Les sanglots de l'hiver


Une bise glaciale souffle sauvage,
Si fort,
Qu’elle me cingle le visage,
Se tord
En sifflant tout autour de moi.
J’ai soudain si froid,
Que je ne sens plus mes doigts...
Elle gémit et cherche un endroit
Où se poser.
Je mets mes mains dans les poches
De mon manteau
Pensant les réchauffer,
Et j’accélère le pas,
Afin de rentrer chez moi.
Je continue ma route ,
Tant bien que mal
Sous les rafales
J’entends au loin des pleurs...

Des sanglots qui ne cessent.
Je me rapproche encore un peu plus
Je me retrouve en face
D’un bonhomme de neige géant,
Dont les larmes
Qui n’arrêtent pas de couler,
Ressemblent a des diamants,
Si purs, si blancs.
Il m’explique sa tristesse,
De n’être que de passage
Qu’il ne sera bientôt plus qu’un mirage
Qu’il redoute la venue du printemps.
IL regarde une dernière fois ,
La glace qui l’entoure
Cette glace, qui va fondre aussi
En miroitant
Pour retourner dans son lit
Mar 01 Jan 2013, 19:06 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Fraise au parfum de rose

]Un samedi, comme tant d’autre... Et pourtant ....
Saint Jean beau quartier de Lyon.
Dans une rue, plutôt bien fréquentée, en effervescence, comme souvent le soir.
MARINE, qui se dépêche de rentrer chez elle comme d’habitude, sa baguette de pain à la main.
PIERRICK, tenant dans une main , le bout d’un ruban ficelé d’un prestigieux gâteau qu’il vient d’acheter chez un pâtissier renommé pour l’anniversaire de sa petite amie; et de son autre main une rose.
Ils ne se connaissent pas encore...
Ils se "percutent".Marine a une fâcheuse tendance à baisser la tête et à regarder ses pieds.PIERRICK surveille son carton oscillant, légèrement,afin surtout qu’il ne penche pas trop.
L’impact est éminent...
Comme au ralenti, la scène s’en suit
L’atterrissage du gâteau par terre, suivit de la rose, et de la baguette de pain qui se mettent à rouler, et s’échouent près d’une bouche d’égout.
Ils daignent enfin lever leurs yeux, et PIERRICK ne n’est pas insensible au charme de Marine, Marine qui rougit
Elle ne sait pas quoi dire, et, elle est vraiment désolée,de ce qu’elle a provoqué.C’est pas la première fois que cela lui arrive Marine toujours la tête dans les nuages,écrivain à ses heures, qui accumule des petites bêtises, ou qui fait tomber des choses.Il y a des jours comme ça, ou elle resterait bien chez elle; on ne l’appelle pas Miss catastrophe pour rien;Ils se penchent sur le dessert, dont les dégâts,sont tout de même pas anodin.
A défaut d’un gâteau à la fraise, c’est un gâteau tatin. Marine est vraiment ennuyée, elle propose le remboursement, et à la même occasion, lui rachète le même , bien qu’elle imagine qu’il coute cher.Et en ce moment Marine est juste, il faut dire qu’avec un salaire, pas évident; mais elle gère comme elle peut,tant pis il faut qu’elle le rembourse d’une façon ou d’une autre.
PIERRICK a une idée invraisemblable mais finalement pourquoi pas? ,il est fou à ce moment la , mais parfois la folie,ne peut qu’être grisante, et cela fait très longtemps que cela ne lui est pas arrivé.
IL lui propose, de lui laisser son numero perso juste histoire de la revoir, et refuse quelconque remboursement.,
Elle ne sait quoi dire, mais lui donne le sien.
Quelques semaines plus tard, Marine attend, Pierrick , à la terrasse d’un restaurant, un rendez vous qu’il a programmé rapidement; il, travaille beaucoup, et il est rare qu’il puisse se libérer aussi facilement. Mais il faut bien trouver une excuse, même pour un rendez vous des plus correct.
IL arrive, avec un carton à la main , oubliant le mauvais épisode, car à s’en rappeler, sa petite amie n’ avait pas trop apprécié, son gâteau d’anniversaire renversé, et il en avait même oublié la rose et maintenant il en souriait en y repensant, mais finalement ce jour la il avait fait une belle rencontre, et il voulait d’avantage connaitre Marine.Marine aux yeux noisette si expressif, si charmante, bien qu’elle ne fut pas d’ une grande beauté, elle avait les formes la ou lui il aimait, et cela promettait d’être intéressant, de part son comportement,qui supposait qu’elle était douce, gentille et brillante.
Il savait qu’il devait aller doucement avec elle,et il se trouvait même "bête" , ne trouvant pas les mots, mais rassuré de voir Marine tout à son aise, lui compter fleurette ...
Il se retrouve chez elle, naturellement comme si ils se connaissaient, quelques gouts en commun, surtout la cuisine, le bon vin, ...
Elle l’emmène à la cuisine, elle ouvre le frigo, et dépose devant lui une multitude de petit choux à la crème Saint honoré surmontées de fraise, lui il ouvre son carton et en sort un gâteau napée de chantilly et aussi des fraises.
Crise de fou rire! de quoi manger, et d’en faire même une indigestion...
Il lui tend le premier un chou, et lui met dans la bouche
Un nouveau jeu? elle accepte; c’est même amusant
Ils continuent, ne voyant pas l’heure passée.
En voila un dont la crème qui s’échappe, et coule le long de son doigt,et un peu sur son cache cœur juste à la naissance de ses seins, dont la veine, du cou palpite bien vite. Il a vu,osant s’approcher , et nettoie avec son pouce.Elle en a même pas peur, juste un peu déroutée.Puis avec sa langue il lèche son doigt, regard braqué dessus Marine est fascinée; picotement dans le bas du ventre, étrange sensation, agréable...
Ils se regardent dans les yeux,et naturellement Pierrick s’approche davantage pour l ’embrasser sur ces lèvres. Il se colle contre son corps,elle en tremble, et aura du mal à se laisser aller , mais il la met en confiance, et est très doux, car il aime donner,mais il n’a pas encore compris que Marine est pareille.
Ils se retrouvent nus, Pierrick écrasant une fraise entre ses beaux vallons et dont il boit le jus, ses pointes se figent, et des frissons parcourent son corps.Elle en veut encore ,il en pose par -ci par la , puis une dans son intimité, ou il la croque, délice calice ou il s’y niche,et dont elle plante ses doigts dans sa chevelure,et gémit...Il goute à son bouton rose,le happe, ,elle jouit...
Ils sont fous,ils se "tartinent" de crème, pâtissière, de chantilly, de sirop de rose que Marine fait couler sur son corps, ou à son tour elle prends les initiatives.Elle se délecte,telle une gourmande amante, qui prend le temps,en le léchant de partout, en l’aspirant de doux baisers, tantôt fougueux , tantôt langoureux.Il est au bord du précipice, mais se retient encore.
Elle pose sa bouche autour de son sexe,et le "dévore" goulument,puis la pointe de sa langue descend,encore plus bas et fait couler du sirop dont elle lèche avec avidité et frénésie...
La jouissance ,arrive, et explose, il est comblé,elle se sent bien, ne veut plus bouger,et rester encore un peu;Il continue de la caresser,il aime la douceur de sa peau,Il ferme les yeux.Elle le regarde, en profite encore un peu avant le départ; Car fatalement il y a un départ, à savoir si ils se reverront ?

il en restera un beau souvenir, et une rose posés sur la table séchée et conservée .. [/size]
Sam 23 Oct 2010, 10:16 par caressedesyeux sur Les liaisons sulfureuses

Je l'aimais

Bon ben c’est mon premier texte enjoy it or not.


C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.

Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.


Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.

Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.

I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.

I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
Mar 10 Oct 2006, 20:50 par Evidance sur Histoires d'amour

Lettres du désert, 3ème jour

La vie coule en moi, abondante et elle appelle ta vie. La lumière en moi gémit après ta lumière. Mon souffle recherche le tien. Je me souviens de ton sourire, de chaque parcelle de ton être. T’aimer et encore t’aimer. En dehors de cela je n’ai aucune force, aucun désir. La vie sans toi, n’est plus vivre. Et pourtant, chaque jour, je me remets à l’ouvrage. Pourquoi, toi ? Comment cela s’est-il fait ? Fallait-il que notre union dans l’Esprit soit aussi inaltérable, absolue, définitive pour qu’elle demande à être encore et encore et que l’absence physique me laisse à nue, sans souffle ? Je fais tout mon possible pour t’oublier mais peine perdue. Vouloir t’oublier c’est mourir à moi-même. Cela me désole. Où est mon indépendance ? Ma vie est-elle conditionnelle à ta vie ? Et la communion a pris depuis ce jour lointain tout son sens. Non, l’homme ne peut séparer ce que l’Esprit a uni, ce qui est de Dieu ne passe pas. Chaque jour, chaque heure, chaque seconde me le rappelle. Ma chair, mon cœur, mon âme sont au supplice. Faut-il que celui qui fut ma joie soit, par son éloignement, ma douleur ? Oh, quels abîmes se réveillent en moi ! Tu déposes en creux ton souvenir qui me brûle. Je le sais, il n’y a à la passion qu’une issue. L’amour, plus fort que la mort, plus fort que la loi, plus fort que tout vouloir propre. Ne plus résister, ne plus combattre, lâcher prise, m’abandonner à l’intensité de cet amour. Je renais à la vie en mon sein. J’ai rouvert mon cœur et chaque porte. Mes voiles sont tendues et mon embarcation file vers le large se moquant des vents contraires, des grains mauvais, des tempêtes, du bruit des marées, du sifflement des oiseaux de mer, du cri des marins. Le fils de l’homme est là, au cœur de ma goélette, je ne crains rien. Tout est grâce. Dans la douceur, la quiétude, sans impatience, la tendresse et le désir rieurs. Avec les yeux clairs de l’enfance, l’innocence retrouvée, la pureté et la joie. Dans la grâce de Dieu.
Je t’aime.
Jeu 12 Jan 2006, 20:38 par dolce vita sur Histoires d'amour

La vie à trois

Chaque matin, une pensée pour elle
Dans les rues, tout lui rapelle son sourire
Sur ses lèvres, le souvenir de ses baisers d’une nuit
Dans son coeur, ses mots qui résonnent

Je t’aime prononcé quand il l’appelle
Tu me manques murmuré dans un soupir
Quand viens-tu demandé avec envie
A demain en raccrochant le téléphone

Chaque jour, il construit leur archipel
Dans un message, il l’a fait rire
Dans un espoir, il l’a séduit
Elle ne résiste pas et frissonne

Chaque soir, un espoir s’éveille
D’encore quelques minutes embellir
Avant d’oublier le délit
Retrouver celle à qui il se donne

Chaque nuit, dans ces rêves de merveilles
Il cherche ses baisers pour jouir
Il entend qu’elle gémit
C’est à une autre qu’il s’abandonne
Mar 31 Août 2004, 13:00 par la marquise de sade sur La vie à deux

Pour ma douce !

Viens, viens, viens contre moi,
Et tout doucement colles ta peau
Tiens, tiens, voila de l’émoi
Simplement, je veux que ce soit beau.

Encore, encore, encore je le veux,
Que pleine de désir, tu te donnes à moi
Toujours, toujours, pour nous rendre heureux
Qu’on s’aime, se prenne, mille et une fois.

Gemit, , de tes yeux
Et dis dans un souffle, combien tu aimes ca
Cries, cries et tire mes cheveux
Quand vers l’extreme nos pas vont par là.

Dors, dors, dors ma chérie
Dans un sommeil d’Ange, que tout le monde t’envie
Et reve, reve comme tombe la nuit
D’une étreinte sans tréve, d’un amour sans merci.
Lun 02 Fév 2004, 17:15 par PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
Page 1 sur 1

Ecrire sur gemit

Ecrire sur gemit Les sanglots de l'hiver, Fraise au parfum de rose, Je l'aimais, Lettres du désert, 3ème jour, La vie à trois, Pour ma douce !,
Il y a 6 textes utilisant le mot gemit. Ces pages présentent les textes correspondant.

Bonne lecture !

Derniers textes

Livres recommandables

Extases de femmes
COLLECTIF
Pocket
L'Ile des Gauchers
Alexandre Jardin
Gallimard
EAU A LA BOUCHE
ANNE BERT
Pocket
Écrire - un plaisir à la portée de tous: 350 techniques d'écriture créative
Faly Stachak
Eyrolles
Les fables de l'Humpur
Pierre Bordage
J'AI LU
La Pharmacienne
Esparbec
La Musardine
On ne badine pas avec l'amour à 1,55 euros
Alfred de MUSSET
Pocket
La Reine des lectrices
Alan Bennett
Folio
Celle qui couche avec les autres
Catsig
J'ai lu
CARNET DE RROSE
ALINA REYES
Pocket


Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres

La citation d'amour

Un nouvel amour en remplace un ancien comme un clou chasse l'autre.

Cicéron.

Qui est en ligne ?

  • Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
  • La date/heure actuelle est Mer 30 Juil 2025, 21:31
  • Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
    Nous avons 1234 membres enregistrés
    L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher
  • Il y a en tout 106 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 106 Invités et 0 Bots   [ Administrateur ]   [ Modérateur ]
  • Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 483 le Mar 25 Fév 2025, 16:25
  • Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
    Bots : Aucun
  • Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes
  Connexion
Nom d'utilisateur:
Mot de passe:
Se connecter automatiquement à chaque visite