L'homme qui s'endort

Le quotidien fournit aux couples un lot impressionnant de questions concernant l’autre. Essayons de ne pas rentrer dans ce qui pourrait être interprété comme du sexisme en comparant les travers de l’un et ceux de l’autre (les travers du porc hihi), et examinons les raisons du pourquoi que l’homme il s’endort dodo après avoir honoré sa compagne doute

Cette étude s’adresse à toi, femme perplexe ahmoui devant cet étrange comportement de ton homme


La petite mort, puisque ce phénomène biologique connu porte ce nom ci, est bien entendu variable (en longueur comme plein d’autres choses confiant ) selon les individus observés. Un conseil que tu pourras donner à ton homme s’il s’endort trop souvent c’est de ne pas rester dans le lit une fois son affaire faite. Etre actif, allumer la chaîne, prendre une douche, faire des pompes, bref laisser passer un petit quart d’heure et paf, remettre le couvert debile .

S’endormir peut être aussi le signe que l’on est lassé par sa partenaire et qu’elle ne nous surprend plus, qu’on ne la désire plus. Dans ce cas là, s’endormir, c’est un peu la fuir. A chacun de prendre les décisions qui s’imposent alors reflexion .

S’endormir peut être le signe que le mâle est très heureux auprès de sa compagne. Et je pense que si attraper un homme est une chose terriblement facile pour une femme, le s’avère nettement moins évident. L’homme ayant dans ses gènes le besoin de donner sa semence à un maximum de partenaires et la femme ayant dans ses gènes le calcul de prendre de tous les mâles le plus fort, ceci explique la terrible farce que le Ciel nous envoie: seuls les hommes célibataires sont heureux et seules les femmes mariées sont heureuses. Bon. Alors si ton homme reste, même en s’endormant, tu n’as pas tout perdu en somme.

Enfin, dernier cas de figure dans cette analyse en règle : l’homme ne s’endort pas. Alors là c’est très très simple:
    - La partenaire est une conquête toute fraîche, c’est à dire de moins de 6 mois. Ben , on étrenne, on étrenne hein dance .
    - La partenaire est une véritable bombe, genre bien foutue, soigneuse de sa personne et très participative aux ébats. Ben, on ne va pas se plaindre hein rolleyes .
    - L’homme est jeune, c’est à dire autour de sa maturité sexuelle. Je rappelle que la maturité sexuelle chez un jeune mâle est autour de 18 ans et que chez une jeune femme c’est autour de 32 ans. A cette époque, on n’est pas un homme, on est une véritable machine ohhh.


Et nous, nous sommes perdus, noyés, tout seuls et impuissants dans notre petite mort et nous entendons au loin notre compagne qui réclame encore et encore.
Lun 02 Août 2004, 09:33 par PetitPrince sur Le grimoire d'amour

Obsession

Des fraises à l’étalage
Brillent comme un hommage
Une tasse de chocolat
Pas aussi bon que chez toi
Une baguette de pain
Ce si beau lendemain
Une gorgée de bière
Comme si c’était hier
Des biscuits dans du lait
Je sais que ça te plait
Même un café corsé
Pour me éveillé

Tout, de ma vie, me ramène vers toi

Un ciel d’été gris
Marchons sous la pluie
De grands murs blancs
Un peu ton appartement
Ma chemise noire
Tes cheveux, mon espoir
Mon tee-shirt rouge
Ce canapé où tu bouges
Des photos un peu sombres
Tu marches dans mon ombre
Le teint de ma peau
…le teint de ta peau

Tout, ici, n’est qu’une copie de toi

La douceur de ta voix
Me renvoit mon émoi
La moiteur d’une nuit
De ta chaleur j’ai envie
Une odeur d’inconnu
Ton parfum revenu
Un rayon de soleil
Ton sourire au réveil
Un baiser par hasard observé
Tes lèvres au goût sucré
Deux yeux trop jolis
Ton regard qui m’envahit

Tout, même si loin, te fait vivre en moi

« …oh mon amour, oh mon amour,
oh mon amour je crève de ne pouvoir te toucher… »
Dim 01 Août 2004, 22:13 par la_tulipe_noire sur L'amour en vrac

L'hebergeur.

Notre hebergeur, Nvphost, est vraisemblablement en train de mettre la clef sous la porte. De nombreux sites hebergés par lui sont aujourd’hui inaccessibles, et ce sans avertissements. Le site même de l’hebergeur est inaccessible. Seul notre site semble subsister, pour des raisons inconnues.

Cette situation précaire me conduit à chercher un autre hebergeur pour transferer le site. Si vous aves de bons echos à propos d’un hebergeur pas trop cher et pro (ovh ?), ecrivez le moi.

Je réouvre les forums, mais je vous conseille de un document sur votre pc contenant les textes que vous allez poster, des fois que le site ne se ferme avant que je n’ai eu le temps de faire les sauvegardes.

Je tiens particulièrement à remercier la marquise de sade et leclub666 qui ont surveillé et agit pour la santé de notre ilot de beauté pendant que je n’étais pas là.
Jeu 01 Juil 2004, 09:50 par PetitPrince sur Edito

Comptine de vie

Un déserteur de ses sentiments
Un légionnaire de leurs tourments
Une de plus ou une de moins
Pour faire avec lui un bout de chemin
Une amazone de la vie
Une maîtresse de ses nuits
Un de plus à inspirer
Un de moins à supporter

Deux êtres qui errent
A la recherche d’un nouvel adversaire
Celui qui pourra les mettre en émoi
Avec qui ils accorderont plus qu’un mois
Deux minutes partagées
Le temps d’un regard étonné
Quelle est cette sensation subjuguante
Cette envie enivrante?

Trois, elle, lui, eux
De balades tendres en jeux amoureux
De découvertes en partages d’essence
Leur vie enfin prend un sens
Trois, je ne veux que toi
Ensembles, ils passent le pas
Pour le meilleur et pour le pire
Une promesse de toujours le désir

Quatre kilos s’ajoutent
Son ventre, preuve de leur joute
Il s’arrondit de jour en jour
Le symbole de leur amour
Quatre pattes, maman, papa
Bébé s’endort entre leurs bras
Ils le regardent attendri
Aucun doute, tout commence ici

Cinq à sept après le bureau
Quelques galipettes, un appel, un texto
"Imprévu, rentrerai tard"
L’imprévu a 18 ans, le laisse hagard
Cinq minutes de remords
Prendre possession de son corps
Une de plus ou une de moins
Pour alléger son chemin

Six ans et ce petit garçon blond
Qui le regarde derrière la cloison
Oublier sous la douche
Le goût de sa bouche
Six fois qu’il recommence sa lettre
Il ne trouve pas les mots à mettre
Je te quitte aujourd’hui
Comprends-moi je t’en prie

Sept mois de procédure
Les menaces, les larmes, les injures
Leur amour partagé, étalé
Les week-end et les vacances d’été

Huis clos dans son malheur
Il lui faudra du temps et des pleurs
Espérer qu’un soir à sa porte
Il frappe et l’emporte

Neuf et libre de ses promesses
Il repart faire son business
Persuadé d’avoir tout gagné
Déserteur de la vérité

Dix vers pour résumer
Une histoire que vous connaissez
Une amie, une soeur, vous peut-être
Avez en vous ce souvenir funèbre.
Jeu 03 Juin 2004, 08:55 par la marquise de sade sur La vie à deux

Un aurevoir

Deux ans de confidences pour dans un dernier sursaut
Porter le coup de grâce, tirer ta révérence.

Je te laisse t’envoler, va, va voir plus haut
Glisse vers d’autres âmes, vers d’autres peaux.
Je te laisse t’échapper, cherche, cherche la délivrance
Trouve ce qui te manque, fouille dans ton enfance.
Je te laisse m’oublier, fuis, fuis loin de mes eaux
Nage jusqu’au rivage, embarque sur un autre vaisseau.

J’ai voulu te ,
Tu connais ma possessivité
J’ai voulu être le centre de ton monde
Avec cet egocentrisme immonde
J’ai allumé le feu telle une pyromane
Tu sais qu’on me dit nymphomane

Tu reconnaitras ces mots qu’on m’accolle
Je les arbore fièrement comme une corolle
Par fierté, tu ne me quittes pas, je te chasse
Pour ne pas souffrir, je ne pleure pas, je t’efface
Pour ne pas me perdre, avant de m’éteindre, comme un anathème
Dans un dernier soupir, un dernier frisson, je t’...


Isa ...

... Fin de l’inaccessible e_toile
Mar 01 Juin 2004, 10:02 par la marquise de sade sur Amour internet

Le Célibataire endurci !

Comment apprivoiser un célibataire endurci ?

Surprise! Le célibataire endurci cru 2004 est tout à fait séduisant. Pour préserver son indépendance d’esprit et sa liberté enivrante il choisit délibérément une vie solo. Il n’est pas foncièrement opposé à la notion de couple, mais entend bien y fixer une certaine limite.

Sa dernière compagne habitait à New York ou à Londre; il trouvait cette situation bien commode. La relation à distance ne lui donnait pas l’impression d’être pris au piège. C’est peut-être un entre deux confortable.

Son caractère idéaliste, c’est ce qui plait chez lui, cet air absorbé, cette tendance à zapper les aspects noueux de la réalité. D’autres vont nous bassiner avec leurs trophées professionnels, lui s’intéresse à l’humain, sa vie, son œuvre, ses revendications. Et comme tout idéaliste, son désir est un désir d’obstacles. Alors semez un petit parcours avec des petites embûches dissuasives, déployez vos charmes, vos facettes d’exigences idéalistes. Car nous aussi on préfère peut être une relation à la Sartre et de Beauvoir.

Prolongez la féerie de la découverte. Rando, Ciné, Pub fun, dîner accompagné d’un bon Brouilly... Et quand heureuse femme nous l’avons bien séduite, continuez à progresser dans cet accrochage inconscient.

Il ne sait pas trop pourquoi vous lui plaisez, alors installez-le dans cette relation sans qu’il s’en aperçoive. Une bonne tactique consiste à la relation secrète. Un jardin privé provisoire dont on tirera une excitation romanesque.

Et oui le célibataire endurci a besoin de temps. Sensible, cœur exquis, et surtout caractère entier. Jusqu’à présent son emploi du temps, ses centres d’intérêt multiples lui ont toujours donné de bonne raisons de ne pas s’engager. Pas de problème pour une relation épisodique. Sa devise « Ne pas se laisser submerger » donc c’est à nous d’aller vers lui.

Après la 1ere nuit d’amour, c’est alors le choc de deux micro cultures personnelles. Au lieu de nous mettre une couronne de roses, il peut devenir mutique. Cherchez pas, il fait son deuil de son « vieux soi ». Cette nuit de désir fou laissera place à un besoin d’indépendance, il se sent coincé, obligé de partager sa couette.

Et si il s’est décidé d’aller faire quatre heures de VTT en forêt, c’est qu’il veut rétablir son équilibre psychologique.

Désespérons pas, le célibataire endurci est un crocodile à la peau dure mais au cœur tendre.

Muse
Dim 30 Mai 2004, 07:01 par Muse sur La vie à deux

car rapace (pour Yves)

Carapace de glace
Tu erres tel le rapace
Carapace dans le coeur
A la recherche constante du bonheur
Carapace dans les yeux
Tu quêtes le mieux ?
Carapace invincible
Et tellement invisible.
Tu empiles les boucliers
Toujours ce besoin de te protéger.
Carapace cristalline irisée
Ta coquille est fragilisée
Par cette hésitation :
Briser ce mur du son…,
Exploser au soleil ses rayons
Monter en puissance cette passion
Déchiffrer les étoiles, capter leurs pulsions
Dans le ciel jouer à saute-moutons.
Tu ne dois pas hésiter
Arrête de te tourmenter
Laisse ton esprit reposer
Et ta tête tu vas relever.
Essuie sur ton front
Ce manque, ce doute,
Nettoie leurs gouttes.
Le même point tu dois
Cet horizon va changer.
Arrête de te retourner
Tu ne dois pas t’inquiéter.
Tout se met en place autour de toi
Regarde, tu es le Roi.
Que de soleils éclairés font une ronde,
Ils t encerclent en formidable farandole farfelue,
De leur lumière ils t’inondent,
Te souhaitant à l’infini, bienvenue.
Prends cette main tendue
Accepte, fais un pas vers l’inconnu…
Essaie, tu ne seras pas déçu !
Prends dans ta main
Entends ce refrain…
Captivante mélodie
Que celle de la vie.
Amour achevé
Amour enchaîné….
Mais sors de cette geôle,
Avant que la mort ne te frôle.
Mort de l’esprit
Torturé et meurtri…
Délicate et violente mélancolie
Qui cloisonne ton « autre lui » .
Sain de corps te voici
Tu oses relever le défi,
Tu es là, nimbé de lumière
Tu remontes le cours de ta rivière…
Ven 14 Mai 2004, 01:35 par à mon étoile sur L'amour en vrac

De son côté à elle...

Elle l’attendait cet après midi de juin
Assise à la terrasse du café du coin.
Dix-huit heures, il quitte le turbin
Traverse la rue, la croise sans rien dire
Prend la rame douze, descend et respire
Ouvre ses bras, exulte, renaît, expire.

Elle a payé son café
Embarqué ses affaires vite fait
Ne pas le perdre, le laisser s’éloigner
Le suivre discrètement, s’imprégner de ses gestes
Mettre ses pas dans les traces de ses pas lestes
Ne pas quitter des yeux ce petit bout de veste.

Re les vitrines, être une passante commune
Ne pas se faire remarquer, être toutes et aucune
Garder en mémoire ce cd qu’il a pris entre ses mains
Le prendre à son tour, le serrer contre son sein
L’acheter, pour écouter seule le soir, sa chanson
Lui déposer en secret, un matin devant son paillasson.

S’assoir sur ce banc que sa peau à frôler
Humer cet air parfumé qui l’a enivré
Fermer les yeux, rêver sa main qui l’enserre
Courir, le rattrapper, surtout ne pas le perdre
Emprunter le boulevard qui les rapproche
De leurs appartements face à face, si proches.

Tourner au coin de la rue, terminer la ballade
Rentrer chez elle, le savoir, là, dans l’autre façade
Une petite lumière à travers les rideaux
Une ombre qu’elle devine, dont elle est accroc
Son amour secret, son désir sauvage
Cet homme dont elle est devenue esclave.
Mar 11 Mai 2004, 22:18 par la marquise de sade sur La séduction

Retour insipide...

Il fallu bien en parler un jour
Se rappeler, se souvenir
De tous ces détours
Illuminés par les rires…

Voilà trois ans,
Pas moins tentant
Que j’aimais…
T’admirais…

Echange de mots,
Echange de rêves,
Assassinat de sots,
Assassinat de trêves…

Il a bien fallu commencer
Un jour, trépasser.
Il aura bien fallu finir
Un jour, tout se dire.

Milles et une nuits
Sur le net à détruire
L’éducation de ma mère
Qu’elle avait mit tant de temps à faire naître…

Des dizaines,
Des centaines,
Des milliers,
De « je t’aime »…

Qu’il n’est pas bon d’être enfant
Qu’il ne vaut pas mieux d’être adulte…

Voilà deux ans,
Pas moins effrayants
Que l’on se regardait...
S’admirait…

Mélange de sens,
Mélange d’envie,
Parfum intense,
Parfum de vie…

Troquer les mots pour les rires,
Dealer les doctes pour frémir,
Vanter l’amour et le sexe
Briser nos tours, et tu te vexes…

Le temps passe,
Les corps s’échauffent
Les caresses se tassent
Et s’effacent…

Et d’une,
Et de deux,
Et de trois,
Encore cette fois…

Qu’il n’est pas bon d’être crédule
Qu’il ne vaut pas mieux d’être certain…

Voilà un an
Qu’il était temps
D’en finir…
De souffrir…

Les chemins se croisent
Nos regards se toisent
Nos mains se serrent
Et nous privent de nos serres…

Elle me raconte encore vos ébats,
Il te raconte toujours mes trépas,
Il a bien fallu tirer un trait
Et nos besoins au frais…

Les rêves sont morts,
Nos espoirs ont eu torts…
Que peut-on faire
A part ne plus nous taire ?

06…
03...
4 Allée…
Des adresses effacées…

Qu’il est si agréable de se souvenir
Qu’il est encore plus doux de m’endormir…

On se brise,
On s’excite,
On se mort,
Toujours plus fort…

Parfois on s’aime,
Souvent on se déteste…
Parfois on se sème,
Souvent on teste…

Un jour de mot doux,
Une nuit à se chercher des poux…
Un jour de dispute,
Une nuit à jouer sous nos huttes…

Qu’il est bien bon, de savoir qu’au fond…
Le net a des avantages, que l’on partage…
Qu’il est précieux de comprendre qu’au pieu …
Il faudra quand même mieux se re dans les yeux…
Mar 13 Avril 2004, 12:06 par Rose sur Amour internet

Pris au piege

J’ai eu beau me dire que ce n’était pas possible, pas faisable, pas pour moi qui avais à l’origine d’énormes préjugés sur la question...Il faut se rendre à l évidence, j’ai moi été aussi pris par ce virus du coup de foudre via le net ouin
Cela fait quelques temps déjà que l’on se connaît, nous ne nous sommes pas encore vus mais la situation s’annonce très, très très difficile à gérer... à croire que j’aime les histoires compliquées ouin

Elle a beau ressentir les mêmes sentiments que moi (je crois, elle me l’a fait savoir mais est-ce que ses sentiments n’ont pas changé depuis? passur2 ), nous savons qu’il ne faut pas se faire trop d illusions.

Cependant, je me prends parfois à rêver.. et si, malgré tout, c’était faisable? Dans ma ville, quelqu’un s’est marié avec une russe rencontrée via le Web... et si pour une fois, le bonheur pouvait frapper à ma porte, à moi aussi?

Seulement, pour aller la rejoindre, je dois tout quitter... Mes amis, ma famille, mon travail, mon logement, mes souvenirs, ... ma vie.

Biensur, ce serait plus facile qu’elle fasse le chemin inverse car je peux lui proposer pas mal de choses ici, nous avons des terres, des maisons, des appartements à nous mais elle ne voudra jamais quitter sa ville d’origine où elle a tous ses repères elle aussi, et dont elle a besoin.

J’ai pourtant essayé de l’oublier, mais ce n’est pas possible, elle m’obsède, tant par sa beauté que par son humour, sa jovialité, son esprit... quand elle n’est pas là elle me manque, mais vous connaissez tous ce sentiment. Ce sentiment mêlé de doute lorsque rien n’est vraiment commencé ou fini… On se demande si c’est possible, si on ne rêve pas un peu trop, si notre cerveau ne nous joue pas des tours... mais il y a une chose dont je suis sûr, c’est que je suis prêt à tenter le coup, pour elle car pour la seconde fois dans ma vie j’ai rencontré mon âme soeur et je ne veux pas reperdre ce que j’ai déjà perdu une fois, avec tant de douleur.

Nous avons décidé de nous voir cet été.... partager quelques temps de bonheur tous les deux.

Si discret sur mes sentiments habituellement je m’ouvre cette fois-ci car je n en peux plus de tout ça au tréfond de mon coeur, de souffrir seul face à mes préoccupations, et même si personne ne peut m aider, peut être que le fait d’aplanir mes idées, de les faire partager, peux les rendre plus claires.

J’ai hâte d’être cet été ... oui, j’ai hâte.....


Stef cogiteur invétéré ouin
Jeu 26 Fév 2004, 01:21 par MaStErGrAhAm sur Amour internet

Re: l'avarice est un vilain défaut

la marquise de sade a écrit:
(...)
Edouard BOURDET a écrit:
L’argent, c’est comme les femmes : pour le , il faut s’en occuper un peu ou alors... il va faire le bonheur de quelqu’un d’autre.



Sacha guitry a écrit:

La plus grande saleté qu’on puisse faire à un homme qui vous a pris votre femme, c’est de la lui laisser

grin
Jeu 26 Fév 2004, 00:48 par MaStErGrAhAm sur Citations

l'avarice est un vilain défaut

Pffffffffffff plus les dépenses sont lourdes ... clin par contre, sont pas legers sur l’avarice ...

Edouard BOURDET a écrit:
L’argent, c’est comme les femmes : pour le , il faut s’en occuper un peu ou alors... il va faire le bonheur de quelqu’un d’autre.



La marquise ... comptable bete
Mer 25 Fév 2004, 19:02 par la marquise de sade sur Citations

signé miossec "le célibat"

Justes sont tes mots cher PetitPrince ...

Ne plus jamais se laisser surprendre
Ne plus jamais se laisser embringuer
Par des visages tellement tendres
Des visages qui vous font oublier
Tout ce qu’on a un jour pu apprendre
Tout ce qu’on a déjà essayé
Durant de longues nuits passées
Dans des chambres à se vautrer
Sur des poupées
Mais le matin est toujours là pour surprendre
Tous ces visages démaquillés
Qui se cachent pour ne pas tendre
Leur simple vérité
Ne plus jamais se laisser apprendre
Garder pour soi la moindre vérité
Et souffler un froid à faire fendre
Toute aspiration, toute velléité
Faire comme si c’était toujours décembre
Même en plein mois de juillet
Et chaque jour souffler sur les braises
Mais n’aspirer qu’aux cendres
N’être là que pour la baise
Et surtout pas pour les mots tendres
Mieux vaut toujours avoir un jour à rendre
Qu’avoir un jour à ravaler
Descendre, descendre
Pour ne plus jamais avoir à remonter
Le long de doux mots tendres
Qui vous donnent la nausée
N’être là que pour la baise
Et surtout pas pour les mots tendres
Mieux vaut toujours avoir un jour à rendre
Qu’avoir un jour à ravaler
Descendre, descendre
Pour ne plus jamais avoir à remonter
Le long de doux mots tendres
Qui vous donnent la nausée
S’défendre, s’défendre
Ne plus jamais laisser personne rentrer
Pour ne plus se faire prendre
Pour ne plus se faire voler
Apprendre, apprendre
Apprendre enfin à esquiver
Pour ne plus se faire étendre
Pour ne plus se faire allonger
Mar 24 Fév 2004, 13:56 par la_tulipe_noire sur Amour internet

Pizzeria La Roma, bonsoir! ... suite

Je suivis donc mon bel italien, non sans jeter un regard à la tablée de mes amis. Ceux-ci déjà blaguaient et riaient de cette situation, surtout de celle de me voir partir ainsi suivant celui qui, ils avaient déjà compris, m’avait charmée.
D’un haussement d’épaule, je leur envoyai alors un baiser de connivence et suivi mon hidalgo.
Où donc m’emmenait-il d’un pas si pressé ?
Nous arrivâmes dans les cuisines, tout y était bien rangé, propre et calme, les lumières étaient presque toutes éteintes. Une fois devant l’évier, il s’arrêta, de son regard enjôleur il me regarda, ce même regard qui descendit sur ma jupe, il me dit :
- Il n’y a pas trente six solutions ?
- C’est la machine assurément qui résoudra au mieux le problème.
- Enlève ta jupe, je vais la passer sous l’eau très chaude, sans la tremper complètement pour que tu puisses la remettre.
Sans donner l’impression d’être surprise, je descendis la fermeture éclair qui maintenait ma jupe sur mes hanches et laissais glisser le bout de tissu le long de mes jambes nues.
De ses yeux il suivit tout le cheminement de celle-ci. Je me retrouvais ainsi, presque nu au bout milieu de la cuisine, avec mon seul string dernier rempart de ma féminité.
Il se baissa, la ramassa, et soigneusement passa un jet d’eau qui semblait très chaud sur la tâche qui semblait partir. Il la déposa sur le bord de l’évier en aluminium, se retourna, me toisa de haut en bas, me pris par la main et m’emmena vers une porte au fond de la cuisine. Sans hésitation, sans crainte je le suivis, trop curieuse et impatiente de ce qui pourrait alors suivre.
Derrière la porte se trouvait un espèce de cagibi réserve alimentaire. Il éclaira la pièce, et me fit rentrer.
D’un geste doux il s’est alors collé à moi, et ses mains vinrent alors visiter mon corps. Je ne pouvais faire autrement que sentir son envie sur mon ventre, son sexe était dur et j’aimais sentir l’envie que je pouvais générer alors.
Il prit mes poignets dans ses mains, désireux semblait-il de vouloir la maîtrise de la situation, les dirigea au dessus de ma tête. Il embrassa mon cou, me lécha les oreilles, revint vers ma bouche pour me caresser de ses lèvres, de sa langue puis m’embrassa d’un baiser langoureux. M’étant laissée aller au plaisir de ces caresses buccales, j’avais fermé mes yeux que je rouvris pour constater que ses yeux ne perdaient rien du plaisir qui montait en moi. Une de ses mains descendit alors de mon poignet, sur ma poitrine au travers du tissu de ma chemise, sur mon ventre, sur ma fleur encore cachée. Entre mes jambes sa main vint se glisser, légère, effleurant à peine mon string, ce fut délicieux de recevoir ses gestes sans précipitation, de tendresse et de sensualité, je brûlais déjà au-dedans de mon ventre et je pouvais sentir mon sexe se libérer de sa sève d’excitation. Un doigt s’égara légèrement sous le tissu, ses yeux toujours dans mes yeux il avait l’air d’épier chacune de mes réactions, les sensations que je pouvais ressentir sous ses caresses. Ce doigt m’électrisa, doucement il l’appliqua sur ma vulve, la caressa, puis l’ôta pour le porter à sa bouche et le lécha, nos regards ne se lâchaient pas comme si en cet instant nous n’étions déjà plus qu’un, son plaisir devenait déjà mien et le mien sien. Il s’empara de ma bouche non sans s’être collé suffisamment à moi pour me faire ressentir à nouveau son excitation, s’écarta et amena une de mes mains sur son sexe. Tout en la tenant il me fit le caresser, toujours avec autant de douceur, je le vis se raidir de tout son corps, sentir son sexe tressauter sous cette caresse qu’il dirigeait pourtant. Il me lâcha et me dit :
- On y retourne ?
Bien qu’abasourdie de cette réaction si directe, je lui répondis «oui» .
Nous avons alors récupéré ma jupe, il ferma lui-même la fermeture dans mon dos, pour finir d’une caresse sur mes fesses et nous retournâmes dans la salle rejoindre la table de mes amis.
Il me laissa m’asseoir et repris, à mon bout de table la même place que celle de l’apéritif, mais cette fois ci plus directement, il vint coller sa jambe à la mienne et glisser sa main sur ma cuisse juste sous le tissu de ma jupe.
Sam 24 Jan 2004, 03:15 par Nébuleuse sur Les liaisons sulfureuses

Le voyageur routinier

J’étais dans le métro, aux heures de pointes et comme d’habitude il était bondé à craquer, je me suis donc retrouvée debout comme un très grand nombre de voyageurs, les uns serrés contre les autres.
A la station suivante de celle où je suis montée, peu sont descendus en compensation de ceux qui sont montés, nous étions alors très serrés les uns contre les autres. Chacun essayait de ses distances des personnes proches de soi, comme c’est souvent le cas dans un métro bondé.
J’étais alors plongée dans mes pensées, à juger la gêne apparente des uns et des autres dans cette proximité. J’ai senti mon sac à main glisser de mon épaule, en tentant de le rattraper j’ai effleuré la personne se trouvant au plus près de moi.
J’étais tellement occupée à jauger les réactions des occupants de ce wagon, que je n’avais pas remarqué cet homme, si proche de moi et si mignon. J’aurais presque pu entendre sa respiration tant il était proche, mais gardant malgré tout une certaine distance comme tous les voyageurs.
Mon sac ayant tant et si bien glissé, je ne pouvais plus faire autrement qu’attendre, peut être la station suivante pour le glisser à nouveau sur mon épaule, mais la situation d’un coup m’apparut cocasse et plaisante.
Le poids de mon sac avait aidé à ce que ma main se retrouve en position osée, le long de la braguette de mon voisin voyageur, et progressivement, je me suis rendue compte que cet attouchement ne le laissait pas indifférent.
Avec un tout petit peu d’hésitation j’ai donné un léger coup de balancier à mon sac, immanquablement ma main suivi ce mouvement, il était question là de doser l’effet réel sur l’intimité de mon voisin et surtout sa réaction.
J’ai tourné légèrement ma tête afin de me rendre compte si des signes apparaissaient sur son visage. Nos regards se sont croisés, il m’a sourit et m’a prise par la taille pour se coller à moi.
Ma main restée entre nous deux, je sentais qu’il bandait vraiment très fort, je pouvais même le sentir tressauter sous l’excitation. Cette même excitation que je commençais à sentir au bas de mon ventre m’envahit alors de bouffées de chaleur.
Je me suis demandée qui des deux allait descendre du wagon le premier?
La main sous ma veste il me serrait la taille, je sentais cette pression comme des mots me disant "nous ne pouvons en rester là".
Deux stations plus loin, il m’a alors attrapée par la main et nous sommes sortis de la rame de métro.
Sans un mot prononcé, nous sommes sortis vers l’extérieur, il s’est dirigé vers un hôtel, il a réglé une chambre, l’hôtelier nous regardait avec un sourire en coin.
Il a repris ma main, et m’a emmenée vers l’ascenseur. Une fois à l’intérieur, il m’a plaquée contre la paroi et s’est mis à me caresser partout, s’attardant un peu plus sur ma poitrine.
Arrivés à l’étage, a peine rentrés dans la chambre, sans prendre le temps de quoi que ce soit, il m’a à nouveau plaquée contre le mur, tout en m’embrassant il a relevé ma jupe, et a fait glissé mon string. Une de ses mains caressait avidement mes seins, l’autre commençait à caresser mon sexe.
J’aimais cette précipitation, je commençais à y prendre beaucoup de plaisir, sans savoir ce qui allait suivre j’avais hâte de découvrir tout ce qu’il semblait vouloir donner et prendre de plaisir.
Il s’est laissé glisser contre moi, a relevé une de mes jambes et est venu avec sa bouche sur mon sexe. Je ne maîtrisais plus du tout la situation, j’étais devenue sa chose, ouverte à ses envies.
Il léchait merveilleusement bien, je sentais sa langue sur mon clitoris, sur ma vulve, ses doigts me fouillaient.
Il s’est relevé, a enlevé son pantalon, maintenant ma jambe soulevée, d’un coup brusque, comme s’il ne pouvait plus attendre, il m’a pénétrée.
J’ai cru que j’allais explosée, la jouissance est venue d’un coup tellement mon excitation était à son comble.
Je sentais qu’il en était tout autant pour lui, il allait et venait en moi par grands à-coups, puis plus doucement, juste son gland sur ma vulve. Il s’est alors retiré m’a demandé de me retourner il voulait me prendre par derrière.
Je voulais le voir, lui, mais aussi son excitation et son plaisir. Je l’ai emmené dans la salle de bain j’ai pris appui sur le lavabo, les yeux droits dans la glace je l’ai regardé tout excité me caresser les fesses, ma vulve avec son sexe.
Il a posé son sexe sur mes fesses et tout doucement, par petites pressions il est entré en moi, il était doux dans ses gestes, précautionneux, j’aimais aussi cette attitude à ne pas vouloir rendre la situation trop brutale. Entièrement en moi il s’est collé à moi a pris mes seins dans ses mains et s’est mis à aller et venir doucement me regardant dans la glace.
J’aime les regards lorsque je fais l’amour le sien me plaisait, il me donnait tout le plaisir qu’il ressentait.
Il est resté un temps à aller et venir entre mes fesses, lentement puis un peu plus rapidement, puis s’est retiré pour venir de nouveau pénétrer mon sexe, j’ai serré mes muscles de toutes mes forces pour qu’il sente cette pression sur sa verge, il n’a pas pu entrer en moi d’un coup, ses gémissements, ses mains sur mes hanches me signifiaient qu’il aimait cette résistance volontaire. Lorsqu’il a été tout en moi, il a accentué sa présence par de grands coups de reins, je le sentais au fond de mon ventre je ne voulais plus qu’il bouge, juste mon ventre et mes muscles l’enserrant, le libérant un peu et l’emprisonnant de nouveau. Il a crié d’un coup, il ne pouvait plus se retenir, son envie de jouir était devenue trop forte. Je l’ai senti se vider en moi, tout en s’agrippant de ses mains sur mes hanches et en mordant mon épaule légèrement dénudée.
Nous sommes allés nous allonger, nous avons fumé une cigarette. Il a pris mon menton dans sa main, a fondu son regard dans le mien et m’a dit :
"MERCI", m’a embrassée, et nous avons recommencé.
Ce jour là, jour heureux de ma jeunesse, j’ai dévergondé un homme qui n’avait pas imaginé que la routine pouvait être déviée.
Ven 16 Jan 2004, 00:59 par Nébuleuse sur Les liaisons sulfureuses
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