Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur fort - Page 11 sur 21
Exprime Toi ...
Ce que la bouche s’accoutume à dire, le coeur s’accoutume à le croire.
Charles Baudelaire
Voilà une jolie façon pour dire que la méthode Coué influence l’esprit humain ...
Alors dites le, haut, fort et clair ...
Après tout votre esprit a peut être envie de le croire !
Philippe.
Charles Baudelaire
Voilà une jolie façon pour dire que la méthode Coué influence l’esprit humain ...
Alors dites le, haut, fort et clair ...
Après tout votre esprit a peut être envie de le croire !
Philippe.
Mar 24 Avril 2007, 06:30 par
coeur lourd sur Citations
Morphine [Yaoi]
5. Aiguille
Ils se levèrent sans se lâcher et retournèrent à deux dans la cuisine. Ils ouvrirent le frigidaire une seconde fois. Ils prirent alors tout l’alcool qu’ils purent y trouver. Bière, vodka, whisky, passoa, smirnoff. Tout. Ils débouchèrent toutes les bouteilles, pataugeant dans la flaque de lait qui trempait toujours le carrelage. Puis, les bouteilles dans les bras, ils retournèrent au salon. Là allait commencer la dernière partie. La plus dangereuse. Mais seul Bill savait. Il savait ce qu’il ferait, car après ça, il savait comment ils réagiraient tout les deux. Il avait soigneusement caché le couteau sous les coussins du canapé.
Tom prit une première bouteille, sans regarder ce que c’était, et la fit boire à Bill, presque d’une traite. Celui-ci toussa car l’alcool lui brûlait la gorge: whisky, le plus fort. Il prit à son tour n’importe quelle bouteille et soumit Tom à la boire. Ça pétillait et c’était sucrée: smirnoff, le plus léger. Puis Tom s’aggripa à Bill et le fit s’allonger de force. Celui-ci gémissait déjà. Tom lécha son sexe, le mordilla, le suça, fit comme s’il aspirait une paille. Bill griffait les coussins du canapé et soupirait très fort, si fort que ça ressemblait à des cris. Il se griffait même tout seul jusqu’au sang. Tom s’arrêta un instant pour boire, puis cloua le goulot de la bouteille dans la bouche de son petit frère, qui étouffait à moitié, toujours allongé. Il y avait de la boisson partout. Tom reversa le reste de la bouteille sur tout le corps de Bill et le lécha. Puis il reprit son affaire. Bill s’arrêta de respirer au moment de l’orgasme, fermant les yeux, serrant les dents, enfonçant ses ongles dans sa peau. Tom avala la semence de son frère avait de remonter à ses lèvres qu’il mordit, les faisait saigner. Bill faisait de même en mordant sa langue et en griffant son dos.
Puis Tom passa à la vitesse supérieur, car le temps les pressait. Après avoir vider une autre bouteille avec son frère, il le retourna et lui fit écarter les jambes jusqu’à ce qu’il est mal. Puis il mordit ses petites fesses, tout en passant son doigt sur l’orifice. Bill gémissait de plaisir, il croulait. Malgré tout, il pleurait, car l’aiguille s’approchait de la fin à une vitesse trop alarmante. Sans prévenir, Tom enfonça son index, Bill tressaillit. Il remua son doigt, le faisait aller et venir, le tournant puis ajouta son majeur. Le petit frère n’en pouvait plus de soupirer, il attrapa une nouvelle bouteille, qu’il tendit à Tom à moitié vide. Tom retira ses doigts et pénétra son frère avec son sexe. Bill avait mal, c’était sa première fois. Le grand frère ne bougea pas vraiment au début, laissant le petit frère s’habituer à son intrusion tout en caressant ses côtes. Puis il se mit en route, allant et venant, partant et revenant, accélérant et ralentissant, tournant à gauche ou à droite. Bill… se mordait tellement c’était intense. Puis il sentit les violentes pulsions du sexe de Tom qui venait d’atteindre le septième ciel. Lequel se retira.
Puis ils finirent les bouteilles, devenant vraiment ivres. Mais ils restaient étonnement maître d’eux. Bill, par pure volonté, se jeta sur Tom, le faisant tomber et le claquant sur le sol. Il le mordait sauvagement, enfonçant ses dents, sur sa poitrine, dans son cou, sur ses joues. Tom saignait beaucoup et commençait à se demander pourquoi Bill faisait ça. Ce dernier se rattrapa en s’introduisant en lui, le faisant jouir et couiner, tout en jouant avec son sexe en même temps. Tom ne se rendait pas compte une seule seconde que la fin approchait, et Bill cachait soigneusement ses larmes. Le sent se mêlait à l’alcool par terre et Tom baignait dedans. Il ne voyait pas Bill sangloter. Il le sentait juste s’activer en lui, jusqu’à ce qu’il s’arrête, épuisé. Lui aussi saignait. Il embrassa follement son frère. Tous les deux avaient du sang sur les lèvres. Bill plantait ses ongles partout sur le torse du pauvre Tom qui commençait à se débattre. Il ne voulait plus, Bill était fou, trop ivre. Mais en fait non, Bill n’était pas si ivre que ça et, assit à califourchon sur le bassin de son frère, il le coinçait entre la table de salon et le canapé. Tom commença à avoir peur et repoussa son frère. Mais celui-ci résista. Il continua de l’embrasser, de morde ses lèvres et sa langue. Tom criait et s’agitait.
Bill s’arrêta soudainement se redressant un peu. Il regardait Tom en souriant. Lui il ne souriait pas du tout. Il souffrait, mais Bill aussi avait mal. Mais c’était fait exprès. Bill ne prit pa le temps de lui expliquait, l’heure redoutée sonnait. Il prit le couteau caché entre les coussins tout en restant assit sur Tom. Ce dernier s’apeura à sa vue. Mais Bill ne lui laissa pas le temps de paniquer. Il enfonça résolument la lame dans la poitrine de son frère, lequel le regardait sans vraiment comprendre. Là, il fallait faire vite pour qu’il voit que Bill ne le trahit pas. L’androgyne retira le lame du corps encore vivant de son frère puis l’enfonça dans sa propre poitrine. Tom comprit, il sourit. Bill retira la lame et s’allongea sur lui. Ils eurent simplement le temps de s’enlacer et de se serrer ensemble avant que leurs deux cœurs de s’arrêtent exactement au même moment. Ils étaient partit tout les deux vers un autre monde pour une nouvelle aventure qui pourrait durer.
Dans le salon, l’aiguille était arrêtée. Elle sonnait toute seule, ça faisait des années que sa sonnerie ne marchait plus. Elle pleurait, la petite aiguille, elle se serrait en bas du cadran avec sa grande sœur.
Les âmes habitant le corps des jumeaux s’extirpèrent, enlacées, des ailes dans le dos, voguant pour une autre vie, quelque part, à deux, rien qu’à deux. Leur amour continuerait là haut, que les anges le veuillent ou non.
Le temps s’était arrêté, mais pour eux, tout allait continuer…
Fin
Lyra
Ils se levèrent sans se lâcher et retournèrent à deux dans la cuisine. Ils ouvrirent le frigidaire une seconde fois. Ils prirent alors tout l’alcool qu’ils purent y trouver. Bière, vodka, whisky, passoa, smirnoff. Tout. Ils débouchèrent toutes les bouteilles, pataugeant dans la flaque de lait qui trempait toujours le carrelage. Puis, les bouteilles dans les bras, ils retournèrent au salon. Là allait commencer la dernière partie. La plus dangereuse. Mais seul Bill savait. Il savait ce qu’il ferait, car après ça, il savait comment ils réagiraient tout les deux. Il avait soigneusement caché le couteau sous les coussins du canapé.
Tom prit une première bouteille, sans regarder ce que c’était, et la fit boire à Bill, presque d’une traite. Celui-ci toussa car l’alcool lui brûlait la gorge: whisky, le plus fort. Il prit à son tour n’importe quelle bouteille et soumit Tom à la boire. Ça pétillait et c’était sucrée: smirnoff, le plus léger. Puis Tom s’aggripa à Bill et le fit s’allonger de force. Celui-ci gémissait déjà. Tom lécha son sexe, le mordilla, le suça, fit comme s’il aspirait une paille. Bill griffait les coussins du canapé et soupirait très fort, si fort que ça ressemblait à des cris. Il se griffait même tout seul jusqu’au sang. Tom s’arrêta un instant pour boire, puis cloua le goulot de la bouteille dans la bouche de son petit frère, qui étouffait à moitié, toujours allongé. Il y avait de la boisson partout. Tom reversa le reste de la bouteille sur tout le corps de Bill et le lécha. Puis il reprit son affaire. Bill s’arrêta de respirer au moment de l’orgasme, fermant les yeux, serrant les dents, enfonçant ses ongles dans sa peau. Tom avala la semence de son frère avait de remonter à ses lèvres qu’il mordit, les faisait saigner. Bill faisait de même en mordant sa langue et en griffant son dos.
Puis Tom passa à la vitesse supérieur, car le temps les pressait. Après avoir vider une autre bouteille avec son frère, il le retourna et lui fit écarter les jambes jusqu’à ce qu’il est mal. Puis il mordit ses petites fesses, tout en passant son doigt sur l’orifice. Bill gémissait de plaisir, il croulait. Malgré tout, il pleurait, car l’aiguille s’approchait de la fin à une vitesse trop alarmante. Sans prévenir, Tom enfonça son index, Bill tressaillit. Il remua son doigt, le faisait aller et venir, le tournant puis ajouta son majeur. Le petit frère n’en pouvait plus de soupirer, il attrapa une nouvelle bouteille, qu’il tendit à Tom à moitié vide. Tom retira ses doigts et pénétra son frère avec son sexe. Bill avait mal, c’était sa première fois. Le grand frère ne bougea pas vraiment au début, laissant le petit frère s’habituer à son intrusion tout en caressant ses côtes. Puis il se mit en route, allant et venant, partant et revenant, accélérant et ralentissant, tournant à gauche ou à droite. Bill… se mordait tellement c’était intense. Puis il sentit les violentes pulsions du sexe de Tom qui venait d’atteindre le septième ciel. Lequel se retira.
Puis ils finirent les bouteilles, devenant vraiment ivres. Mais ils restaient étonnement maître d’eux. Bill, par pure volonté, se jeta sur Tom, le faisant tomber et le claquant sur le sol. Il le mordait sauvagement, enfonçant ses dents, sur sa poitrine, dans son cou, sur ses joues. Tom saignait beaucoup et commençait à se demander pourquoi Bill faisait ça. Ce dernier se rattrapa en s’introduisant en lui, le faisant jouir et couiner, tout en jouant avec son sexe en même temps. Tom ne se rendait pas compte une seule seconde que la fin approchait, et Bill cachait soigneusement ses larmes. Le sent se mêlait à l’alcool par terre et Tom baignait dedans. Il ne voyait pas Bill sangloter. Il le sentait juste s’activer en lui, jusqu’à ce qu’il s’arrête, épuisé. Lui aussi saignait. Il embrassa follement son frère. Tous les deux avaient du sang sur les lèvres. Bill plantait ses ongles partout sur le torse du pauvre Tom qui commençait à se débattre. Il ne voulait plus, Bill était fou, trop ivre. Mais en fait non, Bill n’était pas si ivre que ça et, assit à califourchon sur le bassin de son frère, il le coinçait entre la table de salon et le canapé. Tom commença à avoir peur et repoussa son frère. Mais celui-ci résista. Il continua de l’embrasser, de morde ses lèvres et sa langue. Tom criait et s’agitait.
Bill s’arrêta soudainement se redressant un peu. Il regardait Tom en souriant. Lui il ne souriait pas du tout. Il souffrait, mais Bill aussi avait mal. Mais c’était fait exprès. Bill ne prit pa le temps de lui expliquait, l’heure redoutée sonnait. Il prit le couteau caché entre les coussins tout en restant assit sur Tom. Ce dernier s’apeura à sa vue. Mais Bill ne lui laissa pas le temps de paniquer. Il enfonça résolument la lame dans la poitrine de son frère, lequel le regardait sans vraiment comprendre. Là, il fallait faire vite pour qu’il voit que Bill ne le trahit pas. L’androgyne retira le lame du corps encore vivant de son frère puis l’enfonça dans sa propre poitrine. Tom comprit, il sourit. Bill retira la lame et s’allongea sur lui. Ils eurent simplement le temps de s’enlacer et de se serrer ensemble avant que leurs deux cœurs de s’arrêtent exactement au même moment. Ils étaient partit tout les deux vers un autre monde pour une nouvelle aventure qui pourrait durer.
Dans le salon, l’aiguille était arrêtée. Elle sonnait toute seule, ça faisait des années que sa sonnerie ne marchait plus. Elle pleurait, la petite aiguille, elle se serrait en bas du cadran avec sa grande sœur.
Les âmes habitant le corps des jumeaux s’extirpèrent, enlacées, des ailes dans le dos, voguant pour une autre vie, quelque part, à deux, rien qu’à deux. Leur amour continuerait là haut, que les anges le veuillent ou non.
Le temps s’était arrêté, mais pour eux, tout allait continuer…
Fin
Lyra
Sam 24 Mars 2007, 14:14 par
Lyra sur Les liaisons sulfureuses
Petite soeur ?
voila simplement ce que je lui ai écrit quand elle a touché mon cœur du bout de son âme.
------------------------------------------------------
Petite sœur,
Je te connais et je ne te connais pas.
Je t’ai parlé, et j’ai suivi tes pas.
Tu ma parlé et j ai eut envie de m’ouvrir.
J avais mal et, besoin de mon cœur t’ouvrir
Tu m’a compris, je t’ai compris. , on s’est aidé.
Et dans mon cœur une petite sœur ete née
J’avais envie de te donnée un souffle de vie
Car la mienne n’était rien qu un oublie
Je me croyais fort et je voulais te protéger.
Je te croyais affaibli, et je me sentais peiné
C’est alors que j’ai reçu ces coups au coeur
Et c’est toi qui ma donnée une bouffée de chaleur
Et j’ai accepté de recevoir
Ce que je ne pouvais plus voir
Juste un grand bol d’espoir
Un peu d’amour dans mon histoire.
Je n’ai plus de peur car il y a petite sœur
Je fait le plein de bonheur car je suis son grand frere
J’espere que tu trouveras ta paire
Et que je pourrais aider ton bonheur.
------------------------------------------------------
Petite sœur,
Je te connais et je ne te connais pas.
Je t’ai parlé, et j’ai suivi tes pas.
Tu ma parlé et j ai eut envie de m’ouvrir.
J avais mal et, besoin de mon cœur t’ouvrir
Tu m’a compris, je t’ai compris. , on s’est aidé.
Et dans mon cœur une petite sœur ete née
J’avais envie de te donnée un souffle de vie
Car la mienne n’était rien qu un oublie
Je me croyais fort et je voulais te protéger.
Je te croyais affaibli, et je me sentais peiné
C’est alors que j’ai reçu ces coups au coeur
Et c’est toi qui ma donnée une bouffée de chaleur
Et j’ai accepté de recevoir
Ce que je ne pouvais plus voir
Juste un grand bol d’espoir
Un peu d’amour dans mon histoire.
Je n’ai plus de peur car il y a petite sœur
Je fait le plein de bonheur car je suis son grand frere
J’espere que tu trouveras ta paire
Et que je pourrais aider ton bonheur.
Lun 12 Mars 2007, 11:19 par
nickos sur L'amour en vrac
Des lieux, une époque... (Suite)
Tout là haut le fort Turc, pirates de la côte,
Implantés pour régner, indigènes à leur botte,
Et au bout, Lapérouse, un port naturel
Peu à peu transformé en un abri réel.
A deux kilomètres, un village : Cap Matifou.
Une place, une église, écoles pour petits fous,
Mairie-bibliothèque, artisans et commerces,
Maisons groupées, une rue je traverse.
Nager, courir, marcher et sur un sac boxer,
Se servir de ses pieds pour se faire respecter
Des classes jusqu’au certif ; au fil des ans s’égrènent
Les devoirs et leçons pour ceux qui montent en graine…
Jan
Implantés pour régner, indigènes à leur botte,
Et au bout, Lapérouse, un port naturel
Peu à peu transformé en un abri réel.
A deux kilomètres, un village : Cap Matifou.
Une place, une église, écoles pour petits fous,
Mairie-bibliothèque, artisans et commerces,
Maisons groupées, une rue je traverse.
Nager, courir, marcher et sur un sac boxer,
Se servir de ses pieds pour se faire respecter
Des classes jusqu’au certif ; au fil des ans s’égrènent
Les devoirs et leçons pour ceux qui montent en graine…
Jan
Ven 26 Jan 2007, 17:13 par
jan goure sur Mille choses
En confidence
Je me disais, tantôt, se blottir sous la couette
Et que les jeux d’Eros provoquent la tempête :
Réchauffant notre sang, allumant notre peau,
Faisant trembler le lit de désir noble et beau !
Que nous fassions s’enfuir l’hiver qui nous étreint,
Qui fait geler nos coeurs et qui glace nos reins ;
Je t’entends murmurer et tu me fais sourire
Dans tes accents chantants c’est l’été qui s’étire...
Merci d’avoir osé, d’avoir su patienter,
Cultivant la confiance quand mes mots tergiversent
J’ai pu, sans le savoir, faire tomber la herse.
Merci d’avoir crû fort qu’on se rencontrerait.
Mon voeu, lors, est ceci et que tu t’en souviennes
Quand tu viendras ici : que le désir nous prenne.
Et que les jeux d’Eros provoquent la tempête :
Réchauffant notre sang, allumant notre peau,
Faisant trembler le lit de désir noble et beau !
Que nous fassions s’enfuir l’hiver qui nous étreint,
Qui fait geler nos coeurs et qui glace nos reins ;
Je t’entends murmurer et tu me fais sourire
Dans tes accents chantants c’est l’été qui s’étire...
Merci d’avoir osé, d’avoir su patienter,
Cultivant la confiance quand mes mots tergiversent
J’ai pu, sans le savoir, faire tomber la herse.
Merci d’avoir crû fort qu’on se rencontrerait.
Mon voeu, lors, est ceci et que tu t’en souviennes
Quand tu viendras ici : que le désir nous prenne.
Jeu 25 Jan 2007, 12:03 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Perplexe et amoureux
Le texte qui suit peut paraître disparate et surprenant.
Il est comme un accent circonflexe sur un temps ...
Un confluent, fluctuant sur le cours de mon moi, existant!
Ma vie, Mon amour, tu me fais peur.
L’amour que j’ai pour toi me fait peur.
Il y a encore tant de choses à venir,
Qui se profile et que tu fais jaillir.
Qu’il est presque inconcevable de vieillir
Sans réponse, sans certitude et sans armures!
Tu es :
Imprudente, écrasante, intelligente, espiègle, torturée, fascinante, charmeuse, attirante, angoissante, sensuelle, excitante, passionnante, affolante, agréable, aguichante, aiguillonnante, alléchante, aphrodisiaque, attrayante, bandante, dopante, électrisante, émoustillante, émouvante, encourageante, engageante, enivrante, érotique, euphorisante, exaltante, galvanisante, grisante, palpitante, piquante, pressante, provocante, provocatrice, réconfortante, séduisante, tentante, touchante, troublante, voluptueuse...
Mais la vie, elle même, n’est elle pas tout cela ?
Cette nuit, je n"ai pas trouvé le sommeil. Il est 6h37 et je pense ou plutôt j’essaie de canaliser mes pensées obscures et lumineuses, claires et brouillées disparates et burlesques , désuètes et pourtant si simples qu’on les avaient , pour un temps oubliées ...
Si l’on pouvait conserver, trier et garder ces milliers d’images minuscules et de si prêt si ridicules, pour les rassembler comme un gigantesque puzzle qui, avec le recul, nous donnerait le sens de notre vie, la direction en une sorte de fresque laissée par notre esprit tortueux comme le faisaient nos ancêtres ...
Qui suis je, je n’ai pas de réponse toute faite ?
Sûrement un mélange aberrant explosif et inoffensif ...
Pantois et plaintif , orgueilleux et craintif
Solitaire et misérable, fort et flexible
Sûrement moins bête qu’il faut l’être et pourtant si têtu !
Facilement complexe, comme tous les êtres et parfois simplement difficile ...
Il est maintenant 7h54 et ce texte restera sans doute inachevé,
ne sera ni relié et ne s’étalera pas sur des pages et des pages
Il est comme ma vie et c’est très bien ainsi ...
Ce texte peut vous décevoir ou vous émouvoir
Sachez qu’il est écrit sur ce grimoire
Sans éloges, ni louanges attendus de votre part ...
Qu’il soit juste gravé, comme une stèle quelque part ...
Pour qu’un petit bout de mon histoire,
Soit gravé en dehors de ma mémoire ...
Il est comme un accent circonflexe sur un temps ...
Un confluent, fluctuant sur le cours de mon moi, existant!
Ma vie, Mon amour, tu me fais peur.
L’amour que j’ai pour toi me fait peur.
Il y a encore tant de choses à venir,
Qui se profile et que tu fais jaillir.
Qu’il est presque inconcevable de vieillir
Sans réponse, sans certitude et sans armures!
Tu es :
Imprudente, écrasante, intelligente, espiègle, torturée, fascinante, charmeuse, attirante, angoissante, sensuelle, excitante, passionnante, affolante, agréable, aguichante, aiguillonnante, alléchante, aphrodisiaque, attrayante, bandante, dopante, électrisante, émoustillante, émouvante, encourageante, engageante, enivrante, érotique, euphorisante, exaltante, galvanisante, grisante, palpitante, piquante, pressante, provocante, provocatrice, réconfortante, séduisante, tentante, touchante, troublante, voluptueuse...
Mais la vie, elle même, n’est elle pas tout cela ?
Cette nuit, je n"ai pas trouvé le sommeil. Il est 6h37 et je pense ou plutôt j’essaie de canaliser mes pensées obscures et lumineuses, claires et brouillées disparates et burlesques , désuètes et pourtant si simples qu’on les avaient , pour un temps oubliées ...
Si l’on pouvait conserver, trier et garder ces milliers d’images minuscules et de si prêt si ridicules, pour les rassembler comme un gigantesque puzzle qui, avec le recul, nous donnerait le sens de notre vie, la direction en une sorte de fresque laissée par notre esprit tortueux comme le faisaient nos ancêtres ...
Qui suis je, je n’ai pas de réponse toute faite ?
Sûrement un mélange aberrant explosif et inoffensif ...
Pantois et plaintif , orgueilleux et craintif
Solitaire et misérable, fort et flexible
Sûrement moins bête qu’il faut l’être et pourtant si têtu !
Facilement complexe, comme tous les êtres et parfois simplement difficile ...
Il est maintenant 7h54 et ce texte restera sans doute inachevé,
ne sera ni relié et ne s’étalera pas sur des pages et des pages
Il est comme ma vie et c’est très bien ainsi ...
Ce texte peut vous décevoir ou vous émouvoir
Sachez qu’il est écrit sur ce grimoire
Sans éloges, ni louanges attendus de votre part ...
Qu’il soit juste gravé, comme une stèle quelque part ...
Pour qu’un petit bout de mon histoire,
Soit gravé en dehors de ma mémoire ...
Mar 21 Nov 2006, 08:47 par
coeur lourd sur Histoires d'amour
Ma main quitta la sienne
Ma main quitta la sienne. Allongés tous les deux, sur son grand lit, j’ai tout à coup réalisé. Je ne l’aimais pas. Je me suis levée avec la plus grande des douceurs, je me suis glissée hors des draps. J’entendais sa respiration lente et régulière. Je pris mes affaires et m’en alla, en laissant un mot sur la commode. Il était bref, dénué d’émotions que ce soit la compassion ou la tendresse. Je ne l’aimais pas. Ce sont des choses contre lesquelles on ne peut lutter. Comment aurais-je pu savoir que je partais à un moment critique de sa vie ? Peut être aurais-je du faire semblant encore un peu ? Aurais-je du lui dire en face, d’une plus douce et moins blessante ?
Mon cœur s’est serré quand j’ai passé le seuil, que je suis parti. Mon cœur s’est noué très fort lorsque, le lendemain, j’ai vu son corps pendre à ma fenêtre.
Mon cœur s’est serré quand j’ai passé le seuil, que je suis parti. Mon cœur s’est noué très fort lorsque, le lendemain, j’ai vu son corps pendre à ma fenêtre.
Jeu 26 Oct 2006, 20:26 par
Lindsey sur Histoires d'amour
TANGO
Mais qu’ est-ce que je fous là
Je sombre au fond de toi
Quelle heure est-il est quel feu me noie
Fait-il noir ou clair, je n’sais pas
Ma peau se colle au rouge de ton sang qui bouge
Et qui coule vers moi
Je danse et je me bats
Et j’ enroule mes chevilles autour de toi
Mes jambes se plient
Je contourne tes hanches
Sur mes reins se joue ta revanche
Je prie en vain mais toi tu ris, une soif s’ assouvit
Je danse ou je me bats
Je n’sais pas , je n’sais pas
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L’un de nous deux est plus fort
Quand mon corps se tord
Mais le doute s’ installe
Je me sens comme en cavale
La vie me pousse dans la course
Mon corps qui te repousse
Tes gestes me rappellent que tu n’ as pas sur moi
Le droit que je te dois, je danse et je me bats
Mais comment dire à qui, à quoi, à qui je suis
Quand de n’ appartenir qu’ à toi est le défi
Ey si je te disais qu’ il n’ y a pas que toi
Je danse et tu te bats
Je danse et tu te bats
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L’un de nous deux est plus fort
Tango mi amor
Tango mon corps
Ne t’ appartient pas encore
Et si mon âme s’ en sort
Mon corps, lui, se tord.
Rick Allison / Lara Fabian.
Je sombre au fond de toi
Quelle heure est-il est quel feu me noie
Fait-il noir ou clair, je n’sais pas
Ma peau se colle au rouge de ton sang qui bouge
Et qui coule vers moi
Je danse et je me bats
Et j’ enroule mes chevilles autour de toi
Mes jambes se plient
Je contourne tes hanches
Sur mes reins se joue ta revanche
Je prie en vain mais toi tu ris, une soif s’ assouvit
Je danse ou je me bats
Je n’sais pas , je n’sais pas
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L’un de nous deux est plus fort
Quand mon corps se tord
Mais le doute s’ installe
Je me sens comme en cavale
La vie me pousse dans la course
Mon corps qui te repousse
Tes gestes me rappellent que tu n’ as pas sur moi
Le droit que je te dois, je danse et je me bats
Mais comment dire à qui, à quoi, à qui je suis
Quand de n’ appartenir qu’ à toi est le défi
Ey si je te disais qu’ il n’ y a pas que toi
Je danse et tu te bats
Je danse et tu te bats
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L’un de nous deux est plus fort
Tango mi amor
Tango mon corps
Ne t’ appartient pas encore
Et si mon âme s’ en sort
Mon corps, lui, se tord.
Rick Allison / Lara Fabian.
Jeu 26 Oct 2006, 09:10 par
Chogokinette sur Citations
Je l'aimais
Bon ben c’est mon premier texte enjoy it or not.
C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.
Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.
Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.
Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.
I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.
I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.
Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.
Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.
Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.
I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.
I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
Mar 10 Oct 2006, 20:50 par
Evidance sur Histoires d'amour
Passion tendresse et envie
L’amour que j’ai pour mon aladin
Est plus fort que tout
Plus violent qu’un volcan
Qui crache du feu puissamment
Plus haut qu’une montagne
Que personne ne peut atteindre
Plus puissant qu’un torrent
Qui coule et gronde de pierre en pierre
Plus chaud que le soleil
Qui brûle de ses rayons ardents
Plus bruyant qu’un orage
Qui zèbre le ciel de ses éclairs
Mais aussi doux comme la pluie
Qui ruisselle sur ton corps si merveilleux
Comme mes mains qui
Te caressent longtemps avec tant d’amour
Passion tendresse et envie folle
Je t’aime, t’aimerai toujours
Est plus fort que tout
Plus violent qu’un volcan
Qui crache du feu puissamment
Plus haut qu’une montagne
Que personne ne peut atteindre
Plus puissant qu’un torrent
Qui coule et gronde de pierre en pierre
Plus chaud que le soleil
Qui brûle de ses rayons ardents
Plus bruyant qu’un orage
Qui zèbre le ciel de ses éclairs
Mais aussi doux comme la pluie
Qui ruisselle sur ton corps si merveilleux
Comme mes mains qui
Te caressent longtemps avec tant d’amour
Passion tendresse et envie folle
Je t’aime, t’aimerai toujours
Jeu 21 Sep 2006, 21:19 par
joullia sur Parler d'amour
De coeur à coeur
je lui ai dit : "arrête de battre si fort,
il va arriver ;
arrête tu va sortir de ma poitrine,
il va venir;
mais, il m’a écoutée et il continue de battre fort,
mon coeur t’attend ;
ty coeur...
daulphin
il va arriver ;
arrête tu va sortir de ma poitrine,
il va venir;
mais, il m’a écoutée et il continue de battre fort,
mon coeur t’attend ;
ty coeur...
daulphin
Dim 03 Sep 2006, 12:33 par
daulphin sur Histoires d'amour
Le conte de fée que je suis en train de vivre
Je t’aime pour ton charme naturel et ton image si soignée.
Je t’aime pour la tendresse que tu libères et ta gentillesse spontané ;
Je t’aime pour ta fraîcheur incroyable et ton entrain enchanteur,
Je t’aime aussi parce que c’est toi et que tu fais battre mon coeur.
Tu es le conte de fée que je suis en train de vivre, la fable que je m’attache à t’écrire,
L’histoire d’un ami que j’aime tellement pour lui décrire, ce qu’il m’évoque et ce qu’il m’inspire ;
Je t’aime alors ne va pas partir, car seul sans toi je pourrai mourir…
Les mois défilent,
Les jours s’effacent et les minutes s’enfuient,
Une seconde sans toi est un instant de calme plat,
Un moment où le temps attend que tu sois là.
Ton absence n’apporte qu’une seule présence,
Celle du silence qui surpasse l’espérance,
L’espoir de te revoir non pas sur un miroir,
Mais tôt ou tard sur ton si beau regard.
Couché dans mon lit, je dépasse la vérité,
J’imagine, je pense sans rien me limiter ;
Et le jour où je viendrai te retrouver,
Ce sera un rêve devenu réalité.
Tu déclenches en moi les larmes de peine et les cris de joie,
Tu éveilles mon cœur de passion et mon être d’émoi ;
Tu fais naître mes frissons par la chaleur de ta voix,
Tu donnes vie à mon secret d’être amoureuse de toi.
S’il faut quitter cette terre,
S’il se créer des frontières,
Si l’on nous met des barrières
Alors je ne veux pas me taire,
Te dire ô combien je t’aime karim,
Que je t’aime du plus profond de mon petit cœur ;
J’ai consacré des mois, matins et soirs,
A te l’écrire avant qu’il ne soit trop tard.
Par une histoire, par un poème,
Qu’il soit d’amour ou d’amitié,
Peu importe ce que je sème,
Je veux tout simplement t’aimer.
Mon cœur pour toi bat très très fort,
Et cela reste inexpliqué,
Peur de le dire ou d’avoir tort,
Tant pis je veux te le crier.
Aujourd’hui je t’ouvre mon cœur,
Je t’offre ces mots en bouquet de fleurs
En espérant qu’ils auront assez de valeur
Pour que les pétales gardent leurs couleurs.
En t’offrant le monde rien ne changera,
Ton sourire et ta joie ne s’achètent pas,
Ta précieuse amitié ne s’invente pas,
Et ton amour se méritera.
Un rien de toi n’est pas assez pour moi,
Seul sans toi je ne suis plus moi,
Un peu de toi est signe de joie,
Seul avec toi je resterai là.
On s’écoute on s’écrit, on vit au jour le jour,
On se parle, chacun à notre tour,
Mais la valeur, on s’en rend compte toujours
A force d’aimer, a en mourir d’amour.
Tu m’apportes le bonheur qu’il me faut, ta présence fait naître un ciel d’été,
Tu fais disparaître tous les nuages, tu évoques le soleil sur la plage,
En moi vit un bel orage, ce coup de foudre qui fait rage,
Qui ne cessera jamais de briller, en un éclair d’éternité.
Je t’offre un poème en vers, en suites,
Où je me permets de dépasser les limites,
Sans pour autant sauter les barrières,
Je garde les pieds sur Terre.
Mais quoi de plus beau que de finir ce poème,
Si ce n’est que par le plus beau des « Je t’aime » ;
Je t’aime pour la tendresse que tu libères et ta gentillesse spontané ;
Je t’aime pour ta fraîcheur incroyable et ton entrain enchanteur,
Je t’aime aussi parce que c’est toi et que tu fais battre mon coeur.
Tu es le conte de fée que je suis en train de vivre, la fable que je m’attache à t’écrire,
L’histoire d’un ami que j’aime tellement pour lui décrire, ce qu’il m’évoque et ce qu’il m’inspire ;
Je t’aime alors ne va pas partir, car seul sans toi je pourrai mourir…
Les mois défilent,
Les jours s’effacent et les minutes s’enfuient,
Une seconde sans toi est un instant de calme plat,
Un moment où le temps attend que tu sois là.
Ton absence n’apporte qu’une seule présence,
Celle du silence qui surpasse l’espérance,
L’espoir de te revoir non pas sur un miroir,
Mais tôt ou tard sur ton si beau regard.
Couché dans mon lit, je dépasse la vérité,
J’imagine, je pense sans rien me limiter ;
Et le jour où je viendrai te retrouver,
Ce sera un rêve devenu réalité.
Tu déclenches en moi les larmes de peine et les cris de joie,
Tu éveilles mon cœur de passion et mon être d’émoi ;
Tu fais naître mes frissons par la chaleur de ta voix,
Tu donnes vie à mon secret d’être amoureuse de toi.
S’il faut quitter cette terre,
S’il se créer des frontières,
Si l’on nous met des barrières
Alors je ne veux pas me taire,
Te dire ô combien je t’aime karim,
Que je t’aime du plus profond de mon petit cœur ;
J’ai consacré des mois, matins et soirs,
A te l’écrire avant qu’il ne soit trop tard.
Par une histoire, par un poème,
Qu’il soit d’amour ou d’amitié,
Peu importe ce que je sème,
Je veux tout simplement t’aimer.
Mon cœur pour toi bat très très fort,
Et cela reste inexpliqué,
Peur de le dire ou d’avoir tort,
Tant pis je veux te le crier.
Aujourd’hui je t’ouvre mon cœur,
Je t’offre ces mots en bouquet de fleurs
En espérant qu’ils auront assez de valeur
Pour que les pétales gardent leurs couleurs.
En t’offrant le monde rien ne changera,
Ton sourire et ta joie ne s’achètent pas,
Ta précieuse amitié ne s’invente pas,
Et ton amour se méritera.
Un rien de toi n’est pas assez pour moi,
Seul sans toi je ne suis plus moi,
Un peu de toi est signe de joie,
Seul avec toi je resterai là.
On s’écoute on s’écrit, on vit au jour le jour,
On se parle, chacun à notre tour,
Mais la valeur, on s’en rend compte toujours
A force d’aimer, a en mourir d’amour.
Tu m’apportes le bonheur qu’il me faut, ta présence fait naître un ciel d’été,
Tu fais disparaître tous les nuages, tu évoques le soleil sur la plage,
En moi vit un bel orage, ce coup de foudre qui fait rage,
Qui ne cessera jamais de briller, en un éclair d’éternité.
Je t’offre un poème en vers, en suites,
Où je me permets de dépasser les limites,
Sans pour autant sauter les barrières,
Je garde les pieds sur Terre.
Mais quoi de plus beau que de finir ce poème,
Si ce n’est que par le plus beau des « Je t’aime » ;
Ven 25 Août 2006, 21:09 par
joullia sur Parler d'amour
La persévérence change aussi...
C’est à toi, grain de sable, de te sentir fort!
C’est à toi, grain d’espoir, de te savoir grande!
C’est à toi, grain de persévérence, de te lever et avancer vers la plage!
C’est encore et toujours à toi, grain de vie, de trouver l’envie!
Ce n’est pas tout de constater notre malheur, notre tristesse, ce qu’on a pas, ce qu’on aura jamais, ce dont on se prive par cet enfermement constant.
Car c’est en se disant que l’on souffre et que l’on est malheureux que l’on rate ces choses simples!
Sors de l’ombre, bats-toi pour la place qui t’est dûe!
Le bonheur est à la portée de tous, mais certains sont trop engluées dans leur constatation de leur mal être qui ne voient pas leur chance, qui ne voient pas leur moments heureux!
N’essaie pas de réduire ton malheur mais cherche à accroître ton bonheur!
Le bonheur ne tombe pas tout seul, cherche-le!
Une plume aigre-douce, qui souhaite vivre heureuse, tout comme toi.
C’est à toi, grain d’espoir, de te savoir grande!
C’est à toi, grain de persévérence, de te lever et avancer vers la plage!
C’est encore et toujours à toi, grain de vie, de trouver l’envie!
Ce n’est pas tout de constater notre malheur, notre tristesse, ce qu’on a pas, ce qu’on aura jamais, ce dont on se prive par cet enfermement constant.
Car c’est en se disant que l’on souffre et que l’on est malheureux que l’on rate ces choses simples!
Sors de l’ombre, bats-toi pour la place qui t’est dûe!
Le bonheur est à la portée de tous, mais certains sont trop engluées dans leur constatation de leur mal être qui ne voient pas leur chance, qui ne voient pas leur moments heureux!
N’essaie pas de réduire ton malheur mais cherche à accroître ton bonheur!
Le bonheur ne tombe pas tout seul, cherche-le!
Une plume aigre-douce, qui souhaite vivre heureuse, tout comme toi.
Jeu 24 Août 2006, 00:03 par
Lindsey sur Histoires d'amour
Le rêve aux lucioles
La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.
Ils marchent côte à côte et se tiennent la main, mais ce n’est pas l’amour qui les unit, c’est un lien profond qu’ils partagent mais qui les fait souffrir. L’envie de mourir.
La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.
Ce lien les réunit et les sépare. Il n’aime pas la mort. Elle n’aime pas la vie. Il veut la protéger. Elle s’accroche à lui. Ils sont faits l’un pour l’autre, mais ils ne le sauront jamais.
La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.
Mais leur lien est si fort, jamais ils ne sauront ce qu’est devenu leur amour. Ils marchent ensemble, se tiennent inconsciemment la main.
La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.
Mais leur lien s’est resserré si fort, qu’ils ont dépassé leurs frayeurs. Ils ont tellement souhaité être forts pour l’autre. Elle vit pour lui. Il est mort pour elle.
La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.
Elle marche à présent seule dans la magie de la nuit, rêvant que parmi les lucioles, son esprit à lui virevolte aussi.
Ils marchent côte à côte et se tiennent la main, mais ce n’est pas l’amour qui les unit, c’est un lien profond qu’ils partagent mais qui les fait souffrir. L’envie de mourir.
La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.
Ce lien les réunit et les sépare. Il n’aime pas la mort. Elle n’aime pas la vie. Il veut la protéger. Elle s’accroche à lui. Ils sont faits l’un pour l’autre, mais ils ne le sauront jamais.
La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.
Mais leur lien est si fort, jamais ils ne sauront ce qu’est devenu leur amour. Ils marchent ensemble, se tiennent inconsciemment la main.
La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.
Mais leur lien s’est resserré si fort, qu’ils ont dépassé leurs frayeurs. Ils ont tellement souhaité être forts pour l’autre. Elle vit pour lui. Il est mort pour elle.
La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.
Elle marche à présent seule dans la magie de la nuit, rêvant que parmi les lucioles, son esprit à lui virevolte aussi.
Ven 18 Août 2006, 19:47 par
Lindsey sur Histoires d'amour
Ecrire sur fort
Exprime Toi ..., Morphine [Yaoi], Petite soeur ?, Proverbes détournés..., Des lieux, une époque... (Suite), En confidence, Perplexe et amoureux, Ma main quitta la sienne, TANGO, Je l'aimais, Passion tendresse et envie, De coeur à coeur, Le conte de fée que je suis en train de vivre, La persévérence change aussi..., Le rêve aux lucioles, Il y a 310 textes utilisant le mot fort. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
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Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
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Dans les nuages
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La citation d'amour
L'absence diminue les médiocres passions et augmente les grandes, comme le vent éteint les bougies et allume le feu.
La Rochefoucauld.
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