L'amour est-il plus fort que tout ?

Eh bien voila une seconde histoire d’amour entre Zane et Elena, j’espère que cela vous plaira ^^ bonne lecture :

Chapitre 1.

Point de vue Zane.

Si seulement, la vie pouvait être simple … Si elle pouvait être belle alors peut être que j’arriverais à lui donner une seconde chance. Une seconde chance à croire en l’amour … Ce sentiment si fort mais qui peut tout briser en une fraction de seconde. Encore cette nuit, j’ai fait nuit blanche, accoudé contre mon balcon à admirer les rayons du soleil qui se lève.

Je souffle, et entre dans ma chambre, pour aller me rafraîchir. Je passe à côté de mon lit et remarque un cadre avec à l’intérieur la photo de la femme que j’aime et désir plus que tout. Je passe mon doigt sur la vitre et laisse mon esprit vagabonder. Un autre soupir mais cette fois heureux s’échappe de ma bouche, si seulement j’avais assez de courage pour lui avouer ce que je ressent.

Elena … Toi cette si jolie brune qui a su recoller chaque morceau de mon cœur, toi qui a su trouver les bon mot pour m’apaiser et me faire sourire. Je souris et me dirige vers ma salle de bain. J’entre à l’intérieur de cette dernière, et ferme la porte. Je commence à me dénuder laissant mes vêtements tomber au sol, j’ouvre la porte de la cabine et tout en allumant l’eau, laisse mon corps se détendre sous le liquide chaud.

Je suis Zane Kazama j’ai dix neuf ans et suis d’origine italienne, née un vingt deux janvier en Italie, et je réside à Naples. Je suis de grande et fine taille, mes cheveux qui sont de couleur sable, un blond vénicien son court formant un dégrader sur le côté gauche. Mon regard est chocolaté et tiré quelques peut en arrière, ma peau clair possède des petites faussettes. Ma bouche rose et fine.

Mes yeux se ferment, et je repensent à tout se qui c’est passé depuis ma séparation avec Giulia du a une forte dispute. En y repensant, c’est vrai que je me suis nettement rapproché d’Elena, passant presque tout mon temps avec elle, mais aussi Dolce et Shiwa qui sont mes deux meilleures amies, je peux toujours compter sur elles en cas de besoin, et même si Giulia et moi sommes devenue de simple amies il est vrai que je me confie beaucoup plus à mes deux pimprenelles.

Une fois que l’eau m’a débarassé de tout liquide coloré, j’éteins, et m’enroule rapidement dans une serviette sentant le froid me gagner. Je fais coulisser la porte vers la gauche et sort de la cabine pour ainsi me sécher. Je me place devant le miroir, et m’observe de longues minutes en me séchant. Un mince sourire se dessine sur mes lèvres mouillées en repenssant à ce que je suis … A cet heure là si je n’aurais jamais eu le courage d’affronter cette personnalité je serait sûrement en train de pleurer sur mon triste sort.

Se que je suis aujourd’hui j’en suis fière, même si je cache des défauts, je me rattrape toujours à sa, cette personnalité qui fait de moi la femme forte que je suis devenue au file es années. Et maintenant que j’étais prête à laisser une seconde chance à la vie parce ce que j’avais réussi à oublier tout ce qui se rapporte à Giulia et moi, j’étais prête à avancer et dont à être de nouveau heureuse.

Je me dirige vers ma chambre, et mène mon corps jusqu’à mon armoire afin de m’habiller. Aujourd’hui est un jour spécial, pour deux raisons. Ce soir il y a le bal de l’automne un événement important pour nous lycéens qui n’avons ce mot à la bouche depuis plus d’un mois. Et il y a aussi un anniversaire, celui d’Elena qui allait sur ses dix neuf ans, et j’avais pour ambition de lui délivrer mon cœur de me mettre à nue devant elle. Je sourit rien que le fait d’y penser, après quelques minutes de réfléxion, je sort de l’armoir un jean noir, un chemisier de couleur blanc, et une veste en cuir noire.

Je commence donc à m’habiller tout en laisser mon esprit s’évader, j’ajuste le col de ma chemise, et surmonte cette dernière par ma veste en cuire que je prit soin de fermer. Après sa, je réchauffe mon cou par un keffier noir et roug en damiern et je reviens par la suite dans la salle de bain. Je me place en face de la vitrerie, et comme je laisse souvent mon maquillage traîner sur le bord de l’évier, je me munie d’un laïner noir et commence à me faire le tour des yeux.

C’est la seule chose que je met, cela suffit, quand je me maquille c’est pour des occasions spécial. Avec l’aide de mon peigne je remet en place le petit dégrader sur la gauche, me parfum légèrement avec une eau de toilette, et enfin sort de la salle d’eau. Je prend place sur mon lit, et commence à enfiller mes chaussette, pour après mettre une paire de baskette noire. Je me lève, prend mon sac de cour, mon téléphone, et sort de ma chambre.

Je descend les escaliers, et alla dans la cuisine pour me préparer un café et une tartine de confiture. Je vis seul dans un petit studio, que mes parents me paye tout les mois car je leur est ramener de bon bulletin et que j’avais fait comme demande celle de vivre seule pour ainsi gagner l’autonomie. Je commence à beurrer deux tartines, et saisi mon portable.

Tiens un message, je me demande qui cela peut être « lili » je sourit, lili et le surnom que je donne à Elena, et sa c’est dû à un petit jeu entre nous.


« purée il caille dehors, j’espère que ta prévue de mettre des gant et un bonnet mdr, tu me manques »

le sourire que j’aborde s’agrandit, je fut amusé et attendris à la fois. Je me dirige vers la cafetière et tout en me versant du café dans une tasse, je décide de lui répondre.


« ne t’inquiète pas pour moi va … Je ne suis pas frileuse. Tu me manques aussi <3 »

je relie le message, et sourit de nouveau. Et je lui envoya, je m’installe sur une chaise et commence à déjeuner tranquilement, tout en pensant à l’évènement de ce soir à l’anniversaire, et au courage que je vais devoir prendre pour lui avouer ce que je ressent.

Ce n’est pas tout les jours que je fait ce genre de chose, et il est vrai, que si nos sentiments sont réciproque j’aimerais pouvoir m’engager dans une relation sincère et durable cette fois. J’emmène la tasse à ma bouche, et commence à boire le liquide caféïner.

Quand j’eu terminé, je met la tasse dans le lave vaisselle, et commence à tout ranger pour ainsi partir direction le lycée. Mon téléphone vibre, je me tourne et le prend pour ainsi consulter l’appareil. C’est Elena qui viens de me répondre par un smiley et un cœur. Le mien se met à battre fugacement contre ma poitrine, si seulement nos sentiments pouvaient être réciproque, je l’espérer à chaque fois depuis que je me suis décider à lui dire.

Je prend mon sac, prend les clés de chez moi, et enfin partie tout en prenant soin de fermer à clés. Je descend quatre étages, et me dirige vers l’extérieur. Ouh … C’est vrai qu’il fait frais, je met mon keffier bien en place, et commence à marcher le long du trottoir.

Ah … Elena, si tu savait à quel point je t’aime, à quel point je te désir. Depuis notre rencontre il y a un an, c’est vrai que l’ont c’est beaucoup attacher l’une à l’autre, partageant nos rires, nos délires, et même nos chagrins. Et c’est quand je pense à tout ses petit détails qui me font sourire que je suis plus forte pour affronter la vie car je sais que j’ai mes amis et la femme que j’aime à mes côtés.

Après quelques minutes de marche, j’arrive enfin devant l’entrée du lycée, et pénètre à l’intérieur de ce dernier. Je voie Shiwa et Dolce me faire signe, alors que Giulia et Elena se tourne dans ma direction.


Shiwa – salut jolie blonde, ça rool ?
Moi – tout baigne, et vous ?

Je leur fait la bise à chacun, et arrivé prêt d’Elena qui me sourit avec douceur, je vint collé mes lèvres à sa joue.

Dolce – oh … C’est trop mignon.
Shiwa – ah les filles …
Giulia – c’est beau l’amour !

Je me décolle doucement, et plonge mon regard caramélisé dans ses prunelle noisette. Elle me sourit, et je lui rendit avec un petit clin d’oeil.

Moi – bon anniversaire la miss !
Elena – merci Zane.

Ont se sourient, et pendant quelques minutes nos yeux se caressent. J’aime me retrouver comme sa avec elle qu’il y est du monde ou pas, mon cœur bat si vite, je n’arrive pas à métriser les pulsions qu’il difuse dans mon corps. Sa main s’approche de mon visage, et ses doigts écartent quelques mèches de mes yeux.

Dolce – ah … Sa fait rêver.
Giulia – c’est bien vrai !

Nos lèvres s’étirent de nouveau, et ses lèvres se sont posées sur ma joue. Mes yeux se ferment, et je me laisse envahir par ce flot de tendresse qu’elle m’envoie. Ses mains se posent sur mes bras, et je sourit. Qu’es ce que je pouvais me sentir bien, là tout prêt d’elle.

Moi * si tu savais comme je t’aime. *

doucement je m’approche et laisse mes bras s’allonger sur ses épaules, alors que les siens viennent réchauffer mon dos. Ah, Elena je me sens si bien la avec toi. Ma douce et jolie brune, ses lèvres quittent ma joue, et ses yeux viennent effleurer les miens avec douceur.

Nos fronts se sont rapprochés, et se caressent, nous étions si prêt l’une de l’autre, et l’envie de l’embrasser me tenaille, je lui caresse la joue et lui offre un doux sourire.


Elena – Zane …
Moi – chuut …

Je lui caresse doucement ses lèvres de mon pouce, et vint lui déposer un léger baiser sur son nez.

Shiwa – je croix que je vais finir par exploser si vous continuer toutes les deux, c’est trop …
Dolce/Giulia – mignon !!!!

je me suis mise doucement à rire à l’entente de ses mots, je sent ses bras se serrer, et je me laisse emporter par cette étreinte qui m’est agréable. Malheuresement nous fûmes bien vite redescendut sur terre, à cause de la sonnerie que je maudit à cet instant.

Ont se détachent l’une de l’autre, et avant de partir en cour, je lui prend tendrement son menton et lui murmure :


Moi – on se retrouvent tout à l’heure !
Elena – compte sur moi.

Ont s’échangent un sourire, je lui embrasse la joue, et partie direction ma salle de cour avec Dolce Shiwa et Giulia.

Dolce – dis donc je ne te savait pas si entreprenante !
Shiwa – ah sa … Tu ma coupé le souffle.
Moi – ne dis pas n’importe quoi voyons !
Giulia – mais si, elle a raison.
Moi – oh non pas toi Giulia, ne t’y met pas non plus !
Dolce – mort de rire.

Je vous jures, elles sont pas possible. Ont montent plusieurs étages, et arriver au cinquième, je commence à longer le couloir tout en discutant avec les filles.

Dolce – dis moi Zane je peut te poser une question ?
Moi – oui vas y !
Dolce – ce que tu ressent pour Elena, c’est bien plus fort que de l’amitié pas vrai ?

Je sourit, et repense à ce moment que nous avions partagé elle et moi tout à l’heure, un moment qui a bien réchauffé mon cœur, et qui ma permise d’être heureuse durant quelques instant.

Moi – oui … Et pour être honnette, je compte lui faire ma déclaration ce soir !
Shiwa – c’est pas vrai ? Oh lala faut pas louper sa, Zane qui laisse libre court à ses sentiments, va falloir prévoir le matosse.
Moi – dis pas n’importe quoi Shishi !
Giulia – j’espère que tu y arrivera, et que cela te rende heureuse.
Moi – ne t’inquiète pas pour sa … Je compte bien la garder avec moi !

Je lui sourit, et lui tapotte le nez, même si nous ne sommes plus ensemble, cela ne m’empêche pas d’avoir un petit geste tendre à son égard, car il est vrai et sa je ne peux pas l’oublier que je les fortement aimé.

Dolce – en tout cas, je ne veux pas louper sa !
Shiwa – tu m’étonnes.
Moi – vous êtes bêtes vous deux alors !

Je sourit, et finit par rentrer dans la salle pour aller m’installer à ma table avec Giulia. Le professeur n’étant pas encore là, j’en profite pour regarder mon portable afin de vérifier ce je n’ai pas reçu de messages ou appels.

? - eu Giulia !
Giulia – oui ?

Après avoir répondu au deux messages d’Elena, je met mon téléphone dans ma poche et lève la tête pour aperçevoir Emilie, une jolie blonde aux yeux chocolat. Je suit attentivement la discussion, et pue voir du coin de l’oeil Giulia rougir.

Emilie – je euh … En faite, je me demander si tu … Tu voulais bien être ma cavalière pour ce soir !

Je sourit, et d’ailleurs Giulia aussi, elle se lève, et sous mes yeux attendris, elle pris le menton d’Emilie et lui murmure :

Giulia – avec plaisir Emi, j’en serait ravi.
Emilie – c’est vrai ? Enfin je veux dire …
Giulia – chuut …

Elle lui caresse la joue, et lui a déposer un baiser sur le front. Cela me fait sourire, le fait de savoir que même après notre séparation nous sommes arrivé à refaire notre vie, et sa sans avoir peur du jugement de l’autre. Emilie et repartie s’asseoir, et Giulia a repris place à mes côtés.

Giulia – ah … Emilie !
Moi – Tu as enfin trouvé ta perle rare ?
Giulia – oui, et il est vrai que je l’aime éperdument.
Moi – dans ce cas, je te souhaite bon courage !
Giulia – à toi aussi … Tu sais, c’est une bonne chose je trouve que l’ont est réussi à refaire notre vie avec la séparation !
Moi – je suis bien d’accord avec toi.

Ont se sourit, et enfin le cour pue commencer car le professeur était enfin arrivé. Pendant l’heure de cour, je ne fit que penser à Elena, à son message de tout à l’heure me disant que ce soir elle voulais passer la soirée avec moi. Rien que d’y penser me provoque des frissons de plaisir. Elena, si tu savait à quel point tu hante mon esprit.

Enfin, quand l’heure de la pause sonna, je pose mes lunettes, et suivit Giulia jusqu’à la sortie avec Dolce et Shiwa.


Shiwa – bon alors, et si ont allaient au !
Dolce – ok.
Moi – sa marche !
Giulia – dack.

Ont s’échangent toutes quatre un sourire, et parti direction le . Arrivé dans ce dernier, je remarque Elena qui est assise sur un des fauteuil, je me dirige vers elle suivit de prêt par les filles.

Elena – ah vous êtes là !
Dolce – tes une rapide dit donc sa viens juste de sonner.
Elena – non, je suis là depuis une heure !
Shiwa – comment ça ?
Elena – notre professeur est malade !
Moi – tu t’embête pas quoi ?
Elena – c’est sa.
Moi – toi alors !

Elle me fit un clin d’oeil, et je prit place à ses côtés juste à sa droite. Giulia prend place à mes côté et Shishi juste à la gauche de ma douce.

Dolce – aller, aujourd’hui c’est ma tournée, qui veux quoi ?
Moi – hm aller un coca !
Elena – un chocolat chaud.
Shishi – hm j’hésite entre un orangina et toi mon amour !
Dolce – Shishi !!
Giulia – ah ah ah …
Moi – que c’est mignon !
Elena – vous n’êtes pas ensemble pour rien vous deux !
Dolce – les filles !!!! vous m’êtes pas d’une grande aide la !
Shiwa – aller, c’est bon j’arrête de t’embêter, je prendrait un orangina.
Dolce – enfin et toi Giulia ?
Giulia – un thé suffira merci miss.
Dolce – alors je récapitule, un coca un chocolat chaud un thé et un orangina, ok c’est bon c’est noté.

Et notre petite rousse partie direction le bar. Alors qu’une discussion commence, je sens soudainement un bras se glisser derrière mon dos, et une main se pose sur ma hanche. Je me tourne et voie que c’est Elena, je lui sourit, et passe mon bras gauche derrière son dos, pour doucement lui caresser la hanche. Sa tête c’est lové au creux de mon cou, et mon cœur c’est mit à tanguer plus fort.

Dolce reviens quelques petites minutes après avec nos boissons , qu’elle nous tendis à chacune. Shiwa c’est lové dans ses bras, et Dolce à replier ses bras autour d’elle, je les trouve vraiment mignonne ensemble.


Dolce – au faite, vous compter y aller avec qui au bal ?
Shiwa – moi avec toi !
Elena – sa, ont sens doute bien !
Dolce – tu as trouver quelqu’un Giulia ?
Giulia – oui, j’y vais avec Emilie.
Shiwa – Emile … La blonde ?
Giulia – oui la brune !

Je me met à rire en entendant sa, et continue de serrer mon ange contre moi. Un frisson me parcours lorsque je senti ses lèvres se poser sur mon cou, que c’est agréable, je me laisse faire tout en lui offrant une douce caresse sur sa joue. Sa tête c’est relever, et ses yeux se sont perdu dans les miens. Je caresse doucement sa joue, et caresse son front avec le mien.

Sa main prend la mienne, et alors que ses yeux me défi, sa voix résonne dans l’air, une voix que j’aime entendre.


Elena – et toi ?
Moi – de quoi moi ?
Elena – avec qui vas tu au bal ?
Moi – sa t’intéresse ?

Elle me sourit, et dépose un léger baiser sur ma main se qui me fit rougir. Nos yeux se happent, se caressent, et se dévisagent avec insistance comme si chacun chercher à savoir qui aurait le dessus sur l’autre.

Elena – peut être …
Moi – toi alors … Non je n’est personnes !
Elena – dans ce cas, accepteriez-vous mademoiselle Kazama de m’y accompagner ?
Moi – j’en serait ravie … Ma jolie brune !

Ont se sourient, et pendant de longue minutes nous restons ainsi confortablement enlacé contre l’autre. Je m’approche doucement, et vint lui déposer un doux baiser sur le nez.

Elena – si seulement le temps pouvais s’arrêter !
Moi – pourquoi sa ?
Elena – car je pourrais proffiter pleinement de ces instant magique avec toi.

Je lui sourit, et vint doucement emêler mes doigts avec les siens. Se pourrais t-il … Qu’elle ressente la même chose que moi ? Que son cœur frémi à chaque fois que nous sommes avec l’autre comme le mien ? Si c’était le cas, j’en serait vraiment heureuse.

Shiwa – franchement toute les deux, je me demande comment vous ne pouvait pas finir ensemble !
Dolce – vous êtes trop craquante !

Je sourit, et continue d’admirer ce magnifique regard chocolater. Oui si seulement le temps pouvais s’arrêter, alors je pourrais sans aucun regret proffiter de ces instants magique qui n’appartiennent cas nous.

Elena – tu est sûr que tu veux aller en cour ?
Moi – non, mais il le faut bien.
Elena – reste avec moi !

Je m’approche de son oreille et lui murmure en caressant sa main :

Moi – on aura … Toute la soirée pour proffiter de ces moments magique !
Elena – Zane je …
Moi – chuut ne dis rien ma belle.

Je remonte ma main à sa joue, et la caresse avec douceur. Nos front se caressent de nouveau, et nos nez créer un mouvement négatif, je mens tellement bien avec elle, que oui, j’aimerais pouvoir rester là au creux de ses bras.

Mais ont dirais que la sonnerie annonçant le deuxième cour, n’est pas du même avis que moi, je lui sourit, lui embrasse tendrement le front, et me sépare d’elle avec regret.


Elena – bon, d’accord, je te laisse filer, mais à partir de quatre heures je ne te laisse plus tranquille !
Moi – comment ça tu ne me laissera plus tranquille !
Elena – ah beh sa mademoiselle Kazama vous verrez bien.
Moi – dites moi, je vous trouve bien arrogante mademoiselle Agostui.

Je pose mes mains sur ses jambes, et la regarde un air de défi sur le visage.

Elena – vous ne me faite pas peur !
Moi – vous ne dirais sûrement pas la même chose lorsque je vous aurais kidnappé ma cher.

Je lui fait un clin d’oeil, elle m’embrasse la joue, et c’est avec le sourire aux lèvres et le cœur prêt à faillir que je me rendit en cour avec les filles qui à dire vrai hurlé du moins Shiwa et Dolce, Giulia elle était au téléphone. C’est ainsi que durant toute l’heure de cour et ceux jusqu’à midi que je pensa à ma soirée avec elle.
Jeu 28 Nov 2013, 03:19 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 4

Kikou, je remercie grandement inlove pour ses commentaires qui me font vraiment plaisir, donc sans plus attendre voici le chapitre 4.

Chapitre 4 : Exposé et humiliation

Point de vue Haruka.

Quelques jours plus tard avant la date butoir de l’exposer de la classe B-5 c’est à dire la mienne, je me retrouve à la maison dans la cuisine, en train de préparer le repas de ce soir. Au menu spécialité japonaise onigiris porc au caramel et sushi. Michiru se trouvait dans le salon en train de terminer son travail. Je met le riz à cuir 5 à 10 minutes pas plus, et un torchon à la main je me dirige vers ma douce.

Il est vrai que depuis que je lui avait délivré mes sentiments se que je ne fait pas tout les jours nous étions beaucoup plus proche, et cela me rendait très heureuse. Je m’avance vers ellle et enroule son cou lui posant un doux baiser sur sa joue.

Moi – Qu’es ce que tu fais ?
Michiru – je termine l’exposé pour demain, et je dois t’avouer Haru que sa me fait légèrement peur de devoir le réciter devant tout le monde.

Mon sourire s’agrandit un peu plus, j’aimer particulièrement quand elle me trouvait des petit surnom comme celui-là, sa me rendait si heureuse. Je pose le torchon sur la table, et vint m’avancer un peu plus, caressant tendrement ses épaules.

Moi – et de quoi aurais tu peur ?
Michiru – bin on doit réciter l’exposer devant toute la classe. Et le regard des autre me fait douter de mes capacités.
Moi – eh … Il n’y aura que les élèves de notre classe, et je serait la seule pro.fe.ss.eur présente ici !
Michiru – n’empêche sa me fait peur !
Moi – tu veux me le réciter pour t’entrainer un peu ?
Michiru – oui pourquoi pas, de toute manière je les terminé, mais promis tu rigole pas !
Moi – tututu … Pourquoi rigolerais-je de ton travail chaton, je sais que tu en est capable, aller va te mettre derrière la table basse je t’écoute et répond si il y a des questions.
Michiru – merci Haru.

Elle a tendrement posé ses lèvres sur les miennes, m’embrassant avec douceur. Je répond délicatement à son baiser, et la libera afin qu’elle puisse commencer.

Michiru * aller ta déjà surmonter bien plus que sa *

je la voie respirer un grand coup et sa douce voix résonne :

Michiru - le titre qui me semblais le plus aproprier pour ce sujet est parlons librement d’amour, avant toute chose, pour toi c’est quoi « l’amour »
Moi – eh bien c’est ressentir de l’amour et de la tendresse pour une personne, c’est se sentir attirer par cette dernière.
Michiru - très bien, c’est très intéressant, mais il faut savoir une chose... c’est que malgré les differences, chacun d’entres nous ici à le droit d’en bénéficié, que ce soit entre deux hommes , deux femmes, ou bien alors entre un homme et une femme.

Je sourit de plus belle, c’est vraiment très bien en plus sa voix est claire et elle articule parfaitement entre chaque mots, et je ne dis pas sa parce ce que j’en suis éperdument amoureuse.

Michiru - il faut savoir aussi, que l’amour est important, que malgré les choix, les décéptions, ce sentiment qui vous procure une sensation de bonheur, est toujours la pour vous aidé dans la vie de tout les jours. maintenant je vais prendre un exemple, deux jeunes filles qui sont ensemble aurons beaucoup plus de facilité à ce dire les choses, car le plus souvent, ont peut constater que dans un couple tout à fait ordinaire, il y a quelques petites tensions, la femme se demandera le plus souvent, si elle peut se confier sans que son conjoint ne se mette en colère, et vis versa. pour ce qui est des garçons, ils ne pourrons pas voir la chose de cette façon, puisque un couple formé de deux hommes, sera aussi une épreuve... Ils chercherons mutuellement, à savoir si les sentiments éprouvés sont réel et sincère, mais le ressentit est tout à fait le même qu’un amour partagé entre un homme et une femme. Parlons librement d’amour, devrais nous aider, à combattre nos peurs, nos questions les plus intime, et même le vide que nous pouvons ressentir. alors... Peut importe la situation quand il s’agi d’amour l’important avant tout, c’est de pouvoir donner à l’être aimé ce que nous ressentons au plus profond de notre cœur, car un couple d’homme ou bien de femme, ne doit pas être vue comme un crime, mais plutot comme un couple tout se qu’il y a de plus normal, sa aura beau choquer beaucoup de monde, mais l’amour ressentit de cette manière est tout à fait légitime. Pour ma part, je dirais que ce sentiment, est une douce caresse qui nous éfleur du bout du doigts mais qui nous fait en même temps agoniser, il n’est pas à prendre à la légère car comme nous, il est tout aussi fragile que du cristal, tout comme les sentiments que l’ont peut ressentir.

Je ne sais pas quoi dire, c’est … Extraordinaire ce vocabulaire qu’elle détien à a peine 17 ans. Je la dévisage en souriant, buvant encore ses paroles que je trouve juste et belle.

Moi – chapeau … Alors là je m’incline, c’était parfait Michiru, tu n’as vraiment pas à avoir peur, c’est … Vraiment je ne trouve pas mes mots tu as un vocabulaire très enrichi et s’est vraiment agréable de t’écouter.
Michiru – c’est vrai ? Merci.

Elle c’est dirigé vers moi, et je la prit tendrement dans mes bras afin de la câliner. La mettant sur mes jambes, j’enroule son dos et de ma main droite j’écarte quelques mèches bleutée de ses yeux et descend à sa joue en une caresse.

Moi – c’était parfait, je suis fière de toi !
Michiru – merci Haru …

Ont se sourit, et tout en allongeant ses bras sur mes épaules nos lèvres s’unirent dans un doux et tendre baiser. Je monte ma main à son visage et lui caresse la joue, la serrant aussi fort que je le pouvais contre moi. Bien qu’elle soit de caractère timide j’étais heureuse de savoir qu’elle partagé le même sentiment que moi.

Je sent une de ses mains se poser sur mon visage et ses doigts s’amusent sur ma paumette. Je l’aime c’est dingue tout se que l’ont peut ressentir quand l’amour nous frappe. Soudain je senti quelque chose de doux et chaud à la fois se qui eu pour effet de provoquer un grand huit à mon cœur.


C’est sa langue qui s’amuse avec la mienne, et je vint jouer amoureusement avec sa partenaire. En fin de compte je suis bien heureuse d’avoir accepter ce poste de professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géographie, car j’ai pue avoir ce bonheur de la rencontrer, et d’éprouver de nouvelles émotions.

On se décolent doucement, mais on dirais que ses lèvres ne son pas du même avis, elle continue de m’embrasser, et cela me rend encore plus heureuse. Je vint caresser son front avec le mien, caressant tendrement sa joue. Nos yeux se son rencontrés et ne se détache plus.


Moi – quand cessera tu … De me rendre folle ?
Michiru – jamais … Je … Oh Haruka.
Moi – chuut … Je sais !
Michiru – dis moi, et si … Et si tu me parler de toi ?
Moi – de moi ? Et que voudrais tu savoir ?
Michiru -se que tu aimes, se qui te passionne, se que tu fais de tes journées ou tes soirées, tes goût.

Je sourit, je caresse sa joue, et lui dépose un légé baiser sur ses lèvres.

Moi – dans ce cas … Je vais recommencer depuis le début alors !
Michiru – oui …

Mes doigts descendent à ses lèvres, et je lui caresse la dévisageant avec amour.

Moi – eh bien … Je m’appelle Haruka Tenoh j’ai 23 ans, et suis née un 2 novembre 1990, je suis passionné de dessin et lorsque je m’ennui je peint. J’aime cuisiner et regarder un bon film d’horreur. Depuis que je suis petite, mes parents ne me fournissait aucunes tendresse, bien qu’ils ne voulais pas se séparer ils passé leur temps à se disputer. A cause de se manque, je suis très vite devenu garçon manquer, je rester avec les garçons à jouer au foot ou au tennis. Bien que ma masculinité ne m’est pas quittée au file des années, ma couleur favorite est le bleu ainsi que le violet. Malgré les apparences, je suis quelqu’un de très attachante, de nature câline et rêveuse, quand j’aime quelque chose ou même quelqu’un, je fait tout pour la garder auprès de moi.

Je la voie me sourire, sa main caresse la mienne, et ses yeux azur caresse les miens qui pétille de bonheur. Mon cœur ne cesser de cogner violemment contre ma poitrine, j’étais atiré par elle, et j’avais le désir de pouvoir commencer une histoire avec elle sérieuse et sincère.

Michiru – tu est tellement belle … Merci d’avoir était sincère !
Moi – ce n’est rien voyons … Et toi alors, parle moi de toi.
Michiru – tu connais déjà tout.
Moi – non, j’ignore se que tu aimes, se qui te passionne, se que tu attends maintenant !
Michiru – eh bien, je suis Michiru Kaio j’ai 17 ans et suis née un 21 octobre 1996 à Venise. J’ai deux passions dans la vie, la musique et l’écriture, j’écris depuis 11 ans maintenant, et je fait du violon depuis l’âge de 10 ans. Je deteste les personnes qui se moque d’autrui, et qui ne prenne pas une relation au sérieuse. Je fait attention sur qui je tombe car une fois que je connais la personne, j’ai tendance à m’y attacher un peut trop vite et à me faire de faux espoires. J’adore les films d’amour et je rêve de traverser le grand tapis rouge en robe blanche. Mes couleurs préférés sont le rouge le vert et le bleu, se que j’attends maintenant ? C’est que malgré mon jeune âge, je cherche à batir une relation sincère et durable avec la personne que j’aime plus que tout.

Tout au long de son monologue, le petit sourire que j’avais au coin des lèvres c’était agrandit au file que je buvait avidement ses paroles, je lui caresse la joue, et étant de nature curieuse, je lui demande d’une voix tendre :

Moi – et … Cette personne que tu aimes, à quoi ressemble t-elle ?
Michiru – eh bien … C’est une très jolie jeune femme de grande taille et aux cheveux blond court. Ses petit yeux en amande de couleur émeraude, sa voix douce mais masculine à la fois me fait frissonner de plaisir. Depuis que je la connais elle envahie tout mon univers et mon cœur, il y a un mois de sa lorsque j’ai eu mon accident, je lui est donné mon premier baiser, et même si nous avons un statue assez éloigné l’une de l’autre, je l’aime et en suis éperdument amoureuse !

Mon rythme cardiaque deviens plus rapide et violent, sans qu’elle ne sent rende compte, elle venais de me dire qu’elle m’aimer, et qu’elle est éperdument amoureuse de moi. Je me sent tellement bien, je lui embrasse le nez, et écarte quelques mèches de ses yeux, je l’aime, j’en suis eperdument amoureuse et je ne peux pas me mentir. Je lui soulève le menton et caresse ses lèvres, et d’une voix douce je lui murmure :

Moi – alors je vais te demander une chose … Et une seule.
Michiru – je t’écoute !
Moi – cette relation que tu veux batir … Accepterais tu de la construir avec moi ? Car je n’attend que sa … Construir et vivre une belle histoire d’amour avec la personne que j’aime !
Michiru – oui … C’est avec grand bonheur que j’accepte … Haruka je t’aime.

Sa y’est elle me la dit, je suis vraiment très heureuse, je lui caresse la joue, et m’approche de ses lèvres un peut plus.

Moi – moi aussi je t’aime, et il n’y a que toi qui détiens les clés de mon cœur !
Michiru – alors je vais de suite fermer à double tour et jeter les clés dans l’eau comme sa, tu ne sera plus jamais loin de moi !

Je sourit de nouveau, et posa mes lèvres sur les siennes. A cet instant je ne sais pas se qui se passer, mais ce que je c’est en revanche, c’est que je ne la laisserais plus s’enfuir. Mes bras la serre d’avantage et mes lèvres l’embrassent le plus tendrement possible.

On se détachent doucement, et je lui murmure à douce voix :


Moi – je ne te laisserais plus partir … Oh Michi je t’aime !
Michiru – je t’aime bien plus que sa encore.

On se sourit, je l’embrasse de nouveau, et après ce petit moment tendre, nous allons manger. Michi parti mettre la table, et moi je me dirige ver le cuiseur rêveuse, et oui même les professeurs ont le droit de rêver. Je m’installe face à elle et commence à nous servirent. Une fois fait, je la regarde avec douceur, lui prend la main et lui dis :

Moi – J’espère de tout mon cœur que sa durera !
Michiru – oui, ne t’inquiète pas … Et puis, de toute manière, je ne suis pas prête à te laisser partir.

Je t’aime … C’est dingue çà quel point je t’aime. C’est donc avec le sourire aux lèvres et le cœur rempli de bonheur que je mangea avec Michi.

Michiru – dis une question !
Moi – oui quoi donc ?
Michiru – l’exposé, il compte pour la moyenne général de ce semestre ?
Moi – oui, c’est une note global que je vous atribuerais en fin de semaine.
Michiru – ouais du coup faut pas que je me plante pour l’exposé et le contrôle d’italien.
Moi – bah, j’ai confiance, et tu est italienne non ?
Michiru – oui oui !
Moi – dans ce cas tu n’auras aucun mal à faire ce devoir.
Michiru – un vrai professeur, mais quand on ne parle plus sa langue maternelle, parfois sa savère être difficile de se remettre dans le bain.
Moi – c’est bien vrai !

Ont se sourit, et nous continuâmes de manger. A la fin de ce dernier, je me lève, et alors que ma douce mettait le sal dans le lave vaisselle, je me dirige à l’étagez pour prendre une bonne douche.

Avec toutes ses émotions ressenti au cour de ce mois ci je ne sais plus tellement ou me donner de la tête. Je ferme la salle de bain à clé, et commence à me dévêtir, allumant l’eau chaude au passage. Je me glisse à l’intérieur de la baignoire, et laissa mon corsps se détendre sous l’eau.


Mes yeux se ferment et mon visage laisse place à un petit sourire, je laisse mes doigts glisser le long de mes lèvres, sentant encore le délice de sa bouche contre moi.

Dire qu’elle était avec moi, que je pouvais la prendre dans mes bras et la câliner comme bon me semble. Sa me rendait si heureuse mais sa me faisait peur à la fois, peur de devoir souffrir, et de ne pas pouvoir supporter la séparation. Mais bon à quoi je pense moi, bien sûr que je ne la quitterais pas, je fairait tout pour pouvoir la garder entre mes bras. Quand je fut entièrement propre et détendut, je coupe l’arrivée d’eau, et m’enroule dans une serviette sentant le froid me gagner.


Je sort de la baignoire et commence à me sécher de toute part. J’enfile par la suite un bas de pyjama blanc, ainsi qu’un tee-shirt de même couleur. Je saisit le sèche cheveux branche la machine et active le soufflement. Vraiment je ne sais pas quoi penser, je n’arrête pas de sourire bêtement comme si un enfant venais de reçevoir une sucette.

Avec l’aide de mes doigts je met en place quelques mèche de mes cheveux fait ma toilette, et quand j’ouvrit la porte la plus jolie des pierres précieuse se dressa devant moi.

Moi – tu vas à la douche ?
Michiru – oui.

Elle me sourit m’embrasse délicatement les lèvres et vint s’enfermer dans la salle de bain, alors que moi, je me suis diriger l’air rêveur vers ma chambre. Je commencce à fermer les volet, met au pied d’une chaise mon habil pour demain, et règle mon réveille, demain nous ne commençions cas 11 heures, il est donc inutile de se lever tôt.

Je m’installe sous mes draps, et mettant mes bras derrière ma tête, je contemple le plafond qui na rien d’extraordinaire en soie, mais mes pensé étaient toute relier à Michiru.

J’entend ma porte s’ouvrir, et tourne automatiquement la tête vers la gauche, et surprise je vit Michi en petite robe de nuit noir qui mettait dois-je l’avouer ses jolie forme en valeurs, elle a posé ses affaires dans un coin plié, et c’est dirigé vers moi avec un sourire.



Je fut surprise mais heureuse de voir qu’elle se mettait sous les draps, car d’habitude c’est dans la chambre d’ami qu’elle réside.


Michiru – tu dois trouver sa étrange, mais avec se qui c’est passé entre nous ce mois ci j’ai envi de me rapprocher encore plus de toi.

Je sourit, et vint enrouler son dos de mes bras, montant une de mes main à sa chevelure. Sa tête se met face à la mienne posé sur l’oreiller, nous étions très prêt l’une de l’autre, elle glissa sa main gauche à mon dos, et son corps se rapproche du mien.

Je lui caresse la joue et la dévisage avec tendresse.


Moi – ne t’inquiète pas, sa ne me dérange absolument pas !
Michiru – tu est tellement belle. Ses lèvres se pose sur mon nez.

Elle est vraiment adorable, j’approfondit un peu plus ma caresse sur sa joue, et lui murmure en lui offrant un doux sourire :

Moi – et toi, tu est vraiment très jolie et adorable qui plus est.

Elle me sourit, et ne pouvant resister à la tentation je vint sceller mes lèvres aux siennes. Ses bras se son allonger sur mes épaule, alors que ma tête se pose sur son bras je l’approche un peu plus de moi et vint la serrer tendrement contre moi et lui caresse le dos. Nos langues se trouvent et se caresse, nos jambes s’emêlent l’une dans l’autre, nos corps se frictionnent et se caresse.

Michiru – mh …

Mon cœur bondit dans ma poitrine en entendant ce son si sensuelle venant d’elle, je lui faisait dont de l’effet. Cela m’adouci encore plus et je vint approfondir notre baiser, celui-ci devint plus tendre et langoureux. C’est un vrai délice, et je me sent si bien comme sa, j’ai envie que le temps s’arrête, et nous emprisonnent.

On se détachent doucement, j’emmène ma main à son menton et le lui soulève afin de croiser ses yeux qui son vraiment magnifique. Sa main se met à caresser ma joue, et elle me sourit, un sourire que j’aimer.

Michiru – oui, de tout mon cœur j’espère que sa va fonctionner entre nous … Car, je t’aime vraiment beaucoup Haru.
Moi – mais moi aussi, je t’aime vraiment très fort, et ne souhaite qu’une chose pouvoir te rendre heureuse et te voir sourire mon ange.
Michiru – Haruka …
Moi – chuut.

Je lui caresse la lèvres, et vint lui poser un second baiser avant d’éteindre complètement les lumières. Je lui caresse doucement sa cheveulure et lui murmure tendrement.

Moi – bonne nuit chaton à demain.
Michiru – à demain Haru !

Ses lèvres se sont déposés sur mon cou, se qui me fit sourire, je lui embrasse le front et m’endormie serrer contre la femme que j’aime.

Le lendemain, au alentours de sept heure, mon portable se mit à sonner, et encore endormie, j’essaie de l’atteindre, mais quelque chose m’en empêche. Je baisse mon regard encore embué, et remarque avec douceur que c’était Michi qui dormais contre moi. J’éteins mon téléphone que j’eu réussi à attraper, et vint reposer ma tête sur l’oreiller, mêlant au passage mes doigts dans la chevelure bleutée de ma douce.

Un petit bruit se fit entendre, sa provenais du téléphone de Michi. Je voie cette dernière tendre son bras et tater le meuble afin de localiser l’objet. Une fois en main, elle appuie sur décrocher, et porte le cellulaire à son oreille
.

Michiru – oui …
Cléo – ou mais c’est que tes encore dans le cirage ma pauvre !
Michiru – hm … T’abuse Cléo, il est que sept heure du mat.

Je sourit et la voie se redresser, elle se frotte les yeux et vint par la suite s’étirer. Qu’elle est belle. Je continue de l’observer tenant ma tête avec ma main gauche un sourire aux lèvres.

Michiru – je t’aime mais s’teu plais laisse moi dormir !
Cléo – mais moi aussi je t’aime. Au faite comment vas ton professeur ?
Michiru – pourquoi cette question ? Elle doit dormir.
Cléo – mais tu est bien chez elle non ?
Michiru – oui mais moi je suis dans le salon !
Cléo – le salon ?
Michiru – je te rappel que je ne peux pas monter les escaliers avec ma hanche !
Cléo – ah oui c’est vrai, sa te fait encore mal ?
Michiru – oui, et j’ai l’impression que le traitement que je suis n’a aucun effet, j’ai toujours aussi mal.
Cléo – bah va falloir retournr chez le médecin !
Michiru – je croix aussi oui, sa serait pas une mauvaise idée !

Elle vint s’allonger de nouveau, et ses yeux croisèrent les miens. Je lui sourit, emène ma main à sa joue et la caresse doucement. Je la voie qui s’approche de moi, et sa main alla se poser sur ma joue. On se sourit, et je vint lui déposer un légé baiser.

Cléo – dis, je peux te poser une question !
Michiru – oui vas y.
Cléo – tu compte lui dire quand ?
Michiru – de quoi ? Et à qui ?
Cléo – ben à ton professeur, et lui dire que tu l’aimes.
Michiru – oh mais arrête de dire que c’est mon professeur, et je c’est pas moi.

Ah, on dirais que sa parle de moi, je lui caresse la joue et lui sourit.


Michiru – bon, Cléo on se parle au lycée.
Cléo – bon … Ok !
Michiru – à plus.

Et sa comunication se coupa. Je lui écarte quelques mèches, et sa voix se met à résonner dans la pièce.

Michiru – elle me tuera un jour moi je vous le dis … J’aurais préféré un réveil beaucoup plus doux que sa voix qui me hurle dessus.
Moi – ah … Et quel genre de réveil voudrais tu ?
Michiru – ben … Me réveiller dans les bras de celle que j’aime par un câlin là c’est parfait.
Moi – dans ce cas … Bonjour mon amour, bien dormis ?
Michiru – oui, merveilleusement bien contre toi !

Je lui sourit tendrement, lui tapote le bout du nez, et c’est en riant que nos lèvres s’unirent dans un doux et délicat baiser. Je vint la prendre dans mes bras, et laisse ses dernier entourer son dos. Ses bras s’allongent sur mes épaules, et son corps se presse tendrement contre le mien. Nos langues se trouvent et se caresse, créant une danse endiablé mais délicieuse.

Je me sent tellement bien avec elle, j’ai envie de la protéger et la chérir tendrement. Je l’aime et me sent vraiment libre, je lui caresse la joue, et monte un peut plus pour être à sa hauteur, et approfondit notre baiser en allant lui morde amoureusement sa lèvres inférieur, mon cœur bat si vite, le désir que je ressent pour elle devient de plus en plus fort, mes gestes se font plus tendre, ainsi que mes lèvres qui deviennent avide de sa peau et amoureuse.

En manque d’oxygène, on se détachent doucement l’une de l’autre, mon front caresse le sien et mes yeux la dévisage avec tendresse.

Michiru – sa … C’est un réveil qui me plais !

Je me met un sourire, je lui caresse la joue, et embrasse son nez.

Moi – dans ce cas, réveillons nous comme sa tout les matins.
Michiru – avec grand plaisir !

On se fixent longuement, et Michi vint se lover dans mes bras, sa tête reposant sur mon cou. Je lui caresse les cheveux et la serre contre moi, il nous resté encore pas mal de temps avant de décoler. Et puis … Cette tendresse qu’elle m’offre à chaque fois qu’elle m’embrasse ou me regarde elle est vraiment agréable j’ai l’impression de revivre.

Michiru – je t’aime.
Moi – moi aussi mon cœur !

Je lui soulève le menton et la dévisage avec douceur, caressant sa joue avec mon pouce.

Moi – je suis tellement heureuse !
Michiru – pourquoi ?
Moi – car j’ai enfin trouvé celle qui qui fait battre mon cœur.

Elle ma sourit, et je vint l’embrasser avec tendresse. Je laisse mon cœur s’exprimer au grès de ses envie maintenant que je pouvais être heureuse.

Quelques heures plus tard, Michi s’habiller dans la salle de bain, alors que moi je préparé le petit déjeuner. Du bruit se fait entendre à l’étage, et surprise je passe ma tête à côté le mur et regarde. Je voie Michiru elle est vraiment très jolie habillé comme sa. Elle porte une longue jupe noire un petit chemiser blanc surmonter d’un petit chale noir. Ses cheveux son retenue par une queue de cheval, elle est vraiment très belle comme sa.

Michiru – Haruka !
Moi – oui ?
Michiru – tu peux venir m’aider à descendre s’il te plais !
Moi – j’arrive.

Je pose la tasse que j’avais en main, et me dirige vers l’étage. Je monte les quelques marches tout en la regardant avec un petit sourire en coin. Une fois à sa hauteur, je vint délicatement la prendre dans mes bras et dis en souriant :

Moi – prête à vous faire escorter princesse ?
Michiru – oui !

Je lui fit un petit clin d’oeil, et descend les escaliers doucement, et une fois arrivé en-bas, je la dépose sur le sol.

Michiru – merci ma chérie !

Je me suis mise à sourire à l’entente de ce petit surnom affectif qu’elle me porte, je lui tapote le bout de nez, et lui dépose un légé baiser sur le front. Je l’aime sa s’en est certain maintenant.

Moi – aller viens déjeuner, sa va bientôt être l’heure de partir !
Michiru – à vos ordre professeur !

Toi alors tu n’en rate pas une quand l’occasion se présente. Je la suit du regard, et saisit ses béquilles, et se dirige vers le comptoir de la cuisine.

Michiru – je suis vraiment obliger de prendre cette horeur ?
Moi – si tu veux vite être remie sur pied oui.
Michiru – c’est infecte !

Je la voie tirer la grimmace et cela me fait rire, prenant place sur une chaise, elle se met à sourire, elle lève ses yeux et me regarde.

Michiru – merci … Sa me fait plaisir de voir que tu est retenue se que j’aime !
Moi – ce n’est rien voyons.

On se regardent et s’échangent un doux sourire. Notre petit jeu dura encore quelques minutes nos yeux se défiaient qui allait avoir le dessus sur l’autre, et cela me fait bien rire intérieurement.

Quand fut l’heure de partir, Michi vint tout mettre dans le lave vaisselle et mit se dernier en route, passant un coup d’éponge sur la table et remetant les chaises à leur place. Je sourit, elle c’est bien intégrer à l’environnement. Prenant son sac qu’elle ajuste sur son épaule, elle se dirige vers moi.


Moi – aller en route ma petite fée du logie.

Elle c’est mise à rire, un son bien délicieux à mes oreilles, je prend mon sac, les clés, et sortie de l’appartement. Je ferme à clés, et nous nous dirigions vers les escaliers. Comme il n’y avait pas d’ascensseur, je dû la prendre dans mes bras, et descendre les quatre étages. Depuis ce matin mon cœur n’arrête pas de faire le grand huit, j’ai cette impression qu’il va bondir hors de ma poitrine.

Une fois en-bas, je me dirige vers le parking toujours avec Michi dans mes bras. Je n’avais pas très envie de la lâcher et ceux depuis les événement d’hier après-midi. Je lui demande gentiment de prendre les clés de ma voiture dans la poche de ma veste, et d’appuyer sur le dévérouillage.


Moi – merci mon petit cœur !

Elle me sourit, et une fois qu’elle fut attaché, je vint me placer à mon tour dans le bolide. J’allume le conteur, tourne une bonne fois vers la droite, fit une marche arrière, et parti direction le lycée.

Michiru – bon … J’espère vraiment que cet exposé va bien se passer !
Moi – mais oui, ne t’inquiète pas … Et puis je serait le seul professeur.
Michiru – c’est bien sa le souci !
Moi – comment sa.
Michiru – disons que à chaque fois que je croise tes yeux je suis comme … Hypnotisé, plus rien n’existe autour de moi quand je te regarde.

Je sourit, je m’arrête à un feu rouge, et vint poser ma main droite sur la sienne.

Moi – dans ce cas, j’essairer de ne pas trop te distraire !
Michiru - ce n’est pas ma faute si mon professeur se trouve être une belle et ravissante femme.

A votre avis qu’est ce que je dois faire ? Plusieurs solutions me vienne, mais comme je suis en voiture je ne peut rien faire.


Moi – dans ce cas … Voila un baiser d’encouragement pour la plus adorable des petes amie !

Et c’est avec le sourire que je lui prit le menton et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Un baiser rendu avec bonheur et sincérité. Je me décolle doucement colle mon front sur le sien, et fait pivoter mon nez négativement contre le sien. Ses yeux son doux pourtant je peux y apercevoir de la peur, sûrement dû à l’exposé de tout à l’heure.

Moi – tout va bien se passer, j’ai confiance en toi Michi !
Michiru – je …
Moi – chuut …

Je lui embrasse le front, descend le long de son nez et enfin à ses lèvres. Je lui caresse la joue, et nous sortâmes ensuite de la voiture. J’enclanche l’alarme, et m’exclame :

Moi – aller courage princesse.

Elle me sourit, je lui fit un signe de la main et je parti direction la salle des professeurs.

PDV Michiru.

Je la regarde partir, le sourire aux lèvres, j’avais encore du mal à croire tout se qui m’arriver, d’une part que je soit avec elle en plus que se soit mon professeur, et la seconde que je loge chez elle aussi. Tout sa était si … Prématuré, mais dieu que je suis heureuse. Je commence à m’avancer vers le portail, et je prit peur en voyant Cléo.

Moi – tu m’as fais peur !
Cléo – je suis si moche que sa ?
Moi – j’ai pas dis sa.

Elle me sourit, et ensemble, nous nous dirigions vers notre salle de cour car dans quelques minutes ce dernier allait commencer.

Cléo – alors ?
Moi – alors quoi ?
Cléo – ne fait pas celle qui ignore de quoi je parle Michi.
Moi – hehe … Bah pour le moment je préfère me poser, bien que j’ai cette envie de lui dire !
Cléo – tu voie que tu sais de quoi je parle !

Je lui fait un clin d’oeil et un petit sourire. Puis une fois dans le grand couloir, ont vîmes cette peste d’Emma et sa clique, j’essaie de rester calme car la seule envie que j’ai et celle de lui donner une bonne gifle en plus de savoir qu’elle aime ma jolie blonde me mettait dans tout mes états.


Emma – tiens mes regarder qui voilà, ce ne serait pas cette petite trainer, je croyais que tu devais rejoindre ta mère ? Dommage que le camion ne t’ai pas fait trop de dégâts, sa m’aurais fait une belle jambe de te savoir morte … Comme ta pouriture de mère.
Cléo – mais tu vas arrêter espèce de salope !
Emma – ou attention la petite Cléo emploie de vilain mots, bouh comme c’est navrant. Pff vous me faite franchement pitié.
Moi – c’est bon tu as terminé ? Tu t’sens mieux … Car j’en aie tout à ton service, tu c’est quoi je vais te dire une chose … Oui c’est bien dommage que je ne soit pas parti rejoindre ma mère, au moins sa m’aurais évité d’entendre de grands mots venant d’une gamine de 5 ans qui ne sais même pas ce que c’est d’aimer.
? - que ce passe t-il ?

Je me tourne et voie Haruka, non ce n’est pas le moment, je remet mon sac sur l’épaule, et dis :

Moi – ce n’est rien professeur …
Cléo – Michi … Non ce n’ai pas rien, tu n’en a pas marre de te faire discriminer et rabaisser à chaque fois !

Je regarde Haruka dans les yeux, je me retien de pleurer, et je dis la voix un peut larmoyante :

Moi – il … Il faut savoir encaisser, et ne pas répondre, et savoir avancer les pied droit devant.

Trop tard, une larme venais de s’échapper de mon œil droit.

Cléo – Michi non …

Et sans rien dire je me retourne et parti vers la salle de cour peiné et blessé des propos de cette peste.

Cléo – professeur Tenoh !
Haruka – oui ?
Cléo – s’il vous plait, faite quelques chose, sa ne peut plus durer Michiru a assez souffert comme sa.
Haruka – très bien, je vais aller la voir et lui parler, nous n’avons cours que dans 40 minutes, donc aller au je viendrais vous cherchez.
Cléo – merci professeur !

Tu est si belle, bien que cruelle, je t’ai tellement aimer … Mais tu hantes toujours mon cœur et mes penser. J’entends du bruit mais je n’y prête pas attention, je me tiens debout face à la baie vitrée, les mains dans le dos.


Moi – maman … J’ai tellement de chose à te dire, sans toi je dépérie à vue d’oeil, même si tu ne ma pas aimé, moi je t’aime toujours, tu sais beaucoup de chose se son produite deuis ton départ …

Des larmes commence à couler le long de mes joues.

Moi – je viens de rentrer au lycée, et j’ai pour ambition de réaliser ton rêve celui de devenir professeur de mathématique, en parlant de professeur de mathématique, je ne t’ai pas dit, mais j’ai enfin trouvé la moitié de mon cœur, comme tu dois t’en douter c’est une femme, elle a 23 ans et elle s’appelle Haruka Tenoh, elle est tellement belle, avec ses cheveux blond court ses yeux fin de couleur émeraude, son côté masculin qui la rend vraiment sublime à mes yeux. Tu sais j’ai réussi à lui dire se que je ressent, et pour mon plus grand bonheur elle éprouve la même chose que moi … Je l’aime et en suis éperdument amoureuse, bien que je ne montre pas se que je ressent je tiens à elle et l’aime plus que tout. Un jour je viendrais me recueillir sur ta tombe et je te montrerais à quoi elle ressemble, elle est ma perle rare, ma moitié et si le temps le veux je veux finir avec elle. Parce ce qu’elle est la femme que j’aime et désir plus que quiconque.

Je ne me retiens plus et cache mon visage laissant libre court à ma peine et mon désaroie. Soudain je sent des bras entourer mon cou, et un souffle chaud caresse ma peau. Je ne me retourne pas je laisse juste mon corps se poser sur celui qui se situer derrière moi.

Je savait parfaitement que c’était Haruka, l’odeur qu’émane sa cheveulure m’enivre. Et je me laisse bercer par les battements rapide de mon cœur.


Haruka – je suis sûr que si elle était la, elle serait fière de toi … Même si nous ne marchons plus à leurs côtés, ils demeur dans nos cœurs, il ne faut pas voir le noir, il faut continuer de vivre et de continuer à avancer pour eux, et cela ne nous empêche pas de leur parler de se confier, j’ai moi aussi perdu ma mère et si j’en suis là aujourd’hui c’est grâce à elle car je voulais qu’elle soit fière de sa fille alors … Maman j’espère que tu te porte bien là où tu te trouve et que tu est heureuse, pour moi tout se passe bien, et j’ai quelques chose à t’avouer tu voies cette jolie jeune fille que je tiens dans mes bras ? Eh bien c’est elle … J’ai enfin trouver mon bout de bonheur, comme tu me le répeter souvent, j’ai trouvé chaussure à mon pied. Je l’aime énormément et suis fortement amoureuse, si le temps est d’accord je compte construir un futur à ses côtés, et j’ai beaucoup de projet en tête pour elle et moi … Voila je voulais que tu sache que ta fille est heureuse que se soit dans sa vie professionnelle que dans sa vie privé, je t’aime maman je ne t’oublierais jamais.
Moi – je t’aime, ne l’oublie pas maman.

Je me tourne doucement, et à la minutes ou mes yeux croisa les siens, j’eue envie de fondre en larme car j’aperçut une petite larme solitaire rouler sur sa joue. Je m’approche et vint lui effacer la goutte d’eau, et vint lui prendre les mains et je sentit les siennes me caresser.

Moi – je serait toujours la pour toi et je … Je ne cesserait jamais de t’aimer.
Haruka – moi non plus … Quoiqu’il arrive je serait la pour te rattraper.
Moi – je t’aime Haruka ne l’oublie jamais !
Haruka – moi aussi Michi, et je ne le cesserait jamais.

Elle a doucement prit mon visage entre ses mains, et ma essuyer les joues. Je m’approche, et voulant lui prouver que je suis sincère envers elle, je posa tendrement mes lèvres sur les siennes. J’enroule son dos et me collle doucement à son corps. Ses doigts se mettent à caresser mes joues, et ses lèvres réponde timidement à mon baiser. Je l’aime et je ne le cesserait jamais.

Sachant que nous étions dans le lycée, on se détachent avec regret l’une de l’autre. Nos yeux se caresse, et sa voix se met à résonner dans la pièce :

Haruka – je ne veux pas te perdre … J’en est perdu assez comme sa !
Moi – je ne pourrais jamais te laisser, c’est même mission impossible.

Elle c’est mise à rire, je suis heureuse de lui avoir redonner sourire, je lui saisit le menton, le soulève doucement, et lui dis de ma voix la plus douce.

Moi – car pour moi … Tu es ce que j’ai de plus cher … Mon amour !
Haruka – je suis heureuse de t’avoir rencontré, car je peux enfin être heureuse.

On se sourit, s’embrassent une dernière fois, et nos corps se séparent, ses lèvres touche une dernière fois mon front, elle me fit un clin d’oeil et parti vers son bureau, ou d’un tiroir elle sortie une espèce d’interphone.

Haruka – les élèves de la classe B-5 son prié de se présenter en cour !

Je sourit, souffle un bon coup, essuie mes yeux, et prend place à mon bureau mettant mes lunettes sur mon nez, je commence à sortir mes affaires, et attend que tout le monde arrive. Je lève mes yeux et remarque Haruka en train d’écrire sur le tableau, sûrement la leçon que nous devions faire.

Puis les élèves commence à pénétrer dans la salle, je voie Cléo me sourire, et cette peste d’Emma me lancer un regard noir.

Haruka – bien bonjour à tous, nous n’allons pas commencer de nouvelle leçon, comme l’exposer et cet après midi, je vais vous demander de me faire une page de couverture concernant le sujet que vous avez choisi.

Je lève la main, attendant de me faire intéroger.


Haruka – oui Michiru ?
Moi – professeur ce que vous voulez que l’ont face c’est dessiner c’est sa ?
Haruka – c’est exact, mais attention, je ne veux rien d’injurieux ou rasiste, alors maintant au travaille.

Elle me lance un petit sourire, je lui rendit, et me mit au travail. Je sort mon exposer que je mis dans mon casier sous la table, sort de ma trousse un crayon à papier une gomme et une règle.

Sortant par la suite une feuille blanche moyennement grande, je plie cette dernière en deux, et à l’aide de mon crayon hb je commence à caresser légèrement le papier. Je savait exactement se que je voulais faire.


Quand j’eue terminé de tracer les formes et traits, à l’aide de crayon de couleurs, je vint crayonné tout le haut de la feuille en noir, en respectant les lignes que j’avais tracées. Sa c’est bien un de mes cours favoris, j’aime le dessin sa me libère de toute pression tout comme l’écriture.

Une fois la feuille colorié, je prend un feutre fin argenté et repasse les écritures que j’avais faite, tout en haut de la feuille, j’avais inscrit en lettre majuscule « Liberté d’expression » par la suite je repasse avec cette même couleur les sigles que j’avais fait. A gauche représenté deux sigles féminin d’écrivant l’amour entre femmes, à droite deux sigles masculin pour l’amour entre homme et juste en bas un sigle masculin et féminin pour montrer l’amour entre un homme et une femme.


Je prend mon temps pour bien le faire. Et à l’aide d’un feutre couleur or, je fait le contour du cœur que j’avais relier avec ses cigles. Je sent une préscence dans mon dos, se devait être Haruka qui vérifié notre travaille. Je colorie l’intérieur des cigles en argenter, et l’intérieur du cœur je le fit au rose pâle.

Enfin fini, je rajoute quelques derniers détails, marque mon nom et prénom en bas à droite de la feuille.


Haruka – c’est parfait.

Elle passe à mes côté et sa main frôle mon bras. Je sourit, la regarde quelques instant, et vint continuer mon travaille. Cette fois c’est l’autre côté de la feuille que je fit exactement pareil sauf que j’inversa les cigles pour qu’ils se retrouvent oposé, comme si ont tourné une page d’une couverture, on voie le dessin original devant et on peut parfois voir la suite derrière mais inverser. Quand ce fut terminé, je prend mon exposer, classe les feuilles dans l’ordre et les posent sur la couverture. Avec l’aide précieuse de mon compas je trace trois petit cercles sur la tranche de ma couverture. Après avec un cuter je vint découper soigneusement les cercles, et à l’aide d’un ruban fin argenter que Cléo m’avait passer pour que je m’attache les cheveux avec je passa ce ruban dans les troues de mon dossier avec les cercles de la couverture. Quand je réussi ma tâche, je met maintenant ce que l’ont pouvais appeler un livre entre mes jambes et vint faire un nœud pour fixer le tout, je coupe les ficelles trop longue, et posa enfin mon dossier sur la table, rangeant mes outils dans ma trousse, et retirant les épluchures de gomme les mettant dans une poubelle qui se situer derrière moi.

Quand enfin midi sonna, chaque élèves se lèvent, et remet le dossier à Haruka, se que je fit aussi. Je me dirige vers un tableau ou un tableau était dessiné, le titre « Délégué principal » afficher en haut. Je prend un stylo, et vint marquer mon nom dans l’une des cases.


Moi – bonne appétit professeur.

Elle ma tendrement sourit, et je suis parti direction le self. Arrivé au réfectoir, Cléo m’aida pour mon plateau, et ont se prit une table pour deux.

Cléo – alors sa va mieux ?
Moi – oui un peut, merci, et j’ai quelques chose à te dire !
Cléo – oui quoi donc ?
Moi – tu est ma meilleure amie, et je ne vais pas te le cacher plus longtemps mais … Nous sommes ensemble !
Cléo – le professeur et toi ?
Moi – oui.
Cléo – mais c’est supère sa, et depuis quand ?
Moi – sa va faire tout juste deux semaines.
Cléo – je suis supère contente pour toi, que sa dure !
Moi – merci Cléo.

On se sourit, et nous continuâmes à manger. Quand 12h55 arriva, avec l’aide de Cléo j’allai débarasser mon plateau, mais au moment ou je passa prêt de la table d’Emma cette dernière me fit un croche patte et je tombe sur le sol.

Emma – ah ah bien fait espèce de salope.
? - eh mais sa va pas, tes conne toi pff.
Moi – merci !

Le garçon qui ma gentiment aidé à me relever me rend les béquilles, je lui sourit, et reprit mon chemin vers Cléio qui poussé des jurons à cette tâche.

Cléo – pff, elle commence vraiment à m’enerver !!
Moi – laisse tomber sa sert à rien.

Je lui sourit, et me frotte le menton car j’ai quand même eu mal quand je suis tombé. Puis 13 heures sonna et c’est avec une boule au ventre que je rejoint ma salle de cour, car je devais parler de mon exposer, et déjà que sa me stresser assez comme sa.

Une fois arrivé en salle de cour, je me dirige vers le bureau d’Haruka et voie que toute la classe à changé, beaucoup de chaises qui se trouvés devant se retrouve à l’arrière. Je lève mes yeux et remarque ma jolie blonde assise sur l’une de ses chaises, je lui sourit tendrement et demande :


Moi – professeur ?
Haruka – oui Michiru ?
Moi – on peut reprendre nos dossiers ?
Haruka - oui allez-y.
Cléo – merci !

Je prend mon dossier et alla à ma table chercher mes lunettes, mon dieu j’ai hâte de quitter ses béquilles. Puis enfin tout le monde entra en classe, je prend place sur ma chaise, et Haruka se dirige vers son bureau.

Haruka – bien puisque tout le monde est là, nous allons pouvoir passer au chose sérieuse, je vais annoncer vos noms pour votre exposé alors … Le premier à passer sera Chardon, puis Tran Guilard Umbrunl, Jolie …

Quel chance je suis la dernière. Haruka remonte et reprend place sur sa chaise, elle tourne sa tête vers moi, et me lance un petit sourire, je lui rendit doucement, et enfin les présentations pour les exposers pue commencer. Mélanie a parler de la crise économique, Dilan des voie de disparition des animaux, cette peste à parler des vêtements se que je trouve ridicule au passage. Cléo a pour sujet la maltraitance des enfants, celui-ci ma particulièrement touché.

Puis enfin ce fut mon tour, j’avale ma salive, et me dirige vers le centre de la pièce juste devant le bureau d’Haruka. Je place mes lunette sur mon nez et cale mes béquilles contre le bureau.


Haruka – très bien nous t’écoutons Michiru !

Je lui sourit, et vint ouvrir mon dossier, j’apercoit un petit mot sur la couverture « courage ma chérie je c’est que tu peux le faire » je lève mes yeux surprise mais heureuse, et Haruka me fit un petit clin d’oeil.

Moi – pour cette exposé j’ai décidé de parler de la liberter d’expression, le titre qui me semblais le plus aproprier pour ce sujet est parlons librement d’amour, avant toute chose, pour vous c’est quoi « l’amour »
Haruka – Mélanie !
Mélanie – c’est des sentiments fort que l’ont éprouve pour une personne.
Haruka – Dilan !
Dilan – c’est éprouver de la tendresse et du désir.
Moi - très bien, c’est très intéressant, mais il faut savoir une chose... c’est que malgré les differences, chacun d’entres nous ici à le droit d’en bénéficié, que ce soit entre deux hommes , deux femmes, ou bien alors entre un homme et une femme.

Je voie Haruka me sourire, je continue de lire mon texte en articulant et argumentant.

Moi - il faut savoir aussi, que l’amour est important, que malgré les choix, les décéptions, ce sentiment qui vous procure une sensation de bonheur, est toujours la pour vous aidé dans la vie de tout les jours. maintenant je vais prendre un exemple, deux jeunes filles qui sont ensemble aurons beaucoup plus de facilité à ce dire les choses, car le plus souvent, ont peut constater que dans un couple tout à fait ordinaire, il y a quelques petites tensions, la femme se demandera le plus souvent, si elle peut se confier sans que son conjoint ne se mette en colère, et vis versa. pour ce qui est des garçons, ils ne pourrons pas voir la chose de cette façon, puisque un couple formé de deux hommes, sera aussi une épreuve... Ils chercherons mutuellement, à savoir si les sentiments éprouvés sont réel et sincère, mais le ressentit est tout à fait le même qu’un amour partagé entre un homme et une femme. Parlons librement d’amour, devrais nous aider, à combattre nos peurs, nos questions les plus intime, et même le vide que nous pouvons ressentir. alors... Peut importe la situation quand il s’agi d’amour l’important avant tout, c’est de pouvoir donner à l’être aimé ce que nous ressentons au plus profond de notre cœur, car un couple d’homme ou bien de femme, ne doit pas être vue comme un crime, mais plutot comme un couple tout se qu’il y a de plus normal, sa aura beau choquer beaucoup de monde, mais l’amour ressentit de cette manière est tout à fait légitime. Pour ma part, je dirais que ce sentiment, est une douce caresse qui nous éfleur du bout du doigts mais qui nous fait en même temps agoniser, il n’est pas à prendre à la légère car comme nous, il est tout aussi fragile que du cristal, tout comme les sentiments que l’ont peut ressentir.

Il n’y avait aucun bruit, tous me regarder, et cela me gênais beaucoup.

Emma – pff tes pitoyable ma pauvre fille, comment oses tu parler de ce genre de chose, c’est immonde, tu devrait avoir honte de tes propos, tes répugnante il faut vraiment que les gens face attention à toi, tes une mauvaise fréquentation, et une femme est faite pour aller avec un homme et pas autrement, les gens qui son comme sa sont dégoutant, ils devrait être puni pour ce crime. Va en enfer tu n’apporte que le malheur.
Haruka – sa suffit !!!!!!

Je voie Haruka se diriger vers Emma que je maudissait à ce moment, elle lui prend le bras et la poussa jusqu’en bas.

Haruka – j’en est vraiment plus qsu’assez de toi et de tes propos, ne peut tu pas laisser les autres tranquille ? Je ne te veux plus en cour, et je préviendrait tes parents pour un conseil de disipline.
Emma – mais non alors professeur, c’est dégoutant !!
Haruka – se qui est dégoutant ici c’est les propos que tu tiens à tes camarades et à ton professeur. Donc mademoiselle Umbrunl accompagné cette jeune éfronté chez le directeur.
Cléo – bien professeur.

Et elles partirent toutes deux. Puis un claquement se fit entendre, je me tourne et me reconnecte à la planette terre, et aperçu Dilan en train d’applaudir.

Dilan – je ne sais pas vous, mais moi je trouve que c’était un bel exposer et très intéressant.
Mélanie – bravo Michiru ta était supère !!
Quentin – c’était génial, tu viens de nous démontrer d’une belle façon que l’homme est libre de ses choix.
Moi – merci c’est … c’est gentil.
Haruka – c’était parfait Michiru, tu as bien travaillé.

Tous me complimenter, mais seul ses compliments à elle me fait le plus plaisir. La journée c’est suivit tranquillement, et j’ai réussi à me faire intégrer par la bande de Mélanie. Et pour combler ce bonheur Haruka m’avait féliciter à plusieurs reprise, vraiment je suis très heureuse.


Eh voila le chapitre 4, qui est très long je l’avoue, mais sa me fait tellement plaisir d’écrire cette histoire que j’ai du mal à m’arrêter ^^ et merci à inlove pour ses commentaires :)
Sam 19 Oct 2013, 16:07 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire ii

17 mars 2004 dans son journal intime : "Si à trente ans, je suis encore puceau, j’irai quand même chez les putes"

Découvertes

Notre héros avait 24 ans. Il était toujours puceau. Il avait mis une petite annonce sur un site web : "puceau cherche initiatrice".

La semaine de la mise en ligne de cette annonce, il recevait une lettre d’une lectrice de la bibliothèque dans laquelle il travaillait. Elle avait dix années de moins que lui. Sa lettre était une déclaration d’amour. Cela l’avait touché mais il avait du répondre par la négative à cause de son travail et de son âge. Elle rougissait à sa vue. Il fallut attendre qu’il se décidât à mettre une petite annonce pour qu’il reçoive une déclaration d’amour.

Quelques jours plus tard, il recevait une réponse d’une masseuse d’une ville du Nord. Elle l’invitait à se faire masser dans son salon. C’est comme cela qu’à l’aube de ces 25 ans, il alla chez cette femme. Une femme très belle et en petite tenue. L’ambiance de la chambre était calme, tranquille et tamisé. Il y avait une douce musique de fond, avec le bruit d’une fontaine. Elle l’invita à se déshabiller. Il se mit tout nu et alla se coucher sur le ventre sur la table de massage.

Elle commença à le masser en faisant des cercles de haut en bas et des diagonales sur son dos et en lui effleurant l’anus, puis lui chatouillant les testicules. Elle utilisait une huile chauffée à température du corps, une sensation très agréable. Ils discutèrent de tout et de rien. Elle lui demanda ensuite de se mettre sur le dos. Elle lui massa le ventre et aussi les tétons, et encore les couilles, et puis elle prit son sexe bien en main tout en douceur et commença à le branler de haut en bas. Il éjacula et orgasma, elle continua à le masser et lui essuya le ventre avec un mouchoir. Notre héros était heureux. La masseuse lui offrit ce massage qu’il prit comme un don. Et avant de partir, elle lui avait dit que c’était de dommage de donner sa virginité à une inconnue et de faire l’amour pour la première fois sans sentiment. Elle était la première femme à le faire jouir.

Ses relations

Pour son quart de siècle, ses amis lui avaient offert une poupée gonflable, il utilisa cet objet. Il fut déçu car il s’attendait à trouver une pute. Il testa cette poupée mais n’arriva pas éjaculer dans le trou vaginal, il lubrifia la bouche de la poupée. Il enfila une capote et éjacula dans la bouche de cette femme en plastique.

Notre héros avait un très grand carnets d’adresses. Il avait aussi sa bande d’amis. Des véritables amis qui ne l’avaient jamais jugé sur son célibat. Il avait toujours été invité à leurs repas. Ils avaient fêtés tous leurs anniversaires ensemble. Ils se voyaient en moyenne une fois par mois depuis passé dix années. Ces amis avec qui il était sorti de nombreuses fois ensemble- Ils faisaient la noce dans les campagnes de leur région et les cités de leur pays. Sa bande d’amis, il les connaissait depuis qu’il était tout petit. Il était le seul de la bande à ne pas avoir de copine. Les copines de ses amis étaient pour lui ses sœurs. Ils pouvaient se confier à elle. Il recevait beaucoup de petits câlins de leur part. Leurs présences lui étaient bénéfique. Il en apprenait chaque fois plus sur les femmes. Elles lui donnaient des conseils. Il savait que si il avait besoin d’elles, elles seraient là. Elles disaient de lui qu’il était un homme à marier. Un jour, il viendrait accompagner à ces soirées. Sa copine participerait à leurs soirées de filles.

Notre héros fréquentait aussi la rue. La rue juge contrairement aux amis. Il était traité d’homosexuel, de retardé, de croyant et d’anormal d’être encore puceau à 25 ans. Les beaux discours sur le mariage, ces lascars en avaient rien à foutre. Ils venaient tous de familles mono-parentales. Notre héros avait toujours su se faire respecter des autres mais la pression d’être encore puceau selon son statut social augmentait, de plus il avait aussi envie de découvrir le sexe. C’était des gamins qui lui faisaient la morale. Les femmes étaient inexistantes dans ce milieux et quand un lascars manquait à l’appel. C’était qu’il avait rencontré une go. Une fois en couple, le lascars se rangeait si il découvrait l’amour. Il se donnait comme nouveau but la construction d’un . Souvent certains revenaient à la rue mais c’était blessé, endetté et avec une haine contre le genre féminin. Les femmes causent beaucoup de ravage dans la psychologie d’un homme. Ici le langage est aussi beaucoup plus cru. La femme est une pute mais dans le bon sens du terme. Une femme sert à reproduire et son rôle est de rester à la maison. Les femmes se font tourner. L’amour se résume à un film pornographique. Les petites passent à la casserole. Elles seront traumatisées et blessée à vie. Il faut du pognon pour avoir une belle femme. L’idéal féminin étaient les filles de Playboy. La femme était devenue un objet de consommation. Notre héros fréquentait aussi le monde de la nuit, il y avait les lovers. Ces gars se préparaient aussi longtemps que des femmes. Ils peaufinaient des détails comme les sourcils. et se soignaient comme des acteurs de cinéma. Notre héros savait que ces longues heures derrière le miroir étaient bénéfique en femme. Ceux qui choppaient plusieurs femmes dans une soirée. Ces ginos qui ne lâchaient pas l’affaire. Des men qui se prenaient trente râteaux dans la soirée mais la trente et unième demande était la bonne. Ces casseurs de cœurs finissait toujours la soirée chez une chaudasse. Ces gars persévéraient dans le seul but de se vider les couilles et de raconter leurs exploits le lendemain aux lascars du village.

Les initiatrices

Quelques semaines plus tard à 25 ans révolus, il rencontra via petite annonce, une femme qui était d’accord d’être son initiatrice. Elle avait quelques années de moins que lui. Elle travaillait dans le même milieu professionnel que lui. Elle mesurait un mètre huitante pour un poids de soixante kilos. Elle était très expérimentée. Elle était en couple mais un couple libertin. Elle avait beaucoup de lingerie. Elle avait de petits seins. Son sexe était mi-rasé. Ils parlèrent ensemble durant un mois. Il pourrait tout lui faire sauf la sodomie réservée à son copain. Il était en confiance. Ce jour avait bien été préparé. Un jour, ils prirent rendez-vous. Il loua une chambre d’hôtel dans la capitale. Il alla la chercher à la gare et ils allèrent ensemble dans la chambre. Ils s’assirent sur le lit et ils commencèrent. Ils s’embrassèrent. Ils se déshabillèrent. Il embrassa tous son corps de petits bisous. Il la doigta, il lui lécha la chatte, il la caressa, elle le suça, il la pénétra mais il n avait aucun plaisir à cause de la capote. Il continua jusqu’à ce qu’il transpire et ne puisse plus donner, alors il se coucha et elle commença à le sucer longuement et puis elle le finit en le branlant. Il éjacula. Ils s’endormirent l’un à côté de l’autre. Durant toute la nuit, sa main se balada sur ce grand corps féminin, et il l’embrassa, et lui donna des milliers de bisous. Il put enfin découvrir le corps féminin dans sa profondeur et son entier.

Le lendemain, il était un autre homme. Il lui semblait que toute les femmes le regardaient. Il avait changé. Il n’était plus puceau et ne le serait plus jamais.

Le soir même dans une autre ville, il y avait un concert de rap américain. Il était avec ses amis. Avec l’aide de son meilleur ami de soirée, il abordèrent une fille qu’ils connaissaient déjà de vue. Elle était noiraude. Elle avait la même taille que lui et une grosse poitrine. Elle était vêtue simplement comme il l’aimait. Il s’approcha d’elle. Ils dansèrent ensemble et s’approchèrent. Il se cherchèrent l’un après l’autre et puis leurs lèvres se collèrent ensemble. Ils s’embrassèrent. Notre héros remerciait le seigneur pour tout cela. Ils passèrent la nuit ensemble chez un de ses amis. Il en était à sa deuxième expérience sexuelle. Cette fois ci, il y avait de l’alcool et du THC, mais il lui parut qu’il assura mieux que la première fois. La taille de sa partenaire lui facilitait aussi la tâche. Il n’arriva pas à jouir ce soir là. Ils dormirent ensemble toute la nuit. Le matin au réveil, notre héros, pensait qu’il avait enfin trouvé son oiseau rare et que la quête de l’amour serait finie. De plus, il ne pouvait pas simplement coucher une seule fois avec cette fille. Il était obligé de la respecter à cause des liens qui l’attachaient à certains membres de sa belle famille. Il était une personne avec des principes. Il avait couchait avec cette fille et si cette fille voulait de lui. Il la choisirait et l’aimerait- Elle deviendrai sa femme et la maman de ses enfants. Ce petit trésor pensait qu’il réfléchissait à comment il allait la jeter et elle luit dit quelque chose mais il comprit : « Ce n’était que pour une nuit » Il était très déçu mais en même temps délivré! C’était sur un accord commun. Elle aurait pu devenir sa princesse. Il était mal-entendant.

Après ces deux nuits, il avait mal aux muscles mais découvert un nouveau sport : le sport matelas.
Deux soirs de suite avec deux femmes différentes, c’était pas mal pour une première entrée en matière. Il rentra dans son village natal en héros. Il avait des choses à raconter aux mioches de son village.

L’espagnole

Quelques temps après sur un réseau social, il rencontra une espagnole, de onze ans son ainée. Elle était belle. Elle avait un corps de vénus. C’était un ancien mannequin, une femme magnifique. Elle avait des yeux couleurs de saphirs et des cheveux noirs ! Cette femme se confia à lui et lui raconta plusieurs épisodes de sa vie. Elle n’avait pas eu une vie facile. Elle avait perdu sa mère. Son père la battait. Elle s’était enfuie de la maison et avait vécu dans la rue. Elle avait touché à la drogue et à survivait grâce à de petits jobs. Un jour, elle tomba enceinte et apprit que le père de son enfant la trompait. Elle resta forte pour donner le meilleur d’elle-même à cet ange. Elle cultiva une haine et une méfiance des hommes. Elle n’avait plus confiance en l’Amour. Notre héros tomba amoureux de cette femme. Il l’avait séduite par les mots. Ses histoires l’avaient inspirée et il lui avait écrit des textes. Ses textes l’avaient touchée et séduite. Elle était très cultivée et aimait aussi beaucoup lire et surtout le lire. Ils avaient de grands échanges philosophiques et ésotériques. Quand il la rencontra, il était en période d’examen. C’était plaisant d’avoir une copine avec qui parler de ce qu’il avait fait la journée, qui lui tenait les pouces, qui lui souhaitait une belle journée, qui lui donnait du courage, qui partageait avec lui ses joies et ses soucis.

Un soir alors qu’elle était dans une mauvaise phase, elle l’invita chez elle. Il avait les mots justes et une oreille attentive. Il était ici pour la prendre dans ses bras et la protéger. Elle voulait dormir dans les bras d’un homme.Cette première nuit fut magique, comme toutes celles qui suivirent.
C’étaient des nuits enfumées, avec une douce lumière,une ambiance romantique, des caresses, des massages, des bisous, des baisers, des jeux de langue. Il alla à plusieurs reprises chez elle. C’était toujours merveilleux, dans l’amour, dans une entente parfaite, dans une fusion des corps mais sans aucune pénétration, seulement par des caresses, des léchages, des cunnilingus.

Il tomba amoureux de cette espagnole. Il en devint accroc. Il s’y était attaché comme le petit prince à sa rose. Il insista pour la revoir- Il l avait toujours respectés. Il avait tout fait la pour la séduire- Il lui avait trouvé des objets introuvables. Ils se prirent même la tête car il ne comprenait pas qu’elle ne voulait pas être sa copine, mais juste une amie, mieux qu’une amie ! Un jour, elle lui mentit et elle but au lieu de l’accueillir chez elle. Mais lui ne comprenait plus rien !..elle lui fit tourner la tête...Il s’était trouvé un nouveau but. Il commença à lui écrire des lettres- Elle était sa muse...puis il mélangea tout ! Amitié, amour, tendresse, sexe. Il la blessa suite à une rencontre. Il se blessa et abandonna cette conquête. Il était myope.

Cette femme l’avait marquée. L’amour rend aveugle.
Heureusement, que cette femme le respectait et certainement l’avait aussi aimé car elle aurait pu faire n’importe quoi de lui. C’est comme cela qu’il s’intéressa aux femmes dominatrices. Il avait vu chez elle une paire de menottes. Elle avait bien dressé son chien de combat.

Imaginaire de notre héros

Il aimait lire et écrire. Il adorait les livres. Il travaillait en bibliothèque. Il avait lu beaucoup de livres sur les religions, des textes sacrés, des traités d’angéologie, des discours philosophique, des études psychologique, des manuels d’astrologie, des cours de numérologie et des parchemins ésotériques. Il s’intéressait aussi à l’histoire, la géographie ainsi qu’à tous les domaines du savoir universels. Il croyait en l’univers infini. Il était un individualiste. Il voyait en beaucoup de chose des signes mais ces signes se révélaient souvent faux. Il ne savait pas encore les lire. Il en voyait d’ailleurs toujours. Il lisait énormément donc beaucoup de mots défilaient sous ses yeux. Il voyait des signes toutes les deux pages et se créait des films qui ne se réalisaient jamais. Il tombait souvent de haut mais il savait toujours se relever. Il n’avait jamais rencontré personne ces dernières années parce qu’il pensait que son ange lui tomberait dessus tout seul. Il avait marché des kilomètres dans les campagne, les forêt, les villages et les villes dans l’attente de cette rencontre. Il croyait aux contes pour enfant et aux père noël. Il en avait pourtant rencontré du monde mais jamais cette douce-moitié.

Il cherchait dans la réalité ce qu’il avait lu dans des livres. Il en était déçu. Le chemin pour atteindre le monde merveilleux de l’amour et de la joie était semé d’embuches.

Deux livres le marquèrent s’étaient l’Art d’aimer d’Ovide et Le Manuel du Guerrier de la Lumière de Paulo Coehlo. Ces deux livres vont le suivre jusqu’à la fin de cette histoire.

Il tenait aussi un journal intime depuis ses dix-sept ans. Il adorait écrire. Quand il tombait de passion pour une femme,il ne pouvait s’empêcher de lui écrire des doux messages via mail, sms, des romans, des poèmes mais la plus part du temps elles prenaient peur. Elles n’étaient pas habituées à recevoir un tel flot de mots doux indirectement d’Amour d’un inconnu. Elles s’enfuyaient et il n’avaient plus de nouvelles. Il ne lui restait plus que son journal intime.

Il s’efforçait d’être un Guerrier de la Lumière et de promouvoir la Paix, l’Amour et l’Unité !


Différents mode de sexualité

Notre héros en arrivait à des conclusions dramatiques sur les femmes. Elles étaient toutes des putes, des salopes, des pétasses, des chiennes. Il commença à entretenir une haine de la femme. Il se demanda si les femmes aimaient mieux les profiteurs, les enfoirés, les salopards, les violents à des hommes attentionnés, intelligents, gentils et serviables. Il devait arrêter de mettre la femme sur un piédestal.

La femme est un être humain de sexe féminin pouvant reproduire l’espèce humaine après s’être fait fécondée par un être humain de sexe masculin. C’est de l’ordre biologique. Historiquement, cela fait depuis le début de l’humanité qu’elle se fait dominer. Ce mythe est inscrit dans les gènes de ses semblables comme naturel. Il comprit qu’il était un homme et qu’il avait le droit de profiter des femmes. Ce n’était pas un mal dans cette société. La femme sert a assouvir les pulsions des hommes, s’occuper du et élever les gamins.

Notre petit gars se dit alors faisons comme tout le monde, contrairement aux autres, il savait ce qu’il faisait et y allait en toute connaissance de cause. Après tout, il n avait jamais manqué de respect à une femme et apparemment leur manquer un peu de respect était tout à fait tolérable.

Notre héros s’en alla explorer le monde du sexe taxé.

Le sexe est une drogue et comme toute drogue, il y a un marché. C’est comme cela qu’il partit à la découverte des prostituées. Il utilisa leurs services à trois reprises mais s’y promena très régulièrement dans les quartiers chauds de différentes grandes villes. Il appréciait le fait de pouvoir choisir un être humain et le fait des le payer pour un service. Le service était trop court à son goût. Il aimait vraiment trop les câlins et les préliminaires mais cela lui permettait de passer ses pulsions sexuelles.

Sa première prostituée était une brésilienne habillée tout de blanc. Elle avait un joli cul. C’était une jolie blonde avec un beaux corps. Elle se trouvait sur l’avenue de la route de Genève dans la capitale. Ils étaient ensuite allé dans une chambre à côté de la rue. Elle lui avait demandé l’argent avant, et puis elle s’était déshabillée. Il s’était aussi déshabillé. Elle lui avait nettoyé le sexe et son entres-jambes avec papier humide. Elle l’avait branlé un peu, histoire de faire gonfler son membre et lui avait enfilé une capote...elle l’avait sucé...ensuite elle s’était mise comme une chienne afin qu’il la prenne en levrette. Il n’avait jamais essayé cette position et elle remarqua qu’il était un débutant. Elle se mit alors sur le dos et leva les jambes et il l a pris en position du missionnaire...Il la pénétra mais cela ne venait pas, puis elle a serré son vagin et il est venu d’un coup en elle...Elle lui a enlevé le préservatif et essuyé, son sexe. Elle lui a fait comprendre qu’il pouvait se rhabiller et puis il était sortit et notre héros était rentré chez lui...un billet bleu pour ça ! Il avait découvert le sexe taxé...La prostitution était légale dans son pays. La majorité sexuelle était à seize ans. Ses deux autres expériences eurent lieu dans une capitale européenne dans laquelle les prostituées peuvent louer des vitrines pour mieux se mettre en valeur. Il choisit une petite noiraude, étudiante, d’origine italienne. C’était caillante, un suck & fuck pour 50euros ! Et puis une grande blonde, d’origine portugaise avec qui c’était trop bon...et qui le chauffa grave. Elle lui faisait des envies de bisous, mais sans l’embrasser et fit une toute meilleure entrée en matière que les deux autres. Elle était certainement déjà plus expérimentée ou contente d’avoir un joli jeune homme comme client. C’était sa dernière et meilleure pute. Maintenant, il savait que si il avait de l’argent, il ne serait plus jamais en manque de sexe. Cette expérience lui enlevait un grand poids dans sa vie.

C’est comme cela que par une escapade dans une ville européenne, il se fit entraîner dans un cabaret. Jennifer l’accostât. C’était une normande, une belle femme, une grande blonde, habillée très classe et raffinée, elle portait un immense décolté. Elle l’emmena dans une pièce. C’était une pièce entourée de rideaux rouge et bleu tout en velours. C’était un cadre luxueux rien que pour lui et elle. C’était très classe ! Il n y avait qu’une table et un banc. Ils assirent l’un à coté de l’autre. Ils parlèrent ensemble- Il pouvait la caresser, la toucher, lui faire des bisous...elle lui fit une danse très chaude, ou elle se frotta contre lui et lui prodigua quelques caresses. Il resta trois heures en sa compagnie et il but une bière , elle but un cocktail et ils burent une bouteille de champagne pour 760 euros. Notre petit homme s’était fait roulé. Il s’était fait arnaqué. Il était tombé sous le charme de Jennifer. Les racoleurs ont bien vu qu’il était un naïf touriste, mais un bon touriste se fait toujours arnaquer. Un monde de faux-culs et d’hypocrites qui n’ont d’intérêt que l’argent que vous avez. Un business très bien géré et totalement légal. Il était rentré démoralisé à son hôtel et il était allé se branler dans les toilettes de celui-ci. Après dans la journée, il s’acheta le manuel du guerrier de la lumière et tout alla mieux. Ce n’était pas si grave.

Un soir sur un chat, il discuta avec un pseudo "homme-passif". Notre héros lui demanda : « ce que cela voulait dire ? »il lui écrivit : « Viens chez moi et tu verras » . C’est comme cela qu’il arriva chez ce type, qui était tout nu avec un collier et une laisse. Ce gros balèze lui dit avec une voix de tapette : « Vous êtes le Maître, je suis le chien! »
Heureusement pour notre héros qu’il possédait un chien au familial et qu’il savait comment s’y prendre. Ce soir là, il découvrit le bdsm et expérimenta plusieurs pratiques sm. Il revit une autre fois cette pute mais lui demandant de se travestir. C’était une soumise avec une bite. Le jeux de la domination lui plaisait bien mais il n’aimait pas les hommes. Il se fit lécher l’anus et sucer les couilles- Il a fessé cet esclave avec divers moyens comme une cravache et un martinet. Elle demandait que son nouveau Maître y aille encore plus fort. Enfermé dans cette cave et ayant vu pleins de films de taulards, il sodomisa cette chienne et lui fit une éjaculation faciale. Enfin il adora jouer le rôle de master bdsm et il aima prendre un rôle comme dans une pièce de théâtre. Il aima surtout pouvoir frapper une personne avec son consentement. Il découvrait une nouvelle façon de vivre la sexualité. Il n’a pu embrasser cet homme. Il ne s’est pas laissé mettre un doigt dans le cul. Il n’avait pas d’attirance pour les hommes. Il se décida à ne plus avoir d’expérience homosexuelle mais ne renoncerait pas aux jeux de la domination si il rencontrait une soumise consentante. Il la guiderait volontiers dans un accord commun.

Un après-midi sur un chat, il rencontra une vielle nymphomane de cinquante ans son ainée...Une véritable chienne. Ils se donnèrent rendez-vous dans la gare du Nord. Ils vinrent le chercher à la gare. Elle portait un simple manteau, avec un soutien gorge, un porte-jarretelle et des talons aiguilles- Elle était maquillée. Elle était rousse. Elle s’était parfumée. Ils s’installèrent à l’arrière de la voiture. Son époux conduisait et ils commencèrent à se chauffer dans l’auto. Elle était vielle mais excitante. Ils commencèrent à se toucher, à se caresser, à se faire des petits bisous pendant que la voiture traversait la ville. Notre héros se croyait dans un film de cul. Son cocu de chauffeur s’arrêta dans une clairière en forêt et il sorti...et elle mouillait comme une truie...elle n’avait jamais autant mouillé ce qu’elle lui avoua quelques jours après sur msn. Il la pelota et ensuite elle lui prit le sexe dans la main et il éjacula précocement...cette situation était tellement excitante...il lui mit deux doigts dans le vagin et la doigta activement, le temps que son érection revienne...une fois le gland redevenu dur...il enfila la capote...et baisa cette vielle salope...ensuite il la retourna comme une chienne...il se prenait pour une star du porno...mais il avait peur de la craquer...il jouit de nouveau...putain de salope de vielle...Le sexe hardcore s’était aussi possible pour lui ! Il se rhabilla et ils le ramenèrent à la gare! En trente minute chronos !

Virtualité

N’ayant jamais eu de relation, il s’était un créé un substitut à ce manque par l’utilisation de messagerie instantanée. Le fait de draguer des filles, puis de chatter avec elle dans ce monde virtuel lui permettait d’affiner sa plume et de connaître la psychologie féminine. Il avait souvent répété des même histoires. Il s’était pris de passion pour plusieurs filles. Il était aussi passé par une période ou il pensait que rencontrer une soumise serait l’idéal pour son mode de vie. Il avait créé toute sortes de relations virtuelles. Il avait commencé à utiliser ces plates formes de discussion lorsqu’il était au lycée. Il était devenu un chatteur expert en dix années d’activités. Il avait les bons mots et savait rebondir au bon moment. Ces discussions avec ces inconnues lui procuraient du plaisir tel qu’une drogue. Ces discussions lui comblaient un manque affectif réel. Ces relations virtuelles lui avaient même fait baisser parfois sa consommation de nicotine et de THC. Nous vivons dans une société qui en moins de dix ans, faute de place sur la planète, c’est agrandie sur la toile virtuelle. Les sans adresse électroniques deviennent de plus en plus marginalisé. Ces nombreux échanges sur des chats lui avaient évité des nombreuses consultation chez un psychologue. Les dialogues en direct ont quelques qualités mais aussi des défauts. Le plus grand danger est l’isolement car bien que la personne chatte avec plusieurs personnes. Elle n’utilise pas le sens du toucher mais avec la simple lecture de mots sur un écran, l’autre personne est capable de transmettre des émotions, envoyée dans notre cerveau qui font travailler notre imagination afin de provoquer une simple érection ou un malaise d’angoisse comme devant une fille réelle.

De plus comme beaucoup de ses relations réelles étaient parties depuis le terrain virtuel, souvent quand il chattaient avec une fille, il savait qu’il y avait des chances que cette première étape, se suive par une rencontre si le feeling passait entre les deux personnes. Une rencontre ne signifiait pas forcément une partie de jambe en l’air. Ces discussion avec ces femmes virtuelles lui comblait son manque affectif et les trois heures passées quotidiennement à discuter avec elles lui permettait de se mettre travail ou de gérer son association. Il vivait dans les années 2000, les rencontres sur internet étaient une pratique courante.

Il en passera des heures à écrire sur des forums, à envoyer des e-mails à des inconnues, de discuter sur des dialogues en direct. Certaines de ses relations l’enverront droit dans le trou et il se fit encore du mal tout seul. Il croyait en des relations mais rien du tout. Elles disparaissaient sans laisser de nouvelles. Elles ne venaient pas aux rendez-vous. Il était un passionné et dès qu’il commençait à s’éprendre pour une femme, il y mettait toute son énergie.

Il adorait écrire mais ne s’était jamais plus vraiment emballé dans une conquête avec des mots. Il avait remarqué le pouvoir des mots en écrivant à l’Espagnole. Il savait que sa plume était puissante. Il avait de nouveau peur d’expérimenter le sentiment d’Amour.



Redécouverte de l’amour

Après un long chemin parcouru dans l’obscurité et les ténèbres. Il était prêt à redevenir un gentleman. Il n avait pas eu plus de succès, en traitant les femmes de salopes. Il rencontra une fille qui le marqua et avec qui il passa une nuit ensemble. C’était le premier jour de l’an 2010. Il devaient simplement se voir et aller boire un verre, ils dansèrent toute la nuit et finirent par coucher ensemble

Quelques années avant, elle avait été la première à lui écrire un sms suite à une soirée passée dans un festival. Elle avait été adoptée, suite à la mort de sa mère. Elle n’avait jamais connu sa mère biologique. Son pays d’origine était la terre du peuple tupi-guarani. Elle avait des cheveux noirs, des magnifiques yeux toujours très soigné dans leur maquillage. Elle s’habillait style skateuse. Elle n’avait jamais accepté sa féminité. Quand elle s’habillait en fille, elle devenait encore plus jolie. Elle portait des bijoux avec de jolies pierres turquoise qui rendait son visage lumineux. Elle avait un charme incroyable. Il l’avait rencontré lorsqu’il travaillait dans la vente. Elle était en couple mais cela ne les empêchait pas de se regarder et de se sourire tendrement. Elle le kiffait. Plusieurs fois, ils s’étaient croisé au grès du hasard jusqu’à ce festival. Ils restèrent ensemble toute la soirée. Ils discutèrent- Ils allèrent dans la forêt autour du feux de bois et il la raccompagnât à pied jusqu’à chez elle. Il n’était pas automobiliste. Le sms qu’il reçut le lendemain, avait été compris comme un signe. Ils se revirent pour aller voir une jam de graffiti et passèrent encore toutes la soirée ensemble. Il avait fait des efforts et il l’avait invitée contrairement, aux autres filles. Elle lui avait posé un lapin. Ils se revirent plusieurs fois, mais jamais notre héros lui prenait la main, lui touchait le bras ou essayait un quelque conque signe d’affection. Il était encore puceau au début de ses rencontres avec elle. Elle supportait mieux l’alcool que lui. L’alcool et les sentiments amoureux se mélangeait en lui comme un mauvais cocktail. Ce mélange le rendait malade. Leurs échanges étaient aussi très riches. Ils se confièrent mais jamais il lui dit qu’il éprouvait quelques sentiments pour elle.
Ce n’était pas la première fois qu’il se trouvait dans cette situation. Il se créait des amies. Il cherchait des amantes. Il voulait une copine. Il n’arrivait pas à la rejeter. Il se retrouvait dans des situations ambigüe et ce n’était pas la première fois.

Après, il devint fou de cette fille. Il commençait à s y attacher et plus de nouvelles jusqu’à la soirée du 1er de l’an. Ils firent l’amour. Elle lui dit qu’il était une bête de sexe. Elle le suça. Il lui donna pleins de bisous. Il lui dit : « Je t’aime ». Le lendemain, en partant de chez elle, il s’est dit cette fois, super, il a enfin une copine. Il l’aimait et malgré son caractère et ses sauts d’humeurs entre le noir et le blanc. Il était prêt à s’investir dans une relation à long terme. Il était prêt à aider une femme. La joie fut de courte durée, en retournant chez elle et s’attendant à embrasser sa copine. Elle lui dit qu’elle préférait qu’ils restent ami comme avant. Le choc, coup de poignard, heureusement, il avait une tête de mari-jeanne. Il fuma un gros kéké. Il s’en alla. C’était la vie ! Il acceptait. Le combat devait continuer.

Sexualité alternative dans un sens spirituel

Biographie BDSM de notre héros

Découverte de ce monde en 2007.
Pratiques sur deux soumis et un travestis entre 2007 et 2008. Un peu près cinq session de deux heures de temps, soit une expérience réelle en tout de 10h00 de temps.
L’expérimentation me démangeait trop. Le virtuel me lassait, je voulais du concret mais je ne souhaite plus dominer d’homme tant que je n’aurai pas pu dominer une femme. Je ne connaissais encore rien du tout de ce monde. J’ai eu l’occasion avec ces soumis de tester énormément de techniques mais c’est clair que je ne suis pas expérimenté. Je me suis testé au bondage, cire de bougie, travail des seins, traite du soumis, travail de l’anus, les promener en laisse, crachat, insulte, fessée avec ceinture, cravache, spatule en bois, martinet, paddle, obligation de se travestir.

A la recherche d’une soumise pour vie de couple depuis 2008. J’ai le temps et je n’ai plus eu de pratiques sm depuis 2008.
"A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes."


Depuis 2007, j’ai aussi essayé plusieurs fois la domination virtuelle mais cela n’a jamais duré très longtemps, manque de temps des soumises. J’aime bien diriger la vie de la soumise en accord avec que nous avons décidé ensemble. Je peux aussi faire un programme sur mesure, régime, bien être personnel, aide dans le monde professionnel ou simplement pour que tu te dépasses et que tu découvres la soumise que tu es. Mes soumises sont respectées comme des reines car du moment qu’elles m’appartiennent, je veux le meilleur pour elle et que l’on puisse travailler au mieux le programme établis ensemble pour sa progression dans la voie de la soumission. Les choses qui m’appartiennent sont protégées, adorées, et j’en prends le plus grand soin et respect. Je n’oublie jamais qu’avant d’être une soumise,tu es un être humain, et plus particulièrement une femme.

Depuis 2008, je suis en train d’écrire un roman qui a pour cadre le bdsm. Je me suis beaucoup documenté sur le sujet. Entretien avec des Maîtresses, Maîtres, soumises, soumis, ainsi que de nombreuses lectures de livres, articles, blogs, site web, dialogue en direct.

Au plaisir d’échanger quelques mots avec vous.

Meilleures salutations.


Cette petite annonce qui avait plus de ressemblance à un curriculum vitae déboucha sur quelques relations virtuelles et réelles dont deux qui le marquèrent et d’autres qui lui refirent du mal. Il commençait à comprendre les règles du jeux. Un chemin entre amour et haine, entre plaisir et déceptions mais pour ces quelques moments de plaisir, le temps et la patience en valaient la chandelle. C’était dommage de passer à côté de l’Amour, c’est dans le moment présent et futur que nous vivons.

Il rencontra une hermaphrodite. Il s’agit du troisième genre. Cet être humain a les deux sexe comme les anges. C’est une naissance sur deux cents enfants et pourtant il en avait jamais entendu parlé avant cette rencontre. Il n’y eut qu’une courte correspondance et quelques échanges téléphoniques.

Il rencontra aussi par le biais de cette annonce et fit connaissance d’une soumise qui était devenue par la suite une amie-amante. Elle avait une fausse jambe. Elle mesurait un mètre huitante. Sa rencontre a été entourée de signe. Une relation ambiguë s’en est suivie mais qu’il a très bien géré. Il devenait meilleure dans ses relations avec les femmes.

Femme soumise du Sud

Il la rencontra vers la période de Noël sur un chat. C’est une période difficile pour les femmes célibataires car elles sont seules, sans famille. Ces femmes sont très fragiles et beaucoup plus réceptive au doux mots en cette période de l’année. Notre chasseur la séduisit très facilement. Elle ne parlait pas bien le français. Elle lui téléphona et ils se virent le lendemain. Elle vint chez lui. C’était la première femme qu’il invitait chez lui. Il la sauta, vite fait, bien fait et la raccompagna à la gare. Elle le rappela, et il retournât chez elle durant près de six mois. Elle était parfaite. Elle ne parlait pas. Elle lui préparait à manger. Elle lui faisait sa lessive. Elle lui coulait des bains. Elle était un peu plus petite que lui. Elle avait un petit ventre, mais une fois habillée et bien maquillée. Elle devait craquante. Elle avait vingt années de plus que lui. Elle était mère de deux adolescents. Elle était chômeuse. Elle était veuve de son premier mariage. Elle s’était fait trompée par son deuxième époux. Elle était divorcée. Elle était malade. Il n’avait aucun sentiment pour elle. C’était une bonne soumise. Il l’appelait deux fois par semaine. Il allait se vider les couilles chez elle. Ils dormaient ensemble et puis il repartait le matin au travail en ayant déjeuné. Il put s’entraîner à l’endurance. Il la prenait en levrette et lui mettait des claques sur les fesses. Il lui mettait des doigts dans le cul. Elle le suçait longuement. Il n’utilisa jamais de capotes avec cette femme. Il venait très vite la première fois, et puis pour ses deux prochaines éjaculations le temps était bien plus long...il la faisait jouir. Elle l’adorait. Elle en devenait accroc et elle voulait qu’il vienne habiter chez elle. Elle avait beaucoup de qualités mais il n’était pas satisfait intellectuellement. Elle était trop vieille.

Maman

Sa maman l’avait mis au monde au mois de février. La parole divine qui accompagnait ce jour était la suivante : « L’Éternel est avec moi comme un puissant »Il était du signe du du verseau, ascendant scorpion. Il était du signe astrologique chinois Le chien. Il était l’aîné. Quatre ans plus tard, ils étaient arrivés. Il s’agissait de ses deux petits frères, des jumeaux. Il dut apprendre à partager sa maman, sa chambre. Il était souvent inquiet pour elle. Il voulait toujours savoir ou elle se trouvait. Il avait peur d’être abandonné encore une fois. Il développa une certaine jalousie face à ses frères. Ils rencontrèrent pleins de filles. Ils furent dépucelés avant lui. Ils avaient eu les même parents. Elle lui avait toujours recommandé de faire attention, de toujours bien se protéger et que faire cet acte impliquait d’aimer profondément sa partenaire. Elle leurs avait achetés des livres sur l’éducation sexuelle. Malgré tout cela, elle fut sa plus grande femme. Elle lui a donné la vie. Elle l’a aimé. Elle l a nourris. Elle l a caressé. Elle l’a élevé, Elle l’a soigné. Elle l’a éduqué. Elle lui a donné tout l’amour et tous les atouts dont il avait besoin pour prendre son envol dans le monde des adultes. Elle avait toujours fait des régimes. Elle avait toujours eu quelque kilos en trop. Sa maman était belle parce qu’elle était sa maman. Il ne l’avait pas choisie mais il l’avait aimée. Il aimait sa maman. Il était son premier fils. Il remerciait sa maman pour tout ce qu’elle avait fait pour lui. Il savait qu’elle avait donné le meilleur pour lui.


Conclusion

L’aventure de notre héros se terminera ici. Il croit toujours en l’Amour malgré ses déboires. L’écriture de sa vie lui a permis de relativiser et de se dire que dans ses malheurs. Il avait la chance de ne pas avoir de malheur. Il pensait qu’il n’avait eu aucune expérience mais en relisant ses cahiers intimes. Il se sentait encore plus fort et se disait qu’il devait être normal. Il se trouvait encore plus beaux et se réjouissait de se connaître encore plus. L’écriture de ce texte a été une belle thérapie. C’étaient vingt ans de vie mise sur papier.

Cette histoire a été écrite suite à sa dernière rencontre sur un chat. Elle portait un joli prénom. Elle voulait garder contact avec lui. Elle ne l’avait pas repoussé à la lecture de son pseudo, ni de son prénom. En parlant avec elle, il avait vu énormément de signe comme toujours. Ils s’étaient même rencontrés et elle avait envie de le revoir. Elle était malade et elle avait du aller aux urgences. Notre héros invoquait l’univers pour qu’elle aille mieux et se demandait en marchant pour sa soirée... qu’avait-il fait pour mériter cela? Pour une fois qu’une chatteuse acceptait de le rencontrer, il fallait qu’elle tombe malade le jour et à l’heure de leur rencontre ! Elle était restée hospitalisée une semaine. Ils chattèrent beaucoup ensemble. Notre héros se prit d’affection pour cette femme. Elle s’était confiée à lui. Elle lui avait parlé de sa famille, de sa rupture. Elle était jolie. Elle lui avait même envoyé une photo d’elle. Il ne pouvait s’empêcher de l’ouvrir plusieurs fois dans la journée pour la voir. Elle avait des cheveux couleurs d’or, des yeux couleurs ciel et était un peu plus grande que lui. Elle était intelligente et voulait devenir conductrice de locomotive. Elle s’intéressait à ce qu’il faisait. Il avait déjà peur de la perdre. Il essayait de l’ignorer mais il craquait toujours et ne pouvait s’empêcher de lui dire bonjour. Heureusement pour lui ou pour elle, qu’il n’avait plus de connexion internet à la maison. Cette coupure lui a permis de pondre « les aventure amoureuses et sexuelles d’un presque trentenaire. »

Notre héros avait peur qu’elle s’enfuie à cause de son envie de toujours lui parler, lui écrire. Il ne voulait pas la déranger. Il devait retenir ses pulsions pour lui écrire. Il avait envie de la revoir et peut-être créer quelque chose avec elle. De plus, il redoutait de devoir lui dire qu’il n’était jamais sorti avec une fille. Elle allait aussi comme d’autres fuir à l’annonce de cette vérité ou vouloir devenir son amie. Peu importe, elle lui aurait permis de déballer ses confessions amoureuses, d’aller, de l’avant et de continuer son combat. Il s’est toujours relevé. Il désirait bientôt pouvoir démarrer une expérience de vie à deux et c’était clair qu’il ne ferait plus les même erreurs ! Il savait ce qu’il cherchait maintenant !

Il l’avait rencontrée le lendemain après avoir récité « l’invocation du jeune homme à marier ».

Il ne put s’empêcher de lui envoyer un sms au point final de cette histoire. Sourire.

Fin


Invocation du jeune homme à marier

Seigneur Tout Puissant !
E coutez votre enfant ! ...
Faites-moi trouver femme
Qui vienne calmer ma flamme!
Jolie...je le voudrais bien...
Laide...ça ne me fera rien
Pourvu qu’elle soit gentille
Comme vous Sainte-Pétronille !
Puis, je désire ardemment
Qu’elle ait du tempérament.
Qu’elle soit silencieuse,
Douce, laborieuse ! ...
Bref toutes les qualités
Qui me donneront félicité
Saint-Joseph, Saint Louis, Saint Lazare
Trouvez-moi cet oiseau rare,
Que voudrait chacun de nous,
Et qui doit être chez vous...
Pardon, si je vous dérange...
En somme, je voudrais un ange !


Jeaneck, mai 2011
Mar 17 Mai 2011, 14:41 par Jeaneck sur La vie à deux

Cocaïne

Cocaïne

Neige, tombe la neige.
Puissants flocons, ondulations furieuses,
Mousse blanche, candide.

Froid, froidure persistante.
Le mal, gelure de l’âme.
Un corps en l’alarme.

Tempête, air siffloté, nuitée.
Aboiements, refuge lointain,
Marche pénible, faibles pas.

Yeux à peine écarquillés,
Lune chétive, chemin gelé,
adulé, repos mérité.

Dehors, poudrerie, canon aveuglé,
Danse virevoltée d’une neige folle.
Porte close, sommeil demandé.


André (épervier)


http://epervierlepoete.iquebec.com
Sam 08 Déc 2007, 22:52 par epervier60 sur Mille choses

Je voudrais tant que tu m'amène à cette île d'amour ma Sophy

Ma chère Sophy
Que de mots qui réveillent les sens
Que de parole qui illumine la pensée
Que conscience qui aiguise l’âme
Sophy, pour une impro, tu passes comme un grand poète professionnel. Je trouve ton poème bien réfléchi et cadencé, ordonné et coordonné puis graduellement très orchestré. Ce ne sont pas des fleures que je te jette, mais une sincère félicitation de ton mérite.
Sophy que vais je repondre ou dire si ce déjà dans ce précieux texte qui traduit le fond de ton cœur bondant de franc et innocent amour. J’ai fait une copie de ton poème que je lirai tous les jours, car c’est plein de sens.
Mais ma chère, ma préoccupation sur l’effet de la craindre de chaque fois reprendre sur la bonne relation demeure. Et si nous devons tout remettre en cause, comment s’assurer d’une vie amoureuse qui fonde un uni ? Tu es tentée de dire que qui n’est pas confronté à de telles situations douloureuses ne comprendrais jamais.
Mais de toi j’ai appris qu’on ne doit poser ses valises quelque agréable soit la relation. De toi j’ai également compris que rien n’est acquis et qu’il faut oser prendre le risque d’aimer avec le risque de se voir couper peut être les ailes en plein vol.
Sophy par tes paroles de sagesse tu renforce et fortifie mon âme. Plus tu me rends très courageux et plein d’énergie, plus tu me rends esclave d’un amour qui se passe comme mal venue dans un environnement hypothéqué de préjugés. Au nom de l’Etre Suprême dont j’ai la grande crainte, je t’avoue que tu es la créature la plus chère qui soit venue dans mon existence.
Comme toi j’ai beaucoup d’amour à donner et à partager et je comprends que tu veuilles t’en garder un peu quelques temps jalousement, égoïstement …
Tu sais, si je peux faire quelque chose pour qu’ensemble nous préparions cet envol ; ce nouveau départ ? Est-ce possible que nous réapprenions à voler ensemble ? Que nous nous soignions mutuellement nos blessures ? Sincèrement je veux pouvoir motiver cette assurance que tu recherches, cette sécurité et toutes ces raisons utiles qui t’amèneraient à m’adopter dans ta vie.
Je te cite avec une légère modification :
« Je voudrais tant distinguer et reconnaître
Celle par qui je serai lié
Pour l’éternité
Chaque fois j’y crois
Je prépare mon envol
Me déploie
Craillant une probable chute
Et dans mon cœur : je garde espoir »

Je voudrais tant me fait comprendre par toi ma chère Sophy.

STEPHANE
Mer 28 Nov 2007, 12:55 par STEPHANE sur Histoires d'amour

Comment dois-je réussir en amour?

Je suis jeune et j’ai connu quelques folies de la jeunesse.J’ai connu des amies qui ne m’inspirent pas confiance parce que faisant des doubles jeux et sont expertes en mensonge. Aujourd’hui je suis décidé à fonder mon petit . Mais malheureusement, avec toute l’honnêteté, toute sincérité et confiance qui me motivent à courtiser une fille physiquement sympatique et qui capte mon amour et me refuse tout sommeil, je ne réussis pas, elles sont plutôt intéressées par l’argent et rien d’autre. Moi je souffre à chaque fois que rencontre ces genres de filles intéressées. Je passe comme un aventurier et je ne sais pas où me conduit cela. J’ai peur et je sollicite votre aide. L’erreur vient de moi? comment me comporter? ceci est plus qu’un SOS. triste2
Dim 25 Nov 2007, 21:49 par STEPHANE sur Histoires d'amour

Pourquoi tu pars ?

Texte écrit sur le vif à mes enfants. Trop petits pour l’instant, je leur lirai lus tard...

Mes petits bouts, pleins de vie, tous fous, tous choux, on était bien là, tous ensemble. Maman et moi à vous regarder grandir, vous, à ne vous soucier de rien, à profiter de tout. Combien de fous rires j’ai pu avoir devant vos grimaces? Combien de parties de cache-cache on a pu faire ? Vous, les mains sur les yeux, vous croyant cachés de tous.

Comme tout enfant de votre âge, vous voulez être déjà grand, c’est des "Je suis grand maintenant", des "je sais le faire maintenant" à longueur de journée. Je m’émerveille devant votre soif de grandir, mais je vous dis que vous avez bien le temps de mûrir de profiter du moment présent. Parce que la vie n’est pas aussi facile que vous le croyez : c’est normal, à votre âge, ce n’est pas votre problème mais plutôt ceux des adultes. Vous voyez, c’est pas toujours marrant d’être un adulte !

Vous vous imaginez sans doute qu’être amoureux, c’est être comme papa et maman. Normalement, ça doit être comme cela. Normalement... On ne vous dit rien, mais ce n’est pas ma conception de l’amour. Je veux vous offrir une autre image de ce sentiment si merveilleux et pour cela, maman et moi avons pris des chemins qui nous ont séparés. Nous voulons nous aussi être heureux. Et... ca arrive parfois, notre bonheur est ailleurs. C’est pour cela que je pars, je m’en vais le chercher. Et maman aussi le trouvera aussi. Vous l’aurez compris, je ne pars pas à cause de vous, vous n’avez rien fait de mal, même pas une toute petite bêtise de rien du tout. J’ai seulement envie que vous grandissiez dans un plein d’amour, d’un vrai amour pas d’un pour faire semblant, dans une famille sans tempête ni orage. Je sais que vous avez peur de l’orage, permettez-moi de trouver le bonheur, je soufflerai alors sur ces gros nuages noirs.

Ne soyez pas tristes, je reste votre "papou chéri d’amour" pour toujours, quoiqu’il arrive. Tout comme toi xxx, n’oublie pas que xxx restera toujours ton frère, même s’il te donne tout le temps des coups de pieds. Et toi Ethan, ton grand frère sera toujours là pour toi, quand tu le cherches d’un regard perdu et inquiet, tout seul, dans la cour d’école. Soyez bien assurés que je ne vous abandonne pas, je ne vous abandonnerai jamais mes chéris. Je pars juste un peu plus loin, mais pas trop loin quand même. En tout cas, je reste tout près de votre coeur et je viendrai toutes les nuits dans vos rêves pour chasser les loups qui font peur.


Et maintenant, combien de fois j’ai le coeur serré en pensant à vous ? Combien de fois je retiens mes larmes en vous regardant jouer ? A chaque moment, je veux vous épargner ma peine. Tout le temps, je veux vous dire que je vous aime.

Papa
Lun 29 Oct 2007, 07:05 par AuBonheurDeMaDouce sur Parler d'amour

Doux mélange

Femme enfant
Malicieuse et craintive
Regardant d’un oeil troublé
Jettant des regards cachés
Lançant des sourires troublés
Des rires peut être même forcés
Attentive et interessée
Elle veut se faire remarquer
Sans trop vouloir le montrer

Femme séductrice
Nous carressant d’un toucher soit disant anodin mais attentionné
Animant la conversation de quelques connotations osées
Jouant de ses courbes sensuelles pour nous provoquer
Dansante pour achever de nous enivrer
Souhaitant nous voir l’enlever
Pour des nuits endiablées

Femme de plusieurs futurs
Qui rêve d’être aimée pour l’éternité
Et qui ne demande qu’à rêver
A des voyages au bout de l’été
Des aventures toutes les plus risquées
Mais aussi de la douceur d’un
Où gambaderaient une poignée de bébés

Et c’est tout ça qui aussi nous fait craquer!

Loyd
Mer 13 Juin 2007, 01:11 par Loyd sur La séduction

J'étais un bel arbre...

J’étais un très bel arbre, tout de vert revêtu
Avec de belles branches, vous m’avez abattu
Depuis dans ton , je suis indispensable
Je vis dans ta maison grâce à moi confortable

Quelques bûches dans l’âtre te donnent la chaleur
Je me consume pour toi, tu reprends des couleurs
Je suis dans tous tes meubles : lit, armoires, tables, chaises
Rouleaux, cuillers de bois mettent ta femme à l’aise

Le manche de ta faucille, celui de ton marteau
Le patin du traîneau la porte de l’enclos
Quand tu joues du violon tu tires des harmonies
Grâce à moi et du bois encore pour ta flûte…

J’ai été ton berceau, je serai ton cercueil
A la vie à la mort, tu m’as vu dés le seuil
Pourtant tu as ‘pissé’ sur moi toute ta vie
Et torturé mon tronc avec des mots impies… furax
Jan : rolleyes
Jeu 08 Fév 2007, 16:02 par jan goure sur Mille choses

Mais "Pénélope", tu t'égares!

La femme moderne, elle est intenable,
la femme d’aujourd’hui, elle ne se tient plus!
Elle a pourtant suivi les préceptes maternels,
voire grands-maternels : la preuve,
elle a "pris mari", elle a donné la vie.

Et un jour, un autre amour, différent
et puis une vie autrement,
pour elle, comme elle l’entend,
comme elle la veut, avec ses propres choix,
avec la liberté qu’elle n’a jamais appris à "se donner",
avec tout ce qui fait qu’un jour elle agit,
elle se permet d’être actrice de sa vie.

Et voilà qu’aujourd’hui, "Pénélope"
n’est plus celle qu’elle était :
elle ne sait plus broder.
Elle n’est plus languissante, soupirante
s’étiolant en compagnie de son ouvrage en points de croix.
Elle n’attend plus que surgisse...entre deux réunions,
ou à la faveur d’un moment "volé" à la douce quiétude du ...
le regard explosant de désir et la montre à la main,
cet autre amour: l’amour "repos du guerrier".

Alors voilà pourquoi, aujourd’hui,
il y a comme un vent de folie
qui souffle en tempête sur sa vie ;
un autre amour qui lui dit,
un autre amour qui la prend,
la bouleverse, lui met le cœur côté soleil,
un autre amour à vivre, terriblement.

Et depuis:
"Pénélope" est intenable, "Pénélope" ne se tient plus!
Ven 07 Avril 2006, 21:52 par Lou sur Histoires d'amour

2 ème épisode de : l'Amour tarifé...

« Maguy, par opportunité… »

Convoqué un premier avril, drôle de farce, j’ai été appelé pour service militaire obligatoire d’un an à la base aérienne d’Oran – La Sénia. L’aviation m’a récupéré parce que j’avais commencé la préparation militaire parachutiste, mais au moment des sauts, Maman très malade, n’avait pas voulu signer. Pour ne pas la faire souffrir encore plus, je n’avais pas insisté…
J’avais été nommé en début d’année, contrôleur des transmissions avec effet rétroactif. J’ai encaissé une belle somme juste avant mon départ, et j’ai emporté cinq mille fr ( à peu prés l’équivalent de nos euros actuels ) avec moi : Une fortune pour un ‘bidasse’…
Nous étions astreints à l’horaire d’été : lever à cinq heures trente. Exercices jusqu’à treize heures. Déjeuner puis sieste obligatoire, et… plus rien, sinon, soupe, appel du soir et extinction des feux ! Et interdiction de sortir pour les ‘bleus’, cela va sans dire…
Relations humaines difficiles entre ces trente ‘clampins’ , réunis en deux rangées de 15 lits dans une chambrée. Elles étaient nulles durant les évolutions en extérieurs aux ordres d’un Sergent et d’un caporal instructeurs, tous deux mécaniciens air, engagés.
Mais ces après midi d’ennui m’ont vite rapproché de ceux qui sont devenus très vite de vrais amis. D’abord Antoine L… Un Oranais, grand, costaud, cheveux noirs frisés et moustache à la Clark Gable… Dans le civil il avait été forgeron dans son village avant de quitter sa famille à dix huit ans et de venir à Oran où il avait essayé 12 métiers et vécu 13misères ! Cela l’avait mûri. C’était un calme qu’il ne fallait pas chatouiller et qui comme moi se demandait ce qu’on faisait avec ces ‘gamins’…
Puis Gilbert S… Un Algérois, grand mais très mince quoique bien bâti. Noir de poils et de peau, visage quelconque mais des yeux vifs et un sourire franc et éclatant. Fils d’un entrepreneur de ferronnerie, on sentait que lui, n’avait jamais manqué de rien. Après trois ans d’école technique il avait rejoint l’entreprise familiale. Antoine fut de suite Tonio, Gilbert Gil ou Gigi… Et moi ‘Djouane’ !
Au lieu de faire cette sieste ‘obligatoire’, dés que nous avons touché les tenues de sortie, nous avons utilisé le mur pour passer sur la base, côté pistes et hangars. De là, petite marche jusqu’au village de la Sénia. Au ‘bistrot’ un café noir ‘à l’eau douce’ ( Le préciser, car les oranais le buvaient fait avec l’eau saumâtre qui coulait des fontaines ) Un bus civil un peu plus tard, direction Oran où l’on s’est balladé d’abord en ville que Tonio connaissait comme sa poche ; mais on s’y est vite ennuyés. Ensuite, ce fut les plages et la baignade, car en cette fin avril, l’eau était à 20 ° au moins !
Trois jeunes aviateurs bien bâtis, à « Moulin bleu » une de ces plages magnifiques qui jouxtent la ville. Nous y avons été remarqués, puis ‘dragués’ gentiment par un groupe de petites Nénettes qui séchaient les cours pour la plage, elles aussi. Jeux de ballons, jeux de mains, jeux de vilains ? Pas pour moi, cette fois ! Copain seulement avec une petite Denise qui m’a fait de vraies avances…. C’était des chics filles : on ne leur aurait pas manqué de respect pour tout l’or du monde, et encore moins essayé de leur ravir ce ‘petit capital’ qui comptait tellement pour elles à l’époque !
Mais ces ‘fleurts’ plus ou moins poussés, ça ne faisait pas l’affaire « des ‘amygdales’ du ‘bas’ ventre » comme disait Tonio ! Et il nous a parlé de « la villa des roses » une maison de rendez-vous à Ekmul sur les hauteurs d’Oran :
-C’est pas des vraies ‘putes’. Des ‘bonnes’ femmes divorcées ou même mariées qui viennent arrondir leur fin de mois…
Et il a précisé :
-Moi, y a ma copine Lulu. Je la connaissais d’ailleurs quand elle était mariée…
Elle avait divorcé depuis…et qu’il la voyait souvent à cette villa des roses, avant d’être mobilisé, en ajoutant :
-Sans payer, moi ! Elle s’arrange avec la patronne qui est une dame très chic et bien sympa. J’y ai mes entrées…
- Eh ! il est un peu ‘mac’ (souteneur ! ) le Tonio, ais-je pensé, sans imaginer la suite !
Pour pouvoir nous y rendre en soirée, on s’est ‘arrangé’ avec trois autres de la troisième chambrée. Un soir sur deux, dés que l’appel était passé dans notre chambre, pendant que le sous off de service passait à la chambre suivante, nous par la fenêtre du fond, on rejoignait la troisième chambrée et occupions leur lit. Le soir suivant c’était l’inverse. Et ça marchait !!
Ainsi nous avons pu aller à cette villa des roses, la fameuse maison de rendez-vous.
Encore une fois, j’étais curieux et assez dubitatif malgré tout ce qu’en disait Tonio… Il nous en avait tellement parlé que le processus ne m’a pas étonné. Petit salon-bar désert à cette heure où les maris sont encore chez eux ? L’hôtesse, une dame de cinquante ans au moins, était encore très appétissante, ais-je jugé avec mes vingt ans ! Rien de vulgaire dans ses attitudes ou sa voix…
La petite Lulu, de Tonio, une jolie brunette d’une trentaine d’années est arrivée dare-dare. Après les présentations elle s’est assise à notre table et a pris comme nous… une menthe à l’eau. Puis les deux se sont éclipsés en riant. Gil et moi, nous savions qu’à droite, sur le mur, la grande glace était sans tain et que les ‘dames’ pouvaient nous voir, évitant ainsi de rencontrer des personnes connues.
Sur le mur de gauche, à l’inverse, une grande glace, sans tain aussi. Mais à l’inverse, car dés qu’éclairé le salon d’à côté nous est apparu avec son grand canapé qui nous faisait face. Trois dames en déshabillé rose, tout comme Lulu, sont venues s’y installer. Je n’ai eu d’yeux que pour la blonde… Une belle femme, la trentaine ( 28, su après ) bien bâtie, pas mal dodue, et de ce fait, un visage lisse aux traits réguliers, des yeux bleus foncés, une belle chevelure dorée… Avant que Gil me brûle la politesse, je me suis levé, doigt pointé vers elle !
La ‘taulière’, pas madame Claude, mais madame Emma, a souri en me disant :
-C’est Maguy, vous allez pouvoir la rejoindre directement à sa chambre …
Je savais par Tonio qu’il fallait poser sur le comptoir cinq billets de cent francs. Je me rappelle que je trouvais cette somme exorbitante et je m’étais dit :
-Une fois passe, mais je ne vais pas gaspiller tout mon ‘fric’ comme çà !
Gil a désigné une autre des dames que je n’avais même pas remarquée. Billets posés, l’hôtesse nous a guidé vers le couloir ou la domestique ( jupe noire, chemisier blanc, très stylée ) nous a emmenés au premier. Et Maguy vue de prés, encore plus belle avec son sourire éblouissant m’a accueilli par :
-Ah ! voilà mon bel aviateur… je suis heureuse de t’avoir plu, tu sais ?
Tonio m’avait dit, qu’à peine entré, ‘elles’ nous demandaient leur « petit cadeau »…
-Tu lui donnes au moins deux cent francs si tu veux le grand jeu et qu’elle prenne son temps sans te presser…
A mon étonnement, elle ne m’a dit que :
-Mets toi à l’aise. Déshabilles toi dans la salle de bains, fais ta petite ‘toilette’ et viens me rejoindre, on fera connaissance au lit…
Rien à voir avec le rituel dont on m’avait rabattu les oreilles pour ce qui concernait les « bordels »…
Pudeur instinctive, j’ai remis mon slip. Elle avait entrouvert son déshabillé… j’ai vu ses gros lutteurs à bout très clair, le ventre un peu bombé, la jolie peau, et j’ai senti l’odeur discrète de son parfum : Mon érection a été immédiate !!
Aussi, nous avons vite fait une connaissance assez poussée, et pas avec beaucoup de paroles… Caresses, mains actives, la bouche aussi, j’ai pensé qu’avec une amante ça se serait passé pareillement ! Assez rapidement, elle m’a dit :
-Je sens que tu en as très envie… Après tu seras plus calme et on prendra notre temps …
De fait je l’ai pénétrée et besognée avec un plaisir qui a vite été aussi grandissant qu’égoïste… Ne m’occupant que de moi, il ne s’était pas écoulé un quart d’heure depuis mon entrée dans la chambre quand j’ai éructé en éjaculant !
Ce qui l’a fait s’esclaffer et dire :
-Il s’est régalé ( !) le petit chéri…il en avait besoin ce jeune homme… On va prendre la douche ( Il n’y avait pas de clim à l’époque et j’avais transpiré ! ) après on pourra parler un peu avant de recommencer la danse, si tu veux ? Je m’occuperais de toi, cette fois ci…
La douche à deux ! C’était une belle femme, une vraie blonde car son pubis doré avait déjà attiré mon œil, un peu avant. Nous nous sommes savonné mutuellement : Un jeu que je connaissais bien et j’ai vraiment oublié que nous étions en amour tarifié…
A nouveau très excité, elle m’a dit en riant :
-Viens ! Le ‘jeu’ est meilleur dans le lit…cela m’a rappelé la réplique de la « Grosse Margot » du Sire François Villon…
Et nous y sommes retournés, au lit… Elle a pris les initiatives, m’a caressé et embrassé en véritable experte ! J’ai toutefois, à mon habitude, arrêté ce qui devenait une fellation, et elle m’a dit, je me souviens :
-Tu aimes mieux ‘tringler’, toi ? mais attends, moi aussi, à l’envers, tu vas voir…
J’ai compris ! Et de fait c’était une excellente cavalière ; mais à sa surprise, là j’ai résisté à la montée de la jouissance et c’est elle qui s’est « prise au jeu » comme elle m’a dit ensuite. Il y a eu une autre suite, pour moi à nouveau, quand je l’ai ‘retournée’ comme une crêpe…avec des petits cris et des petits rires !
Cette fois nous sommes restés enlacés ( emboîtés on peut dire ! ) et nous avons enfin parlé…

J’ai entendu les histoires racontées par les autres, Lulu, Lydie… mais je m’en tiens à celle de Maguy qui dés ce premier soir m’en a raconté un bout, en ajoutant à chaque fois, jusqu’à ce que finalement je connaisse toute sa vie passée !

En réalité elle s’appelait Paule D…, originaire du sud ouest. Un village des Landes dont je ne retrouve plus le nom. Père artisan boulanger, mère au comptoir. Le brevet élémentaire passé, elle avait ajouté une année d’école Pigier : sténo et comptabilité. Des cours à Mimizan
Où elle allait en car. Mais servant dans la boulangerie familiale dés qu’ayant un instant de liberté, elle s’était résignée à cet emploi…
……………………………………………………………………………………………….

J’abrège, car on n’en sortirait plus, tellement il me revient tout ce qu’elle m’a raconté sur sa vie…
Son mari officier pilote, avait été affecté à l’escadrille de chasse de la Sénia prés d’Oran. Voilà comment elle s’était retrouvée dans cette ville. Je la cite :
-Armand depuis qu’il était lieutenant n’était plus le même. Notre ménage a ‘battu de l’aile’
[ C’est le cas de le dire pour un pilote ? ]
Quand il a été muté en Allemagne. Je n’ai pas voulu suivre et nous avons convenu de divorcer. J’avais déjà un ‘ami’, mais quand il s’est rendu compte que je redevenais libre, il s’est défilé… C’est par une ‘Copine’ la femme d’un capitaine qui venait arrondir ses fins de mois pour se payer des extra, elle, que j’ai connu l’existence de la villa des roses. Je n’avais pas envie de retourner dans ma famille, et pas de métier. Ce que nous avons fait comme ambulancières militaires ne m’ouvre qu’aide infirmière et pas une grosse paye. Comme ça, j’ai la pension payée par mon ex, capitaine maintenant qui a déjà refait sa vie. Et sur ce que je gagne ici, rien à déclarer …
*

J’en reviens à cette première soirée à Ekmull. Un peu avant 22 h, la chère Maguy m’a dit :
-Tu m’as fait passer un bon moment. Ce qui m’attend me paraîtra encore moins drôle que d’habitude… Tu reviendras bientôt ?
Mon « oui » n’était pas très convaincu. Je me disais : dommage mais trop cher…
Elle m’a accompagné au rez de chaussée, et m’a quittée de l’autre côté du couloir devant une petite pièce qui donnait sur l’arrière de la villa. J’y ai retrouvé mes deux compères… en pleine mastication ! Il y avait un comptoir, et derrière officiait l’employée qui nous avait piloté vers les chambres
[ Une petite ‘grosse’ au visage ingrat : un air de deux airs qui ne lui permettait pas de faire partie de ces ‘Dames’ ! ]
Mes copains étaient hilares et devant un verre de mascara ( rouge, genre Bordeaux titrant 14° au moins ) ils dégustaient ce qu’on appelle en Espagne des tapas, et là bas, des Kémias
( mot dérivé de l’arabe dialectal : petite quantité )

Nous n’avions pas soupé, c’est vrai. J’ai préféré une orangeade mais quel régal ces petits pâtés, toasts à la ‘soubressade’ ( chorizo ) sardines grillées, petits calmars en sauce piquante… etc…
A la fin, j’ai cru bon de demander combien l’on devait :
-Non, non, c’est madame Emma qui m’a dit de vous servir tout çà…

Nous avons quitté les lieux. Il était plus de vingt deux heures trente. Nous savions que le dernier car pour la Sénia était parti depuis longtemps… Tonio nous a dit :
-D’en ville c’est 11 km à pied… mais en partant d’ici on coupe par ‘le village nègre’ et on contournera la ‘chebka’ ( grand lac salé bordé de berges plates, rocailleuses, sans végétation ) : 6 km au plus !

La pleine lune éclairait l’étendue pierreuse à reflets blanchis par le sel. Au loin, de l’autre côté on voyait la mer : impossible de se tromper ! Durant cette traversée, mes souvenirs de lecture des « carnets de René Mouchotte » me sont revenus… Il s’était envolé de la Sénia en 1940 dans un Goéland, avion bimoteur dans des conditions rocambolesques. Sans faire chauffer les moteurs et avec une hélice bloquée au petit pas, cette ‘chebka’ sur laquelle l’avion avait rebondi plusieurs fois, avait failli être son linceul trois ans avant la Manche où ce héros qui commandait une escadrille de chasse française dans la RAF s’y engloutisse…

Nous avons fini par atteindre le remblai de la voie de chemin de fer. De l’autre côté, c’était la route de la Sénia et encore un dernier kilomètre, s’introduire en douce sur la base et rentrer par mur habituel ! Il était 1 h du matin, le réveil se faisait à cinq heures trente, et la sortie de la chambrée pour le ‘dérouillage’ immédiate… Quelle forme ce matin là !

L’après midi la sieste fut réparatrice…surtout que le lendemain matin était prévu le challenge du nombre pour le C. I. (centre d’instruction ) des courses, des sauts et des lancers de poids !
Après la sieste, petite marche sous les arbres car l’ambiance enfumée et bruyante du de la troupe ne nous convenait pas. Nous avons pu enfin nous faire part de nos satisfactions réciproques des deux bonnes heures passées la veille…. Sans trop de détails, par pudeur et respect aussi pour celles que nous jugions déjà de « Chics filles… »
-Rien à voir avec les ‘putes’ de bordel, avait conclu Gil.
Mais lui et moi, trouvant que c’était trop cher nous n’avions pas l’intention d’y retourner.

Tonio, lui, avait le numéro de téléphone de sa Lulu. Il est allé l’appeler chez elle depuis la cabine du . Et elle lui a dit :
-Dis moi quand vous revenez ? mais directement, et nous ( les filles ) on viendra plus tôt à la ‘barraque’ (sic) …
Il ne la rejoignait jamais chez elle où il y avait une dame qui lui gardait son fils
Et quand il l’a rappelée, c’est là que ça s’est corsé. Il lui a fait part de notre réticence pour cause de solde d’appelés à y retourner… mais elle :
-Dis leur que les ‘copines’ ( Lydie et Maguy ) m’ont dit qu’elles veulent qu’ils reviennent sans s’occuper de la ‘mère’ Emma qui est au courant et le leur retiendra sur leur solde, t’en fais pas !

Grosses discussions, je me rappelle. Gil et moi nous étions décontenancés : pourquoi cette offre ? Elles n’en avaient pas assez de faire ‘l’amour’ avec leurs ‘clients’ ?
-çà les amuse de ‘jouer’ un peu avec des jeunes ‘bidasses’ ! C’était l’opinion de Tonio qui avait ajouté :
-D’après Lulu, les deux lui ont dit qu’elles avaient passé un bon moment avec « ces jeunes, sains et pas vicieux ( ? ) » et qu’elles voulaient les revoir…Et puis, on leur a parlé de la plage, alors elles veulent nous proposer de les accompagner de temps en temps l’après midi à ‘Paradis Plage’ dans un établissement avec sa plage privée, et avec nous, elles seront sûres de ne pas être emmerdées si des vieux ‘cons’ les reconnaissent…

Nous étions en début du mois de mai. Il faisait déjà très chaud mais les plages étaient formidables et la mer rafraîchissante… C’est ce qui nous a décidés !
Tonio a rappelé Lulu chez elle. Le week end, ça ne leur était pas possible, mais ils ont convenu du lundi où on se retrouverait directement à la plage…
Gil et moi, cela nous enlevait l’impression pénible d’être les profiteurs, pire, les ‘souteneurs’ de ces dames, puisqu’on sortirait avec elles comme gardes du corps, et que somme toute on leur rendrait service !

Nous avons fait des ‘infidélités’ à nos petites copines de Moulin bleu qui ont du se demander où nous étions passés. Nous retrouvions vers quinze heures nos ‘amies’ au « Paradis-plage » le bien nommé établissement d’Aïn el Turc. Elles étaient déjà à nous attendre sous leurs deux parasols. Lulu et Maguy, toujours là. Lydie pas chaque fois because occupations familiales…
Maguy nageait très bien mais elle était ‘flemmarde’ et quelques fois je la laissais rentrer au bord et se vautrer sur sa serviette pendant que j’allais nager au large… Au retour elle ‘piaillait’ que « je la laissai tomber … » mais avec des rires et une gentillesse totale qui me touchait !

Et vers dix sept heures nous repartions directement à la villa des roses, en 11chv citroën ; c’était la voiture de madame Emma que Maguy, ancienne ambulancière pilotait avec maestria. D’ailleurs deux ou trois fois, je ne sais plus, la dite dame Emma a été du voyage, se contentant d’un moment de détente, restant habillée sous son parasol. A l’arrivée par la ruelle arrière, garage, puis la montée vers les chambres…

Sur injonctions de la patronne, nous redescendions un peu avant vingt heures dans la petite pièce du bas. Nous soupions copieusement. Des trois, seule Lydie fumait et comme Gil, sportif était réticent à l’odeur du tabac, je ne l’ai jamais vue allumer une cigarette en notre présence ! Elles ne buvaient pas d’alcool non plus, disant « on sera obligées de le faire plus tard ! » Et avant vingt et une heures, nous repartions, souvent avec des tranches de rôti froid pour nos lendemains à la caserne…

Nous savions qu’il y avait un dernier car militaire qui partait de la place centrale d’Oran pour ramener les permissionnaires. Et les ‘anciens’ nous y ont toujours accueillis parmi eux sans faire de commentaires… Ainsi à vint trois heures au plus, nous étions au lit, ce qui nous donnait six heures de sommeil, c’était déjà mieux !

Maguy quand je l’évoque, c’était pour moi une amoureuse lascive, un peu flemmarde ce qui l’avait conduit là, mais d’une gentillesse à toute épreuve. Sa conversation était intéressante, car elle était cultivée. Cela me faisait oublier que sortie de mes bras, elle en accepterait d’autres… Dans nos baisers échangés, je n’avais plus l’ombre du souvenir de ce que faisait cette bouche, hors moi ! C’était des plaisirs partagés, diversifiés, entrecoupés de longues discussions chuchotées avec parfois des rires et parfois des pleurs à l’évocation de notre vécu précédent… Elle n’avait pas toujours été à la fête, elle non plus !

Fin mai, Tonio, Oranais, a été muté aux ateliers mécaniques de la base. Gil et moi, direction la 5ème région aérienne à Alger pour y recevoir une affectation. Pour revenir, croyons nous, à la Sénia pour le peloton d’élèves gradés. Gil s’y était inscrit aussi. Aussi nos adieux ne furent pas déchirants (sic)… quelques larmes de Maguy et quelques mots : « A bientôt ! écris moi vite…»
Chez Madame Emma R… à la villa des Roses, évidemment !


Fin du deuxième épisode

Jan mouah
Mer 15 Mars 2006, 11:57 par jan goure sur Les liaisons sulfureuses

Valentin sans lendemain

Comment est ma vie à présent !
Elle pourrait se nommer : « Amour pour une autre fois ». J’avais un , et dedans, une femme que j’aimais, et qui, parfois, m’aimait aussi.
J’ai tenu, bercé, porté mes enfants comme si j’étais leur mère, j’ai joué avec eux comme si j’étais l’un d’eux, je les ai tant aimés ; et elle aussi.
Peu à peu, la tendresse a pris moins de place, les disputes ont envahi notre toit (enfin nous avions un toit), l’indifférence a grandi, on n’a plus su se parler, on a moins su s’aimer, je voulais une autre vie.
M’y voici ! Ma femme, magicienne, m’a trouvé un toit rien que pour moi, et celle qui a longtemps tant eu besoin de moi à ses côtés se promène à présent loin d’ici, loin de moi, loin de nous.
Pourtant, je ne les ai pas perdus, elle m’aime encore, et eux toujours, mais c’est une autre vie. Il n’y a plus de , je viens chez moi en visite, ou par nécessité, pour les enfants. Nous nous croisons, elle et moi, dans notre maison, je ne sais si elle s’en aperçoit toujours, étant très occupée. Je n’ai pas l’impression d’arriver vraiment. Et m’a-t-elle senti partir ?
Mais quel regret avoir ? Seulement le courage nous a manqué, toutes ces années passées, pour voir en face la réalité de notre « union » : à présent c’est plus facile, mais qu’y-a-t-il encore à voir ? Nous nous raccommodions l’un près de l’autre, et si je n’avais pas tant insisté, jour après jour, de toute mon insatisfaction, jamais de ton côté tu n’aurais changé quoi que ce soit à cette relation, qui bon an mal an te convenait.
Des fois, j’aurais envie de tout arrêter, rentrer chez nous, vous préparer à manger, rester près des miens, au lieu de ce sentiment noir, triste et vide qui tient tête à mon âme.
C’était donc l’inévitable prix à payer pour rencontrer mon cœur aimant ; d’abord bien savoir qu’aucune ne m’aime comme j’espérais, puis bien sentir où montent et descendent mes plus beaux rêves, ainsi le tour est joué, et j’ai perdu.
Je vois parfois une femme qui me plait, j’en croise d’autres, à qui je plairais ; je reste seul.
Je ne veux pas aimer contre mon amour, et pourtant ! comme j’aurais besoin de toi, toi l’autre femme, celle de mon cœur aimant, celle que je croyais savoir, celle que ma vie a si souvent appelée. Qui es-tu ?
Est-ce la charmante dame aux jolies boucles noires qui tourne autour de moi, qui se demande si j’éprouve quelque chose pour elle ?
Si j’éprouve quelque chose pour toi !
Tu m’es comme un berceau d’amour.
Je te rêve d’amitié ; et ton corps, je le devine, sous les gestes furtifs que tu m’adresses, et il manque à mes mains, et je n’en retiens rien, du bout de mes doigts, que la plainte et l’espoir :
N’y a-t-il pas de lendemain ?
Mar 14 Fév 2006, 20:02 par Iris sur L'amour en vrac
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Ecrire sur foyer L'amour est-il plus fort que tout ?, L'amour est-il un crime ? chapitre 4, Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire ii, Cocaïne, Je voudrais tant que tu m'amène à cette île d'amour ma Sophy, Comment dois-je réussir en amour?, Pourquoi tu pars ?, Doux mélange, J'étais un bel arbre..., Mais "Pénélope", tu t'égares!, 2 ème épisode de : l'Amour tarifé..., Valentin sans lendemain,
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