Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur homme - Page 10 sur 23
Essaye moi...
Moi pauvre fou
Moi qui ne suis même pas digne te regarder
Je suis fou de toi
Ma has echizado...
Tu m’as apporté la joie de vivre
Tu m’as donné l’envie
Ton sourire est comme la vie
Et je vois l’amour...
Mais je ne veux point te faire peur
Je ne suis qu’un homme
Pauvre et fou
Amoureux et passionné
Qui souhaiterait tout te donner
Juste pour un regard amoureux
Ou au moins un regard tendre
Qui me laisse l’espoir de former ta moitie...
Ne le prends pas à la première lettre
Si cela te fait peur
Mais sache que je suis honnête
Comme je ne l’ai été depuis longtemps
Essaye moi...
Juste pour une heure
Juste pour te faire une idée
Et je te le redonnerai cela au centuple
Si cela ne marche pas tannt pis
Il n y aura alors plus de regrets
Car moi je suis pour toi
Comme je ne l’ai pas été depuis
Jamais...
Este amor es el verdadero...
Trop encore je m’élance
Ne le prends pas tel quel
Si ce n’est pas ce que tu souhaites
Si cela te fait peur
Imagines moi comme un de plus
Et laisse moi te donner le peu que je suis
Alors tu te feras ton idée
Et consciente tu pourras faire ton choix
Essaye moi...
Du fait de notre envionnement
Je sais le danger que cela peut être
Mais oublions le futur
Pour nous concentrer en notre présent
Notre vie ne dépend pas d’eux
Mais de nous
Je ne veux certes pas les molester
Mais qu’il ait une possibilité
Qu’il existe une chance
Tant minuscule soit elle
Essaye moi...
Enfin si ton idée est claire
Si ton choix est fait
Et que celui ci est sans moi
Alors ainsi soit il
Je me rangerais à ce choix
Sache que je le respecterai
Comme à une femme
Et comme à une amie
Que je ne pourrai oublier...
J’aurai voulu te le dire de face
Devant ce coucher de soleil
Que nous avons partagé
Une nuit d’été
Mais je n’ai point voulu gâcher
Cette nuit exceptionnelle
Qui dans mon coeur réveille
Des sentiments troublés
Où j’aurais dû tout avouer....
Car sans toi
Je ne sais où cette vie
Va....
Moi qui ne suis même pas digne te regarder
Je suis fou de toi
Ma has echizado...
Tu m’as apporté la joie de vivre
Tu m’as donné l’envie
Ton sourire est comme la vie
Et je vois l’amour...
Mais je ne veux point te faire peur
Je ne suis qu’un homme
Pauvre et fou
Amoureux et passionné
Qui souhaiterait tout te donner
Juste pour un regard amoureux
Ou au moins un regard tendre
Qui me laisse l’espoir de former ta moitie...
Ne le prends pas à la première lettre
Si cela te fait peur
Mais sache que je suis honnête
Comme je ne l’ai été depuis longtemps
Essaye moi...
Juste pour une heure
Juste pour te faire une idée
Et je te le redonnerai cela au centuple
Si cela ne marche pas tannt pis
Il n y aura alors plus de regrets
Car moi je suis pour toi
Comme je ne l’ai pas été depuis
Jamais...
Este amor es el verdadero...
Trop encore je m’élance
Ne le prends pas tel quel
Si ce n’est pas ce que tu souhaites
Si cela te fait peur
Imagines moi comme un de plus
Et laisse moi te donner le peu que je suis
Alors tu te feras ton idée
Et consciente tu pourras faire ton choix
Essaye moi...
Du fait de notre envionnement
Je sais le danger que cela peut être
Mais oublions le futur
Pour nous concentrer en notre présent
Notre vie ne dépend pas d’eux
Mais de nous
Je ne veux certes pas les molester
Mais qu’il ait une possibilité
Qu’il existe une chance
Tant minuscule soit elle
Essaye moi...
Enfin si ton idée est claire
Si ton choix est fait
Et que celui ci est sans moi
Alors ainsi soit il
Je me rangerais à ce choix
Sache que je le respecterai
Comme à une femme
Et comme à une amie
Que je ne pourrai oublier...
J’aurai voulu te le dire de face
Devant ce coucher de soleil
Que nous avons partagé
Une nuit d’été
Mais je n’ai point voulu gâcher
Cette nuit exceptionnelle
Qui dans mon coeur réveille
Des sentiments troublés
Où j’aurais dû tout avouer....
Car sans toi
Je ne sais où cette vie
Va....
Ven 17 Août 2007, 01:36 par
Loyd sur Parler d'amour
Lettre à un songe
Du virtuel fils de Morphée à sa Céleste Amazone, lettre posée comme une pierre à l’édifice dont je vous ai parlé.
Héritier du Royaume des Songes, j’attends chaque jour plongé dans mes propres rêves que le soleil se couche et que vous le suiviez. Alors que la nuit vous enveloppe de son manteau de calme et de sérénité, je vous admire lentement sombrer dans le sommeil qui vous livrera à mes tendres soins. Je vous vois là, allongée sur votre lit, joyau reposant dans son écrin, et je souris en parcourant vos formes des mes yeux gourmands. Je m’approche doucement, sans un bruit, tend la main et la pose sur votre corps, l’effleurant doucement. Je vous caresse d’un long frisson mais ne vous éveille pourtant pas, je ne suis qu’un songe face à l’objet des ses rêves. Je goûte vos lèvres, vous enlace de mes bras et vous emporte vers un autre monde pour un onirique voyage.
Comme le lapin blanc conduit Alice au Pays des Merveilles, j’aspire à vous faire découvrir mille et un plaisirs. Mais ces merveilles n’égaleront jamais les vôtres, celles de votre féminité qui sans cesse me font m’émerveiller comme un enfant qui découvre le monde. Je guide vos rêves et vous fais goûter aux délices de sensualité empruntés aux légions de songes dérobés à mon père Morphée. Je m’empare de votre esprit et de l’image de votre corps qui m’attire chaque nuit auprès de vous. Rêvons ensemble, suivons les enseignements d’Aphrodite avant qu’Apollon ne conduise son char dans notre ciel pour en chasser les étoiles. Trop tard, le jour se lève et déjà je doit relâcher mon étreinte, vous oublierez mon passage et sourirez à cet homme dans votre lit. Dommage que la nuit ne soit éternelle...
A cette nuit, mon doux rêve.
Héritier du Royaume des Songes, j’attends chaque jour plongé dans mes propres rêves que le soleil se couche et que vous le suiviez. Alors que la nuit vous enveloppe de son manteau de calme et de sérénité, je vous admire lentement sombrer dans le sommeil qui vous livrera à mes tendres soins. Je vous vois là, allongée sur votre lit, joyau reposant dans son écrin, et je souris en parcourant vos formes des mes yeux gourmands. Je m’approche doucement, sans un bruit, tend la main et la pose sur votre corps, l’effleurant doucement. Je vous caresse d’un long frisson mais ne vous éveille pourtant pas, je ne suis qu’un songe face à l’objet des ses rêves. Je goûte vos lèvres, vous enlace de mes bras et vous emporte vers un autre monde pour un onirique voyage.
Comme le lapin blanc conduit Alice au Pays des Merveilles, j’aspire à vous faire découvrir mille et un plaisirs. Mais ces merveilles n’égaleront jamais les vôtres, celles de votre féminité qui sans cesse me font m’émerveiller comme un enfant qui découvre le monde. Je guide vos rêves et vous fais goûter aux délices de sensualité empruntés aux légions de songes dérobés à mon père Morphée. Je m’empare de votre esprit et de l’image de votre corps qui m’attire chaque nuit auprès de vous. Rêvons ensemble, suivons les enseignements d’Aphrodite avant qu’Apollon ne conduise son char dans notre ciel pour en chasser les étoiles. Trop tard, le jour se lève et déjà je doit relâcher mon étreinte, vous oublierez mon passage et sourirez à cet homme dans votre lit. Dommage que la nuit ne soit éternelle...
A cette nuit, mon doux rêve.
Sam 11 Août 2007, 19:45 par
Morphée sur La séduction
A la découverte de ton corps...
Ton corps nu
Allongé sur mon canapé...
Ainsi dévêtu
Ton corps dévoile ses secrets...
Mes yeux dévorent
Ton visage
A lui seul
Il est tout un paysage...
Mon regard se pose
Sur toi...
Juste une pause
Pour moi...
De ton anatomie
Je te sais homme...
Et sans répit
Je te regarde comme...
Une femme
Qui te touche des yeux...
Avant que mes mains
Aillent à la découverte de ton corps...
Marie
Allongé sur mon canapé...
Ainsi dévêtu
Ton corps dévoile ses secrets...
Mes yeux dévorent
Ton visage
A lui seul
Il est tout un paysage...
Mon regard se pose
Sur toi...
Juste une pause
Pour moi...
De ton anatomie
Je te sais homme...
Et sans répit
Je te regarde comme...
Une femme
Qui te touche des yeux...
Avant que mes mains
Aillent à la découverte de ton corps...
Marie
Mer 08 Août 2007, 16:28 par
Satine sur Parler d'amour
A chaque femme son homme... et vice versa!
Loin de moi l’idée de prendre parti
Je suis là que pour exprimer mon avis
Ce sujet soulève un thème de nos jours
Qui exprime nos mals être d’homme
Et en ce sens nos âmes restent tendres
La douce Satine nous parle d’harmonie
Et sur ce point je la rejoins à l’infini
Le sieur Huon pense être un macho
Alors qu’il n’est qu’un homme
Cherchant sa place dans notre monde
Auprès d’une femme douce et aimante
Qui elle pourrait le comprendre
Et lui rendre enfin sa confiance
Loyd - conteur a ses heures
Je suis là que pour exprimer mon avis
Ce sujet soulève un thème de nos jours
Qui exprime nos mals être d’homme
Et en ce sens nos âmes restent tendres
La douce Satine nous parle d’harmonie
Et sur ce point je la rejoins à l’infini
Le sieur Huon pense être un macho
Alors qu’il n’est qu’un homme
Cherchant sa place dans notre monde
Auprès d’une femme douce et aimante
Qui elle pourrait le comprendre
Et lui rendre enfin sa confiance
Loyd - conteur a ses heures
Chaque Femme est unique...
La conquête des femmes est la seule aventure exaltante dans la vie d’un homme.
Guy de Maupassant
La destinée de la femme et sa seule gloire sont de faire battre le coeur des hommes.
Honoré de Balzac
Que seraient ce les Hommes sans les Femmes ? ...
Marie
Guy de Maupassant
La destinée de la femme et sa seule gloire sont de faire battre le coeur des hommes.
Honoré de Balzac
Que seraient ce les Hommes sans les Femmes ? ...
Marie

Enfin la parité pour les hommes !
Enfin la parité…pour les hommes !
Mon ami de 30 ans et de 30 ans mon aîné, me répondit sans ambages
à ma question : qu’est-ce ce qui a le plus changé pour vous ? : "les femmes" !
Elles sont devenues impossibles !
Elles veulent le beurre, l’argent du beurre et les enfants du crémier.
Elles amassent tout, se chargent comme un baudet et ne veulent rien partager.
Elles sont en conquête de pouvoir et considèrent l’homme comme un rival nécessaire.
Le travail de la femme est devenu une assurance divorce.
Elles raisonnent en groupe, en caste et nul n’ose s’aventurer à les contredire.
Elles sont femmes et doivent donc tout savoir mieux que quiconque puisque affublées
de la fameuse "intuition féminine" et de "l’instinct maternel" qui nous font bien rigoler.
Tous les psychologues savent bien qu’il s’agit d’une pure invention sociale, mais rien n’y fait,
c’est leur credo, leur confiteor.
Essayez de les soulager en prenant en charge les courses, la cuisine, les enfants, le ménage…
Il ne se passera pas 1 mois avant quelles ne reprennent leurs prérogatives car ce sera
mieux fait par elles. Il s’agit du syndrome des avantages acquis avec celui très caractéristique :
le droit de se plaindre parce que je fais tout dans cette maison.
Apporte-moi un statut, de la sécurité et ton argent, je ferais le reste qui s’appelle : tout décider.
Essayez d’entrer dans la parité homme quant aux emplois dits féminins : secrétaire, sages-femmes,
standardiste, infirmière…et vous verrez leur courroux.
Finalement, tous les progrès technologiques du XX° siècle ne sont que peu de choses
comparé à l’hégémonie de la femme qui avait déjà beaucoup de pouvoirs mais qui les veut
tous et exclusifs et jusqu’à s’en inventer.
La femme de notre Président, qui n’a aucun statut, sinon celui, non écrit, de réception, déclare :
"A l’avenir, il y aura de plus en plus de femmes pour commander les hommes".*
Vous remarquerez qu’il n’est pas dit : des femmes aux commandes des entreprises ou de la politique.
Il s’agit bien de "commander" les hommes". Voilà la véritable conquête de la femme.
L’homme a été plus respectueux envers le cheval, la plus noble conquête de l’homme.
Aux Ayatollahs, Talibans extrémistes correspond la femme qui "commande" aux hommes.
Nous voilà dans de beaux draps, dirait la mère Denis.
Si, maintenant, c’est la femme d’un Président qui le dit, les bornes sont franchies.
Que nous reste-t-il, à nous les hommes ? Le choix de la couleur de la voiture ? Même pas.
Faudra-t-il songer à cloner la Terre pour que nous ayons un espace de liberté ?
Mesdames, vous êtes-vous rendu compte de la situation qui va bientôt vous échapper ?
La parité que vous réclamez tant vous fera abandonner le restaurant et le cinéma offerts,
la portière ouverte ainsi que toutes ces petites déférences que vous savez apprécier.
Votre vie est un combat, le notre va commencer.
Qui gagnera ? Combien de pertes ?
Réfléchissons tous ensemble, si vous le voulez bien.
*Madame Chirac, le Parisien du 21 février 06 et cité dans Marianne du 25 février 06.
Mon ami de 30 ans et de 30 ans mon aîné, me répondit sans ambages
à ma question : qu’est-ce ce qui a le plus changé pour vous ? : "les femmes" !
Elles sont devenues impossibles !
Elles veulent le beurre, l’argent du beurre et les enfants du crémier.
Elles amassent tout, se chargent comme un baudet et ne veulent rien partager.
Elles sont en conquête de pouvoir et considèrent l’homme comme un rival nécessaire.
Le travail de la femme est devenu une assurance divorce.
Elles raisonnent en groupe, en caste et nul n’ose s’aventurer à les contredire.
Elles sont femmes et doivent donc tout savoir mieux que quiconque puisque affublées
de la fameuse "intuition féminine" et de "l’instinct maternel" qui nous font bien rigoler.
Tous les psychologues savent bien qu’il s’agit d’une pure invention sociale, mais rien n’y fait,
c’est leur credo, leur confiteor.
Essayez de les soulager en prenant en charge les courses, la cuisine, les enfants, le ménage…
Il ne se passera pas 1 mois avant quelles ne reprennent leurs prérogatives car ce sera
mieux fait par elles. Il s’agit du syndrome des avantages acquis avec celui très caractéristique :
le droit de se plaindre parce que je fais tout dans cette maison.
Apporte-moi un statut, de la sécurité et ton argent, je ferais le reste qui s’appelle : tout décider.
Essayez d’entrer dans la parité homme quant aux emplois dits féminins : secrétaire, sages-femmes,
standardiste, infirmière…et vous verrez leur courroux.
Finalement, tous les progrès technologiques du XX° siècle ne sont que peu de choses
comparé à l’hégémonie de la femme qui avait déjà beaucoup de pouvoirs mais qui les veut
tous et exclusifs et jusqu’à s’en inventer.
La femme de notre Président, qui n’a aucun statut, sinon celui, non écrit, de réception, déclare :
"A l’avenir, il y aura de plus en plus de femmes pour commander les hommes".*
Vous remarquerez qu’il n’est pas dit : des femmes aux commandes des entreprises ou de la politique.
Il s’agit bien de "commander" les hommes". Voilà la véritable conquête de la femme.
L’homme a été plus respectueux envers le cheval, la plus noble conquête de l’homme.
Aux Ayatollahs, Talibans extrémistes correspond la femme qui "commande" aux hommes.
Nous voilà dans de beaux draps, dirait la mère Denis.
Si, maintenant, c’est la femme d’un Président qui le dit, les bornes sont franchies.
Que nous reste-t-il, à nous les hommes ? Le choix de la couleur de la voiture ? Même pas.
Faudra-t-il songer à cloner la Terre pour que nous ayons un espace de liberté ?
Mesdames, vous êtes-vous rendu compte de la situation qui va bientôt vous échapper ?
La parité que vous réclamez tant vous fera abandonner le restaurant et le cinéma offerts,
la portière ouverte ainsi que toutes ces petites déférences que vous savez apprécier.
Votre vie est un combat, le notre va commencer.
Qui gagnera ? Combien de pertes ?
Réfléchissons tous ensemble, si vous le voulez bien.
*Madame Chirac, le Parisien du 21 février 06 et cité dans Marianne du 25 février 06.
Dim 22 Juil 2007, 15:26 par
Xavier Huon sur Citations
La veste à Pépé.
La veste à Pépé.
La veste à Pépé sent "Pépé" même quand Pépé n’est pas dedans.
Velours marron comme il se doit pour tout faire à la ferme et à la maison.
Je n’ai jamais vu Pépé sans sa veste, été comme hiver.
Il est possible qu’il soit né dedans et que la veste ait grandi avec lui.
Mon Pépé, je l’aime bien mais l’odeur de la veste à Pépé, encore plus.
Quand il n’est pas là, il laisse toujours délicatement un peu d’odeur de sa veste
que je suis à la trace pour retrouver mon Pépé.
Comment vous décrire l’odeur de la veste à Pépé ? Mettez-y d’abord toutes
les odeurs de la ferme sans oublier les vaches, les poules et les cochons,
l’herbe mouillée et la rosée du matin. Ensuite, c’est un peu secret car il s’agit
de tous les efforts de la journée. Dame, une ferme, çà occupe son homme !
Quand vient Pépé, je ferme les yeux et hume ce délicieux parfum qui ne provient
que de mon Pépé. C’est mon Pépé et je l’aime. C’est son odeur et je l’aime aussi.
Au fait, quelle est l’odeur des autres Pépé ?
Pépé, c’est Pépé vermicelle. C’est lui qui a mis des chiffres et des lettres dans
mon potage. Il m’a dit de m’amuser avec et que, peut-être, je n’aurai pas besoin
d’aller à l’école. J’ai recraché tous les chiffres et j’ai gardé toutes les lettres.
Bien souvent, en associant les lettres, cela ne voulait rien dire, mais parfois,
je trouvais mon bonheur dans le grand Larousse en haut de l’étagère.
(Pour tout savoir, il faut monter sur le tabouret.)
C’est grâce à Pépé que je peux vous écrire aujourd’hui.
Je suis sûr que vous sentez l’odeur de la veste à Pépé car cette odeur est mêlée
à l’encre et au papier. Humez et vous découvrirez l’odeur à Pépé.
Aujourd’hui, j’ai grandi et j’ai oublié mon costume du dimanche, celui que je mettais
pour aller au village avec Pépé. Pépé a oublié de respirer et j’ai perdu Pépé.
Pourtant, je l’aimais bien mon costume du dimanche. J’en étais même très fier.
Un costume d’homme du haut de mes trois pommes.
Quelle fière allure avec les cheveux bien peignés.
Tout à l’unisson jusqu’aux chaussettes et chaussures bien cirées.
Un costume du dimanche, çà vous change un homme !
Un costume du dimanche, çà ne se porte que le dimanche.
Ce soir, j’attendrai six jours pour porter mon costume du dimanche.
Quelle joie et qu’elle fierté devant les copains de mesurer nos effets.
Nous étions les rois de la ville, avec parfois, à la boutonnière, un œillet.
Pas de bagarre ce jour-là, tout le monde le comprend.
Demain, c’est dimanche et je vais mettre mon costume du dimanche.
Chérie, as-tu vu mon costume, celui que je ne mets que le dimanche ?
A la poubelle, me dis-tu, car j’ai beaucoup grandi ?
Sans costume pour le dimanche, je préfère rester au lit.
Costume du dimanche, reviens-nous vite car demain, c’est dimanche
Dimanche, je mettrai la veste à Pépé. Il aimera çà !
La veste à Pépé sent "Pépé" même quand Pépé n’est pas dedans.
Velours marron comme il se doit pour tout faire à la ferme et à la maison.
Je n’ai jamais vu Pépé sans sa veste, été comme hiver.
Il est possible qu’il soit né dedans et que la veste ait grandi avec lui.
Mon Pépé, je l’aime bien mais l’odeur de la veste à Pépé, encore plus.
Quand il n’est pas là, il laisse toujours délicatement un peu d’odeur de sa veste
que je suis à la trace pour retrouver mon Pépé.
Comment vous décrire l’odeur de la veste à Pépé ? Mettez-y d’abord toutes
les odeurs de la ferme sans oublier les vaches, les poules et les cochons,
l’herbe mouillée et la rosée du matin. Ensuite, c’est un peu secret car il s’agit
de tous les efforts de la journée. Dame, une ferme, çà occupe son homme !
Quand vient Pépé, je ferme les yeux et hume ce délicieux parfum qui ne provient
que de mon Pépé. C’est mon Pépé et je l’aime. C’est son odeur et je l’aime aussi.
Au fait, quelle est l’odeur des autres Pépé ?
Pépé, c’est Pépé vermicelle. C’est lui qui a mis des chiffres et des lettres dans
mon potage. Il m’a dit de m’amuser avec et que, peut-être, je n’aurai pas besoin
d’aller à l’école. J’ai recraché tous les chiffres et j’ai gardé toutes les lettres.
Bien souvent, en associant les lettres, cela ne voulait rien dire, mais parfois,
je trouvais mon bonheur dans le grand Larousse en haut de l’étagère.
(Pour tout savoir, il faut monter sur le tabouret.)
C’est grâce à Pépé que je peux vous écrire aujourd’hui.
Je suis sûr que vous sentez l’odeur de la veste à Pépé car cette odeur est mêlée
à l’encre et au papier. Humez et vous découvrirez l’odeur à Pépé.
Aujourd’hui, j’ai grandi et j’ai oublié mon costume du dimanche, celui que je mettais
pour aller au village avec Pépé. Pépé a oublié de respirer et j’ai perdu Pépé.
Pourtant, je l’aimais bien mon costume du dimanche. J’en étais même très fier.
Un costume d’homme du haut de mes trois pommes.
Quelle fière allure avec les cheveux bien peignés.
Tout à l’unisson jusqu’aux chaussettes et chaussures bien cirées.
Un costume du dimanche, çà vous change un homme !
Un costume du dimanche, çà ne se porte que le dimanche.
Ce soir, j’attendrai six jours pour porter mon costume du dimanche.
Quelle joie et qu’elle fierté devant les copains de mesurer nos effets.
Nous étions les rois de la ville, avec parfois, à la boutonnière, un œillet.
Pas de bagarre ce jour-là, tout le monde le comprend.
Demain, c’est dimanche et je vais mettre mon costume du dimanche.
Chérie, as-tu vu mon costume, celui que je ne mets que le dimanche ?
A la poubelle, me dis-tu, car j’ai beaucoup grandi ?
Sans costume pour le dimanche, je préfère rester au lit.
Costume du dimanche, reviens-nous vite car demain, c’est dimanche
Dimanche, je mettrai la veste à Pépé. Il aimera çà !
Dim 22 Juil 2007, 09:34 par
Xavier Huon sur Mille choses
L'écriture
Quand je me mets à écrire, mon esprit s’évade, je libère mes pensées, et mes émotions ressortent. Je suis cet homme au coeur de pierre qui pourtant laisse ses sentiments se propager...au travers de la plume.
Ecriture, tu es ma confidente, ma bien-aimée, sans toi je ne peux avancer, tu me soulages de poids et de douleurs terribles, tu es toujours à mes côtés, et tu m’aides à me sentir mieux au sein de la société.
Je t’ai découverte adolescent en quête de repères et j’ai senti que tu me portais et m’aidais à traverser les étapes difficiles de ma vie. Je sais que je peux compter sur toi, et je ne te laisserai plus jamais filer.
Tu connais toute ma vie, tous mes problèmes, tout ce que j’ai pu subir mais aussi mes moments heureux, tu prends une grande place dans ma vie, et je sais bien que je suis dépendant de toi.
Mais je pense que tu es la plus douce dépendance que je n’ai jamais rencontrée...
Jérôme
Ecriture, tu es ma confidente, ma bien-aimée, sans toi je ne peux avancer, tu me soulages de poids et de douleurs terribles, tu es toujours à mes côtés, et tu m’aides à me sentir mieux au sein de la société.
Je t’ai découverte adolescent en quête de repères et j’ai senti que tu me portais et m’aidais à traverser les étapes difficiles de ma vie. Je sais que je peux compter sur toi, et je ne te laisserai plus jamais filer.
Tu connais toute ma vie, tous mes problèmes, tout ce que j’ai pu subir mais aussi mes moments heureux, tu prends une grande place dans ma vie, et je sais bien que je suis dépendant de toi.
Mais je pense que tu es la plus douce dépendance que je n’ai jamais rencontrée...
Jérôme
Lun 02 Juil 2007, 23:56 par
jejefofo sur Mille choses
Rouge et Blanc
Un peintre dans un jardin
Observant une rose
Crée d’un air anodin
Un ton de couleur rose.
Rouge et blanc pour mélange,
Ses couleurs favorites.
Je m’inspire de mon Ange
Ma prose, elle la mérite.
Rouge couleur de l’Amour
Blanc couleur de la Pureté
Mes poèmes lui font la cour.
Son regard pur, sa beauté
Me permette des créations.
Pour elle, je deviens Poète
Beaucoup d’imagination
Enormément de conquête.
Elle m’a donné le courage
D’écrire mes premiers vers,
Je viens en homme sage
Et lui offre l’espoir du vert.
Jeaneck, 12.06.2007
Observant une rose
Crée d’un air anodin
Un ton de couleur rose.
Rouge et blanc pour mélange,
Ses couleurs favorites.
Je m’inspire de mon Ange
Ma prose, elle la mérite.
Rouge couleur de l’Amour
Blanc couleur de la Pureté
Mes poèmes lui font la cour.
Son regard pur, sa beauté
Me permette des créations.
Pour elle, je deviens Poète
Beaucoup d’imagination
Enormément de conquête.
Elle m’a donné le courage
D’écrire mes premiers vers,
Je viens en homme sage
Et lui offre l’espoir du vert.
Jeaneck, 12.06.2007
Mar 12 Juin 2007, 10:24 par
Jeaneck sur La séduction
J'aurais voulu que tu sois comme un " frère "...
On s’est rencontrés, on avait tout juste dix huit ans
On était jeunes, trop jeunes sans doute.
On a grandi ensemble comme un frère et une soeur.
Il y avait tellement de ressemblances dans notre histoire...
Nos parents n’ont pas su nous aimer
Tous deux, nous étions des " écorchés vifs ".
Ensemble, on a passé des soirées et des nuits
A vouloir refaire le monde.
Mais on a vite compris
Que le monde tournerait sans nous
Et que nos idéaux resteraient vains.
On s’est aimé comme des fous...
Tu as été mon mentor
Mon " Dieu " en qui j’ai eu la foi,
Tu as été mon tout, mon toit
Je me suis tant réfugiée contre toi
Pour trouver de l’apaisement à mes détresses
Je ne pouvais vivre sans toi
Ma propre existence ne m’ayant jamais intéressé.
On a continué à " grandir ".
Tu es devenu homme et moi femme, certes
Mais mon âme d’enfant est resté si présente en moi
Que je suis, par définition une femme-enfant.
On a apppris à se découvrir.
La vie a passé...
On a fait un bébé, puis un deuxième et un troisième.
C’est de toi que j’ai voulu nos trois enfants.
Au cours de notre vie
Peines et joies se sont entremêlées
On a continué à " mûrir " dans notre vie d’adulte
Toi toujours plus vite que moi.
On a évolué...
Le temps des incompréhensions est venu
J’ai fini par souffrir de tes colères
Qui devenaient parfois violentes
Et qui ont fini par me faire peur.
Mes " silences " que tu as pris pour des mensonges
Tu ne les a pas supportés.
La mélancolie qui m’habite
a fini par t’être " pesante ".
On a fini par ne plus " se comprendre "
Alors un matin j’ai voulu que cela cesse.
J’ai pris une décison qui t’a " blessé.
Je porte " sur mes épaules " la responsabilité de notre séparation
Puisque cela a été mon choix.
Sur le chemin de ma vie
J’ai rencontré un homme
Auquel je me suis attachée.
J’ai " tu " cette relation.
Non pas que je voulais te mentir
Mais te connaissant d’un tempérament jaloux
J’ai voulu la vivre et lui donner une existence...
Un jour tu m’as dit avoir rencontré une femme
Avec laquelle tu as vécu quelques mois
Tu m’as dit l’avoir fait
Pensant me " rendre " jalouse "
En vain...
La vie a continué...
En octobre, ma vie a basculé.
Tu t’es mêlé de ma vie sentimentale.
Tu pensais que cela allait mettre fin à cette relation...
Et que tu allais me " retrouver ".
En vain...
Je pensais être forte et
Ma fragilité est revenue.
Depuis j’ai sombré dans le désespoir.
Pourquoi , je ne sais pas...
Tu sais que je suis de
Ces femmes que l’on n’oublie pas.
J’ai tant à donner... et sans doute
pour cela que je " peux venir à manquer ".
T’aurais pu être comme un frère
A qui on dit tout
Puisque à un frère
On n’a pas de raison de mentir
Alors j’aurai parlé...
Avec honnêteté
Mais je ne veux pas
Qu’elle se " retourne " contre moi.
Je suis si mal...
La vie est un combat
Pour tout à chacun
Mais chaque jour, je perds un peu de ces forces...
Qui font que l’on " reprend le dessus ".
T’aurais pu être comme un frère
Dont les liens sont inneffaçables
Puisque que tu aurais été un " frère de sang "...
Marie
On était jeunes, trop jeunes sans doute.
On a grandi ensemble comme un frère et une soeur.
Il y avait tellement de ressemblances dans notre histoire...
Nos parents n’ont pas su nous aimer
Tous deux, nous étions des " écorchés vifs ".
Ensemble, on a passé des soirées et des nuits
A vouloir refaire le monde.
Mais on a vite compris
Que le monde tournerait sans nous
Et que nos idéaux resteraient vains.
On s’est aimé comme des fous...
Tu as été mon mentor
Mon " Dieu " en qui j’ai eu la foi,
Tu as été mon tout, mon toit
Je me suis tant réfugiée contre toi
Pour trouver de l’apaisement à mes détresses
Je ne pouvais vivre sans toi
Ma propre existence ne m’ayant jamais intéressé.
On a continué à " grandir ".
Tu es devenu homme et moi femme, certes
Mais mon âme d’enfant est resté si présente en moi
Que je suis, par définition une femme-enfant.
On a apppris à se découvrir.
La vie a passé...
On a fait un bébé, puis un deuxième et un troisième.
C’est de toi que j’ai voulu nos trois enfants.
Au cours de notre vie
Peines et joies se sont entremêlées
On a continué à " mûrir " dans notre vie d’adulte
Toi toujours plus vite que moi.
On a évolué...
Le temps des incompréhensions est venu
J’ai fini par souffrir de tes colères
Qui devenaient parfois violentes
Et qui ont fini par me faire peur.
Mes " silences " que tu as pris pour des mensonges
Tu ne les a pas supportés.
La mélancolie qui m’habite
a fini par t’être " pesante ".
On a fini par ne plus " se comprendre "
Alors un matin j’ai voulu que cela cesse.
J’ai pris une décison qui t’a " blessé.
Je porte " sur mes épaules " la responsabilité de notre séparation
Puisque cela a été mon choix.
Sur le chemin de ma vie
J’ai rencontré un homme
Auquel je me suis attachée.
J’ai " tu " cette relation.
Non pas que je voulais te mentir
Mais te connaissant d’un tempérament jaloux
J’ai voulu la vivre et lui donner une existence...
Un jour tu m’as dit avoir rencontré une femme
Avec laquelle tu as vécu quelques mois
Tu m’as dit l’avoir fait
Pensant me " rendre " jalouse "
En vain...
La vie a continué...
En octobre, ma vie a basculé.
Tu t’es mêlé de ma vie sentimentale.
Tu pensais que cela allait mettre fin à cette relation...
Et que tu allais me " retrouver ".
En vain...
Je pensais être forte et
Ma fragilité est revenue.
Depuis j’ai sombré dans le désespoir.
Pourquoi , je ne sais pas...
Tu sais que je suis de
Ces femmes que l’on n’oublie pas.
J’ai tant à donner... et sans doute
pour cela que je " peux venir à manquer ".
T’aurais pu être comme un frère
A qui on dit tout
Puisque à un frère
On n’a pas de raison de mentir
Alors j’aurai parlé...
Avec honnêteté
Mais je ne veux pas
Qu’elle se " retourne " contre moi.
Je suis si mal...
La vie est un combat
Pour tout à chacun
Mais chaque jour, je perds un peu de ces forces...
Qui font que l’on " reprend le dessus ".
T’aurais pu être comme un frère
Dont les liens sont inneffaçables
Puisque que tu aurais été un " frère de sang "...
Marie
Mer 06 Juin 2007, 13:28 par
Satine sur Histoires d'amour
Le Grand Rouge
Petite histoire en passant. Un soir, dans un bar.
Une fille brune accoudée au comptoir.
En quelques verres d’affiliés, c’est parti.
Pour un grand noir, juste une nuit.
Coeur blessé. Un grand rouge.
Embrasse-moi. Caresse-moi.
Aime-moi rien qu’un instant.
Et à la fin de la nuit, vas-t-en.
Censuré, tout ce que l’on a fait.
Personne n’y croyait. Pas même elle.
Juste comme ça. Pour s’amuser.
Sans se regarder. Les yeux dans le ciel.
Interdit aux moins de 18, ce qui s’est passé.
Je n’ai tout d’un coup plus senti ses seins.
J’étais dans le piège de la sorcière. Piégé.
Un grand bleu. Celui de ses yeux sans fin.
Coeur blessé. Un grand rouge.
Embrasse-moi. Touche-moi.
Aime-moi plus qu’un instant.
Mais à la fin de la nuit, vas-t-en.
Yeux dans les yeux. Mains dans les mains.
Juste comme ça, pour s’amuser...
Je fixe ses yeux, pour me noyer.
Je ne veux pas l’aimer. Une nuit pour rien.
Je sais qu’il est trop tard pour tout casser.
Alors, je vais devoir tout annihiler.
Son sang qui coule est rouge carmin.
Grand rouge. Ainsi que le mien.
Coeur crevé. Un grand rouge.
Embrasse-moi. Détruis-moi.
Aimes-moi jusqu’à la fin des temps.
Je ne dirais plus jamais « vas-t-en ».
Grand rouge. Film interdit aux moins de 18 ans.
L’histoire d’un homme qui ne peut aimer.
Et de la femme qui va le faire saigner.
Suicide passionnel, crime passionnel. Comme de tout temps.
- Censuré -
Une fille brune accoudée au comptoir.
En quelques verres d’affiliés, c’est parti.
Pour un grand noir, juste une nuit.
Coeur blessé. Un grand rouge.
Embrasse-moi. Caresse-moi.
Aime-moi rien qu’un instant.
Et à la fin de la nuit, vas-t-en.
Censuré, tout ce que l’on a fait.
Personne n’y croyait. Pas même elle.
Juste comme ça. Pour s’amuser.
Sans se regarder. Les yeux dans le ciel.
Interdit aux moins de 18, ce qui s’est passé.
Je n’ai tout d’un coup plus senti ses seins.
J’étais dans le piège de la sorcière. Piégé.
Un grand bleu. Celui de ses yeux sans fin.
Coeur blessé. Un grand rouge.
Embrasse-moi. Touche-moi.
Aime-moi plus qu’un instant.
Mais à la fin de la nuit, vas-t-en.
Yeux dans les yeux. Mains dans les mains.
Juste comme ça, pour s’amuser...
Je fixe ses yeux, pour me noyer.
Je ne veux pas l’aimer. Une nuit pour rien.
Je sais qu’il est trop tard pour tout casser.
Alors, je vais devoir tout annihiler.
Son sang qui coule est rouge carmin.
Grand rouge. Ainsi que le mien.
Coeur crevé. Un grand rouge.
Embrasse-moi. Détruis-moi.
Aimes-moi jusqu’à la fin des temps.
Je ne dirais plus jamais « vas-t-en ».
Grand rouge. Film interdit aux moins de 18 ans.
L’histoire d’un homme qui ne peut aimer.
Et de la femme qui va le faire saigner.
Suicide passionnel, crime passionnel. Comme de tout temps.
- Censuré -
Mar 15 Mai 2007, 07:12 par
Ayakai sur Les liaisons sulfureuses
A deux
Une femme un homme
Un concave un convexe
Deux corps nus,
Les peaux se parlent.
Un homme une femme
qui sont tout à leur sexe
Se sont tus,
Le jeu s’installe.
Une femme un homme
Et la coulisse grasse
De leurs sexes
Concave convexe.
Deux corps qui se caressent
Un mélange des feux
Plus qu’un jeu,
Un festin une messe.
Pas d’idée de prouesse
Deux cervelles jumelles.
Un jouir
A deux.
Un concave un convexe
Deux corps nus,
Les peaux se parlent.
Un homme une femme
qui sont tout à leur sexe
Se sont tus,
Le jeu s’installe.
Une femme un homme
Et la coulisse grasse
De leurs sexes
Concave convexe.
Deux corps qui se caressent
Un mélange des feux
Plus qu’un jeu,
Un festin une messe.
Pas d’idée de prouesse
Deux cervelles jumelles.
Un jouir
A deux.
Sam 12 Mai 2007, 20:16 par
tribulation sur Les liaisons sulfureuses
Tu me manque
je scrute l’horizon,
dans l’espoir de voir,
ta silhouette au loin,
se dirigée ver moi,
tu me manque,
chaque seconde,
chaque bouffé d’air,
me rappel que tu n’es pas la,
reviens moi,
tourne toi vers moi,
et tend moi la main,
pour qu’en fin,
je sois heureuse avec toi,
mon homme du désert,
fait moi vivre ton doux mirage,
que ma chair ne connaisse,
que ton doux velours,
de ta peaux, de ton chant d’amour.
tourne toi vers moi,
je suis prête a présent,
montre moi le doux chemin du bonheur,
dans tes bras de prince que tu es.
tu me manque de trop,
j’aire dans les rues de paris,
les lieux les plus fréquenter,
les gares, le métro, les aéroports,
dans l’espoir de te croiser ....
si seulement le destin pouvait m’aider....
dans l’espoir de voir,
ta silhouette au loin,
se dirigée ver moi,
tu me manque,
chaque seconde,
chaque bouffé d’air,
me rappel que tu n’es pas la,
reviens moi,
tourne toi vers moi,
et tend moi la main,
pour qu’en fin,
je sois heureuse avec toi,
mon homme du désert,
fait moi vivre ton doux mirage,
que ma chair ne connaisse,
que ton doux velours,
de ta peaux, de ton chant d’amour.
tourne toi vers moi,
je suis prête a présent,
montre moi le doux chemin du bonheur,
dans tes bras de prince que tu es.
tu me manque de trop,
j’aire dans les rues de paris,
les lieux les plus fréquenter,
les gares, le métro, les aéroports,
dans l’espoir de te croiser ....
si seulement le destin pouvait m’aider....
Dim 08 Avril 2007, 21:22 par
joullia sur Parler d'amour
Avant que le désespoir ne l'emporte...
Un jour elle partira
Quand ?
Elle ne le sait pas
Pourtant elle aime la vie
Un peu trop peut être
Mais ses chagrins lui pèsent
Alors le jour venu
Elle ira rejoindre
Celle qui lui manque
Elle a tant à donner
Mais le monde n’a pas besoin d’elle
Chacun pour soi
Cela, elle l’a compris
Pendant tant d’années
Elle a donné à un homme sans compter
Mais lui n’avait qu’un désir
Qu’elle soit Sa chose
Elle a fini par étouffer
Un matin elle a décidé
De vivre seule
Pour se sentir libre
Sur le chemin de sa vie
Elle a rencontré un homme
Avec lequel elle a partagé
Des moments coquins
Sa seule erreur
C’est de s’être attaché à lui.
Marie
Quand ?
Elle ne le sait pas
Pourtant elle aime la vie
Un peu trop peut être
Mais ses chagrins lui pèsent
Alors le jour venu
Elle ira rejoindre
Celle qui lui manque
Elle a tant à donner
Mais le monde n’a pas besoin d’elle
Chacun pour soi
Cela, elle l’a compris
Pendant tant d’années
Elle a donné à un homme sans compter
Mais lui n’avait qu’un désir
Qu’elle soit Sa chose
Elle a fini par étouffer
Un matin elle a décidé
De vivre seule
Pour se sentir libre
Sur le chemin de sa vie
Elle a rencontré un homme
Avec lequel elle a partagé
Des moments coquins
Sa seule erreur
C’est de s’être attaché à lui.
Marie
Jeu 29 Mars 2007, 17:36 par
Satine sur Parler d'amour
Fatia
Le passage
Assise sur un tabouret en bois à trois pieds, Fatia laisse coiffer ses cheveux crépus par les doigts agiles des femmes de son père . Celles-ci s’activent à diviser la chevelure de Fatia en plusieurs tresses fines Aujourd’hui, c’est un jour particulier pour Fatia. On va célébrer son mariage avec Sako, un nomade de la tribu voisine. Un long tissu bariolé aux couleurs vives, drapé et posé sur ses hanches, constitue son seul vêtement pour la cérémonie. Une ceinture de cori vient souligner sa taille fluette, tandis qu’ un mélange de beurre de carité et d’ocre, minutieusement étalée pour ce jour mémorable, accentue, illumine, le satin de sa peau noir claire. De nombreux colliers de bois et de perles aux teintes chatoyantes se balancent sur sa poitrine à fleur de peau. Des bracelets de cuivre et d’argent s’entrechoquent sur ses fins poignets d’enfant. Sur son visage on peut lire des hologrammes, écris à la lame d’un couteau .
. Dans des gloussements de plaisir, Les épouses de son père échangent des souvenirs lointains. Elles évoquent sans pudeur leurs nuits de noce. Les femmes revivent ce moment avec une fierté sans masquer la douleur, la férocité d’une nuit depuis longtemps consumée. C’est ainsi, cela doit se faire comme cela.
Fatia, passive en entendant tous ces piaillements de vieilles femmes, imagine son futur mari. Son père, ses frères l’ont promise il y a quelques années à Sako, un homme plus âgé d’une soixantaine d’années. La famille de Fatia lui a offert quatre chameaux et deux chèvres tout en buvant le thé dans le désert pour le remercier d’épouser plus tard la fillette.
Fatia ne l’a jamais vu.
Elle sait que ce soir elle quittera son campement pour suivre son époux. Elle sait que ce soir il lui prendra les restes de son enfance. Elle sait que ce soir aura lieu un dépucellage de fils et de coutures entre ses jambes. Elle sait aussi que demain son époux étalera à la vue de tous le déchirement d’une nuit Elle sait que demain elle ne sera plus une enfant de onze ans.
Fatia a peur. Fatia est terrifiée. Fatia est terrorisée. Ses yeux n’ ont plus cette insouciance d’hier, ils hurlent l’effroi de l’inconnu.
La voilà parée de perles, et de coutume. Offrande de plaisir ruisselante, d’argent et de cuivre, Fatia est prête à quitter la tente.
Dehors, le village semble pris de folie. Il clame sa joie. Des roulements de djembé se font de plus en plus lancinants, tandis que certains hommes tapent dans leurs mains frénétiquement. Dans une effervescence de cris, de hurlements, dans les dialectes des deux peuplades réunies, Fatia devient une condamnée que l’on traîne jusqu’à son époux bavant d’envie pour ce jeune corps tout en comptant les quatre chameaux et les deux chèvres qu’on lui a promis.
La cérémonie a lieu dans l’euphorie. Viande de brebis et de chèvres grillée accompagnent dattes et figues, pour célébrer l’union Fatia et de Sako. On a sorti les plus belles timbales d’argent pour boire le thé vert.
Fatia ne dit rien. On ne lui a rien demandé. Elle est mariée et partagera sa tente avec les autres femmes de son époux., Elle devra respect , fidélité, obéissance à son mari, et lui témoignera en plus de l’admiration. Pendant quelque temps, elle sera la favorite pour partager la couche de Sako. Jusqu’à ce que celui-ci trouve une nouvelle fraîcheur pour la soumettre à ses jeux.
Fatia, comme beaucoup d’autres, deviendra une parfaite épouse, pilant du tef, nourrissant les quatre chameaux et les deux chèvres que son père, un jour de bonté, a offert en buvant du thé. Elle oubliera peu à peu cette nuit de noce et portera en elle un jour de futures Fatia et de futurs Sako.
Assise sur un tabouret en bois à trois pieds, Fatia laisse coiffer ses cheveux crépus par les doigts agiles des femmes de son père . Celles-ci s’activent à diviser la chevelure de Fatia en plusieurs tresses fines Aujourd’hui, c’est un jour particulier pour Fatia. On va célébrer son mariage avec Sako, un nomade de la tribu voisine. Un long tissu bariolé aux couleurs vives, drapé et posé sur ses hanches, constitue son seul vêtement pour la cérémonie. Une ceinture de cori vient souligner sa taille fluette, tandis qu’ un mélange de beurre de carité et d’ocre, minutieusement étalée pour ce jour mémorable, accentue, illumine, le satin de sa peau noir claire. De nombreux colliers de bois et de perles aux teintes chatoyantes se balancent sur sa poitrine à fleur de peau. Des bracelets de cuivre et d’argent s’entrechoquent sur ses fins poignets d’enfant. Sur son visage on peut lire des hologrammes, écris à la lame d’un couteau .
. Dans des gloussements de plaisir, Les épouses de son père échangent des souvenirs lointains. Elles évoquent sans pudeur leurs nuits de noce. Les femmes revivent ce moment avec une fierté sans masquer la douleur, la férocité d’une nuit depuis longtemps consumée. C’est ainsi, cela doit se faire comme cela.
Fatia, passive en entendant tous ces piaillements de vieilles femmes, imagine son futur mari. Son père, ses frères l’ont promise il y a quelques années à Sako, un homme plus âgé d’une soixantaine d’années. La famille de Fatia lui a offert quatre chameaux et deux chèvres tout en buvant le thé dans le désert pour le remercier d’épouser plus tard la fillette.
Fatia ne l’a jamais vu.
Elle sait que ce soir elle quittera son campement pour suivre son époux. Elle sait que ce soir il lui prendra les restes de son enfance. Elle sait que ce soir aura lieu un dépucellage de fils et de coutures entre ses jambes. Elle sait aussi que demain son époux étalera à la vue de tous le déchirement d’une nuit Elle sait que demain elle ne sera plus une enfant de onze ans.
Fatia a peur. Fatia est terrifiée. Fatia est terrorisée. Ses yeux n’ ont plus cette insouciance d’hier, ils hurlent l’effroi de l’inconnu.
La voilà parée de perles, et de coutume. Offrande de plaisir ruisselante, d’argent et de cuivre, Fatia est prête à quitter la tente.
Dehors, le village semble pris de folie. Il clame sa joie. Des roulements de djembé se font de plus en plus lancinants, tandis que certains hommes tapent dans leurs mains frénétiquement. Dans une effervescence de cris, de hurlements, dans les dialectes des deux peuplades réunies, Fatia devient une condamnée que l’on traîne jusqu’à son époux bavant d’envie pour ce jeune corps tout en comptant les quatre chameaux et les deux chèvres qu’on lui a promis.
La cérémonie a lieu dans l’euphorie. Viande de brebis et de chèvres grillée accompagnent dattes et figues, pour célébrer l’union Fatia et de Sako. On a sorti les plus belles timbales d’argent pour boire le thé vert.
Fatia ne dit rien. On ne lui a rien demandé. Elle est mariée et partagera sa tente avec les autres femmes de son époux., Elle devra respect , fidélité, obéissance à son mari, et lui témoignera en plus de l’admiration. Pendant quelque temps, elle sera la favorite pour partager la couche de Sako. Jusqu’à ce que celui-ci trouve une nouvelle fraîcheur pour la soumettre à ses jeux.
Fatia, comme beaucoup d’autres, deviendra une parfaite épouse, pilant du tef, nourrissant les quatre chameaux et les deux chèvres que son père, un jour de bonté, a offert en buvant du thé. Elle oubliera peu à peu cette nuit de noce et portera en elle un jour de futures Fatia et de futurs Sako.
Jeu 15 Mars 2007, 10:43 par
Fille du peuple sur L'amour en vrac
Ecrire sur homme

Il y a 338 textes utilisant le mot homme. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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