Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur illuminée
Dulcinée, ô amour d'une nuit éternelle
Dulcinée, ô amour d’une nuit éternelle
Je passe mon temps à rêver de ton âme fusionnelle
D’un amour passif je jouis de ton parfum étrange
Et je me nourris de toi dans cette chambre, toi mon ange
Ma vertu et ma joie qui comblent mon trépas
Et qui me fait vivre une vie
Illuminée, illuminante et magique
La douceur de l’espoir me réveille ces nuits
De charme et d’amour je pense, la fusion passionnelle
De nos deux corps dans l’entrain d’un joyeux moulin
Quelle importance à tant d’ironie, à tant d’ignorance
Tu ne sais pas à quel point je tiens à toi
Et par delà les obstacles je te rejoindrai toi
Mon âme et ma foi
Mon ange, ma déesse je ne veux qu’être ton toi
Me nicher dans le creux de ton sein
Parcourir du regard, les formes qui ondulent ton corps
Me nourrir de ton parfum
Me sentir près de toi, en toi, faisant partie de toi
Maladie éternelle, souffrance immortelle
Succombe en moi toi et elle
Je ne peux quérir aucune aide que celle apportée par un seul de tes baisers
Je passe mon temps à rêver de ton âme fusionnelle
D’un amour passif je jouis de ton parfum étrange
Et je me nourris de toi dans cette chambre, toi mon ange
Ma vertu et ma joie qui comblent mon trépas
Et qui me fait vivre une vie
Illuminée, illuminante et magique
La douceur de l’espoir me réveille ces nuits
De charme et d’amour je pense, la fusion passionnelle
De nos deux corps dans l’entrain d’un joyeux moulin
Quelle importance à tant d’ironie, à tant d’ignorance
Tu ne sais pas à quel point je tiens à toi
Et par delà les obstacles je te rejoindrai toi
Mon âme et ma foi
Mon ange, ma déesse je ne veux qu’être ton toi
Me nicher dans le creux de ton sein
Parcourir du regard, les formes qui ondulent ton corps
Me nourrir de ton parfum
Me sentir près de toi, en toi, faisant partie de toi
Maladie éternelle, souffrance immortelle
Succombe en moi toi et elle
Je ne peux quérir aucune aide que celle apportée par un seul de tes baisers

Lun 24 Juil 2006, 08:59 par
kick sur L'amour en vrac
Ses yeux d’amante douce
Parlant d’amour à voix muette
Elle disait
Un sillage qui se perd
Les traces brouillées
D’un passage au soleil
Un nuage égaré
La flaque dans le ciel
De ses yeux mouillés
Elle chantait sa tristesse
Son amant oublié
Un échec en beauté
Et rêvait
De deux pas qui avancent
Vers un silence aimé
Hier je l’ai vue passer
Illuminée des jours anciens
Des mots à ses lèvres
Enlacés
Entre ses yeux
D’amante douce
La vue tremblait
Je la suivrai
Je veux savoir
Quel soleil elle avait déplié
Quelles larmes ont couru
Habiller son visage
Qu’elle m’apparaisse
Toute d’amour vêtue
Pour qu’en ses yeux émus
Les nouveaux jours m’appellent
Elle disait
Un sillage qui se perd
Les traces brouillées
D’un passage au soleil
Un nuage égaré
La flaque dans le ciel
De ses yeux mouillés
Elle chantait sa tristesse
Son amant oublié
Un échec en beauté
Et rêvait
De deux pas qui avancent
Vers un silence aimé
Hier je l’ai vue passer
Illuminée des jours anciens
Des mots à ses lèvres
Enlacés
Entre ses yeux
D’amante douce
La vue tremblait
Je la suivrai
Je veux savoir
Quel soleil elle avait déplié
Quelles larmes ont couru
Habiller son visage
Qu’elle m’apparaisse
Toute d’amour vêtue
Pour qu’en ses yeux émus
Les nouveaux jours m’appellent
Lun 27 Mars 2006, 08:10 par
Iris sur L'amour en vrac
Dresser l'attente
Que dire encore ?
Je te porte frémissante au creux de mon ventre pour que toi, tu aies un jour en toi mes yeux, enfoncés aussi loin que possible.
Un lac tout bleu, l’ondée illuminée et le halo doré des lunes à venir.
En sens-tu tout le vrai ? Je l’étendrai, le beau qui nous unit.
Comme je te veux ! Comme je te sens, versée en moi.
Je ne sais comment le ciel s’y est pris, pour descendre par la cheminée, déposer sur la cendre refroidie l’arc-en-ciel sans pareil, quel trésor sous mes yeux, jaune et bleu seulement, qui donc a bien pu l’inventer ?
En moi aussi la mer était en flamme, en moi aussi l’ultime braise s’est apaisée ; elle était si violente, qui aurait pu le croire, en la voyant infatigablement se rallumer, brûler de ci de là les mondes anciens en moi, les mondes anticipés aussi, qu’il ne reste plus rien, là où tu prendras place.
Comme je t’espère, comme je crois comprendre nos regards, et comme encore je n’ose y croire, après tant d’agonies.
Pourtant pour toi, par toi, et par-dessus mon toit, jamais je ne fus homme ainsi, me tenant par la main, je ne sais même comment, pour m’emmener danser de rien entre tes reins, ô si comme je crois tu voulais.
Mais même, cela peut-être ne suffira pas : malgré ce que dit la philosophie, on peut aimer en vrai, pourtant en vain, pourtant pour rien.
On peut tout traverser, et ne rien ramener.
Il n’est pas si facile de se sentir en même temps éclairs et puis jets bleus ; trop de lumière est un enfer, le trop d’amour sombre en mystère – et moi, ici, de quoi donc ai-je l’air ?
Je t’espère à en être humilié, sachant pourtant pouvoir encore vivre sans toi et même, s’il le fallait, t’ajouter à l’absence ; à toi aussi te dire adieu, de toi aussi, peut-être, en recevoir le pire ; exposer aux corbeaux le chant des oiseaux bleus.
Qu’en ont-ils retenu, du bout de ce bec qui leur sert de morale ?
Mais ne crois pas que je t’abandonnerai, quoi qu’il m’en coûte.
Puisque tout est détruit, qu’il n’y a même plus de route, la lumière passera.
Et moi, je la suivrai.
Je te porte frémissante au creux de mon ventre pour que toi, tu aies un jour en toi mes yeux, enfoncés aussi loin que possible.
Un lac tout bleu, l’ondée illuminée et le halo doré des lunes à venir.
En sens-tu tout le vrai ? Je l’étendrai, le beau qui nous unit.
Comme je te veux ! Comme je te sens, versée en moi.
Je ne sais comment le ciel s’y est pris, pour descendre par la cheminée, déposer sur la cendre refroidie l’arc-en-ciel sans pareil, quel trésor sous mes yeux, jaune et bleu seulement, qui donc a bien pu l’inventer ?
En moi aussi la mer était en flamme, en moi aussi l’ultime braise s’est apaisée ; elle était si violente, qui aurait pu le croire, en la voyant infatigablement se rallumer, brûler de ci de là les mondes anciens en moi, les mondes anticipés aussi, qu’il ne reste plus rien, là où tu prendras place.
Comme je t’espère, comme je crois comprendre nos regards, et comme encore je n’ose y croire, après tant d’agonies.
Pourtant pour toi, par toi, et par-dessus mon toit, jamais je ne fus homme ainsi, me tenant par la main, je ne sais même comment, pour m’emmener danser de rien entre tes reins, ô si comme je crois tu voulais.
Mais même, cela peut-être ne suffira pas : malgré ce que dit la philosophie, on peut aimer en vrai, pourtant en vain, pourtant pour rien.
On peut tout traverser, et ne rien ramener.
Il n’est pas si facile de se sentir en même temps éclairs et puis jets bleus ; trop de lumière est un enfer, le trop d’amour sombre en mystère – et moi, ici, de quoi donc ai-je l’air ?
Je t’espère à en être humilié, sachant pourtant pouvoir encore vivre sans toi et même, s’il le fallait, t’ajouter à l’absence ; à toi aussi te dire adieu, de toi aussi, peut-être, en recevoir le pire ; exposer aux corbeaux le chant des oiseaux bleus.
Qu’en ont-ils retenu, du bout de ce bec qui leur sert de morale ?
Mais ne crois pas que je t’abandonnerai, quoi qu’il m’en coûte.
Puisque tout est détruit, qu’il n’y a même plus de route, la lumière passera.
Et moi, je la suivrai.
Mar 14 Fév 2006, 20:36 par
Iris sur La première fois
Missive ennivrante
Ce matin, comme tous les matins, je vais chercher le courrier dans la boîte. Des publicités, des factures et une enveloppe différente...avec ton écriture. Mon coeur bat plus vite et je brûle déjà rien qu’à deviner tes mots. J’ai déchiré l’enveloppe en une seconde et je te lis:
Je suis émue et touchée, ma journée se trouve soudain illuminée! L’écho de tes mots résonne en moi et je sais qu’il me suivra toute la journée comme un délicieux refrain. J’attends fébrilement le moment où, libre de toute autre préoccupation, je pourrai me poser,seule avec ma plume et mes mots pour te répondre d’aussi jolie manière...j’espère!
Syolann
- "Adieu juillet, août et mois d’été censés illuminer nos corps d’une chaleur ardente. Voici septembre et ses cartables, le mois le plus tendre comme le chantait Nougaro poète devant l’éternel, parti rejoindre ses pairs là-haut dans le ciel.
Qu’il est doux ce rayon de soleil qu’une légère brise ballaye furtivement sur nos corps allongés côte à côte. Pas un bruit, pas une âme à la ronde. Rien que toi et moi jouissant pleinement de ces instants d’amour. Seul le cours d’un ruisseau rompt le silence. Quelques oiseaux piaillent sur une branche dont les feuilles jaunies frémissent sous éole comme ta peau le fait sous mes tendres caresses. Mes mains, ma bouche ne se lasseront donc jamais de te couvrir de délices?
Dans tes yeux, je devine la voûte céleste, parsemée de nuages qui chagrinent ton âme. Le souffle de mon corps tente de les chasser de ton horizon, l’instant de notre rencontre. Je voudrais tant que les aiguilles s’arrêtent pour mieux jouir de ces tendres moments. Mais ce serait déraisonnable de se retrouver dans une cage. Le temps éroderait cette envie de te conquérir à chaque instant, et je te perdrais à jamais. Nous aimons trop la vie, la mordre à pleine dents pour sombrer dans la monotonie. Te séduire et te conquérir dans mon jardin secret, telles sont mes maîtresses pensées."
Je suis émue et touchée, ma journée se trouve soudain illuminée! L’écho de tes mots résonne en moi et je sais qu’il me suivra toute la journée comme un délicieux refrain. J’attends fébrilement le moment où, libre de toute autre préoccupation, je pourrai me poser,seule avec ma plume et mes mots pour te répondre d’aussi jolie manière...j’espère!
Syolann
Jeu 02 Sep 2004, 12:46 par
syolann sur Un monde parfait
Flash !
En PDF sur mon PDA, j’ai chargé tes fesses en JPEG,
Je m’inocule ton corps hypnotique par voie oculaire,
Les saccades d’images bombardent mon oeil au rythme du va-et-vient précis de mes doigt experts sur la molette,
Ton dos s’imprime sur ma rétine,
Des hanches jusqu’aux cuisses ta silhouette défile sur l’écran de l’appareil,
J’explore ta peau en effleurant l’écran du bout de mon stylet,
Scroll stroboscopique sur tes fesses ,
Zoom éblouissant sur ta rivière parisienne illuminée,
Flash entre tes cuisses,
Ta chute de reins met mon nerf optique sous haute tension,
mon cerveau fume et mon ventre se tétanise
Je m’inocule ton corps hypnotique par voie oculaire,
Les saccades d’images bombardent mon oeil au rythme du va-et-vient précis de mes doigt experts sur la molette,
Ton dos s’imprime sur ma rétine,
Des hanches jusqu’aux cuisses ta silhouette défile sur l’écran de l’appareil,
J’explore ta peau en effleurant l’écran du bout de mon stylet,
Scroll stroboscopique sur tes fesses ,
Zoom éblouissant sur ta rivière parisienne illuminée,
Flash entre tes cuisses,
Ta chute de reins met mon nerf optique sous haute tension,
mon cerveau fume et mon ventre se tétanise
Mar 18 Mai 2004, 14:33 par
le beau jardinier sur Les liaisons sulfureuses
Ecrire sur illuminée

Il y a 6 textes utilisant le mot illuminée. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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