Pour ceux, pour deux

Élaguer jusqu’à prendre racine,
A même la terre, à pleine sève,
Se fondre au minéral jusqu’à l’oubli de cette destinée lourde, voilà le but de ces portées de mots. Élancées. Forgées. Sculptées.
Avec la pérennité de la pierre et la transparence de l’eau.
Ce mélange d’accessibilité et de distance. Lieu écourté entre deux âmes esseulées qui se tiennent la main et ne se perdent pas de vue.
Pour ceux qui ont pris la peine de me lire,
Pour nous deux parce qu’on est moins seul face au chemin de la vie, la pause est moins longue, les triples croches moins agressives,
Une clé à mots avec des tempos cadencés, ceux qui nous bercent, ceux qui nous séparent. Des liens entre deux places : celle des hiers, celle du maintenant.
Demain n’existe pas. C’est l’abstraction même du moderato. Voix parmi tant d’autres que notre sensibilité a élue. Unique. Reine. Despote aussi. Tyrannique, oui. Un pouvoir parmi les autres pouvoirs : celui du langage des arbres, des notes, des poèmes enfouis sous l’âge et le poids des ans.
Une célébration du présent. Sans détriment. Un pour, sans contre. Pas de contrepoint. Rien que de l’embonpoint. Pas une image. Rien que des bons points. De ceux qui rendent d’être enseignés, de ceux qui donnent de l’éclat à l’iris de nos regards hésitants. Que vivent ces petites impressions encrées qui n’ont de sens que par rapport au don. De soi. Aux autres. De toi à moi. Ces petits riens que j’ai avant nommés. Des débuts de tout qui se sont inscrits dans l’écrit du jour. De ce lendemain que ta seule présence fait chanter.
Lun 23 Juil 2012, 21:21 par Radski sur La vie à deux

Tout ce que je n'ai pû te dire

Tu veux que je te dise ? Tu me manques, mais aujourd’hui je sais que je vais avoir la force de me relever. Je sais que j’ai pas le choix, alors je m’accroche, Et pourtant, je ne sais pas comment je fais. J’ai tout perdu cette année, je n’ai pas aboutis dans ma vie professionnelle , je t’ai perdu, j’ai perdu beaucoup d’amis. Mais tu sais pourquoi je tente toujours de rester debout ? Parce que tu es la raison de tout ça. Tu es la cause même de toute ces pertes. Alors pourquoi tu me manquerais ? La raison est simple, je t’aime, encore et toujours. Cependant, depuis que tu m’as laissé, en pleurant, toute seule sur le parking, je ne sais plus qui tu es, je ne suis plus sûre de qui tu es, et de ce qui se passe dans ta tête. C’est bien simple, c’est comme si je ne t’avais jamais connu. Alors pourquoi j’ai ce sentiment amer ? Je devrais m’en foutre de toi, je devrais juste me dire que tu n’es pas le même et que je n’ai rien a faire avec toi. Je t’ai dit que je souhaitais sincèrement ton bonheur, je t’ai dit que je jalouserai la prochaine fille qui sera à tes côtés, et c’est vrai. Tu as embrassée une autre fille, et je peux pas m’empêcher d’imaginer son visage, son allure, la couleur de ses yeux, de l’imaginer plus belle que moi , et ca me ronge que tu désire quelqu’un d’autre, même si je sais que tu l’as embrassé et que tu es ressorti de cette soirée avec la même impression que j’ai eu auparavant. Tu sais, cette impression de ne rien reconnaitre, de perdre ses repères. Je sais pas si tu l’as également ressenti, mais ca m’avait dégouté, parce que je ne reconnaissait pas tes lèvres, je ne reconnaissait pas la douceur de tes baisers.
Alors, voilà, tu me manques, je fais une véritable connerie en ne te laissant pas une seconde chance, j’ai certainement tord de ne pas privilégier notre bonheur, et de penser et agir par sécurité. Mais j’ai eu mal, j’ai eu mal quand tu m’as laissé, au point de vouloir mourir, au point de ne plus vouloir sentir cette souffrance permanente dans ma poitrine, afin de ne plus manquer d’air, afin de ne plus avoir envie de pleurer sans se sentir soulagée. J’ai eu mal comme j’ai jamais eu mal, tu sais. Et c’est justement pour cela que je me suis fermé à toi au départ , parce que j’ai encore une fois appris que plus tu donnes de ta personnes, de ton intimité et de ton cœur , plus tu es vulnérable, et plus tu tombes bas. Tout ca, je n’ai jamais eu le cran de te le dire et j’aurai encore tellement à te dire, mais à quoi bon... Saches qu’aujourd’hui j’ai beaucoup de mal à me voir auprès de quelqu’un d’autre, d’être heureuse auprès de quelqu’un d’autre parce que tu restes en moi, comme possédée. Et c’est à moi seule de te chasser… Et malgré tout, je continue de penser que tu étais le bon, celui qui me correspondait.
Tu me manques, je t’aime, mais je dois t’oublier parce qu’on s’aime trop pour être pour l’instant. Je t’aime, je t’aimerai toujours.
Mar 10 Juil 2012, 22:09 par sauvée sur Parler d'amour

Une guerriere

Assis, ce matin, à la terrasse de ce café, je me sens serein et je goutte la calme tiédeur de cette matinée qui n’a pas encore commencé. Hier soir, je me suis couché tôt, refusant de ne pas éteindre la télé après le journal. Je ne fume plus, et j’ai réussi à ne plus boire à l’ivresse, même légère. Quand je me suis levé, je me sentais propre de l’intérieur, plein d’une énergie que je ne suis pas sûr n’avoir jamais vraiment eu. Je suis parti à pieds vers le centre du village, à l’heure où l’on est sous sa douche. J’étais de mes choix, je n’avais plus peur de vieillir, avec cette impression au cœur que tout est encore possible, comme quand j’étais l’adolescent au cheveux noirs et bouclés, qui posait pour sa première carte d’étudiant, regardant confiant l’avenir au travers de l’objectif les yeux arrogants et posés comme un air de défi. Ce matin, j’étais ce jeune homme vert, à la peau douce, au visage sans mollesse.
Le ciel est clair, le vent a chassé les nuages. La journée commence dans la douceur. Je regarde la rue animée par les artisans qui rejoignent leur chantier. Je tourne la cuillère dans ma tasse de café, ne sachant ou la poser. Le patron du bistrot, derrière son comptoir est occupé de mille taches dont j’ignore le sens. Un vieux, au visage de parchemin est absorbé par la lecture de la rubrique hippique d’un journal qu’il a sorti de la poche intérieure de sa veste. Le temps passe sans but avec lenteur et je n’ai pas encore porté la tasse à mes lèvres. J’attends, et pourtant je sais que bientôt je me lèverai pour reprendre le chemin de ma location. On se croirait comme en Afrique, ou dans le sud de l’Espagne, quand la chaleur écrasant l’air, immobilise la vie.

C’est à ce moment que je l’ai vue passer devant moi. Habillée court, chaussée de talons hauts, elle m’apparaissait dans la minceur triomphante de celles pour qui leur silhouette est le fruit de l’entreprise d’une vie. Elle marchait en roulant ses fesses, le regard fixé vers la boulangerie. Je me suis senti attiré vers elle, ne pouvant détacher mes yeux de ce cul hypnotique. Quand elle n’était plus là, j’avais son image encore au fond de mes yeux. Qui était donc cette femme ? Il ne faut pas être devin pour imaginer qu’elle devait porter un lourd bagage psychologique. Je me sentais à la fois amusé et excité par cette poupée de cinquante ans, qui pour être certaine d’accrocher le regard des hommes avait du passer plus de deux heures à s’apprêter dans le silence de sa salle de bain afin de se présenter dans les atours les plus caricaturaux de la féminité, simplement pour aller chercher son pain.

Elle exprimait une telle volonté d’être séduisante, qu’elle en devenait émouvante. Je l’imaginais fragile et inquiète, passant probablement le plus clair de son temps à scruter les signes de l’âge, qu’elle tentait avec obstination d’endiguer méthodiquement. Elle avait la chance d’avoir su garder la finesse de sa silhouette, conservant un corps fin et musclé qu’elle devait mettre en valeur pour que l’on oublie de regarder son visage qui, malgré sa science du maquillage ne pouvait plus faire impression. Dans l’excès de l’obsession de son apparence, elle en faisait trop. Vêtue comme une chasseuse, elle avançait d’une démarche étudiée, uniquement attentive aux regards qui se posaient sur elle. Je l’ai sentie blessée, comme une femme qui a pris la décision de se donner les moyens de refaire sa vie. Chez elle, la fêlure allait au-delà de la simple campagne de séduction. On sentait que son corps était le terrain d’un champ d’une bataille qui se livrait quotidiennement. Elle refusait, elle niait, elle luttait. Elle savait qu’il ne lui restait que peu de temps avant que les brèches ne soient trop nombreuses pour colmater les fuites toujours plus puissantes, qu’elle scrutait chaque jour, que bientôt elle ne saurait plus endiguer. Elle craignait ce jour, refusant d’y penser, mais investissant dans sa lutte chaque instant de sa vie. Cet instant arriverait trop tôt. Vaincue par le temps, dans sa solitude désœuvrée, Elle n’aurait plus alors de but et n’aurait plus qu’à contempler ses souvenirs au hasard des albums de photos, se remémorant le temps où elle faisait encore se retourner les hommes. Ce jour arriverait trop tôt, le temps où elle ne serait plus qu’une vieille au statut de beauté déchue durerait trop longtemps.

Perdu dans mes divagations, je la vis repasser. Le vieux leva la tête et l’observa en affichant un sourire gourmand. Il ne put s’empêcher de lancer une remarque salace, sur ses fesses et ses jambes. Ce vieux crabe, qui ne devait pas être plus vieux que cette guerrière la considérait comme si elle lui devait quelque chose. Elle au moins se battait, tandis que lui avait depuis longtemps abandonné tout espoir de paraitre. Il avait parlé suffisamment fort et elle était assez proche pour entendre sa parole crue. Elle avançait toujours en roulant ses fesses, et en dansant sur ses escarpins, sans tourner la tête, fière d’être là dans la couleur de sa séduction outrageuse. Elle savait qu’au moins un regard ne se détachait pas de ses fesses. Elle se sentait inaccessible, excitée par le fait qu’elle nourrirait les fantasmes de ce vieux bonhomme. Moi, je la suivais des yeux, sous le regard complice de mon voisin. Dans la rue un volet s’ouvrait. Une vieille dame, en peignoir arrosait ses géraniums.

J’aurais voulu la suivre, juste pour savoir et aussi m’imprégner de son hallucinante démarche de danseuse. J’aurais voulu lui parler, tenter d’attirer son attention. Mais je savais bien que ce genre de femme ne se nourrit que de la jeunesse. Je payais mon café, et repartais, sous le soleil déjà haut qui m’écrasait la nuque. Je me sentais vieux. Bien loin du jeune homme aux cheveux bruns et bouclés qu’elle aurait tant désiré à présent, qu’elle n’aurait pas remarqué dans sa jeunesse car bien trop vert pour elle.
Lun 28 Mai 2012, 14:26 par francisco varga sur Mille choses

Une guerriere

Assis, ce matin, à la terrasse de ce café, je me sens serein et je goutte le calme et la tiédeur de cette matinée qui n’a pas encore commencé. Hier soir, je me suis couché tôt, refusant de ne pas éteindre la télé après le journal. Je ne fume plus, et j’ai réussi à ne plus boire à l’ivresse, même légère. Quand je me suis levé, je me sentais propre de l’intérieur, plein d’une énergie que je ne suis pas sûr n’avoir jamais vraiment eu. Je suis parti à pieds vers le centre du village, à l’heure où l’on est sous sa douche. J’étais de mes choix, je n’avais plus peur de vieillir, avec cette impression au cœur que tout est encore possible, comme quand j’étais l’adolescent au cheveux noirs et bouclés, qui posait pour sa première carte d’étudiant, regardant confiant l’avenir au travers de l’objectif les yeux arrogants et posés comme un air de défi. Ce matin, j’étais ce jeune homme vert, à la peau douce, au visage sans mollesse.
Le ciel est clair, le vent a chassé les nuages. La journée commence dans la douceur. Je regarde la rue animée par les artisans qui rejoignent leur chantier. Je tourne la cuillère dans ma tasse de café, ne sachant ou la poser. Le patron du bistrot, derrière son comptoir est occupé de mille taches dont j’ignore le sens. Un vieux, au visage de parchemin est absorbé par la lecture de la rubrique hippique d’un journal qu’il a sorti de la poche intérieure de sa veste. Le temps passe sans but avec lenteur et je n’ai pas encore porté la tasse à mes lèvres. J’attends, et pourtant je sais que bientôt je me lèverai pour reprendre le chemin de ma location. On se croirait comme en Afrique, ou dans le sud de l’Espagne, quand la chaleur écrasant l’air, immobilise la vie.

C’est à ce moment que je l’ai vue passer devant moi. Habillée court, chaussée de talons hauts, elle m’apparaissait dans la minceur triomphante de celles pour qui leur silhouette est le fruit de l’entreprise d’une vie. Elle marchait en roulant ses fesses, le regard fixé vers la boulangerie. Je me suis senti attiré vers elle, ne pouvant détacher mes yeux de ce cul hypnotique. Quand elle n’était plus là, j’avais son image encore au fond de mes yeux. Qui était donc cette femme ? Il ne faut pas être devin pour imaginer qu’elle devait porter un lourd bagage psychologique. Je me sentais à la fois amusé et excité par cette poupée de cinquante ans, qui pour être certaine d’accrocher le regard des hommes avait du passer plus de deux heures à s’apprêter dans le silence de sa salle de bain afin de se présenter dans les atours les plus caricaturaux de la féminité, simplement pour aller chercher son pain.

Elle exprimait une telle volonté d’être séduisante, qu’elle en devenait émouvante. Je l’imaginais fragile et inquiète, passant probablement le plus clair de son temps à scruter les signes de l’âge, qu’elle tentait avec obstination d’endiguer méthodiquement. Elle avait la chance d’avoir su garder la finesse de sa silhouette, conservant un corps fin et musclé qu’elle devait mettre en valeur pour que l’on oublie de regarder son visage qui, malgré sa science du maquillage ne pouvait plus faire impression. Dans l’excès de l’obsession de son apparence, elle en faisait trop. Vêtue comme une chasseuse, elle avançait d’une démarche étudiée, uniquement attentive aux regards qui se posaient sur elle. Je l’ai sentie blessée, comme une femme qui a pris la décision de se donner les moyens de refaire sa vie. Chez elle, la fêlure allait au-delà de la simple campagne de séduction. On sentait que son corps était le terrain d’un champ d’une bataille qui se livrait quotidiennement. Elle refusait, elle niait, elle luttait. Elle savait qu’il ne lui restait que peu de temps avant que les brèches ne soient trop nombreuses pour colmater les fuites toujours plus puissantes, qu’elle scrutait chaque jour, que bientôt elle ne saurait plus endiguer. Elle craignait ce jour, refusant d’y penser, mais investissant dans sa lutte chaque instant de sa vie. Cet instant arriverait trop tôt. Vaincue par le temps, dans sa solitude désœuvrée, Elle n’aurait plus alors de but et n’aurait plus qu’à contempler ses souvenirs au hasard des albums de photos, se remémorant le temps où elle faisait encore se retourner les hommes. Ce jour arriverait trop tôt, le temps où elle ne serait plus qu’une vieille au statut de beauté déchue durerait trop longtemps.

Perdu dans mes divagations, je la vis repasser. Le vieux leva la tête et l’observa en affichant un sourire gourmand. Il ne put s’empêcher de lancer une remarque salace, sur ses fesses et ses jambes. Ce vieux crabe, qui ne devait pas être plus vieux que cette guerrière la considérait comme si elle lui devait quelque chose. Elle au moins se battait, tandis que lui avait depuis longtemps abandonné tout espoir de paraitre. Il avait parlé suffisamment fort et elle était assez proche pour entendre sa parole crue. Elle avançait toujours en roulant ses fesses, et en dansant sur ses escarpins, sans tourner la tête, fière d’être là dans la couleur de sa séduction outrageuse. Elle savait qu’au moins un regard ne se détachait pas de ses fesses. Elle se sentait inaccessible, excitée par le fait qu’elle nourrirait les fantasmes de ce vieux bonhomme. Moi, je la suivais des yeux, sous le regard complice de mon voisin. Dans la rue un volet s’ouvrait. Une vieille dame, en peignoir arrosait ses géraniums.

J’aurais voulu la suivre, juste pour savoir et aussi m’imprégner de son hallucinante démarche de danseuse. J’aurais voulu lui parler, tenter d’attirer son attention. Mais je savais bien que ce genre de femme ne se nourrit que de la jeunesse. Je payais mon café, et repartais, sous le soleil déjà haut qui m’écrasait la nuque. Je me sentais vieux. Bien loin du jeune homme aux cheveux bruns et bouclés qu’elle aurait tant désiré à présent, qu’elle n’aurait pas remarqué dans sa jeunesse car bien trop vert pour elle.
Lun 28 Mai 2012, 14:24 par francisco varga sur Mille choses

La jalousie



Comme un poison, dans mon sang
Elle s’infiltre lentement dans mes veines
Ce soupçon perfide qui déchaîne
Un violent tourbillon de tourments
Qui chaque jour détruit notre bonheur
S’insère entre l’esprit et le coeur
Pleine de rage, de colère, de peur... ;
Cette peur maladive de te perdre
De ne pas savoir te garder
Et ce venin qui continue de prétendre
Que tu as cessé de m’aimer
Voir dans tes yeux l’amour d’un autre
Dans tes gestes l’envie inassouvie
Cultiver en mon coeur cette jalousie
Dont l’esprit s’est fait apôtre
Et trembler chaque jour, chaque instant
De sentir que tu vas m’échapper
Et voir en chaque homme un amant
Auprès de qui tu serais comblée
Mais je ferai tout ce que je peux
Je me battrai de toute la force de mon émoi
Pour te garder toujours près de moi,
Sans t’étouffer, rendre ton coeur
Chaque jour, je me fais violence sans cesse
Malgré tous ces hommes qui convoitent.
De voir ce bonheur si fragile se briser.
Pour te couvrir d’attentions, de caresses
J’apprendrai à t’aimer, à te faire confiance
Car tu es une fleur naïve, sans méfiance
Proie facile, pour tous ces horribles vautours
Je t’aime et je sais que je t’aimerai toujours
Et chaque jour, je te prouverai sans fin
Que de ton bonheur, je sais prendre soin
Pour que chaque jour tu souries
Et en profiter, à chaque moment, de nos vies
Lun 07 Mai 2012, 20:53 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

La photo recollée

Ce photographe, le solitaire, balade ses pieds un peu partout, le nez en l’air, scrutant autour, une belle chose à son regard.

Sa sensibilité ainsi promenée, s’ouvre au monde qui l’entoure, quand d’un coup d’oeil il aperçoit, la scène qui lui va.

Comme un félin qui voit sa proie, il stoppe net ses pas, prend position en armant bien, son appareil à l’oeil droit.

Quelques réglages, par-ci par-là, encore un clic, c’est bon ça va !

Ce photographe est bien content, d’avoir usé de son talent.
Il rentre de sa passion, d’avoir figé le temps.

Tandis qu’ailleurs, non loin de là, son amoureuse attend un peu, sensible à l’art de son aimé, elle voudrait qu’il l’aime autant.

Ce sentiment d’être une photo trop regardée, qu’on ne voit plus, habitué, mais qui est là, mal encadrée.

Une photo un peu abîmée, qui a déjà été recollée.
On y voit bien les déchirures, ça n’est vraiment pas reluisant,
alors comme c’est insupportable, on pense vraiment à la jeter.

De toute façon, on le savait, elle était mal rassemblée.
On voyait bien sous l’adhésif, que ça avait été vite fait.
On a voulu la réparer mais les bouts sont mal rapprochés.

Le photographe en la voyant, pleurait tout le temps,
et l’amoureuse en y passant, pleurait tout le temps.

Trop de pleurs pour une photo, le photographe décida donc
Que cette image si déchiquetée devait maintenant s’envoler.
Avec une larme il l’arracha, son amoureuse n’était plus là.

Quel soulagement de ne plus voir, ces déchirures sur la photo,
Une belle photo à son départ, mais on ne voyait que les fissures.

Et maintenant on ne voit plus rien, c’est un peu vide à cet endroit,
Il n’y a plus les déchirures, mais plus non plus le doux visage.


« Ce n’est pas grave » dit le photographe à son amoureuse, « tu sais mon coeur on en fera une autre ».
« Ce ne sera pas la même » répondit-elle.
« Tant mieux » dit-il, « elle sera mieux parce que dessus on sera deux ».
Mer 07 Mars 2012, 19:40 par ungraindesand sur L'amour en vrac

Si je te disais encore

Si je te disais encore que je t’aime,
Est-ce que ému, tu aimerais ?
Est-ce que peut-être tu y penserais ?
Ou alors, tu soupirerais.

Si je te disais encore que je t’aime,
Est-ce que cela te calmerait ?
Est-ce qu’un peu ça t’adoucirait ?
Ou alors, tu t’énerverais ?

Si je te disais encore que je t’aime,
Est-ce que l’envie te reprendrait ?
Est-ce que tu arriverais ?
Ou alors, tu t’enfuirais ?

Si je te disais encore que je t’aime,
Comme celle qui veut que tu sois là
Comme celle qui croit en ce qu’on a
Comme celle qui ne veut que toi.

Si je te disais encore que je t’aime,
Serais-tu fier de cette estime,
Saurais-tu voir dans notre vie,
Voudrais-tu croire que c’est possible ?

Si je te disais encore que je t’aime,
Y verrais-tu du harcèlement,
Y verrais-tu de l’acharnement,
Y verrais-tu les sentiments ?

Si tu me disais encore que tu m’aimes,
Je te dirais viens mon amour,
Je te crierai qu’on est des fous,
De se quitter quand on s’aime tant.
Mer 07 Mars 2012, 16:45 par ungraindesand sur L'amour en vrac

Les hommes aussi veulent de la tendresse

Les hommes ont changé face au plaisir

Aujourd’hui , les hommes veulent toujours du sexe , mais que celui-ci soit accompagné d’amour et de tendresse
Le sexe seul , ça ne les séduit plus tant que ça. Les calins avant et après l’amour , s’endormir dans les bras de l’autre , ils apprécient de plus en plus
L’homme en couple d’aujourd’hui souhaite , pour la grande majorité , que son couple dure , et pour cela , il veut s’en donner les moyens
Comprendre la femme qui partage sa vie , lui semble primordial
Sur le plan sexuel , les hommes ne sont pas toujours entièrement satisfaits , mais ils ne semblent pas être perturbés outre mesure quand ils sont vraiment amoureux
Et puisqu’ils aiment , ils acceptent que sexuellement , la relation ne soit pas aussi intense qu’ils le souhaiteraient
Beaucoup d’hommes aimeraient faire l’amour tous les jours. Mais , il y a les contraintes de la vie quotidienne qui font que cela n’est pas toujours possible. Et puis , et surtout , de plus en plus , les hommes respectent les désirs de leur compagne qui , dans la grande majorité , ne sont pas aussi demandeuses que leur conjoint
Pour les hommes , il s’agit certes d’une frustation , mais ils la considèrent minime par rapport au conflit qui pourrait mettre leur couple à mal

Depuis toujours , dans le couple , l’homme a été considéré comme celui qui devait désirer l’autre
Seulement , au fil des années , les choses ont évolué. Les hommes se rendent compte que le sexe sans l’amour et la tendresse , ça n’a pas la même saveur
Mais , dans le même temps , ils retrouvent en face d’eux , des femmes qui , de plus en plus souvent , ont adopté le comportement des hommes en matière de sexe. C’est un peu déstabilisant. Il faut trouver le moyen de s’accorder
Pour pouvoir évoluer plus encore , les hommes doivent cesser de penser que tout doit passer par eux , y compris le plaisir de leur partenaire , idée que de très nombreux hommes ont en commun
Les hommes commencent à s’interroger et à se parler entre eux. Ainsi , ils confient , avec beaucoup de pudeur toutefois , qu’ils aiment " embrasser " le sexe de leur femme , ce qui témoigne d’une véritable évolution dans leur comportement amoureux
Ils se disent aussi , de plus en plus nombreux adeptes des préliminaires , ce jeu amoureux qui permet de faire monter le désir , de prendre le temps de se regarder , de mieux se connaître. Ces tendres calins , sont un moment de plaisir partagé qui fait monter l’excitation , de part et d’autre , jusqu’à n’en plus pouvoir
Pour ce qui est de la pénétration , aujourd’hui les hommes ne " prennent " plus leur femme , ils se sentent " accueillis " . C’est alors la fusion et la plénitude ( paroles d’hommes ! )
Bien sûr , il existera toujours des machos purs et durs , pour lesquels , leur sexe est , et demeurera un " outil " de domination de la femme
Mais , ce qui ressort vraiment aujourd’hui , c’est que les hommes , de plus en plus , laissent émerger leur part de féminité , sans honte aucune , et c’est tant mieux. Il n’y a rien de plus émouvant et touchant qu’un homme qui pleure. Loin d’être ridicules , ces hommes-là , nous remuent , nous les femmes, au plus profond de nous-mêmes
On sent les hommes avides de tendresse et d’amour vrai , comme nous le sommes, nous les femmes , en grande majorité
Les hommes ont commencé à comprendre que pour être dans son couple , il fallait savoir ouvrir son coeur. Bien ouvrir son coeur , évidemment , suppose de bien se servir de son sexe ( avec tendresse et respect ) . En amour , le coeur et le sexe sont étroitement liés
Sam 25 Fév 2012, 17:01 par Marhyna sur La vie à deux

Je veux te lire

je veux te revoir
et lire dans ton regard
le mot amour
je veux lire dans ton corps
le mot encore
je veux lire dans tes yeux
le mot
je veux lire dans tes mains
le mot destin
je veux lire sur tes lèvres
le mot toujours
je veux lire sur tes pourtours
le mot fièvre
je veux lire en toi
l’amour fou
l’amour doux
l’amour Nous
je veux lire attentivement
et tendrement
ces mots sciemment
je veux lire dans tes nuits
le mot envie
je veux lire dans tes journées
le mot aimer
je veux lire lier
le mot éternité
je veux lire le livre de notre histoire
dans ton regard
dans ta bouche
aux fines couches
où ta langue touche
le mot espoir
je veux lire dans ton coeur
le mot bonheur
je veux lire les yeux fermés
le mot marier.
Jeu 24 Nov 2011, 22:54 par inlove sur La vie à deux

Des carences....

La vieille peau nous parle de mirages
( faute de pouvoir parler de mariages )
dans sa jeunesse qu’elle s’est inventée
elle tente de dérider son vieil âge
elle tente d’inventer sa vie rêvée

Elle entre sur scène sous les projecteurs
du régisseur
le seul qui lui donne des couleurs
à sa monotone heure.

Elle repense à la vie à deux
lorsqu’elle était mariée
avant de ne plus se sentir
et de divorcer.

Depuis la solitude la ronge,
elle a beau se maquiller,
sa peau reste terne, et éponge
ses larmes de crocodile râté.

Elle voudrait croire en ses fantasmes,
qu’elle n’ose avouer,
elle voudrait se sentir femme,
et pas à moitié.

Dans son petit appartement,
elle se sent en isolement,
et jalouse les Marilyn,
celles que les hommes animent...

Elle aussi se voudrait réanimée,
par un pompier,
mais aigrie, elle ne fait que regarder
les autres s’aimer.

Elle cherche la faille, le jardin secret,
elle cherche: où l’ont-ils caché?
elle ne sait....
ce que ce couple fait...

Elle imagine le silence de l’invisible,
quant elle écrit, elle se sent émergée...
elle voudrait plonger dans l’immergé,
voir ce qu’elle ne peut regarder...

Ses quarante deux ans
l’ont achevés,
elle ne peut acheter
des jeunes talents.

Elle repense à sa vie sans solitude,
à ces images qui l’ont bercées,
pour maintenant l’abandonner,
dans son inexactitude.

Depuis elle ment comme elle respire
elle ment comme elle s’inspire,
comme elle expire,
elle se construit son désir.

En grand mère déguisée,
elle reste voilée,
cachée, désappointée,
tel un loup manqué.

Sa maladie elle l’exhibe,
elle la vend, s’en inhibe,
puis elle finit par rentrer
dans sa prison organisée.

Ici c’est le même mur,
les mêmes armures,
qui l’ont à l’usure,
elle se tait de ses blessures.

Elle voudrait que la tristesse
soit notre détresse
pour mieux gérer son stress,
elle se voulait princesse.

Lorsqu’elle la voit l’embrasser,
elle voudrait mourir, tétanisée,
elle ne veut pas voir les gens s’aimer,
ça lui renvoie ce qu’elle a manqué.
Mer 23 Nov 2011, 14:38 par inlove sur Mille choses

Des carences....

La vieille peau nous parle de mirages
dans sa jeunesse qu’elle s’est inventée
elle tente de dérider son vieil âge
elle tente d’inventer sa vie rêvée

Elle entre sur scène sous les projecteurs
du régisseur
le seul qui lui donne des couleurs
à sa monotone heure.

Elle repense à la vie à deux
lorsqu’elle était mariée
avant de ne plus se sentir
et de divorcer.

Depuis la solitude la ronge,
elle a beau se maquiller,
sa peau reste terne, et éponge
ses larmes de crocodile râté.

Elle voudrait croire en ses fantasmes,
qu’elle n’ose avouer,
elle voudrait se sentir femme,
et pas à moitié.

Dans son petit appartement,
elle sen sent en isolement,
et jalouse les Marilyn,
celles que les hommes animent...

Elle aussi se voudrait réanimée,
par un pompier,
mais aigrie, elle ne fait que regarder
les autres s’aimer.

Elle cherche la faille, le jardin secret,
elle cherche: où l’ont-ils caché?
elle ne sait....
ce que ce couple fait...

Elle imagine le silence de l’invisible,
quant elle écrit, elle se sent émergée...
elle voudrait plonger dans l’immergé,
voir ce qu’elle ne peut regarder...

Ses quarante deux ans
l’ont achevés,
elle ne peut acheter
des jeunes talents.

Elle repense à sa vie sans solitude,
à ces images qui l’ont bercées,
pour maintenant l’abandonner,
dans son inexactitude.

Depuis elle ment comme elle respire
elle ment comme elle s’inspire,
comme elle expire,
elle se construit son désir.

En grand mère déguisée,
elle reste voilée,
cachée, désappointée,
tel un loup manqué.

Sa maladie elle l’exhibe,
elle la vend, s’en inhibe,
puis elle finit par rentrer
dans sa prison organisée.

Ici c’est le même mur,
les mêmes armures,
qui l’ont à l’usure,
elle se tait de ses blessures.

Elle voudrait que la tristesse
soit notre détresse
pour mieux gérer son stress,
elle se voulait princesse.

Lorsqu’elle la voit l’embrasser,
elle voudrait mourir, tétanisée,
elle ne veut pas voir les gens s’aimer,
ça lui renvoie ce qu’elle a manqué.
Mer 23 Nov 2011, 14:37 par inlove sur Mille choses

Notre première fois

Je voudrais qu’après notre première fois,
tu te sentes apaisé,
et que tu ne sois plus fatigué mais satisfait.

Tout à l’heure tu étais trop beau comme un coeur charmant et craquant.

Pourquoi notre timidité est-elle si violente?

En régie, c’est pas de la scène, c’est du vécu.
Et toi je te vis.

Je voulais que tu restes plus longtemps encore, je ne voulais plus que tu partes, je ne voulais pas que tu partes.
Je voulais tout te dire et en même temps ne plus parler pour te coller et t’avoir dans la peau autant que je t’ai dans le coeur.
Je voulais me baisser ramasser avec toi ce que tu fais tomber.
Comme je tombe d’amour pour toi.


Je suis en train de devenir folle d’amour de toi,
comment te dire je t’aime, mes yeux t’aiment, tu donnes des frissons à mon corps, je te ressens, tu rentres en moi et tu n’en sors plus.
Je te sens et je te veux , près de moi, je veux rayer de notre dictionnaire le mot "fin".
Ta sensibilité, ton intérieur, enfin tout ce que tu dégages, ces valeurs qui ne s’achètent pas.
Tu es beau, de plus en plus, à chaque fois que mon regard se pose sur toi.
Je voudrais être tous les soirs avec toi.
Tous les jours comme le soleil est toujours là même invisible.
Le soleil n’existe pas que lorsqu’on le voit, et pour moi tu existeras toujours.
Tu es là, sur cette feuille, sur mes lèvres, partout où je vais je te prends avec moi dans mon esprit.
DANS MON COEUR aime aime aime aime aime aime aime aime aime aime aime aime
Ven 18 Nov 2011, 03:00 par inlove sur La première fois

Dans la retenue...


Il fait beau,
Nous allons nous balader
Elle prend ma main dans la sienne
J’en avais perdu l’habitude.
Je me retiens...

Mais qu’est ce que je me sens bien.
On s’arrête pour boire un verre
À la terrasse d’un coquet café
Elle me dévore des yeux
Je me sens .
Elle prend ma main,
La pose sur la table
Me caresse le poignet
Et je me retiens...

Pourtant je me sens bien
J’en avais perdu l’habitude.
Promenade dans quelques boutiques
Elle se penche,
M’embrasse en pleine bouche
Devant la foule
Et je me retiens...

J’en ai perdu l’habitude.
Mais j’avoue que j’aime cela.
Les heures défilent trop vite.
Vingt heures, l’heure de se retrouver pour un dîner
Je suis bien accompagné :
Sous la table, elle joue avec son pied
Remonte doucement le long de ma jambe
Et je me retiens...

Je sens en moi monter le désir,
J’y prends même du plaisir.
Elle me fait languir.
Je me retiens...

Partie de bowling
Suivie, d’un billard
Je me concentre.
Elle arrive doucement derrière moi
Se colle et m’embrasse dans le cou
Et je me retiens...

Met ses bras autour de ma taille
Me déconcentre.
Je viens de perdre
Mais finalement j’aime ce qu’elle fait...
Sous la douche, elle me rejoint
Elle anticipe, en posant au creux de ses mains
Un gel parfumé au jasmin
Caresse et remonte jusqu’au cou
Je me retiens...
Sur le lit, elle malaxe ma peau,
Masse mon dos
Et je me sens bien...

Elle me câline,
Me donne de la tendresse
Peau contre peau
Et je ne me retiens... plus


Elle est belle,
Sublime
J’en suis fou,
une ensorceleuse,
Un aphrodisiaque
J’en deviens insomniaque...
Elle est mon ange,
Mon paradis,
Un soleil pour le reste de ma vie...
Sam 22 Oct 2011, 18:45 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Pas inconnu

Tu m’as retrouvée...
Je t’avais oublié...
Notre première rencontre n’était que passage sans grande passion... quelques soirées bien arrosées.
J’ai eu un peu honte, bien vite dépassée ;-)
Alors nous avons échangé :
J’ai eu peur, tu étais trop loin ! "je ne parle pas aux hommes de plus de 10km de chez moi" ! Tu as su me rassurer : "je peux me rapprocher" !
On s’est découverts, je ne pensais qu’à te lire, à échanger encore et encore !
Jusqu’aux retrouvailles... la cata ! Je commençais tout juste à t’aimer  mais je ne t’ai pas trouvé a mon goût ! Quelle idée d’être à ce point aveuglée ! Je cherchais peut-être une beauté ? Un canon ? Je te l’ai dit, tu t’es enfui.
Le lendemain, n’y tenant plus, je t’ai recontacté, "restons amis"... puis"amis amants". Tu as su être patient !
Je t’ai enfin regardé autrement. Tu m’as rejointe :-) nous sommes depuis plus d’un an et jamais dans ma vie je n’ai connu une telle réciprocité dans l’amour que nous avons l’un pour l’autre. Merci merci merci merci etc.
Sam 10 Sep 2011, 17:39 par Surlechemin sur Amour internet

Quand une femme se fait chatte

Je me lave du bout des doigts
Une vraie toilette de chat
J’ai juste enlevé le bas
Et te voilà déjà en émoi
Je garde un petit haut
Car trop ne faut dévoiler
Sinon où serait le plaisir
Que tu prendrais à enlever
Pour le reste découvrir....

Je suis émoustillée, mon corps dénudé
Te rend, de désir, tout excité
Partager ce moment d’intimité
Est un rêve que j’ai souvent fait
J’ai fait couler doucement un bain
Le filet d’eau glisse sur mes seins
Toi qui remontes jusqu’à mes reins
Un massage vraiment divin

Des bulles de savon éclatent en mousse
Et toi tout qui rit aux éclats
Des bulles de champagne se trémoussent
Parmi les galets aux senteurs de chocolat
Tu te régales de mon corps, me donnes envie
Tes douces caresses me mettent en appétit
De finir ce petit jeu amoureux dans un lit
Être à jamais ta petite chatte pour la vie


timide grin
Lun 15 Août 2011, 19:29 par caressedesyeux sur Mille choses
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Ecrire sur heureux

Ecrire sur heureux Pour ceux, pour deux, Tout ce que je n'ai pû te dire, Une guerriere, Une guerriere, La jalousie, La photo recollée, Si je te disais encore, Les hommes aussi veulent de la tendresse, Je veux te lire, Des carences...., Des carences...., Notre première fois, Dans la retenue..., Pas inconnu, Quand une femme se fait chatte,
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