Il ya toi...

Il y a toi, le soleil, la mer;
La foule qui étend leur serviette chaussant leurs lunettes de soleil, les gosses, qui font des châteaux de sable, munis de leurs seaux, et pelles
IL y a toi, et moi
Marchant, au bord de l’eau, main dans la main.

Les hommes attentionnés qui passent de la crème sur le dos de leur femme
Les collectionneurs de coquillages... qui s’échouent au bord des rivages.
Il y a toi et moi, mon appareil autour du cou, "immortalisant" des images, pour se rappeler les vacances d’été...
Et ton sourire accroché, pour me voler des baisers...


il y a, ceux qui osent se baigner ,dans une eau à dix-neuf degrés
Et les réticents qui ne tremperont que le bout de leurs pieds...
Plus loin, les bateaux flottent, se balançant au rythme des vagues
y ’en a même un qui rame à la nage.

Il y a toi, et moi,
Et ton coup de soleil, sur ta peau si blanche
Mon paréo, qui tombe sur mes hanches
Il dans l’eau.
Mer 15 Juil 2015, 11:02 par caressedesyeux sur Mille choses

L'amour moderne

J’ai lu quelque part : le sexe est si facile à obtenir que l’amour est maintenant devenu un fantasme ..
Pour la génération X et les précédentes, cette affirmation est sans nul doute plus choquante que véridique.
Et pourtant, pour la génération Y, c’est normal.
Je fais partie de cette génération qu’on appelle Y. Selon moi, nous ne vivons plus dans une époque où la ’’relation à long terme’’ est prônée .. Et je crois qu’il y a un lien à faire avec le fait que nous ne sommes plus croyants.
De nos jours, le divorce c’est courant et le mariage c’est rare.
Dans le temps, les gens devaient se marier par obligation, telle était la volonté de Dieu. Et le divorce ? N’y pensez même pas !
La vie de ces gens était prédéfinie et ne pouvait être autrement. Ils ne se posaient pas de questions, ils suivaient le moule imposé par la religion, tout simplement.
Est ce que les gens étaient plus heureux ?? Non je ne crois pas .
Ils ne pouvaient pas s’affirmer en tant qu’individu parce qu’ils auraient été chassé de l’église, et ça dans ce temps là, c’était pire que mourir !
Nous vivons simplement dans une nouvelle ère où l’affirmation de soi est en pleine ascension.
Ce que j’entends entre autre par ‘’affirmation de soi’’ ; le droit de choisir avec qui on a envie de partager des moments intimes.
Soit dit en passant, n’oubliez pas que l’être humain est un mammifère. Vous en connaissez beaucoup des mammifères qui passent toute leur vie avec le même animal? Non. Je crois que l’être humain a besoin de relations charnelles, même si ces relations ne s’accompagnent pas d’amour.
Il est vrai que c’est beaucoup plus facile de passer à autre chose maintenant, parce qu’il n’y a presque plus rien qui nous attache obligatoirement à un individu quelconque. La religion ne nous l’impose plus. Ainsi, si ça ne fonctionne pas avec quelqu’un, il est beaucoup plus facile de laisser tomber plutôt que de travailler pour faire fonctionner une relation, ou tout simplement endurer quelqu’un qu’on aime pas parce qu’on a pas le choix.
À l’époque, passer sa vie avec la même personne n’était pas le désir de l’être humain, mais plutôt celui de Dieu, un être suprême qui ne sait même pas c’est quoi être en manque de sexe. Et on devrait baser notre vie sur ses convictions? Heu, non désolé je passe mon tour.
Il est vrai que notre génération a peur de l’engagement. C’est peut être dû au fait qu’on a vu nos parents se divorcer, se battre pour une pension alimentaire, se chicaner pour la garde des enfants. Nous avons peur que ça ne fonctionne pas et de nous retrouver avec rien, à l’exception d’un cœur brisé.
C’est une roue qui tourne .
Ayant peur de l’engagement, les gars deviennent des ‘’players’’ et les filles deviennent des ‘’saloppes’’ .
Et cette bande de joyeux lurons se tiennent loin des émotions puisqu’ils ne veulent pas tomber amoureux, au risque de s’engager .
Ceux qui s’engagent sont comme des prisonniers, parce qu’aujourd’hui, il est possible d’avoir couché avec 30 personnes sans être marié ! Et ce n’est plus un crime, c’est NORMAL . Lorsque tu es engagé, tu dois te contenter d’une seule personne, alors que si tu étais célibataire, SKY IS THE LIMIT, comme on dit .
À l’époque, on n’y pensait même pas. Tu devais être vierge au mariage et avoir des relations intimes avec la même personne toute ta vie. C’est pour ça que la relation de couple n’était pas perçue comme une prison mais plutôt comme un idéal de vie, parce que Dieu le voulait.
De plus, la femme devait être une bonne épouse et ne jamais chialer. Son mari pouvait sortir à la Taverne, se saouler la face et rentrer tard alors que la femme devait veiller sur les enfants. Ce n’est plus comme ça aujourd’hui puisque nous faisons face à une nouvelle réalité : l’égalité des sexes.
Mis à part tout ça, il est vrai que notre génération Y fait face à un problème plus grave : L’IMAGE.
Le nouveau but des gens dans la vie c’est de PARAÎTRE et non d’être .
Il faut bien paraître, avoir une belle voiture, être le plus ‘’Douchbag’’ du club ou la plus ‘’Chixx’’ de la gang, avoir les plus gros seins possible, avoir le plus d’amis sur Facebook.
Avant c’était d’avoir une maison, une belle terre cultivable et des enfants .. Maintenant c’est d’être un Douchbag en chef et d’avoir couché avec plus de filles que ton meilleur ami.
C’est un problème qui n’en est pas un parce que je crois qu’éventuellement, ces gens seront blasés de simplement PARAÎTRE et arriveront à une étape de leur vie ou ils voudront savoir qui ils sont vraiment, à l’exception du ‘’Average Guy’’ qui voulait être comme tout le monde et être cool.
En gros, la génération Y se placera plus tard que les générations précédentes, mais elle par le faire. Éventuellement, cette génération ouvrira son cœur plutôt que son corps ..
C’est ce que je pense de l’amour moderne.
Mer 03 Août 2011, 04:21 par Eveb1234 sur Articles

C'est l'histoire d'un amour...

Mon histoire, c’est l’histoire d’un amour...
Ma complainte c’est la plainte de
deux cœurs.
Un roman comme tant d’autres
qui pourrait être le vôtre,
gens d’ici ou bien d’ailleurs...

C’est la flamme qui enflamme,
sans brûler.
C’est le rêve que l’on rêve,
sans dormir
Comme un arbre qui se dresse,
plein de force et de tendresse,
vers le jour qui va venir...

C’est l’histoire d’un amour
éternel et banal,
qui apporte chaque jour
tout le bien tout le mal...
Avec l’heure où l’on s’enlace,
celle où l’on se dit adieu
Avec les soirées d’angoisse,
et les matins merveilleux...

Mon histoire, c’est l’histoire
qu’on connaît...
Ceux qui s’aiment jouent la même,
je le sais...
Mais, tragique ou bien profonde
C’est la seule chanson du monde,
qui ne jamais...

C’est l’histoire d’un amour
éternel et banal
qui apporte chaque jour
tout le bien tout le mal...
Avec l’heure où l’on s’enlace,
celle où l’on se dit adieu
Avec des soirées d’angoisse
et les matins merveilleux...

Mon histoire c’est l’histoire
qu’on connaît...
Ceux qui s’aiment jouent la même,
je le sais.
Mais, naïve ou bien profonde (?)
C’est la seule chanson du monde
Qui ne jamais
C’est l’histoire d’un amour...

Dany Brillant
Sam 28 Août 2010, 07:12 par évènement sur Parler d'amour

Journal du néant

En espérant que ça vous plaise. =) Je ne poste qu’un petit peu du début, parce que je sais que les pavés ne donnent pas forcément envie de lire, mais j’en ai beaucoup plus si ça vous plait. Sinon, bah tant pis pour moi =)


PARTIE I : HIVER

"Just break the silence cause I’m drifting away, away from you."
(MUSENew Born)

Chapitre 1 : Décembre

Je m’appelle Maël, j’ai 22 ans et je vais mourir. Je sais, je ne devrais pas commencer par vous parler de ça. Sois parce que je ruine tout le suspens, sois parce que vous n’avez aucune envie de vous taper les délires dépressifs d’un cancéreux, et quelque part je vous comprends. Mais le fait est que je vais mourir, alors je préfères le dire tout de suite. Je ne sais pas encore quand, peut-être très bientôt, peut-être pas, mais la menace est là, plane au dessus de ma tête et noircie encore un peu plus le ciel déjà gris de Paris. Je vais mourir à cause d’un mot qui ne me disait rien avant. C’est dingue comme un seul mot devient menaçant alors que vous ne l’aviez jamais entendu auparavant. Et ce mot que vous ne connaissez pas, il vous parait pourtant déjà si familier, comme si vous aviez toujours su qu’il était là au fond de vous à attendre qu’on le révèle. Non, je n’ai pas été plus surpris que ça. Je ne saurais pas vous expliquer comme ça mais c’est comme si avant que ce mec chauve m’annonce son diagnostic, je savais que j’allais mourir comme ça. Un pauvre mec que je ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam mais que j’ai hais au premier regard. Et encore plus quand il m’a annoncé que j’étais malade. "Ce que j’ai a vous dire n’est pas facile". Arrête ton cirque, mec, la raison pour laquelle je dois t’appeler "docteur" est que tu annonce une mort certaine dans les six mois à venir à vingt personnes par jour. Je n’ai jamais trop compris cet aspect là de notre société. Comme le reste d’ailleurs....
J’ai appelé Andréas. Il a décroché en quelques secondes et l’imaginer pendu à son téléphone m’arracha un sourire malgré moi.

"Alors ?
- Bonjour, ça va merci et toi ?
- Déconne pas Maël, qu’est-ce qu’il t’a dit ?
- Myélome.
- ...
- Commence pas à faire le mec triste, tu sais même pas ce que ça veut dire.
- Je fais pas le mec triste, je fais le mec qui a pas compris.
- Un cancer des os.
- ...
- ...
- Là, je fais le mec triste, tu sais...
- ...
- Maël ?
- Hum ?
- Qu’est-ce qui va t’arriver ?
- Chimio et autres traitements qui vont bousiller mon corps et mon cerveau.
- Maël ?...
- ...
- Tu vas mourir ?
- ...
- Tu... tu vas mourir ?
- Les taux de guérison sont faibles, Andréas.
- ...
- Je ne rentrerais pas ce soir, j’ai besoin de faire le point. Seul.
- Maël..."

J’avais déjà raccroché. Je savais que si je l’écoutais encore, je serais rentré, et je ne pouvais pas le voir maintenant, vraiment pas. J’ai marché. Je voulais attendre la nuit. J’ai toujours préféré pleurer la nuit. Question de pudeur peut-être. J’ai marché dans Paris et je redécouvrais la ville. Des bâtiments immenses, hostiles, froid. Des gens ternes, le visage fermé, les yeux vides et la tête rentrée dans les épaules pour échapper à la morsure du froid.
J’avais envie de hurler après eux. Une envie viscérale, dévastatrice, qui m’arrachait les boyaux alors que je la contenais, les mains serrées en poings dans mes poches. Je voulais leur hurler de vivre, d’ouvrir les yeux et de regarder autour. Le monde n’est pas si dégueulasse qu’il voudrait nous faire croire, vraiment, alors regardez, vous trouverez peut-être quelque chose pour éclairer votre quotidien et afficher un sourire sur vos tronches, mais non, vous faites la gueule parce que vous avez raté votre bus et que le RER A est encore en grève. Vous avez passé une sale journée alors le monde entier va ramasser ce soir pour ce que votre patron vous a fait endurer. Vous faites la gueule, vous marchez sur les pieds de votre voisin sans vous excuser et vous vous en moquez. Vous lui cracheriez à la gueule si vous pouviez. Mais votre vie ne s’arrête pas pour ça, non, je vous jure que non. Vous pourriez ne pas avoir de travail, pas de patron pour vous ennuyer, et Kévin et Vanessa n’aurait pas leur téléphone portable dernier cri. D’ailleurs, ils n’auraient probablement pas à manger et vous vivriez tous dans un appartement minuscule. Vous pourriez aussi avoir 22 ans et apprendre que vous avez un cancer.
La nuit tombait enfin et j’arrivais presque. Quand j’arriverais, tout serait parfait. J’allumais une autre cigarette et tournait sur le quai des Grands Augustins. La lumière du soleil laissait doucement place à celles de la ville et une idée à traversé mon esprit. "Je suis un presque-réverbère." Quel poète, me direz-vous. Les réverbères sont des papillons de nuit recyclables, vous savez. Ils meurent chaque matins et renaissent chaque soir. Ils sont les espoirs futiles des paumés de mon espèce, l’espoir mort-né que demain sera plus beau qu’aujourd’hui. Ce soir, ils ne veulent plus rien dire pour moi, et ça ne sera plus jamais le cas. Je suis un presque-réverbère qui ne renaitra pas demain. Je suis un papillon qui ne pas la nuit. Demain aurait été plus beau qu’aujourd’hui. Peut-être pas.
Quelque taches sur les poumons plus tard, j’arrivais. Le Pont Neuf me faisait les yeux doux et les passants me regardaient d’un sale œil. Qui était donc ce type mal rasé avec ses yeux rouges et son écharpe ridicule qui venait leur gâcher la vue ? Surement un alcoolique de plus qui pleure parce qu’il a l’alcool triste. Quoi que, regarde ces cernes, c’est peut-être un héroïnomane en manque. Tu crois qu’on devrait partir avant qu’il nous agresse ? Je n’agresserais personne messieurs dames, ne vous inquiétez pas pour ça. Par contre je vais rester un peu vous ruiner la vue, mais je me moque de ce que vous en pensez. Et puis mon écharpe n’est pas ridicule, elle est orange, et elle est à Andréas. Elle sent la vanille et l’après-rasage, et si vous saviez comme elle sent bon. Si j’avais du choisir une seule chose à cet instant, ça aurait été ses bras autour de moi, ses lèvres dans mon cou, son odeur partout. Son souffle qui me rend dingue sur ma peau glacée.
Au milieu du pont, j’enjambais la pierre et m’asseyais les jambes dans le vide. Non, personne ne vint me dire de m’enlever de là, que c’était dangereux. Vous savez, les gens voient ce qu’ils veulent voir ici, et on a d’autre choses à faire un jeudi soir de décembre que de jouer les psy avec les suicidaires du Pont Neuf. L’eau froide courait en silence sous mes pieds. Une autre cigarette, la dernière. Le vide glacé. De la fumée brûlante. Et puis plus rien.
Mar 23 Fév 2010, 02:15 par June sur Histoires d'amour

E.t. ?!

Extraterrestre. Je ne sais pas mentir. Ou plutôt, je ne veux pas mentir ni à l’autre ni à moi-même et je ne veux pas de mensonges aussi beaux soient-ils. Or, nous sommes dans une société où, me semble-t-il (comme je voudrais me tromper !), le paraître prime sur la vérité de l’être (je me répète, je crois…). J’aime les personnes, les hommes, qui ont assez de force, de courage et d’amour propre pour paraître ce qu’ils sont sans se soucier de plaire ou de déplaire à autrui, qui sont cohérents dans leurs actions, leurs pensées, qui assument leurs choix et qui ne jouent pas au yoyo avec leurs sentiments – leur vie – et par suite, avec des tiers. « What you see is what you get ». Mais est-ce que ce genre d’homme existe encore ?! Quel est l’homme qui se donne le droit à l’erreur, qui ne cherche pas à en imposer, à subjuguer, à séduire au sens premier du terme, en un mot qui s’assume ? ! Qui ne compose pas avec sa conscience pour se livrer au gré de ses pulsions à toutes sortes de turpitudes qu’il désavoue l’instant d’après ? Cela me fait me souvenir de ce qu’une amie japonaise m’avait raconté à propos des hommes d’affaire de son pays. Le jour, ces hommes avec qui elle travaillait (elle avait le droit d’exercer une activité professionnelle n’étant pas mariée) étaient très sérieux, le visage froid, une politesse experte dissimulait tout de leur vie intérieure, mais la nuit !!! Ah, la nuit ! Mister Hide revenait au galop ! Ils s’enivraient, vomissaient sans retenue dans les rues endormies et hurlaient leur débauche à la face du monde ! Au matin, il ne restait plus rien sur les visages glabres des débordements nocturnes…
L’attitude qui consiste à se composer un personnage est destructrice, celui qui cherche à se forger une image dans le regard de l’autre ne sait-il pas dès le départ que ce ne sera pas lui qui sera aimé (s’il y a de l’amour) mais ce personnage de carton-pâte, ce masque de carnaval ?! Et quel masque ! Il faudrait les prévenir des dangers qu’ils encourent ! En effet, nous sommes loin de la Commedia dell’arte et l’acteur pour bon qu’il puisse être dans son interprétation et pour longue que dure la romance, sera fatalement sa propre dupe… Le jour où l’autre par ouvrir les yeux. Alors, je vous le demande, à quoi cela peut-il servir ? A quelles fins ? A quel bien ?

doute
Mar 26 Mai 2009, 18:36 par dolce vita sur L'amour en vrac

Histoire de savonnette

J’ai commencé ma vie, dans un grand bain bouillonnant, parmis les senteurs d’inombrables herbes aromatiques de Provence. J’ai ensuite durcis dans un petit moule aux formes ovoides qui m’ont donné la forme arrondie et gracieuse que j’ai depuis. Je suis resté très longtemps sur un étalage parfumé en attendant mon tour d’être adopté.
Voilà, un panier, une caisse enregistreuse qui scanne mon emballage, un sachet plastique où je suis écrasé entre un sac de rasoirs tout rose et une bouteille de shampooing aux contours moins élégants que les miens, un voyage en voiture où je suis ballotté un long moment, à nouveau le jour, je suis déshabillé, je dis adieu à mon emballage qui sa vie sur une décharge, mais qu’importe je trône maintenant comme un roi sur un petit écrin tout spécialement prévu pour moi, dans une salle de bains rose aux odeurs de bonbons acidulés, et j’attends impatiemment le matin sans trop dormir, inquiet de ne pas la décevoir.
Tout les jours, dans ses mains, je fond peu a peu, et je glisse de longues minutes sur sa peau de velour. Je sais qu’un jour je ne la reverrais plus mais ma douceur et mon odeur laisseront encore longtemps le souvenir du plaisir que nous avons pris ensemble. Je peux m’en aller en paix
Jeu 10 Juil 2008, 21:44 par GABRIEL 75 sur Mille choses

Ne perds pas confiance

Plus les jours avancent,
Plus ils se ressemblent,
Tu ne sais plus quoi faire de toi,
Tu continues à plonger vers le bas,
Même si tu es déjà là,
Les malheurs qui s’empilent les uns sur les autres,
Mais toujours l’espoir de t’en sortir,
Ne perds pas confiance...
Ton étoile est encore là,
Et encore, elle brillera,
Il y a des jours comme ça,
Y a des hauts, il y a des bas,
Ton tour viendra,
On t’a fait des promesses,
On t’a fait de belles façons,
Mais c’est comme des déjà vu,
On t’a redonné espoir,
A des histoires en t’a fait croire,
On t’a fait marcher.
Mais toujours la lueur,
Qui revient au bout du chemin,
Une fois de plus elle s’éteint,
Ne perds pas confiance....
Faut laisser le temps couler,
Le vent pas souffler,
Dans les grandes voiles désespérées,
Le vent dans les voiles,
Tu n’auras plus qu’à trouver,
Le grand phare blanc,
Pour te guider.
Ne perds pas confiance.
Mar 12 Sep 2006, 00:49 par joullia sur Mille choses

Un grain de sable n'est pas seul sur la plage...

On est tous un grain de sable qui se sent seul au monde, noyée dans une mer de sable...
Je sais ce que c’est que d’être persuadée que l’on seule...et je sais que te dire de garder espoir est assez inutile.
Trouver les mots pour te réconforter est assez dur, sache-le, mais je veux aussi que tu saches qu’il y forcément quelqu’un quelque part. Forcément...Sinon, pourquoi serais-tu en vie? Pour quoi aurais-tu envie d’être en vie? tant de fois je me le suis demandé, tant de fois j’ai douté et j’ai flanché, mais comme tu peux le voir, je suis encore là.
La douleur et les cicatrices restent, mais j’ai encore envie de voir le soleil se lever et se coucher et je rêve encore du jour où je ne le verrais plus seule.
Je sais que ça peut sonner comme tous ces éloges débiles de "la vie est belle" et où les gens semblent ne pas avoir les mêmes problèmes que toi parce que leur vie semble si facile...mais peut être que la vie est belle, justement...
Mer 23 Août 2006, 23:21 par Lindsey sur Histoires d'amour

Re: La belle âme

Je pensais pas qu’un jour les go s’écrouleraient sous le poids de mes mots
Et le jour où je saisis leur importance dans leurs danses je suis devenu un salop
Les histoires de coeur ont brisé la magie de la séduction
Voulaient de moi tout mon miel sans aucune modération
La lassitude prît le pas chaque fois
Et du salop je pris le rôle du goujat
En me débarassant de ces moments pénibles pour moi
Un vrai gangsta en amour mais tu sais comme moi comment un jour ça
Je tomberai sur Elle et jouera avec moi comme je l’avais tant fais autrefois
Lun 08 Mars 2004, 19:41 par Laurent sur La séduction
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Ecrire sur finira

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La citation d'amour

La femme souffre plus que l'homme du mal d'amour, mais elle sait mieux le dissimuler.

Euripide.

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