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Pas de retour. chapitre 4 (premiere partie)
Chapitre 4
Aéroport de Changi, Singapour – Au grand étonnement de Patrick, les formalités de contrôle des passeports furent très rapides et plutôt agréables. « Ca nous change de l’Europe », se dit-il. Cependant que lui et ses quatre élèves marchaient vers les tapis roulants pour récupérer leurs bagages, le petit Victor s’exclama :
- « Regardez ! Mon sac est déjà là !
- Le mien aussi ! », applaudit Ali.
« Efficace, avec ça ! », pensa Patrick, tout en regardant Victor courir partout, tel un furet. Tendrement, il se remémora sa première rencontre avec ce garçon âgé maintenant de 12 ans. Il y avait cinq ans. Déjà.
Ce jour là, Victor et ses parents pénétrèrent timidement dans l’établissement, juste avant que l’entraînement général ne débute. Patrick, déjà vêtu de son dobok, les accueillit. Il remarqua tout de suite le manque d’assurance des deux adultes qui se reflétait également chez le petit blondinet, agrippé à la main de sa mère, l’air déterminé à ne pas vouloir la lâcher, même en échange de tous les bonbons du monde ! Patrick s’évertua à les mettre à l’aise et chercha à comprendre quelles étaient les motivations des parents. Ceux-ci expliquèrent, hésitants, que leur petit garçon était d’une timidité maladive, qu’il n’osait jamais s’exprimer librement, que ce soit à la maison ou à l’école. De fait, il avait peu ou pas d’amis et il passait le plus clair de son temps, seul, lisant des tonnes de livres de son âge. Un ami leur avait conseillé de l’inscrire à un club d’arts martiaux, quel qu’il soit, afin de lui permettre de développer une certaine confiance en soi qui lui faisait manifestement défaut. Patrick avait déjà eu affaire à ce genre de cas. Il avait su, à force de patience et de psychologie, faire ressortir les points forts de ces enfants et leur démontrer qu’ils ne devaient pas craindre de les mettre en valeur. Ainsi, au cours des années, Victor s’était complètement transformé. Il était devenu un préadolescent sûr de lui et de ses possibilités, n’hésitant plus à exprimer ses émotions. Malgré son jeune âge, il adorait assister les entraîneurs des tout petits et prenait plaisir à l’instruction. Patrick lui avait donné cette responsabilité, sachant pertinemment que cela permettrait à Victor de continuer à s’épanouir. « C’est en enseignant qu’on apprend le mieux. » répétait-il à ses ceintures noires pour les convaincre d’aider les entraîneurs. Et, en effet, Victor avait beaucoup appris. Sur lui-même. La participation au tournoi de jeunes pratiquants comme Victot faisait aussi partie de la stratégie de Patrick. Il s’avéra que l’enfant était naturellement doté des qualités physiques requises par le taekwondo. Le travail technique qu’il avait accumulé au cours de ces années d’entraînement lui permettait de figurer parmi les meilleurs combattants de sa catégorie d’âge. Ses résultats en tournois, accompagnés des félicitations de son mentor ainsi que de l’admiration de ses camarades, n’avaient pas manqué de le convaincre qu’il pouvait réussir dans ce qu’il entreprenait. Mais, le plus étonnant pour Patrick était de constater l’évolution simultanée des parents de Victor. Ceux-ci étaient devenus plus affirmatifs, beaucoup moins timides dans leurs échanges avec lui, moins craintifs en apparence. « Et ils ne pratiquent aucun art martial, eux… Trois transformations pour le prix d’une ! Non seulement Victor a changé mais il a aussi, et sans le savoir, influencé ses propres parents… », s’amusa-t-il intérieurement.
Quant à Ali, le problème avait été tout autre. Ses parents, issus de la troisième génération d’immigrés, avaient réussi à percer ce mur invisible dressé par la société à cause de leurs origines. Ils étaient jeunes, formaient un beau couple et respiraient le bonheur. Lui était cadre dans une compagnie d’assurances et elle dispensait des cours d’informatique pour le compte d’un organisme de formation professionnelle. A la naissance d’Ali, un an après leur mariage, ils furent fous de joie et tous les membres de leurs grandes familles, de Paris à Oran, devinrent hystériques. « Un cadeau d’Allah ! » avait proclamé un oncle d’Oran, toujours volubile. Le grand père d’Ali n’avait pas hésité, déclenchant le courroux de son épouse, à déclarer à son rejeton : « Tu as toujours été ma plus grande fierté, mon enfant. Maintenant, avec la naissance de ton propre fils, je sais que jamais je ne pourrai être plus heureux. Alors, si Dieu veut que je meure maintenant, je suis d’accord ! »
Au fil des mois, puis des années, les géniteurs comblés s’aperçurent que quelque chose clochait chez Ali. Dans son comportement, très agité, souvent impulsif ; à l’école, où il avait énormément de mal à suivre. Ses parents s’en inquiétèrent très vite et consultèrent un généraliste. Celui-ci, après examen de l’enfant, pronostiqua un TDAH (Trouble de Déficit de l’Attention Hyperactivité) et demanda aux parents de voir un spécialiste afin de confirmer la découverte et, surtout d’en définir le degré. Ce qu’ils firent. Et ils apprirent que leur enfant était, en effet, atteint du TDAH, à un degré élevé. Mais le spécialiste se montra rassurant car le problème avait été détecté assez tôt et il proposa un programme spécifique pour Ali, à base d’homéopathie (il était contre les médicaments, qu’il considérait trop invasifs pour un enfant de 6 ans) et d’approche psychosociale. « Mais le plus important pour Ali reste l’amour que vous lui portez et votre soutien sans faille. », avait prévenu le professeur. Justement, de l’amour, pour leur enfant, ils en avaient à revendre ; de même que toute leur famille ! Aussi, loin d’être abattus, soulagés, même, de pouvoir mettre un nom sur le problème, les parents d’Ali étaient plus que déterminés à aider leur fils. Lorsque la maîtresse d’Ali fut mise au courant du trouble de son élève, elle recommanda à sa mère de l’inscrire au club de taekwondo de Patrick Brun, leur assurant que cela pourrait grandement contribuer à l’amélioration de leur fils. Prudents, les parents demandèrent conseil au spécialiste qui ratifia cette suggestion : « Pratiquer un sport, qui plus est un art martial, est une excellente démarche dans le cas du petit Ali. En effet, pour lui, apprendre en étant assis derrière un pupitre est un vrai calvaire. S’il peut apprendre tout en déversant son trop plein d’énergie, il aura moins de difficultés à garder son attention. Un art martial offre, en plus, un cadre très structuré, basé sur des règles et des codes précis que personne ne peut enfreindre, y compris un enfant atteint de TDAH. Aussi, Ali apprendra plus facilement les conséquences de ses débordements éventuels et, inconsciemment, ajustera son comportement en fonction. »
C’est ainsi que Patrick reçut Ali au sein de son club et participa – non sans mal – aux progrès lents mais incontestables de l’enfant. Aujourd’hui, Ali avait 18 ans. Patrick le regardait récupérer son sac et aider Mathilde à en faire autant. Grand, musclé, souple : un corps de félin. Calme, souriant, confiant, patient, toujours à l’écoute : un grand frère à qui on veut confier toutes ses peines ; vers qui on se tourne pour partager ses joies ; quelqu’un dont on veut gagner l’amitié, à jamais. « Où es-tu passé, petit Ali de 6 ans ? », s’interrogea Patrick. « Tu nous as fait souffrir, mes entraîneurs et moi. Tu nous as tournés en bourriques tant de fois. Tu étais insaisissable. Tes camarades d’entraînement te détestaient car tu étais différent. Tu étais incapable de reproduire une poomse correctement… Et, petit à petit, tu as laissé la place à quelqu’un qui est finalement devenu ce jeune homme : un instructeur occasionnel adoré par ses étudiants. Un champion de taekwondo. Et, pour couronner le tout, un brillant étudiant qui finit sa deuxième année de médecine. Alors, c’est avec plaisir que je te dis : « Adieu, petit Ali de 6 ans… Et je suis content que tu aies laissé ta place à cet Ali de 18 ans, promis à un brillant avenir. Le joyau de sa famille, si aimante… » .
Aéroport de Changi, Singapour – Au grand étonnement de Patrick, les formalités de contrôle des passeports furent très rapides et plutôt agréables. « Ca nous change de l’Europe », se dit-il. Cependant que lui et ses quatre élèves marchaient vers les tapis roulants pour récupérer leurs bagages, le petit Victor s’exclama :
- « Regardez ! Mon sac est déjà là !
- Le mien aussi ! », applaudit Ali.
« Efficace, avec ça ! », pensa Patrick, tout en regardant Victor courir partout, tel un furet. Tendrement, il se remémora sa première rencontre avec ce garçon âgé maintenant de 12 ans. Il y avait cinq ans. Déjà.
Ce jour là, Victor et ses parents pénétrèrent timidement dans l’établissement, juste avant que l’entraînement général ne débute. Patrick, déjà vêtu de son dobok, les accueillit. Il remarqua tout de suite le manque d’assurance des deux adultes qui se reflétait également chez le petit blondinet, agrippé à la main de sa mère, l’air déterminé à ne pas vouloir la lâcher, même en échange de tous les bonbons du monde ! Patrick s’évertua à les mettre à l’aise et chercha à comprendre quelles étaient les motivations des parents. Ceux-ci expliquèrent, hésitants, que leur petit garçon était d’une timidité maladive, qu’il n’osait jamais s’exprimer librement, que ce soit à la maison ou à l’école. De fait, il avait peu ou pas d’amis et il passait le plus clair de son temps, seul, lisant des tonnes de livres de son âge. Un ami leur avait conseillé de l’inscrire à un club d’arts martiaux, quel qu’il soit, afin de lui permettre de développer une certaine confiance en soi qui lui faisait manifestement défaut. Patrick avait déjà eu affaire à ce genre de cas. Il avait su, à force de patience et de psychologie, faire ressortir les points forts de ces enfants et leur démontrer qu’ils ne devaient pas craindre de les mettre en valeur. Ainsi, au cours des années, Victor s’était complètement transformé. Il était devenu un préadolescent sûr de lui et de ses possibilités, n’hésitant plus à exprimer ses émotions. Malgré son jeune âge, il adorait assister les entraîneurs des tout petits et prenait plaisir à l’instruction. Patrick lui avait donné cette responsabilité, sachant pertinemment que cela permettrait à Victor de continuer à s’épanouir. « C’est en enseignant qu’on apprend le mieux. » répétait-il à ses ceintures noires pour les convaincre d’aider les entraîneurs. Et, en effet, Victor avait beaucoup appris. Sur lui-même. La participation au tournoi de jeunes pratiquants comme Victot faisait aussi partie de la stratégie de Patrick. Il s’avéra que l’enfant était naturellement doté des qualités physiques requises par le taekwondo. Le travail technique qu’il avait accumulé au cours de ces années d’entraînement lui permettait de figurer parmi les meilleurs combattants de sa catégorie d’âge. Ses résultats en tournois, accompagnés des félicitations de son mentor ainsi que de l’admiration de ses camarades, n’avaient pas manqué de le convaincre qu’il pouvait réussir dans ce qu’il entreprenait. Mais, le plus étonnant pour Patrick était de constater l’évolution simultanée des parents de Victor. Ceux-ci étaient devenus plus affirmatifs, beaucoup moins timides dans leurs échanges avec lui, moins craintifs en apparence. « Et ils ne pratiquent aucun art martial, eux… Trois transformations pour le prix d’une ! Non seulement Victor a changé mais il a aussi, et sans le savoir, influencé ses propres parents… », s’amusa-t-il intérieurement.
Quant à Ali, le problème avait été tout autre. Ses parents, issus de la troisième génération d’immigrés, avaient réussi à percer ce mur invisible dressé par la société à cause de leurs origines. Ils étaient jeunes, formaient un beau couple et respiraient le bonheur. Lui était cadre dans une compagnie d’assurances et elle dispensait des cours d’informatique pour le compte d’un organisme de formation professionnelle. A la naissance d’Ali, un an après leur mariage, ils furent fous de joie et tous les membres de leurs grandes familles, de Paris à Oran, devinrent hystériques. « Un cadeau d’Allah ! » avait proclamé un oncle d’Oran, toujours volubile. Le grand père d’Ali n’avait pas hésité, déclenchant le courroux de son épouse, à déclarer à son rejeton : « Tu as toujours été ma plus grande fierté, mon enfant. Maintenant, avec la naissance de ton propre fils, je sais que jamais je ne pourrai être plus heureux. Alors, si Dieu veut que je meure maintenant, je suis d’accord ! »
Au fil des mois, puis des années, les géniteurs comblés s’aperçurent que quelque chose clochait chez Ali. Dans son comportement, très agité, souvent impulsif ; à l’école, où il avait énormément de mal à suivre. Ses parents s’en inquiétèrent très vite et consultèrent un généraliste. Celui-ci, après examen de l’enfant, pronostiqua un TDAH (Trouble de Déficit de l’Attention Hyperactivité) et demanda aux parents de voir un spécialiste afin de confirmer la découverte et, surtout d’en définir le degré. Ce qu’ils firent. Et ils apprirent que leur enfant était, en effet, atteint du TDAH, à un degré élevé. Mais le spécialiste se montra rassurant car le problème avait été détecté assez tôt et il proposa un programme spécifique pour Ali, à base d’homéopathie (il était contre les médicaments, qu’il considérait trop invasifs pour un enfant de 6 ans) et d’approche psychosociale. « Mais le plus important pour Ali reste l’amour que vous lui portez et votre soutien sans faille. », avait prévenu le professeur. Justement, de l’amour, pour leur enfant, ils en avaient à revendre ; de même que toute leur famille ! Aussi, loin d’être abattus, soulagés, même, de pouvoir mettre un nom sur le problème, les parents d’Ali étaient plus que déterminés à aider leur fils. Lorsque la maîtresse d’Ali fut mise au courant du trouble de son élève, elle recommanda à sa mère de l’inscrire au club de taekwondo de Patrick Brun, leur assurant que cela pourrait grandement contribuer à l’amélioration de leur fils. Prudents, les parents demandèrent conseil au spécialiste qui ratifia cette suggestion : « Pratiquer un sport, qui plus est un art martial, est une excellente démarche dans le cas du petit Ali. En effet, pour lui, apprendre en étant assis derrière un pupitre est un vrai calvaire. S’il peut apprendre tout en déversant son trop plein d’énergie, il aura moins de difficultés à garder son attention. Un art martial offre, en plus, un cadre très structuré, basé sur des règles et des codes précis que personne ne peut enfreindre, y compris un enfant atteint de TDAH. Aussi, Ali apprendra plus facilement les conséquences de ses débordements éventuels et, inconsciemment, ajustera son comportement en fonction. »
C’est ainsi que Patrick reçut Ali au sein de son club et participa – non sans mal – aux progrès lents mais incontestables de l’enfant. Aujourd’hui, Ali avait 18 ans. Patrick le regardait récupérer son sac et aider Mathilde à en faire autant. Grand, musclé, souple : un corps de félin. Calme, souriant, confiant, patient, toujours à l’écoute : un grand frère à qui on veut confier toutes ses peines ; vers qui on se tourne pour partager ses joies ; quelqu’un dont on veut gagner l’amitié, à jamais. « Où es-tu passé, petit Ali de 6 ans ? », s’interrogea Patrick. « Tu nous as fait souffrir, mes entraîneurs et moi. Tu nous as tournés en bourriques tant de fois. Tu étais insaisissable. Tes camarades d’entraînement te détestaient car tu étais différent. Tu étais incapable de reproduire une poomse correctement… Et, petit à petit, tu as laissé la place à quelqu’un qui est finalement devenu ce jeune homme : un instructeur occasionnel adoré par ses étudiants. Un champion de taekwondo. Et, pour couronner le tout, un brillant étudiant qui finit sa deuxième année de médecine. Alors, c’est avec plaisir que je te dis : « Adieu, petit Ali de 6 ans… Et je suis content que tu aies laissé ta place à cet Ali de 18 ans, promis à un brillant avenir. Le joyau de sa famille, si aimante… » .
Jeu 12 Nov 2009, 12:07 par
Arthis sur Mille choses
Pastiche d'un extrait de la comédie humaine de balzac ii
Esclave odine était peut-être la seule soumise capable d’accepter la domination totale de son maître. Tous les cercles l’enviant à Monsieur Marco-Sévérino Von Bambusbär. Esclave odine, ainsi nommée à cause de son dévouement total, appartenait à Maître Bambusbär, depuis vingt-quatre ans. Bien qu’elle soit née avec une bite, elle passait pour une des plus belles soumises de l’Europe. Cette transformation, créée depuis vingt-quatre ans lui avait permis de se faire opérer récemment par un spécialiste en vaginoplastie. Ce résultat de longues et douloureuses séances d’esclave odine parut invraisemblable. Chaque soumise voyait à cet homme devenu femme, était envieuse d’elle sans imaginer au dur sevrage par lequel elle avait été obtenue.
A l’âge de dix-huit ans, ce futur travesti n’avait trouvé aucun Maître, tant son attitude semblait sauvage ; et certes cette image était fausse : son visage efféminé eut été fort admiré sur le corps d’une femme.
Forcée de quitter le Panama où elle commençait à se travestir, elle vint à Lausanne, où elle chercha du service, animée de cette extrême soumission qui se refuse à rien. Maître Bambüsbar pensait alors à transformé un homme, et voulait déjà prendre son premier esclave. Il recruta cette jeune réfugiée. Refusée de Maîtresse en Maître. Juge de sa beauté naturelle en sa qualité de Maître, il flaira le parti qu’on pouvait tirer d’un jeune travesti taillé en Vénus, planté sur ses bottes en cuir comme une bourgeoise jetée à la rue, fine des hanches, plate du dos, ayant des mains soignées et une fidélité sans limite comme l’était sa soumission naturelle. Ni les marques de coups qui ornaient ce visage adolescent, ni le teint brunâtre, ni les mollets de footballeur, ni l’horrible robe d’esclave odine n’épouvantèrent le Maître qui se trouvait dans l’âge où l’expérimentation démange.
Il rasa alors, épila, maquilla la soumise , lui donna un collier et une perruque, et la dressa sans trop la déformer. En se voyant ainsi traitée, celle qu’il nommera esclave odine signa son contrat de soumission totale, et se donna âmes et corps au Maître, qui l’éduquera sévèrement. Esclave odine subissait tant : elle faisait la chienne, elle faisait des meubles, elle était utilisée comme toilettes, elle se faisait sodomisé au Parc du Denantou afin de gagner de l’argent de poche.
C’était le seul métier autorisé à esclave odine par son Maître.
Jeaneck, avril 2008
A l’âge de dix-huit ans, ce futur travesti n’avait trouvé aucun Maître, tant son attitude semblait sauvage ; et certes cette image était fausse : son visage efféminé eut été fort admiré sur le corps d’une femme.
Forcée de quitter le Panama où elle commençait à se travestir, elle vint à Lausanne, où elle chercha du service, animée de cette extrême soumission qui se refuse à rien. Maître Bambüsbar pensait alors à transformé un homme, et voulait déjà prendre son premier esclave. Il recruta cette jeune réfugiée. Refusée de Maîtresse en Maître. Juge de sa beauté naturelle en sa qualité de Maître, il flaira le parti qu’on pouvait tirer d’un jeune travesti taillé en Vénus, planté sur ses bottes en cuir comme une bourgeoise jetée à la rue, fine des hanches, plate du dos, ayant des mains soignées et une fidélité sans limite comme l’était sa soumission naturelle. Ni les marques de coups qui ornaient ce visage adolescent, ni le teint brunâtre, ni les mollets de footballeur, ni l’horrible robe d’esclave odine n’épouvantèrent le Maître qui se trouvait dans l’âge où l’expérimentation démange.
Il rasa alors, épila, maquilla la soumise , lui donna un collier et une perruque, et la dressa sans trop la déformer. En se voyant ainsi traitée, celle qu’il nommera esclave odine signa son contrat de soumission totale, et se donna âmes et corps au Maître, qui l’éduquera sévèrement. Esclave odine subissait tant : elle faisait la chienne, elle faisait des meubles, elle était utilisée comme toilettes, elle se faisait sodomisé au Parc du Denantou afin de gagner de l’argent de poche.
C’était le seul métier autorisé à esclave odine par son Maître.
Jeaneck, avril 2008
Ven 28 Août 2009, 19:06 par
Jeaneck sur L'amour en vrac
D'un temps à l'autre...
C’est une île,
un point en équilibre posé à fleur d’eau…
Des parcelles d’amour oubliées
dans le silence bercé par la mer qui érode la pierre.
Tout est si fuyant
tout est si instable sous mon pas…
J’écoute la rumeur paisible
qui accompagne l’obscurité,
elle se taira à l’aube,
se laissera gagner par les bruits du jour.
Je suis attentive à ce souffle familier suspendu à la nuit,
il s’accroche à moi,
m’absorbe doucement,
j’y retrouve le mien désenlacé du tien.
Mon regard glisse sur la courbe d’un pont
poursuit lentement son chemin
vers une silhouette à l’allure élégante
et l’épouse entièrement
C’est une histoire ouverte sur un autre temps…
un point en équilibre posé à fleur d’eau…
Des parcelles d’amour oubliées
dans le silence bercé par la mer qui érode la pierre.
Tout est si fuyant
tout est si instable sous mon pas…
J’écoute la rumeur paisible
qui accompagne l’obscurité,
elle se taira à l’aube,
se laissera gagner par les bruits du jour.
Je suis attentive à ce souffle familier suspendu à la nuit,
il s’accroche à moi,
m’absorbe doucement,
j’y retrouve le mien désenlacé du tien.
Mon regard glisse sur la courbe d’un pont
poursuit lentement son chemin
vers une silhouette à l’allure élégante
et l’épouse entièrement
C’est une histoire ouverte sur un autre temps…
Mar 21 Juil 2009, 22:52 par
Lou sur La première fois
Les pensées d'une plongeuse en pause
Assise sur l’unique chaise blanche de jardin dans l’arrière cour du restaurant, je reste inerte, à observer les oiseaux qui de leurs chants me bercent sous cette chaleur d’été.
J’allume une cigarette et la délecte en stoppant le léger bruit autour de moi qui habituellement me stress et me renvoie à la panique.
Cette solitude fortifiante et ce paisible calme qui sont entrés en moi comme l’air pénètre mes poumons, viennent s’achever subitement sous le bruit tonitruant de la vaisselle qui s’entasse dans un coin de la plonge. Je reste quand même là, tentant de gagner un peu plus de temps dans ce bien-être profond...
Amour, mon amour,
Te voilà loin de moi depuis tant de jours.
Cette tristesse qui s’écoule de mon coeur,
Envahie peu à peu tous mes membres.
Je me sens si mal, mon amour,
Ta présence me manque, plus rien n’a de sens,
Les gens m’agacent, la nourriture me fuit...
L’eau que je tente de boire n’est qu’alcool,
Et la force m’abandonne lentement...
Ah... Amour de ma vie, si seulement...
Un éclat retentit, je dois retourner à la réalité de la vie en société et accomplir mes tâches, bien que ce soit sans envies ni motivation...
J’allume une cigarette et la délecte en stoppant le léger bruit autour de moi qui habituellement me stress et me renvoie à la panique.
Cette solitude fortifiante et ce paisible calme qui sont entrés en moi comme l’air pénètre mes poumons, viennent s’achever subitement sous le bruit tonitruant de la vaisselle qui s’entasse dans un coin de la plonge. Je reste quand même là, tentant de gagner un peu plus de temps dans ce bien-être profond...
Amour, mon amour,
Te voilà loin de moi depuis tant de jours.
Cette tristesse qui s’écoule de mon coeur,
Envahie peu à peu tous mes membres.
Je me sens si mal, mon amour,
Ta présence me manque, plus rien n’a de sens,
Les gens m’agacent, la nourriture me fuit...
L’eau que je tente de boire n’est qu’alcool,
Et la force m’abandonne lentement...
Ah... Amour de ma vie, si seulement...
Un éclat retentit, je dois retourner à la réalité de la vie en société et accomplir mes tâches, bien que ce soit sans envies ni motivation...
Les derniers jours de l’homme invisible
Je dois me lever tôt ce matin, me préparer vite et sortir, j’ai sauté mon petit-déjeuner, comme hier et avant-hier, comme chaque jour passé sans toi dans ma vie
je traverse les collines qui t’éloignent et les immenses murs qui nous séparent, la route est interminable, c’est pour cette raison que je dois partir tôt… juste pour venir te voir à temps.
Le ciel commence à se chagriner, et à lâcher ses larmes qui noient ma tête et inondent mon esprit, mais tes yeux m’interpellent, et je ne peux résister à leurs appels,
essoufflé mais déterminé, j’arrive à ta porte, et j’attends que quelqu’un l’ouvre,
pour que je puisse m’inviter à ton monde.
Ton père ouvre l’issue, et j’en profite pour rentrer, je glisse entre les murailles de ta demeure, et je monte l’escalier qui m’emmène vers ta chambre,
je regard les nombreuses photographies qui décorent ces murs et je sens l’amour qui s’y dégage,
j’ouvre la porte de ta chambre délicatement,
et mon cœur s’emballe rien qu’en te voyant…
je m’assis face à toi, sur cette petite chaise, que j’ai crue faite juste pour moi,
et je t’observe dormir, je reste là, et je ne m’inquiète pas, personne ne peut me voir… Car je suis invisible ! aussi clair que du cristal, aussi transparent que l’amour que je porte pour toi,
je me souviens à peine de mon visage, car même les miroirs ne peuvent le refléter,
je n’arrive plus à parler, ni à écrire, je suis invisible, et plus personne ne se souvient de mon existence, même pas toi,
je le suis devenu, le jour où tu es partie, le jour ou j’ai décidé de te laisser partir…, de te laisser du temps, et voir ce que je vaux à tes yeux, Mais je n’ai pas pu t’enlever de mon cœur, alors que tu l’as occupé depuis longtemps, depuis ce jour, je n’ai pas cessé de te hanter comme un esprit, à observer chaque minute de ta vie, chaque rire que tu émets.
je suis là quand tu ouvres tes yeux instantanément, chaque matin,
et quand tu regardes de mon côté,et que tu ne me vois pas
aussi quand tu t’étires en scrutant tes portables,
ou que tu trouves des appels que tu as manqué hier soir
Je suis encore là quand tu embrasses ta maman,
et lorsque tu prends ton café en regardant le vert de ton jardin,
j’attends des heures le temps que tu te prépares,
et je baisse mes yeux indiscrets quand tu prends ton bain
je suis encore là quand tu démarres ta voiture, et ajustes ta mèche devant le rétro
et que après tu mets mon CD, et tu laisses échapper une pensée à mon attention
je suis là quand tu t’arrêtes pour acheter des cigarettes, et que tu n’en trouves pas
ou quand tu t’énerves car tu trouves un embouteillage ,toujours au même endroit
je te regardes quand tu réponds à trois appels en même temps
et quand tu appelles juste les personnes les plus proches de toi
je suis là quand tu rentres au bureau, et tu ouvres ton msn
et tu t’aperçois que ta liste d’amis est toujours la même
je suis là, quand tu te dis que tu vois trop de personnes ,
et que c’est jamais, jamais les bonnes
je te regarde quand tu t’esquives pour fumer une cigarette loin,
Pour que tu restes toujours la petite fille aux yeux de ton père
Je suis là encore, quand tu parles au téléphone pendant des heures
Et quand après tu te dis que les hommes sont tous les mêmes
Je suis là quand tu les rencontres, et quand ils essayent de te gagner à leurs causes
ou lorsque tu résistes et qu’en même temps tu veux pas mettre de la peine dans leur coeur
je m’attriste quand tu as tellement mal à la tête,
et quand tu te demandes quand ceci va finir, tout de même
je me réjouis quand tu rentres à la maison et tu embrasses tes parents
et je comprends quand tu dis que tu es prête a tout pour ne pas les perdre
je tente de te rassurer quand tu as peur du passé
et j’essaye sans veine, de te réchauffer quand tu attrapes froid au cœur
je dois partir et te laisser te reposer maintenant , quoique je sais que tu vas pas le faire,
car il me reste plus beaucoup de temps, pour que disparais et que je m’efface entièrement de ton cœur.
je traverse les collines qui t’éloignent et les immenses murs qui nous séparent, la route est interminable, c’est pour cette raison que je dois partir tôt… juste pour venir te voir à temps.
Le ciel commence à se chagriner, et à lâcher ses larmes qui noient ma tête et inondent mon esprit, mais tes yeux m’interpellent, et je ne peux résister à leurs appels,
essoufflé mais déterminé, j’arrive à ta porte, et j’attends que quelqu’un l’ouvre,
pour que je puisse m’inviter à ton monde.
Ton père ouvre l’issue, et j’en profite pour rentrer, je glisse entre les murailles de ta demeure, et je monte l’escalier qui m’emmène vers ta chambre,
je regard les nombreuses photographies qui décorent ces murs et je sens l’amour qui s’y dégage,
j’ouvre la porte de ta chambre délicatement,
et mon cœur s’emballe rien qu’en te voyant…
je m’assis face à toi, sur cette petite chaise, que j’ai crue faite juste pour moi,
et je t’observe dormir, je reste là, et je ne m’inquiète pas, personne ne peut me voir… Car je suis invisible ! aussi clair que du cristal, aussi transparent que l’amour que je porte pour toi,
je me souviens à peine de mon visage, car même les miroirs ne peuvent le refléter,
je n’arrive plus à parler, ni à écrire, je suis invisible, et plus personne ne se souvient de mon existence, même pas toi,
je le suis devenu, le jour où tu es partie, le jour ou j’ai décidé de te laisser partir…, de te laisser du temps, et voir ce que je vaux à tes yeux, Mais je n’ai pas pu t’enlever de mon cœur, alors que tu l’as occupé depuis longtemps, depuis ce jour, je n’ai pas cessé de te hanter comme un esprit, à observer chaque minute de ta vie, chaque rire que tu émets.
je suis là quand tu ouvres tes yeux instantanément, chaque matin,
et quand tu regardes de mon côté,et que tu ne me vois pas
aussi quand tu t’étires en scrutant tes portables,
ou que tu trouves des appels que tu as manqué hier soir
Je suis encore là quand tu embrasses ta maman,
et lorsque tu prends ton café en regardant le vert de ton jardin,
j’attends des heures le temps que tu te prépares,
et je baisse mes yeux indiscrets quand tu prends ton bain
je suis encore là quand tu démarres ta voiture, et ajustes ta mèche devant le rétro
et que après tu mets mon CD, et tu laisses échapper une pensée à mon attention
je suis là quand tu t’arrêtes pour acheter des cigarettes, et que tu n’en trouves pas
ou quand tu t’énerves car tu trouves un embouteillage ,toujours au même endroit
je te regardes quand tu réponds à trois appels en même temps
et quand tu appelles juste les personnes les plus proches de toi
je suis là quand tu rentres au bureau, et tu ouvres ton msn
et tu t’aperçois que ta liste d’amis est toujours la même
je suis là, quand tu te dis que tu vois trop de personnes ,
et que c’est jamais, jamais les bonnes
je te regarde quand tu t’esquives pour fumer une cigarette loin,
Pour que tu restes toujours la petite fille aux yeux de ton père
Je suis là encore, quand tu parles au téléphone pendant des heures
Et quand après tu te dis que les hommes sont tous les mêmes
Je suis là quand tu les rencontres, et quand ils essayent de te gagner à leurs causes
ou lorsque tu résistes et qu’en même temps tu veux pas mettre de la peine dans leur coeur
je m’attriste quand tu as tellement mal à la tête,
et quand tu te demandes quand ceci va finir, tout de même
je me réjouis quand tu rentres à la maison et tu embrasses tes parents
et je comprends quand tu dis que tu es prête a tout pour ne pas les perdre
je tente de te rassurer quand tu as peur du passé
et j’essaye sans veine, de te réchauffer quand tu attrapes froid au cœur
je dois partir et te laisser te reposer maintenant , quoique je sais que tu vas pas le faire,
car il me reste plus beaucoup de temps, pour que disparais et que je m’efface entièrement de ton cœur.
Sam 05 Jan 2008, 11:35 par
heartbreakid sur Histoires d'amour
Oui, çà c'est bien vrai...
Oui, çà c’est bien vrai, comme dirait la mère Denis !
Je découvre le site et je me suis amusé d’y voir
des messages sur ce sujet. Il ne m’en fallait pas plus
pour m’essayer sur le site.
Certains me voient "macho" et comme tous les "machos",
je suis un tendre.
Alors, d’accord pour les âmes tendres.
Restons tendres, mais que les femmes n’en profitent pas
pour tout gagner pendant ce temps !
Cordialement.
Je découvre le site et je me suis amusé d’y voir
des messages sur ce sujet. Il ne m’en fallait pas plus
pour m’essayer sur le site.
Certains me voient "macho" et comme tous les "machos",
je suis un tendre.
Alors, d’accord pour les âmes tendres.
Restons tendres, mais que les femmes n’en profitent pas
pour tout gagner pendant ce temps !
Cordialement.
Dim 29 Juil 2007, 10:53 par
Xavier Huon sur Citations
Quelques années, et quelques siècles...
Comme aujourd’hui, elle avait d’abord caressé tout son corps, longtemps, lentement.
Comme aujourd’hui, bien après qu’il se soit abandonné à elle, il osait encore à peine la toucher.
Comme aujourd’hui, il n’avait d’abord cédé qu’au besoin de laisser ses doigts découvrir le grain de sa peau, de permettre à ses mains, enfin, d’apprendre son corps.
Comme aujourd’hui, bientôt il s’était laissé gagner par le désir jusque là réprimé de la découvrir autrement, et s’était étonné de l’harmonie de leurs souffles.
Comme aujourd’hui, leurs corps enfin s’étaient unis, s’enflammant ensemble, se consumant l’un l’autre, s’épuisant presque, jusqu’à atteindre la crête de l’ultime déferlante qui les avait laissés comme échoués dans les bras l’un de l’autre.
Comme aujourd’hui, elle était restée lovée contre lui de tout son corps, les yeux fermés, pendant qu’il la regardait en continuant à la caresser doucement, et il sait que de même que cette autre fois, l’aube sera là déjà qu’ils seront encore éveillés du bonheur d’être ensemble.
Il sait, aussi, que le petit matin, cette fois, ne les séparera pas.
Aeryn
Sláinte agus saol agaibh...
Comme aujourd’hui, bien après qu’il se soit abandonné à elle, il osait encore à peine la toucher.
Comme aujourd’hui, il n’avait d’abord cédé qu’au besoin de laisser ses doigts découvrir le grain de sa peau, de permettre à ses mains, enfin, d’apprendre son corps.
Comme aujourd’hui, bientôt il s’était laissé gagner par le désir jusque là réprimé de la découvrir autrement, et s’était étonné de l’harmonie de leurs souffles.
Comme aujourd’hui, leurs corps enfin s’étaient unis, s’enflammant ensemble, se consumant l’un l’autre, s’épuisant presque, jusqu’à atteindre la crête de l’ultime déferlante qui les avait laissés comme échoués dans les bras l’un de l’autre.
Comme aujourd’hui, elle était restée lovée contre lui de tout son corps, les yeux fermés, pendant qu’il la regardait en continuant à la caresser doucement, et il sait que de même que cette autre fois, l’aube sera là déjà qu’ils seront encore éveillés du bonheur d’être ensemble.
Il sait, aussi, que le petit matin, cette fois, ne les séparera pas.
Aeryn
Sláinte agus saol agaibh...
Ven 29 Juin 2007, 16:48 par
Aeryn sur La première fois
La bataille
Ma vie est une bataille permanente contre moi-même,
Une bataille pour survivre chaque jour,
Une bataille pour sourire,
Une bataille pour aimer les simples plaisirs,
Une bataille pour réapprendre à aimer.
Quand je meurs à l’intérieur....
Une bataille contre les douleurs,
Qu’elles soient physiques ou mentales,
Une bataille contre les cauchemars,
Qu’ils soient anciens ou récents,
Une bataille contre les nuits sans sommeil,
Une bataille contre la peur,
Mais cette bataille je vais la gagner,
Tu m’as brisée mais non détruite,
Une fois recollée avec de la bonne colle,
Je serai encore plus forte :
Et comme le phoenix, je renais.
Jullia
Une bataille pour survivre chaque jour,
Une bataille pour sourire,
Une bataille pour aimer les simples plaisirs,
Une bataille pour réapprendre à aimer.
Quand je meurs à l’intérieur....
Une bataille contre les douleurs,
Qu’elles soient physiques ou mentales,
Une bataille contre les cauchemars,
Qu’ils soient anciens ou récents,
Une bataille contre les nuits sans sommeil,
Une bataille contre la peur,
Mais cette bataille je vais la gagner,
Tu m’as brisée mais non détruite,
Une fois recollée avec de la bonne colle,
Je serai encore plus forte :
Et comme le phoenix, je renais.
Jullia
Mer 10 Jan 2007, 13:21 par
joullia sur Mille choses
Je suis éreintée
Mon homme, s’ il vous plaît n’ a pas vu Mama, ni famille depuis plus d’ un mois.
Je me bats jour comme nuit pour le rejoindre, et le conforter.
S ’il vous plaît, respectez moi car il est mon tout autre et que lorsqu’ il souffre, je le met en danger si je ne suis pas près de lui.
Il le sait, et Paris TOUT ENTIER AUSSI :
Si on touche à ne serait - ce qu ’à un des Poils de mon Gé quand il est à Tokyo, je fais gagner Barri en Adriatique, mon Texte Foot Ballistique de la coupe du Monde.
Si La Corée m’ emmerde ( celle du nord ) et shinte le contact , je me fâche plus encore.
Dés qu’ il est en danger, je le sais, et me bats corps et âmes pour, car je sais protéger, sur le plan Mondial.
Sorry Microsoft , et Adobe enfin à moi, de s’ être pris des engueulades quand je voyais que mon homme ne reçevai à temps.
CHOGOKINETTE.COM
SITE EN CHANTIER
BUT :
FAIRE BOSSER LES ARTISTES, PUISQUE SARKO VEUT PAS.
Je me bats jour comme nuit pour le rejoindre, et le conforter.
S ’il vous plaît, respectez moi car il est mon tout autre et que lorsqu’ il souffre, je le met en danger si je ne suis pas près de lui.
Il le sait, et Paris TOUT ENTIER AUSSI :
Si on touche à ne serait - ce qu ’à un des Poils de mon Gé quand il est à Tokyo, je fais gagner Barri en Adriatique, mon Texte Foot Ballistique de la coupe du Monde.
Si La Corée m’ emmerde ( celle du nord ) et shinte le contact , je me fâche plus encore.
Dés qu’ il est en danger, je le sais, et me bats corps et âmes pour, car je sais protéger, sur le plan Mondial.
Sorry Microsoft , et Adobe enfin à moi, de s’ être pris des engueulades quand je voyais que mon homme ne reçevai à temps.
CHOGOKINETTE.COM
SITE EN CHANTIER
BUT :
FAIRE BOSSER LES ARTISTES, PUISQUE SARKO VEUT PAS.
Sam 14 Oct 2006, 21:27 par
Chogokinette sur Parler d'amour
Avis Mondial
Pour vous protéger :
Parce que je ne mesure qu’ un mètre soixante trois virgule cinq centimètres et que l’ agresseur de cette mineure en fait un mètre quatre vingt quinze ( il ne m’a pas fait peur; j’ ai le droit de tuer en légitime défense et il le sait parfaitement )
Description :
Il ne ressemble à personne puisque sa mère est dans les îles et prie de ne jamais le voir revenir ( vous imaginez le tableau???)
Pour moi, sur le plan médical, il est cuit. ( à 24 ans, être déjà victime d’ une pancréatite, c’ est que l’ on se suicide, ce qui est interdit, même en prison! )
Qu’ on soit un homme, ou une femme, de n’ importe quel âge :
Si quelqu’ un vous tend la main et pue l’ alcool à plein nez, méfiez vous car il est déjà dans ses mauvaises vibes, même s’ il a l’ air gentil.
Pour ma part, cette nuit là, j’ étais au thé Indien, cigarettes taxées, et bossais à la maison à gagner de la tune en vendant sur Ebay.
Parce que je ne mesure qu’ un mètre soixante trois virgule cinq centimètres et que l’ agresseur de cette mineure en fait un mètre quatre vingt quinze ( il ne m’a pas fait peur; j’ ai le droit de tuer en légitime défense et il le sait parfaitement )
Description :
Il ne ressemble à personne puisque sa mère est dans les îles et prie de ne jamais le voir revenir ( vous imaginez le tableau???)
Pour moi, sur le plan médical, il est cuit. ( à 24 ans, être déjà victime d’ une pancréatite, c’ est que l’ on se suicide, ce qui est interdit, même en prison! )
Qu’ on soit un homme, ou une femme, de n’ importe quel âge :
Si quelqu’ un vous tend la main et pue l’ alcool à plein nez, méfiez vous car il est déjà dans ses mauvaises vibes, même s’ il a l’ air gentil.
Pour ma part, cette nuit là, j’ étais au thé Indien, cigarettes taxées, et bossais à la maison à gagner de la tune en vendant sur Ebay.
Dim 08 Oct 2006, 13:07 par
Chogokinette sur Un monde parfait
En quête d'amour
L’Amour ne doit pas " se mendier "
L’Amour doit " se gagner "
A méditer...
Marie
L’Amour doit " se gagner "
A méditer...
Marie

Sam 26 Août 2006, 13:35 par
Satine sur Parler d'amour
Y cueillir les roses et passer outre
Ô amis, entendez-moi,
Je veux être rossignol et chanter,
Je veux gagner des coeurs, perdre des âmes (au jeu),
Je veux tenir ma tête tranchée dans la main,
Je veux Te l’offrir, sur ton passage, et passer outre.
Je veux être rossignol et puis m’en aller,
Courir derrière les coeurs et puis,
Rempli d’amour, sans cesse,
Me frotter la face dans la poussière et passer outre.
Nul mortel n’a pu Te voir,
Mille amoureux Te désirent pourtant
Il n’est pas de rossignol qui ne sache,
L’amour est là où la splendeur vient de ton visage
En Toi le seul remède,
Je veux Te le demander et passer outre.
Je veux être rossignol et chanter,
Je veux gagner des coeurs, perdre des âmes (au jeu),
Je veux tenir ma tête tranchée dans la main,
Je veux Te l’offrir, sur ton passage, et passer outre.
Je veux être rossignol et puis m’en aller,
Courir derrière les coeurs et puis,
Rempli d’amour, sans cesse,
Me frotter la face dans la poussière et passer outre.
Nul mortel n’a pu Te voir,
Mille amoureux Te désirent pourtant
Il n’est pas de rossignol qui ne sache,
L’amour est là où la splendeur vient de ton visage
En Toi le seul remède,
Je veux Te le demander et passer outre.
Ven 18 Août 2006, 17:23 par
ricko sur L'amour en vrac
Etre humain
Au jour d’aujourd’hui, qu’est-ce qui vous fait fantasmer ?
- La paix dans le monde ? non ... je m’en doutais.
Être mondialement célèbre ?
Est-ce cela votre fantasme ?
Est-ce l’idée de gagner le prix nobel de la Paix peut être ?
Remporter un trophé aux MTV Howards ?
Est-ce que vous rêvez de mettre la main sur un beau gosse, doté d’une personnalité extraordinaire sous des airs de mauvais garçon, mais que vous deviniez intérieurement habité d’une noble passion , et qui aprés avoir fait l’amour évite de roupiller ?
Le fantasme doit réster du domaine de l’imaginaire, parce que dés l’instant même où vous optenez ce que vous voulez, vous vous en éloignez et vous n’en voulez plus.
Pour continuer d’exister, le désir à besoin de voir ses objets perpétuellement absents. Ce n’est pas telle chose que vous voulez, c’est le fantasme de cette chose. C’est donc en cela que le désir reste le moteur de nos rêves les plus délirants.
Nous ne sommes jamais aussi véritablement heureux qu’en imaginant un bonheur futur. Pourquoi disons nous que " la traque est plus excitante que la capture ?"
Méfiez-vous lorsque vous faites un voeux, parce qu’il risque de se réaliser, et vous serez condamnés à ne plus vouloir ce que vous avez obtenu.
La conclusion est que vivre pour satisfaire ses besoins n’apporte aucun bonheur.
Mais être pleinement humain en l’occurence, c’est s’efforcer de vivre par ses idées et ses idéaux. Et en aucun cas se mesurer l’oeuvre d’une vie par le nombre de victoires en termes de désirs comblés. Mais par ces petits moments de compassion, de générosité, de rationalité, voir même de sacrifices, parce qu’à l’heure des comptes, la seule vraie façon de mesurer toute la valeur d’une vie, de notre vie, est d’abord d’éstimer la valeur de la vie des autres ....
- La paix dans le monde ? non ... je m’en doutais.
Être mondialement célèbre ?
Est-ce cela votre fantasme ?
Est-ce l’idée de gagner le prix nobel de la Paix peut être ?
Remporter un trophé aux MTV Howards ?
Est-ce que vous rêvez de mettre la main sur un beau gosse, doté d’une personnalité extraordinaire sous des airs de mauvais garçon, mais que vous deviniez intérieurement habité d’une noble passion , et qui aprés avoir fait l’amour évite de roupiller ?
Le fantasme doit réster du domaine de l’imaginaire, parce que dés l’instant même où vous optenez ce que vous voulez, vous vous en éloignez et vous n’en voulez plus.
Pour continuer d’exister, le désir à besoin de voir ses objets perpétuellement absents. Ce n’est pas telle chose que vous voulez, c’est le fantasme de cette chose. C’est donc en cela que le désir reste le moteur de nos rêves les plus délirants.
Nous ne sommes jamais aussi véritablement heureux qu’en imaginant un bonheur futur. Pourquoi disons nous que " la traque est plus excitante que la capture ?"
Méfiez-vous lorsque vous faites un voeux, parce qu’il risque de se réaliser, et vous serez condamnés à ne plus vouloir ce que vous avez obtenu.
La conclusion est que vivre pour satisfaire ses besoins n’apporte aucun bonheur.
Mais être pleinement humain en l’occurence, c’est s’efforcer de vivre par ses idées et ses idéaux. Et en aucun cas se mesurer l’oeuvre d’une vie par le nombre de victoires en termes de désirs comblés. Mais par ces petits moments de compassion, de générosité, de rationalité, voir même de sacrifices, parce qu’à l’heure des comptes, la seule vraie façon de mesurer toute la valeur d’une vie, de notre vie, est d’abord d’éstimer la valeur de la vie des autres ....
Ven 28 Juil 2006, 17:04 par
joullia sur Un monde parfait
Egarement
J’ai peur par mes actions de peu à peu m’enduire
De cette chappe de plomb qu’est mon geste de fuir
Dans ce mouvement sans fin celui de te séduire
Mouvement né du coeur qui pourtant peut détruire
J’agis sans y penser pour notre seul bien être
Sans rien y croire gagner envers moi je suis traître
Je n’aspire que le bon tant pour toi que pour nous
Même si par mes actes alors je donne tout
Un tout que tu reçois bien trop facilement
Là où je cherche histoire et quelques sentiments
Ne m’utilise pas malgré ce que je sème
Car je n’attends de toi qu’entendre un jour je t’aime.
De cette chappe de plomb qu’est mon geste de fuir
Dans ce mouvement sans fin celui de te séduire
Mouvement né du coeur qui pourtant peut détruire
J’agis sans y penser pour notre seul bien être
Sans rien y croire gagner envers moi je suis traître
Je n’aspire que le bon tant pour toi que pour nous
Même si par mes actes alors je donne tout
Un tout que tu reçois bien trop facilement
Là où je cherche histoire et quelques sentiments
Ne m’utilise pas malgré ce que je sème
Car je n’attends de toi qu’entendre un jour je t’aime.
Mer 08 Fév 2006, 18:23 par
l'homme de sable sur La vie à deux
Des hauts, puis des très bas
Il est des temps majeurs où l’on choisit sa route,
Des moments de candeur où l’on fait fuir les doutes.
On s’engage on s’avance vers de belles idées,
Vers ces rêves d’adultes, par le cœur dirigé.
Mais l’histoire se répète, à cette différence
Que les rôles ont changé et que tourne la chance.
Jadis maître du jeu on a perdu les dés
Qui jusque dans la fin nous avaient fait gagner.
On lutte et on s’accroche à tous nos souvenirs,
Pleurant ces chaudes larmes qui nous avaient fait fuir.
Elles sont nôtres à présent, on les laisse couler
Comme l’ont fait alors nos anciennes aimées.
Mes mots exagérés ne sont pas innocents
Car bien que sublimé il s’installe pourtant
Ce mal que j’ai donné après avoir aimé
Qu’aujourd’hui je ressens comme trop mérité.
Les cieux et les enfers je les parcours encore
Attendant de le voir, ce vrai Amour éclore.
Des moments de candeur où l’on fait fuir les doutes.
On s’engage on s’avance vers de belles idées,
Vers ces rêves d’adultes, par le cœur dirigé.
Mais l’histoire se répète, à cette différence
Que les rôles ont changé et que tourne la chance.
Jadis maître du jeu on a perdu les dés
Qui jusque dans la fin nous avaient fait gagner.
On lutte et on s’accroche à tous nos souvenirs,
Pleurant ces chaudes larmes qui nous avaient fait fuir.
Elles sont nôtres à présent, on les laisse couler
Comme l’ont fait alors nos anciennes aimées.
Mes mots exagérés ne sont pas innocents
Car bien que sublimé il s’installe pourtant
Ce mal que j’ai donné après avoir aimé
Qu’aujourd’hui je ressens comme trop mérité.
Les cieux et les enfers je les parcours encore
Attendant de le voir, ce vrai Amour éclore.
Sam 14 Jan 2006, 01:41 par
l'homme de sable sur L'amour en vrac
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