Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur fibres
Chaque feuille qui tombe me rapproche de toi
Oui, chaque feuille qui tombe me rapproche de toi
Elle signifie la mort qui rôde autour de moi
Je cherche au dehors ce que je n’attends plus
J’écoute le ciel qui pleure de sa nouvelle mue
Les pétales en brouillons jalonnent la terre grasse
Offrant peu résistance à ce vent qui les chasse
Les arbres plient et ploient dans quelques rebuffades
Et gémissent aux tortures de ce marquis de Sade
Ce tableau gris vêtu hante mes heures solitaires
Passées en revisite d’un été de chimères
Où nos corps enlacés ne sentaient rien venir
De cet morne automne et son triste élixir
il fut quelques orages comme pour nous prévenir
Mais n’en avions que faire sous le poids du désir
Et lentement la feuille à guetter le moment
De choir sans un bruit, inéluctable instant.
Et l’horizon n’est plus qu’un long trait de déclin
Forçant la colline lointaine à s’aplatir en vain
Sous le poids d’un manteau aux fibres cotonneuses
Pour disparaître enfin dans quelques heures brumeuses.
Drapé dans les effluves qui émanent de toi
Je dance avec les feuilles qui quittent les sous bois
Derrière cette fenêtre, ce rempart si fragile,
Qui t’a vu hier éclore au prime soleil d’Avril.
Alors dans un sourire pour accueillir la larme
J’effiloche la veine d’un geste vif comme la lame
J’entrevoie le filet qui libère la couleur
Pour l’amour que j’avais et pour lequel je meurs.
Jime
Elle signifie la mort qui rôde autour de moi
Je cherche au dehors ce que je n’attends plus
J’écoute le ciel qui pleure de sa nouvelle mue
Les pétales en brouillons jalonnent la terre grasse
Offrant peu résistance à ce vent qui les chasse
Les arbres plient et ploient dans quelques rebuffades
Et gémissent aux tortures de ce marquis de Sade
Ce tableau gris vêtu hante mes heures solitaires
Passées en revisite d’un été de chimères
Où nos corps enlacés ne sentaient rien venir
De cet morne automne et son triste élixir
il fut quelques orages comme pour nous prévenir
Mais n’en avions que faire sous le poids du désir
Et lentement la feuille à guetter le moment
De choir sans un bruit, inéluctable instant.
Et l’horizon n’est plus qu’un long trait de déclin
Forçant la colline lointaine à s’aplatir en vain
Sous le poids d’un manteau aux fibres cotonneuses
Pour disparaître enfin dans quelques heures brumeuses.
Drapé dans les effluves qui émanent de toi
Je dance avec les feuilles qui quittent les sous bois
Derrière cette fenêtre, ce rempart si fragile,
Qui t’a vu hier éclore au prime soleil d’Avril.
Alors dans un sourire pour accueillir la larme
J’effiloche la veine d’un geste vif comme la lame
J’entrevoie le filet qui libère la couleur
Pour l’amour que j’avais et pour lequel je meurs.
Jime
Mar 02 Déc 2014, 16:47 par
Jime sur L'amour en vrac
L'écrire à fleur de vie
Ecrire. Ecrire à en perdre le souffle. Ecrire et se noyer dans le flot tumultueux des mots moutonneux, riches, doux, âpres, aigres, violents, tendres, accidentés, fleuris, turbulents, bouillonnants, venant et repartant au gré des lignes, sac et ressac de la mer d’encre que l’on fait naître au cœur de nos désirs inassouvis, de nos pleurs trop tôt étouffés, de nos cris ravalés, de nos larmes ensanglantées. Ecrire avec les restes déchirés de nos cœurs qui palpitent encor entre les becs d’acier à l’éclair glacé de leur indifférence.
Ecrire. Aimer. Quelle différence ?! Que la pulsation de nos êtres donne vie à ces textes assassins vivant de substantifique sève. Ecrire et les en repaître. Les deviner fébriles, léchant leurs doigts trempés de nos vies mises à nu. Ecrire et disparaître peu à peu, au fil des lignes, se dévoiler, imperceptiblement se mêler aux fibres de la toile sans que nul n’en soupçonne l’impalpable tragédie… Jusqu’à n’être plus rien qui s’offre à leur regard qu’une ombre furtive à l’écran.
Mourir d’écrire.
Ecrire. Aimer. Quelle différence ?! Que la pulsation de nos êtres donne vie à ces textes assassins vivant de substantifique sève. Ecrire et les en repaître. Les deviner fébriles, léchant leurs doigts trempés de nos vies mises à nu. Ecrire et disparaître peu à peu, au fil des lignes, se dévoiler, imperceptiblement se mêler aux fibres de la toile sans que nul n’en soupçonne l’impalpable tragédie… Jusqu’à n’être plus rien qui s’offre à leur regard qu’une ombre furtive à l’écran.
Mourir d’écrire.
Dim 07 Fév 2010, 16:28 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Ton cou
Ne me laisse pas te toucher
humer ta vie
sauvage et femme
goûter tes courants
vivants
tellement vivants
qui glissent
le long de ton cou.
Je pourrais prendre envie
de te basculer
de te bousculer
dans toutes les directions
par toutes tes odeurs.
Je pourrais prendre envie
d’y saoûler
toutes mes retenues
d’y laisser frémir
toutes mes fibres d’homme.
Et si
tu me laissais
me perdre en toi
y défaire nos lois ?
humer ta vie
sauvage et femme
goûter tes courants
vivants
tellement vivants
qui glissent
le long de ton cou.
Je pourrais prendre envie
de te basculer
de te bousculer
dans toutes les directions
par toutes tes odeurs.
Je pourrais prendre envie
d’y saoûler
toutes mes retenues
d’y laisser frémir
toutes mes fibres d’homme.
Et si
tu me laissais
me perdre en toi
y défaire nos lois ?
Mar 23 Jan 2007, 19:49 par
Alex sur Parler d'amour
Pentes abruptes dans le canal étroit des mots
Pour me hisser à sa hauteur c’est comme s’il me fallait
penser à travers le chas d’une aiguille
et jouer à cache-cache avec le temps
son rire met une pincée de sel au moindre de ses mots
et du poivre dans les miens
par étapes le désir ajoute à sa nudité
un surcroît de souplesse
on dit parfois qu’en amour
tout vient des reins
païen au départ et finalement sacré
alors la courbure de ses reins met des ailes à ses seins
comme s’ils réagissaient en choeur
à l’effet aérien et conjugué
de leur poids dans l’air et de leur couleur blanche
plus vifs qu’au théâtre
les changements de décor
dès qu’elle cesse de parler pendant un court instant
l’expression de ses traits est suspendue
comme trois points de suspension qui vont
de la pointe du nez
à celle du menton
- comme si ses silences accéléraient
la vitesse de l’idée -
puis l’expression de ses lèvres glisse
jusqu’à l’envol de ses narines
et s’échappe au-dehors
comme un voilier fendant les flots
ou une caravelle tendue loin devant nous
avec ça et là piquées dans l’océan
les bouées des cils retroussées en panaches noirs
son charme est un chapelet de tendresses
brodées sur la trame de mes sens
venus incognito
et repartis de même
elle dresse une muraille entre le monde et moi
et le monde plie finalement
combat perdu d’avance
elle mange en causant
je mange en lisant
mais les femmes ont peut-être
plus que les hommes
l’art de faire deux choses à la fois
son pull rouge du jour glisse
en mille chapelets de cerises flambant sur son buste
et tisonne en moi un souffle de forge
suspendu à chaque geste de ses bras
la soie bleue des baisers donne à ces couleurs
des gestes liquides que tendent et détendent
à mesure
les mouvements fuyants de l’étoffe
sur la chair de la soie
nue elle est habillée car son corps
se donne à l’air qui l’enveloppe
le reste vient en post-scriptum lorsque sa langue
glisse très vite des molaires aux incisives
sur le clavier des dents
pour aller sans cesse des tons graves
aux aigus
et inversement
selon le degré d’émotion
cet émail vivant resté éclatant
qui perle et luit dans le désir
et ce soleil qui scintille dans la perle
où la lune s’expose en un brasier unique
son odeur est pour moi associée
à son arme secrète
- cette poignée de couleurs et d’ombres
qui se succèdent
comme des portes battantes
qu’on claque à volonté -
les odeurs de son corps sont tissées
dans l’étoffe douloureuse de sa peau
comme une série de fils inextricables
ses odeurs mises à nu elles aussi
et mêlées à son arme secrète :
jusqu’à l’empalement de mes nerfs
de la pointe des cheveux
aux dernières fibres de ma peau
comme si certaines caresses d’elle
me rendaient femme de mon propre corps d’homme
il n’y a que très peu d’habitudes en elle
elle chez qui chaque geste est neuf
et rend le langage
de certaines choses muettes
un peu plus clair
et constamment renouvelé
si près de moi j’ai trop appris d’elle
pour ne pas me perdre
élégamment
dans les lexiques
je sais désormais lire
dans l’odeur de ses cheveux
la nuit
et dormir avec elle
rend mes nuits moins pénibles.
penser à travers le chas d’une aiguille
et jouer à cache-cache avec le temps
son rire met une pincée de sel au moindre de ses mots
et du poivre dans les miens
par étapes le désir ajoute à sa nudité
un surcroît de souplesse
on dit parfois qu’en amour
tout vient des reins
païen au départ et finalement sacré
alors la courbure de ses reins met des ailes à ses seins
comme s’ils réagissaient en choeur
à l’effet aérien et conjugué
de leur poids dans l’air et de leur couleur blanche
plus vifs qu’au théâtre
les changements de décor
dès qu’elle cesse de parler pendant un court instant
l’expression de ses traits est suspendue
comme trois points de suspension qui vont
de la pointe du nez
à celle du menton
- comme si ses silences accéléraient
la vitesse de l’idée -
puis l’expression de ses lèvres glisse
jusqu’à l’envol de ses narines
et s’échappe au-dehors
comme un voilier fendant les flots
ou une caravelle tendue loin devant nous
avec ça et là piquées dans l’océan
les bouées des cils retroussées en panaches noirs
son charme est un chapelet de tendresses
brodées sur la trame de mes sens
venus incognito
et repartis de même
elle dresse une muraille entre le monde et moi
et le monde plie finalement
combat perdu d’avance
elle mange en causant
je mange en lisant
mais les femmes ont peut-être
plus que les hommes
l’art de faire deux choses à la fois
son pull rouge du jour glisse
en mille chapelets de cerises flambant sur son buste
et tisonne en moi un souffle de forge
suspendu à chaque geste de ses bras
la soie bleue des baisers donne à ces couleurs
des gestes liquides que tendent et détendent
à mesure
les mouvements fuyants de l’étoffe
sur la chair de la soie
nue elle est habillée car son corps
se donne à l’air qui l’enveloppe
le reste vient en post-scriptum lorsque sa langue
glisse très vite des molaires aux incisives
sur le clavier des dents
pour aller sans cesse des tons graves
aux aigus
et inversement
selon le degré d’émotion
cet émail vivant resté éclatant
qui perle et luit dans le désir
et ce soleil qui scintille dans la perle
où la lune s’expose en un brasier unique
son odeur est pour moi associée
à son arme secrète
- cette poignée de couleurs et d’ombres
qui se succèdent
comme des portes battantes
qu’on claque à volonté -
les odeurs de son corps sont tissées
dans l’étoffe douloureuse de sa peau
comme une série de fils inextricables
ses odeurs mises à nu elles aussi
et mêlées à son arme secrète :
jusqu’à l’empalement de mes nerfs
de la pointe des cheveux
aux dernières fibres de ma peau
comme si certaines caresses d’elle
me rendaient femme de mon propre corps d’homme
il n’y a que très peu d’habitudes en elle
elle chez qui chaque geste est neuf
et rend le langage
de certaines choses muettes
un peu plus clair
et constamment renouvelé
si près de moi j’ai trop appris d’elle
pour ne pas me perdre
élégamment
dans les lexiques
je sais désormais lire
dans l’odeur de ses cheveux
la nuit
et dormir avec elle
rend mes nuits moins pénibles.
Mar 08 Fév 2005, 19:59 par
avedekian sur La séduction
des mots pour séduire... peut-être...
...ébauche de doux mots....
Je voudrais être dans l’air que tu respires, dans l’eau qui te caresse, dans les fibres des tissus qui t’habillent.
Je voudrais être dans les aliments qui caressent tes lèvres et ta langue.
Je voudrais être un peu de ta peau, que tu aies envie alors de toucher des parcelles de toi et avoir la sensation que c’est ma peau qui effleure la tienne.
Je voudrais être ton téléphone, te détournant de ton correspondant, glisser à ton oreille un fragment de ma respiration pour te faire ressentir mon plaisir d’être aussi proche de toi.
Je voudrais être ta montre pour que tes yeux pétillent lorsque tu la regardes dans ta course perpétuelle contre le temps.
Je voudrais être un peu de tes draps pouvoir caresser ta peau toute la nuit, t’envelopper, t’emmener et t’accompagner vers de doux rêves.
Je voudrais être sur le rebord de ton verre lorsque tu y poses tes lèvres pour boire.
Je voudrais être un peu dans toutes ces choses qui font ta vie, que le sourire naisse sur tes lèvres en songeant que peut être je suis là.
Que l’idée t’envahisse et te devienne alors peut être obsédante de n’être qu’une idée.
Que tu aies alors envie encore de moi de chair et d’os, de regards, de sourires, de caresses, de baisers, de mots glissés à ton oreille.
Que ton corps et ton esprit se révoltent contre ta raison et te rappellent les plaisirs que la folie nous a donné à vivre. ….
Je voudrais être dans l’air que tu respires, dans l’eau qui te caresse, dans les fibres des tissus qui t’habillent.
Je voudrais être dans les aliments qui caressent tes lèvres et ta langue.
Je voudrais être un peu de ta peau, que tu aies envie alors de toucher des parcelles de toi et avoir la sensation que c’est ma peau qui effleure la tienne.
Je voudrais être ton téléphone, te détournant de ton correspondant, glisser à ton oreille un fragment de ma respiration pour te faire ressentir mon plaisir d’être aussi proche de toi.
Je voudrais être ta montre pour que tes yeux pétillent lorsque tu la regardes dans ta course perpétuelle contre le temps.
Je voudrais être un peu de tes draps pouvoir caresser ta peau toute la nuit, t’envelopper, t’emmener et t’accompagner vers de doux rêves.
Je voudrais être sur le rebord de ton verre lorsque tu y poses tes lèvres pour boire.
Je voudrais être un peu dans toutes ces choses qui font ta vie, que le sourire naisse sur tes lèvres en songeant que peut être je suis là.
Que l’idée t’envahisse et te devienne alors peut être obsédante de n’être qu’une idée.
Que tu aies alors envie encore de moi de chair et d’os, de regards, de sourires, de caresses, de baisers, de mots glissés à ton oreille.
Que ton corps et ton esprit se révoltent contre ta raison et te rappellent les plaisirs que la folie nous a donné à vivre. ….
Sam 15 Nov 2003, 15:37 par
Ri1kedesBêtises sur La séduction
Ecrire sur fibres

Il y a 5 textes utilisant le mot fibres. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
Les thèmes
- La séduction
- Amour internet
- La ballade amoureuse
- La première fois
- Un monde parfait
- Citations
- Le grimoire d'amour
- Les liaisons sulfureuses
- L'amour en vrac
- Parutions
- La vie à deux
- Histoires d'amour
- Articles
- Parler d'amour
- Mille choses
- Annonces
- La déclaration d'amour
- L’amour fantastique
- Textes à jalons
- Exercices de style
Derniers textes
Le Dim 08 Août 2021, 15:15 par martin
Le Jeu 05 Août 2021, 14:40 par martin- A la poursuite de milou
Le Dim 01 Août 2021, 14:52 par martin - Noel
Le Sam 31 Juil 2021, 23:34 par martin - Sentir les printemps
Le Mar 17 Mars 2020, 13:45 par caressedesyeux - Haiku
Le Sam 08 Fév 2020, 15:10 par caressedesyeux - Délivrance( suite du texte je m'en vais)
Le Mer 11 Déc 2019, 14:29 par caressedesyeux - Les roseaux
Le Ven 05 Avril 2019, 18:24 par caressedesyeux
Le Jeu 24 Jan 2019, 15:48 par FB- Sexcape game
Le Dim 03 Juin 2018, 20:57 par Bridget - Sade's girls
Le Mer 30 Mai 2018, 21:45 par Bridget - Tendrement
Le Mar 10 Jan 2017, 00:58 par JadeLightnore - Se froler du regard
Le Dim 25 Déc 2016, 19:42 par caressedesyeux - Ses cheveux longs
Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
- main
- mains
- monde
- mots
- nuit
- parfois
- peau
- peur
- plaisir
- porte
- pourtant
- regard
- rêve
- sens
- soleil
- sourire
- tête
- visage
- vivre
- yeux
- âme
Livres recommandables
![]() | Des désirs et des hommes |
![]() | Infidèles : Nouvelles érotiques J'ai lu |
![]() | Grammaire érotique La Musardine |
![]() | Journal intime de mon sexe |
![]() | CARNET DE RROSE |
![]() | LE JOYAU Blanche |
![]() | ITINERAIRE D UNE SCANDALEUSE |
![]() | Cinquante nuances de Grey (Fifty Shades, Tome 1) JC Lattès |
![]() | Le Parfum Le Livre de Poche |
![]() | Éloge des femmes mûres: Les souvenirs amoureux d'András Vajda Folio |
Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres
La citation d'amour
Amour a de coutume d'entremêler ses plaisirs d'amertume.
Clément Marot.
Clément Marot.
Qui est en ligne ?
- Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
- La date/heure actuelle est Mer 30 Avril 2025, 15:32
- Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
Nous avons 1234 membres enregistrés
L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher - Il y a en tout 104 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 104 Invités et 0 Bots [ Administrateur ] [ Modérateur ]
- Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 483 le Mar 25 Fév 2025, 16:25
- Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
Bots : Aucun - Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes