’or, des yeux couleurs ciel et était un peu plus grande que lui. Elle était intelligente et voulait devenir conductrice de locomotive. Elle s’intéressait à ce qu’il faisait. Il avait déjà peur de la perdre. Il essayait de l’ignorer mais il craquait toujours et ne pouvait s’empêcher de lui dire bonjour. Heureusement pour lui ou pour elle, qu’il n’avait plus de connexion internet à la maison. Cette coupure lui a permis de pondre « les aventure amoureuses et sexuelles d’un presque trentenaire. »
Notre héros avait peur qu’elle s’enfuie à cause de son envie de toujours lui parler, lui écrire. Il ne voulait pas la déranger. Il devait retenir ses pulsions pour lui écrire. Il avait envie de la revoir et peut-être créer quelque chose avec elle. De plus, il redoutait de devoir lui dire qu’il n’était jamais sorti avec une fille. Elle allait aussi comme d’autres fuir à l’annonce de cette vérité ou vouloir devenir son amie. Peu importe, elle lui aurait permis de déballer ses confessions amoureuses, d’aller, de l’avant et de continuer son combat. Il s’est toujours relevé. Il désirait bientôt pouvoir démarrer une expérience de vie à deux et c’était clair qu’il ne ferait plus les même erreurs ! Il savait ce qu’il cherchait maintenant !
Il l’avait rencontrée le lendemain après avoir récité « l’invocation du jeune homme à marier ».
Il ne put s’empêcher de lui envoyer un sms au point final de cette histoire. Sourire.
Fin
Invocation du jeune homme à marier
Seigneur Tout Puissant !
E coutez votre enfant ! ...
Faites-moi trouver femme
Qui vienne calmer ma flamme!
Jolie...je le voudrais bien...
Laide...ça ne me fera rien
Pourvu qu’elle soit gentille
Comme vous Sainte-Pétronille !
Puis, je désire ardemment
Qu’elle ait du tempérament.
Qu’elle soit silencieuse,
Douce, laborieuse ! ...
Bref toutes les qualités
Qui me donneront félicité
Saint-Joseph, Saint Louis, Saint Lazare
Trouvez-moi cet oiseau rare,
Que voudrait chacun de nous,
Et qui doit être chez vous...
Pardon, si je vous dérange...
En somme, je voudrais un ange !
Jeaneck, mai 2011
Mar 17 Mai 2011, 14:41 par
Jeaneck sur La vie à deux
Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire - i
Le mythe amoureux
Un jour de l’an 1992 dans une colonie, un enfant de 10 ans se fit transpercer par une flèche de Cupidon. Ce gamin ailé plongea notre héros dans un amour platonique pour une fille de sa campagne natale durant 15 ans.
Le regard de cette fille lui parlait, il lui semblait qu’il la connaissait dans une autre vie. Il aimait son sourire et souvent son regard croisait le sien tendrement lorsqu’ils avaient l’occasion d’être ensemble. Ces occasions n’étaient jamais créées par lui mais par d’autres facteurs qui faisaient qu’obligatoirement, ils devaient se retrouver au même endroit. Notre héros les a interprétés pendant longtemps comme des signes de l’univers infini. Il essaya bien quelque fois de l’aborder mais maladroitement,
Dès lors, il construisit un mythe autour de cette fille. C’était elle ou rien. Il repoussa plusieurs avances d’autres filles ne voulant pas trahir celle qu’il aimait. Il l’aima secrètement sans jamais rien lui dire, hormis quelques lettres et quelques paroles. Parfois, il l’oubliait mais dès qu’il la revoyait son cœur se mettait à accélérer, des malaises l’envahissaient, il voulait se cacher. Elle lui faisait un effet incroyable. Elle a été pendant de très longues années son seul modelé féminin, elle était présente jusque dans ses rêves même si ce n’était pas d’elle qu’il s’agissait.
Un beau jour, sous conseil d’un ami, il lui déclara son amour dans une grande lettre.
Voici un extrait de cette lettre :
Juin 2004
"Chère X,
J’ai enfin trouvé le courage de t’écrire. C’est grâce aussi à notre ami en commun avec qui j’ai fait un magnifique voyage. Durant ce voyage, lors d’une nuit à la belle étoile, nous avons eu une riche discussion sur le sens de la vie, les grandes questions et l’Amour. Sur ce troisième sujet, nous en sommes venus tout naturellement à toi et je lui ai dit ce que j’éprouvais pour toi. En entendant cela, il m’a dit comme d’autre avant lui : "Tente Ta Chance". Ces mots venant de la bouche d’une personne te connaissant bien m’ont donné la force de t’écrire ces mots.
Tu sais bien, enfin je l’espère, que tu ne m’as jamais été indifférente,
Le jour ou Cupidon m’a transpercé le cœur , je n’ai jamais cessé de penser à toi. Chaque semaine, j’attendais avec impatience nos activités communes pour te voir. Je t’aime X, ma timidité envers toi m’a toujours empêché de t’aborder face à face voilà que maintenant c’est fait par écrit. Je voudrais partager de grandes soirées en tête à tête avec toi, tout connaître de toi, tout partager avec toi. Si j’ai envoyé cette lettre manuscrite par la poste au temps de l’internet, ce que je me suis dit qu’elle serait plus personnelle qu’un e-mail.
Cela m’a fait plaisir de pouvoir enfin te dévoiler mon amour pour toi et de passer un moment avec toi.
"Loin des yeux, près du cœur"
Dans l’attente de te lire, je te souhaite un agréable séjour à l’autre bout du monde et que tout se passe le mieux pour toi." Notre héros qui t’aime !
Quelques mois, plus tard, en même temps que la lettre d’une monitrice, il recevait une réponse à sa déclaration d’amour qu’il interpréta comme une promesse de mariage. Le mythe reprit de plus belle et en plus qu’elle était à l’autre bout du monde et ne devait revenir que d’ici plusieurs mois. Il pensa tous les jours à elle. Il était dans un grand dilemme avec cet autre coup de foudre survenu suite à l’envoi de cette lettre à son amie d’enfance. Elle était sa raison de vivre, enfin de compte une copine imaginaire. Il croyait être en couple mais il était seul. Il se réjouissait de lui offrir sa virginité. Il avait déjà réfléchi au nom de leur premier enfant. Il avait fait des projets de vie mais tout seul, avec comme seule compagnie marie-jeanne et son imaginaire. Une relation à une seule personne. Elle ne savait rien de tout cela. Il ne connaissait pas la vie de couple. Il était amoureux de cette fille. Il remplira trois cahiers en attendant son retour à cause de cette fameuse lettre, parfois avec le recul, il se dira et si il l’avais jamais envoyée, est-ce qui il y aurait eu la rencontre avec la monitrice? puis tous ses signes et ces deux amours qui se sont croisés pendant six mois. Toutes ces prières, ces vœux aux étoiles filantes, ces vœux lors du jet d’une pièce dans un bassin d’eau, tout cet amour inconditionnel donné pour rien. Il était persuadé que ce jour d’octobre 92 , le dieu grec de l’amour avait choisi son destin et que rien ne pourrait y changer.
Quand elle revint au pays natal, ils se virent et il lui demanda : Alors nous sommes en couple? et elle lui répondit : ma réponse n’était pas claire? Nous sommes de véritables amis. Il lui répondit par un signe de tête et ils allèrent fumer un pétard. Ce soir là, il fut élu au conseil communal de son village natal. Le lendemain, il se prit une cuite magistrale. Il était au fond du trou...mais la lecture du Manuel du Guerrier de la Lumière l’a aidé à passer ce cap. Notre héros avait remplis trois cahier intimes de projection dans le futur avec son amour platonique.
Ovide était son Maître.
Quelques années passèrent et ils reprirent contact. Il la voyait souvent. Il avait de grandes discussions avec elle. Il a passé plusieurs soirées en sa compagnie. Tous ses actes amicaux n’ont fait que raviver cette vielle flamme qui brûlait encore secrètement en lui. Jusqu’au soir, ou il craqua en présence d’un témoin important à ses yeux dans cette histoire d’amour créée par notre héros. Il lui reprocha que c’était à cause d’elle qu’il n’avait jamais eu de copine ce dont elle n’était pas coupable. Et que tant qu’elle n’était pas mariée, il n’abandonnerait pas l’affaire. Il la blessa, la fit pleurer.
Le lendemain, il reçut une lettre d’elle. Il devait choisir entre son amitié ou plus rien du tout. Cette rencontre en tête à tête avec elle devait vraiment mettre fin à toute ambiguïté. Elle serait une amie et rien d’autre. Il choisit son amitié maintenant qu’ils avaient eu de grandes discussion ensemble, qu’il la connaissait mieux, plus intimement ,qu’il allaient voyager ensemble en terre inconnue. Il se fit une nouvelle raison qu’elle ne voulait pas de lui en tant que mari mais en tant que véritable ami. Il était trop petit.
Ces quinze années furent quand même traversées par quelques autres aventures amoureuses comme vous allez pouvoir le lire.
Première copine
A l’âge de 15 ans, il sortit pendant quatre jours avec une fille du pied de la montagne. Ils se rencontrèrent dans un bal de campagne. Ils se firent des sourires, dansèrent ensemble, se rapprochèrent, se tinrent par les mains, et puis ils s’embrassèrent. Il fit son premier baiser dans un giron de jeunesse. C’est durant cette soirée qu’il goûtât pour la première fois aux lèvres d’une autre personne. C’était bon ! Enfin son tour arrivait, en plus ce soir, il y avait beaucoup de monde que notre héros connaissait. C’était ses premières galoches, encore débutantes, bien baveuses. Ils s’embrassèrent toute la nuit. Elle devait rentrer plus tôt, alors il la raccompagna jusqu’à chez elle. Elle lui proposa d’aller dans les champs mais il pleuvait des cordes. Ils se revirent le lendemain. Elle l’avait invité chez elle. Ils allèrent dans sa chambre sur son lit et il toucha pour la première fois une poitrine, pellotta ses seins adolescent, elle avait un soutien-gorge noire, caressa un corps féminin et avec un arrière son de rap français, il l’embrassa encore, la caressa mais tout en laissant leurs habits. L’odeur de son parfum le rendait fou comme tous les futurs parfums de ses amantes. Quelques jours plus tard, ils avaient rendez-vous à la piscine. Ce jour là,elle arriva en pleurs vers lui et lui dit que c’était finis, sans aucune explication. Il était arabe.
Masturbation
Notre petit arabe ne connait aucune pratique sexuelle hormis celle de la masturbation. La première fois qu’il s’est branlé, c’était chez son meilleur pote d’enfance. Ils regardaient un film porno et son pote lui expliqua qu’il allait se branler. Il fit de même. Il éjacula pour la première fois et vis à quoi ressemblait du sperme. Il ne fit pas des jets comme son pote mais le sperme sorti en gros flots en coulant. Il avait 14 ans. Une autre fois, vers l’âge de 15 ans, il avait lu toute la soirée chez un pote des revues pornographique et il avait adoré. Son sexe avait été en érection toute la soirée. En rentrant chez lui, il s’était branlé avec comme seul outil sa main et son imaginaire. Il découvrit son premier orgasme. Ils se branlaient aussi entre potes en regardant un film de cul. Notre héros adorait la littérature érotique et pornographique plus que les films. Il se branlait parfois jusqu’à six fois par jour. Il s’eut branlé dans des lieux insolites comme dans un avion, dans le train, dans un dortoir façon ninja, et attendre près d’une demi-heure avant d’éjaculer, ou encore il a découvert d’autres zones érogènes comme ses tétons, ou l’anus, cela lui est arrivé parfois de se mettre l’index dans le cul. Il a jouit plusieurs fois comme cela. Il essaiera la branlette façon allume-feu, en tournant le sexe entre ses deux paumes. Il se blessa aussi plusieurs fois le sexe. Il se branlera aussi sous la douche, dans le bain. Tantôt avec une main, tantôt avec l’autre, parfois avec deux doigts, il suffisait d’être un peu imaginatif ! En utilisant des capotes, enfin quand vous n’avez pas de copine jusqu’à l’âge de 29 ans et que vous êtes attirés par la chose, vous pouvez toujours avoir recours à comme il l’appelait l’auto-sexe. Il n’est jamais arrivé à se faire une auto-fellation. Un plaisir solitaire mais un plaisir tout de même. C’est comme cela que chaque soir avant d’aller se coucher la branlette est chez lui un rituel. Cela lui permet de sortie l’énergie vitale de son sexe. Cet élixir de vie qui une fois sortis de son corps le plonge illico presto dans les bras de Morphée.
Lycée
La période du lycée fut pour lui la découverte de la ville, du cannabis, ainsi que des nouvelles technologies. Durant son lycée, il se lia d’amitié avec une fille de sa classe qui devint sa confidente et à qui il racontait tout. Durant ces quatre années, plusieurs filles traversèrent son esprit, mais il ne les invita jamais, ne leur proposa jamais rien à faire. Il était dans un lycée de bourgeois et fréquentait quasi que des personnes du milieux hiphop. Il y eut deux fille CE et CA. Notre héros et sa confidente avaient un langage secret afin de pouvoir parler normalement des gens les entourant sans avoir à les nommer. Elles étaient toutes les deux différentes, une noiraude et l’autre blonde. Durant cette période pleins de filles, lui avaient tendu des perches mais il avait feint de ne pas les voir. Des filles de couleurs et des filles avec des formes généreuse se sont aussi intéressées à lui plusieurs fois. Elles ne lui plaisaient pas physiquement ou bien le pire elles devenaient belles une fois qu’un autre était avec. Notre héros était encore dans son délire d’amour platonique. Il fallait vraiment un phénomène pour le faire passer à l’action.
CE était dans sa classe, mais il la remarqua qu’avec l’arrivée du printemps. Elle portait une jupe de tennis avec des baskets. La vue de ses jambes et de son corps lui avait fait découvrir une magnifique plante qui était assise juste derrière lui en classe. Elle avait de la classe. Elle sentait bon. Elle avait un regard qui lui parlait. Elle aimait un tube de rap, ce qui fit que notre b.boys puis lui prêter le skeud de ce groupe. Ils se fréquentèrent en classe.Puis lors de leur voyage d’études. notre petit arabe tenta une approche. Ils dansèrent ensemble chaudement. Ce soir là, il aurait du conclure mais au moment où ils se retrouvèrent tous les deux seuls dans la chambre. On vint les appeler pour aller aider à chercher une camarde de classe qui avait disparu. Et puis, ils échangèrent leurs numéros, ils se revirent plusieurs fois en boîte mais notre héros n’osa jamais la rapprocher comme il l’avait fait dans ce pays étranger.
Il rencontra CA sur un chat. Elle était blonde- Elle avait de magnifique yeux bleus. Elle venait de l’île de cuba et avait une touche scandinave. Une magnifique beauté sortie d’un fjord norvégien. Elle représentait son idéal féminin en chaire et en os. La première fois qu’il la vit s’était de dos, elle était en train de se servir un verre d’eau quand elle s’est retournée pour le boire. La vue de son visage l’avait marqué. Le soir même en chattant, il tomba sur elle et le plus surprenant et qu’ils étaient dans le même cours de gymnastique. Le hasard faisait bien les choses, elle lui donna plusieurs fois rendez-vous mais il n y alla pas et puis un beau jour à une pause. Il la vit embrasser un autre type...elle le remarqua, elle le regarda avec gêne en lui faisant comprendre d’être moins timide et plus rapide. La vue de ce baiser et ce regard lui firent effet d’un coup de poignard. Il était fils d’ouvrier.
La colonie
Une autre rencontre traversa ces quinze années, il s’agissait d’une jolie monitrice lors d’un camp de break-dance. Il croyait de nouveau que Cupidon l’avait touché sur le quai de la gare en récupérant les gosses. Quelques jours avant la rencontre avec la monitrice, il avait envoyé la lettre dont vous trouvez l’extrait plus haut.
Elle était jolie. Elle sentait bon. Elle était bronzée. Elle avait des yeux verts et des cheveux courts. Elle portait un pendentif en forme de cœur. Elle jouait de la musique. Elle pratiquait un sport. Elle dansait. Elle prenait soin d’elle. Elle avait un doux regard et avait le rôle d’infirmière durant le camp. La joie et la surprise quand il apprit qu’ils devraient partager la même chambre. Il devint son colocataire préféré. Il la respecta. Elle le motiva à commencer la politique. Il venait de fonder une association.
Ils partagèrent beaucoup d’affection ensemble. C’était la première fois qu’il recevait autant de câlins, de caresses, de massages, des bisous et d’attention d’une femme. Elle croisait ses jambes autour de lui. Il découvrit toutes ces douceurs. Il était aux anges. Le soir, il espérait qu’elle n’arriva pas à dormir afin qu’ils puissent parler ensemble. Ils discutérent et partagèrent beaucoup de choses personnelles et intimes concernant leurs familles respectives. Elle l avait motivé à aretter de fumer la clope, et aussi de se raser plus souvent, de prendre plus soin de lui. Il lui fit une petite déclaration d’amour un matin avant de partir pour les activités. Elle refusa sa demande. Il n’était pas le b-boy dominant du camp.
Après ce camp, en même temps que la réponse de son amour mythique, il reçut aussi une lettre de la monitrice qui lui disait qu’elle pensait qu’ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre. C’était incroyable ! Il n y avait jamais rien eu, et il recevait tout d’un coup, le même jour, deux lettres en même temps. Il commença une correspondance manuscrite avec la monitrice. Son affection lui manquait beaucoup. Ces échanges de lettres lui procuraient du plaisir. Il avait l’impression d’avoir une copine. Un échange avait lieu. Ils gardèrent contact durant une année jusqu’à ce qu’ils refassent ensemble une colonie. Cette expérience fut toute différente de celle de l’année précédente. Il voulut tomber amoureux d’une autre monitrice. Il n’eut plus de nouvelle de sa colocatrice adorée.
Rapport avec le sexe opposé.
Notre héros avait peur des femmes. Une peur qui se traduisait par un estomac noué, une incapacité de manger, des malaises, des vomissements, des angoisses, une paralysie. Il était extrêmement timide. Des souvenirs enfouis dans son enfance quand il avait reçu des claques, des refus pour sa taille, un coup de pied dans l’œil, un coup de ciseaux, des refus pour sa couleur de peaux en provenance de petites filles. Il préférait demander l’heure à un voyou avec un pit-bull qu’à une jolie demoiselle. Il était incapable de téléphoner à une fille sans avoir fait tout un rituel avant de s’y décider. Il avait une peur totale de la femme. Il avait un manque de confiance face à la gent féminine. Son inconscient criait danger. Cette peur de l’inconnu le clouait sur le port et il n’osait pas prendre le large
Il avait eu parfois des discussions avec des filles. Il les écoutait mais il ne parlait pas de lui. De ce fait, elles n’avaient aucune raison de s’intéresser à notre héros et il restait le gentil ami. Il communiquait très peu de choses sur sa personne. Il était réservé et froid. Il était un homme d’écoute.
De plus, n’ayant jamais eu de sœurs ou de copine très proche. Il n’avait pas la connaissance de l’âme féminine. Il n’avait côtoyé que sa maman mais elle devait s’occuper de trois autres hommes aussi.
Son style.
Il était un mélange de deux continents. Les chromosomes de son père africain avaient pris le dessus. Il ressemblait à un arabe. Il mesurait un mètre cinquante-neuf, pour une cinquantaine de kilos.
Il était un partisan de la culture hip-hop. Il ne s’était jamais trop préoccupé de son style. Il transpirait le hip hop. Sa tenue vestimentaire préférée était un haut de training, un jeans, des baskets et une casquette. Il avait plus le style d’un gars d’en bas que celui d’un gars d’en haut. Il était porteur de lunettes. Il avait les cheveux noirs bouclés. Il portait souvent une barbe de trois jours et mettait parfois quelques gouttes de parfums. Il ferait un effort quand il serait en couple.
Il aimait les belle femmes, plus grandes que lui, avec une préférence pour les blondes, aux yeux clairs mais il pouvait tomber passionnément amoureux pour n’importe quelle femme. Il aimait ce qu’il choisissait.
Son sourire est son plus bel atout, il en a fait craquer plus d’une !
Conclusion de la première partie
Ces femmes lui avaient donné force d’entrer dans l’arène politique. Elles avaient donné à notre héros le courage de continuer à se battre pour son association. Elles lui avaient permis d’apprendre à donner de sa personne avec passion sans s’attendre à quelque chose d’elles en retour. Il avait appris le sens du sacrifice et de l’abstinence.
Elles étaient mises sur un piédestal. Il les avait aimées. Ces femmes lui avaient permis de créer des discours et d’organiser des évènements réunissant jusqu’à trois cents personnes par amour pour tous les êtres humains et de continuer à dévoiler ses messages de Paix, d’Amour et d’Unité. Elles lui avaient donné le courage de traverser des terrains inconnus, de rencontrer des gens d’autres cultures et d’exercer son écriture dans ses innombrables cahiers. Il croyait trop à la mythologie grecque.
Ces quinze ans de vie écrites sur papier lui permettait maintenant de faire une croix sur ce passé et d’aller de l’avant, de découvrir le Sexe et de ne plus s’en priver même sans Amour.
Un jour de l’an 1992 dans une colonie, un enfant de 10 ans se fit transpercer par une flèche de Cupidon. Ce gamin ailé plongea notre héros dans un amour platonique pour une fille de sa campagne natale durant 15 ans.
Le regard de cette fille lui parlait, il lui semblait qu’il la connaissait dans une autre vie. Il aimait son sourire et souvent son regard croisait le sien tendrement lorsqu’ils avaient l’occasion d’être ensemble. Ces occasions n’étaient jamais créées par lui mais par d’autres facteurs qui faisaient qu’obligatoirement, ils devaient se retrouver au même endroit. Notre héros les a interprétés pendant longtemps comme des signes de l’univers infini. Il essaya bien quelque fois de l’aborder mais maladroitement,
Dès lors, il construisit un mythe autour de cette fille. C’était elle ou rien. Il repoussa plusieurs avances d’autres filles ne voulant pas trahir celle qu’il aimait. Il l’aima secrètement sans jamais rien lui dire, hormis quelques lettres et quelques paroles. Parfois, il l’oubliait mais dès qu’il la revoyait son cœur se mettait à accélérer, des malaises l’envahissaient, il voulait se cacher. Elle lui faisait un effet incroyable. Elle a été pendant de très longues années son seul modelé féminin, elle était présente jusque dans ses rêves même si ce n’était pas d’elle qu’il s’agissait.
Un beau jour, sous conseil d’un ami, il lui déclara son amour dans une grande lettre.
Voici un extrait de cette lettre :
Juin 2004
"Chère X,
J’ai enfin trouvé le courage de t’écrire. C’est grâce aussi à notre ami en commun avec qui j’ai fait un magnifique voyage. Durant ce voyage, lors d’une nuit à la belle étoile, nous avons eu une riche discussion sur le sens de la vie, les grandes questions et l’Amour. Sur ce troisième sujet, nous en sommes venus tout naturellement à toi et je lui ai dit ce que j’éprouvais pour toi. En entendant cela, il m’a dit comme d’autre avant lui : "Tente Ta Chance". Ces mots venant de la bouche d’une personne te connaissant bien m’ont donné la force de t’écrire ces mots.
Tu sais bien, enfin je l’espère, que tu ne m’as jamais été indifférente,
Le jour ou Cupidon m’a transpercé le cœur , je n’ai jamais cessé de penser à toi. Chaque semaine, j’attendais avec impatience nos activités communes pour te voir. Je t’aime X, ma timidité envers toi m’a toujours empêché de t’aborder face à face voilà que maintenant c’est fait par écrit. Je voudrais partager de grandes soirées en tête à tête avec toi, tout connaître de toi, tout partager avec toi. Si j’ai envoyé cette lettre manuscrite par la poste au temps de l’internet, ce que je me suis dit qu’elle serait plus personnelle qu’un e-mail.
Cela m’a fait plaisir de pouvoir enfin te dévoiler mon amour pour toi et de passer un moment avec toi.
"Loin des yeux, près du cœur"
Dans l’attente de te lire, je te souhaite un agréable séjour à l’autre bout du monde et que tout se passe le mieux pour toi." Notre héros qui t’aime !
Quelques mois, plus tard, en même temps que la lettre d’une monitrice, il recevait une réponse à sa déclaration d’amour qu’il interpréta comme une promesse de mariage. Le mythe reprit de plus belle et en plus qu’elle était à l’autre bout du monde et ne devait revenir que d’ici plusieurs mois. Il pensa tous les jours à elle. Il était dans un grand dilemme avec cet autre coup de foudre survenu suite à l’envoi de cette lettre à son amie d’enfance. Elle était sa raison de vivre, enfin de compte une copine imaginaire. Il croyait être en couple mais il était seul. Il se réjouissait de lui offrir sa virginité. Il avait déjà réfléchi au nom de leur premier enfant. Il avait fait des projets de vie mais tout seul, avec comme seule compagnie marie-jeanne et son imaginaire. Une relation à une seule personne. Elle ne savait rien de tout cela. Il ne connaissait pas la vie de couple. Il était amoureux de cette fille. Il remplira trois cahiers en attendant son retour à cause de cette fameuse lettre, parfois avec le recul, il se dira et si il l’avais jamais envoyée, est-ce qui il y aurait eu la rencontre avec la monitrice? puis tous ses signes et ces deux amours qui se sont croisés pendant six mois. Toutes ces prières, ces vœux aux étoiles filantes, ces vœux lors du jet d’une pièce dans un bassin d’eau, tout cet amour inconditionnel donné pour rien. Il était persuadé que ce jour d’octobre 92 , le dieu grec de l’amour avait choisi son destin et que rien ne pourrait y changer.
Quand elle revint au pays natal, ils se virent et il lui demanda : Alors nous sommes en couple? et elle lui répondit : ma réponse n’était pas claire? Nous sommes de véritables amis. Il lui répondit par un signe de tête et ils allèrent fumer un pétard. Ce soir là, il fut élu au conseil communal de son village natal. Le lendemain, il se prit une cuite magistrale. Il était au fond du trou...mais la lecture du Manuel du Guerrier de la Lumière l’a aidé à passer ce cap. Notre héros avait remplis trois cahier intimes de projection dans le futur avec son amour platonique.
Ovide était son Maître.
Quelques années passèrent et ils reprirent contact. Il la voyait souvent. Il avait de grandes discussions avec elle. Il a passé plusieurs soirées en sa compagnie. Tous ses actes amicaux n’ont fait que raviver cette vielle flamme qui brûlait encore secrètement en lui. Jusqu’au soir, ou il craqua en présence d’un témoin important à ses yeux dans cette histoire d’amour créée par notre héros. Il lui reprocha que c’était à cause d’elle qu’il n’avait jamais eu de copine ce dont elle n’était pas coupable. Et que tant qu’elle n’était pas mariée, il n’abandonnerait pas l’affaire. Il la blessa, la fit pleurer.
Le lendemain, il reçut une lettre d’elle. Il devait choisir entre son amitié ou plus rien du tout. Cette rencontre en tête à tête avec elle devait vraiment mettre fin à toute ambiguïté. Elle serait une amie et rien d’autre. Il choisit son amitié maintenant qu’ils avaient eu de grandes discussion ensemble, qu’il la connaissait mieux, plus intimement ,qu’il allaient voyager ensemble en terre inconnue. Il se fit une nouvelle raison qu’elle ne voulait pas de lui en tant que mari mais en tant que véritable ami. Il était trop petit.
Ces quinze années furent quand même traversées par quelques autres aventures amoureuses comme vous allez pouvoir le lire.
Première copine
A l’âge de 15 ans, il sortit pendant quatre jours avec une fille du pied de la montagne. Ils se rencontrèrent dans un bal de campagne. Ils se firent des sourires, dansèrent ensemble, se rapprochèrent, se tinrent par les mains, et puis ils s’embrassèrent. Il fit son premier baiser dans un giron de jeunesse. C’est durant cette soirée qu’il goûtât pour la première fois aux lèvres d’une autre personne. C’était bon ! Enfin son tour arrivait, en plus ce soir, il y avait beaucoup de monde que notre héros connaissait. C’était ses premières galoches, encore débutantes, bien baveuses. Ils s’embrassèrent toute la nuit. Elle devait rentrer plus tôt, alors il la raccompagna jusqu’à chez elle. Elle lui proposa d’aller dans les champs mais il pleuvait des cordes. Ils se revirent le lendemain. Elle l’avait invité chez elle. Ils allèrent dans sa chambre sur son lit et il toucha pour la première fois une poitrine, pellotta ses seins adolescent, elle avait un soutien-gorge noire, caressa un corps féminin et avec un arrière son de rap français, il l’embrassa encore, la caressa mais tout en laissant leurs habits. L’odeur de son parfum le rendait fou comme tous les futurs parfums de ses amantes. Quelques jours plus tard, ils avaient rendez-vous à la piscine. Ce jour là,elle arriva en pleurs vers lui et lui dit que c’était finis, sans aucune explication. Il était arabe.
Masturbation
Notre petit arabe ne connait aucune pratique sexuelle hormis celle de la masturbation. La première fois qu’il s’est branlé, c’était chez son meilleur pote d’enfance. Ils regardaient un film porno et son pote lui expliqua qu’il allait se branler. Il fit de même. Il éjacula pour la première fois et vis à quoi ressemblait du sperme. Il ne fit pas des jets comme son pote mais le sperme sorti en gros flots en coulant. Il avait 14 ans. Une autre fois, vers l’âge de 15 ans, il avait lu toute la soirée chez un pote des revues pornographique et il avait adoré. Son sexe avait été en érection toute la soirée. En rentrant chez lui, il s’était branlé avec comme seul outil sa main et son imaginaire. Il découvrit son premier orgasme. Ils se branlaient aussi entre potes en regardant un film de cul. Notre héros adorait la littérature érotique et pornographique plus que les films. Il se branlait parfois jusqu’à six fois par jour. Il s’eut branlé dans des lieux insolites comme dans un avion, dans le train, dans un dortoir façon ninja, et attendre près d’une demi-heure avant d’éjaculer, ou encore il a découvert d’autres zones érogènes comme ses tétons, ou l’anus, cela lui est arrivé parfois de se mettre l’index dans le cul. Il a jouit plusieurs fois comme cela. Il essaiera la branlette façon allume-feu, en tournant le sexe entre ses deux paumes. Il se blessa aussi plusieurs fois le sexe. Il se branlera aussi sous la douche, dans le bain. Tantôt avec une main, tantôt avec l’autre, parfois avec deux doigts, il suffisait d’être un peu imaginatif ! En utilisant des capotes, enfin quand vous n’avez pas de copine jusqu’à l’âge de 29 ans et que vous êtes attirés par la chose, vous pouvez toujours avoir recours à comme il l’appelait l’auto-sexe. Il n’est jamais arrivé à se faire une auto-fellation. Un plaisir solitaire mais un plaisir tout de même. C’est comme cela que chaque soir avant d’aller se coucher la branlette est chez lui un rituel. Cela lui permet de sortie l’énergie vitale de son sexe. Cet élixir de vie qui une fois sortis de son corps le plonge illico presto dans les bras de Morphée.
Lycée
La période du lycée fut pour lui la découverte de la ville, du cannabis, ainsi que des nouvelles technologies. Durant son lycée, il se lia d’amitié avec une fille de sa classe qui devint sa confidente et à qui il racontait tout. Durant ces quatre années, plusieurs filles traversèrent son esprit, mais il ne les invita jamais, ne leur proposa jamais rien à faire. Il était dans un lycée de bourgeois et fréquentait quasi que des personnes du milieux hiphop. Il y eut deux fille CE et CA. Notre héros et sa confidente avaient un langage secret afin de pouvoir parler normalement des gens les entourant sans avoir à les nommer. Elles étaient toutes les deux différentes, une noiraude et l’autre blonde. Durant cette période pleins de filles, lui avaient tendu des perches mais il avait feint de ne pas les voir. Des filles de couleurs et des filles avec des formes généreuse se sont aussi intéressées à lui plusieurs fois. Elles ne lui plaisaient pas physiquement ou bien le pire elles devenaient belles une fois qu’un autre était avec. Notre héros était encore dans son délire d’amour platonique. Il fallait vraiment un phénomène pour le faire passer à l’action.
CE était dans sa classe, mais il la remarqua qu’avec l’arrivée du printemps. Elle portait une jupe de tennis avec des baskets. La vue de ses jambes et de son corps lui avait fait découvrir une magnifique plante qui était assise juste derrière lui en classe. Elle avait de la classe. Elle sentait bon. Elle avait un regard qui lui parlait. Elle aimait un tube de rap, ce qui fit que notre b.boys puis lui prêter le skeud de ce groupe. Ils se fréquentèrent en classe.Puis lors de leur voyage d’études. notre petit arabe tenta une approche. Ils dansèrent ensemble chaudement. Ce soir là, il aurait du conclure mais au moment où ils se retrouvèrent tous les deux seuls dans la chambre. On vint les appeler pour aller aider à chercher une camarde de classe qui avait disparu. Et puis, ils échangèrent leurs numéros, ils se revirent plusieurs fois en boîte mais notre héros n’osa jamais la rapprocher comme il l’avait fait dans ce pays étranger.
Il rencontra CA sur un chat. Elle était blonde- Elle avait de magnifique yeux bleus. Elle venait de l’île de cuba et avait une touche scandinave. Une magnifique beauté sortie d’un fjord norvégien. Elle représentait son idéal féminin en chaire et en os. La première fois qu’il la vit s’était de dos, elle était en train de se servir un verre d’eau quand elle s’est retournée pour le boire. La vue de son visage l’avait marqué. Le soir même en chattant, il tomba sur elle et le plus surprenant et qu’ils étaient dans le même cours de gymnastique. Le hasard faisait bien les choses, elle lui donna plusieurs fois rendez-vous mais il n y alla pas et puis un beau jour à une pause. Il la vit embrasser un autre type...elle le remarqua, elle le regarda avec gêne en lui faisant comprendre d’être moins timide et plus rapide. La vue de ce baiser et ce regard lui firent effet d’un coup de poignard. Il était fils d’ouvrier.
La colonie
Une autre rencontre traversa ces quinze années, il s’agissait d’une jolie monitrice lors d’un camp de break-dance. Il croyait de nouveau que Cupidon l’avait touché sur le quai de la gare en récupérant les gosses. Quelques jours avant la rencontre avec la monitrice, il avait envoyé la lettre dont vous trouvez l’extrait plus haut.
Elle était jolie. Elle sentait bon. Elle était bronzée. Elle avait des yeux verts et des cheveux courts. Elle portait un pendentif en forme de cœur. Elle jouait de la musique. Elle pratiquait un sport. Elle dansait. Elle prenait soin d’elle. Elle avait un doux regard et avait le rôle d’infirmière durant le camp. La joie et la surprise quand il apprit qu’ils devraient partager la même chambre. Il devint son colocataire préféré. Il la respecta. Elle le motiva à commencer la politique. Il venait de fonder une association.
Ils partagèrent beaucoup d’affection ensemble. C’était la première fois qu’il recevait autant de câlins, de caresses, de massages, des bisous et d’attention d’une femme. Elle croisait ses jambes autour de lui. Il découvrit toutes ces douceurs. Il était aux anges. Le soir, il espérait qu’elle n’arriva pas à dormir afin qu’ils puissent parler ensemble. Ils discutérent et partagèrent beaucoup de choses personnelles et intimes concernant leurs familles respectives. Elle l avait motivé à aretter de fumer la clope, et aussi de se raser plus souvent, de prendre plus soin de lui. Il lui fit une petite déclaration d’amour un matin avant de partir pour les activités. Elle refusa sa demande. Il n’était pas le b-boy dominant du camp.
Après ce camp, en même temps que la réponse de son amour mythique, il reçut aussi une lettre de la monitrice qui lui disait qu’elle pensait qu’ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre. C’était incroyable ! Il n y avait jamais rien eu, et il recevait tout d’un coup, le même jour, deux lettres en même temps. Il commença une correspondance manuscrite avec la monitrice. Son affection lui manquait beaucoup. Ces échanges de lettres lui procuraient du plaisir. Il avait l’impression d’avoir une copine. Un échange avait lieu. Ils gardèrent contact durant une année jusqu’à ce qu’ils refassent ensemble une colonie. Cette expérience fut toute différente de celle de l’année précédente. Il voulut tomber amoureux d’une autre monitrice. Il n’eut plus de nouvelle de sa colocatrice adorée.
Rapport avec le sexe opposé.
Notre héros avait peur des femmes. Une peur qui se traduisait par un estomac noué, une incapacité de manger, des malaises, des vomissements, des angoisses, une paralysie. Il était extrêmement timide. Des souvenirs enfouis dans son enfance quand il avait reçu des claques, des refus pour sa taille, un coup de pied dans l’œil, un coup de ciseaux, des refus pour sa couleur de peaux en provenance de petites filles. Il préférait demander l’heure à un voyou avec un pit-bull qu’à une jolie demoiselle. Il était incapable de téléphoner à une fille sans avoir fait tout un rituel avant de s’y décider. Il avait une peur totale de la femme. Il avait un manque de confiance face à la gent féminine. Son inconscient criait danger. Cette peur de l’inconnu le clouait sur le port et il n’osait pas prendre le large
Il avait eu parfois des discussions avec des filles. Il les écoutait mais il ne parlait pas de lui. De ce fait, elles n’avaient aucune raison de s’intéresser à notre héros et il restait le gentil ami. Il communiquait très peu de choses sur sa personne. Il était réservé et froid. Il était un homme d’écoute.
De plus, n’ayant jamais eu de sœurs ou de copine très proche. Il n’avait pas la connaissance de l’âme féminine. Il n’avait côtoyé que sa maman mais elle devait s’occuper de trois autres hommes aussi.
Son style.
Il était un mélange de deux continents. Les chromosomes de son père africain avaient pris le dessus. Il ressemblait à un arabe. Il mesurait un mètre cinquante-neuf, pour une cinquantaine de kilos.
Il était un partisan de la culture hip-hop. Il ne s’était jamais trop préoccupé de son style. Il transpirait le hip hop. Sa tenue vestimentaire préférée était un haut de training, un jeans, des baskets et une casquette. Il avait plus le style d’un gars d’en bas que celui d’un gars d’en haut. Il était porteur de lunettes. Il avait les cheveux noirs bouclés. Il portait souvent une barbe de trois jours et mettait parfois quelques gouttes de parfums. Il ferait un effort quand il serait en couple.
Il aimait les belle femmes, plus grandes que lui, avec une préférence pour les blondes, aux yeux clairs mais il pouvait tomber passionnément amoureux pour n’importe quelle femme. Il aimait ce qu’il choisissait.
Son sourire est son plus bel atout, il en a fait craquer plus d’une !
Conclusion de la première partie
Ces femmes lui avaient donné force d’entrer dans l’arène politique. Elles avaient donné à notre héros le courage de continuer à se battre pour son association. Elles lui avaient permis d’apprendre à donner de sa personne avec passion sans s’attendre à quelque chose d’elles en retour. Il avait appris le sens du sacrifice et de l’abstinence.
Elles étaient mises sur un piédestal. Il les avait aimées. Ces femmes lui avaient permis de créer des discours et d’organiser des évènements réunissant jusqu’à trois cents personnes par amour pour tous les êtres humains et de continuer à dévoiler ses messages de Paix, d’Amour et d’Unité. Elles lui avaient donné le courage de traverser des terrains inconnus, de rencontrer des gens d’autres cultures et d’exercer son écriture dans ses innombrables cahiers. Il croyait trop à la mythologie grecque.
Ces quinze ans de vie écrites sur papier lui permettait maintenant de faire une croix sur ce passé et d’aller de l’avant, de découvrir le Sexe et de ne plus s’en priver même sans Amour.
Mar 17 Mai 2011, 14:32 par
Jeaneck sur La vie à deux
Le temps des vacances (rémi chapitre quatre)
Voilà une semaine qu’il est en vacances à Ibiza. Il en a rêvé depuis des années. Il avait tout planifié, le voyage, l’hôtel, les virées dans les boîtes le soir, les promenades matinales sur la plage, les excursions en mer..............
Et il était là à se morfondre dans sa chambre d’hôtel. Qu’est-ce qui n’avait pas marché comme il avait imaginé ?
Les virées dans les boîtes de nuit lui étaient fastidieuses. Lui qui aimait la musique à plein volume, trouvait ces endroits bruyants, agaçants avec tous ces gens qui se trémoussent et se bousculent à qui mieux, mieux. Les jeunes beautés de tous les pays lui paraissaient fades........ Lui qui n’avait jamais reculé pour une aventure d’un jour, trouvait maintenant cela futile et immature.
Ses promenades à la plage, parmi des anatomies plus dénudées les unes que les autres, loin de lui apporter le plaisir envisagé, lui pesaient. Sous un temps splendide et un soleil radieux, il avait l’impression de traîner le froid et la brume du grand Nord. Et ne parlons pas de ces fabuleuses escapades en mer où la houle du bateau conjuguée aux remous de son coeur le collaient au bastingage le regard perdu sur l’horizon. Il fallait qu’il s’en fasse une raison : Elle lui manquait !
Alessia lui manquait et cette absence gâchait ses vacances. Il revoyait son visage rayonnant, ses courbes généreuses. Se remémorait leurs discussions et leurs éclats de rire. Se souvenait de leurs rencontres, de leurs caresses et de leurs baisers. Et un nœud se serrait dans ses entrailles lui bloquant un boule dans la gorge et une énorme tristesse. Il se rappelait leur dernière entrevue et le lamentable fiasco. La mue dépitée d’Alessia et sa fuite précipitée. Il aurait voulu remonter le temps et avoir le courage d’envoyer promener l’amie mais voilà : Le mal était fait ! Et il était à se demander si Alessia pensait encore à cet inconscient qu’il était.
Et puis qu’avait à lui offrir ? Il n’était plus tout jeune et elle pouvait prétendre à tant d’autres qui seraient subjugués par son charme et ses charmes. Que pouvait-il lui proposer ? Ses projets ? Cet embonpoint tenace malgré les régimes, les efforts et le sport ? Son caractère et sa beauté mettaient tant de prétendants à ses pieds qu’il ne s’accordait aucune chance à ce qu’elle se souvienne de lui. Il ruminait, ressassait quand soudain............... L’adresse e-mail !!
Il se précipita sur l’ordi et commença à lui rédiger un message :
Chère, tendre et lumineuse Alessia.......
Et il était là à se morfondre dans sa chambre d’hôtel. Qu’est-ce qui n’avait pas marché comme il avait imaginé ?
Les virées dans les boîtes de nuit lui étaient fastidieuses. Lui qui aimait la musique à plein volume, trouvait ces endroits bruyants, agaçants avec tous ces gens qui se trémoussent et se bousculent à qui mieux, mieux. Les jeunes beautés de tous les pays lui paraissaient fades........ Lui qui n’avait jamais reculé pour une aventure d’un jour, trouvait maintenant cela futile et immature.
Ses promenades à la plage, parmi des anatomies plus dénudées les unes que les autres, loin de lui apporter le plaisir envisagé, lui pesaient. Sous un temps splendide et un soleil radieux, il avait l’impression de traîner le froid et la brume du grand Nord. Et ne parlons pas de ces fabuleuses escapades en mer où la houle du bateau conjuguée aux remous de son coeur le collaient au bastingage le regard perdu sur l’horizon. Il fallait qu’il s’en fasse une raison : Elle lui manquait !
Alessia lui manquait et cette absence gâchait ses vacances. Il revoyait son visage rayonnant, ses courbes généreuses. Se remémorait leurs discussions et leurs éclats de rire. Se souvenait de leurs rencontres, de leurs caresses et de leurs baisers. Et un nœud se serrait dans ses entrailles lui bloquant un boule dans la gorge et une énorme tristesse. Il se rappelait leur dernière entrevue et le lamentable fiasco. La mue dépitée d’Alessia et sa fuite précipitée. Il aurait voulu remonter le temps et avoir le courage d’envoyer promener l’amie mais voilà : Le mal était fait ! Et il était à se demander si Alessia pensait encore à cet inconscient qu’il était.
Et puis qu’avait à lui offrir ? Il n’était plus tout jeune et elle pouvait prétendre à tant d’autres qui seraient subjugués par son charme et ses charmes. Que pouvait-il lui proposer ? Ses projets ? Cet embonpoint tenace malgré les régimes, les efforts et le sport ? Son caractère et sa beauté mettaient tant de prétendants à ses pieds qu’il ne s’accordait aucune chance à ce qu’elle se souvienne de lui. Il ruminait, ressassait quand soudain............... L’adresse e-mail !!
Il se précipita sur l’ordi et commença à lui rédiger un message :
Chère, tendre et lumineuse Alessia.......
Jeu 28 Avril 2011, 17:55 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
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Il y a 70 textes utilisant le mot fallait. Ces pages présentent les textes correspondant.
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